Academic literature on the topic 'Anthropologie urbaine – France – Bretagne (France)'

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Journal articles on the topic "Anthropologie urbaine – France – Bretagne (France)"

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Neveu, Catherine, Bernard Bier, and Bernard Roudet. "Pour une anthropologie de la citoyenneté, une approche comparative France/Grande-Bretagne." Agora débats/jeunesses 12, no. 1 (1998): 43–51. http://dx.doi.org/10.3406/agora.1998.1605.

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Nahmías, Paula, and Yvon Le Caro. "Pour une définition de l’agriculture urbaine : réciprocité fonctionnelle et diversité des formes spatiales." Environnement urbain 6 (January 15, 2013): 1–16. http://dx.doi.org/10.7202/1013709ar.

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Abstract:
Les agricultures observables dans les agglomérations (agricultures professionnelles en circuits courts ou longs, jardins privés et partagés, agriculture de loisirs) sont aujourd’hui valorisées dans leurs dimensions alimentaires, environnementales et socio-politiques. Elles participent aux manières d’habiter la ville et à l’aménagement des territoires urbains. La diversité de leurs formes et de leurs représentations pour les acteurs complexifie toutefois la définition d’une « agriculture urbaine ». Sur la base d’observations de terrain en Bretagne (France) nous retenons qu’outre sa localisation proche de la ville, ce sont ses fonctionnalités et son intégration dans le projet d’agglomération qui permettent de définir son caractère urbain.
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Bulot, Thierry. "Discours épilinguistique et discours topologique : une approche des rapports entre signalétique et confinement linguistique en sociolinguistique urbaine." Revue de l'Université de Moncton 36, no. 1 (January 9, 2006): 219–53. http://dx.doi.org/10.7202/011994ar.

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Abstract:
Résumé Cet article rend compte d’une recherche engagée depuis plus d’un an en collaboration avec d’autres disciplines sur la mise en mots de l’habitat populaire au travers d’une enquête de terrain effectuée dans la ville de Rennes (France). Dans une zone réputée gallèse, certaines des rues de cette ville de Bretagne ont une signalétique bilingue (français / breton celtique). Nous analyserons les discours sur les corrélations entre mémoire urbaine (le discours sur l’entité urbaine) et sociolinguistique (le discours sur à la fois la stratification sociolinguistique et à la fois la territorialisation, voire la mobilité linguistique) autour de trois axes de questionnement : 1. la signalétique bi ou plurilingue et la discrimination des espaces, 2. l’affichage de langues (notamment via les odonymes) et les traces d’une mémoire sociolinguistique et 3. l’aménagement linguistique des espaces urbains (imposition, ou reproduction ou validation ou dénégation d’une mémoire sociolinguistique et urbaine) et le dirigisme glottopolitique.
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PANARARI, MASSIMILIANO. "NICOLETTA DIASIO, La science impure. Anthropologie et mdecine en France, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas, Paris, Presses Universitaires de France (Puf), 1999, 286 pp. (ISBN 2-13-050092-7)." Nuncius 15, no. 1 (2000): 446–49. http://dx.doi.org/10.1163/182539100x00632.

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Le Squère, Roseline. "Mise en oeuvre du bilinguisme de la ville de Lorient (département du Morbihan, France) : de la conceptualisation politique à l’application territoriale." Revue de l'Université de Moncton 36, no. 1 (January 9, 2006): 157–83. http://dx.doi.org/10.7202/011992ar.

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Abstract:
Résumé Le breton est devenu une langue urbaine. Son avenir ne semble avoir de sens que si son développement est porté par les villes bretonnes. Deux modèles spécifiques ont été créés dans cet esprit : le Comité de l’Identité Bretonne en Haute-Bretagne, et l’autre en Basse-Bretagne, concernant le modèle de politique de ville mis en place par la ville de Lorient. La double démarche établie pour ce dernier, visant à la mise en place d’un jalonnement directionnel bilingue et le développement d’une signalisation bilingue des bâtiments a en vue un développement du bilinguisme. Quand une signalétique symbolique émane du premier modèle, une signalétique systématique découle du second. En s’appuyant, à titre d’exemple, sur le premier modèle, nous observerons comment le second modèle, centre de notre réflexion, procède de toutes les façons d’une volonté de valorisation culturelle par le moyen de l’affichage urbain. Les noms de lieux font partie de ce processus et deviennent pour les acteurs politiques de cette urbanité langagière un moyen qui leur permettra de développer la culture, l’identité, etc. La confrontation de la demande sociale du pays de Lorient liée à cet affichage massif, à l’application réelle sur le terrain permettra de cerner les enjeux identitaires tout d’abord, et économiques ensuite, par le biais d’une enquête publiée dans le journal Ouest-France, et par le biais d’entretiens semi-directifs effectués auprès d’acteurs locaux. Nous observerons ainsi la conceptualisation politique et les pratiques de terrain pour faire un état des lieux de la situation bretonne.
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Tapie, Guy. "Sociologie de l’espace : modeles d’interpretation." Sociologias 20, no. 47 (April 2018): 370–91. http://dx.doi.org/10.1590/15174522-020004714.

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Abstract:
Resumé La sociologie a considéré que l’espace et son architecture sont une création originale, empreints de caractéristiques sociétales et historiques. Dans une diversité problématique, elle a mis à l’épreuve du territoire et de l’espace de vie la conceptualisation de pratiques sociales, de processus de socialisation, de mécanismes décisionnels, signes du fonctionnement des sociétés. L’analyse du lien entre social et spatial a nourri des débats théoriques sur l’explication des usages. Pour les uns l’essentiel est dans la façon dont les individus, les groupes, les institutions, la société, investissent l’espace à partir des règles du jeu social ; d’autres privilégient l’importance des dimensions physiques, architecturales et urbanistiques, choix qui a mis l’accent sur les formes matérielles pour expliquer les pratiques. Une telle liaison n’était guère problématique pour de nombreux auteurs pour comprendre les sociétés et les mouvements qui les traversent. A partir des années 1970, en France, le lien formes – sociétés a été approfondi à partir de croisements disciplinaires entre anthropologie, sociologie, architecture et urbanisme. Les modes d’appropriation des espaces de vie ont posé avec force la question des rapports entre conception architecturale et usagers mobilisant la recherche architecturale et urbaine sur le rôle des concepteurs et experts qui projettent et matérialisent les aspirations des sociétés, des groupes et des habitants (Pinson, 1992 ; Conan, 1991). Pour développer les principes et les apports de cette sociologie de l’espace, nous présentons ses fondements théoriques à partir d’un choix personnel et limité d’auteurs ; puis, un regard sur trois expériences résidentielles majeures en France montre sa pertinence.
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PANARARI, MASSIMILIANO. "NICOLETTA DIASIO, La science impure. Anthropologie et médecine en France, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas, Paris, Presses Universitaires de France (Puf), 1999, 286 pp. (ISBN 2-13-050092-7)." Nuncius 15, no. 1 (January 1, 2000): 446–49. http://dx.doi.org/10.1163/221058700x00636.

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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Dissertations / Theses on the topic "Anthropologie urbaine – France – Bretagne (France)"

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Biget, Denis. "Une analyse du temps présent : aspects de l'identité et de la vie quotidienne dans une petite ville : Douarnenez." Paris 7, 2006. http://www.theses.fr/2006PA070026.

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Abstract:
En convoquant l'anthropologie, la sociologie et l'histoire, l'auteur cherche à reconnaître les différents aspects de l'identité et de la vie quotidienne dans une petite ville de Bretagne. Ville réputée pour son histoire maritime et pour les manifestations culturelles qui s'y tiennent (fêtes du patrimoine maritime, carnaval. . . ), Douarnenez semble donner à ses habitants une identité particulière qui est reconnue dans toute la région. Sans faire une monographie mais en interrogeant, par entretiens et observations, les différentes situations dans lesquelles sont pris les habitants, l'auteur s'intéresse au vécu des douarnenistes de leur point de vue, en évitant de réécrire un texte ethnologique qui ne tiendrait pas compte des différentes situations dans lesquelles l'ethnologue lui-même est pris. L'auteur met en œuvre une anthropologie de l'action qui veut restituer les paroles et les actes des individus en les décrivant, sans faire une interprétation ex nihilo de ce qu'il a observé et qui viendrait comme un point de vue extérieur et autorisé. Dans deux quartiers de la ville et dans d'autres observations prises au hasard, l'auteur constate qu'il existe deux sortes de douarnenistes, d'une part, et d'autre part que le voisinage et la co-résidence n'engendrent pas forcément des relations sociales fortes qui génèrent un sentiment d'appartenance particulier au quartier et à la ville. Soit les douarnenistes, surtout les plus âgés, sont fortement impliqués dans la vie de la cité et construisent ainsi leur identité individuelle et collective, soit ils vivent en marge de la vie de la ville et trouvent leur marques identitaires ailleurs
Drawing an anthropology, sociology and history, the author examines aspects of identity and daily life in a small Brittany town. Renowned for its maritime history and cultural events it plays host to (bi-annual boat festival, the Mardi Gras carnaval. . . ), Douarnenez seems to endow its inhabitants with a special identity renowned throughout the region. The book is not simply a monography, but a distillation of interviews, research, and observations providing a textured account of the Personal circumstances of residents in this singular place. The author pursues his interest in the daily lives of "Douarnenistes", looking through their eyes, and striving to avoid reproducing an ethnological treatise that fail to take into account the various situations the ethnologist himself is caught up in. The author applies a kind of anthropology of action, reconstructing individual's words and actions by simply describing them, taking care not to interpret ex nihilo events and mannerisms observed which would otherwise appear to derive from an exterior authority. Examining two districts in the town, and other observations taken at random, the author claims there are two kinds of résident, on thé one hand, and on the other hand neighbourly relationships and other ties resulting from co-habitations do not always engender strong social relations, but generate a strong feeling of belonging specific to a district and to the town. Douarnenists (the elderly above all) are either active on the edge of it and construct their individual and collective identity in this way, or they live on the edge of it, finding their identity landmarks in other places, in other moments in time, and often through work
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Valy, Janique. "Croissance urbaine et risque inondation en Bretagne." Phd thesis, Université Rennes 2, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00624646.

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Abstract:
L'occupation des plaines inondables par le bâti est un phénomène ancien mais qui s'est fortement accru à la fin du XXème siècle. Les plaines d'inondation françaises ne dérogent pas à cette règle et ce malgré la mise en place de réglementations. La Bretagne a subi ces vingt dernières années plusieurs événements hydroclimatiques exceptionnels qui ont touché de nombreux secteurs urbanisés notamment dans les communes périphériques de Rennes, les centres urbains de l'axe de la Vilaine et ceux du littoral. Cette succession d'événements a déclenché une réflexion sur le risque inondation à l'échelle régionale. Elle a également montré la vulnérabilité de certains espaces urbains, remettant en cause les logiques d'aménagement du territoire, notamment à proximité des agglomérations à forte croissance. Ces extensions urbaines, étudiées à l'échelle communale et infra-communale dans le cadre de cette thèse, s'organisent à partir d'un état initial plus ou moins vulnérable. Elles sont questionnées au regard de la réglementation et des contraintes climatiques. Les secteurs retenus sont donc Quimper et trois communes appartenant à l'agglomération rennaise. Une fois la zone inondable délimitée, la croissance urbaine communale est analysée grâce à une approche historique (implantation et évolution des centres anciens) et par une analyse des croissances urbaines au XXème et XXIème siècles. Cette approche permet ainsi de déterminer les trajectoires communales d'occupation spatiale notamment dans les plaines alluviales. L'analyse permet alors de dégager les logiques de croissance urbaine et de constater l'aggravation du risque. Pour comprendre les trajectoires urbaines dans les secteurs à risque, des projets urbains spécifiques ont été étudiés. Cette analyse permet d'appréhender précisément les enjeux résultants de l'urbanisation mais également de connaître l'attitude des porteurs de projets (en l'occurrence des élus locaux) face à l'inondation qu'elle soit passée ou qu'elle survienne durant la réalisation du secteur urbain. Il en ressort que l'adaptation au risque se traduit souvent par une prise en compte a minima de celui-ci et qu'il n'est que peu intégré dans les projets d'aménagement lors de leur conception ou de leur mise en place
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Leguay, Jean-Pierre. "Vivre dans les villes bretonnes au Moyen âge /." Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2009. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41468025t.

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Callac, Emmanuelle. "Ethnologie de la poésie : un exemple en Bretagne." Paris, EHESS, 2001. http://www.theses.fr/2001EHES0221.

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Abstract:
Ce travail d'ethnologie de la poésie a pour objectif de construire le fait poétique comme fait social. Afin de mesurer la place et le rôle du poète et de la poésie dans la société contemporaine, nous avons centré notre étude sur un lieu délimité, en Bretagne, où a été memé un travail de terrain. Une telle étude ne pouvait faire l'économie d'un préalable historique portant sur la culture bretonne et les antécédents littéraires en Bretagne, que ce soit en langue bretonne ou en français. C'est la région du Trégor qui a été choisie, partie septentrionale bretonnante des C^otes d'Armor qui connaît un dynamisme économique stimulant et accompagnant l'activité culturelle locale. C'est dans ce contexte que s'est déroulée l'enquête ethnographique, auprès de personnes écrivant de la poésie. Avec elles se sont établies des relations plus ou moins privilégiées selon le degré de confiance vis-à-vis d'une interrogation portant sur cette partie intime de leur pratique et de leur personnalité. A partir d'entretiens individuels et de descriptions d'animations poétiques (matériaux ethnographiques de ce tra. Ail), nous avons dégagé une typologie des poètes qui prend en compte leurs trajectoires personnelles et leurs parcours "en poésie". Qu'ils soient bretonnants ou non, tous manifestent un desir d'universalité et une curiosité qui se traduisent au niveau local, par leurs engagements politiques. Et une inscription territoriale forte. La pratique de la poésie est une contribution significative à la construction identitaire, tant personnelle que collective. C'est ce que nous enseigne une ethnologie sur la poésie, envisagée non pas comme un fait littéraire mais comme une réalité sociale.
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Gaudin, Solène. "Villes moyennes et rénovation urbaine : discours et actions d’une transaction spatiale : exemples pris en Bretagne." Thesis, Rennes 2, 2013. http://www.theses.fr/2013REN20044/document.

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Abstract:
Le Programme National de Rénovation Urbaine (PNRU), initié au titre de la loi Borloo du 1er août 2003, a été explicitement conçu pour s’attaquer à des questions urbaines et sociales lourdes : obsolescence du parc de logements des organismes HLM, concentration de populations paupérisées dans des espaces qualifiés d’espaces de relégation, discriminations liées à la nationalité ou à l’origine géographique. Calibrée pour répondre aux problématiques des quartiers difficiles des grandes villes, sa diffusion à l’ensemble des territoires prioritaires et en direction de villes petites et moyennes témoigne du succès de la formule et, suis generis, d’une appétence particulière de ces dernières pour le changement, pour l’action et la communication autour de ces « maxi-projets urbains », parfois hors d’échelle.En inscrivant notre réflexion dans une relecture des théories de la transaction, nous avons interrogé les récits et les discours des acteurs décisionnaires engagés dans les opérations de rénovation urbaine d’envergure des villes moyennes à l’échelle de la région Bretagne. En somme, quand, comment et sur quoi se fonde l’engagement de la puissance publique dans le choix de la démolition et comment comprendre l’adhésion massive des villes moyennes à ce dispositif ? Il s’agit donc de s’intéresser, d’une part, aux conceptions de l’espace portées par ces opérations et, d’autre part, d’interroger les logiques de l’action sur lesquelles elles reposent
The National Urban Renewal Programme (NERP), launched by the Borloo law passed on 1 August 2003, was explicitly designed as an answer to strong social and urban issues: housing obsolescence of the HLM, concentration of population in space which are considered as impoverished areas, relegation and discrimination according to nationality or geographical origin. Calibrated to address problems of the difficult areas of large cities, its diffusion to all priority areas and towards small and medium-sized towns reflects the success of the formula, and, by the way, a special appetite for action and communication about these "maxi urban projects" sometimes oversized.Mobilising a proofreading of transaction theories, we have analysed the stories and speeches of local actors and policy maker involved in large-scale operations of urban renewal in mid-sized cities across Brittany. In sum, we ask when, how and on what basis repose the commitment of the public authorities in the choice of demolition and how to understand the massive support of medium-sized cities in this device? This includes developing interest, on the one hand, about the concepts of space including in these operations and, secondly, to evalue and ask the logic of the action of the programme
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Savignac, Emmanuelle. "Strates et sédiments de l'imaginaire de la ville : Paris aujourd'hui." Paris, EHESS, 2001. http://www.theses.fr/2001EHES0217.

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Abstract:
Etant donné un mur, que se passe-t-il derrière?(Jean Tardieu)Que cache ce mur tant derrière lui - murs de la ville, des immeubles et du découpage urbain - qu'en lui même? Quelle est la motivation de sa construction? Quelle est la structuration mentale ou intellectuelle dont il se fait le signifiant? Qu'organise-t-il tant sur le plan du social, de l'intime que du symbolique? Comment percevoir et comprendre la "construction" dans ses différentes formes de réalisations en milieu urbain? Alors que l'espace se posait auparavant comme principe extensif: extension des terres à découvrir ou des lieux vierges de l'oeil occidental mais aussi extension de l'idée de progrès (extension verticale), l'espace balayé par l'oeil des médias tend à se concentrer. Notre proposition est de voir comment, en milieu urbain et notamment à Paris, d'extensif il pourrait devenir intensif. Nous analyserons ainsi cette densité ou profondeur au travers de 4 types simultanés: habité, traversé, visité, mythique. Nous tenterons de voir également comment ces types d'espaces et les pratiques qu'ils suscitent et qui les créent font d'eux des espaces qui structurent une identité collective ou individuelle ou bien qui la/les déstructurent; comment, enfin, les murs de la ville deviendraient la cristallisation en pierre d'un certain rapport à soi, aux autres, à léconomie ou à la Culture: soit la forme ostensible de la "mise en place" de tous ces rapports là.
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Bellos, Stavroula. "Plaka, Athènes, 1944-1948 : Barbès, Paris, 1961-1996." Paris 8, 1996. http://www.theses.fr/1996PA081211.

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Abstract:
Cette recherche est le resultat de deux etudes de terrain a barbes, paris et a plaka, athenes. L'objectif de cette demarche a ete de mettre en evidence ce que signifie pour tout un chacun une pratique de la democratie au quotidien par rapport a une histoire individuelle. Les elements qui ont ete observes dans ce travail sont des echantillons de discours enregistres et filmes. La methodologie utilisee a consiste en une pratique anthropologique ou je me suis impliquee dans l'experimentation, cela dans la mesure ou je fais une reference a mon histoire de vie. Je developpe une argumentation a travers un recit autobiographique qui explique les differentes etapes de construction de mon propre discours politique
The point in this study was to show what is the meaning of democracy in the everyday life for someone. Plaka, in athens and barbes in paris are two examples i chose because of my own experience fo these two urban places. I shot some interviews and through my autobiographical story, i tried to explain the different phases of my own political expression. The method of this anthropological technique is to involve the scientist in the experiment in order to create connexions between theory and pratice
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Groussard, David. "La gestion de l’eau dans les villes bretonnes aux XVIIe et XVIIIe siècles." Rennes 2, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00505459/fr/.

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Abstract:
Cette étude se propose de revenir sur la gestion urbaine de l'eau aux dix-septième et dix-huitième siècles, c'est-à-dire au moment où se développe une perception suspicieuse du milieu humide. Portée par les enjeux contemporains, l'approche historiographique de l'eau évolue depuis près de trente ans. Aujourd'hui, l'eau est devenue un sujet d'étude à part entière. Le contexte de la Bretagne n'est pas neutre ; ses caractéristiques environnementales, institutionnelles et culturelles jouent un rôle dans l'élaboration des oubrages hydrauliques. La situation évolue au cours des deux siècles. Les enjeux locaux sont marqués par la municipalisation des équipements hydrauliques et l'installation de l'intendance comme tuteur des affaires urbaines. Dans son sillage, la mission de conception passe d'une responsabilité d'artisan à une mission d'ingénieur. Cette translation de l'origine professionnelle du concepteur a des répercussions sur l'organisation du chantier et la morphologie des équipements. Cette redéfinition des tâches administratives et techniques influencent la fonctionnalité des ouvrages
Through this study, we shall go back to the water management in the urban areas of the seventeenth and eighteenth centuries, precisely at the time when a suspicious perception of the humid environment is developing. The historiographical approach of water has been evolving for almost thirty years and is fostered by contemporary issues. Water has fully become a research subject and the setting of Brittany is not neutral : its environmental, institutional and cultural characteristics play a key role in the elaboration of hydrological works. The situation evolved over the two centuries : on the local level, the major changes lie in the councils' management of the hydraulic equipments and the appointment of administrators to handle the urban affairs. The designing mission shifts also from craftmanship to engineering, and this change in the professional expertise of the designer entails repercussions on both the organization of the building site and the morphology of the equipment. This redefinition of the administrative and technical tasks influences the works' practicality
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Nières, Claude. "Les villes en Bretagne au 18e siècle : conditions et formes du développement urbain." Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1987PA040068.

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Abstract:
S'inscrivant dans la suite d'une série de monographies de différentes villes françaises, cette thèse tente de renouveler la problématique des études urbaines en abordant les villes comme un réseau et non comme des unités juxtaposées. L'auteur s'attache à redéfinir la notion de ville. Il situe chaque ville dans un ou plusieurs ensembles hiérarchises selon son poids démographique et économique, ses fonctions commerciales, administratives, culturelles religieuses et militaires. L'exemple choisi, la Bretagne au 18e siècle a plusieurs caractéristiques c'est un pays d'états, une province maritime frontière dont la population urbaine décroit au long du siècle alors que dans le même temps s'implantent des villes nouvelles. L'étude montre que le déclin, la stagnation, la croissance de chaque cite, son évolution sociale, la transformation de son paysage urbain dépendent à la fois de l'évolution économique de la province et de la politique de l'état. Mais l'histoire de chaque ville dépend aussi de l'attitude de ses autorités et de ses habitants face à ces deux forces
A sequel to a series of studies on various French towns, this volume represents an effort to approach urban studies in a new light. The author works out a new definition of the concept of 'town'. Towns are considered as a network of interrelated elements, not as disconnected units. Demographic and economic importance, commercial, administrative, cultural, religious and military roles determine the place of each town in one or several organic wholes. The work focuses on 18th century Brittany; with its 'states provincial' it is a maritime province on the border of France, whose urban population decreases in the course of the century while new towns are created. The study shows that the decline, stagnation or growth of each city, its social evolution, the changes in the urban landscape depend on the economic situation of the province, as well as on the state's policy. Besides, every city's history also depends on how its governing body and its inhabitants respond to these two forces
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Galland-Seux, Muriel. "L'évolution des représentations sociales du quartier dans les politiques d'urbanisme : une comparaison franco-britannique." Grenoble 2, 2003. http://www.theses.fr/2003GRE21007.

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Abstract:
La thèse a pour but d'analyser l'évolution de la notion de quartier pour les acteurs dans les politiques d'urbanisme en France et en Grande-Bretagne. Nous tentons de préciser comment le quartier est apparu comme un échelon privilégié, comme une catégorie de l'action publique et si ce phénomène est encore d'actualité. Pour cela, nous avons choisi d'analyser les représentations sociales du quartier des acteurs. Dans un premier temps, nous avons défini les différents courants théoriques se rapportant aux représentations et à l'imaginaire, ainsi que les différentes approches que l'on peut avoir du quartier (morphologique, en terme d'identité ou de sociabilité et dans les politiques publiques). Puis nous avons réalisé un historique des politiques urbaines ayant un rapport avec la notion de quartier, ce qui nous apermis de saisir comment se sont déroulées les prémisses de l'apparition de cette notion dans deux pays européens : la France et la Grande-Bretagne. Nous avons pu dater la genèse du quartier comme une catégorie de l'action publique dans les années d'après-guerre (1945-1950). Nous nous sommes ensuite attachés à définir une typologie des figures du quartier existantes. Puis nous avons analysé l'évolution des plus marquantes d'entre elles : celles du quartier-village et du quartier équipement pour la France et celles du quartier-communauté pour la Grande-Bretagne. Enfin, nous nous sommes aperçu que loin d'être "mort" pour les acteurs, le quartier continu d'être utilisé de par sa capacité de résistance et d'adaptation aux changements.
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Books on the topic "Anthropologie urbaine – France – Bretagne (France)"

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Diasio, Nicoletta. La science impure: Anthropologie et médecine en France, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas. Paris: Presses universitaires de France, 1999.

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