Academic literature on the topic 'Entreprises publiques – Gestion – Afrique subsaharienne'

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Journal articles on the topic "Entreprises publiques – Gestion – Afrique subsaharienne"

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Barbier, Jean-Pierre. "De la réhabilitation à la privatisation des entreprises publiques en Afrique subsaharienne." Revue d'économie financière 5, no. 1 (1995): 377–83. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1995.3320.

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Enguéléguélé, Maurice. "Quelques apports de l’analyse de l’action publique à l’étude du politique en Afrique subsaharienne." Articles 27, no. 1 (2008): 3–28. http://dx.doi.org/10.7202/018045ar.

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Abstract:
Résumé L’analyse des politiques publiques connaît depuis 1990 une entrée progressive dans l’africanisme. Ce développement s’accompagne cependant d’une controverse sur la pertinence de ce mode particulier d’étude de la gestion et de la régulation des sociétés pour le terrain africain : ce dernier symboliserait l’absence d’institutionnalisation du pouvoir et le désordre y serait un mode de régulation heuristiquement plus porteur. L’occasion est ici donnée de prendre parti en soulignant, au contraire, que cette approche enrichit considérablement l’africanisme politique.
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Chitou, Ibrahim. "Éthique et pratique managériale dans les entreprises publiques en Afrique subsaharienne : pourquoi tant de difficultés ? Le cas du Togo." Gestion et management public 1/n°4, no. 2 (2013): 23. http://dx.doi.org/10.3917/gmp.004.0023.

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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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Dissertations / Theses on the topic "Entreprises publiques – Gestion – Afrique subsaharienne"

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Ngoa, Tabi Henri. "Transition systémique et profil financier des entreprises publiques et parapubliques en Afrique sub-saharienne : Cas du Cameroun." Versailles-St Quentin en Yvelines, 1999. http://www.theses.fr/1999VERS1002.

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Abstract:
La crise économique qui sévit dans la plupart des pays en Afrique sub-saharienne entraîne une transition du système économique malgré de nombreuses résistances. Ainsi, les entreprises publiques, véritable poumon de l'économie camerounaise ayant accumulé des résultats négatifs, subissent une politique de reconfiguration menée par l'état. Cette politique de reconfiguration est évaluée par le biais de la méthode du profil financier où l'on détermine qui contrôle le capital des entreprises, quelle est la structure d'endettement, et quelle est la stratégie. Il ressort de cette étude que les entreprises publiques et parapubliques du Cameroun ont un profil financier étatique avec un taux d'endettement très élevé et une stratégie de croissance de type conglomérale. Cependant, dans la dynamique du profil financier qui se déroule en période de crise avec la restructuration, la privatisation et la liquidation, il ressort une forte croissance de la part des capitaux étrangers dans les entreprises privatisées, une croissance de la part des privés nationaux, et une diminution de la part de capital de l'état. Ce faisant, l'émergence d'un nouveau profil financier se réalise avec d'énormes difficultés et blocages. Ainsi, pour que ce nouveau profil financier se consolide et se développe, il est recommande de tirer les leçons des exemples des pays du sud-est asiatique pour pouvoir atteindre un développement durable
The economic crisis hitting most african countries leads to a complete systems economic transition despite of various obstacles. Thus, governmental firms, centerpieces of the cameroonian economy after several years of losses, are subject to a total restructuring sponsored by the government. This restructuring is applied by using the financial profile principle determining the control of companies' capital, the structure of the debt, and finally the corporate strategy in place. The outcome of recent studies on governmental and public/private - sector firms showed a financial profile with very high debts rates and a conglomeral growth strategy. However, in the dynamic of the financial profile taking place during a period of crisis along with the restructuring, the privatization and the liquidation, emerge a high increase of foreign and local funds in privatized companies, and a gradual withdrawal of governmental funds and responsibilities. By the same token, the establishment of a new financial profile, it is advisable to take southeastern asia as an example for the establishment of a more lasting development
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Chitou, Ibrahim. "La privatisation des entreprises du secteur moderne en Afrique subsaharienne : Bénin, Côte d'Ivoire, Sénégal, Togo." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010026.

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Abstract:
Dans le contexte actuel de la crise chronique qui secoue les pays d'Afrique au sud du Sahara, nous souscrivons à l'idée que, la privatisation qui équivaut au transfert des entreprises du portefeuille d'état (EPE) au secteur privé, permettra sans doute, d'améliorer les performances des dites entreprises et, par voie de conséquence, de réduire d'une part, les tensions que ces dernières contribuent à alimenter sur les finances publiques, l'endettement, le système productif des pays etc. . . , et d'autre part, d'augmenter parallèlement les capacités de financement du développement des états. Au-delà de ces objectifs globaux, il convient de considérer également la privatisation comme un moyen pédagogique de changement des conditions de fonctionnement des économies subsahariennes dès lors qu'on peut l'inscrire dorénavant dans une stratégie de développement. Cette vision suppose nécessairement le changement de comportement des acteurs et en particulier celui de l'état en tant qu'acteur principal du système économique observé jusque-là. Les expériences de privatisation en Afrique subsaharienne restent d'une manière générale limitées. Celles ci laissent apparaitre trois catégories de pays : les pays qui réussissent a peu près à privatiser ; ceux qui arrivent vaille que vaille à privatiser ; d'autres qui ont de grandes difficultés à privatiser. Ainsi parmi les pays étudiés, la Côte-d'Ivoire et le Togo réussissent mieux leurs opérations de privatisation comparativement aux deux autres pays (Bénin et Sénégal). Par contre, le Sénégal fait mieux en matière d'opérations de transfert des EPE au secteur privé que le Bénin. À notre sens la privatisation permettrait d'améliorer "l'utilité sociale" de l'entreprise (utilité sociale étant la somme de la valeur ajoutée du surplus du consommateur et du solde net des effets externes). Ce concept permet de cerner convenablement le rôle qui revient à l'entreprise de jouer dans les économies subsahariennes.
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Kileou, Badayode. "Le processus de privatisation des entreprises publiques en Afrique subsaharienne : le cas du Togo." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010317.

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Abstract:
Comme tous les pays moins avancés, le Togo a mis en œuvre au lendemain de sa décolonisation en 1960, une stratégie de développement et d'indépendance économique qui reposait sur la rente agricole et minière. Au cours des années 70, l'évolution favorable des prix mondiaux de ses principaux produits d'exportation, phosphate minéral (prix quadruple entre 1974 et 1975), a fait grimper les recettes budgétaires de l'état. Grace à de fortes augmentations inattendues des ressources financières, les autorités togolaises se sont lancées dans un effort du développement avec un vaste programme d'expansion des investissements publics finances par des emprunts extérieurs. Dès 1980, le Togo éprouve de graves difficultés financières l'amenant à réduire le train de vie de l'état, le nombre de ses entreprises, et ceci a la demande du F. M. I. Et de la BIRD ; gardiens du système monétaire et financier public international. Ces derniers avec leurs commanditaires exigent les privatisations. Mais somme toute, le grand réel et sérieux problème ici, c'est de savoir si les conditions notamment politiques, économiques, administratives, juridiques et sociales de succès des privatisations préconisées par les institutions de Bretton-Woods sont-elles réunies dans les pays moins avancés d’Afrique ? Ce sont là les quelques questions fondamentales et complexes auxquelles nous avons tenté de répondre en examinant le cas togolais qui n'est pas singulier en Afrique
Like most developing countries, Togo, just after her independence in 1960, put into works an economic development strategie based on agricultural and mineral income. In the 1970s, the favorable evolution of world prices of her major export products, phosphate (price multiplied by 4 between 1974 and 1975), coffee and cocoa, greatly increased the budgetary income of the Togolese government. With this strong and unexpected increase of financial resources of the public sector, the Togolese authorities embarked on a development effort with a vaste expansion program of public investments augmenting the number of government-owned firms and para-statals, exclusively financed by foreign loans. In doing this, the state, without the participation of the private sector, played the major parts for it took not only the charge of the infrastructures but also that of the economy by establishing state and para-statal monopoly the administration of which turned out to be desastrous, selectif and sectorial policies far disconnected to macro-economic conditions. Rapidly, the period of economic well-beign came to an end in 1978 with the brutal fall in the world prices of raw materials. As from 1980, Togo has been experiencing grave economic and financial difficultues bringing her to change the life-style of the state, the number go government-owned firms, all these at the demand of (or in colaboration with) the international monetary fund (imf), guardian of international finance hence internal finance of each country, that does no tolerate financial misbehavior of state-owned firms. From then on, no one can deny this evidence : the privatization policy of state-owned firms is imposed on the Togolese authorities from outside the country. This explains the factofs and technical modalities retained for the privatization. Therefore, in general what to privatize ? How to privatize ? Here are the fondamental questions to which we have tried to respond much in strict judicial as in political terms by studying the Togolese case which is a common case in Africa
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Koanda, Mady. "Contribution à la connaissance du comportement financier et des performances financières des entreprises industrielles en Afrique : une application de la théorie de l'agence." Poitiers, 2005. http://www.theses.fr/2005POIT4002.

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Abstract:
Les comportements et performances financières des entreprises africaines au sud du Sahara (Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Niger et Sénégal) ont été analysés en ayant recours à la théorie positive de l'agence. La conception de la firme africaine comme « nœud de contrats » a amené à distinguer trois types de firme : firme « contrôlée », firme « communautaire », et firme publique. La typologie ainsi retenue reflète les problèmes de séparation des fonctions de propriété et des fonctions de décision ainsi que les conflits d'intérêt et les coûts d'agence qui en découlent. Elle prend notamment en compte une spécificité de l'environnement africain : la pression communautaire, expression de l'impact de la famille, du clan sur la gestion de la firme en Afrique. La prise en considération des relations d'agence dans l'interprétation des décisions financières et des performances conduit à des résultats probants. Par collecte de données financières et enquête auprès des principaux responsables d'un échantillon de firmes industrielles nous montrons que la forme organisationnelle et donc le type de relation d'agence a un impact sur le comportement financier envisagé. Les objectifs financiers multiples assignés à la fonction financière sont différents selon les formes organisationnelles. La politique d'investissement est sous optimale et en fonction du type d'entreprise, elle se traduit par un sous investissement ou surinvestissement. Globalement, les décisions financières fondamentales prises dans les entreprises africaines s'expliquent par les nécessités de la gestion de la relation d’agence et corroborent ainsi les conjectures de la théorie financière de l'agence. Les firmes fixent à la fonction financière des objectifs qui contribuent à gérer les principaux conflits d'intérêt. Le recours à l'endettement est une voie permettant dans les firmes « contrôlées » de réduire le surinvestissement. Les conflits d’intérêt particulièrement vivaces entre les banques et les firmes « communautaires » justifient en partie le sous investissement constaté. Les performances observées des firmes en Afrique sont liées à la forme organisationnelle. Alors que les firmes « contrôlées » sont performantes du point de vue des actionnaires (rentabilité financière), les firmes « communautaires » le sont du point de vue de l'ensemble des parties prenantes de la firme (rentabilité économique) et les firmes publiques ne le sont pas du tout
The financial behavior and performances of industrial firms in sub-Saharan countries (Burkina Faso, Cote d'Ivoire, Niger and Senegal) have been analysed on the basis of the positive theory of agency. The notion of African enterprise as “nexus of contracts” leads to distinguish three types of enterprises : the “monitoring” enterprise, the “community” enterprise and the public enterprise. The model chosen bring to the core problem of separation of ownership rights from decision-making rights as well as the conflicts of interests and agency costs that are entailed. It mainly takes into account one specificity of African environment : the community pressure, family and clan influence on enterprise management in Africa. Taking the agency's relation into consideration to analyze the interpretation of financial decisions and performances leads to convincing results. On the basis of findings of a survey from principal officials of enterprises and on the collection of accounting and financial data, uni-varied and multi-varied statistics processing were carried out to test three (3) research hypotheses. In many cases, the organizational design namely type of agency relation influences the expected financial behavior. The various financial objectives connected to the financial function are different according to the organizational design. The investment policy is under optimal and it depends on the type of the firm. As a result, there is an underinvestment or an overinvestment regarding the type of the firm. Generally speaking, the basic financial decisions made within African firms are explained by the need of the management of the agency relation and they corroborate in this way the conjectures of financial agency theory. Thus, the firms have set some targets that contribute to manage the basic conflict of interests. Indebtedness is a way that enables the “monitoring” firms to reduce overinvestment. The conflict of interests, which is particularly hard between banks and “community” firms, is the main cause of underinvestment. The performances of African firms are connected to the organizational design. While “monitoring” firms are successful from the shareholders point of view (return on equity), “community” firms are successful according to the contracting parties (return of assets). Concerning public firms, they are not successful at all
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Benrabia, Nora. "Choix organisationnels et institutions : la réforme du secteur des déchets ménagers en Afrique subsaharienne." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2002. http://www.theses.fr/2002VERS010S.

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Abstract:
L'ouverture au privé du secteur des déchets ménagers en Afrique subsaharienne soumet le secteur au choix organisationnel dans un contexte institutionnel particulier depuis le début des années quatre-vingt-dix. En effet, l'évolution de l'intervention publique dans le développement des économies africaines a connu de grands bouleversements dont le plus récent est le passage du paradigme du consensus de Washington à celui de la bonne gouvernance. Dans cette perspective le rôle de l'Etat est certes réhabilité, mais selon une conception minimaliste et fonctionnaliste afin de renforcer les mécanismes du marché. C'est une approche néo-institutionnelle du développement économique qui est privilégiée par les bailleurs de fond telles que la Banque mondiale. Ce contexte ouvre la voie au choix de nouvelles formes organisationnelles alternatives à la gestion publique traditionnelle dans le secteur des déchets ménagers. Le bilan des premières expériences de privatisation des services publics en Afrique subsaharienne, ont mis en exergue les conditions de l'émergence de telles réformes. Ainsi, la faisabilité politique de la réforme s'est avérée un déterminant incontournable. Celui-ci conditionne aussi bien l'émergence de la réforme, le choix organisationnel et les résultats de la réforme selon un principe d'interdépendance entre l'environnement institutionnel et la structure de gouvernance. Cette nouvelle grille d'analyse des réformes est ancrée dans le courant de l'analyse néoinstitutionnelle. Cette thèse montre que la question du choix organisastionnel dans le secteur des déchets ménagers n'échappe pas à cette logique. Nous illustrons notre propos à partir de l'étude de cas de Dakar. En confrontant la grille d'analyse des réformes selon les séquences de leur attractivité, faisabilité et crédibilité, nous montrons que la réforme engagée à Dakar en 1995 repose sur une structure de gouvernance de forme hybride particulière. Si la dimension politique a été à l'origine de la réforme, son efficacité repose à la fois sur la répartition des effets redistributifs, les incitations de l'arrangement contractuel et les engagements crédibles des parties, notamment ceux des autorités publiques
The opening to private of the sector of domestic waste in sub-Saharan Africa subjects the sector to the organisational choice in a particular institutional context since the beginning of the years four vingt-dix. Indeed, the evolution of the public intervention in the development of the African economies knew great upheavals of which most recent is the passage of the paradigm of the consensus of Washington to that of good the gouvernance. From this point of view the role for the State is certainly rehabilitated, but according to a design minimalist and functionalist in order to reinforce the mechanisms of the market. It is an neo-institutional approach of the economic development which is privileged by the basic financial backers such as the World Bank. This context opens the way with the choice of new alternative organisational forms to traditional public management in the sector of domestic waste. The assessment of the first experiments of privatization of the public services in sub-Saharan Africa, put forward the conditions of the emergence of such reforms. Thus, the political feasibility of the reform proved to be determining impossible to circumvent. This one as well conditions the emergence of the reform, the organisational choice and the results of the reform according to a principle of interdependence between the institutional environment and the structure of gouvernance. This new grid of analysis of the reforms is anchored in the current of the néo-institutional analysis. This thesis shows that the question of the organisational choice in the sector of domestic waste does not escape this logic. We illustrate our matter starting from the case study of Dakar. By confronting the grid of analysis of the reforms according to sequences' of their attractivity, feasibility and credibility, we show that the reform engaged in Dakar in 1995 is contingent on a structure of gouvernance of particular hybrid form. If political dimension were at the origin of the reform, its effectiveness rests at the same time on the distribution of the redistributifs effects, the incentives of contractual arrangement and credible engagements of the parts in particular those of the public authorities
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Tchanou, Jean-Pierre. "Le pilotage stratégique des entreprises en Afrique subsaharienne, synthèse et considérations théoriques : un projet pour le Cameroun." Aix-Marseille 3, 1998. http://www.theses.fr/1998AIX32047.

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Abstract:
Le foisonnement des outils du management des entreprises permet aujourd'hui de piloter l'entreprise avec beaucoup plus de clairvoyance. Toutefois, il pose un probleme lorsqu'il s'agit d'integrer les differents modeles concus pour l'occident dans les pays de l'afrique subsaharienne. Ceci pour deux raisons principales : - ces modeles ne tiennent pas compte de l'environnement specifique de ces pays (nous entendons par environnement les hommes, les techniques, la politique, les mentalites, les cultures, etc. . . ). - les objectifs vises dans le cadre des societes occidentales ne sont pas toujours les memes que ceux des pays de l'afrique subsaharienne. Le concept mrt/mcx s'appuyant sur une approche systemique (vision globale) va nous permettre par leurs modes operatoires de redynamiser ces entreprises pour leur permettre de jouer leur role dans la sortie de crise qui est leur imperatif. Le schema de mise en oeuvre comme grille a suivre est une piste a notre avis interessante pour l'entreprise africaine
Proliferation of management's aids in firms today, allows to manage enterprise with a lot of clearsigted. However, it's a real problem when it's the matter of integrating this models think up for occidental society in the subsaharan african countries. And this for two main reasons : - these models don't take into account the specific environment of this countries. - subsaharan african countries and occidental society don't always follow the same aims. The concept mrt/mcs (management of technological ressources / complexity management) constitutes a way out for this specific environment
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ACHO, ADINGRA ARNAUD. "Les difficultés de gestion des entreprises publiques en Afrique : le cas de la Côte d'Ivoire." Toulouse 1, 1989. http://www.theses.fr/1989TOU10005.

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Abstract:
Apres plus de 20 ans d'interventionnisme etatique, et malgre d'incontestables succes, les entreprises publiques africaines et plus singulierement ivoiriennes ont enregistre de mauvaises performances et des resultats financiers desastreux. Aussi des mesures de reforme ont-elles ete adoptees a partir de 1980 en vue de favoriser l'efficacite economique des entreprises du secteur para-public ivoirien. Toutefois, si ces mesures de restructuration juridique et economique ont contribue a ameliorer les resultats economiques et financiers des entreprises publiques, il reste que des difficultes de gestion continuent de se poser. .
After twenty years of state interference, and in spite of unmistakeable successes, the african public entreprises, and more particulary in the ivory coast, showed poor performances and disastrous financial results. Therefore measures towards a reform have been adopted as early as 1980 to favour the economic efficiency of the entreprises of the ivorian para-public sector. Juridical and restructuration measures have led to the improvement of economic and financial results. Nevertheless a certain number of management problems have still to be solved
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N'tetani, Lucien. "Intervention publique, entreprise publique et développement économique : approches théorique et historique dans le cas de l'Afrique subsaharienne." Nice, 1998. http://www.theses.fr/1998NICE0011.

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Abstract:
La problematique de l'intervention publique dans le developpement et les nombreuses questions connexes sont au coeur des debats economiques actuels. Alors que cette intervention publique etait auparavant legitimee par un discours theorique s'appuyant fondamentalement sur les outils d'analyse de l'economie orthodoxe, nous assistons depuis quelques annees a plusieurs tentatives de reformulation de nombreuses hypotheses fondatrices du paradigme interventionniste et a une sorte de mea culpa des maitres theoriciens du developpement qui admettent aujourd'hui les vicissitudes d'une intervention excessive de l'etat dans la sphere economique. Si bien que l'orientation actuelle des debats theoriques sur le developpement est un bis repetita des querelles paradigmatiques qui ont marque pendant de nombreux annees la pensee economique sur le developpement. Ces debats procedent en derniere analyse du bilan mitige de deux a trois decennies de strategies de developpement par nature interventionnistes. Les approches developpementalistes, concues alternativement a partir des constructions theoriques de l'economie orthodoxe et des influences ideologiques inspirees du marxisme, sont de plus en plus remises en question. L'emergence d'une nouvelle maniere d'approcher les phenomenes economiques a partir des observations et de l'analyse micro-economiques a largement contribue au reexamen critique des modeles traditionnels de developpement. L'approche neo-institutionnelle, dans le sillage des travaux de d. North, s'inscrit dans cette perspective theorique du moment qu'elle s'attaque aux incoherences methodologiques sous-jacentes aux conceptions traditionnelles du developpement. L'objectif de notre reflexion dans cette these a ete d'apporter un eclairage dans ce domaine complexe de la science economique, ou les differentes propositions theoriques se completent, se recoupent ou s'opposent au gre des circonstances. Nous nous sommes particulierement interesse a l'entreprise publique en tant que modalite d'intervention publique. Les implications macro-economiques liees a son existence suffisent-elles a justifier et a legitimer les positions repressives des institutions financieres internationales a l'egard de l'etat-proprietaire? La privatisation de l'entreprise publique, telle qu'elle est envisagee, contraria contrariis curantur, constitue-t-elle une alternative efficace a la crise econo
The extend of state interference in developing countries and the numerous questions that surround it, lie at the heart of current economic debates. The economic development theory has seen sevaral attempts at reformulation over the past years. Today, development economics specialists point out negative implications of excessive state intervention in an economy. After two or three decades of observing the economies of developing notions many today increasingly question the development strategies of yester years which were conceived largely by theoritical orthodox foundations and ideology borrowed freely from marxism. The observation of developing economies from a microeconomic point of view has resulted in criticisms of traditionnel development models and given rise to alternatives ones. The new institutional approach, in a wake of d. North, bears testimony to this. The objective of our study is to bring a certain clarity to the complex area of economics where differents approaches oppose, compete, complement and co-exist. In this regard, we have been particularly interested in public enterprises as a means of state economic intervention. Two important question faces in today: does macroeconomic instability faced by developing countries sufficiently question the economique role of the state? Is privatization of public enterprises as envisaged by the financial institution the ideal solution to avert the economic crisis faced by nations of the subsaharian belt?
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Trigui, Samir. "Efficacité organisationnelle : étude théorique et approche empirique au niveau des entreprises publiques dans les pays africains." Nice, 1988. http://www.theses.fr/1988NICE0004.

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Dans l'incertitude et l'évaluation rapide et incessante caractérisant l'environnement des entreprises, le processus d'efficacite organisationnelle en tant qu' outil dynamique d'évaluation des énergies et des moyens mis en oeuvre au sein d'une entité économique dans le temps et dans l'espace, nous fournit une réponse et un moyen de contrôle du fonctionnement organisationnel interne de l'entreprise et nous permet aussi d'agir sur certains états d'évolution de l'environnement avec qui l'entreprise entretient des relations. Par la richesse des dimensions et des critères d'évaluation du dit processus, la firme d'une facon générale et l'entreprise publique africaine d'une manière particulière, peuvent améliorer leur gestion interne et externe en tenant compte de leur identité culturelle.
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Looky, Léni. "Propositions d'une gestion de type socio-économique pour l'amélioration des performances : cas du Togo et du Ghana." Lyon 3, 2005. http://www.theses.fr/2005LYO33001.

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Abstract:
Les changements environnementaux, les innovations techniques et les transformations internes obligent les entreprises africaines à s'adapter, à réduire leurs coûts, à développer les compétences des acteurs internes et à maîtriser la gestion de leur structure. Cette recherche sur les P. M. E. D'Afrique subsaharienne présente une démarche d'analyse socio-économique au sein de deux P. M. E. Du Togo et du Ghana. Ces P. M. E. Ont souhaité changer leur organisation de travail pour mettre en place un système plus formalisé et plus structuré. Pour cela, il n'existe pas de règles universelles de gestion. Cependant, il existe des règles de gestion adaptables et pouvant convenir aux P. M. E. Elles ont également conscience qu'une modernisation superficielle ne saurait suffire et que de multiples remises en cause sont nécessaires, compte tenu d'habitudes bien ancrées. Gardons présent à l'esprit simultanément, qu'elles tiennent (légitimement) à leur identité et à leur culture. Cette attitude n'est pas contradictoire si elle n'entrave pas le développement des P. M. E. Plusieurs de nos observations nous amènent à affirmer que la réussite d'une P. M. E. D'Afrique subsaharienne dépend de plusieurs facteurs économiques et sociaux ainsi que la dimension humaine. Aussi, l'implication des P. M. E. Pour leur développement dépend : des méthodes outillées et assimilées, - de bonnes relations entre les acteurs, - d'une attitude confiante et détendue, - l'abandon concerté et progressif de certaines pratiques (oralité excessive par exemple)… On arrive ainsi à créer une atmosphère professionnelle dans laquelle règne plus de confiance. Dès lors, devant ces constats, il devient indispensable de repenser les méthodes de gestion et de management de type strictement autoritaire, afin d'y substituer une nouvelle conception incluant la participation du personnel, qui constitue le moyen et la finalité de l'exigence du développement. Les résultats de cette expérimentation au sein de P. M. E. Du Togo et du Ghana démontrent que pour maîtriser leur gestion, les P. M. E. Africaines ont besoin non plus uniquement de moyens techniques, mais également d'une organisation plus formalisée quoique, contextualisée qui permette d'assurer durablement leur capacité de gestion avec une certaine autonomie. La démarche d'innovation socio-économique retenue dans le cadre de notre expérimentation durant quatre années se veut être un support méthodologique pour les académiciens, les patriciens et les acteurs d'entreprise.
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Books on the topic "Entreprises publiques – Gestion – Afrique subsaharienne"

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Jean Du Bois de Gaudusson. Le statut des entreprises publiques est-il un frein à leur efficacité économique?: Réflexions sur l'évolution des statuts des entreprises publiques en Afrique subsaharienne de succession française. Centre d'étude d'Afrique noire, Institut d'études politiques de Bordeaux, 1987.

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Communication d'entreprise en Afrique: Quels enjeux? L'Harmattan, 2005.

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