Academic literature on the topic 'Et la Parrēsia (Le mot grec)'

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Journal articles on the topic "Et la Parrēsia (Le mot grec)"

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Borea, Marco. "Longueur du mot et déficit accentuel: le cas de la clausule du trimètre et du choliambe." Rhythmica. Revista Española de Métrica Comparada, no. 16 (February 20, 2019): 11. http://dx.doi.org/10.5944/rhythmica.23921.

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Abstract:
Les mots longs sont rares à la clausule dutrimètre iambique grec. Leur longueur compense en quelquesorte le déficit accentuel qu’ils entraînent. Le choliambe,quant à lui, s’écarte de cette tendance et affectionne untype prosodique précis, le trisyllabe, en le dotant d’unepolymorphie accentuelle remarquable.Longs words seldom occur in the clausula ofthe iambic trimeter. Word length is offset by the accentualdeficiency they bring about. The choliambus, though, quitediverges from this tendency and show a preference for aspecific prosodic type, the trisyllable, which it provides witha relevant accentual polymorphism.
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Aslanoff, Cyril. "Emprunt enthousiaste et emprunt réticent : essai de typologie de différentes attitudes devant l'emprunt lexical à travers l'exemple du grec et du japonais." Meta 40, no. 4 (September 30, 2002): 540–47. http://dx.doi.org/10.7202/001909ar.

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Abstract:
Résumé Depuis toujours les langues ont emprunté des lexèmes les unes aux autres, mais les modalités de ces emprunts varient considérablement selon les cas : tantôt l'emprunt lexical s'intègre dans un processus plus global comportant également l'adoption d'un système d'écriture, tantôt il se réduit à l'adoption du mot et de la réalité qu'il désigne. À travers l'exemple du grec et du japonais, nous nous efforcerons de caractériser les liens qui unissent l'adoption d'un système d'écriture à la pénétration d'éléments lexicaux provenant de la langue à laquelle le système d'écriture est emprunté
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3

Bellemare, Pierre. "Symbole : fondements anthropobiologiques de la doctrine aristotélicienne du langage." Articles 9, no. 2 (January 9, 2007): 265–79. http://dx.doi.org/10.7202/203195ar.

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Abstract:
Résumé En De Interpretatione 16a 4-6, Aristote écrit que « ce qui est dans la voix est symbole des affections qui sont dans l'âme. » Ce terme de « symbole » n'est pas aussi clair qu'il le paraît d'abord, ainsi que le montre une analyse de l'usage qu'Aristote en fait dans ce passage et dans d'autres textes (De Int. 16a 28; Réfutations Sophistiques 1, 165 a 8; De Sensu 1, 437 a 15). En confrontant ces textes et en tenant compte de l'histoire du mot « σύμβoλoν » dans le grec antérieur et contemporain d'Aristote, il est possible de reconstituer les éléments d'une doctrine aristotélicienne du langage et de lier cette doctrine d'Aristote à ses préoccupations de biologiste et à sa compréhension de la structure du temps.
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Colón Domènech, Germà. "Fonètica històrica versus història lèxica. El cas de "saloma" < kéleusma `cant dels mariners." Anuario de Estudios Medievales 24, no. 1 (April 2, 2020): 625. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1994.v24.994.

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Abstract:
Le mot grec kéleusma "chant des mariniers" est passé en ltalie sous plusieurs formes: celoma, scialoma etc. Elles sont attestées depuis le XIVe siècle, et toutes ont une consonne initiale palatale. Le catalan saloma et le verbe correspondant salomar (1436) ne sont vraisemblablement pas autochto­nes, mais pris de l'italien. La question se pose surtout pour l'espagnol çaloma (fin du XVIe siècle; plus tard zaloma): du point de vue phonetique il ne peut pas s'agir pour ce dernier d'un emprunt direct de l'italien, ni même du catalan. Cependant, l'histoire lexicale des termes hispaniques (cat. saloma, esp. et portg. zaloma) contredirait ce que les "lois phonetiques" exigent: pour ces mots nautiques, soumis aux avatars de la "lingua franca", on ne devrait pas faire jouer une stricte rigueur linguistique. A en juger par les attestations recueillies, le point de départ vers l'espagnol serait la Catalogne. Néanmoins l’exposition des données philologiques objectives tirées d'une abondante documentation écrite et dialectale permet d'étaler la complexité du problème.
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Trifunovic, Djordje. "Areopagitova simvolika covecjeg tela u prevodu inoka Isaije." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 45 (2008): 243–51. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0845243t.

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Abstract:
(francuski) Isaija, moine serbe ?rudit, ermite et r?novateur de plusieurs monast?res du Mont Athos, a ach?ve, peu de temps ?pres la bataille de la Maritza (1371), la traduction du grec en ancien serbe, de tous les ?crits du Pseudo-Denys Ar?opagite (Corpus Areopagiticum). Outre le texte principal de l'Ar?opagite, il a ?galement traduit toutes les interpr?tations et scholies de Maxime le Confesseur. Ce travail d'Isaija a tr?s rapidement connu une forte diffusion parmi les Slaves orthodoxes. En attestent plus de soixante-dix copies, de r?daction serbe, russe ou bulgare, aujourd'hui conserv?es. Parmi celles-ci la plus ancienne est celle conserv?e dans la Biblioth?que nationale de Russie a Saint-P?tersbourg (collection A.F. Hilferding, n? 46), avec ses filigranes de 1370-1371. Un groupe de slavistes de Berlin et de Saint-P?tersbourg ont entrepris, il y a de cela d?j? une dizaine d'ann?es, la pr?paration en commun de la publication de ce manuscrit. Celle-ci devrait voir le jour sous forme de cinq tomes. Ce groupe de chercheurs consid?re, entre autre, que le manuscrit de la collection de Hilferding est un texte autographe du moine Isaija. Toutefois, d?j? en 1980 l'auteur de ce travail a montre dans son ouvrage consacre au moine Isaija que ce manuscrit ne saurait ?tre autographe, pour la raison qu'on y reconna?t deux ?critures. Il est bien sur toujours possible que l'une d'elles soit d'Isaija. En tout ?tat de cause, ce dilemme sera r?solu lorsque para?tront les photocopies de l'ensemble du manuscrit qui compte 329 feuilles. Le principe suivi par Isaija dans son activit? de traducteur ?tait qu'il fallait donner une traduction la plus fid?le possible, c'est-a-dire mot a mot, en rendant chaque morph?me, etc., raison expliquant la difficult? de comprendre aujourd'hui le texte d'Isaija. A titre d'exemple, nous reproduisons dans ce travail un article de l'essai intitule Sur la hi?rarchie c?leste (XV, ? 3). Cet essai est accompagne d'un lexique serbe-slave - grec, puis de sa traduction en serbe moderne.
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Radó, Győrgy. "A Proposal in the Field of Bible Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 38, no. 4 (January 1, 1992): 236–40. http://dx.doi.org/10.1075/babel.38.4.06rad.

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Abstract:
Une proposition, concernant la traduction de la Bible Est-ce qu'une traduction, acceptée valable à travers de longs siècles, peut-elle, doit-elle être révisée? Question théorique, ma réponse est: Oui. La traduction des textes hébreux et grecs de la Bible en Latin, faite en 400 apr. J.-C. par St. Jérome a servi comme texte source des traductions en beaucoup de langues modernes, néanmoins des traducteurs contemporains greffent sur les originaux. Par ex. le texte moderne "J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger" (Jean 10,16) contient deux mots différents, "bergerie" et "troupeau", comme le grec "aoulé" et "poimné", tandis que Jérome n'y use que le seul "ovile", ce qui change le sens de la phrase. Je propose que le mot Logos (Jean 1,1: ...kai Theos én ho Logos) qui est polysémique (voir: logomachie = querelle sur les mots; logique = science des normes de la vérité), traduit jadis avec Verbe ou Parole à juste titre, devrait être traduit aujourd'hui par Loi: correspond à la mentalité de l'homme moderne. Au commencement était la Loi, et la Loi était avec Dieu, et la Loi était Dieu.
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Goutsos, Dionysis. "Translation in Bilingual Lexicography." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, no. 2 (August 20, 1999): 107–26. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.2.02gou.

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Abstract:
Abstract Greek bilingual dictionaries have long been marked by lack of naturalness and inadequate semantic and stylistic discrimination between the various equivalents suggested in translation. Although this is a general problem of bilingual dictionaries, which necessarily deal with decontextualized instances of language in the construction of the lemma, translationese is common in English-Greek dictionaries as a result of the idiosyncratic history of Greek applied linguistic practice. The paper discusses issues of translation equivalence that came into view in the editing of the new Collins English-Greek Dictionary (1997). Specific problems relating to the translation from English to Greek are pointed out, with reference to the areas of lexical, grammatical and discourse equivalence. In particular, the occurrence of 'false friends' and register couplets, the categories of definiteness, countability and verb aspect and the varying Theme-Rheme structures constitute points of divergence between the two languages. The word-for-word translation of these linguistic aspects is mainly accountable for the lack of naturalness. Dictionary editing involves a multitude of detailed decisions along these parameters, which shape the lemmas and influence the quality of the final text. The help from both English and Greek corpora has been indispensable at defining the parameters of naturalness for each lemma and at solving problems specific to Greek bilingual lexicography. Résumé Les dictionnaires bilingues grecs ont été longtemps marqués par un manque de naturel, par une discrimination sémantique et stylistique inadéquate entre les différentes équivalences suggérées dans la traduction. Bien qu'il s'agisse d'un problème général propre aux dictionnaires bilingues, qui, nécessairement se fondent sur des exemples hors de leur contexte linguistique lors de la construction du vocable, des traductions trop influencées par la langue de sortie sont communes dans les dictionnaires anglais-grec à la suite de l'histoire idiosyncratique de la pratique de la linguistique appliquée grecque. L'article se penche sur les problèmes de l'équivalence traductionelle lors de la rédaction du nouveau dictionnaire anglais-grec (Collins - 1997). Des problèmes spécifiques relatifs à la traduction de la langue anglaise à la langue grecque sont mis en évidence relativement aux domaines de l'équivalence lexicologique, grammaticale et du discours. Plus spécialement, l'émergence de "faux amis" et de couples dans le registre, les catégories de précision, la comptabilité des substantifs et l'aspect des verbes ainsi que les structures variables thème-rhème constituent des points de divergence entre les deux langues. La traduction mot-à-mot de ces aspects linguistiques est surtout due au manque de naturel. La rédaction de dictionnaires implique une multitude de décisions détaillés suivant ces paramètres, qui régissent les vocables et influencent la qualité du texte final. L'aide des corpus anglais et grecs a été indispensable lors de la définition des paramètres du naturel pour chaque vocable et lors de la solution des problèmes spécifiques à la lexicographie bilingue grecque.
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Dzelebdzic, Dejan. "Jedan zanemareni aspekt simbolike jabuke u vizantijskoj knjizevnosti - povodom Vita Basilii, 4. 14-20." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 123–32. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441123d.

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Abstract:
(francuski) Cet article s'int?resse ? la signification symbolique de la pomme dans deux l?gendes byzantines. La premi?re de ces l?gendes relate la rencontre entre le khan bulgare Omourtag et le jeune Basile (Vita Basilii, 4. 14-20), lorsque le khan offre au jeune gar?on une pomme, ce qui a ?t? interpr?t? comme un signe annon?ant que cet enfant deviendrait plus tard empereur. La seconde a trait au choix de l'?pouse de l'empereur Th?ophile d'apr?s la version qu'en offre la vie de Theodora (??oz Theod?raz, 3. 6-46), en vertu de laquelle il est possible de conclure que dans cette histoire la pomme symbolise non seulement une offre de mariage (comme il est possible d'en conclure d'apr?s une seconde version conserv?e chez les chroniqueurs byzantins), mais aussi la transmission de l'autorit? imp?riale ? la future imp?ratrice. En se fondant sur ces deux l?gendes il est possible d'?tablir que dans la tradition byzantine la pomme ?tait, entre autre, per?ue comme un symbole de l'autorit? imp?riale, et ce nonobstant la raret? des t?moignages attestant une telle perception. Cette symbolique est confirm?e par une pr?diction turque dans laquelle il est dit que la pomme rouge repr?sente ?une grande ville imp?riale bien rempar?e?, ce qui se rapporte avant tout, vraisemblablement, ? Constantinople, ainsi que par un r?cit populaire serbe, dans lequel le nouvel empereur est choisi en jetant une pomme en l'air, l'?lu ?tant celui sur laquelle la pomme retombe. La l?gende tir?e de Vita Basilii peut ?tre mise en relation avec l'histoire d'H?rodote sur la fondation de la dynastie mac?donienne des Arg?ades par Perdiccas (Herodotus 8. 137-139). Il existe en effet de nombreuses ressemblances entre ces deux histoires: 1) Perdiccas tout comme Basile se sont retrouv?s, alors qu'ils ?taient encore enfants, dans un pays ?tranger 2) Tous deux, ? la veille de quitter ce pays, ont re?u du souverain un cadeau (plus pr?cis?ment un salaire dans l'histoire d'H?rodote) 3) Ce geste a ?t? compris par les entourages des souverains respectifs comme un pr?sage que ces enfants deviendraient plus tard eux m?me souverains, alors que les souverains, eux-m?me, n'en ?taient pas conscients. La seule diff?rence r?side dans la nature des cadeaux, Perdiccas ayant re?u un soleil d'apr?s le r?cit d'H?rodote. Toutefois, certaines sources venant confirmer que la pomme pouvait avoir une symbolique solaire, vraisemblablement en raison de sa couleur (or ou rouge) et de sa forme (chez Jean le G?om?tre, v. Progymnasmata, 23. 3-7 et Eustathe de Thessalonique, v. Opuscula, ?d. Tafel, 308, 19-22), il est permis de supposer que cette substitution n'a rien de fortuit. Dans la seconde partie de cet article l'auteur constate qu'approximativement ? la m?me ?poque o? ont ?t? enregistr?es ces deux l?gendes byzantines, certains ?crivains byzantins (de la seconde moiti? du dixi?me si?cle) commencent ? utiliser le mot m?lon au lieu du mot spha?ra ou p?loz, jusqu'alors usuels, afin de d?signer le globe tenu en main par les repr?sentations d'empereurs byzantins, qui, comme l'attestent de nombreuses sources byzantines, symbolise le pouvoir de l'empereur byzantin sur l'ensemble de l'oecum?n?e. L'auteur constate toutefois, malgr? cette co?ncidence chronologique, que l'existence d'un lien entre les l?gendes ?voqu?es ci-dessus et ce ph?nom?ne philologique est peu probable, compte tenu qu'en grec, et non seulement en grec, toute forme sph?rique peut ?tre appel?e pomme. Finalement, l'auteur rel?ve plusieurs cas de transfert de ce ph?nom?ne philologique dans d'autres langues. Certaines raisons permettent ainsi de penser que l'emploi du mot pomme pour d?signer le globus cruciger en latin a ?t? repris du grec. Il en est de m?me, et ce avec une plus grande certitude, pour le russe. En l'occurrence lorsque trois p?lerins russes (St?phane de Novgorod, un Anonyme et Zosime) ont visit? Constantinople au cours de la seconde moiti? du XIVe et au d?but du XVe si?cle, ils ont appel? pomme le globe tenu en main par la statue ?questre de Justinien, ce qui signifie qu'ils ont vraisemblablement repris ici le terme employ? par les guides constantinopolitains qui se tenaient ? leur disposition.
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ALEKNIENĖ, Tatjana. "FILONAS ALEKSANDRIETIS IR PLOTINAS: „MISTINĖS EKSTAZĖS“ SĄVOKOS KILMĖS KLAUSIMAS." Religija ir kultūra 3 (January 1, 2006): 7–36. http://dx.doi.org/10.15388/relig.2006.0.2806.

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Abstract:
Šiuo tyrimu siekėme atgaivinti praeito amžiaus pirmoje pusėje vykusį ginčą apie Plotino Tr. 9 pabaigoje (c. 11, 22–26, kur kalbama apie nenusakomą šventovės lankytojo suartėjimo su Dievybe patirtį) iškylančios ÆkstasiV sąvokos santykį su ankstesne šio žodžio vartosena Filono Aleksandriečio raštuose, visų pirma veikale Kas yra dieviškųjų turtų paveldėtojas (Quis rerum divinarum heres sit) 249 sqq, kur, aiškindamas Pradžios knygos 15, 12 graikiško Septuagintos teksto žodžius, – „Saulei leidžiantis Abraomą apėmė ekstazė“, Filonas išskiria, apibrėžia ir Rašto pavyzdžiais iliustruoja keturias skirtingas daiktavardžio ÆkstasiV ir jam giminingo veiksmažodžio æx%stamai reikšmes. Parodėme, kad Filono aptarimas, viena vertus, seka Platono Faidre 244 a sqq pateikta „šėlo“, man%a, rūšių „klasifikacija“, tuo apibrėždamas savo ryšį su platonizmo tradicija, bet, kita vertus, – aiškinamam Pradžios knygos tekstui ir žydų tikėjimui įkandin – artimiausios bendrystės su Dievu patirtį priskiria „Dievo pagautiems“ ir „ekstazės“ apimtiems pranašams. Tokiu būdu būtent šio Rašto aiškintojo veikale daiktavardis ÆkstasiV ne tik ima reikšti dieviškosios „pagavos“ būseną, bet ir iškyla kaip sąvoka, tinkama nusakyti įprastà mąstymo kalbà neišreiškiamą suartėjimo su Dievu patirtį. Aptartas ÆkstasiV sąvokos prasminės raidos atvejis tėra vienas ryškesnis pavyzdys, rodantis, kad Rašto pasakojimas apie žydų tautos patriarchų bendravimo su Dievu istoriją išradingam Mozės mokiniui suteikia gausios medžiagos egzegetiniam platoninės filosofijos minčių taikymui ir plėtojimui. Kartais Filonas jam patrauklias filosofines mintis su aptariamo teksto vaizdais ir sąvokomis sujungia taip originaliai ir sėkmingai, kad tokios jo egzegetinės sintezės vaisiai, atrodo, tampa neįtikėtinai populiarūs.Pagrindiniai žodžiai: Filonas Aleksandrietis, Plotinas, Platonas, „mistinė ekstazė“, egzegezė, SeptuagintaLA NOTION DE L”EXTASE MYSTIQUE” cheZ PHILON D’ALEXANDRIE ET PLOTINTatjana AleknienėRésuméDans cet article nous revenons à la question vivement discutée pendant la première moitié du siècle passé, qui portait sur l’origine de la notion de « l’extase mystique » et établissait un rapport entre la partie finale du Tr. 9 de Plotin (c. 11, 22–26, à propos de l’ ÆkstasiV éprouvée dans le sanctuaire) et l’oeuvre de Philon d’Alexandrie, notamment le Quis rerum divinarum heres sit 249 sqq. Dans ce dernier ouvrage Philon commente un verset de la Genèse 15, 12, où il s’agit d’une ÆkstasiV qui tomba sur Abraham. A ce propos Philon distingue, explique et illustre par les exemples tirés des Ecritures quatre significations du mot ÆkstasiV. Notre étude a montré que, bien que la classification de Philon suit l’exemple de celle des quatre espèces de la « folie », man%a, proposée dans le Phèdre de Platon (244 a sqq), elle assigne une place la plus élevée à l’état de la possession prophétique. Cela est du à la prestige de la figure des prophètes dans l’Ecriture et dans la religion juive, où leur inspiration extatique est tenue pour l’expérience la plus parfaite du contact avec Dieu. Ainsi le mot grec ÆkstasiV non seulement commence à designer la „possession“ divine, mais peut être considéré, depuis Philon, comme une notion qui convient bien pour évoquer l’état de l’approche divine, qui dépasse toute capacité rationnelle. D’une façon générale, le cas du développement de la signification du mot ÆkstasiV dans le texte de Philon peut servir d’un bon exemple pour montrer, comment le récit de l’histoire des relations des patriarches du peuple juif avec leur Dieu, le récit qui est extrêmement riche en notions spatiales et « cinétiques » (telle est aussi le sens étymologique du mot ÆkstasiV), offre pour un exégète diligent des innombrables occasions pour appliquer et développer les notions platoniciennes.Mot–clef: Philon d’Alexandrie, Plotin, Platon, « extase mystique », exégèse, Septante.
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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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Abstract:
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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Dissertations / Theses on the topic "Et la Parrēsia (Le mot grec)"

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Hébert, Philippe G. "Le parrèsiaste chez Foucault." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/28064/28064.pdf.

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2

Casevitz, Michel. "Le Vocabulaire de la colonisation en grec ancien : étude lexicologique, les familles de ktizō et de oikeō--oikizō /." Paris : Klincksieck, 1985. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36146528d.

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3

Descat, Raymond. "L'Acte et l'effort : une idéologie du travail en Grèce ancienne : 8e-5e siècle av. J.-C. /." Besançon : Lille : Centre de recherche d'histoire ancienne ; Atelier national de reproduction des thèses, 1986. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb366197712.

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4

Naddaf, Gérard. "L'origine et l'évolution du concept grec de "phusis" /." Lewiston (N.Y.) ; Queenston (Ont. : Lampeter (GB) : Canada) ; E. Mellen Press, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37061859p.

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5

Ney, Hugues-Olivier. "Techné et Mimésis dans le livre II de la "République" de Platon." Aix-Marseille 1, 2002. http://www.theses.fr/2002AIX10007.

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6

Trédé-Boulmer, Monique. "Kairos : l'à-propos et l'occasion : le mot et la notion, d'Homère à la fin du IVe siècle." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1986PA040290.

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Abstract:
D'Homère à Aristote, le mot et la notion ont connu une évolution complexe. Chez Homère, l'adjectif kairios qualifie un point névralgique du corps dont la blessure peut entrainer la mort. Kairos a d'abord dû désigner un point décisif, défini spatialement puis temporellement, point qui apparait d'emblée comme ambivalent, fatal ou favorable. A l'époque archaïque, chez Hésiode et Pindare, le kairos de l'à-propos est une notion éthique; Pindare en dégage la valeur esthétique en faisant du kairos le principe de sa poétique. Avec le développement des "arts" (technai), la pensée du Ve siècle, confiante dans les pouvoirs de la raison, médite sur le kairos, point d'application du savoir à un monde sans cesse mouvant. Médecine, rhétorique, stratégie et politique cherchent à établir des règles permettant de saisir le kairos, clé du succès. Dans la collection hippocratique le kairos définit un art de la mesure et un art du temps. La notion n'a qu'un rôle restreint chez Hérodote mais occupe une place centrale chez Thucydide : l'histoire de la guerre ou Péloponnèse devient largement une histoire des "occasions" reconnues ou manquées. Au IVe siècle cet optimisme intellectuel s'estompe; Eschine et Démosthène s'opposent sur le rôle du kairos en politique. Dans le domaine de l'art oratoire, Protagoras et Gorgias découvrent la valeur du kairos et de l'eikos (le vraisemblable). A la génération suivante, Alcidamas et Isocrate donnent chacun leur définition du kairos : pour l'un il se confond avec l'art d'improviser; pour l'autre avec l'art du discours écrit qui rivalise alors avec la poésie. . .
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7

Voga-Redlinger, Madeleine. "Codage morphologique et phonologique du mot Ecrit : recherches bilingues et monolingues." Aix-Marseille 1, 2003. http://www.theses.fr/2003AIX10082.

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Abstract:
Ce travail s'adresse aux questions essentielles de la spécification et de l'accès au lexique mental en utilisant le grec, langue peu étudiée en tant que paradigme expérimental. En tirant profit de sa riche morphologie, le rôle des facteurs formels dans l'amorçage morphologique est examiné dans le domaine monolingue. Les variations orthographiques des phonèmes sont aussi exploitées pour évaluer la vitesse relative des informations orthographique et phonologique dans le contact initial avec le lexique mental. Dans le domaine bilingue grec-français, sont élaborées des expériences relatives aux cognates et aux changements de code, s'appuyant sur l'existence de l'indice orthographique fourni par la différence des alphabets. Les résultats valident la vue unifiée du lexique bilingue issue des modèles d'activation interactive où l'indice orthographique est utilisé quand cela est possible ; la primauté du code orthographique : l'existence d'un niveau morphologique explicite.
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8

Nicolas, Loïc Denis Delphine. "La force de la doxa : rhétorique de la décision et de la délibération /." Paris ; Budapest ; Kinshasa [etc.] : l'Harmattan, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40974739d.

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9

Salce, Jacques. "Raison contradictoire et psychologie générale." Dijon, 1999. http://www.theses.fr/1999DIJOL021.

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Abstract:
L'objet de notre thèse est le suivant : nous nous efforçons de réintégrer dans la philosophie ce que nous pensons être le problème central et fondamental de la psychologie : celui de la psyché. Nous formulons une hypothèse sur la nature et l'origine de la psyché. Pour cela nous utilisons la "logique des antagonismes". Alias " raison contradictoire" de Stéphane Lupasco. Ainsi que la physique quanti- que. En insistant sur les travaux de Roger Penrose. C'est le thème de notre volume 1, intitulé : "la psyché, des quanta au cosmos. " En deuxième lieu, nous nous interrogeons sur la production majeure de la psyché qu'est le moi, source de la rationalité. De la souveraineté. Et de la liberté de l'individu. Nous privilégions ici les travaux de Freud, Mélanie Klein. Jung. Winnicot. Et autres auteurs qui ont examiné le problème. C'est le thème du volume 2 de notre thèse. Intitulé : prolégomènes à une ontologie du moi. Normal et pathologique.
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10

Guérin, Charles Chiron Pierre Lévy Carlos. "L'élaboration de la notion rhétorique de "persona" au Ier siècle av. J.-C. antécédents grecs et enjeux cicéroniens /." Créteil : Université de Paris-Val-de-Marne, 2007. http://doxa.scd.univ-paris12.fr:8080/theses-npd/th0253520.pdf.

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More sources

Books on the topic "Et la Parrēsia (Le mot grec)"

1

Philodemus. On frank criticism. Atlanta, Ga: Scholars Press, 1998.

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The concept of disciple in Matthew's Gospel: As reflected in the use of the term [Mathētḗs]. Leiden, the Netherlands: E.J. Brill, 1988.

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3

Sōma in biblical theology: With emphasis on Pauline anthropology. Grand Rapids, MI: Academie Books, 1987.

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4

Homer and the sacred city. Ithaca: Cornell University Press, 1990.

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5

Scully, Stephen. Homer and the sacred city. Ithaca: Cornell University Press, 1990.

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6

Salvaterra, A. Le mot et l'idée. Grec moderne. Ophrys, 2000.

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7

1948-, Fitzgerald John T., ed. Friendship, flattery, and frankness of speech: Studies on friendship in the New Testament world. Leiden: E.J. Brill, 1996.

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8

Jesus and `This Generation': A New Testament Study (Coniectanea Biblica New Testament Series, 25) (Coniectanea Biblica New Testament Series, 25). Coronet Books, 1996.

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