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Journal articles on the topic 'Français (Langue) – Canada – Idiotismes'

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Cordier-Gauthier, Corinne. "Le français langue seconde au Canada." Tréma, no. 7 (June 1, 1995): 27–37. http://dx.doi.org/10.4000/trema.2175.

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Rius Dalmau, María I. "Enseigner et apprendre les unités parémiologiques d’une langue étrangère: du XIXe siècle à nos jours." Çédille 10 (April 1, 2014): 333. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v10i.5567.

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Abstract:
Nous visons ici une étude de certains manuels pour l’enseignement du français langue étrangère parus en Espagne au long du XIXe siècle contenant une partie consacrée aux dictons, idiotismes et proverbes. Nous nous demandons quel est le rôle de ces d’outils du point de vue de la motivation de l’élève face à l’acquisition de la nouvelle langue et quelle a été leur efficacité du point de vue didactique. Certes, la psychologie populaire a un poids remarquable dans l’enseignent en général et un particulier dans celui des langues. L’univers de croyances a joué dès jadis son rôle. En plus, à nos jours, l’interculturalité et la diversité créent chez les apprenants d’une nouvelle langue des identités complexes et mouvantes. Alors, l’apprentissage des langues-cultures se fonde sur la reliance afin d’arriver à accepter des identités multiples ainsi que de pouvoir profiter les résultats atteints au long de l’histoire.
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Beaudoin, Gérald-A. "La protection de la langue française au Canada." Informations et documents 19, no. 2 (April 12, 2019): 479–92. http://dx.doi.org/10.7202/1059150ar.

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Abstract:
À Québec, en 1608, Samuel de Champlain jeta les bases de la Nouvelle-France. Pendant un siècle et demi, on entendit le doux parler de France, depuis les eaux de Gaspé jusqu’à la Nouvelle-Orléans. La défaite de Montcalm, en 1759, mit fin à l’Empire français en Amérique. Contre vents et marées, les Québécois et les Acadiens restèrent fidèles à la langue de leurs pères. En 1867, la constitution canadienne assura à la langue française, au Québec et à Ottawa, une protection constitutionnelle. La Loi constitutionnelle de 1982 fit de même pour les Acadiens au Nouveau-Brunswick. À sa naissance, en 1870, le Manitoba était bilingue, mais une loi de 1890 écarta l’officialité du français. Grâce à la Cour suprême du Canada, qui contrôle la constitutionnalité des lois, le statut officiel du français fut reconnu pour le Manitoba, en 1979, et pour la Saskatchewan, le 25 février 1988. La situation en Alberta est analogue. La langue française jouit donc d’une protection tantôt constitutionnelle, tantôt juridique, au niveau de la fédération et dans cinq des dix provinces canadiennes.
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Chevalier, Gisèle. "Les français du Canada : faits linguistiques, faits de langue." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 1, no. 1 (July 23, 2008): 80–97. http://dx.doi.org/10.29173/af4139.

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5

Corbeil, Jean-Pierre, and René Houle. "Les transferts linguistiques chez les adultes allophones de la région métropolitaine de Montréal : une approche longitudinale." Articles 43, no. 1 (June 4, 2014): 5–34. http://dx.doi.org/10.7202/1025489ar.

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Abstract:
Cet article utilise une approche longitudinale pour étudier les transferts linguistiques vers le français et vers l’anglais des personnes de langue maternelle tierce (allophones) vivant dans la région métropolitaine de recensement de Montréal. L’analyse porte sur des données recueillies dans le cadre de l’Enquête sur la vitalité des minorités de langue officielle (EVMLO) menée par Statistique Canada à l’automne 2006, peu après le recensement. Cette enquête a permis de recueillir de l’information rétrospective sur le moment (l’âge) et le lieu (au Canada, hors du Canada) où a eu lieu l’adoption du français ou de l’anglais comme principale langue d’usage à la maison. Les transferts linguistiques sont analysés pour deux sous-groupes : les allophones nés au Canada et ceux ayant immigré au Canada. Nous examinons les taux de transferts selon quelques variables de base comme l’âge, la durée de résidence au Canada et le temps (période). Cet article montre que le moment, l’intensité et la direction (vers le français ou l’anglais) des taux de transferts varient de façon notable entre ces deux groupes.
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Castonguay, Charles. "La cassure linguistique et identitaire du Canada français." Recherche 46, no. 3 (August 14, 2006): 473–94. http://dx.doi.org/10.7202/012474ar.

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Abstract:
Depuis la dislocation du Canada français dans les années 1960, une divergence se creuse entre ses éléments. Alors que la vitalité du français, langue principale à la maison, se renforce au Québec et au Nouveau-Brunswick, elle s’affaiblit ailleurs au Canada. De même, elle progresse à Montréal, Moncton et Gatineau mais recule à Toronto, Sudbury et Ottawa. Les données inédites du recensement de 2001 touchant les langues secondaires au foyer indiquent en outre que le comportement bilingue est le plus souvent de nature additive parmi les francophones du Québec et du Nouveau-Brunswick, tandis qu’il joue le rôle d’étape transitoire vers l’anglicisation dans les autres provinces. En parallèle avec la cassure en matière de comportement linguistique, il s’est développé une divergence identitaire : au contraire des jeunes de langue maternelle française du Québec et du Nouveau-Brunswick, ceux de l’Ontario et des autres provinces s’identifient comme bilingues plutôt que francophones.
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7

Bernard, Roger. "Langue maternelle et langue d’usage dans les foyers mixtes francophones : les enjeux de l’exogamie." Cahiers Charlevoix 1 (April 12, 2017): 241–89. http://dx.doi.org/10.7202/1039464ar.

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Abstract:
La dilution de l’identité est aussi à l’ordre du jour des travaux du sociologue Roger Bernard de l’Université d’Ottawa. La minorisation de l’élément canadien-français, passé du village à la ville, a favorisé, outre la bilinguisation et l’anglicisation, l’exogamie dont les enjeux linguistiques révèlent une situation inquiétante : même à la maison, l’auteur enregistre la très nette force d’attraction de l’anglais comme langue d’usage dans les foyers mixtes composés d’un parent francophone et de son conjoint anglophone et, fait remarquable qui bouscule le concept même de langue maternelle, la mère francophone ne réussit pas mieux que le père francophone à transmettre le français dans ce contexte. Ces recherches débordent le cadre de l’Ontario et ont des retombées sur tout le Canada français.
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Remysen, Wim, and Louis Mercier. "Les prêtres et religieux du Canada français observateurs de la langue et collecteurs de mots." Domaines d'action I (Canada français), no. 24-25-26 (October 31, 2013): 226–57. http://dx.doi.org/10.7202/1019136ar.

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Abstract:
Cet article porte sur les principales figures religieuses qui ont marqué l’histoire du Canada français par leurs contributions linguistiques, en particulier dans le domaine du lexique. Nous nous concentrons plus précisément sur la période qui va du milieu du xixe siècle jusqu’aux années 1960, période pendant laquelle plusieurs religieux se sont engagés dans la rédaction de répertoires lexicographiques et de chroniques de langage, notamment sous le patronage de la Société du parler français. Nous cherchons à dégager les diverses positions que ces religieux ont adoptées à l’égard du français canadien et plus particulièrement à l’égard de la langue populaire et de ses particularismes. Nous voyons par exemple que certains d’entre eux ont privilégié l’approche corrective de façon à réduire l’écart qui séparait l’usage canadien du français européen ou académique, alors que d’autres, dans la foulée du mouvement régionaliste français, ont mis l’accent sur la description des particularismes canadiens et la recherche historique de leurs origines (anciennes ou régionales), ouvrant la voie aux premières études objectives de la langue populaire des Canadiens français.
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9

Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Abstract:
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Bowker, Lynne. "Repérage et analyse de l’information sur la santé dans Internet : le cas des CLOSM dans la province de l’Alberta." Francophonies d'Amérique, no. 28 (November 29, 2010): 175–95. http://dx.doi.org/10.7202/044988ar.

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Abstract:
La présente étude examine, dans le contexte des langues officielles, quelques-uns des besoins insatisfaits des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) au Canada sur le plan de la santé. Nous présentons les résultats d’une analyse de l’information sur la santé offerte dans Internet aux francophones de l’Alberta. Nous avons procédé à une évaluation comparative de l’information sur la santé destinée à la population albertaine en français et en anglais dans Internet. En présentant les résultats, cette analyse compare le nombre de textes en français et en anglais et se penche sur la qualité de la langue des textes en français.
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Rocher, François, and Daniel Stockemer. "Langue de publication des politologues francophones du Canada." Canadian Journal of Political Science 50, no. 1 (March 2017): 97–120. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423917000075.

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Abstract:
RésuméCette étude présente les résultats d'un sondage réalisé auprès des politologues francophones du Canada portant sur la langue de diffusion des connaissances en science politique. Même si la quasi-totalité des politologues francophones est d'accord avec l’énoncé voulant que l'anglais soit devenu la lingua franca de la science politique, le français continue à occuper une place importante dans la diffusion des connaissances. Toutefois, il existe plusieurs variations en fonction de la langue dans laquelle la thèse de doctorat a été rédigée, du sous-champ disciplinaire dans lequel s'inscrivent les travaux et du rang professoral. Les choix linguistiques sont largement motivés par la volonté de rejoindre le plus vaste auditoire possible tout en obtenant la reconnaissance auprès des pairs.
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Castonguay, Charles. "Évolution de l'assimilation linguistique au Québec et au Canada entre 1971 et 1991." Recherche 38, no. 3 (April 12, 2005): 469–90. http://dx.doi.org/10.7202/057150ar.

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Abstract:
À la lumière du lien entre l'assimilation linguistique et la crise de l'unité canadienne, nous examinons, au moyen des données de recensements, les tendances de l'assimilation des allophones au Québec et des minorités francophones dans les autres provinces. Il en ressort une francisation relative des immigrants récents au Québec, attribuable à une immigration accrue en provenance de pays de langue latine ou de la francophonie et, dans une moindre mesure, à la scolarisation obligatoire en français prévue par les lois 22 et 101. En revanche, l'anglicisation est plus forte qu'en 1971 parmi les immigrés établis depuis plus longtemps et les allophones nés au Québec. Ailleurs au Canada, l'anglicisation des francophones est partout à la hausse sauf, peut-être, au Nouveau-Brunswick. Les tendances défavorables au français appellent une révision majeure de la politique canadienne en ce qui concerne la langue, la culture et la nationalité du Canada français.
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Castonguay, Charles. "Assimilation linguistique et remplacement des générations francophones et anglophones au Québec et au Canada." Recherche 43, no. 1 (November 10, 2004): 149–82. http://dx.doi.org/10.7202/009450ar.

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Abstract:
L’analyse longitudinale des données de recensement les plus récentes confirme la faiblesse du français en regard de l’anglais comme langue d’assimilation à Montréal, ainsi que l’emballement de l’anglicisation des francophones à l’extérieur du Québec et du Nouveau-Brunswick. Étant donné la stabilisation de la sous-fécondité des populations anglophone et francophone à des niveaux semblables, le préjudice démographique que cause à la population de langue française le pouvoir d’assimilation disproportionné de l’anglais ressort directement de la comparaison du profil des deux populations selon l’âge : les générations anglophones se remplacent aussi bien au Québec que dans le reste du Canada, alors que le déficit entre les générations francophones mène au déclin des effectifs au Québec comme dans l’ensemble du Canada français.
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Dalley, Phyllis. "Choix scolaires des parents rwandais et congolais à Edmonton (Canada)." Clientèles et interventions 21, no. 1-2 (January 14, 2011): 305–27. http://dx.doi.org/10.7202/045332ar.

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Abstract:
L’accès à l’espace scolaire francophone est un élément important dans le parcours de ceux qui voudraient se joindre aux rangs de la francophonie canadienne, voire simplement maintenir leur compétence à communiquer en français. Le choix ou non de l’école de langue française par les parents immigrants revêt donc une importance pour le maintien et l’enrichissement du capital linguistique de leurs enfants. Cet article fait état des résultats d’une recherche qualitative dont le premier objectif était d’explorer les facteurs influant sur les choix scolaires d’un groupe de parents immigrants francophones à Edmonton. Quatre critères principaux semblent guider les choix scolaires. Le premier est la question de la langue: la sauvegarde de la langue française pour ceux qui choisissent l’école francophone et le programme d’immersion ou la maîtrise coûte que coûte de l’anglais pour ceux qui optent pour l’école anglophone. La continuité linguistique et scolaire est également une considération importante pour les parents: les jeunes qui ne parlent pas anglais ou qui ont fait leur scolarité antérieure en français sont inscrits à l’école de langue française. Le troisième critère concerne l’accueil ressenti au sein de l’école par soi-même, ses enfants ou son entourage. Enfin, l’âge des enfants à leur arrivée à Edmonton constitue un autre facteur qui n’est pas sans influence. La langue d’enseignement, l’accueil, le parcours pré-migratoire des jeunes et l’excellence académique sont au centre des préoccupations des parents rencontrés dans le cadre de cette recherche. Celle-ci avait également un second objectif: identifier des moyens pour répondre aux besoins, tant d’apprentissage que d’inclusion, des élèves issus de l’immigration, notamment au sein des écoles de la minorité francophone. Ceux-ci touchent, entre autres, à la mise en place de services divers, spécifiquement financés, à la formation, initiale et continue, du personnel des écoles francophones, ainsi qu’à la facilitation d’un dialogue interculturel parent / école, planifié et inscrit dans la vie communautaire.
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Kalvelytė, Julija, and Danguolė Melnikienė. "LES FRANCISMES DANS LES DICTIONNAIRES QUÉBÉCOIS." Verbum 8, no. 8 (January 19, 2018): 7. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2017.8.11320.

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Abstract:
Le but de cet article était d’analyser les francismes, relevés dans cinq dictionnaires du français québécois et d’évaluer leur rôle informatif pour les locuteurs du français standard et ceux du français québécois. Le québécisme est un fait de la langue française, propre à sa variété régionale, parlée par les communautés francophones canadiennes au Québec. Elle se distingue du français standard par ses caractéristiques particulières au niveau phonétique, lexical et syntaxique. Le québécisme existe en opposition avec le francisme et le français de France en général. Le francisme (aussi appelé l’hexagonisme) est un fait de la langue française qui comporte les mots d’usage typique du français standard ou autrement, utilisé sur le territoire du Canada. La recherche effectuée nous a permis de constater que le rôle de francisme dans les dictionnaires québécois est celui d’un connecteur ou d’une clé particuliers. En tant qu’un élément du dictionnaire, il peut fournir l’information sur le dictionnaire lui-même, sur son auteur, mais aussi sur les ressources linguistiques utilisées, reflétant l’état de la langue et de ses variantes régionales. Malheureusement, il n’est pas encore défini d’une manière complètement claire et utilisé à son plein potentiel.
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Heller, Monica. "« Langue », « communauté » et « identité »." Anthropologie et Sociétés 31, no. 1 (June 26, 2007): 39–54. http://dx.doi.org/10.7202/015981ar.

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Abstract:
Résumé Parmi les concepts clés de l’anthropologie linguistique (et de ses disciplines soeurs, la sociolinguistique, la sociologie du langage, la psychologie sociale du langage, l’aménagement linguistique) on trouve depuis longtemps ceux de « langue », « communauté » et « identité ». Ces concepts centraux pour la discipline émergent comme partie du discours du nationalisme étatique, et y sont profondément imbriqués. Dans cet article, je trace les grandes lignes de cette imbrication, pour examiner par la suite comment le travail de recherche sur la langue, l’identité et l’appartenance a pris forme dans les débats sur le français au Canada, et surtout pour ce qui est de la construction du nationalisme franco-canadien et de son évolution postnationaliste de nos jours.
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Castonguay, Charles. "The Anglicization of Canada, 1971-1981." Language Problems and Language Planning 11, no. 1 (January 1, 1987): 22–34. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.11.1.03cas.

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Abstract:
RESUME L'anglicisation du Canada, 1971-1981 Les données sur l'adoption de l'anglais comme principale langue d'usage à la maison, recueillies aux derniers recensements, font voir un accroissement général de cette forme d'anglicisation parmi les minorités linguistiques canadiennes entre 1971 et 1981, en particulier au sein de la population francophone à l'extérieur du Québec. Au Québec même, la supériorité du pouvoir d'assimilation de l'anglais en regard du français s'avère au moins aussi grande en 1981 qu'en 1971. Le conflit fédéral-provincial concernant le statut à accorder au français aurait affaibli l'attrait du français comme langue d'usage au foyer au Québec. Dans l'ensemble, la politique fédérale des langues officielles n'a pas ralenti l'anglicisation de la minorité francophone au Canada. D'autre part, la politique fédérale du multiculturalisme n'a pas modifié la tendance à l'anglicisation des autres minorités linguistiques canadiennes. Pour éviter l'anglicisation ultime du Canada, la politique linguistique canadienne devra évoluer vers une forme plus territoriale de bilinguisme, prenant appui sur un Québec français et culturellement plus autonome. Sans davantage de contenu biculturel, voire binational, l'actuelle politique fédérale ne fait pas le poids face au pouvoir d'assimilation de l'anglais dans le contexte nord-américain. RESUMO La anglalingvigo de Kanado, 1971-1981 Inter ciuj lingvaj malplimultoj de Kanado kaj precipe la eksterkebekiaj franclingvanoj, oni plieme uzis la anglan kiel lacefan hejman lingvon inter 1971 kaj 1981, laù popolnombradaj statistikoj. En Kebekio la supera anigemeco de la angla kompare al la franca almenau tiomis en 1981 kiomenl971. Sajne, la konflikto inter la fédéra kaj provincaj registaroj pri la rolo de la franca igas gin malpli valora kiel hejman lingvon en Kebekio. Générale, la kanada programo pri oficialaj lingvoj ne sukcesis malrapidigi la anglalingvigon de la franca malplimulto. Ankaù la federa programo de plurkultureco ne aliigis la anglalingvigon de la aliaj malplimultoj. Por eviti la plenan anglalingvigon de Kanado, oni devos reprincipigi la kanadan lingvan programon, celante pli laùlokan (anstataû ciupersonan) dulingvecon helpe de kulture pli memstara Kebekio. Sen plia dunacieco kaj dukultureco, la nuna federa programo ne efïke kontraùas la anigeman potencon de la angla en nordamerikaj kondicoj.
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Diallo, Lamine, and Ginette Lafrenière. "Intervenir auprès des survivants de guerre, de torture et de violence organisée : compte-rendu d’un projet de recherche entre l’Université Wilfrid Laurier et le Centre de santé communautaire de Hamilton et Niagara." Reflets 13, no. 1 (December 5, 2007): 41–77. http://dx.doi.org/10.7202/016812ar.

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Abstract:
Résumé Depuis une vingtaine d’années, le visage de l’immigration au Canada a changé profondément. Avec une immigration d’environ 165 000 personnes entre 2000 et 2001 (Statistiques Canada, 2003), le Canada qui se déclare une société multiculturelle est toujours à la recherche d’une insertion harmonieuse de ces nouveaux arrivants. Aujourd’hui, le pays accueille de plus en plus des personnes immigrantes et réfugiées provenant de pays ravagés par la guerre ou la violence politique. Plusieurs d’entre elles sont des francophones et des francophiles (personnes n’ayant pas le français comme langue officielle, mais qui choisissent le français comme nouvelle langue) qui proviennent d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine. Nous constatons qu’un grand nombre de ces nouveaux immigrants souffrent de problèmes post-traumatiques. Cet article expose les résultats d’une recherche du Centre de santé communautaire de Hamilton-Niagara (CSCH), laquelle visait à identifier les meilleures pratiques s’adressant à ces nouveaux immigrants dont une proportion importante souffre de problèmes d’adaptation.
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Leblanc, Matthieu. "Traduction, bilinguisme et langue de travail : une étude de cas au sein de la fonction publique fédérale canadienne." Meta 59, no. 3 (February 11, 2015): 537–56. http://dx.doi.org/10.7202/1028656ar.

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Abstract:
Seront présentés, dans le présent article, les résultats partiels d’une étude ethnographique menée dans un ministère de la fonction publique canadienne situé en milieu minoritaire francophone (Moncton, Nouveau-Brunswick). Il sera notamment question de la place qu’occupe la traduction dans ce milieu de travail et du rôle qu’elle y joue. L’étude révèle que même si l’anglais et le français sont les langues officielles de travail dans ce ministère (en vertu de la Loi sur les langues officielles du Canada), c’est l’anglais qui demeure la langue de travail commune ; c’est ainsi grâce à la traduction que le ministère est en mesure de répondre à ses obligations en matière de langue de travail. Il s’agit donc d’un environnement de travail diglossique où les deux langues, malgré leur statut officiel, n’ont ni le même poids ni le même prestige. Cette situation soulève des questions importantes sur la place du français comme langue de travail, les stratégies de traduction privilégiées, les rapports de pouvoir entre les langues et les locuteurs, et enfin l’efficacité de la politique linguistique institutionnelle du gouvernement du Canada.
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Fortier-Fréçon, Naomi, and Leia Laing. "L’enseignement des traités autochtones dans une classe d’immersion française. L’apprentissage des thèmes reliés à la réconciliation dans un contexte français minoritaire." Autochtonisation de l’éducation en milieu minoritaire 31, no. 1 (April 23, 2019): 109–25. http://dx.doi.org/10.7202/1059128ar.

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Abstract:
L’intégration des thèmes reliés à la réconciliation tel que demandé dans les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada dans les cours de langue française permet aux élèves d’analyser les relations de pouvoir du discours normatif qui favorise le privilège blanc. Cependant, pour les élèves qui vivent dans un contexte où le français est la langue de la minorité, il y a aussi le défi d’avoir accès à des ressources appropriées et des opportunités d’utiliser la langue française à l’extérieur du contexte scolaire. Cette réalité peut favoriser une difficulté au niveau de la compréhension de thèmes complexes tels que la discrimination et le racisme. Cette situation peut avoir pour effet de complexifier l’apprentissage de la langue seconde. L’approche multidisciplinaire s’avère être une avenue pour encourager le développement langagier des élèves. Cet article relate une expérience menée auprès d’élèves du secondaire inscrit dans un programme d’immersion française dans le cadre de leur cours de français art langagier et de leurs cours de sciences sociales. L’expérience que nous avons vécue avec nos élèves dans le cadre de ce projet éducatif nous permet d’identifier ce qui contribue à transformer les attitudes et à encourager le changement social au sujet d’une meilleure compréhension des enjeux reliés à la culture et aux traditions autochtones au Canada tout en favorisant le développement de la langue française.
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Denis, Wilfrid B. "Le déclin de l’Empire américain et l’avenir des francophonies en périphérie : le cas de la Saskatchewan." Les visages de la vitalité des francophonies en Amérique, no. 26 (September 15, 2009): 275–305. http://dx.doi.org/10.7202/037985ar.

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Abstract:
Résumé La survie et l’épanouissement de la langue française au Canada aujourd’hui sont influencés par des tendances opposées : l’épanouissement et l’étiolement linguistiques. Ces tendances contradictoires sont autant mondiales que nationales. Ainsi dans certaines régions du Canada, et dans quelques parties du monde, le nombre de personnes parlant le français augmente. Au Canada, les droits des francophones s’accroissent sans cesse depuis les années 1960. Mais plusieurs régions à l’extérieur du Québec subissent des tendances démographiques inquiétantes qui conduisent à l’affaiblissement général des communautés et à la perte de la langue française. L’étude de cas type d’une région menacée, comme la Saskatchewan, devrait tenir compte de facteurs extérieurs qui influent sur les tendances internes de cette communauté. En particulier, ces facteurs doivent tenir compte des tendances mondiales concernant la langue française et de l’insertion de la Saskatchewan dans les contradictions du capitalisme avancé sous l’hégémonie américaine.
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Meziane, Rabia Sabah, and Andrea A. N. MacLeod. "L’acquisition de la phonologie en français langue seconde : le profil phonologique d’enfants allophones en maternelle." Canadian Journal of Applied Linguistics 20, no. 2 (December 5, 2017): 1–17. http://dx.doi.org/10.7202/1042673ar.

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Abstract:
La ville de Montréal est l’une des villes les plus multiethniques du Canada. Compte tenu de cette diversité, il y a une grande proportion d’enfants qui apprennent deux langues et donc deux phonologies ; la phonologie de leur langue maternelle et celle du français. L’interaction entre ces deux systèmes phonologiques peut influencer le développement de la phonologie de la langue seconde. Le but de cet article est de comparer les compétences phonologiques en français des enfants allophones à celles des enfants francophones unilingues issues d’études précédentes. Nous utiliserons des mesures pour évaluer le pourcentage de consonnes bien produites par les enfants dans une tâche de dénomination d’images et nous analyserons différents facteurs qui peuvent contribuer aux résultats à cette tâche.
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Sobiela-Caanitz, Guiu. "Que signifie "Europa Ethnica"?" europa ethnica 75, no. 3-4 (2018): 115–16. http://dx.doi.org/10.24989/0014-2492-2018-34-115.

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Abstract:
L’auteur de ces lignes est le seul citoyen suisse appartenant au «Wissenschaftlicher Beirat» («Comité consultatif scientifique») de la revue «Europa Ethnica». Or, la Suisse est l’un des rares Etats européens à s’enorgueillir à ce point de son pluralisme linguistique et culturel. L’auteur se fait un devoir de répondre à l’aimable invitation de cette revue à collaborer à son numéro d’automne. Il le fait en français, l’une des quatre langues nationales et officielles de la Confé­dération, langue de sept de ses Etats cantonaux fédérés et de plusieurs pays européens et africains, sans oublier le Canada et Haïti, bref une langue de rang mondial. La citation d’un ouvrage allemand (note 4) est ici traduite en français.
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Le Bouthillier, Yves. "Le droit à l’instruction en français dans les provinces canadiennes à majorité anglophone : le statut des enfants de parents immigrés." Revue générale de droit 24, no. 2 (March 5, 2019): 255–68. http://dx.doi.org/10.7202/1056954ar.

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Abstract:
Dans chaque province et territoire canadien, l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés garantit un droit à l’instruction primaire et secondaire dans la langue de la minorité francophone ou anglophone de cette province ou territoire. Toutefois, ce droit n’est conféré qu’à certaines catégories de personnes dont sont exclus, entre autres, les non citoyens. Depuis quelque temps, certaines provinces à majorité anglophone étudient la possibilité et l’avantage de modifier leur législation scolaire afin d’accorder le droit à l’instruction en français à tous les immigrants et immigrantes dont la première langue au Canada est le français. Dans le texte qui suit l’auteur suggère qu’une telle modification ne serait pas contraire à l’article 23.
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REMYSEN, WIM. "Les représentations identitaires dans le discours normatif des chroniqueurs de langage canadiens-français depuis le milieu du XIXe siècle." Journal of French Language Studies 22, no. 3 (December 13, 2011): 419–44. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269511000536.

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Abstract:
RÉSUMÉCet article est consacré aux rapports qui existent entre l'identité et la norme en matière de langue dans le discours qu'on trouve sous la plume des chroniqueurs de langage canadiens-français. Notre objectif est d'analyser comment ces derniers définissent l'identité de leurs compatriotes et quelle importance ils accordent à des considérations identitaires dans leur discours à propos du français canadien et de sa légitimité. L'analyse porte sur 12 chroniques, écrites par autant d'auteurs différents, publiées dans la presse canadienne-française entre 1865 et 1996. Les résultats de notre analyse tendent à montrer qu'il ne suffit pas d'étudier comment les chroniqueurs canadiens-français perçoivent l'identité de leurs compatriotes – notamment en termes de degré d'autonomie par rapport à l'identité française – pour comprendre la façon dont ils ont évalué le français au Canada; il faut aussi, et surtout, tenir compte du poids que ces chroniqueurs attribuent à l'identité dans leur conception de la langue si on veut bien comprendre leur façon de définir la norme.
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Richer, Geneviève. "« L’apôtre infatigable de l’irrédentisme français » : la lutte de Napoléon-Antoine Belcourt en faveur de la langue française en Ontario durant les années 1910 et 1920." Francophonies d'Amérique, no. 31 (March 29, 2012): 87–108. http://dx.doi.org/10.7202/1008548ar.

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Abstract:
En tant que chef de la résistance au Règlement XVII, qui proscrit l’usage du français dans les écoles bilingues de l’Ontario, Napoléon-Antoine Belcourt suscite l’admiration et la sympathie des nationalistes canadiens-français, qui le considèrent comme un héros de la nation canadienne-française. Pourtant, sa pensée à propos de la langue française en Ontario montre qu’elle est peut-être plus complexe que ce que laissent entendre les nationalistes canadiens-français. Cet article tente de montrer que même s’il cherche à protéger les Franco-Ontariens de l’assimilation, en défendant leur droit d’utiliser leur langue maternelle dans leurs écoles de même qu’au sein de l’Église catholique de l’Ontario au cours des années 1910 et 1920, Belcourt encourage aussi, durant cette période, la construction nationale du Canada, en prônant le maintien de la Confédération et de l’unité nationale.
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Mc Andrew, Marie, Mathieu Jodoin, Michel Pagé, and Joséfina Rossell. "L’aptitude au français des élèves montréalais d’origine immigrée." Articles 29, no. 1 (March 25, 2004): 89–117. http://dx.doi.org/10.7202/010277ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les auteurs comparent l'impact de la densité ethnique de l'école, du taux de francisation associé à la langue maternelle et de l'ancienneté d'implantation sur l'aptitude au français d'élèves montréalais d'origine immigrée. L'analyse factorielle des données provenant de 896 élèves d'origine immigrée démontre que l'aptitude au français — qui comprend des attitudes positives à l'égard du français, l'utilisation du français avec l'entourage et la consommation de médias électroniques en français — est unidimensionnelle. Cette aptitude est modérément élevée chez les élèves d'origine immigrée, bien qu'inférieure à celle des élèves francophones d'implantation ancienne (N = 686). Par ailleurs, des analyses de régression multiple révèlent que la densité ethnique de l'école, qui n'est pas reliée à l'aptitude au français des élèves francophones d'implantation ancienne, est négativement reliée à celle des élèves d'origine immigrée. Toutefois, le taux de francisation associé à la langue maternelle est un prédicteur beaucoup plus important de l'aptitude au français des élèves d'origine immigrée que la densité ethnique de leur école. Enfin, il semble que ni le fait d'être né au Canada ni le fait d'avoir immigré en cours de scolarité n'aient d'impact sur le phénomène étudié.
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Paret, Marie-Christine, and Gisèle Chevalier. "La formation des enseignants de français langue première au Canada et au Québec." La Lettre de la DFLM 28, no. 1 (2001): 8–12. http://dx.doi.org/10.3406/airdf.2001.1468.

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Buors, Paule, and Jn-François Lenz. "Apprendre en français en milieu franco-minoritaire au Canada : langue, sens et identité." La Lettre de l'AIRDF 38, no. 1 (2006): 13–20. http://dx.doi.org/10.3406/airdf.2006.1688.

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Pichette, Jean-Pierre. "Le rôle des religieux dans l’histoire de la collecte au Canada français. Un panorama." Port Acadie, no. 24-25-26 (October 31, 2013): 36–49. http://dx.doi.org/10.7202/1019122ar.

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Abstract:
L’histoire de la collecte ethnologique au Canada français pourrait-elle faire fi de la contribution des prêtres et des religieux ? La réponse serait négative dans la plupart des cas, tellement leur apport paraît primordial : depuis le mot d’ordre lancé par l’abbé Henri-Raymond Casgrain (« Hâtons-nous de recueillir… », 1863), en passant par les religieux lexicographes, la Société du parler français au Canada (1902) et le mouvement de « nationalisation de la littérature » de l’abbé Camille Roy (1904-1905) qui allait ouvrir la voie à la littérature du terroir (1914-1945), au travail des généalogistes (Cyprien Tanguay), au déploiement des sociétés d’histoire au Canada français (Lionel Groulx, Victor Tremblay, Lorenzo Cadieux), aux prêtres éducateurs qui collectionnent des objets muséographiques dans les collèges (Paul-André Leclerc), qui photographient et filment la vie traditionnelle (Maurice Proulx et Albert Tessier), en visitant la fondation des Archives de folklore par Luc Lacourcière et Félix-Antoine Savard en 1944 et son rayonnement en Amérique française (Germain Lemieux en Ontario et au Québec, et Anselme Chiasson en Acadie) jusqu’à la Révolution tranquille, période de transition qui connaîtra l’entrée en masse de religieuses (Catherine Jolicoeur, Denise Rodrigue, etc.,1960-1975) après le passage éclair de soeur Marie-Ursule (1946-1951) et mènera à la laïcisation de l’État, la quête patrimoniale par les clercs confirmerait que « la foi est gardienne de la langue » comme « la langue est gardienne de la foi ».
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Deraîche, Myra, and Christèle Maizonniaux. "Dispositif de télécollaboration pour des étudiants universitaires : littérature migrante, autobiographie migratoire et échanges interculturels en ligne." Alterstice 8, no. 1 (October 16, 2018): 83–94. http://dx.doi.org/10.7202/1052610ar.

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Abstract:
Deux enseignantes-chercheuses développent un dispositif de télécollaboration (d’échange interculturel en ligne) réunissant des étudiants de français langue seconde à Montréal (Canada) et des étudiants de français langue étrangère à Adélaïde (Australie). Ce dispositif repose sur une approche innovante, exploitant des textes de littérature migrante et des récits autobiographiques pour la lecture-écriture. Afin de déterminer s’il comble les besoins des deux groupes, s’il favorise l’engagement des apprenants dans les échanges écrits sur la plateforme et s’il aboutit à la production d’écrits autobiographiques riches et pertinents après les lectures partagées et les échanges entre pairs, on a comparé les éléments clés du dispositif aux résultats d’une analyse de données. On peut en conclure que proposer des activités communes s’avère pertinent pour l’expression de soi et l’échange interculturel.
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Anctil, Pierre. "H.-M. Caiserman et l’École littéraire de Montréal. Vers une exploration en yiddish du Canada français." Revue d’histoire de l’Amérique française 66, no. 1 (January 7, 2014): 65–83. http://dx.doi.org/10.7202/1021082ar.

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Abstract:
Au début du XXe siècle, un certain nombre d’immigrants européens ont jeté un regard sur la société québécoise et ont rédigé à ce sujet, à Montréal, des textes littéraires en langue non officielle. C’est entre autres le cas d’un activiste culturel et leader communautaire d’origine roumaine, Hananiah-Meir Caiserman, qui s’est distingué en explorant en langue yiddish les oeuvres poétiques associées à l’École littéraire de Montréal. Voulant mieux connaître les réalisations culturelles du Canada français, Caiserman a publié ses réflexions en 1921 dans une petite revue littéraire montréalaise intitulée Nyuansn. Ces contributions, peu étudiées jusqu’à maintenant, jettent un éclairage inédit sur le Québec d’avant la Révolution tranquille, et montrent tout l’intérêt qu’il y a à explorer les propos des auteurs issus des milieux allophones.
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Paillé, Michel. "Quelques caractéristiques démolinguistiques des Québécois de langue maternelle grecque." Colloque : Communications libres 10, no. 2 (October 27, 2008): 307–38. http://dx.doi.org/10.7202/600856ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Implantée depuis la première décennie du XXe siècle, la communauté grecque du Québec s’est accrue en deux périodes, d’abord avant la crise économique des années trente et ensuite durant les vingt-cinq années qui ont suivi la Deuxième Guerre mondiale. L’évolution des effectifs selon l’origine ethnique et la langue maternelle révèle des différences entre le Québec et l’ensemble du Canada. La pyramide des âges des Québécois de langue maternelle grecque montre - avec plus d’évidence que chez les Italo-québécois - les caractéristiques typiques d’une population fortement marquée par les migrations. L’hypothèse selon laquelle les Hellénophones sont très attachés à leur langue maternelle est vérifiée, car au recensement de 1971, une faible proportion d’Hellénophones avait effectué un transfert linguistique principalement en faveur de l’anglais. Même chez les jeunes, le français n’exerçait alors qu’une faible influence de telle sorte que l’attrait respectif des deux principales langues était inversement proportionnel au poids démographique du français et de l’anglais. La connaissance de l’anglais seulement était très forte chez les Québécois de langue maternelle grecque et augmentait à mesure que l’on descend dans la pyramide des âges. La connaissance du français n’atteignait pas les 20 % même en comptant les bilingues. Un aperçu de la situation linguistique dans les foyers est donné en faisant usage d’un échantillon de familles de religion grecque orthodoxe.
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Dumont, Fernand. "La représentation idéologique des classes au Canada français." Articles 6, no. 1 (April 12, 2005): 9–22. http://dx.doi.org/10.7202/055246ar.

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Abstract:
Dans une étude récente, Henri Lefebvre propose de distinguer la conscience, le psychisme et Y idéologie de classe. La spécificité de l'idéologie par rapport aux deux autres composantes apparaît aisément. D'une part, ses fabricateurs sont généralement extérieurs aux classes impliquées. D'autre part, l'idéologie se fonde avant tout sur le besoin de donner cohérence à des situations. D'où vient cette exigence de cohérence ? D'abord, sans doute, du souci de fournir une représentation quelconque des rapports de la conscience de classe et du psychisme de classe. Mais aussi de la nécessité de mettre en relations le système de classes et la société globale. Insistons sur cette dernière proposition : elle indique le cadre de l'analyse qui va suivre. On peut postuler qu'il est particulièrement important, pour la société globale, de ramener les classes à une quelconque systématisation fonctionnelle, car leur existence est, pour elle, le défi le plus grand. Songeons, par exemple, à la nation. Se représenter la collectivité en termes ethniques ou en termes de classes : n'est-ce point une des questions, un des problèmes les plus décisifs qui tourmentent l'Occident depuis des siècles et qui ont gagné maintenant les pays en voie de développement ? Le conflit mérite d'autant plus de nous retenir que la distinction des trois éléments des classes que nous avons évoqués paraît être tout aussi valable et même nécessaire pour la société globale elle-même. Ici encore on pourrait parler de conscience, de psychisme et d'idéologie de la nation. De même, la fonction intégratrice des idéologies est primordiale. Car on ne saurait rendre compte de la cohésion qu'implique la nation en évoquant seulement un vague sentiment d'appartenance. Par ailleurs, les facteurs dits « objectifs » (comme la langue, la religion, l'organisation politique) varient d'une nation à l'autre, et même, pour une nation donnée, selon les phases historiques. Et les groupements, à l'intérieur d'une nation, ne sont pas toujours d'accord sur les mêmes facteurs d'intégration : on pense, par exemple, aux perpétuelles discussions sur la nation canadienne-française et sur la nation canadienne. D'où la fonction déterminante des idéologies qui réunissent, dans une sorte de « théorie », des conditions préalables comme la communauté de langue, de religion, etc., tout en se nourrissant de la conscience diffuse de traits distinctifs et d'une relative opposition à des autrui (c'est-à-dire, à d'autres nations). Le problème ainsi posé est particulièrement passionnant si on le traduit dans le contexte canadien-français. Nous sommes devant une nation qui s'est donné ses premières définitions idéologiques d'elle-même au moment où elle était encore une « société paysanne ». Elle a subi ensuite, à un rythme extrêmement rapide, l'impact de l'industrialisation. Si on ajoute à cela un angoissant voisinage avec l'Anglais et l'Américain, beaucoup plus riches et maîtres du pouvoir économique, on admettra qu'il s'agit d'un très beau cas où devraient nous apparaître certains mécanismes exemplaires de syncrétisme dans les définitions idéologiques des classes et de la société globale. Durant un siècle — en gros, des années 1840 aux lendemains de la dernière guerre — une idéologie très organique a régné ici presque sans conteste. Nous ne reprendrons pas ici la démonstration du caractère unitaire de cette idéologie ; nous l'avons esquissée dans d'autres travaux et, d'ailleurs, il existe à ce sujet une certaine unanimité des chercheurs canadiens-français. Nous nous attacherons plutôt, dans une première partie, à éclairer la constitution de cette idéologie et à repérer ses définiteurs en tâchant de déceler leur allégeance de classe. Nous analyserons brièvement, dans une deuxième partie, les grands thèmes de cette idéologie, en dégageant naturellement surtout la représentation des classes. Nous tâcherons enfin, dans une brève section finale, de formuler quelques hypothèses sur les remaniements impliqués par la crise profonde que traverse actuellement le Canada français. Nous nous imposerons ainsi un long détour historique, mais celui-ci est suggéré par la nature même du phénomène qui nous intéresse.
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Boissonneault, Julie, and Simon Laflamme. "Le décrochage culturel ou passer de l’école franco-ontarienne à l’école de langue anglaise." Nouvelles perspectives en sciences sociales 12, no. 2 (August 22, 2017): 101–61. http://dx.doi.org/10.7202/1040906ar.

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Abstract:
Au Canada français hors Québec, entre le début des études élémentaires et la fin du secondaire, une proportion importante d’élèves quittent les écoles de langue française pour s’inscrire dans les écoles de langue anglaise. L’objectif de cette recherche est d’expliquer le phénomène. Une enquête a été menée auprès d’élèves, de leurs amis, de leurs parents et de leurs enseignants. Elle a permis d’établir des variations selon les régions, de mettre en évidence l’incidence de la manière dont les élèves se perçoivent linguistiquement puis de repérer une idéologie linguistique et la manière dont elle circule.
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Henripin, Jacques. "Les Québécois dont la langue est flottante et la mobilité linguistique." Articles 14, no. 1 (October 24, 2008): 87–98. http://dx.doi.org/10.7202/600558ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les mesures de la mobilité linguistique entre l’anglais et le français, au Québec, sont sujettes à caution, à cause de la façon dont les personnes recensées ont déclaré leur langue maternelle ou leur langue au foyer, et aussi à cause du mode de traitement de ces informations par Statistique Canada. Il en résulte des aspects parfois étonnants de la mobilité linguistique. Certains de ces résultats sont analysés et une estimation minimale de la mobilité linguistique est présentée. L’auteur croit qu’on devrait mettre de coté les « flottants linguistiques » dans les analyses.
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Raîche, Gilles, and Monique Noël-Gaudreault. "Une adaptation, pour le Canada francophone, des règles de publication de l’APA : typographie et présentation des références." Revue des sciences de l'éducation 35, no. 1 (May 19, 2009): 227–34. http://dx.doi.org/10.7202/029932ar.

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Abstract:
Résumé Cet article a pour objectif de proposer une adaptation, pour le Canada francophone, des règles de publication de l’APA au regard de la typographie ainsi que des règles de présentation des références. Cette adaptation s’inspire des pratiques de rédaction en langue française adoptées au cours des dernières années par différents organismes et instances, ou soutenues par différents standards. Les choix effectués sont justifiés et des exemples de présentation des références, aussi bien à l’intérieur du texte qu’à la section des références, permettent d’illustrer ces choix. De plus, ces exemples montrent comment effectuer la présentation des références dans une langue autre que le français.
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Deveau, Kenneth, Rodrigue Landry, and Réal Allard. "Facteurs reliés au positionnement envers la langue de scolarisation en milieu minoritaire francophone : le cas des ayants droit de la Nouvelle-Écosse (Canada)." Revue des sciences de l'éducation 32, no. 2 (February 14, 2007): 417–37. http://dx.doi.org/10.7202/014572ar.

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Abstract:
Résumé Sont ici présentés les résultats d’une recherche réalisée auprès de 550 ayants droit des régions acadiennes de la Nouvelle-Écosse sur la question du positionnement à l’égard de la langue de scolarisation des enfants. Les résultats indiquent que, dans ce milieu linguistique minoritaire, l’appui à la scolarisation dans des écoles de langue française est associé positivement au développement d’un bilinguisme de type additif. Plus spécifiquement, il est associé au désir d’intégrer la communauté de langue française et à l’identité ethnolinguistique francophone. À leur tour, le désir d’intégration et l’identité francophone sont reliés à la force du vécu ethnolangagier francophone. En outre, la préférence pour la scolarisation en français est associée positivement au degré de scolarisation des ayants droit.
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Braën, André. "L’interprétation judiciaire des droits linguistiques au Canada et l’affaire Beaulac." Revue générale de droit 29, no. 4 (March 11, 2016): 379–409. http://dx.doi.org/10.7202/1035644ar.

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Abstract:
La langue a toujours été l’objet de controverse au Canada. Les textes constitutionnels et les lois tant fédérales que provinciales contiennent des dispositions linguistiques. Celles-ci ont trait au statut du français et de l’anglais et elles confèrent des droits aux deux minorités de langue officielle dans des domaines spécifiques. En interprétant ces dispositions, les tribunaux canadiens et plus particulièrement la Cour suprême du Canada ont appliqué une approche pour le moins ambivalente. Ils ont d’une part jugé que les droits linguistiques doivent être l’objet d’une interprétation libérale et généreuse et d’autre part, ils ont aussi jugé que, compte tenu du fait que ces droits sont issus d’un compromis politique et qu’ils doivent être distingués des autres garanties juridiques, une interprétation restrictive était de mise. L’affaire Beaulac est relative à la langue du procès criminel au Canada. La Cour suprême y a reformulé la position qu’il convient d’adopter en matière d’interprétation des droits linguistiques lesquels doivent, selon elle, être l’objet dans tous les cas d’une approche libérale. L’auteur rappelle dans un premier temps les éléments qui constituaient l’approche appliquée en la matière par les tribunaux et analyse par la suite la décision de la Cour suprême dans l’arrêt Beaulac pour en dégager la portée éventuelle.
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Caldwell, Gary, and P. Obermeir. "Émigration de la jeunesse anglophone." Articles 7, no. 2 (October 28, 2008): 3–24. http://dx.doi.org/10.7202/600763ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Il s’agit dans ce texte de décrire brièvement le contexte dans lequel est née l’enquête A.Q.E.M. sur la migration des jeunes anglophones hors du Québec, de présenter un sommaire du rapport dont le texte intégral est disponible à l’Université Bishop's, et enfin de discuter et de critiquer l’enquête du point de vue méthodologique. Nous commençons l’étude par une brève présentation de la méthodologie, une approche « longitudinale », par la délimitation géographique de la population visée et par la méthode d’échantillonnage. Les techniques de cueillette grâce auxquelles nous avons obtenu un taux de réponse de 87 % sont également mises en évidence. Nous enchaînons avec un survol des données en commençant par certaines caractéristiques de l’échantillon, notamment la composition par langue maternelle et la connaissance du français. Ensuite nous présentons les résultats, c’est-à-dire l’ampleur de l’émigration de la jeunesse anglophone hors du Québec. La proportion des jeunes qui quittent le Québec pour la période de l’enquête (cinq ans et demi) est évaluée globalement à 31 %. Nous examinons ensuite les données sur l’émigration selon la langue maternelle et la connaissance du français. Parmi d’autres constatations, nous remarquons que le taux d’« émigration » des sujets de langue maternelle « autre » (que l’anglais ou le français) est de beaucoup inférieur (19 %) a celui des personnes de langue anglaise (33 %). Puis il est question de la destination des émigrés et de l’année de leur départ. Après ce survol des résultats obtenus de l’enquête nous tentons de comparer ceux-ci avec les données de Statistique Canada, mais pour le lustre précédent. De plus nous comparons l’émigration interprovinciale des anglophones du Québec avec celle des populations des autres provinces. A la lumière des résultats de ces comparaisons on constate que la minorité de langue maternelle anglaise au Québec est et demeure extrêmement mobile. Finalement, pour ce qui est des données, un examen plus poussé des relations langue maternelle - connaissance du français - émigration, révèle que c’est la langue maternelle, plus que la connaissance du français qui influe sur la propension à quitter le Québec. Dans la toute dernière section, nous commentons certains aspects méthodologiques de l’enquête, et ceci à la lumière des données partielles du recensement de 1976. Dans cette critique, les auteurs font le procès d’une enquête sur la migration par voie d’échantillonnage.
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Gibson, Andrew. "Aspects culturels de la « reconnaissance » et de l’expérience canadienne-française." Minorités linguistiques et société, no. 3 (June 26, 2013): 106–19. http://dx.doi.org/10.7202/1023802ar.

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Abstract:
Cet article offre une analyse de la structure des liens sociaux de la « reconnaissance ». Il met l’accent sur l’aspect culturel de la reconnaissance au sein de la relation entre les Canadiens et les Canadiennes de langue anglaise et leurs compatriotes de langue française. L’article débute en esquissant la perspective du philosophe allemand Axel Honneth sur l’anthropologie de la reconnaissance comme pré-condition sociale à la formation de l’identité personnelle. Par la suite, il distingue entre la reconnaissance culturelle, qui caractérise la relation entre individus provenant de différents groupes culturels, et la reconnaissance de l’égalité de traitement et de respect devant la loi. L’article se termine par une exploration de la moralité de la reconnaissance culturelle en se basant sur les écrits journalistiques d’André Laurendeau qui traitent des attitudes du Canada anglais envers le Canada français.
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Bélanger, Alain, and Patrick Sabourin. "De l’interprétation des indicateurs linguistiques du recensement canadien." Cahiers québécois de démographie 42, no. 1 (July 10, 2013): 167–77. http://dx.doi.org/10.7202/1017101ar.

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Abstract:
Au Canada, les comportements et les caractéristiques linguistiques des individus sont documentés au moyen d’une grande diversité de questions d’enquête et de recensement. Paradoxalement, cette abondance unique au monde soulève des questionnements méthodologiques importants. En effet, quel indicateur privilégier pour effectuer un suivi de la situation linguistique ? Est-il légitime de s’intéresser à l’évolution de la langue parlée à la maison, qui relève de sphère privée ? Comment comparer entre eux les divers indicateurs linguistiques ? Dans cette note de recherche, les auteurs tentent de montrer que chacun des indicateurs linguistiques dépeint une facette particulière de la question linguistique. La langue étant un phénomène social complexe et multifactoriel, aucun indicateur unique ne saurait décrire à lui seul l’évolution de la situation linguistique. Une méthode permettant de comparer les indicateurs de langue maternelle, de langue d’usage privé (langue parlée à la maison) et de langue d’usage public (langue de travail) est également proposée. Les résultats montrent que l’immigration a un impact négatif sur le poids du français et que, contrairement à ce qui a été affirmé de nombreuses fois par le passé, c’est la langue d’usage public, et non la langue d’usage privé, qui est la plus affectée.
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Mańczak, Witold. "Chute Irrégulière Du L En Français Du Canada." Diachronica 8, no. 2 (January 1, 1991): 189–200. http://dx.doi.org/10.1075/dia.8.2.03man.

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Abstract:
SUMMARY In Canadian French the definite articles and the pronouns of the third person show irregular loss of /. The same phenomenon occurs in the language used in France, cf. des de illos, de Mas, ça < cela, oui < oïl. The same applies to other Romance languages, cf. Port, o, a, os, as RÉSUMÉ Dans le français du Canada, les articles définis et les pronoms de la 3e personne présentent, dans certains emplois, une chute irrégulière du /. Ce phénomène a lieu également dans la langue employée en France, cf. des < de illos, de illas, ça < cela, oui < oïl. Il en est de même pour d'autres langues romanes, cf. port, o, a, os, as < illum, illam, illos, Mas, a.esp. cono < cum ilium, it. dial. u < lu, roum. Ceauşescu < Ceauşescul, ainsi que pour des langues non romanes, cf. angl. won't < will not, much < muchel ou should. De l'avis de l'auteur, toutes ces réductions s'expliquent par un développement phonétique irrégulier dû à la fréquence d'emploi, qui, à cöté du développement phonétique régulier et de l'évolution analogique, est le troisième facteur essentiel qui décide de la forme des mots. Les ressemblances entre la théorie du développement phonétique irrégulier dû à la fréquence et celle de la 'lexical diffusion' sont minimes. ZUSAMMENFASSUNG Im Kanadafranzösischen weisen die bestimmten Artikel und die Pronomina der 3. Person einen unregelmäßigen l-Schwund auf. Dieselbe Erscheinung kommt in der in Frankreich gebrauchten Sprache vor, vgl. des < de illos, de illas, ça < cela, oui < oïl. Dasselbe gilt fur die iibrigen romanischen Sprachen, vgl. port, o, a, os, as < illum, illam, illos, Mas, aspan. cono < cum illum, ital. mundartl. u < lu, rum. Ceauşescu < Ceauşescul, sowie fur nicht-romanische Sprachen, vgl. engl. won't < will not, much < muchel oder should. Nach Ansicht des Verfassers sind all diese Kurzungen einem frequenzbedingten unregelmaBigen Lautwandel zu verdanken, der neben dem regelrechten Laut-wandel und der analogischen Entwicklung der dritte Hauptfaktor ist, von dem die Form der Wörter abhängt. Ähnlichkeiten zwischen der Theorie des frequenzbedingten unregelmaBigen Lautwandels und der einer 'lexical diffusion' sind hingegen unbedeutend.
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Arrighi, Laurence, and Émilie Urbain. "DEBATS AUTOUR DE LA NORME ET DE LA QUALITE DE LA LANGUE EN MILIEU MINORITAIRE : L’EXEMPLE DE L’ACADIE DU NOUVEAU-BRUNSWICK." Cadernos de Letras da UFF 32, no. 62 (July 30, 2021): 163–90. http://dx.doi.org/10.22409/cadletrasuff.v32i62.48776.

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Abstract:
En nous appuyant sur les discours publiés dans les principaux médias francophones de la région ces cinq dernières années, nous examinons les discours sur la langue française en circulation dans une communauté francophone minoritaire du Canada, l’Acadie du Nouveau-Brunswick. L’objectif de notre article est de dresser un portrait des débats sur la qualité du français et la norme linguistique qui émergent dans cette région caractérisée par l’usage répandu de vernaculaires marqués par la variation linguistique (que ce soit en termes d’archaïsmes, de variation morphosyntaxique ou encore de contact des langues). Dans un contexte minoritaire où les contacts linguistiques avec la langue dominante, l’anglais, sont nombreux et multiformes, les discours sur la qualité du français parlé (ou écrit) dans la région sont politiquement chargés et s’articulent à des questions de nationalisme, de représentation politique et de droit. Notre étude montre ainsi comment les propos sur la langue, qu’ils soient portés par des acteurs sociaux ordinaires ou par des personnalités publiques, donnent à voir des enjeux sociaux, politiques et économiques plus larges. En particulier, nos analyses révèlent que les discours souvent critiques sur le français des Acadiens et des Acadiennes s’articulent fréquemment autour de questions d’accès et de partage des ressources: accès au marché de l’emploi, accès à des services publics, accès à la francophonie internationale et les opportunités de développement économique qu’elle pourrait permettre.
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Lajeunesse, Marcel. "L’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI) de l’Université de Montréal 1961-2003 : quatre décennies de formation des spécialistes de l’information au Québec et au Canada français." Documentation et bibliothèques 48, no. 4 (May 8, 2015): 125–35. http://dx.doi.org/10.7202/1030351ar.

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Abstract:
L’École de bibliothéconomie a été fondée en 1961 pour fournir au Québec et au Canada de langue française des bibliothécaires professionnels dans un premier temps, puis dans les décennies suivantes, des professionnels de l’information et des archivistes. Après plus de quatre décennies de fonctionnement, on peut maintenant dire qu’elle a atteint une maturité certaine. L’objectif de ce texte est de souligner les points importants de son évolution et de montrer sa contribution à la formation du personnel professionnel en bibliothéconomie, en sciences de l’information et en archivistique au Québec, au Canada de langue française et dans la francophonie, depuis plus de quarante ans.
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Castonguay, Charles. "La répartition des non-répondants à la question sur la langue maternelle aux recensements de 1971 et de 1976." Cahiers québécois de démographie 7, no. 3 (January 7, 2009): 95–107. http://dx.doi.org/10.7202/600771ar.

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RÉSUMÉ Aux Canadiens n’ayant pas répondu à la question sur la langue maternelle au recensement de 1971, Statistique Canada a attribué une langue maternelle déclarée par un membre de leur famille immédiate ou par un voisin habitant le même secteur de dénombrement. Au recensement de 1976, par contre, on n’a effectué aucune attribution de langue aux non-répondants. Pour 1971, rien n’est connu ni sur le résultat du procédé d’attribution, ni sur le taux de non-déclaration de langue maternelle à un niveau autre que fédéral. Nous présentons cependant de nombreuses observations indiquant qu’en 1976 tout au moins, le taux de non-réponse a varié de façon significative selon la région et le groupe linguistique. En particulier, au Québec en 1976 les francophones auraient répondu le plus régulièrement à la question, alors que les groupes linguistiques ni anglais, ni français auraient accusé les taux de non-réponse les plus élevés. En comparant les résultats de 1971 et de 1976 au niveau provincial ou infra-provincial, il convient dès lors d’attribuer aux non-répondants de 1976 une langue maternelle sur une base aussi conforme que possible à la stratégie très locale d’attribution employée pour 1971. Pour suivre l’évolution intercensitaire des compositions linguistiques du Québec ou de Montréal tout particulièrement, il importe que Statistique Canada publie une répartition linguistique des non-répondants de 1976 qui serait obtenue par la même méthode qu’en 1971.
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Ka, Mamadou. "L’immigration francophone au Manitoba, 2000-2006 : un profil statistique." Articles 19, no. 2 (March 24, 2009): 119–39. http://dx.doi.org/10.7202/029554ar.

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Résumé L’article analyse la nouvelle francophonie du Manitoba. Contrairement à Statistique Canada, l’auteur utilise des variables autres que « le français langue maternelle » pour déterminer le profil statistique des nouveaux arrivants francophones. Par la même veine, il met en exergue les caractéristiques de la nouvelle composition de la communauté francophone du Manitoba dans les années 2000 par le biais de cette nouvelle vague d’immigration de minorités visibles venues principalement d’Afrique.
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Allaire, Gratien. "La Francophonie canadienne, un ensemble légitime en changement." Articles, no. 5 (March 18, 2015): 172–96. http://dx.doi.org/10.7202/1029112ar.

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Abstract:
La Francophonie canadienne est bien en vie. Elle trouve son origine dans le Canada français et elle est le résultat des grands changements que celui-ci a connus au cours du dernier demi-siècle. Le Canada français était tout aussi unitaire que le Canada anglo-britannique. La Francophonie canadienne se distingue par la complexité de sa francité, par sa modernité, par son urbanité. Elle est tout en nuances, inclusive, un ensemble de communautés provinciales, régionales, locales qui se savent légitimes et dont on reconnaît la légitimité, tant sur les plans historico-géographique et sociopolitique que sur les plans constitutionnel et juridique. Elle a changé au cours des décennies et elle continue, et continuera, de se transformer, perméable aux courants culturels. Elle est devenue un ensemble dont le coeur est constitué par les francophones « de souche », entouré de francophones de langue officielle, d’anglophones d’origine culturelle française et de sympathie française. C’est ce qui fait sa grande richesse.
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Grenier, Gilles. "Immigration, langues et performance économique : le Québec et l’Ontario entre 1970 et 1995." Articles 77, no. 3 (February 5, 2009): 305–38. http://dx.doi.org/10.7202/602354ar.

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RÉSUMÉ Cette étude contribue à deux courants de littérature relativement distincts : l’intégration économique des immigrants et les liens entre les attributs linguistiques et les revenus au Canada. L’analyse porte sur deux provinces canadiennes, le Québec et l’Ontario, et utilise les microdonnées des cinq recensements canadiens de 1971, 1981, 1986, 1991 et 1996. L’échantillon est divisé entre les non-immigrants et les immigrants (et parmi ces derniers entre ceux originaires de l’Europe et des États-Unis et ceux originaires du reste du monde) et entre les personnes parlant le français, l’anglais ou une autre langue à la maison. Dans un premier temps, on fait des comparaisons de traitements et salaires moyens en fonction des attributs de langue et d’immigration. On constate que les revenus relatifs des immigrants ont diminué dans le temps. Par ailleurs, les francophones ont amélioré leur situation économique, à la fois chez les immigrants et les non-immigrants, mais sans rattraper totalement les anglophones. Les personnes parlant des langues autres que l’anglais ou le français ont en général des revenus assez faibles. Dans un deuxième temps, on estime des régressions de gains pour voir les effets nets des attributs d’immigration et de langue. Les écarts entre francophones et anglophones sont plus faibles quand on ne considère que les effets nets, et en Ontario, ils sont même nuls ou en faveur des francophones. Une question intéressante concerne la performance économique des immigrants au Québec en fonction de leurs choix linguistiques. Les résultats montrent que les immigrants qui parlent français s’intègrent aussi bien que ceux qui parlent anglais. Malgré cela, il n’y a pas suffisamment d’immigrants qui s’intègrent à la communauté francophone pour assurer le maintien du poids démographique du français. L’auteur suggère que la politique canadienne d’immigration tienne compte de l’équilibre linguistique entre le français et l’anglais.
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Saint-Yves, Gabrielle. "L’idéologie à travers les questions de langue. Riposte de Firmin Paris à la chronique de langue de Louis Fréchette." Globe 6, no. 2 (February 14, 2011): 123–46. http://dx.doi.org/10.7202/1000819ar.

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La réplique de Firmin Paris (pseudonyme de l’abbé Maxime Hudon) aux chroniques de langage « Corrigeons-nous! » de Louis Frechette parues dans La Presse (1899) ne doit pas être évaluée seulement du point de vue des commentaires faits sur la langue. On pourrait plutôt y voir une attaque personnelle qui traduirait un conflit d’ordre idéologique entre les libéraux et les conservateurs. La chronique de langue de Paris dans La Défense sert de prétexte à un débat de société: un conflit social s’exprimant à travers le débat sur la langue. Dans cet article, après avoir situé les textes de Paris dans la tradition des chroniques de langue, on examinera comment se présente sa réplique, de façon à faire voir l’importance de l’explication de ce genre d’écrits pour la compréhension de l’histoire des idées au Canada français. L’approche méthodologique pratiquée ici s’inspire des travaux de l’analyse de discours avec une prise en compte du contexte historique et social de l’époque.
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