Academic literature on the topic 'Perception faciale'
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Journal articles on the topic "Perception faciale"
1
Hernández-Alfaro, Federico. "Syndrome d’hyperdivergence faciale." L'Orthodontie Française 87, no. 4 (December 2016): 479–89. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2016037.
Full textAbstract:
Introduction : Depuis que les analyses céphalométriques existent, un nombre significatif de méthodes d’évaluation de la dimension verticale squelettique a été proposé. De notre point de vue, le diagnostic d’une dysmorphie de la dimension verticale n’a rien à voir avec les chiffres et les mesures. Tout est affaire de perception et plutôt d’impressions subjectives. Cette impression de face longue survient quand un facteur isolé ou plusieurs causes sont réunies : excès vertical maxillaire, infraclusie, excès vertical antérieur mandibulaire, face étroite, manque de définition menton-cou Méthode : La planification du traitement est suivie d’une simulation 3D et de la conception-fabrication par ordinateur (CAD-CAM) de gouttières chirurgicales. Conclusion : La prise en charge chirurgicale des cas présentant une hyperdivergence faciale met en jeu différentes stratégies thérapeutiques qui peuvent être utilisées isolément ou combinées : impaction maxillaire, réduction verticale du menton, rotation antihoraire du plan occlusal.
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Gatignol, Peggy, I. Bernat, F. Tankere, C. Sain Oulhen, T. Truong Tan, and G. Lamas. "Perception et production des émotions au cours d’une paralysie faciale." Kinésithérapie, la Revue 11, no. 109-110 (January 2011): 87–88. http://dx.doi.org/10.1016/s1779-0123(11)75041-0.
Full text
3
Laverdière, Roxanne, Lye-Ann Robichaud, Annie Toulouse-Fournier, Audrey Marcoux, and Philip Jackson. "Influence du genre sur la perception de l'empathie à l'aide d'avatars." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 10, no. 2 (November 20, 2020): 13–15. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v10i2.40770.
Full textAbstract:
L’empathie, soit la capacité de comprendre et partager les émotions d’autrui, peut s’exprimer par le langage non verbal, notamment par l’entremise d’avatars dans les plateformes virtuelles en clinique et en recherche. Cependant, l’influence du genre dans l’interaction humain-avatar demeure encore inconnue. Cette étude en ligne vise à évaluer si la perception de l’empathie varie en fonction du genre du participant (homme/femme) et de la représentation de l’avatar (masculin/féminin), indépendamment des comportements non verbaux affichés par les avatars (Contact visuel; Expression faciale congruente; Inclinaison du tronc). Cent vingt adultes de la population générale âgés entre 18 et 60 ans ont été recrutés (76 s’identifiant comme une femme). Ils ont visionné des vidéos d’avatars (deux masculins et deux féminins) affichant différents comportements non verbaux, puis ont évalué l’empathie qu’ils percevaient. Les résultats de l’ANOVA factorielle mixte montrent que les participants perçoivent significativement plus d’empathie lorsqu’exprimée par des avatars féminins, ce qui est congruent avec les stéréotypes liés aux genres. Les résultats montrent également que le genre du participant n’influence pas le niveau l’empathie perçue. Les données obtenues montrent l’importance d’une représentation d’avatar féminin et permettront d’améliorer les plateformes virtuelles existantes, en plus d’améliorer les connaissances sur les interactions empathiques humain-machine.
4
Faure, Jacques, and Yves Bolender. "L’appréciation de la beauté : revue de littérature." L'Orthodontie Française 85, no. 1 (March 2014): 3–29. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2013073.
Full textAbstract:
Le jugement esthétique est bien sûr subjectif, mais ceci n’exclut pas une étude rigoureuse mettant en jeu des méthodes scientifiques. La base factuelle de la «science de l’esthétique» ne doit pas établir qu’une personne ou une image est «objectivement» belle, mais elle doit plutôt déterminer comment un groupe social représentatif ou des jurys ressentent cet «objet esthétique» comme beau ou laid. Le but de cet article est la revue des aspects définitionnels, théoriques et méthodologiques de la perception par un groupe social homogène et représentatif, du caractère attractif d’un visage ou d’un sourire. La première partie pose les principes de l’attirance faciale : la perception suppose un jury, un champ d’investigation, et un test susceptible de produire des données quantifiées; les déterminants généraux de la beauté sont ensuite passés en revue : la morphologie moyenne, le background culturel du juge, la numérologie, l’origine ethnique du juge. Les déterminants indirects qui peuvent intervenir sont la denture, l’architecture osseuse et l’enveloppe musculaire. Des facteurs perturbateurs altérant le jugement peuvent être mis en cause; ce sont des facteurs périphériques comme la coiffure et la couleur des cheveux, la texture de la peau, les rides, le rouge à lèvres... ou des facteurs psycho-sociaux comme l’aura du sujet évalué, son intelligence, son comportement. La seconde partie traite de la méthodologie employée pour apprécier «l’attractivité» d’une face et la corréler avec telle ou telle morphologie. Classiquement ceci est réalisé en déterminant la préférence esthétique moyenne pour divers groupes d’images faciales au sein d’un jury qui a pour tache spécifique d’estimer leurs qualités esthétiques. L’échantillon à juger, la présentation des documents, le ou les jurys, la procédure de notation sont discutés; ils doivent être précisés avant de commencer la collecte des données. Une attention spécifique est enfin portée sur la démarche d’appréciation associée à telle ou telle morphologie, décrite par des méthodes morpho-métriques. L’objectif ultime est bien sûr la sélection des morphologies les plus attractives pour nos patients.
5
Ferney, Pauline, François Clauss, Damien Offner, and Delphine Wagner. "Intérêt prophylactique et thérapeutique des chewing-gums sans sucre en orthodontie. Une étude menée auprès de professionnels de santé et de patients." L'Orthodontie Française 88, no. 3 (September 2017): 275–81. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2017020.
Full textAbstract:
Objectif : L’objectif de cette étude est d’évaluer le niveau de connaissances des professionnels de santé bucco-dentaire et des patients au sujet du rôle prophylactique et thérapeutique de la consommation des chewing-gums sans sucre. Matériels et Méthodes : Une étude transversale monocentrique de perception portant sur le niveau d’information relatif aux effets de la consommation des chewing-gums sans sucre a été menée auprès de 135 patients adolescents, âgés de 11 à 17 ans, porteurs d’un dispositif orthodontique fixe et traités au sein de l’Unité Fonctionnelle d’Orthopédie Dento-Faciale du pôle de Médecine et de Chirurgie Bucco-dentaires des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, et de 34 praticiens au sein de l’Unité Fonctionnelle d’Orthopédie Dento-Faciale et d’Odontologie Pédiatrique. Les données ont été recueillies entre mai 2016 et juillet 2016. Deux questionnaires distincts, à la terminologie adaptée, ont été élaborés pour chacune des deux populations, ils abordent les mêmes thématiques. Résultats : La majorité des individus des deux populations étudiées pensent que la consommation de chewing-gum sans sucre entraîne un risque accru de décollement ou de fracture de l’appareil orthodontique et qu’elle ne permet pas une diminution de la douleur orthodontique. Discussion : Nos résultats corroborent le fait que les connaissances, le plus souvent acquises de façon empirique, sont à l’encontre des données de la littérature actuelle. L’évaluation du niveau de connaissance prouve qu’il existe un réel déficit d’information quant aux intérêts prophylactiques de la consommation des chewing-gums sans sucre chez les patients porteurs d’un dispositif orthodontique. Conclusions : Cette étude met en évidence le besoin de campagnes d’information et de prévention bucco-dentaire destinées aussi bien aux professionnels de santé qu’au grand public portant sur les intérêts prophylactiques et antalgiques des chewing-gums sans sucre dans le cadre des traitements orthodontiques.
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Lefevre, Carmen E., and Gary J. Lewis. "Perceiving Aggression from Facial Structure: Further Evidence for A Positive Association with Facial Width–To–Height Ratio and Masculinity, but Not for Moderation by Self–Reported Dominance." European Journal of Personality 28, no. 6 (November 2014): 530–37. http://dx.doi.org/10.1002/per.1942.
Full textAbstract:
Recent work has indicated that individual differences in facial structure are linked to perceptions of aggressiveness. In particular, the relative width of a face [facial width–to–height ratio (fWHR)] has been suggested to be a reliable cue to aggressive behaviour, at least in men. Additionally, facial masculinity has been associated with perceptions of dominance, a close proxy of aggressiveness. In two studies, we assessed the robustness of this link using faces transformed along these vectors in men (Studies 1 and 2) and women (Study 2). Additionally, we examined whether individual differences in self–reported dominance of perceivers moderated this association in order to extend previous work indicating that own dominance affects perception of such behaviour in others. Results indicated that both male and female faces with increased fWHR and increased facial masculinity were perceived as more aggressive. However, we found no systematic evidence for moderating effects of self–reported dominance on the perception of aggression in others. Taken together, these results further support the robustness of fWHR and facial masculinity as cues to aggressiveness but question whether observers’ own dominance moderates their perception of these cues in others. Copyright © 2013 European Association of Personality Psychology
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Tobiasen, Joyce M., and John M. Hiebert. "Combined Effects of Severity of Cleft Impairment and Facial Attractiveness on Social Perception: An Experimental Study." Cleft Palate-Craniofacial Journal 30, no. 1 (January 1993): 82–86. http://dx.doi.org/10.1597/1545-1569_1993_030_0082_ceosoc_2.3.co_2.
Full textAbstract:
Children and adolescents provided their impressions of stimulus faces that systematically varied in attractiveness and severity of cleft impairment. The results indicated that facial attractiveness is a consistent characteristic of cleft-impaired faces. However, facial attractiveness did not moderate the negative impact of cleft impairment on social perception. Reduced severity of impairment did moderate the negativity of social perception. The implications of these findings for our understanding of the effects of cleft impairment on social perceptions are discussed.
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Akram, Umair, Rachel Sharman, and Amy Newman. "Altered Perception of Facially Expressed Tiredness in Insomnia." Perception 47, no. 1 (August 11, 2017): 105–11. http://dx.doi.org/10.1177/0301006617725241.
Full textAbstract:
The present study compared normal sleepers and individuals displaying insomnia symptoms in their ratings for the expression intensity of tiredness and alertness whilst observing tired and neutral faces. Fifty-six normal sleepers and 58 individuals with insomnia symptoms observed 98 facial photographs (49 neutral, 49 tired). Using a visual analogue scale, participants were required to rate the extent to which each face appeared as tired and alert. Tired faces were created by manipulating neutral photographs to include previously identified facial tiredness cues. All participants rated sleep-related faces as more tired and less alert relative to neutral photographs. A significant Group × Face × Rating interaction demonstrated that, compared with normal sleepers, the insomnia symptoms group showed lower ratings for the expression of tiredness, but not alertness, whilst observing the tired faces. The findings suggest that the presence of insomnia symptoms is associated with reduced ratings of expression intensity for sleep-related facial photographs displaying tiredness. These outcomes add to the body of literature on how facial cues of tiredness are perceived by those with insomnia symptoms. Further work is required to elucidate the mechanisms underlying the relationship between insomnia symptoms and reduced perceptions of facially expressed tiredness.
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Lu, Yan, Jie Yang, Kaida Xiao, Michael Pointer, Changjun Li, and Sophie Wuerger. "Investigation of effect of skin tone to facial attractiveness." Color and Imaging Conference 2020, no. 28 (November 4, 2020): 25–29. http://dx.doi.org/10.2352/issn.2169-2629.2020.28.5.
Full textAbstract:
Previous research has shown the perceptual importance of skin tone appearance and how it contributes to perceived facial attractiveness, yet facial-colour perceptions may vary with different ethnic groups. This research was designed to explore the cross-cultural effects of the facial skin tone on perceived attractiveness between Caucasian (CA) and Chinese (CH) observers. 80 images of real human faces were used for facial attractiveness assessment by the two groups of observers using the categorical judgment method. The results showed overall similar preference but fine-scale differences in the perception of their own-ethnic facial images and other-ethnic facial images. Both groups of observers tended to use different criteria when judging the facial tone of different ethnic groups. Our findings show the aesthetic difference of different cultures in perceptions and underline the important role of ethnic differences with respect to skin tone preference.
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Reed, J. Ann, and Elizabeth M. Blunk. "THE INFLUENCE OF FACIAL HAIR ON IMPRESSION FORMATION." Social Behavior and Personality: an international journal 18, no. 1 (January 1, 1990): 169–75. http://dx.doi.org/10.2224/sbp.1990.18.1.169.
Full textAbstract:
The influence of facial hair on the perception of a job applicant by persons in business was examined in this study. Subjects were 228 persons in management positions who made hiring decisions. Subjects were shown ink sketches of six male job applicants. The sketches varied on three facial hair dimensions-clean shaven, moustached, and bearded. Sketches were evaluated on semantic differential scales. Results indicated consistently more positive perceptions of social/physical attractiveness, personality, competency, and composure for men with facial hair.
Dissertations / Theses on the topic "Perception faciale"
1
Bayet, Laurie. "Le développement de la perception des expressions faciales." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2015. http://www.theses.fr/2015GREAS049/document.
Full textAbstract:
Cette thèse se propose d'examiner le développement de la perception des expressions faciales émotionnelles en le replaçant dans le cadre théorique de la perception des visages: séparation entre aspects variants (expression, regard) et invariants (genre, type), rôle de l'expérience, attention sociale. Plus spécifiquement, nous avons cherché à mettre en évidence l'existence, tant chez l'enfant que chez le nourrisson, d'interactions réciproques entre la perception d'expressions faciales de colère, de sourire ou de peur et la perception du genre (Études 1-2), la perception du regard (Étude 3), et la détection des visages (Étude 4).Dans un premier temps, nous avons montré que les adultes et les enfants de 5 à 12 ans tendent à catégoriser les visages en colère comme masculins (Étude 1). Comparer les performances humaines avec celles de classifieurs automatique suggère que ce biais reflète l'utilisation de certains traits et relations de second-ordre des visages pour en déterminer le genre. Le biais est identique à tous les âges étudiés ainsi que pour les visages de types non-familiers. Dans un second temps, nous avons testé si, chez le nourrisson, la perception du sourire dépend de dimensions invariantes du visage sensibles à l'expérience - le genre et le type (Étude 2). Les nourrissons ont généralement plus d'expérience avec les visages féminins d'un seul type. Les nourrissons de 3.5 mois montrent une préférence visuelle pour les visages souriants (dents visibles, versus neutre, de type familier) lorsque ceux-ci sont féminins; l'inverse est observé lorsqu'ils sont masculins. L'effet n'est pas répliqué lorsque les dents des visages souriants (d'un type familier ou non) ne sont pas visibles. Nous avons cherché à généraliser ces résultats à une tâche de référencement d'objet chez des nourrissons de 3.5, 9 et 12 mois (Étude 3). Les objets préalablement référencés par des visages souriants étaient autant regardés que les objets préalablement référencés par des visages neutres, quel que soit le groupe d'âge ou le genre du visage, et ce malgré des différences en terme de suivi du regard. Enfin, en employant une mesure univariée (préférence visuelle pour le visage) et une mesure multivariée (évidence globale distinguant le visage du bruit) de la détection du visage à chaque essai, associées à une modélisation des courbes psychométriques par modèles non-linéaire mixtes, nous mettons en évidence une meilleure détection des visages de peur (comparés aux visages souriants) dans le bruit phasique chez les nourrissons à 3.5, 6 et 12 mois (Étude 4).Ces résultats éclairent le développement précoce et le mécanisme des relations entre genre et émotion dans la perception des visages ainsi que de la sensibilité à la peurThis thesis addressed the question of how the perception of emotional facial expressions develops, reframing it in the theoretical framework of face perception: the separation of variant (expression, gaze) and invariant (gender, race) streams, the role of experience, and social attention. More specifically, we investigated how in infants and children the perception of angry, smiling, or fearful facial expressions interacts with gender perception (Studies 1-2), gaze perception (Study 3), and face detection (Study 4).In a first study, we found that adults and 5-12 year-old children tend to categorize angry faces as male (Study 1). Comparing human performance with that of several automatic classifiers suggested that this reflects a strategy of using specific features and second-order relationships in the face to categorize gender. The bias was constant over all ages studied and extended to other-race faces, further suggesting that it doesn't require extensive experience. A second set of studies examined whether, in infants, the perception of smiling depends on experience-sensitive, invariant dimensions of the face such as gender and race (Study 2). Indeed, infants are typically most familiar with own-race female faces. The visual preference of 3.5 month-old infants for open-mouth, own-race smiling (versus neutral) faces was restricted to female faces and reversed in male faces. The effect did not replicate with own- or other-race closed-mouth smiles. We attempted to extend these results to an object-referencing task in 3.5-, 9- and 12-month-olds (Study 3). Objects previously referenced by smiling faces attracted similar attention as objects previously cued by neutral faces, regardless of age group and face gender, and despite differences in gaze following. Finally, we used univariate (face side preference) and multivariate (face versus noise side decoding evidence) trial-level measures of face detection, coupled with non-linear mixed modeling of psychometric curves, to reveal the detection advantage of fearful faces (compared to smiling faces) embedded in phase-scrambled noise in 3.5-, 6-, and 12-month-old infants (Study 4). The advantage was as or more evident in the youngest group than in the two older age groups.Taken together, these results provide insights into the early ontogeny and underlying cause of gender-emotion relationships in face perception and the sensitivity to fear
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Dupouy, Stéphanie. "Le visage au scalpel : l'expression faciale dans l'oeil des savants (1750-1880)." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010677.
Full textAbstract:
Cette thèse est une histoire des idées et des pratiques savantes sur l'expression faciale et corporelle, du milieu du XVIIIe au deuxième tiers du XIXe siècle. Elle s'intéresse à la façon dont des médecins, anatomistes, physiologistes ou naturalistes (Camper, Bell, Duchenne de Boulogne, Darwin. . . ) ont observé, classé et analysé les manifestations non-verbales des passions, sentiments et émotions sur la face humaine et animale, ce corpus étant librement éclairé par l'analyse de textes philosophiques et esthétiques de la même époque. Je confronte en particulier cette science de l'expression aux vues des Lumières sur le langage naturel et à l'évolution des valeurs morales et esthétiques prêtées aux sentiments et à l'expression sur la période. À travers cette entreprise savante, j'étudie l'histoire des normes d'objectivité variables régulant l'observation et la description scientifique du corps humain - en fonction, par exemple, des dispositifs techniques disponibles (comme la photographie).
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Vannier, Loïc. "Perception des visages et des expressions faciales émotionnelles chez l'adulte et l'enfant : aspects neurophysiologiques." Tours, 2004. http://www.theses.fr/2004TOUR3311.
Full textAbstract:
Cette recherche a permis d'élaborer un protocole fiable utilisant l'EEG quantifié pour étudier la perception explicite des visages et des émotions faciales. Une étude préliminaire a testé la stabilité de l'EEG et la reproductibilité des activations obtenues. Ensuite, la réactivité corticale de 31 adultes et 15 enfants a été enregistrée lors de la perception d'expressions faciales. Chez l'adulte, on observe une prédominance de l'hémisphère droit dans le traitement des visages et des émotions, une activation des zones frontales et temporales liées à la perception des stimuli sociaux et l'activation des régions centro-pariétales lors de la perception des émotions intersubjectives. Chez l'enfant, on observe une activation corticale généralisée laissant supposer que le traitement des visages et des émotions n'est pas encore mature. La simplicité du protocole élaboré ici fait de l'EEGq une méthode fiable pour étudier la perception des visages et pouvant être appliquée chez l'enfant autisteThe aim of this study was to elaborate a protocol using quantified EEG to investigate explicit perception of faces and facial emotions. A previous study has tested the stability of qEEG and the reproducibility of the activations found. Cortical reactivity of 31 adults and 15 children was recorded during perception of facial expressions. A dominance of right hemisphere is observed in adults during face and emotion processing. Social stimuli induce frontal and temporal activations and central parietal areas are implicated in relational emotions. A global cortical activation is found in children showing that face and emotion processing isn't yet mature. This simple protocol shows that qEEG is a valid technique to investigate face perception and applicable in autistic children
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Prigent, Elise. "Modulation émotionnelle de la perception de l’action motrice d’autrui." Thesis, Paris 11, 2012. http://www.theses.fr/2012PA113006.
Full textAbstract:
L’être humain est un être social amené à comprendre les comportements moteurs d’autrui. Selon la littérature, nous disposons de mécanismes cognitifs spécifiques, d’une part à la perception d’un corps humain (qu’il soit statique ou en mouvement), et d’autre part à la perception des expressions faciales émotionnelles. Ce travail de thèse vise à comprendre dans quelle mesure l'émotion véhiculée par le visage d'une personne, peut moduler notre perception de son action motrice. Les résultats de l’étude 1 ont montré que l’estimation de l’équilibre statique d’autrui pouvait être modulée par l’expression faciale émotionnelle (de sourire ou de crispation) exprimée par celui-ci. L’étude 2, a porté sur l’estimation de l’effort physique développé par une personne uniquement à partir de son expression faciale de douleur. Les résultats ont montré que les participants, dans ce type de tâche, utilisent deux mécanismes perceptifs automatiques. Le premier, mis en évidence par mesure fonctionnelle, facilite l’estimation de l’intensité de douleur à l’effort ressentie par autrui. Le second, démontré par la mesure d’un biais de mémorisation, entraîne une anticipation automatique de la suite de l’évolution de l’expression faciale de douleur à l’effort présentée. L’étude 3 a montré que l’estimation de l’effort physique développé par une personne atteinte de paraplégie réalisant un mouvement de transfert, est modulée par deux comportements de douleur (l’auto-protection et l’expression faciale de douleur). Toutefois, cette modulation diffère selon la familiarité des participants avec le monde médical et la paraplégie. En conclusion, ce travail de recherche propose que la modulation émotionnelle de la perception de l’action motrice d’autrui est en premier lieu sous-tendue par un processus automatique et implicite de contagion émotionnelle (bottom-up). Toutefois, cette dernière peut être inhibée par un processus explicite (top-down) qui dépendrait d’une part du type d’inférence à effectuer sur autrui (estimer l’équilibre postural ou l’effort physique développé), et d’autre part de la familiarité de l’observateur avec l’action motrice et les expressions faciales présentéesUnderstanding others’ motor behaviour is part and parcel of Humans’ social experience. According to scientific literature, we rely on specific mechanisms for perceiving human bodies (whether static or moving) on the one hand, and processing emotional facial expressions on the other hand. This thesis aims to understand to what extent the emotion conveyed by a person’s face can modulate one’s perception of her/his motor action. Results of study 1 showed that our estimation of an individual’s static equilibrium is modulated by the observed individual’s emotional facial expression (smiling or tensed). Study 2 focused on perceptual estimation of the physical effort developed by a person on the basis of his facial expression of pain alone. Results revealed that participants adopt two automatic perceptual mechanisms. The first, highlighted via functional measurement, facilitates estimating the intensity of effort pain felt by others. The second, evidenced by measuring memory bias, leads to an automatic anticipation of the subsequent changes in the intensity of pain-related facial expressions. Study 3 showed that the estimation of physical effort developed by a paraplegic individual performing a transfer movement is modulated by two pain behaviours (guarding and facial expression of pain). Interestingly, this modulation varies with participants’ familiarity with both the medical domain and paraplegia. The conclusion of this research suggests that the modulation of emotional perception related to others’ motor action is primarily subtended by an automatic (bottom-up) process and an implicit emotional contagion. However, the latter can be inhibited by an explicit (top-down) process which may depend on (1) the type of inference made on others (estimating postural balance or physical effort developed in others), and (2) the familiarity of the observer with motor action and facial expressions
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Jacques, Corentin. "Décours temporel de la perception visuelle des visages : de la catégorisation faciale à l'encodage d'une représentation individuelle." Université catholique de Louvain, 2007. http://edoc.bib.ucl.ac.be:81/ETD-db/collection/available/BelnUcetd-11302007-101545/.
Full textAbstract:
Etude de la dynamique temporelle de la catégorisation faciale depuis la détection d'un visage dans le champ visuel jusqu'a l'encodage d'une représentation individuelle du visage. Investigation de cette dynamique temporelle via l'électrophysiologie chez le sujet humain (potentiels évoqués). / Temporal dynamics of face visual categorization : an electrophysiological (event-related potentials) approach
6
Lescanne, Emmanuel. "L'arachnoïde des citernes ponto-cérébelleuse et acoustico-faciale : Micro-anatomie appliquée à la chirurgie des Schwannomes Vestibulaires." Tours, 2006. http://www.theses.fr/2007TOUR3303.
Full textAbstract:
Cette thèse d'université a eu pour objectifs de compléter l'étude anatomique et histologique du méat auditif interne (MAI) puis de vérifier l'origine épi-arachnoïdienne du Schwannome vestibulaire (SV). Ces travaux ont été réalisés au laboratoire d'anatomie et d'histologie sur des spécimens normaux ou envahis par un SV. Nous avons démontré l'existence d'une citerne acoustico-faciale qui contenait l'ensemble du paquet vasculo-nerveux cochléo-vestibulo-facial. Le ganglion vestibulaire, point de départ du SV était inclus dans la citerne. Aucun feuillet arachnoïdien, séparant la tumeur du reste du contenu du MAI, n'a été mis en évidence, comme l'a pourtant suggéré l'origine épi-arachnoïdienne de la tumeur. Aussi nos observations allaient à l'encontre des descriptions de la littérature chirurgicale sur le sujet. Nous avons contredit la théorie de duplication arachnoïdienne au cours de la croissance médicale du SV contribuant à expliquer les difficultés chirurgicales rencontrées lors des tentatives de microdissection atraumatiques de la tumeurGoals of this PhD thesis, were to complete, at the anatomy and histology laboratories, the description of the internal acoustic meatus (IAM) and its contents. Additional goals were intended to verify the epi-arachnoidal origin of vestibular schwannoma (VS) by using temporal bones (TB), which were either normal or invaded by a VS. We demonstrated the existence of an acousticofacial cistern containing every nerve of the vestibulocochleofacial complex, including the vestibular ganglion from which VS develop. We saw no layer between the tumor and the intrameatal VS, as an epi-arachnoidal tumor origin would suggest. These observations are in contradiction with the descriptions concerning the epi-arachnoidal origin of VS. These findings clearly contradict the theory of the duplication of arachnoidal layers during medial growth of vestibular neuromas and may explain some of the intraoperative difficulties encountered in the atraumatic dissection of these tumors
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Tessier, Marie-Hélène. "Décours temporel de l'expression faciale dynamique de la douleur à l'aide d'avatars virtuels." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32634.
Full textAbstract:
L’informatique affective vise à développer des systèmes informatiques capables de reconnaître et de recréer en réalité virtuelle certains états internes de l’humain. La douleur est un de ces états internes qui est décrit comme une expérience subjective à la fois sensorielle et affective. Pour communiquer aux autres notre douleur, les expressions faciales sont un moyen adaptatif. Si la composition en termes de mouvements faciaux est bien connue pour la douleur, le décours temporel de ces mouvements a peu été abordé. L’objectif du mémoire est de comparer le niveau de réalisme de différents décours temporels de l’expression faciale de la douleur chez des avatars et d’évaluer leur effet sur la douleur observée. Une étude empirique a été réalisée auprès de 45 adultes (22 femmes). Six ordres d’apparition de mouvements faciaux de la douleur et une apparition synchronisée ont été présentés aux participants par le biais de quatre avatars (deux femmes). Les participants ont jugé le niveau de réalisme des mouvements faciaux, ainsi que l’intensité et le niveau de désagrément de la douleur. Les résultats révèlent que les expressions de douleur sont perçues comme plus réalistes lorsque les mouvements autour des yeux apparaissent avant ceux autour du nez et de la bouche, comme plus intensément douloureuses lorsque les mouvements des sourcils sont les derniers à apparaître, et avec un niveau de désagrément plus élevé lorsque les mouvements autour du nez et de la bouche apparaissent avant ceux des sourcils. La séquence « Yeux, Nez/Bouche et Sourcils » était la seule qui était perçue comme étant la plus élevée au niveau du réalisme et de la douleur. Ce mémoire soulève l’importance de l’ordre d’apparition des mouvements faciaux dans la perception d’expressions de douleur, contribuant ainsi à l’avancement des connaissances sur le décodage et la production d’expressions de douleur en réalité virtuelle.Affective computing aims to develop computer-based systems that can recognize and recreate some human internal states through virtual reality. Pain is one such internal states described as both a sensory and an affective subjective experience. To communicate our pain to others, facial expressions are an adaptive mean. Although the still pain facial expression is well defined, the sequential order of movements that compose it has rarely been addressed in research. The objective of this thesis is to compare the various levels of realism as well as pain intensity and unpleasantness level attributed to different sequential orders of avatars’ facial expressions of pain. An empirical study has been conducted with 45 adults (22 women), who rated seven orders of appearance of different facial pain movements (six sequences and one synchronized apparition) of four avatars (two women). The results showed that pain expressions were perceived: 1) as more realistic when the eye-related movements appeared before the nose- and mouth- related movements; 2) as more intensely painful when browsrelated movements were the last to appear; 3) as depicting higher unpleasantness level when the noseand mouth-related movements appeared before the brows-related movements. In fact, the sequence “Eyes, Nose/Mouth, Brows” was the only one that was perceived as the highest on both realism and pain level. The results of this study raise the importance of the order of appearance of facial movements in the perception of pain expressions. Thus, this thesis contributes to the field of affective computing through the advancement of knowledge on decoding and producing pain expressions in virtual reality.
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Boucenna, Sofiane. "De la reconnaissance des expressions faciales à une perception visuelle partagée : une architecture sensori-motrice pour amorcer un référencement social d'objets, de lieux ou de comportements." Phd thesis, Université de Cergy Pontoise, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00660120.
Full textAbstract:
Cette thèse se concentre sur les interactions émotionnelles en robotique autonome. Le robot doit pouvoir agir et réagir dans un environnement naturel et faire face à des perturbations imprédictibles. Il est donc nécessaire que le robot puisse acquérir une autonomie comportementale à savoir la capacité d'apprentissage et d'adaptation en ligne. En particulier, nous nous proposons d'étudier quels mécanismes introduire pour que le robot ait la capacité de se constituer une perception des objets de son environnement qui puisse être partagée par celle d'un partenaire humain. Le problème sera de faire apprendre à notre robot à préférer certains objets et à éviter d'autres objets. La solution peut être trouvée en psychologie dans ce que l'on appelle "référencement social" ("social referencing") qui consiste à attribuer une valeur à un objet grâce à l'interaction avec un partenaire humain. Dans ce contexte, notre problème est de trouver comment un robot peut apprendre de manière autonome à reconnaître les expressions faciales d'un partenaire humain pour ensuite les utiliser pour donner une valence aux objets et permettre leur discrimination. Nous nous intéresserons à comprendre comment des interactions émotionnelles avec un partenaire peuvent amorcer des comportements de complexité croissante tel que le référencement social. Notre idée est que le référencement social aussi bien que la reconnaissance d'expressions faciales peut émerger d'une architecture sensori-motrice. Sans connaissance de ce que l'autre est, le robot devrait réussir à apprendre des tâches "sociales" de plus en plus complexes. Nous soutenons l'idée que le référencement social peut être amorcé par une simple cascade d'architectures sensori-motrices qui à la base ne sont pas dédiées aux interactions sociales. Cette thèse traite de plusieurs sujets qui ont comme dénominateur commun l'interaction sociale. Nous proposons tout d'abord une architecture capable d'apprendre à reconnaître de manière autonome des expressions faciales primaires grâce à un jeu d'imitation entre une tête expressive et un expérimentateur. Les interactions avec le dispositif robotique commençeraient par l'apprentissage de 5 expressions faciales prototypiques. Nous proposons ensuite une architecture capable de reproduire des mimiques faciales ainsi que leurs différents niveaux d'intensité. La tête expressive pourra reproduire des expressions secondaires par exemple une joie mêlée de colère. Nous verrons également que la discrimination de visages peut émerger de cette interaction émotionnelle à l'aide d'une rythmicité implicite qui se crée entre l'homme et le robot. Enfin, nous proposerons un modèle sensori-moteur ayant la capacité de réaliser un référencement social. Trois situations ont pu être testées: 1) un bras robotique capable d'attraper et de fuir des objets selon les interactions émotionnelles venant du partenaire humain. 2) un robot mobile capable de rejoindre ou d'éviter certaines zones de son environnement. 3) une tête expressive capable d'orienter son regard dans la même direction que l'humain tout ! en attribuant des valeurs émotionnelles aux objets via l'interaction expressive de l'expérimentateur. Nous montrons ainsi qu'une séquence développementale peut émerger d'une interaction émotionnelle de très bas niveau et que le référencement social peut s'expliquer d'abord à un niveau sensori-moteur sans nécessiter de faire appel à un modèle de théorie de l'esprit.
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Bayle, Dimitri. "Traitement cérébral de l’expression faciale de peur : vision périphérique et effet de l’attention." Thesis, Lyon 1, 2009. http://www.theses.fr/2009LYO10227/document.
Full textAbstract:
L’expression faciale de peur constitue un important vecteur d’information sociale mais aussi environnementale. En condition naturelle, les visages apeurés apparaissent principalement dans notre champ visuel périphérique. Cependant, les mécanismes cérébraux qui sous-tendent la perception de l’expression faciale de peur en périphérie restent largement méconnus. Nous avons démontré, grâce à des études comportementales, des enregistrements magnétoencéphalographiques et intracrâniens, que la perception de l’expression faciale de peur est efficace en grande périphérie. La perception de la peur en périphérie génère une réponse rapide de l’amygdale et du cortex frontal, mais également une réponse plus tardive dans les aires visuelles occipitales et temporales ventrales. Le contrôle attentionnel est capable d’inhiber la réponse précoce à l’expression de peur, mais également d’augmenter les activités postérieures plus tardives liées à la perception des visages. Nos résultats montrent non seulement que les réseaux impliqués dans la perception de la peur sont adaptés à la vision périphérique, mais ils mettent également en avant une nouvelle forme d’investigation des mécanismes de traitement de l’expression faciale, pouvant conduire à une meilleure compréhension des mécanismes de traitement des messages sociaux dans des situations plus écologiquesFacial expression of fear is an important vector of social and environmental information. In natural conditions, the frightened faces appear mainly in our peripheral visual field. However, the brain mechanisms underlying perception of fear in the periphery remain largely unknown. We have demonstrated, through behavioral, magnetoencephalographic and intracranial studies that the perception of fear facial expression is efficient in large peripheral visual field. Fear perception in the periphery produces an early response in the amygdala and the frontal cortex, and a later response in the occipital and infero-temporal visual areas. Attentional control is able to inhibit the early response to fear expression and to increase the later temporo-occipital activities linked to face perception. Our results show that networks involved in fear perception are adapted to the peripheral vision. Moreover, they validate a new form of investigation of facial expression processing, which may lead to a better understanding of how we process social messages in more ecological situations
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Linares, Claire. "Three Essays on Consumer Social Cognition in a Technology-Rich World." Thesis, Jouy-en Josas, HEC, 2022. http://www.theses.fr/2022EHEC0001.
Full textAbstract:
Les trois essais de cette thèse examinent des processus de cognition sociale qui prennent une résonance particulière dans le monde technologique d’aujourd’hui. L’essai 1 étudie l’effet de la simple présence d’un appareil technologique, le smartphone, sur les interactions sociales et la créativité. L’objectif initial de cet essai était de s’appuyer sur le travail de Przybylski et Weinstein (2013) montrant l’effet négatif de la simple présence d’un téléphone sur la formation des relations sociales afin d’étendre l’investigation à la créativité. Après deux réplications manquées des résultats de Przybylski et Weinstein (2013), la conclusion de ce travail est que l’effet de la simple présence d’un smartphone est a minima plus dur à capturer qu’il a pu l’être auparavant. Les deux autres essais de cette thèse examinent des questions à l’intersection du management et de la perception faciale, à l’heure où les visages prennent une place nouvelle dans les interactions sociales avec le développement des médias sociaux et des plateformes de vidéoconférence d’une part, et l’augmentation des données faciales avec les médias sociaux et les technologies de détection faciale d’autre part. L’essai 2 examine les stéréotypes faciaux d’utilisateurs de marques, c’est-à-dire les représentations mentales qu’ont les individus des visages d’utilisateurs typiques d’une marque (par exemple, le visage d’un conducteur de BMW). La première partie révèle que de tels stéréotypes partagés existent, en utilisant une méthode empruntée à la recherche en perception faciale, qui est nouvelle en psychologie du consommateur, pour composer des « portraits-robots » d’utilisateurs de différentes marques de voiture pour des consommateurs allemands. La seconde partie révèle un effet d’association visage-marque, selon lequel des observateurs peuvent trouver la marque de parfum d’une personne à partir de son visage avec plus d’exactitude que de la chance, au-delà d’indicateurs sociodémographiques. Ensemble, les résultats de l’essai 2 suggèrent que les visages et les marques peuvent être reliés dans les représentations mentales des consommateurs et leurs vrais visages. Bien que ce travail ouvre des opportunités managériales, les consommateurs ne sont peut-être pas conscients de l’information que révèle leur visage, ce qui soulève des questions éthiques à traiter. Enfin, l’essai 3 explore les stéréotypes faciaux de prénoms, c’est-à-dire les représentations mentales qu’ont les individus du visage de quelqu’un qui porte un prénom donné (par exemple, le stéréotype du visage d’un homme appelé James). La première partie d’une étude a produit des portraits-robots associés à une série de prénoms français (par exemple, les visages associés aux prénoms Julien et Nicolas). La seconde partie de l’étude est en cours. Avant de soumettre le document présent, les données collectées jusqu’au 29 mars 2022 ont été analysées (143 participants valides sur les 250 participants prédéfinis) pour évaluer la tendance des résultats. Ils révèlent déjà qu’un échantillon indépendant de participants peut reconnaître les prénoms des portraits-robots significativement mieux qu’aléatoirement. Si ces résultats sont confirmés une fois la totalité de l’échantillon collectée, cette recherche offrirait la preuve directe de l’existence de stéréotypes faciaux de prénoms, tout en validant l’utilisation de la méthode de « reverse correlation » de l’essai 2 pour visualiser ces stéréotypes. L’objectif est de poursuivre ce travail dans le domaine du management avec plusieurs directions possibles qui sont détaillées dans la conclusion de cet essai. En synthèse, cette thèse apporte un éclairage sur des questions de marketing et management qui ont une pertinence théorique aussi bien que des implications managériales et éthiques dans le monde réel et virtuel d’aujourd’huiThe three essays of this dissertation examine consumer social cognition processes which take a special resonance in today’s technological world. Essay 1 investigates the effect of the mere presence of a technological device, a smartphone, on social interactions and creativity. The initial objective of this essay was to build on the work of Przybylski and Weinstein (2013), which showed a negative effect of the mere presence of a phone on relationship formation, to extend the investigation to creativity. After two failed replications of Przybylski and Weinstein’s (2013) results and an absence of robust results on creativity, the conclusion of this work is that the effect of the mere presence of a smartphone is at least harder to find than it may have been before. The two other essays in this dissertation examine questions at the intersection of management and face perception, at a time when faces take a new place in social interactions with the development of social media and videoconferencing platforms and with the increase in facial data with social media and facial detection technologies. Essay 2 investigates brand–user facial stereotypes, the mental representations that people have of the faces of the typical users of a brand (e.g., the face of a BMW driver). The first part reveals that such shared stereotypes exist by using a method borrowed from face-perception research that is new in consumer behavior research to compose “mugshots” of different car brand users for German consumers. The second part uncovers a face–brand matching effect, whereby observers can accurately match a target’s true perfume brand to their face, above chance level, and beyond sociodemographic cues. Together, the results of Essay 2 suggest that faces and brands can be connected both in consumers’ mental representations and in their actual faces. Although this work opens managerial opportunities, consumers may not be aware of the information that their faces reveal, which raises ethical questions to address. Finally, Essay 3 explores facial name stereotypes, that is the mental representations that people have of the face of someone wearing a given name (e.g., the stereotypical face of a man named James). The first part of a study produced mugshots associated with a series of French given names (e.g., the faces associated with the names Julien and Nicolas). The second part is currently in progress. Before sending the present document, the data collected up to March 29, 2022 were analyzed (143 valid participants out of 250 preregistered participants) to get a sense of the pattern. It already reveals that the mugshots are recognized on average by an independent sample of participants, significantly above chance level. If these preliminary results are confirmed once the preregistered sample size will be attained, this research would offer direct evidence supporting the existence of facial name stereotypes while validating the use of the reverse correlation technique from Essay 2 to capture such stereotypes. The objective is to take this work forward in the management domain in one of several possible directions fleshed out in the General Discussion of this essay. Overall, this dissertation sheds light on marketing and management questions that have theoretical relevance as well as managerial and ethical implications in our real- and virtual-world
Books on the topic "Perception faciale"
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Ikeda, Susumu. Hito no kao matawa hyōjō no shikibetsu ni tsuite: Shoki no jikkenteki kenkyū o chūshin to shita shiteki tenbō. Suita-shi: Kansai Daigaku Shuppanbu, 1987.
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3
Carter, Sandra E., and Vaughan T. Bailey. Facial expressions: Dynamic patterns, impairments and social perceptions. Hauppauge, N.Y: Nova Science Publisher's, 2012.
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5
Barabanshchikov, V. A. Vosprii︠a︡tie vyrazheniĭ lit︠s︡a. Moskva: Institut psikhologii RAN, 2009.
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6
Gojmerac, Christina Barbara. Perception of emotional facial expressions elicit approach and withdrawal behaviour. Ottawa: National Library of Canada, 2002.
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8
W, Vorder Bruegge Richard, ed. Computer-aided forensic facial comparison. Boca Raton, FL: Taylor & Francis Group, 2010.
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Valentine, Tim, and Josh P. Davis. Forensic facial identification: Theory and practice of identification from eyewitnesses, composites and CCTV. Chichester, West Sussex: John Wiley & Sons Inc., 2015.
Find full textBook chapters on the topic "Perception faciale"
1
Hoffmann, Holger, Harald C. Traue, Franziska Bachmayr, and Henrik Kessler. "Perception of Dynamic Facial Expressions of Emotion." In Perception and Interactive Technologies, 175–78. Berlin, Heidelberg: Springer Berlin Heidelberg, 2006. http://dx.doi.org/10.1007/11768029_17.
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2
Knowles, Kristen. "The Evolutionary Psychology of Leadership Trait Perception." In The Facial Displays of Leaders, 97–121. Cham: Springer International Publishing, 2018. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-94535-4_5.
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3
Nkengne, Alex, Georgios Stamatas, and Christiane Bertin. "Facial Skin Attributes and Age Perception." In Textbook of Aging Skin, 973–80. Berlin, Heidelberg: Springer Berlin Heidelberg, 2010. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-540-89656-2_91.
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4
Nkengne, Alex, Georgios N. Stamatas, and Christiane Bertin. "Facial Skin Attributes and Age Perception." In Textbook of Aging Skin, 1689–700. Berlin, Heidelberg: Springer Berlin Heidelberg, 2016. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-662-47398-6_91.
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5
Nkengne, Alex, Georgios N. Stamatas, and Christiane Bertin. "Facial Skin Attributes and Age Perception." In Textbook of Aging Skin, 1–12. Berlin, Heidelberg: Springer Berlin Heidelberg, 2015. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-642-27814-3_91-2.
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6
Saha, Chandrani, Washef Ahmed, and Soma Mitra. "A New Motion Based Fully Automatic Facial Expression Recognition System." In Perception and Machine Intelligence, 145–54. Berlin, Heidelberg: Springer Berlin Heidelberg, 2012. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-642-27387-2_19.
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7
Zhang, David, Fangmei Chen, and Yong Xu. "A New Hypothesis on Facial Beauty Perception." In Computer Models for Facial Beauty Analysis, 143–63. Cham: Springer International Publishing, 2016. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-32598-9_9.
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8
Konar, Amit, Aruna Chakraborty, Anisha Halder, Rajshree Mandal, and Ramadoss Janarthanan. "Interval Type-2 Fuzzy Model for Emotion Recognition from Facial Expression." In Perception and Machine Intelligence, 114–21. Berlin, Heidelberg: Springer Berlin Heidelberg, 2012. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-642-27387-2_15.
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9
Gan, Peter Zhuowei, Arcot Sowmya, and Gelareh Mohammadi. "Zero-shot Personality Perception From Facial Images." In AI 2022: Advances in Artificial Intelligence, 43–56. Cham: Springer International Publishing, 2022. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-031-22695-3_4.
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10
Keating, Caroline F. "About Face! Facial Status Cues and Perceptions of Charismatic Leadership." In The Facial Displays of Leaders, 145–70. Cham: Springer International Publishing, 2018. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-94535-4_7.
Full textConference papers on the topic "Perception faciale"
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Tamanaka, Fernanda G., Lucas P. Carlini, Tatiany M. Heideirich, Rita C. X. Balda, Marina C. M. Barros, Ruth Guinsburg, and Carlos E. Thomaz. "Neonatal pain scales study: A Kendall analysis between eye-tracking and literature facial features." In Simpósio Brasileiro de Computação Aplicada à Saúde. Sociedade Brasileira de Computação - SBC, 2021. http://dx.doi.org/10.5753/sbcas.2021.16068.
Full textAbstract:
Newborns (NBs) feel pain and the more premature they are, the more immature are their pain attenuation system. Facial expression recognition is a non-invasive method to identify and evaluate their feelings, since it provides relevant information about pain and the NB's emotional state, allowing discrimination with non-painful stimuli. In this context, this study proposes to use Kendall's correlation coefficient to quantitatively compare the relevance between the facial areas reported in literature to evaluate the NB's pain with the facial areas observed by health professionals and lay people, through eyetracking, when performing the visual pain assessment task on the NBs' facial images. The results showed that the visual perception of adults does not agree with the facial areas proposed by the literature for pain analysis. In addition, the results suggest that health professionals present a distinct perception when compared to the perception presented by non-health professionals. We believe that such results might help to improve pain assessment carried out clinically.
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Wang, Xiaoyan, Tianxu Xu, Yiwen Zhang, Dongye Xu, Dong An, Qiang Wang, Zhongqi Pan, and Yang Yue. "3D Time-of-Flight Camera Based Face Mask Recognition Using Facial Contour and Artificial Neural Network." In 3D Image Acquisition and Display: Technology, Perception and Applications. Washington, D.C.: Optica Publishing Group, 2022. http://dx.doi.org/10.1364/3d.2022.jw2a.23.
Full textAbstract:
With the extracted facial contour from a ToF camera, we demonstrated a novel method to recognize whether a person is wearing a face mask and the mask type using artificial neural network, achieving 97.32% accuracy.
3
Schiano, Diane J., Sheryl M. Ehrlich, and Kyle Sheridan. "Categorical perception of facial affect." In CHI '01 extended abstracts. New York, New York, USA: ACM Press, 2001. http://dx.doi.org/10.1145/634067.634244.
Full text
4
Schiano, Diane J., Sheryl M. Ehrlich, and Kyle Sheridan. "Categorical perception of facial affect." In CHI '01 extended abstracts. New York, New York, USA: ACM Press, 2001. http://dx.doi.org/10.1145/634239.634244.
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5
Yamada, Takashi, and Tomio Watanabe. "An Average Facial Color Image Avatar System for the Analysis by Synthesis of Affect Display by Dynamic Facial Color and Expression." In ASME 2012 International Design Engineering Technical Conferences and Computers and Information in Engineering Conference. American Society of Mechanical Engineers, 2012. http://dx.doi.org/10.1115/detc2012-70263.
Full textAbstract:
In this study, we focus on the facial expression of a deformed avatar and develop an average facial color image avatar system based on dynamic facial color and expression to facilitate the analysis by synthesis of an affect display. This is achieved by controlling the parameters of a proposed dynamic facial color model and analyzing the extent to which dynamic facial color with emphasized color tones is suitable for the representation of a laugh. The effectiveness of the system is demonstrated by sensory evaluation. The application of this system in emotional interaction could support psychological experiments related to perception and recognition, based on dynamic facial color and expression.
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Kleiner, Mario, Adrian Schwaninger, Douglas Cunningham, and Barbara Knappmeyer. "Using facial texture manipulation to study facial motion perception." In the 1st Symposium. New York, New York, USA: ACM Press, 2004. http://dx.doi.org/10.1145/1012551.1012602.
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Carlini, Lucas, Leonardo Ferreira, Gabriel Coutrin, Victor Varoto, Tatiany Marcondes, Rita Balda, Marina Barros, Ruth Guinsburg, and Carlos Thomaz. "Mobile Convolutional Neural Network for Neonatal Pain Assessment." In LatinX in AI at Computer Vision and Pattern Recognition Conference 2021. Journal of LatinX in AI Research, 2021. http://dx.doi.org/10.52591/lxai202106258.
Full textAbstract:
More than 500 painful interventions are carried out during the hospitalization of a newborn baby in an Intensive Care Unit. Since a direct and objective verbal communication by neonates is unlikely, this work proposes and implements a computational framework to automatically classify the neonatal pain based on its facial expression. Our findings showed promising results to correctly identify the facial expression of pain in neonates with high accuracy and generalization capability, highlighting as well sound facial regions that agree with pain scales used by neonatologists and with the visual perception of adults when assessing pain in neonates, whether they are health professionals or not.
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Sato, Yugo, Takuya Kato, Naoki Nozawa, and Shigeo Morishima. "Perception of drowsiness based on correlation with facial image features." In SAP '16: ACM Symposium on Applied Perception 2016. New York, NY, USA: ACM, 2016. http://dx.doi.org/10.1145/2931002.2947705.
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Rehman, Shafiq ur, Li Liu, and Haibo Li. "Manifold of Facial Expressions for Tactile Perception." In 2007 IEEE 9th Workshop on Multimedia Signal Processing. IEEE, 2007. http://dx.doi.org/10.1109/mmsp.2007.4412862.
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Sorci, M., J. Ph Thiran, J. Cruz, T. Robin, and M. Bierlaire. "Modelling human perception of static facial expressions." In Gesture Recognition (FG). IEEE, 2008. http://dx.doi.org/10.1109/afgr.2008.4813428.
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