Artículos de revistas sobre el tema "Énergie de la biomasse – Recherche"

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Pinta, François y Philippe Girard. "Production d'énergie à partir de forêt tropicale humide : une étude de cas en Guyane française". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, n.º 302 (1 de diciembre de 2009): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20401.

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Resumen
L'un des verrous à la mise en oeuvre de projet de génération d'électricité à partir de la biomasse réside dans la bonne appréciation de la nature de la ressource et de sa disponibilité. Cet article s'inspire de travaux qui ont été réalisés en 2007 afin d'apprécier la faisabilité de la mise en place de centrales dendro-électriques de vingt mégawatts en Guyane française. L'analyse de la disponibilité en ressources de biomasse a été au coeur de l'étude. L'originalité de l'approche consiste à apprécier la capacité de la forêt à fournir de manière durable tout ou partie des volumes nécessaires et sans remettre en cause la gestion actuelle. Différentes ressources ont été étudiées dont la valorisation de bois issus de deux gisements : l'exploitation forestière pour la production de bois énergie et l'exploitation mixte de bois énergie en complément de l'exploitation de bois d'oeuvre. Des scénarios ont été étudiés pour la zone côtière où se concentre la majorité de la demande électrique. Les travaux ont montré une disponibilité importante permettant d'approvisionner des centrales électriques de cinq et dix mégawatts de capacité électrique. L'étude de préfaisabilité d'une centrale de cinq mégawatts électriques près du village de Régina a montré la faisabilité économique du projet utilisant du bois issu de l'exploitation mixte des forêts de production et du bois récupéré sur l'emprise des pistes forestières. Cependant, la validation des schémas prévisionnels d'exploitation durable de bois énergie en forêt naturelle aménagée exige des recherches spécifiques complémentaires. (Résumé d'auteur)
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Gond, Valery, Emilien Dubiez, Marine Boulogne, Morgan Gigaud, Adrien Péroches, Alexandre Pennec, Nicolas Fauvet y Régis Peltier. "DYNAMICS OF FOREST COVER AND CARBON STOCK CHANGE IN THE DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO: CASE OF WOOD-FUEL SUPPLY BASIN FOR KINSHASA". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, n.º 327 (19 de diciembre de 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31293.

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Resumen
Afin de contribuer à la mise au point de mé- thodes de gestion durable des écosystèmes forestiers en Afrique centrale, la question de recherche suivante a été posée : l’analyse de l’évolution de la couverture végétale per- met-elle de comprendre et de documenter l’organisation spatiale et les mécanismes de la dégradation des forêts tropicales ? Pour cela, en République démocratique du Congo, le projet Makala a cartographié les arbres et les ressources forestières du bas- sin d’approvisionnement en bois-énergie de Kinshasa et a essayé de prédire son évolu- tion future. La carte a été réalisée à quatre périodes (1984, 2001, 2006 et 2012) avec une mosaïque de quatre images Landsat. L’estimation de la biomasse aérienne a été faite en 2012, par l’inventaire forestier de 317 parcelles (4 337 arbres de 44 espèces) dans les quatre types de couverture végétale, sur le plateau Batéké. Entre 2000 et 2012, le volume moyen de bois-énergie a chuté de plus de 50 % et les stocks de carbone de 75 % en 28 ans. La réduction drastique du couvert forestier, la baisse significative des périodes de jachère, l’augmentation des surfaces de savane, le déclin des stocks de biomasse et de carbone, constituent des signaux particulièrement forts. Mais ces premières estimations sont dérivées des données d’un petit échantillon, extrapolées au bassin d’approvisionnement. Il serait très utile d’augmenter l’échantillonnage, pour approcher des valeurs plus justes et concrètes. L’expérience du projet Makala montre clairement que l’analyse de l’évo- lution de la couverture végétale permet de comprendre et de documenter l’organisa- tion spatiale et les mécanismes de la dégra- dation des forêts. Mais seules une politique consciente et une gestion durable des terres des communautés, combinées avec une réintroduction des arbres dans les terres agricoles, peuvent initier un processus de restauration durable.
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Dalpe, Robert y Yves Gingras. "Recherche universitaire et priorités nationales: l'effet du financement public sur la recherche en énergie solaire au Canada". Canadian Journal of Higher Education 20, n.º 2 (31 de agosto de 1990): 27–44. http://dx.doi.org/10.47678/cjhe.v20i2.183072.

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Resumen
Nous étudions l'impact des deux principales sources de financement de la recherche universitaire dans le domaine de l'énergie solaire (le Programme des actions thématiques en énergie du CRSNG et les programmes du ministère de l'Énergie, des Mines et des Ressources), afin de déterminer si elles ont orienté la recherche enfonction des priorités gouvernementales. La méthodologie consiste à établir une relation entre les intrants (le financement) et les extrants (les publications scientifiques). La relation la plus forte unit les chercheurs ayant publié dans les revues spécialisées en énergie solaire et ceux subventionnés par le CRSNG. Au début de la période étudiée, à lafois le niveau des publications et celui des subventions ont augmenté considérablement. On remarque l'émergence d'un noyau de chercheurs en énergie solaire, qui a eu la capacité d'obtenir du financement de plusieurs sources.
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Tritz, Yvan. "Valorisation locale de la biomasse dans l'Orne : le projet Bois Bocage Énergie". Pour 212, n.º 5 (2011): 67. http://dx.doi.org/10.3917/pour.212.0067.

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Robert, Nicolas. "Énergie issue de la biomasse : un véritable outil pour la transition énergétique ?" Hors les murs N° 506, n.º 5 (28 de marzo de 2021): 34–37. http://dx.doi.org/10.3917/ehlm.506.0034.

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Saïdi, Slim, Laurent Gazull, Abigaïl Fallot, Perrine Burnod y Jean-François Trébuchon. "Cartographie de la disponibilité ds terres à l'échelle mondiale pour les plantations de bois énergie". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, n.º 309 (1 de septiembre de 2011): 77. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20468.

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Resumen
Une cartographie du potentiel de plantations arborées pour un niveau de rendement de biomasse ligneuse est présentée selon une approche biophysique. Trois genres botaniques ont été retenus comme aptes pour la production de boisénergie : Acacia, Eucalyptus et Pinus. L'intérêt des résultats réside dans l'utilisation de données géoréférencées, à 1 km de résolution, de précipitations, de températures et de types de sol. En accord avec ces paramètres ayant un impact significatif sur la distribution des espèces, des enveloppes bioclimatiques ont été générées à l'aide d'un Système d'information géographique (Sig). Le résultat est une combinaison de la moyenne des températures maximales du mois le plus chaud, de la moyenne des températures minimales du mois le plus froid et de la moyenne des précipitations annuelles. Ces critères sont retenus en considérant les contraintes édaphiques pouvant atténuer la productivité de biomasse. À l'échelle mondiale, pour les espèces retenues, les zones de plantations potentielles sont de l'ordre de 253 millions d'hectares (Mha) pour les espèces du genre Acacia, de 441 Mha pour les espèces du genre Eucalyptus et de 560 Mha pour les espèces du genre Pinus. Des cartes à l'échelle mondiale sont fournies pour des productions de 6 à 9 tonnes de matière sèche par hectare et par an. Le total des surfaces disponibles pour la plantation des espèces des trois genres considérés est de l'ordre de 600 Mha (6 millions de km²). La limite des bases de données affecte la validité de ces résultats qui nécessitent forcément des études complémentaires afin d'affiner ces estimations tout en introduisant la notion d'usage des sols à celle des catégories d'occupation des terres. (Résumé d'auteur)
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Aubertin, Catherine y Nathalie Cialdella. "Articuler la gestion des ressources forestières et du foncier agricole : le projet biomasse-énergie en Guyane". Sciences Eaux & Territoires Numéro 19, n.º 2 (2016): 8. http://dx.doi.org/10.3917/set.019.0008.

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8

Landgraf, Markus, Keith Stephenson y David Hess. "Missions spatiales européennes produire de l’énergie à partir des déchets nucléaires". Revue Générale Nucléaire, n.º 4 (julio de 2018): 50–53. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20184050.

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La technologie actuelle a transformé les fantasmes d’exploration spatiale du passé en réalité tangible. Pourtant, le combustible reste au coeur des préoccupations des chercheurs. Depuis un demi-siècle, le nucléaire fournit énergie et chaleur aux satellites et sondes spatiales. Pleine de promesses, la recherche autour de l’énergie nucléaire pourrait ouvrir de nouvelles frontières à l’exploration spatiale.
9

Proces, Pierre, Emilien Dubiez, Franck Bisiaux, Adrien Péroches y Adeline Fayolle. "Production d’Acacia auriculiformis dans le système agroforestier de Mampu, plateau Batéké, République démocratique du Congo". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (2 de enero de 2018): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31489.

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Géré par des communautés locales depuis plus de vingt ans, le massif agroforestier à Acacia auriculiformis de Mampu, sur le plateau Batéké en République démocratique du Congo (RDC), contribue à l’approvisionnement de Kinshasa en produits vivriers et en bois énergie. Grâce aux subventions internationales, ce système agroforestier, qui intègre la pratique de l’abattis-brûlis, est reproduit un peu partout en RDC, bien que sa performance n’ait jamais été évaluée. L’objectif de cette étude était d’estimer la production d’Acacia auriculiformis en biomasse totale et exploitable pour le charbon de bois (tige et branches de plus de 4 cm de diamètre) dans le système agroforestier. À cet effet, deux équations allométriques locales, portant sur la biomasse totale et exploitable, ont été ajustées à partir de données destructives. Des données d’inventaire existantes (n = 112 parcelles) ont permis d’identifier une grande hétérogénéité structurale sur l’ensemble de la rotation (8-10 ans) mais également entre parcelles du même âge. Malgré cette hétérogénéité qui peut s’expliquer par la diversité des conditions environnementales sur le site et/ou les disparités dans l’appropriation de l’itinéraire technique, la production reste néanmoins comparable à celle observée sur d’autres sites avec, en moyenne, 145 tonnes par hectare en 10 ans. Le système agroforestier de Mampu présente de nombreux avantages, des services directs avec la création d’emplois ruraux, et la production combinée de produits vivriers et de charbon de bois, mais aussi des services indirects, comme la déforestation évitée, et le stockage du carbone. La durabilité et la diffusion de ce système agroforestier peuvent néanmoins être discutées.
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Diallo, O., G. Mouze, C. Ythier y J. F. Comanducci. "Recherche de niveaux de haute énergie de214Po et210Pb par coïncidence, et coïncidence et addition". Il Nuovo Cimento A 106, n.º 10 (octubre de 1993): 1321–52. http://dx.doi.org/10.1007/bf02785621.

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Cordier-Bussat, Martine, Chantal Thibert, Pierre Sujobert, Laurent Genestier, Éric Fontaine y Marc Billaud. "Même l’effet Warburg est oxydable". médecine/sciences 34, n.º 8-9 (agosto de 2018): 701–8. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183408017.

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Au cours du développement tumoral, les cellules malignes reprogramment leur métabolisme pour répondre à la demande en biosynthèses conditionnant l’augmentation de leur biomasse et pour s’adapter aux propriétés de leur microenvironnement. Les avancées récentes de la recherche ont révélé l’étonnante flexibilité des cellules cancéreuses qui alternent entre un métabolisme glycolytique aérobie (appelé effet Warburg) et un métabolisme oxydatif en fonction de leurs conditions de développement, une plasticité métabolique requérant une mutualisation de leurs ressources énergétiques. Dans cette revue, nous présentons ces nouvelles découvertes et discutons d’un modèle décrivant la tumeur comme un écosystème métabolique évolutif tout en insistant sur les applications thérapeutiques qui en découlent.
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Bercegol, Hervé. "Les choix techniques du nucléaire français : le lien historique civil-militaire". Reflets de la physique, n.º 60 (diciembre de 2018): 34–36. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/201860034.

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Durant le second conflit mondial, un effort de guerre intense conduit la recherche scientifique à conquérir une nouvelle forme d’énergie, démontrée de façon radicale et cataclysmique par les bombardements nucléaires américains. L’énergie de l’atome vient au monde marquée du sceau de la géopolitique, du militaire et de la science. Le développement de l’énergie nucléaire qui s’ensuit en France n’échappera pas à ces trois déterminants : tout au long des années 1945 à 1970, le lien civil-militaire est manifeste dans les technologies de réacteurs développées par les deux grandes institutions françaises en charge de cette énergie, le CEA en premier lieu et EDF dès le milieu des années 1950.
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Djaouga, Mama, Soufiyanou Karimou, Ousséni Arouna, Soufouyane Zakari, Augustin Orou Matilo, Ismaïla Toko Imorou, Ibouraïma Yabi, Julien Djego, Omer Thomas y Christophe Houssou. "Cartographie de la biomasse forestière et évaluation du carbone séquestré dans la forêt classée de l’Ouémé supérieur au Centre – Bénin". International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, n.º 6 (22 de febrero de 2022): 2388–401. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i6.12.

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La forêt classée de l’Ouémé supérieur au Centre-Bénin est un potentiel puits de carbone en dépit des pressions d’origines anthropiques qui menacent la plupart des écosystèmes forestiers. Cette recherche visait à cartographier la biomasse forestière et le stock de carbone séquestré par les formations végétales de la forêt classée de l’Ouémé supérieur au Bénin. A cet effet, un inventaire forestier a été réalisé dans 73 placeaux circulaires de 18 m de rayon suivant le protocole de l’Inventaire Forestier National (IFN). Les principales données collectées étaient le diamètre et la hauteur des arbres. Les images landsat OLI-TIRS de 2018 à travers le NDVI ont été utilisées en combinaison avec les données de l’inventaire forestier in situ pour la spatialisation de la biomasse et du carbone séquestré. Les résultats obtenus ont révélé que la biomasse totale produite par les arbres dans la forêt classée de l’Ouémé supérieur, avoisine 13 035 694 tonnes avec une quantité totale de carbone séquestrée évaluée à 6 348 383 tonnes. La distribution spatiale de la biomasse et du carbone ont montré de plus fortes quantités de biomasse et de carbone séquestré à l’intérieur de la forêt classée comparativement aux périphéries surtout les zones qui sont situées le long des routes aménagées. Il est alors important d’entreprendre les actions de conservation des formations forestières en vue d’accroître leur potentiel de séquestration de carbone dans l’atténuation des effets des changements climatiques au Bénin. English title: Mapping of forest biomass and assessment of sequestered carbon in the forest reserve of upper Ouémé in Central Benin The Upper Ouémé gazetted forest in Central Benin is a potential carbon sink despite the anthropogenic pressures that threaten most forest ecosystems. This research aims to map the forest biomass and carbon stock sequestered by plant communities in the Upper Ouémé classified forest in Benin. To this end, a forest inventory was carried out in 73 circular plots of 18 m radius following the protocol of the National Forest Inventory (IFN). The main data collected were tree diameter and height. The 2018 OLI-TIRS landsat images through NDVI were used in combination with the in situ forest inventory data for the spatialization of biomass and sequestered carbon. The results obtained show that the total biomass produced by trees in the Upper Ouémé classified forest is around 13 035 694 tonnes with a total amount of sequestered carbon estimated at 6 348 383 tonnes. The spatial distribution of biomass and carbon shows higher amounts of biomass and carbon sequestered inside the gazetted forest compared to the periphery, especially in areas that are located along developed roads. It is therefore important to undertake conservation actions in forest in order to increase their carbon sequestration potential in mitigating the effects of climate change in Benin.
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Couture, Denise y Tanja Riikonen. "La conversion dans un cadre féministe, interculturel et interreligieux". Thème 21, n.º 2 (3 de febrero de 2015): 229–50. http://dx.doi.org/10.7202/1028469ar.

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Cet article présente les résultats d’une recherche empirique menée à Montréal auprès de femmes féministes, engagées dans des pratiques interculturelles, interspirituelles ou interreligieuses. Il aborde les récits autobiographiques spirituels des femmes, en posant la question : comment vivent-elles la « conversion » dans le contexte contemporain ? Pour approfondir cette question, l’article propose une définition opératoire du concept de conversion qui comprend trois dimensions : un retour à une énergie vitale propre, la conscientisation et l’autosubjectivation. À partir de cette définition provisoire, l’article analyse les récits des participantes selon quatre thématiques principales : des histoires de transformation des sujets, un rapport critique et créatif aux coutumes et aux traditions, un désapprentissage vers la justice relationnelle et une ascèse, un travail sur soi.
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Tabourdeau, Antoine. "Dossier « Politiques locales de l’énergie : un renouveau sous contraintes » – Ressource locale ou nationale ? L’essor détourné du bois-énergie en Auvergne-Rhône-Alpes, un cas pour la géographie des transitions". Natures Sciences Sociétés 29, n.º 1 (enero de 2021): 46–56. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2021021.

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L’étude des transitions durables a produit depuis presque vingt ans un cadre d’analyse très dense mais critiqué pour sa faible prise en compte des phénomènes spatiaux. Cet article mobilise les apports de l’approche sur les proximités pour éclairer cette dimension spatiale. Après une proposition de typologie de la place des processus spatiaux dans la littérature francophone sur la transition énergétique, il croise les réflexions issues de la géographie des transitions avec l’approche de la proximité et les applique au cas des divergences qui ont émergé à la fin des années 2000 autour de projets industriels de cogénération biomasse lancés par la Commission de régulation de l’énergie. L’analyse des observatoires mis en place en Auvergne-Rhône-Alpes à cette période montre l’échec de ces projets. Ces observatoires sont analysés comme un mouvement de rapprochement de la ressource ainsi que la mise en place de jeux de pouvoirs multiscalaires. Au final, des éléments sont proposés pour alimenter la réflexion sur la géographie des transitions.
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Fayolle, Alain. "À la recherche du cœur de l’entrepreneuriat : vers une nouvelle vision du domaine". Notes de recherche 17, n.º 1 (16 de febrero de 2012): 101–21. http://dx.doi.org/10.7202/1008453ar.

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Ce travail présente des réflexions relatives à la formulation d’une nouvelle vision de l’objet de recherche au cœur, selon nous, de la recherche en entrepreneuriat. Nous décrivons, notamment, le concept de «situation entrepreneuriale ». Par situation entrepreneuriale, nous entendons toute situation qui relie un individu, très fortement engagé (consommation de ressources vitales : temps, argent, énergie, etc.) dans une action entrepreneuriale (comportements, décisions, activités, etc.), et un projet ou une organisation utilisé comme support de création de valeur. Une des caractéristiques, voire une des spécificités de la perspective que nous adoptons est que nous ne nous intéressons pas seulement à un acteur (individu ou groupe d’individus), une organisation ou une entreprise, mais bien davantage à un couple sujet-objet, individu-projet ou encore individu-organisation. Ce couple ne peut pas être dissocié dans toute approche scientifique (observation, analyse) d’une situation entrepreneuriale. Nous pensons donc qu’une situation entrepreneuriale peut être caractérisée par une conjonction sujet-objet et par un niveau de proximité ou de distance entre ces deux éléments. Dans ces conditions, une situation entrepreneuriale pourrait être qualifiée par la «mesure » de la distance séparant l’objet et le sujet impliqués dans cette situation. L’objet de recherche au cœur de l’entrepreneuriat correspond, de notre point de vue, à ces situations entrepreneu-riales qu’il est nécessaire de décrire et d’expliquer dans leurs dimensions statique et dynamique, afin que les connaissances produites par ce type de recherche puissent faciliter l’action des entrepreneurs et de ceux qui les accompagnent, tout en accroissant l’efficience des processus d’action et de décision.
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CONAN, L., J. P. MÉTAYER, M. LESSIRE y J. L. WIDIEZ. "Teneur en énergie métabolisable des céréales françaises pour les volailles. Synthèse d’enquêtes annuelles". INRAE Productions Animales 5, n.º 5 (29 de julio de 2020): 329–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.5.4247.

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Il y a une dizaine d’années débutaient des enquêtes annuelles sur la qualité des céréales. Elles ont été réalisées dans des régions à forte production et ont porté sur la composition chimique et l’évaluation de la teneur en énergie métabolisable pour les volailles (EM). Blé, orge et maïs ont fait l’objet respectivement de 11, 6 et 8 enquêtes. Ce nombre est de 4 pour le sorgho, l’avoine, le seigle et le triticale. Les moyennes suivantes ont été obtenues pour l’EM (kcal/kg MS) : sorgho : 3844, maïs : 3726, blé : 3458, triticale : 3411, orge de printemps 2R : 3227, orge d’hiver 2R : 3207, escourgeon : 3132, seigle : 3131, avoine blanche : 2879, avoine noire : 2660. Le coefficient de variation entre années a été de 1,19 % pour le blé, 1,46 % pour l’orge de printemps, 1,68 % pour l’orge d’hiver, 1,93 % pour l’escourgeon et 0,70 % pour le maïs. Un effet significatif entre années a été mis en évidence pour l’EM de ces céréales sur coqs adultes. L’origine géographique des échantillons n’a pas donné lieu à des écarts significatifs entre EM d’une zone de production à l’autre, quelle que soit la céréale. La recherche d’équations de prédiction de la valeur de l’EM à partir des valeurs disponibles de la composition chimique a pu aboutir seulement pour l’avoine et le sorgho.
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Woolschlager, J. y B. E. Rittmann. "Que mesurent les tests de CODB et de COA ?" Revue des sciences de l'eau 8, n.º 3 (12 de abril de 2005): 371–85. http://dx.doi.org/10.7202/705229ar.

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Resumen
Un des objectifs de cette recherche est d'examiner les différences entre les resultats obtenus par les tests de dosage des matières organiques biodégradables (MOB). L'autre objectif est de déterminer comment les résultats peuvent correspondre à la valeur vraie de la MOB. L'étude a été menée en employant un mode le mathématique qui tient compte des principes cinétiques et stoechiométriques. Le tableau 1 présente les exemples des équations de bilan de masse qui entrent dans le modèle. Celui-ci permet de suivre la croissance de la biomasse, la dégradation du substrat (MOB), le carbone organique dissous (COD), ainsi que la production et la dégradation des produits microbiens solubles (PMS). Les PMS, qui possèdent des poids moléculaires allant de moyens à élevés, sont produits durant le métabolisme normal des cellules (RITIMANN et al., 1987). Les PMS peuvent être divisés en deux groupes de produits associés: les PAU qui sont le résultat direct de l'utilisation du substrat et les PAB qui sont produits proportionnellement à la biomasse (PAB). Certaines hypothèses sont à la base des équations du bilan massique. La biomasse n'est constituée que d'hétérotrophes. La MOB est modélisée en tenant compte de substrats facilement et difficilement dégradables. Chaque substrat se distingue par sa valeur K inscrite au tableau 3. La densité de biomasse en début de test est de 1 mgA (2400 UFC/ml), sauf quand la densité est modifiée dans le modèle. Pour les besoins de la modélisation, les valeurs de MOB, de CODB et de biomasse ont eté converties en demande chimique en oxygène (DCO). Les facteurs de conversion utilisés sont: 1,42 mg de MOB exprimée en DCO/mg de MOB exprimee en solides volatils dissous, 4,16 x 10-7 mg DCO/cellule et 2,67 mg acétate exprimé en DCO/mg de C-acétate. Un ensemble de courbes typiques pour le modèle est présenté aux figures 1 et 2. La figure 1 montre les résultats obtenus pour un substrat facilement dégradable tandis que la figure 2 présente ceux obtenus pour un substrat difficilement dégradable. Dans les deux cas, la biomasse s'accroît graduellement pour atteindre un maximum, puis rediminue. Les vitesses et intensités de réaction dépendent toutefois beaucoup des cinétiques de dégradation de la MOB. Les deux figures traduisent l'accumulation continue des PMS, qui représentent des proportions respectives de 43% et 30% de la MOB d'origine pour les substrats facilement et difficilement dégradables. L'accumulation des PMS est importante, car la courbe de décroissance du COD est le résultat net de la MOB consommée moins les PMS accumulés. Ceci implique que le changement dans le niveau de COD, qui représente le paramètre de contrôle pour les tests CODB, n'égale pas la MOB vraie. Le CODB mesuré ne représenterait plutôt que 50 à 60 % de la MOB d'origine. La figure 3 montre la relation qui existe entre le CODB et la MOB pour les deux types de substrats. Le CODB n'est pas égal à la MOB, ce qui est démontré par l'écart observé par rapport à la droite d'équivalence de pente 1. Cette différence est due à deux phénomènes: I'accumulation des PMS dépend de la MOB, tandis que l'écart entre les deux types de substrat est le résultat des courbes s'approchant de Smin sur l'axe de la MOB, lorsque le CODB tend vers zéro. Ce résultat est significatif, car des études ont démontré que la MOB dans les eaux brutes contient surtout des substrats difficilement dégradables (LECHEVALLIER et al., 1991). Ainsi, faire l'hypothèse que le CODB soit égal à la MOB pour les substrats difficilement assimilables se traduirait par une importante sous-estimation de la MOB dans l'échantillon. La figure 4 montre la relation observée entre la biomasse maximum, employée avec les tests COA (carbone organique assimilable), et la vraie MOB pour les deux substrats. Cette figure présente aussi l'étalon de calibration proposé par van ter Kooij et al (1982), qui convertit le nombre de cellules en C-acétate (4,1 x 10 6 cellules par mg C-acétate). Ni le substrat facilement utilisable ni le substrat difficilement utilisable, ne s'approche de la courbe de calibration. Ces écarts sont causés par la variation du premier ordre en ordre zéro de l'équation de Monod et aussi parce que les courbes approchent le Smin où la croissance des cellules est presque nulle. Lorsque la MOB dans l'échantillon est principalement constituée d'un substrat difficilement dégradable, I'usage d'un étalon d'acétate produit une forte sous-estimation de la MOB vraie. La figure 5 montre la relation directe entre le CODB et le COA pour les deux types de substrats. L'augmentation du rapport CODB/COA avec la diminution de la MOB s'explique par le fait que la biomasse tend vers une croissance zéro lorsque la MOB s'approche de Smin. Cette figure démontre clairement qu'il existe une différence fondamentale entre les mesures des tests CODB et COA, lorsque la MOB tend vers Smin. Toutefois, le rapport CODB/COA est presque unitaire dans le cas du substrat facilement dégradable, quand la MOB se situe à l'intérieur des limites de détection pour le dosage du CODB (environ 100 mg/l à la figure 5). Ainsi, il est possible d'obtenir le même résultat avec les deux types de tests. Le modèle permet aussi d'examiner l'effet des concentrations en biomasse initiale pour une [MOB] fixée. Pour un substrat facilement dégradable, qui est entièrement consommé en présence d'un faible inoculum, la modélisation montre que le CODB et la biomasse maximum ne sont pas affectés. Cependant, le résultat diffère pour un substrat difficilement dégradable qui n'est pas entièrement consommé avec un inoculum de faible densité. Tel que présenté à la figure 6, le CODB et la biomasse maximum augmentent fortement avec la densité de l'inoculum. Cet effet est dû à la faible croissance de la biomasse qui survient en présence d'un inoculum de faible densité; la biomasse maximum et le COD minimum sont atteints après 30 jours. Avec un inoculum important, la biodégradation survient plus rapidement et le CODB maximum est atteint avant 30 jours.
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Pahun, Jeanne, Ève Fouilleux y Benoît Daviron. "De quoi la bioéconomie est-elle le nom ? Genèse d’un nouveau référentiel d’action publique". Natures Sciences Sociétés 26, n.º 1 (enero de 2018): 3–16. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2018020.

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Resumen
Au cours du XXe siècle, la bioéconomie a été définie dans divers champs académiques : étude des populations en biologie, modèles de gestion des ressources naturelles ou approche entropique de l’économie à la façon de Nicholas Georgescu-Roegen. Au début des années 2000, elle est érigée comme mot d’ordre institutionnel sous l’impulsion de l’OCDE puis de la Commission européenne, qui en font le fer de lance d’une croissance durable, substituant à l’usage des ressources fossiles une exploitation de la biomasse par les biotechnologies. La mise à l’agenda de la bioéconomie au niveau européen a été amorcée par les politiques de recherche et d’innovation, dont les processus de définition et de financement ont été fortement influencés par les acteurs industriels. Les recompositions potentielles induites par la bioéconomie dans le domaine agricole génèrent des tensions, car elles entrent en concurrence avec d’autres visions pour le futur de l’agriculture européenne.
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AROUNA, Ousséni, Issiaka SARE WARA, DJAOUGA Mama, ZAKARI Soufouyane y Ismaïla TOKO IMOROU. "Cartographie de la variabilité spatiale du stock de carbone forestier dans la Réserve de Biosphère Transfrontalière du W au Nord-Bénin." Journal of Geospatial Science and Technology 2, n.º 1 (7 de octubre de 2021): 47–60. http://dx.doi.org/10.54222/afrigist/jgst/v2i1.4.

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Resumen
La cartographie du stock de carbone permet d’enrichir les connaissances mais aussi la comparaison des diverses transformations du couvert végétal sur l’évolution du stock. La présente recherche vise à cartographier la variabilité spatiale du stock de carbone forestier dans la Réserve de Biosphère Transfrontalière du W au Nord-Bénin. Le modèle de régression non linéaire a permis de prédire la distribution spatiale de la biomasse et du carbone à partir des valeurs de NDVI. Il résulte de cette méthode que la biomasse totale produite dans les unités de végétation de la RBTW a été estimée à 39 988 935,73 tonnes. La quantité totale de carbone correspondante est de 19 474 611,70 tonnes. Concernant la quantité de dioxyde de carbone accumulée, elle a été évaluée à 71 471 824,94 tonnes. Par ailleurs, la quantité de biomasse estimée par placeau oscille entre 2,71 et 172,82 t/ha. Le potentiel de séquestration de carbone dans les savanes boisées et arborées fait respectivement 1,81 et 1,24 fois celui enregistré en moyenne dans la RBTW. Les savanes arbustives et les friches sont les unités qui piègent le moins de dioxyde de carbone soit 18 % et 2 % du total de CO2. Sur l’ensemble du secteur d’étude, la quantité de carbone enregistrée varie de 35,80 à 54,32 t/ha avec une moyenne de 41,24 ± 4,08 t/ha. La quantité moyenne dans le Parc est de 40,42 ± 2,85 t/ha alors qu’elle est de 41,95 ± 4,78 t/ha pour la périphérie. La distribution spatiale de la biomasse et du carbone montre que les fortes quantités de biomasse et de carbone sont enregistrées particulièrement au sud-ouest de la RBTW. Mapping of carbon stock allows for a better understanding but also for the comparison of various vegetation cover transformations on the evolution of the stock. The present research aims to map the spatial variability of forest carbon stock in the W Transboundary Biosphere Reserve in northern Benin. The non-linear regression model was used to predict the spatial distribution of biomass and carbon from NDVI. As a result of this method, the total biomass produced in the RBTW vegetation units was estimated to be 39,988,935.73 tons. The corresponding total amount of carbon is 19,474,611.70 tons. Regarding the amount of carbon dioxide accumulated, it was estimated at 71,471,824.94 tons. Furthermore, the estimated amount of biomass per plot varies between 2.71 and 172.82 t/ha. The carbon sequestration potential of these two units in woodlands and shrub savannahs is respectively 1.81 and 1.24 times that recorded on average in the RBTW. Shrub savannahs and wastelands are the units that sequestrate the least carbon dioxide at 18% and 2% of total CO2. Over the entire study area, the amount of carbon recorded ranges from 35.80 to 54.32 t/ha with an average of 41.24 ± 4.08 t/ha. The average amount in the Park is 40.42 ± 2.85 t/ha while it is 41.95 ± 4.78 t/ha for the periphery. The spatial distribution of biomass and carbon shows that high amounts of biomass and carbon are recorded in the south and particularly in the southwest of the RBTW.
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Lhoste, Philippe. "La traction animale en Afrique subsaharienne : histoire et nouveaux enjeux". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, n.º 3-4 (1 de marzo de 2004): 125. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9883.

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Resumen
L’utilisation de l’énergie animale est une technologie très ancienne dans le monde. Malgré les énormes mutations technologiques du siècle passé, en agriculture comme dans les autres domaines économiques, son utilisation reste encore très importante dans de nombreuses sociétés agraires de ce début de XXIe siècle. La situation actuelle de cette technique est d’ailleurs très diverse : l’utilisation des animaux pour leur énergie dans les systèmes de production agricoles est en effet pratiquement abandonnée dans les pays industrialisés, en cours de remplacement dans nombre de pays émergents et tout à fait d’actualité dans certains pays en développement. En Afrique, une grande partie de l’énergie agricole est encore manuelle (énergie humaine), ce qui laisse une grande marge de progrès pour l’utilisation de l’énergie animale ; cela induit pour la recherche et le développement de nouveaux enjeux. La libéralisation des filières et le désengagement des Etats constituent des facteurs forts d’évolution du contexte économique, social et politique des pays concernés ; cela se traduit notamment par une demande renouvelée de la part d’acteurs qui se diversifient. Il faut donc tenter simultanément : i) de répondre aux besoins nouveaux des agriculteurs et autres acteurs concernés ; ii) de prendre en compte les contraintes économiques des exploitations et des filières de production ; iii) de contribuer à la durabilité et à l’augmentation de rentabilité de l’activité agricole ; et iv) d’appuyer l’offre locale des services émergents (artisans, crédits, soins vétérinaires aux animaux, conseil, etc.).
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Jassim Najid. "Entisol Propriétés Chimiques Sur Le Système Agriculture Biologique". International Journal of Science and Society 4, n.º 1 (15 de febrero de 2022): 152–58. http://dx.doi.org/10.54783/ijsoc.v4i1.425.

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Resumen
Les systèmes agricoles basés sur des matériaux à haute énergie d'entrée (matières fossiles) tels que les engrais chimiques et les pesticides peuvent endommager les propriétés du sol et finiront par réduire la productivité du sol à l'avenir. On pense que les systèmes agricoles alternatifs qui utilisent une faible énergie d'entrée (faible apport d'énergie) peuvent maintenir la fertilité des sols et la durabilité environnementale tout en maintenant ou en augmentant la productivité des sols. Les systèmes d'agriculture biologique privilégient l'utilisation de matières organiques et le recyclage des déchets. Cette recherche révèle comment des changements ont eu lieu dans les propriétés physiques et chimiques des sols qui ont pratiqué plusieurs fois des systèmes d'agriculture biologique. L'étude utilise une méthode d'échantillonnage sur les terres des agriculteurs qui a été étudiée pour traiter les systèmes d'agriculture biologique et non biologique. Deux échantillons de sol ont été prélevés à 2 endroits différents pour représenter les systèmes d'agriculture biologique et 4 échantillons de sol ont été prélevés à 4 endroits différents représentant des systèmes d'agriculture non biologique. L'échantillonnage du sol a été effectué à une profondeur de 20 cm. Les résultats ont montré des différences significatives dans les propriétés chimiques du sol (CEC, pH H2O, P disponible, K disponible, N total, teneur en carbone, acide humique et fulfat) entre le sol avec des systèmes agricoles biologiques et inorganiques qui ont montré de meilleures valeurs dans le système agricole biologique
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Bonin, Frédéric, Maxence Arnould, Pierre Duval, Aristide Robic, Marie-Loréa Tapie-Petit, Mehdi El Hrizi, Theresia Euler et al. "Perspectives d'émergence d'une filière forêt-chimie des extractibles Points de vue des acteurs du Nord-Est de la France et du Sud-Ouest de l'Allemagne". Revue forestière française 72, n.º 1 (28 de febrero de 2020): 71–84. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5304.

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Resumen
La biomasse forestière peut être une source de molécules d’intérêt dans le but de substituer ou de compléter les molécules pétro-sourcées. Par conséquent, une valorisation innovante des extractibles du bois semble être une opportunité économique, sociale et environnementale. L’objectif de notre étude est de mieux cerner les perspectives d’émergence d’une nouvelle valorisation chimique des connexes bois pour la région Grand Est, à partir des avis et ressentis des acteurs de la filière forêt-bois et de la valorisation chimique de cette région ainsi que de territoires voisins. Nos résultats se portent sur trois axes : les stratégies de valorisation des connexes des entreprises de la filière forêt-bois, les perceptions des acteurs sur l’émergence d’une filière forêt-chimie, et les perspectives de mise en place d’une telle filière à moyen terme. Nous conviendrons tout de même que les résultats doivent être approfondis dans le cadre de perspectives de recherche pour préciser les conditions de la mise en œuvre de cette filière.
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Durrieu De Madron, Luc, Sébastien Bauwens, Adeline Giraud, Didier Hubert y Alain Billand. "Estimation de l'impact de différents modes d'exploitation forestière sur les stocks de carbone en Afrique centrale". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, n.º 308 (1 de junio de 2011): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20476.

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Resumen
L'impact, en termes d'émission de carbone, d'une exploitation forestière n'a fait l'objet que de rares et réels travaux de recherche en Afrique centrale. Pourtant, dans le cadre des mécanismes Redd (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts), cette problématique comporte des enjeux importants avec l'augmentation du nombre de concessions aménagées et l'importance grandissante des techniques d'exploitation à faible impact. Cette étude constitue un essai de méta-analyse incluant les diverses expériences issues de la littérature. Les données ainsi récoltées ont été appliquées à une exploitation hypothétique, afin de dresser un bilan théorique de l'impact sur le stock de carbone. Les résultats montrent qu'avec les hypothèses retenues l'aménagement d'une forêt permettrait une réduction du dixième des pertes en carbone, pour un prélèvement à l'hectare de 10 à 20 m3 de bois d'oeuvre ; et cela par rapport à une concession forestière conventionnelle sans gestion prévisionnelle. L'essentiel de l'économie en carbone proviendrait de l'augmentation des diamètres minimums d'exploitation. Par ailleurs, les gains que pourrait induire la pratique d'une exploitation à faible impact seraient ceux découlant de l'amélioration du tracé des pistes et des routes, à savoir 5 à 8 % des pertes en carbone dues à l'exploitation conventionnelle. Ces gains sont supérieurs à l'erreur constatée sur la mesure de biomasse par coupe rase, la plus proche de la réalité, faite en Guyane. Néanmoins, ces gains sont largement inférieurs aux erreurs calculées sur l'estimation de la biomasse pour plusieurs études disponibles dans la littérature. Quoi qu'il en soit, la mise sous aménagement d'une concession forestière et l'utilisation de techniques d'exploitation à faible impact sont à même d'entraîner une différence favorable du stock de carbone en forêt dense africaine. (Résumé d'auteur)
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Vandergucht, David. "ZFOREST : UN PROTOTYPE DE PLATEFORME WEB DE COVISUALISATION LIDAR, RASTER ET VECTEUR À GRANDE ÉCHELLE." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 1, n.º 211-212 (30 de diciembre de 2020): 129–42. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.551.

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Resumen
En recherche comme en exploitation forestière, la donnée Lidar aéroportée apporte des clefs de compréhension surla structure du terrain, de la forêt et par extension, des informations sur la biomasse aérienne. Mais pour être utile, cette donnée Lidar doit couvrir de vastes étendues tout en étant très résolue spatialement. Ces caractéristiques se traduisent par de grands volumes de données très difficiles à visualiser, manipuler et étudier sans l’aide de logiciels très onéreux.Dans le cadre du projet ANR FORESEE, nous avons développé un logiciel web, de visualisation mixte nuage de pointsLidar / surface 3D issue d’un Modèle Numérique de Terrain / carte / photographie aérienne et terrestre / donnée vectorielle : la plateforme zForest. Ce logiciel, qui s’adresse aux chercheurs en télédétection et à terme aux exploitants forestiers, permet la navigation à grande échelle dans des données massives et leur exploration, du niveau de détail le plus large (la région) jusqu’au plus fin (l’arbre). Cet outil permet la mesure, l’annotation et l’extraction des données. Il propose également une interface de programmation web (API) permettant à d’autres outils du marché d’utiliser ses données sources. zForest étant une plateforme web, elle est disponible sans installation sur tous les navigateurs internet récents, facilitant son accessibilité et son déploiement.
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Verhaegen, Daniel, Honoré Randrianjafy, Hery Rakotondraoelina, Marie-Christine Trendelenburg Rakotonirina, Nicolas Andriamampianina, Pierre Montagne, Alain Rasamindisa, Gilles Chaix, Jean-Pierre Bouillet y Jean-Marc Bouvet. "Eucalyptus robusta pour une production durable de bois énergie à Madagascar : bilan des connaissances et perspectives". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 320, n.º 320 (17 de marzo de 2014): 15. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.320.a20541.

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Resumen
Dès son introduction à Madagascar, Eucalyp- tus robusta a été retenu comme espèce de reboisement pour sa remarquable capacité d'adaptation. L’extension de sa plantation par les populations rurales a abouti à la créa- tion d’un massif de près de 140 000 hectares autour d’Antananarivo. Son bois est devenu la principale source d’énergie utilisée par les ménages urbains et ruraux malgaches. Mais aujourd’hui, la production durable de cette ressource est gravement menacée. Le marché déficitaire et la pauvreté des populations rurales amènent les propriétaires forestiers à exploiter leurs taillis avec des rotations de plus en plus courtes, parfois inférieures à 2 ans. Cette surexploitation induit un gaspil- lage des éléments minéraux qui ne sont pas compensés par des apports extérieurs de nutriments. La production de charbon de bois se poursuit à partir de meules tradition- nelles dont le rendement pondéral n’est que de 10 % environ. Le doublement de ce rende- ment par des méthodes simples permettrait pourtant de diminuer les superficies de forêt exploitées chaque année. À 6 ans, l’accrois- sement moyen annuel en volume commercial bois fort sur écorce des taillis anciens est de 18,8 m3/ha/an. Les meilleures provenances importées récemment permettent de doubler le volume moyen individuel des arbres à 9 ans. Des vergers à graines ont été plantés avec plusieurs provenances de l’aire natu- relle pour créer des variétés composites. Cependant, des fécondations préférentielles intra-provenances et des pollutions par le pollen extérieur affectent fortement la qualité des variétés produites. Pour l’extension du massif d’eucalyptus, les populations rurales continuent à utiliser des graines locales ou planter des sauvageons. Ces plantations en robusta devront continuer à produire du bois malgré les modifications biotiques et abiotiques déjà constatés à Madagascar. Face à ces changements, les technologies modernes peuvent aider la recherche fores- tière à proposer un système durable de pro- duction de bois énergie autour des grands centres urbains. Cela aurait pour effet de maintenir un revenu régulier participant à la survie des populations rurales.
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GRAGNIC, G., V. CHEVALIER y F. ESPERET. "La production d’énergie renouvelable à la station d’épuration d’Angers Loire Métropole". Techniques Sciences Méthodes, n.º 1-2 (20 de febrero de 2020): 53–61. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/201901053.

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Resumen
Si les stations d’épuration remplissent parfaitement leur fonction première, à savoir traiter les eaux usées de manière performante, cela se fait en consommant une quantité d’énergie significative. La consommation d’électricité des secteurs de l’eau et de l’assainissement représente 3,5 % de la consommation totale d’électricité dans l’Union européenne. L’enjeu pour les installations de traitement est aujourd’hui d’atteindre l’autosuffisance en énergie, de réduire les émissions carbones et d’explorer toutes les possibilités permettant de maîtriser les consommations d’énergie. La digestion anaérobie et l’injection du biogaz dans le réseau de gaz naturel offrent de nouvelles opportunités qui progressent rapidement. Près de 144 GWh /an (retours d’expérience Gaz réseau distribution France GRDF) sont déjà injectés pour un potentiel estimé à plus de 1 500 GWh/an. La production d’énergie renouvelable issue du biogaz est un des leviers majeurs qui permettra à la filière de l’eau d’atteindre la neutralité carbone et l’autosuffisance énergétique. Le présent article présente la production d’énergie réalisée par la station d’épuration d’Angers Loire Métropole, qui injecte, depuis juin 2017, dans le réseau public de distribution de gaz naturel opéré par GRDF, le biométhane obtenu après purification du biogaz issu de la digestion des boues. La quantité d’énergie injectée dans le réseau, 15 000 MWh/an et bientôt 18 000 MWh/an après substitution du biogaz consommé pour le process par la chaleur fatale présente sur le site, peut être comparée à la consommation d’électricité annuelle : 8 660 MWh puis 9 030 MWh après augmentation de la quantité injectée. Compte tenu du coefficient de conversion de l’électricité en énergie primaire utilisé en France dans le cadre de la réglementation thermique de 2012 (RT2012), égal à 2,58, l’autonomie de la station atteindra prochainement 78 %. Les gains supplémentaires pourront résulter de l’amélioration du rendement de digestion, objet de programme de recherche, et éventuellement de la mutualisation de l’outil si la réglementation relative au mélange des boues évoluait de façon à autoriser ce mélange en méthanisation.
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Turner, Nancy J. "" Dans une hotte ". L'importance de la vannerie dans l'économie des peuples chasseurs-pêcheurs-cueilleurs du Nord-Ouest de l'Amérique du Nord". Anthropologie et Sociétés 20, n.º 3 (10 de septiembre de 2003): 55–84. http://dx.doi.org/10.7202/015434ar.

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Resumen
Résumé « Dans une hotte » L'importance de la vannerie dans l'économie des peuples chasseurs-pêcheurs-cueilleurs du Nord-Ouest de l'Amérique du Nord. Pour saisir l'importance de la vannerie dans la culture et l'économie traditionnelles des peuples du Nord-Ouest de l'Amérique du Nord, l'auteure passe par l'histoire, la diversité des paniers et de leurs usages, l'investissement en temps, énergie et savoirs nécessaires à leur production. Principaux contenants pour la récolte, le transport et l'entreposage des aliments, les paniers font partie intégrante des systèmes saisonniers de production alimentaire de la région. Le travail de la vannerie revient traditionnellement aux femmes. Ce travail renvoie à un système complexe de savoirs qui non seulement comprend les techniques et l'art de la fabrication, mais s'étend aux aspects écologiques et culturels de la cueillette et de la transformation des matières premières. Au cours des ans, la production et la fonction des paniers ont changé, mais le travail de vannerie subsiste. Les vannières d'aujourd'hui remarquent toutefois l'impact de l'exploitation industrielle des forêts et des activités humaines sur les végétaux qu'elles utilisent. L'auteure propose des pistes de recherche sur les aspects écologiques et économiques de la vannerie. Mots clés : Turner, écologie, Amérindiens, chasseurs-cueilleurs, pêcheurs, artisanat, vannerie
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Roult, Didier. "Hydro Energy & Sustainability – Synthèse de la conférence internationale organisée par la SHF, les 29 et 30 janvier 2019 à Grenoble". La Houille Blanche, n.º 2 (abril de 2019): 117–21. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019021.

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Resumen
L'hydroélectricité reste la plus importante des énergies renouvelables. Ses apports au système énergétique sont indéniables. Offrant à la fois la possibilité de stockage à différentes échelles de temps (de l'heure à l'année), une grande flexibilité et permettant de répondre aux besoins de services systèmes, l'hydroélectricité joue un rôle essentiel dans la transition énergétique. L'hydroélectricité participe largement au développement économique des territoires. L'usage multiple de l'eau (eau potable, irrigation, soutien d'étiage, navigation) est devenu la règle. Au-delà de la production énergétique, elle est au centre des enjeux liés à la gestion des ressources en eau et au développement des territoires. Mais, dans un contexte énergétique en pleine mutation, l'hydroélectricité doit s'adapter. La question environnementale reste une priorité, avec notamment de nombreuses solutions à apporter sur la continuité piscicole, reposant sur des actions de recherche et d'innovation importantes. De nouvelles technologies sont testées, telles que le couplage énergie photovoltaïque/ STEP, l'installation d'hydroliennes fluviales, et un nouveau regard est porté sur l'énergie des marées. Ce document présente une synthèse de la conférence internationale HydroES 2019 ≪ Quel avenir voulons-nous pour l'hydroélectricité en France et en Europe ? », organisée par la SHF et accueillie par INP ENSE3 à Grenoble, les 29 et 30 janvier 2019.
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Pinel-Alloul, B., D. Planas, R. Carignan y P. Magnan. "Synthèse des impacts écologiques des feux et des coupes forestières sur les lacs de l'écozone boréale au Québec". Revue des sciences de l'eau 15, n.º 1 (12 de abril de 2005): 371–95. http://dx.doi.org/10.7202/705460ar.

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Resumen
Cet article présente une première synthèse comparative des impacts des feux et des coupes forestières sur la qualité des eaux et les communautés aquatiques des lacs de l'écozone boréale de l'est du Canada. La recherche a été réalisée de 1996 à 1998 dans le cadre d'un projet du Réseau de centre d'excellence sur la gestion durable des forêts (RCE-GDF) et porte sur 38 lacs du Bouclier Canadien du Québec. Les changements dans la qualité de l'eau ainsi que dans la diversité, la biomasse et la structure des communautés de plancton et de poissons ont été suivis pendant trois ans dans 20 lacs dont les bassins versants étaient non perturbés, dans 9 lacs qui avaient subit des coupes forestières et dans 9 lacs qui avaient subit des feux de forêt. Notre étude montre que les feux et les coupes ont des impacts significatifs qui diffèrent selon le type de perturbation. En général, les lacs affectés par les coupes et les feux ont des concentrations de phosphore 2 à 3 fois plus élevées que les lacs de référence. Toutefois, les lacs affectés par les feux montrent des concentrations en nitrates beaucoup plus élevées tandis que les lacs affectés par les coupes sont moins transparents et ont des eaux plus colorées, très riches en carbone organique dissous. Les feux et les coupes affectent aussi de façon différente la minéralisation des eaux et les concentrations des ions majeurs. Les feux et les coupes n'ont pas d'effet sur la biodiversité des communautés planctoniques, sauf dans les lacs ayant un grand bassin versant et plus de 40 % de perturbation. Aucune différence n'a été observée entre les lacs de référence et les lacs perturbés au niveau de l'occurrence, l'abondance et la croissance des espèces de poissons. En revanche, les feux et les coupes affectent la production et la structure des communautés aquatiques. Dans les lacs affectés par les feux, l'enrichissement en azote et phosphore provoque une hausse de la concentration en chlorophylle a, et de la biomasse du phytoplancton et du limnoplancton (seston > 53 µm), en particulier des diatomées, des rotifères et des gros crustacés, pendant deux à trois années après les feux. En revanche, dans les lacs affectés par les coupes, l'enrichissement en phosphore n'entraîne qu'une augmentation très faible et limitée à un an de la biomasse des algues et pas de changement dans les biomasses du limnoplancton, en raison de la forte couleur et de la transparence réduite des eaux, qui limite la production biologique. Les coupes ont un impact négatif sur les copépodes calanoïdes, un groupe de zooplancton caractéristique des lacs oligotrophes et transparents. Une diminution significative de la proportion des individus de petite taille a été observée chez les populations de perchaude et de meunier noir des lacs perturbés (lacs de coupe et de feux formant un seul groupe). Les impacts observés dans la qualité des eaux et la production du plancton augmentent avec l'importance relative des perturbations au niveau du bassin versant. Cependant, la variabilité dans les caractéristiques des bassins versants et des lacs, en particulier le rapport de drainage et le temps de résidence des eaux, a des effets confondants sur les réponses des écosystèmes lacustres aux perturbations par les feux et les coupes.
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Traore, Sidi Oumar, Alassane Ba, Doubangolo Coulibaly, Abdoul Kader Kone, Bouréma Kone y Nangboro Ferdinand Dembele. "Production du fourrage de Mucuna pruriens pour l’alimentation des animaux et sa marge brute en zone cotonnière du Mali". International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, n.º 1 (21 de abril de 2021): 117–28. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i1.11.

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Resumen
En zone cotonnière du Mali, la situation d’affouragement des animaux est largement déficitaire. Pour améliorer la disponibilité des ressources fourragères, la recherche en partenariat avec les producteurs a introduit en milieu paysan la culture de Mucuna pruriens. Cette étude vise à évaluer les performances de M. pruriens dans la production du fourrage pour les animaux. Les essais ont été conduits par 25 producteurs répartis dans 5 sites durant les campagnes agricoles 2015-2016, 2016-2017 et 2017-2018. Les essais étaient divisés en deux parcelles tests : culture pure de M. pruriens et association M. pruriens/maïs. La production moyenne en biomasse de M. pruriens pur sur les 3 campagnes agricoles a été de 4 363±1 491kg MS/ha. Cette production couvre les besoins en matière sèche de 7,76±2,65 UBT durant 90 jours. Pour l’association, la production de biomasse a été de 5 449±1 766 kg MS/ha, elle couvre les besoins en matière sèche de 9,69±3,14 UBT pendant 90 jours. La marge brute de la culture pure de M. pruriens est de 786 060±298 140 FCFA/ha. Pour l’association, elle est de 850 917±36 1887 FCFA/ha. La culture de M. pruriens favorise l’intégration agriculture-élevage tout en améliorant l’alimentation des animaux et les revenus des producteurs. Mots clés: Exploitation agricole, date de semis, Cultures fourragères, M. pruriens, zone cotonnière. English Title: Production of Mucuna pruriens fodder for animal feed and its gross margin in the cotton-growing zone of Mali In Mali's cotton-growing zone, there is a large deficit in animal feed. To improve the availability of fodder resources, research in partnership with producers has introduced the cultivation of Mucuna pruriens into the farming environment. This study aims ed at evaluat’hg the performance of M. pruriens in the production of fodder for animals. The trials were conducted by 25 producers in 5 sites during the 2015-2016, 2016-2017 and 2017-2018 crop years. The trials were divided into two test plots: pure culture of M. pruriens and M. pruriens/corn combination. The average biomass production of pure M. pruriens over the 3 cropping seasons was 4363±1,491kg MS/ha. This production covers the dry matter requirement of 7.76±2.65 Btu for 90 days. For the association, the biomass production was 5449±1,766 kg DM/ha, covering the dry matter requirement of 9.69±3.14 Btu for 90 days. The gross margin of the pure culture of M. pruriens is 786 060±298 140 FCFA/ha. For the association, it is 850 917±36 1887 FCFA/ha. The cultivation of M. pruriens promotes the integration of agriculture and livestock while improving animal nutrition and the income of producers. Keywords: Farm, sowing date, fodder crops, M. pruriens, cotton are
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Kasongo Yakusu, Emmanuel, Dominique Louppe, Franck S. Monthe, Olivier J. Hardy, Félicien Bola Mbele Lokanda, Wannes Hubau, Jan Van Den Bulcke, Joris Van Acker, Hans Beeckman y Nils Bourland. "Enjeux et amélioration de la gestion des espèces du genre Entandrophragma, arbres africains devenus vulnérables". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 339 (17 de abril de 2019): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.339.a31717.

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Resumen
Par la qualité de leur bois et leurs nombreux usages traditionnels, les espèces du genre Entandrophragma font l’objet d’une intense exploitation, susceptible de compromettre leur pérennité en l’absence de gestion durable. La présente étude dresse un état de la situation de cinq espèces commerciales principales de ce genre : Entandrophragma angolense, E. congoense (souvent assimilée par erreur à E. angolense), E. candollei, E. cylindricum et E. utile. Elle propose des pistes de recherche pour améliorer les stratégies de gestion durable au sein de ce genre. L’étude est principalement basée sur les données scientifiques (publications), économiques (statistiques de production et d’exportation) et juridiques (lois et réglementations), mais aussi sur les plans d’aménagement et les rapports d’inventaire. Les connaissances sur leur gestion sont encore fragmentaires alors qu’elles sont considérées comme vulnérables dans la liste rouge de l’UICN. La forte exploitation industrielle ou artisanale de ces espèces ne s’effectue pas toujours dans le respect d’un plan d’aménagement validé, ni de la durée minimum des rotations qui permettraient l’un et l’autre un taux de reconstitution pérennisant cette ressource. Leur gestion durable exige notamment le développement et le respect de mesures d’aménagement pour rendre leur exploitation renouvelable à long terme. Cette exploitation doit s’appuyer sur une gestion adéquate des peuplements naturels et sur le reboisement ainsi que sur des mesures de conservation. Les recherches à développer doivent intéresser leur vitesse de croissance face aux évolutions climatiques, l’évaluation de leurs stocks (production, biomasse, carbone), l’actualisation de leur distribution spatiale, l’amélioration de leur régénération naturelle, les processus de leur reproduction, leurs propriétés anatomiques et technologiques, autant de pistes pertinentes pour garantir la pérennité des espèces exploitables du genre Entandrophragma.
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Comeau, André, François Langevin y Marcel Lévesque. "La santé des racines : le monde de la complexité". Conférences [Symposium : Santé des racines, santé des plantes. Société de protection des plantes du Québec. 97e Assemblée annuelle (2005) Gatineau (Québec), 9 et 10 juin 2005] 86, n.º 1 (15 de noviembre de 2005): 43–52. http://dx.doi.org/10.7202/011714ar.

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Resumen
L’étude des racines a été entreprise dans le laboratoire du Centre de recherche et de développement sur les sols et les grandes cultures pour tenter d’élucider l’effet inattendu d’un virus qui, exploité dans le contexte de la sélection végétale, aidait à augmenter le potentiel de biomasse de l’espèce. La complexité de la vie des racines amène bien des embûches dans de telles études. Le monde des interactions au niveau des racines est si complexe que la méthode cartésienne n’offre pas les outils adéquats pour comprendre le système. Malgré tout, on peut développer des méthodes utiles et efficaces pour comprendre et gérer cette complexité. Après avoir approfondi les acquis des méthodes cartésiennes, il faut aller vers des approches synthétiques offrant une possibilité de continuité des progrès académiques et pratiques. Les racines les mieux adaptées et les plus plastiques par rapport à leur écosystème possèdent de nombreuses propriétés probablement interreliées. Un progrès global vers la santé des racines est donc un but envisageable, et dont le succès serait important au niveau environnemental. La génétique et la régie peuvent y contribuer. Pour progresser dans ce domaine, il faut donc oser sortir des voies conventionnelles. Ce n’est pas seulement la difficulté d’une question complexe qui est en cause, mais également le fait que notre éducation nous a enseigné à éviter de côtoyer la complexité. L’approche réductrice ne permet de comprendre ni la santé des racines, ni celle de la plante, ni le lien entre la plante, ses ennemis, la rhizosphère, et l’environnement. C’est donc à juste titre que des philosophes nous mettent en garde contre les impacts du morcellement des connaissances. Ce texte s’inscrit dans le désir d’aborder le monde des racines dans sa complexité et d’éviter les pièges associés à la logique cartésienne à l’état pur.
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Aderinboye, R. Y. y A. O. Olanipekun. "An in-vitro evaluation of the potentials of turmeric as phytogenic feed additive for rumen modification". Nigerian Journal of Animal Production 48, n.º 3 (6 de marzo de 2021): 193–203. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2950.

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Resumen
The potential risk to animal and human health in the use of antibiotic feed additives for modifying rumen fermentation has necessitated the search for natural alternatives which are generally regarded as safe. The aim of this study was to evaluate the potentials of turmeric powder in rumen manipulation using the in vitro method. Substrate of Panicum maximum and concentrate in ratio 6: 4 with turmeric inclusion at four levels of 0, 5, 10 and 15 mg/g dry matter (DM) were used for this study. The experiment was arranged in a completely randomized design. Approximately 200 mg of substrate in each treatment was weighed separately into 100 mL glass syringes into which 30 mL of rumen fluid and buffer solution (1:2 v/v) were added. The quantities of total gas, methane, ammonia, total volatile fatty acids production and substrate degraded were determined 48-h post incubation. Rumen bacteria, protozoa, fungi population were determined and microbial biomass was estimated. Some phytochemical constituents of turmeric were also determined using standard methods. Turmeric had a higher percentage of curcumin relative to other phytochemical contents determined. Turmeric effectively and consistently (p < 0.05) reduced gas production at levels above 5 mg/g of substrate inclusion throughout the 48-h incubation period. Similarly, turmeric reduced (p < 0.05) methane, carbon-dioxide, ammonia and total volatile fatty acids production, and substrate degradation at 10 – 15 mg/g inclusion. Rumen bacteria and protozoa reduced when turmeric was included at 10 – 15 mg/g while fungi reduction was observed at 15 mg/g of inclusion. Reduction in microbial biomass was observed at 15 mg/g of turmeric inclusion. It can be concluded from this study that turmeric inclusion above 5 mg/g DM of substrate, can modify the rumen by causing a reduction in fermentation end-products. The reduction of ammonia production at 15 mg/g which significantly reduced microbial biomass has implication for lowering microbial protein synthesis. Le risque potentiel pour la santé animale et humaine dans l'utilisation d'additifs alimentaires antibiotiques pour modifier la fermentation du rumen a nécessité la recherche d'alternatives naturelles qui sont généralement considérées comme sûres. Le but de cette étude était d'évaluer les potentiels de la poudre de curcuma dans la manipulation du rumen en utilisant la méthode in vitro. Substrat de Panicum maximum et concentré dans le rapport 6: 4 avec l'inclusion de curcuma à quatre niveaux de 0, 5, 10 et 15 mg/g de matière sèche (DM) ont été utilisés pour cette étude. L'expérience a été organisée dans une conception complètement randomisée. Environ 200 mg de substrat dans chaque traitement ont été pesés séparément dans des seringues en verre de 100 mL dans lesquelles 30 mL de liquide rumen et de solution tampon (1:2 v/v) ont été ajoutés. Les quantités totales de gaz, de méthane, d'ammoniac, de production totale d'acides gras volatils et de substrat dégradé ont été déterminées 48 h après incubation. La bactérie Rumen, le protozoaire, la population de champignons ont été déterminés et la biomasse microbienne a été estimée. Certains constituants phytochimiques du curcuma ont également été déterminés à l'aide de méthodes standard. Le curcuma avait un pourcentage plus élevé de curcumine par rapport à d'autres contenus phytochimiques déterminés. Le curcuma a réduit efficacement et systématiquement (p < 0,05) la production de gaz à des niveaux supérieurs à 5 mg/g d'inclusion du substrat tout au long de la période d'incubation de 48 h. De même, le curcuma a réduit (p < 0,05) le méthane, le dioxyde de carbone, l'ammoniac et la production totale d'acides gras volatils, et la dégradation du substrat à 10 à 15 mg/g d'inclusion. Les bactéries rumen et le protozoaire ont diminué lorsque le curcuma a été inclus à 10 – 15 mg/g tandis que la réduction des champignons a été observée à 15 mg/g d'inclusion. La réduction de la biomasse microbienne a été observée à 15 mg/g d'inclusion de curcuma. On peut conclure de cette étude que l'inclusion de curcuma au- dessus de 5 mg/g de DM de substrat, peut modifier le rumen en causant une réduction des produits finaux de fermentation. La réduction de la production d'ammoniac à 15 mg/g, ce qui a considérablement réduit la biomasse microbienne, a des répercussions sur l'abaissement de la synthèse des protéines microbiennes.
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GIGER-REVERDIN, S., J. AUFRERE, D. SAUVANT, C. DEMARQUILLY, M. VERMOREL y S. POCHET. "Prévision de la valeur énergétique des aliments composés pour les ruminants". INRAE Productions Animales 3, n.º 3 (3 de julio de 1990): 181–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.3.4372.

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Resumen
La prévision de la valeur énergétique des aliments composés destinés aux ruminants était basée, jusqu’à présent, sur des données moyennes concernant des matières premières. Cette étude porte sur 83 aliments composés, les plus représentatifs possibles de l’éventail des types utilisés en pratique, et dont, par exenr ple, la teneur en céréales a varié de 0 à 90 %. Les mesures in vivo de digestibilités de la matière organique ou de l’énergie ont été effectuées par l’une des quatre équipes de recherche travaillant à Theix (INRA, France), à l’INA-PG (INRA, France), au Rowett Research Institute (Royaume-Uni) ou à Lelystad (IVVO, Pays-Bas). De plus, les pertes en énergie urinaire et sous forme de méthane ont été mesurées à Theix et au Rowett. Différents constituants ont été dosés suivant des méthodes utilisables par des laboratoires de routine : paroi cellulaire, lignocellulose, lignine (méthodes de Van Soest et de Christian), dégradabilités enzymatiques. Le calcul et la prévision de l’énergie nette procèdent d’une démarche par étapes successives. A chacune d’entre elles, le maximum de données mesurées in vivo, et dont la fiabilité a été préalablement testée, a été intégré. La validité des critères d’estimation nécessaires à chaque étape a été discutée tant au niveau de leur prévision que de leur fiabilité. Cette approche a conduit à proposer des équations de prévision des UFL et des UFV avec des écarts-types résiduels (E.T.R.) variant respectivement de 0,05 à 0,06 UFL/kg MO et de 0,06 à 0,08 UFV/kg MO suivant les critères analytiques considérés. Les trois dosages (lignine « directe », matières azotées totales, extrait éthéré) qui s’appuient sur des méthodes déjà appliquées en routine, conduisent à un E.T.R. de 0,056 UFL et de 0,0068 UFV/kg MO. L’intérêt de cette étude réside dans le nombre important de mesures effectuées in vivo, dans la représentativité des aliments étudiés, ainsi que dans la variété des méthodes de laboratoire impliquées.
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Veluk Gutierrez, Felipe, Ronnie De Camino y Alejandro Imbach. "Cartographie des aires prioritaires pour la restauration des paysages forestiers et l'amélioration des moayens de subsitance ruraux sur l'Altiplano de San Marcos au Guatemala". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, n.º 313 (1 de septiembre de 2012): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20498.

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Resumen
Le projet de recherche a été mené au sein de trois petits bassins versants localisés dans l'altiplano du département de San Marcos, dans la région Sud-Ouest du Guatemala. L'objectif principal était d'analyser les attributs spatiaux du territoire et de cartographier les aires prioritaires pour aider les parties prenantes aux prises de décision de mise en oeuvre de futurs efforts régionaux de développement, d'aménagement et de conservation des ressources naturelles. Ce travail a pris en compte différents outils et approches techniques tels que: la restauration du paysage forestier (Rpf), les milieux de vie durables, les services écosystémiques, le système d'information géographique (Sig) et l'analyse décisionnelle avec de multiples critères spatiaux. Cette cartographie a identifié et mis en exergue trois lignes stratégiques de Rpf en accord avec chaque modèle spatial ainsi créé, qui sont par ordre d'importance croissante, l'aménagement et la conservation des résidus forestiers, le reboisement ou la régénération de terres dégradées et, surtout, la mise en place de systèmes agroforestiers. Chaque modèle a été établi à partir d'attributs géographiques spécifiques en accord avec les besoins élémentaires des moyens de vie et aussi à partir des données spatiales disponibles. En outre, différents services écosystémiques ont été mis à profit pour orienter la construction de la structure cartographique, parmi lesquels: l'approvisionnement en bois énergie et bois d'oeuvre, la régulation hydrique, la protection des sols et la réduction des risques de glissement de terrain et le gel, la production/sécurité alimentaire et la conservation de la biodiversité. Le Sig s'est avérée être un outil assez puissant et innovant pour comprendre et intégrer le large et complexe réseau de facteurs et/ou lignes de force (mosaïque d'usage du sol, moyens de vie locaux, relations et enjeux sociaux, parmi d'autres caractéristiques géographiques) qui définissent le paysage et ses habitants et consolident ainsi les futurs efforts ou plans régionaux de Rpf. L'analyse spatiale et l'identification d'aires prioritaires à choisir pour la Rpf constituent ainsi les éléments clés d'appui auprès des responsables locaux et des décideurs en vue de l'usage optimal de leurs ressources techniques et financières afin d'élaborer un avenir le plus durable possible vis-à-vis des communautés et de leur environnement.
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Gado, Byll O. Kperou, Ismaïla Toko Imorou, Ousséni Arouna y Madjidou Oumorou. "Caractérisation des parcours de transhumance à la périphérie de la réserve de biosphère transfrontalière du W au Bénin". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n.º 2 (11 de mayo de 2020): 333–52. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i2.3.

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Resumen
La caractérisation des parcours naturels est un enjeu majeur pour protéger ces derniers et maintenir la productivité des systèmes d’élevage pastoraux. Cette recherche a été réalisée à la périphérie de la réserve de biosphère transfrontalière du W du Bénin. Le but est de mieux connaître les écosystèmes pâturés autour de la réserve et d’analyser la perception des éleveurs transhumants sur ces pâturages. Les approches phytosociologique et socio-économique ont été utilisées. Au total 225 personnes ont été interrogées. Les résultats ont révélé 132 espèces végétales réparties en 93 genres et 41 familles sur des pâturages à Spermacoce radiata et Anogeissus leiocarpa, Kyllinga squamulata et Diospyros mespiliformis, Alysicarpus glumaceus et Detarium microcarpum, Paspalum scrobiculatum et Prosopis africana. Le choix de cette zone par les transhumants nationaux et sahéliens est lié à la bonne valeur pastorale (52,79% dans les pâturages à Paspalum crobiculatum et Prosopis africana), la richesse en essences fourragères riches en énergie (Poaceae) et en protéines (Leguminosae et Rubiaceae). La zone est soumise à de fortes pressions anthropiques qui engendrent des difficultés d’alimentation du bétail. Les éleveurs utilisent ainsi leurs savoirs sur les ressources fourragères pour s’adapter. Ils connaissent bien celles qui sont les plus appétées par les animaux et celles devenues rares ou en voie de disparition. Mots clés : Phytosociologie, perception, valeur pastorale, embroussaillement. English Title:Characterization of the transhumance route at the periphery of the transboundary biosphere reserve in W Benin The characterization of natural rangelands is a major challenge to protect them and maintain the productivity of pastoral livestock systems. This research was carried out on the outskirts of the W B. transboundary biosphere reserve in Benin. The aim was to have a better understanding of the grazed ecosystems around the reserve and to analyze the perception of transhumant pastoralists on these pastures. Phytosociological and socio-economic approaches were used. A total of 225 people were interviewed. The results revealed 132 plants species divided into 93 genera and 41 families on pastures with Spermacoce radiata and Anogeissus leiocarpa, Kyllinga squamulata and Diospyros mespiliformis, Alysicarpus glumaceus and Detarium microcarpum, Paspalum scrobiculatum and Prosopis africana. The choice of this area by national and Sahelian transhumants is linked to the good pastoral value (52.79% in pastures with Paspalum scrobiculatum and Prosopis africana), the richness in fodder species rich in energy (Poaceae) and proteins (Leguminosae and Rubiaceae). The area is subject to strong anthropogenic pressures which cause difficulties in feeding livestock. Breeders use their knowledge of fodder resources to adapt. They are familiar with those that are the most palatable by animals and those that have become rare or endangered. Keywords: Phytosociology, perception, pastoral value, encroachment.
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Fournier, Marcel. "Un intellectuel à la rencontre de deux mondes : Jean-Charles Falardeau et le développement de la sociologie universitaire au Québec". Recherches sociographiques 23, n.º 3 (12 de abril de 2005): 361–85. http://dx.doi.org/10.7202/055993ar.

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Resumen
Objet de nombreuses études, le processus de constitution de nouveaux savoirs ou de nouvelles compétences est assimilé tantôt au mouvement de « professionnalisation », tantôt à l'organisation de disciplines scientifiques, mais dans l'un (sociologie des professions) et l'autre cas (sociologie de la science), ce processus est identifié à la constitution d'un corps de spécialistes et à leur insertion en milieu universitaire : les conditions institutionnelles ou les étapes d'institutionnalisation d'une discipline sont invariablement la délimitation des frontières de la discipline, l'organisation d'institutions d'enseignement et de recherche, la constitution de réseaux ou plus largement d'une « communauté » de collègues en contact les uns avec les autres, la formalisation des règles d'accès à la carrière scientifique, etc. Il faut cependant reconnaître que, parce qu'elle exige la mobilisation de ressources humaines et financières, toute transformation de la division sociale du travail intellectuel qu'entraînent l'apparition et l'organisation d'une nouvelle discipline ne repose pas sur la seule force de P« idée » nouvelle ou sur la seule énergie de quelques individus d'exception. Pour la période contemporaine, en particulier pour la période qui correspond à la modernisation du système universitaire et qui date, en Europe et en Amérique du Nord, de la seconde moitié du XIXe siècle, une telle modification n'est nullement indépendante de transformations de la structure sociale elle-même, en particulier de la montée de nouvelles classes dirigeantes qui identifient leur mobilité au « progrès », à la « modernité » et à la « science », et qui souvent s'associent à des mouvements de réformes sociales. Dans le cas de la sociologie aux États-Unis, il ne fait aucun doute, comme le montre Oberschall, que sa naissance et son développement rapide sont provoqués par la prise de conscience et la prise en charge, d'abord par des institutions privées et ensuite par l'État lui-même, des «problèmes sociaux» (pauvreté, hygiène, criminalité, urbanisation, etc.) qu'entraîne l'industrialisation et qui suscitent l'organisation de mouvements réformistes habituellement animés par des membres des classes supérieures. ' Fille de la modernité, la sociologie en est à la fois le témoin, l'analyste et (parfois) le critique. Dans le cas d'une société telle que le Québec dont le développement économique est largement dépendant, Le. fonction de capitaux étrangers, la mobilité et la mobilisation de la bourgeoisie francophone n'ont été, de la seconde moitié du XIXe siècle jusqu'aux années de la Crise, que partielles et n'ont pas permis, à travers des mouvements de réforme, la véritable modernisation du système universitaire francophone. Le développement de la sociologie sera certes lié à un mouvement social de modernisation, mais le contexte politique (de lutte contre le Duplessisme) et aussi la composition de ce mouvement, plus étroitement lié aux classes moyennes et populaires, seront différents : à la fois cette conjoncture spécifique et les caractéristiques sociales de ceux qui s'intéressent à cette discipline donneront à son développement un rythme et une forme particuliers.
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MOLENAT, G., D. FOULQUIER, P. AUTRAN, J. BOUIX, D. HUBERT, M. JACQUIN, F. BOCQUIER y B. BIBE. "Pour un élevage ovin allaitant performant et durable sur parcours : un système expérimental sur le causse du Larzac". INRAE Productions Animales 18, n.º 5 (18 de diciembre de 2005): 323–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3536.

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Resumen
Sur le Causse du Larzac, plusieurs Unités de recherche de l’INRA collaborent à la conception d’un élevage ovin allaitant performant sur pelouses sèches dans le but de concilier les fortes exigences zootechniques avec l’entretien d’un milieu ouvert. La végétation pastorale est au cœur du système de production expérimental ; son renouvellement doit être assuré et son usage privilégié comme ressource alimentaire principale d’un élevage qui doit tendre vers la durabilité. Les travaux ont été menés selon plusieurs orientations complémentaires : études génétiques autour de l’animal productif adapté ; élaboration de pratiques d’élevage en plein air ; raisonnement des calendriers et des conduites de pâturage valorisant la pelouse avec des adaptations innovantes. C’est ainsi qu’au domaine de La Fage, des brebis prolifiques INRA 401, agnelant en début de printemps, sont élevées en plein air intégral sur parcours et alimentées majoritairement par la végétation spontanée dont une faible proportion a été fertilisée. Différentes options d’exploitation des ressources ont été étudiées. Pour s’affranchir pendant la lactation d’apports d’aliments complémentaires exogènes, les brebis disposent à partir de la mi-avril, des surfaces fertilisées qui, avec 3 à 4 semaines d’avance sur les pelouses natives, offrent une herbe abondante de qualité, à base de graminées. Ces surfaces, pâturées en rotation (4 parcelles) pendant une trentaine de jours, jusque vers le 20 mai, selon deux cycles successifs à raison de 17 brebis/ha, ont permis des gains de poids journaliers moyens de 268 g à 295 g selon les années pour des agneaux dont les 2/3 étaient allaités doubles. Les croissances ont ensuite pu être maintenues aux alentours de 250 g/j jusqu’au sevrage, à la fin juin, en passant sur les parcours natifs, alors pratiquement au stade optimum. Pour ce faire sur cette période, le chargement était de 2 à 3 brebis/ha, la fréquence de changement de parcelle de 6 à 8 jours et l’herbe était nouvelle à chaque changement. Sur une série de 14 ans, la production printanière des pelouses natives a été en moyenne de 1 t&nbsp;MS/ha et celle des pelouses fertilisées de 4,4 t. Dans ces conditions, il a suffi de 6 % de surface fertilisée pour obtenir les performances ci-dessus. De la mi-avril jusqu’en décembre-janvier les brebis s’alimentent exclusivement sur les parcours, ce qui représente 68 % de leurs besoins annuels en énergie calculés. Le reste correspond à des aliments distribués en hiver, du foin produit sur le domaine (18 %) et de l’aliment concentré pendant la gestation (14 %). Outre la perspective d’une forte autonomie fourragère, ce programme a montré la possibilité de maintenir le milieu ouvert, de maîtriser les espèces végétales envahissantes et de préserver la biodiversité végétale au moyen d’une exploitation des parcours en rotation dans des parcs avec des chargements instantanés élevés. La race INRA 401, en phase d’absorption d’un troupeau de brebis ½ sang Romanov, a révélé dans ce milieu de bonnes aptitudes de production et d’adaptation tout comme elle a été propice à l’évaluation des modalités de gestion des pâturages. Dans l’état actuel du programme, les résultats obtenus et les solutions techniques dégagées, dans les domaines de la génétique ovine, de la conduite des troupeaux et de l’exploitation des pâturages, doivent pouvoir éclairer&nbsp;aussi bien le choix et la sélection des races que les démarches prospectives de mise en valeur durable des zones pastorales difficiles ou encore le corpus des conseils techniques aux éleveurs des régions concernées.
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AGABRIEL, J. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 20, n.º 2 (7 de junio de 2007): 107–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3442.

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Resumen
L’alimentation des ruminants : un problème d’actualitéDans la conduite et la réussite d’un système de production de Ruminants, l’alimentation du troupeau reste un domaine très important qui continue de poser de nombreuses questions à la fois pratiques et théoriques. Pour l’éleveur, les postes récolte des fourrages et des céréales, achats d’aliments et entretien des surfaces fourragères représentent plus de 50 % des charges opérationnelles de son exploitation. Nourrir quotidiennement son troupeau lui impose de faire des choix de types de rations et en amont des choix stratégiques de long terme, sur la conduite de son système fourrager en considérant ses contraintes de milieu naturel, de bâtiments ou de stockage. La gestion de l’alimentation est directement liée à tous les autres choix stratégiques de l’activité d’élevage, le niveau de croissance des jeunes animaux, la reproduction, l’allotement la quantité et la qualité de la production. Pour le chercheur en nutrition animale, les enjeux sont devenus multiples et son positionnement a évolué : la recherche de la production maximale soutenue par l’alimentation a fait place à la volonté d’atteindre un optimum à la fois biologique, technique et économique selon les milieux dans lequel l’élevage est conduit. Il doit faire en sorte que la ration calculée par ses modèles satisfasse les besoins de l’animal selon les objectifs de production de l’éleveur, mais qu’elle participe également au bon état sanitaire et de bien-être du troupeau, qu’elle garantisse la qualité des produits et minimise l’impact défavorable des rejets sur l’environnement. La recherche en nutrition et alimentation des ruminants porte à la fois sur les fourrages, la physiologie digestive et métabolique de l’animal et son comportement alimentaire. En tenant compte de la complexité des mécanismes biologiques, les modèles nutritionnels doivent pouvoir simuler avec le maximum de précisions les flux de matières à travers le tube digestif et les organes sur des pas de temps variables, à la fois de court et de long terme. Cela reste un sujet perpétuellement en évolution qui exige aussi de synthétiser les connaissances sous forme d’outils d’aide à la décision et qui soit capable de présenter la qualité de ces outils et leurs limites d’usage. Une recherche qui se développe avec l’INRALes recherches pour aider à déterminer les choix d’alimentation des animaux en condition de production se sont concrétisées au cours du 20ème siècle. Les systèmes d’alimentation en énergie, azote et minéraux ont été développés en France après 1945. A l’INRA, le département Elevage des Ruminants sous l’impulsion de R. Jarrige avait initié une révision majeure des principes et des unités pratiques de terrain en 1978 en proposant un système énergétique construit sur la base de deux unités fourragères, lait et viande (UFL, UFV), un système des Protéines Digestibles dans l’Intestin (PDI) et des Tables complètes à la fois des besoins des animaux et de la valeur alimentaire des aliments. C’est notamment dans le domaine de la valeur nutritionnelle des fourrages que ces travaux étaient particulièrement riches. Ces «systèmes INRA» avaient alors été complétés par la première ébauche d’un modèle complètement nouveau de prévision de l’ingestion (système des Unités d’Encombrements UE) qui sera fortement remanié et amélioré dix ans plus tard lors de la révision de 1988. Ce nouvel ensemble, prévision de l’ingestion, estimation des besoins nutritionnels, a également permis d’accroître l’offre d’outils pratiques de terrain. En complèment des Tables imprimées, un outil informatique d’accompagnement et de rationnement «INRAtion» a été proposé dès 1992. Celui-ci s’est ensuite enrichi de l’outil de calcul de la prévision de la valeur des aliments «Prevalim;» et tous deux sont devenus des réceptacles appliqués des nouveautés scientifiques concernant les systèmes INRA. Mais, près de vingt ans après le dernier «Livre Rouge de l’Alimentation des bovins, ovins et caprins», une mise à niveau des ouvrages écrits s’imposait également et il est apparu nécessaire de proposer une actualisation des connaissances des principes du rationnement des ruminants. Les travaux des équipes de recherches ont permis de progresser aussi bien sur la caractérisation de la valeur des fourrages et des matières premières, que sur l’estimation des besoins des animaux et des apports nutritionnels recommandés dans des situations très diverses. Au delà des recommandations statiques, focalisées sur l’objectif de satisfaire les besoins, les lois de réponses dynamiques des pratiques alimentaires sont mieux connues et quantifiées. Elles permettent de mieux simuler les conséquences de la diversité des situations. L’objectif de l’ouvrage «Alimentation des bovins, ovins et caprins - Tables INRA 2007», sorti en février aux éditions Quæ, est ainsi de remettre sous la forme connue et largement adoptée par tous les acteurs des filières de l’élevage ruminant ces nouveaux résultats. Des documents complémentairesCependant le niveau scientifique choisi de l’ouvrage récemment paru et sa taille volontairement réduite pour en faire un ouvrage facilement accessible ont contraint les auteurs à aller à l’essentiel, les frustrant sans aucun doute d’une description et d’une discussion de fond de leurs résultats.En reprenant l’exemple de 1987 où le «livre rouge» publié par INRA Editions était complété par un numéro détaillé du Bulletin CRZVde Theix, nous avons donc décidé de publier un dossier dans la Revue INRA Productions Animales qui complète l’ouvrage de février. Ce dossier regroupe majoritairement des présentations et les explications des choix qui ont prévalu au développement des nouveaux modèles sous-tendus dans les recommandations. Il comporte 5 articles qui éclairent des points clés des innovations introduites en 2007, et qui correspondent soit à des nouveaux modèles mécanistes des fonctions de l’animal, soit à des méthodes de prévision de la valeur des fourrages, soit à des remises en cause plus profondes de l’ensemble apports, besoins comme c’est le cas pour la nutrition minérale.Toutefois, ce dossier n’est pas exhaustif des «nouveautés» du livre 2007. Certaines avaient été déjà publiées, soit dans des revues scientifiques, soit dans des sessions des «Rencontres Recherches Ruminants». Sans aucun doute d’autres viendront encore les compléter par la suite.Ainsi sont étudiés successivement des apports scientifiques sur la valeur des aliments et sur les besoins des animaux :1 - La dégradabilité des protéines dans le rumen (DT) et la digestibilité réelle des protéines alimentaires dans l’intestin grêle (dr). La valeur azotée des fourrages repose sur la bonne estimation de ces deux paramètres, qui sont la clé du calcul du système des protéines digestibles dans l’intestin PDI (article de M.-O. Nozières et al).2 - Les nouvelles valeurs minérales et vitaminiques des aliments. La possibilité de raisonner en éléments phosphore et calcium absorbables apporte de nouvelles précisions et modifie considérablement les quantités recommandées. L’article précise et actualise les Apports Journaliers Recommandés (AJR) d’éléments minéraux majeurs. Les autres minéraux, oligo-éléments et vitamines sont également revus de façon systématique et approfondie (article de F. Meschy et al).3 - De nouvelles équations statistiques de prévision de la digestibilité de la Matière Organique (dMO) des fourrages par la méthode pepsine-cellulase établies sur une banque de données couvrant une gamme plus importante de fourrages et de modes de conservation. La valeur énergétique des fourrages dépend en effet étroitement de la digestibilité de leur matière organique. Son estimation sur le terrain peut se faire à partir de méthodes de laboratoire comme la digestibilité pepsine-cellulase, utilisée en France depuis plus de vingt ans. Cette méthode est proposée pour sa bonne précision (article de J. Aufrère et al).4 - La composition du gain de poids chez des femelles adultes en période de finition qui permet de calculer ensuite directement le besoin en énergie et en protéines de l’animal. Ce modèle est suffisamment souple pour proposer un besoin face à un objectif de croissance donné, mais il propose aussi un niveau de croissance pour une ration d’un niveau énergétique donné. Ce nouveau modèle a été spécifiquement développé pour tenir compte de la très grande variabilité des situations pratiques rencontrées : la race, l’âge, le format, l’état d’engraissement initial et la vitesse du gain attendu (article de F. Garcia et J. Agabriel).5 - La capacité d’ingestion d’aliments par les vaches laitières au cours de leur lactation complète. Ce tout nouveau modèle s’adapte à tous types de vaches primipares, multipares et propose le nouveau concept de «lait potentiel» pour mieux décrire cette capacité d’ingestion. Ce concept est nécessaire pour répondre aux diverses stratégies des éleveurs dans la conduite de leurs animaux et qui ne souhaitent pas nécessairement les mener à leur maximum de production. Le modèle tient en effet compte de l’état initial de la vache au vêlage et des modifications d’état corporel qui accompagnent obligatoirement la conduite de la lactation (article de P. Faverdin et al).La Rédaction de la Revue a estimé judicieux de publier dans ce même numéro d’INRA Productions Animales, un travail très récent sur la teneur en matière grasse du lait de vache et sa prévision, qui pourra dans les années à venir se traduire concrètement dans les outils d’accompagnement de nos recommandations (article de Rulquin et al).A l’occasion de la publication de ce dossier, nous voulons plus particulièrement remercier tous les participants des Unités et Installations Expérimentales de l’INRA sans qui ces résultats ne seraient pas, ainsi que tout le personnel des Unités de Recherches qui ont participé dans les laboratoires ou derrière leurs écrans : l’Unité de Recherches sur les Herbivores (URH) de Clermont-Ferrand-Theix, l’Unité Mixte de Recherches sur la Production Laitière (UMR PL) de Rennes, l’Unité Mixte de Recherches Physiologie et Nutrition Animale (UMR PNA) de Paris, l’Unité Mixte de Recherches sur les Ruminants en Région Chaude (UMR ERRC) de Montpellier.
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Amy, G., J. F. Debroux, R. Arnold y L. G. Wilson. "Emploi de la pré-ozonation pour augmenter la biodégradabilité d'un effluent secondaire dans un système de traitement par inflitration dans le sol". Revue des sciences de l'eau 9, n.º 3 (12 de abril de 2005): 365–80. http://dx.doi.org/10.7202/705258ar.

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Resumen
La réutilisation des eaux usées est reconnue comme une technique importante dans les régions arides et /ou grandes consommatrices d'eau. L'une des méthodes actuellement très employée consiste à recharger la nappe phréatique avec des effluents secondaires via des bassins d'infiltration. L'épuration biologique et / ou chimique à travers la zone non-saturée représente une caractéristique importante de cette technologie. Les procédés de ce type sont connus sous l'appellation de Soil Aquifer Treatment (SAT) ou géofiltration. Dans ce travail, le procédé a été étudié comme méthode de réhabilitation d'un effluent secondaire d'eaux usées jusqu'au stade d'eau potable. Cette recherche a été principalement axée sur le comportement, le transport des matières organiques (MO) de l'effluent et particulièrement sur leur rôle de précurseurs potentiels de sous-produits de désinfection lors de la réutilisation de la nappe. Dans la zone vadose, la matière organique est principalement éliminée par biodégradation, et à un degré moindre, par adsorption. Les simulations du procédé, en laboratoire, ont été réalisées en réacteurs recirculés aérobies, en mode cuvée, avec un biofilm acclimaté sur des particules de sable siliceux, afin de déterminer la fraction biodégradable des MO. L'évaluation de celle-ci est essentielle pour prédire leur potentiel de dégradation par la biomasse de la zone vadose. L'effluent mis en oeuvre est issu d'une station d'épuration de l'Arizona (États-Unis) avec biofiltre (lit filtrant à support plastique); sa concentration en carbone organique dissous (COD) se situe entre 10 et 15 mg/L. L'effluent mis 5 jours durant en contact avec le biofilm acclimaté du réacteur montre un abattement de 50-60 % du COD. Il a ainsi été déterminé qu'environ 80 % de l'élimination des MO de l'effluent survient dans les premières 24 heures d'expérimentation, alors que le reste, près de 20 %, est éliminé durant les 48 heures suivantes. Dans ces conditions, le délai de 5 jours apparait suffisant pour dégrader les MO présentes dans ces effluents. Les rendements observés augurent bien de la dégradation dans la zone vadose si l'on tient compte de la combinaison des taux et de la hauteur d'infiltration avec des temps de résidence de 2 à 14 jours ainsi qu'il est proposé dans le procédé. Afin d'accroître la biodégradabilité des MO, une ozonation a été effectuée, en amont du bio-traitement, avec un générateur d'ozone à l'échelle du banc d'essai fonctionnant en mode semi-continu (admission continue de gaz, volume stable de liquide). La pré-ozonation a permis d'accroître la biodégradation de 60-70 %. Bien qu'un fort pourcentage de MO soit éliminé dans ce schéma, il ressort que l'ozone n'a qu'un effet modeste sur la transformation des MO dissoutes non-biodégradables en matières biodégradables par rapport à des expériences similaires effectuées avec des matières organiques naturelles (MON) des eaux de surface. L'eau usée ainsi traitée présente des niveaux de COD comparables à ceux d'une eau de surface employée à des fins de consommation. Les caractéristiques des MO de l'effluent ont été comparées à celles des MON. Une ultrafiltration de l'effluent pour déterminer le poids moléculaire apparent des MO, donne une distribution bimodale de leur poids moléculaire par rapport à une distribution logarithmique normale observée avec des MON typiques. En utilisant des résines non- ioniques pour séparer les fractions hydrophobes et hydrophiles des MO, il ressort que l'ozonation ne transforme pas de façon significative la fraction hydrophobe des MO de l'effluent en fraction hydrophile, tel que cela a été observé durant l'ozonation des MON. Ces eaux ont été chlorées en pilote, selon des conditions similaires à celles des réseaux de distribution (CI2:COD=1:1mg/mg, période d'incubation=24 heures) afin de simuler la post-désinfection après récupération. Les sous-produits réglementés (Trihalométhanes THM) et ceux proposés (Acides holoacétiques, HAA6) ont été formés à des taux inférieurs ou proches des normes en vigueur (ou de celles proposées pour HAA6) pour l'eau potable aux États-Unis. Cependant, une nitrification significative a été observée dans nos simulations de traitement par le sol avec un effluent non-nitrifié, conduisant à des teneurs en nitrates supérieures à la norme américaine pour l'eau potable (10 mg/L).
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"Énergie solaire : la recherche française termine sa structuration". Photoniques, n.º 66 (julio de 2013): 32–33. http://dx.doi.org/10.1051/photon/20136632.

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Adoue, Cyril, Arnaud Ansart y Frédérique Vincent. "Recherche de synergies matières/énergie entre secteurs industrielsRéflexions et perspectives". Déchets, sciences et techniques, n.º 28 (2002). http://dx.doi.org/10.4267/dechets-sciences-techniques.2398.

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Poinsot, Yves. "Circonscrire les gisements de biomasse-énergie pour protéger l'alimentation et la biodiversité : le défi intenable". VertigO, Volume 15 Numéro 1 (12 de mayo de 2015). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.16060.

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Némoz, Sophie. "Vers une énergie intelligente pour la mobilité universitaire? Le cas de la recherche-action « Smart Campus »". VertigO, Volume 14 Numéro 3 (16 de enero de 2015). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.15845.

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Bombeck, Pierre-Louis, Jacques Hébert y Aurore Richel. "L’utilisation de l’hydrolyse enzymatique pour la production de nanocellulose dans une stratégie de bioraffinage forestier intégré (synthèse bibliographique)". BASE, 2016, 94–103. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.12689.

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Resumen
Introduction. Dans un monde qui cherche à se défaire de sa dépendance à la pétrochimie, le concept de bioraffinage de la biomasse forestière est de plus en plus étudié. Dans une recherche de valorisation maximale des composants de cette biomasse, la transformation de fibres de cellulose en nanocellulose séduit de plus en plus l’industrie papetière par sa haute valeur ajoutée. Littérature. Le concept de bioraffinage forestier intégré vise l’adaptation des usines de pâte à papier en bioraffineries où un maximum de coproduits sont valorisés. Au départ de la cellulose contenue dans la pâte, deux types de nanocellulose peuvent être obtenus en déstructurant les fibres selon différents moyens. Comme elle génère des coproduits valorisables, l’hydrolyse enzymatique constitue un moyen de production de nanocellulose mais doit néanmoins être combinée à des traitements mécaniques. La production de nanocellulose au départ de pâte à papier chimique est une étape de fin de chaine qui peut même s’envisager sans modifier le fonctionnement des usines actuelles. La viabilité économique de cette production et la taille du marché potentiel sont l’objet d’études récentes qui s’avèrent encourageantes. Conclusions. La nanocellulose est un biomatériau d’avenir dont le domaine d’application ne cesse de grandir. La cellulose contenue dans la pâte à papier peut servir de matière première à la production de nanocellulose à l’aide de prétraitements enzymatiques générateurs de coproduits valorisables. Cette production peut s’intégrer dans une usine chimique classique de pâte et constituer ainsi un élargissement de la gamme de produits proposés par l’industrie papetière.
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"Les systèmes dédiés à la production de bois énergie en france. travaux de recherche et projets en cours". Revue Forestière Française, n.º 2 (2011). http://dx.doi.org/10.4267/2042/45207.

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Ramde, Seydou y Marc Bidan. "Déploiement du Financement Participatif de Proximité au Burkina Faso". Management & Data Science, septiembre de 2020. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.14014.

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Resumen
Cet article s’intéresse aux éléments de contexte liés à une opérationnalisation de technologies innovantes telles que le financement participatif de proximité (FPP) en Afrique subsaharienne (Burkina Faso) impliquant des populations modestes dans le cadre de projets concrets (puits, pompes, énergie, plantation, etc.) La recherche est basée théoriquement sur les travaux de Shamba et Livian (2014) et sur ceux de Gallo (2017) et empiriquement sur une démarche qualitative investigant trois communautés villageoises (Arbollé, etc.) au sein desquelles furent testés des dispositifs type FPP. Nos résultats montrent qu'une mécanique d'aide – via les Organisations Non Gouvernementales ou via les communautés religieuses - malgré une efficacité sur l'urgence ont contribué à installer une logique de dépendance face à l’aide extérieure qui ne facilite pas l'implication des populations. Cette aide exterieure inhibe de facto les tentatives d'opérationnalisation du FPP. Toutefois, les apports potentiels du FPP semble entrer en cohérence avec les liens familiaux et la diversité des groupes ethniques notamment s'il est déployé au niveau de ce qu'il est possible de nommer le « bassin de vie ».
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Nacir, Said, Naila Ouazzani, Jean-Luc Vasel, Hugue Jupsin y Laila Mandi. "Traitement des eaux usées domestiques par un chenal algal à haut rendement (CAHR) agité par air lift sous climat semi-aride". 23, n.º 1 (25 de enero de 2010): 57–72. http://dx.doi.org/10.7202/038925ar.

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Resumen
Résumé De nombreux travaux de recherche ont montré l’efficacité des systèmes de traitement extensifs tels que le lagunage naturel et leur adaptabilité aux conditions climatiques et socio-économiques pour des pays comme le Maroc. Le lagunage à haut rendement est une variante de lagunage naturel qui a pu démontrer ses meilleurs performances épuratoires et son efficacité. Le but de la présente étude est : i) de déterminer les différents paramètres hydrauliques d’un chenal algal pilote fonctionnant avec un air lift; ii) d’étudier son fonctionnement et d’évaluer ses performances épuratoires (physicochimiques et bactériologiques), sous les conditions climatiques semi-arides de la ville de Marrakech. Il faut signaler que ce système d’agitation par air lift sera testé pour la première fois au Maroc. L’étude hydrodynamique a pu démontrer que les vitesses d’écoulement calculées pour le pilote fonctionnant avec un air lift rentrent dans la gamme des vitesses d’écoulement recommandées pour ce genre de système et avec d’autres systèmes d’agitation comme la roue à aubes qui est la plus souvent utilisée dans ce genre d’installation. Également, la capacité d’oxygénation du chenal est plus importante. L’étude physicochimique a porté sur le suivi des paramètres de charge organique (DCO et DBO5) et de nutriments (azote et phosphore), tout en utilisant des méthodes d’analyse standards. En matière de DBO5, la filière élimine environ 44 %, alors que les teneurs en DCO brute de l’effluent traité restent élevées. Dans ce genre de système (CAHR), on assiste à une transformation de la matière organique entrante sous forme de biomasse algale, ce qui explique les faibles performances du chenal en matière de DCO brute. Contrairement à la charge organique, le chenal a montré une efficacité remarquable dans l’élimination des nutriments (77 % pour PO4 et 90 % pour NH4).
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Daniel, Maxime, Guillaume Rivière y Nadine Couture. "A shape-changing cylindrical chart that displays energy availability forecasts". Journal d'Interaction Personne-Système Volume 9, Number 1, Special..., Special Issue... (19 de enero de 2021). http://dx.doi.org/10.46298/jips.7102.

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Resumen
Optimizing microgrids' renewable-energy-consumption rates can be done by energy demand-side management. Shifting consumption at better moments is possible thanks to storage capacities. To explore this context, we consider a new practice aiming at shifting laptops' consumption on workplaces thanks to their batteries. This practice requires providing usage instructions and forecasts on renewable energy availability. In order to do this, we evaluated the usability of a shape-changing cylindrical histogram, during a two-day public event, by asking 90 visitors. We also tested three kinds of motion speed in peripheral vision in order to notify neither disturbing nor irritating, by requiring 30 participants in lab conditions. Our results show success rates over 90% for range and compare tasks, which are necessary to retrieve renewable energy production peaks. Our results show that an exponential speed is the best to design perceptible movements, whereas being as calm as a constant speed. Un moyen d'optimiser le taux d'énergie renouvelable consommé sur les micro-réseaux est la gestion de la demande en énergie. Décaler la consommation aux moments propices est possible avec des moyens de stockage. Pour explorer ce contexte, nous envisageons une nouvelle pratique visant à décaler la consommation des ordinateurs portables sur le lieu de travail grâce à leurs batteries. Cette pratique nécessite de fournir des consignes d'usage et des prévisions de disponibilité des énergies renouvelables. Pour ce faire, nous avons évalué l'utilisabilité d'un histogramme cylindrique à changement de forme, lors d'un évènement public sur deux jours, en interrogeant 90 visiteurs. Nous avons aussi testé trois profils de vitesse des mouvements en vision périphérique de sorte à notifier sans perturber ni agacer, en sollicitant 30 participants en condition de laboratoire. Nos résultats montrent des taux de réussite au-delà de 90% pour des tâches de recherche d'intervalle et de comparaison, nécessaires pour retrouver les pics de production d'énergie renouvelable. Nos résultats montrent qu'une vitesse exponentielle est la plus efficace pour rendre perceptible le mouvement tout en étant aussi peu perturbante qu'une vitesse constante.

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