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1

Murat Develioğlu, Hüseyin. "Rupture d’égalité entre hommes et femmes autour de la question du nom de famille en Turquie". Revue internationale de droit comparé 65, n.º 4 (2013): 859–78. http://dx.doi.org/10.3406/ridc.2013.20283.

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2

Marc’hadour, Germain. "Thomas More et la terreur ottomane". Moreana 40 (Number 156), n.º 4 (diciembre de 2003): 65–84. http://dx.doi.org/10.3366/more.2003.40.4.7.

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Resumen
Les huit croisades, de 1096 à 1270, visaient à obtenir des musulmans le libre accès des lieux saints qu’ils occupaient. Les incursions des Turcs dans les Balkans affectèrent peu l’Europe occidentale. Tout changea lorsque Mehmet II, sultan de la dynastie ottomane, s’empara de Constantinople, en 1453, et dès 1456 tenta de conquérir Belgrade. Ce “bastion de la chrétienté” lui tint tête, mais tomba en 1521 aux mains de Soliman le Magnifique, qui allait régner 46 ans (1520-1566), et emporter à Noël 1522 l’imprenable forteresse de Rhodes, tenue par les Chevaliers de S. Jean. Après sa victoire de Mohács (1526), Soliman emmena 100.000 Hongrois en captivité. Le principal locuteur du Dialogue of Comfort est un vieillard qui a été deux fois prisonnier en Turquie. Il prépare ses proches à tenir bon face à la persécution pour la foi. Son neveu Vincent, qui le visite dans sa chambre de Buda, redoute les apostats, plus cruels que les Turcs envers les chrétiens fidèles: c’est dire que le prisonnier More traite la Hongrie en paradigme de toutes les situations où la foi est mise à rude épreuve. Il pense à sa propre famille. A toutes les tribulations qu’il passe en revue, il propose, comme remède universel, la confiance en Dieu et dans notre “capitaine le Christ,” plus puissants que l’armée turque et que tous les diables de l’enfer. Les épreuves de notre exil ici-bas sont peu de chose en comparaison du bonheur qui nous est garanti dans la patrie du ciel.
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3

Mendes, L. F. "Sur deux nouvelles Nicoletiidae (Zygentoma) cavernicoles de Grèce et de Turquie et remarques sur la systématique de la famille". Revue suisse de zoologie. 95 (1988): 751–72. http://dx.doi.org/10.5962/bhl.part.81932.

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4

Fleury, Jean-Jacques y Recep Özkan. "Metacuvillierinella sireli n. sp., a Campanian Rhapydioninidae (Foraminifera), from southeast Turkey. New considerations on the endoskeleton and particularities of the family, with a specialized lexicon". Carnets de géologie (Notebooks on geology) 2020, n.º 9 (mayo de 2020): 165–212. http://dx.doi.org/10.4267/2042/70793.

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Viau, Louise. "Le contentieux familial en droit pénal canadien". Congrès de l’Association Henri Capitant : Istambul 1988 19, n.º 2 (12 de abril de 2019): 435–43. http://dx.doi.org/10.7202/1059148ar.

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Resumen
Le thème des Journées turques de l’Association Henri Capitant étant consacré aux aspects nouveaux du droit de la famille, l’auteure a choisi de traiter de la question la plus actuelle en ce qui a trait à la criminalité familiale, à savoir le phénomène de la violence conjugale. La question est abordée sous l’angle de son traitement judiciaire au moyen d’une comparaison avec l’inceste.
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Carof, Alain. "Familles turques en Limousin". Hommes et Migrations 1176, n.º 1 (1994): 33–36. http://dx.doi.org/10.3406/homig.1994.2216.

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7

Petek-Şalom, Gaye. "Des gendres et des brus "importés" de Turquie par les familles". Hommes et Migrations 1232, n.º 1 (2001): 41–50. http://dx.doi.org/10.3406/homig.2001.3718.

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8

Petek-Şalom, Gaye. "Le parcours chaotique des familles turques en France". Hommes et Migrations 1185, n.º 1 (1995): 32–39. http://dx.doi.org/10.3406/homig.1995.2410.

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9

Manço, Altay. "L'organisation des familles turques en Belgique et la place des femmes". CEMOTI 21, n.º 1 (1996): 161–70. http://dx.doi.org/10.3406/cemot.1996.1319.

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Boray, Sibel. "Onomástica Turca". Anaquel de Estudios Árabes 30 (9 de abril de 2019): 53–60. http://dx.doi.org/10.5209/anqe.60225.

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Resumen
Después de que entrase en vigor la “Ley del apellido” en 1934, todos los ciudadanos turcos empezaron a llevar nombre y un apellido. El nombre podía contener varias palabras pero el apellido tenía que ser una única palabra. Según esta ley el padre de cada familia tenía que elegir un apellido para su familia. En este artículo se estudia las preferencias de la elección de los nombres entre los ciudadanos de la República de Turquía hoy en día.
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Autant-Dorier, Claire. "Saisir les identités en mouvement : parenté et histoires de familles turques en migration". Revue européenne des migrations internationales 25, n.º 3 (1 de diciembre de 2009): 133–51. http://dx.doi.org/10.4000/remi.4995.

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Pickford, M. y P. Mein. "Nuevos Pedetidae (Rodentia: Mammalia) del Mio-Plioceno de Africa". Estudios Geológicos 67, n.º 2 (30 de diciembre de 2011): 455. http://dx.doi.org/10.3989/egeol.40714.202.

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Resumen
Los Pedetidae o liebres saltadoras están representados por un solo género actual (Pedetes) y 5 extintos (Parapedetes, Megapedetes, Propedetes, Rusigapedetes y Oldrichpedetes, estos dos últimos son nuevos). El registro fósil de los pedétidos es escaso, pero restos fósiles han sido encontrados en Sudáfrica, África del Este, Magreb, Península Arábiga, Turquía y Grecia. La mayoría de las localidades sólo han suministrado unos pocos dientes aislados. En el presente trabajo describimos parte del abundante material fósil procedente de Namibia y Kenia, que arroja nueva luz al conocimiento de la familia.
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Albayrak, Aysun. "Les musées des grandes familles turques : réflexion sur les pratiques culturelles des Koç, Sabancı et Eczacıbaşı". Cahiers de la Méditerranée, n.º 82 (15 de junio de 2011): 213–30. http://dx.doi.org/10.4000/cdlm.5739.

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Raptopoulos, Nikolaos. "La famille des langues turques et le défi de création d'une communauté turcophone en Eurasie : le rôle assumé par Ankara". Revue internationale de politique comparée 14, n.º 1 (2007): 131. http://dx.doi.org/10.3917/ripc.141.0131.

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Manço, Altay y Ertugrul Tas. "Migrations Matrimoniales: Facteurs de Risque en Santé Mentale". Canadian Journal of Psychiatry 64, n.º 6 (31 de octubre de 2018): 443–46. http://dx.doi.org/10.1177/0706743718802800.

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Objectif : Cette contribution évalue les migrations matrimoniales en tant que facteurs de risque en santé mentale pour les personnes immigrées et leur entourage. Méthode : L’effet des migrations matrimoniales sur la santé mentale des personnes immigrées est approché grâce à l’analyse des données produites par une clinique psychologique située en Belgique. Entre 1997 et 2014, ce centre a accueilli un total de 3265 patients d’origine turque immigrés dans ce pays, dont 41% d’hommes et 59% de femmes. La moitié de ces personnes a migré à la suite d’un mariage. Résultats : L’étude montre une incidence prononcée des troubles psychosomatiques et de l’humeur chez les immigrées matrimoniales, alors que les immigrés matrimoniaux atteints de troubles anxieux ou de l’humeur le sont plus gravement. Cette question est peu élaborée dans la littérature bien qu’elle impacte le travail des spécialistes en santé mentale, ainsi que celui des acteurs de l’intégration. Conclusions : L’étude devrait être élargie vers d’autres communautés immigrées, dans d’autres pays récepteurs de migrants, notamment en Amérique du Nord. Les observations montrent l’importance de revoir les politiques migratoires et le droit du séjour en fonction des risques psychologiques pris par les migrants matrimoniaux, souvent dépendants de leur belle-famille pour leur subsistance dans le pays d’installation. Si ces personnes avaient d’autres voies d’accès au pays et un droit de séjour, même s’ils ne poursuivent pas leur mariage, cela diminuerait probablement le stress qu’ils vivent.
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Aksaz, Elif. "Immigration familiale turque et activités quotidiennes des femmes : Le souci de réputation dans une cité HLM de la banlieue parisienne". Revue européenne des migrations internationales 22, n.º 3 (31 de diciembre de 2006): 155–77. http://dx.doi.org/10.4000/remi.3341.

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de La Vaissière, Étienne y Éric Trombert. "Des Chinois et des Hu. Migrations et intégration des Iraniens orientaux en milieu chinois durant le haut Moyen Âge". Annales. Histoire, Sciences Sociales 59, n.º 5-6 (diciembre de 2004): 929–69. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900022848.

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RésuméDurant le haut Moyen Âge, l’Asie centrale orientale et la Chine du Nord ont été le théâtre d’expériences sociales et de brassages culturels tout à fait particuliers engendrés par des phénomènes migratoires complexes affectant des populations iraniennes surtout sogdiennes, mais pas uniquement. De ces milieux mixtes, créoles, qui se développèrent au confluent des influences sogdiennes, chinoises et turques, et que les anciens Chinois nommaient Hu, ou plus justement Za Hu, «Hu mélangés», l’histoire n’avait jusqu’à présent retenu que l’image d’un simple agrégat de familles de marchands spécialisés dans le grand commerce. Or il apparaît désormais que ces Za Hu formaient, sous les dynasties du Nord et du Sud, des communautés structurées et hiérarchisées, jusque dans les métropoles de Chine intérieure, très diverses sur le plan social et ethnique, puis sous les Tang des milieux mieux intégrés et acculturés, mais pas moins influents. Prenant ainsi les Hu en tant que groupe social particulier, le présent article tente de décrire l’évolution des structures communautaires, les liens de solidarité, les trajectoires d’ascension sociale et les phénomènes d’acculturation qui les touchent en milieu chinois.
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Obtułowicz, Barbara. "La España decimonónica en los ojos de la familia Czartoryski". Itinerarios. Revista de estudios lingüísticos, literarios, históricos y antropológicos, n.º 31 (2020): 73–86. http://dx.doi.org/10.7311/itinerarios.31.2020.04.

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Resumen
El interés de los Czartoryski por España y sus habitantes se remonta a la década de 1830, cuando el príncipe Adam Jerzy Czartoryski, por su participación en el levantamiento anti-ruso (1830-1831), fue condenado a muerte por el zar, escapando entonces con su esposa e hijos al oeste de Europa. En París continuó su animada actividad independentista. Dirigiendo el partido monárquico conservador-liberal del Hôtel Lambert, apoyó la política anti-rusa de los estados europeos, así como los movimientos revolucionarios y nacionales, y vio en ellos la posibilidad de reconstruir Polonia. Permanecer en la cercanía del “país detrás de los Pirineos” suscitaba curiosidad. La autora presenta los intentos fallidos de los representantes de Hôtel Lambert para hacer de España un aliado no declarado en la lucha de los polacos por la independencia. También hace referencia a los comentarios de los Czartoryski con respecto a su estancia en España que tratan tanto de la situación política y moral como de la vida cotidiana. Asimismo dedica un espacio aparte a presentar la opinión de la familia Czartoryski sobre las mujeres españolas. El análisis detallado del tema, elaborado principalmente con base en fuentes inéditas y manuscritos encontrados en archivos polacos y españoles, llevó a varias conclusiones importantes. En particular, la España vista por dos generaciones de esta ilustre familia solo en parte correspondía a la imagen transmitida por los viajeros y la literatura de viajes. Su conocimiento era más minucioso, menos idealizado, es decir, más verídico. Estaban, además, mejor enterados de la situación interna del país que los propios habitantes de la península ibérica, por eso criticaban, no sin razón, su gobierno, la corte y la política. Supieron apreciar, sin embargo, lo que era y sigue siendo la verdadera riqueza de España, es decir su patrimonio cultural y artístico. Recordaban también que en 1797 España, igual que antes lo había hecho Turquía, no aceptó el tercer reparto de Polonia.
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Qian, Zuanhao, Zhenglei Zhang y Yingying Wang. "T cell receptor signaling pathway and cytokine-cytokine receptor interaction affect the rehabilitation process after respiratory syncytial virus infection". PeerJ 7 (12 de junio de 2019): e7089. http://dx.doi.org/10.7717/peerj.7089.

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Background Respiratory syncytial virus (RSV) is the main cause of respiratory tract infection, which seriously threatens the health and life of children. This study is conducted to reveal the rehabilitation mechanisms of RSV infection. Methods E-MTAB-5195 dataset was downloaded from EBI ArrayExpress database, including 39 acute phase samples in the acute phase of infection and 21 samples in the recovery period. Using the limma package, differentially expressed RNAs (DE-RNAs) were analyzed. The significant modules were identified using WGCNA package, and the mRNAs in them were conducted with enrichment analysis using DAVID tool. Afterwards, co-expression network for the RNAs involved in the significant modules was built by Cytoscape software. Additionally, RSV-correlated pathways were searched from Comparative Toxicogenomics Database, and then the pathway network was constructed. Results There were 2,489 DE-RNAs between the two groups, including 2,386 DE-mRNAs and 103 DE-lncRNAs. The RNAs in the black, salmon, blue, tan and turquoise modules correlated with stage were taken as RNA set1. Meanwhile, the RNAs in brown, blue, magenta and pink modules related to disease severity were defined as RNA set2. In the pathway networks, CD40LG and RASGRP1 co-expressed with LINC00891/LINC00526/LINC01215 were involved in the T cell receptor signaling pathway, and IL1B, IL1R2, IL18, and IL18R1 co-expressed with BAIAP2-AS1/CRNDE/LINC01503/SMIM25 were implicated in cytokine-cytokine receptor interaction. Conclusion LINC00891/LINC00526/LINC01215 co-expressed with CD40LG and RASGRP1 might affect the rehabilitation process of RSV infection through the T cell receptor signaling pathway. Besides, BAIAP2-AS1/CRNDE/LINC01503/SMIM25 co-expressed with IL1 and IL18 families might function in the clearance process after RSV infection via cytokine-cytokine receptor interaction.
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Élez-Villarroel Benítez, Raquel, Francisco Mateos Claros, Luis Amador Muñoz y Macarena Esteban Ibáñez. "CONCEPCIÓN DE CALIDAD DE VIDA EN LOS ADULTOS MAYORES. CULTURAS CRISTIANA Y MUSULMANA EN CEUTA". International Journal of Developmental and Educational Psychology. Revista INFAD de Psicología. 7, n.º 1 (30 de enero de 2017): 551. http://dx.doi.org/10.17060/ijodaep.2014.n1.v7.826.

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Resumen
Abstract.CONCEPTION OF QUALITY OF LIFE IN OLDER ADULTS. CHRISTIAN AND MUSLIM CULTURES IN CEUTAThe quality of life in older adults is a current line of research due to the population tendency to ageing in the European countries as well as the West Bank countries (Lebanon, Syria, Turkey, Tunisia). This quality of life may be related to the level of attention and cares we provide to elderly. Our study is focused on the population of the Autonomous City of Ceuta, following this premise. The interviewees answered to different aspects of the quality of life, such as discrimination against older adults, social relationships, leisure activities, sports, housing or health care. The sample was compounded by the most representative cultures in the City, Christians and Muslims. The last ones have proven a very enriched perspective to our study, giving more diverse opinions, such as the respect they feel for their older adults, the vision given by the Arab countries media about the older people, the suffering the elder have been through all along their lives, the perception of needing protection and support by the elders or the beliefs related to the lack of relationships with non-relatives and the lack of leisure activities, as the older adults have their family and they must dedicate to religion. Another contribution of this culture is the rejection to retirement homes, and the fear of ending their lives alone in a nursing home.Key words: quality of life, older adults, old age, cultures, Muslims.Resumen.La calidad de vida en los adultos mayores es una línea de investigación actual, dada la tendencia al envejecimiento de la población de los países europeos y de aquellos de la cuenca del Mediterráneo (Líbano, Siria, Turquía, Túnez). Dicha calidad de vida puede estar relacionada con la atención y el cuidado que proporcionamos a nuestros mayores. Nuestro estudio se ha centrado en la población de la Ciudad Autónoma de Ceuta siguiendo esta premisa. Los entrevistados han respondido a diferentes aspectos de la calidad de vida, como la discriminación hacia los mayores, la sexualidad, la economía, las relaciones sociales, el ocio, el deporte, la vivienda o la salud. La muestra se ha compuesto por las dos culturas más representativas de la Ciudad, cristianos y musulmanes. Estos últimos han mostrado una visión de los adultos mayores muy enriquecedora a nuestro trabajo, proporcionando opiniones de mayor diversidad, tales como el respeto que infunden los mayores en esta cultura, la visión que ofrecen los medios de comunicación en los canales árabes de los adultos mayores, el sufrimiento que han vivido estas personas a lo largo de su vida, la percepción de que sus mayores necesitan la protección y el sustento de la familia o la creencia de que el mayor no requiere de las relaciones sociales ni del disfrute de actividades de ocio por su dedicación a la vida religiosa. Otra aportación de esta cultura es el rechazo de pleno a las instituciones destinadas a los mayores y el miedo a quedarse sin familia en la vejez.Palabras clave: calidad de vida, adultos mayores, vejez, culturas, musulmanes
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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka". Zbornik radova Vizantoloskog instituta, n.º 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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Resumen
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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R. Petersen, Lyle y John T. Roehrig. "El Virus del Oeste del Nilo: un patógeno global reemergente." REVISTA BIOMÉDICA 12, n.º 3 (1 de julio de 2001): 208–16. http://dx.doi.org/10.32776/revbiomed.v12i3.276.

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El reconocimiento del Virus del Oeste del Nilo (VON) en el hemisferio occidental en el verano de 1999 marcó la primera introducción en la historia reciente de un flavivirus del Viejo Mundo al Nuevo Mundo. VON, un miembro de la familia Flaviviradae (género Flavivirus), fue aislado inicialmente en el distrito del oeste del Nilo de Uganda. Desde su aislamiento original, han ocurrido brotes en humanos en forma infrecuente, siendo los más notables los de Israel (1951-1954 y 1957) y Sur África (1974). Sin embargo, desde los mediados de los noventa, tres tendencias epidemiológicas para el VON han emergido: 1) incremento en la frecuencia de brotes en humanos y caballos (Rumania 1996; Marruecos 1996; Turquía 1997; Italia 1998; Rusia, Estados Unidos de NA e Israel 1999; Israel, Francia y Estado Unidos de NA 2000; 2) un incremento aparente en la severidad de la enfermedad en humanos (infecciones humanas confirmadas en brotes recientes: Rumania, 393 casos; Rusia, 942; Estados Unidos de NA, 62 casos en 1999 y 21 en 2000; Israel, 2 casos en 1999 y 417 en 2000); y 3) altas tasas de mortandad en aves acompañando a brotes en humanos en Israel y Estados Unidos de NA. Los recientes brotes del VON se han acompañado por una aparente evolución de una variante viral nueva. El VON puede ser dividido genéticamente en dos linajes. Solamente miembros del linaje 1 WN han sido asociados con encefalitis humana. El linaje 1 WN se ha aislado en África, India, Europa, Asia y Norte América. El linaje 2 WN es mantenido en un foco enzootico en África y no se ha asociado con encefalitis humana. La relación genéticamente estrecha entre los VON aislados en Israel y Nueva York sugieren que el virus fue importado a Norte América del Medio Oriente. Los medios de esta introducción (pájaros infectados, mosquitos, humanos u otros huéspedes vertebrados) permanecen aún desconocidos. Un hallazgo importante en la epidemia inicial en humanos, en Nueva York, en 1999, fue el alto número de muertes de aves, en un brote epizoótico acompañante, particularmente cuervo s americanos (Corvus brachehynchos) y otros córvidos. En el año 2000, 14 especies de mosquitos en cinco estados de NA tenían evidencias de infección por el VON (por cultivo o amplificación de ácido nucleico). En el viejo Mundo, los mosquitos del género Culex son los principales vectores. Sin embargo, las especies más importante para la transmisión de humanos y caballos, aún no han sido definidas. Dado nuestro conocimiento incompleto y evolutivo del impacto ecológico y en la salud pública del VON en América, así como la eficacia de las medidas de control, el virus permanecerá como un importante reto de salud pública en la siguiente década.
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Bobrov, Leonid A. y Vasily R. Novoselov. "A Saber of the Kazakh Vali Khan from the Collection of the Moscow Kremlin Museums". Archaeology and Ethnography 19, n.º 3 (2020): 87–104. http://dx.doi.org/10.25205/1818-7919-2020-19-3-87-104.

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Purpose. We describe a saber from the collection of the Moscow Kremlin Museums (Inventory no. 4427). Results. The total length of the saber is 101.5 cm including the length of the blade 87.5 cm. When in the scabbard, the length is 106.5 cm. The grip and metal elements of the scabbard are made of gilded silver. Their surface is decorated with floral engraving. Mounts and big bezels contain pieces of turquoise and jade. The grip is inlaid with jade plates, gold and mounted rubies. We analyzed the construction and decoration of the saber and the scabbard and concluded that they were made by Ottoman masters in the first half of the 17th century. The closest analogues of the saber are stored in the Moscow Kremlin Armory, the State Hermitage Museum, the Metropolitan Museum of Art, etc. According to the inscription on the blade, we refer the weapon to the type of insignia, which were given to Kazakh rulers who became Russian citizens and were approved as khans. A common historiographical attribution of the saber as belonging to Erali Khan (1729) has been proved wrong. According to the documents of the 18th century available, the saber initially was to be given to a famous Kazakh khan of the Middle jüz of Kazakhstan Ablai Khan (1711–1780). In 1778, the blade of the 17th century was signed in Russian and Arab, the scabbard was covered with red tissue, the gilded elements were freshened up, and a shoulder harness made of silk of two colors was added, together with a case. In the second half of 1778, the saber was delivered to the Peter and Paul Fortress of the Novyi Ishim defense line, where it was to be handed to Ablai Khan. However, due to some political disagreements he refused to accept the signs of the power, and the saber, along with other gifts, was left to be stored in the fortress. In May 1781, Ablai’s son, a newly elected Vali Khan (1744–1821), addressed Russian authorities asking them to pass him the signs of the khan’s power and Ablai’s allowance. As the insignia was to be given to the new owner, the inscription had to be changed. The saber was sent to Orenburg, where a local master changed the khan’s name and the year. During an official ceremony in the Peter and Paul Fortress, which was held on 1 November, 1782, the weapon was awarded to Vali Khan. Later on, the saber was passed on and stored by some families of noble Kazakhs. Conclusion. The saber is of a high scientific value as it is the only surviving and almost undamaged symbol of Kazakh khans’ power. It is a unique relic of Russian-Kazakh relations in the 18th century.
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Zivojinovic, Mirjana. "Komitisa u svetlosti novih dokumenata". Zbornik radova Vizantoloskog instituta, n.º 41 (2004): 279–91. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441279z.

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(francuski) Entrant dans l'arri?re-pays du Mont Athos, le territoire de Kom?tissa (aujourd'hui le toponyme de Kumica) joua un r?le important dans la vie monacale sur la p?ninsule d?s les premi?res installations de moines, r?le qui se maintint par la suite, au cours des si?cles ult?rieurs, notamment aux ?poques o? divers envahisseurs ? Latins, Catalans et finalement Turcs s'avanc?rent sur l'Athos par la terre. C'est par Kom?tissa que passait la principale route dite imp?riale ou publique par laquelle l'Athos, via Hi?rissos, ?tait li? au reste de la Chalcidique. G. Ostrogorsky a consacr? un travail sp?cial ? cette r?gion et ? ses liens avec les monast?res athonites. Toutefois, depuis la parution de cet article se sont ?coul?es plus de trois d?cennies ayant vue la publication de 16 volumes des actes des archives des monast?res renfermant nombre de documents publi?s pour la premi?re fois. Compte tenu que certains d'entre eux jettent plus de lumi?re sur la r?gion de Kom?tissa ? s'agissant notamment de la pr?sence des monast?res athonites sur son territoire, ainsi que de l'attitude de sa population envers le Pr?taton nous avons estim? utile, en partant des conclusions d'Ostrogorsky et en ayant en vue les commentaires des ?diteurs des actes mentionn?s, de revenir sur cette important r?gion. La r?gion de Kom?tissa englobait la plus grande partie du proche arri?re-pays de l'Athos ? depuis Grande Bigla en direction de l'int?rieur jusqu'? la fronti?re de la terre des Athonites en direction du district d'Hi?rissos. Les fronti?res de ce territoire ont ?t? ?tablies par deux actes ? de l'?popte Thomas et du strat?ge Katakal?n, en 942, respectivement 943. Par cons?quent, Kom?tissa, et tout le reste du territoire constituant l'arri?re-pays de l'Athos se trouvait sous l'autorit? de l'administration centrale de l'Athos. Except? la terre et les parques, l'autorit? du Pr?taton s'?tendait ?galement sur les installations de p?cheurs (alieytika stasidia); celles situ?es sur la c?te est du golfe d'Hi?rissos avaient notamment ?taient riches en thon d'o? leur nom tou Orkiniou. Les habitants de Kom?tissa consid?raient le pr?te comme leur seigneur. Les affaires fonci?res concernant Kom?tissa ?tait du ressort du grand ?conome du Pr?taton, lequel, ? partir du milieu de la troisi?me d?cennie du XIVe si?cle, a ?t? remplac? par l'?conome de Kom?tissa. La cr?ation de sa fonction est en relation avec l'?rection ? Kom?tissa d'une forteresse qui devait prot?ger l'Athos des incursions turques, mais aussi offrir un refuge aux habitants de Kom?tissa face au risque d'?tre emmen?s en captivit?. Cette menace inqui?tait tout particuli?rement les moines athonites car les habitants de Kom?tissa cultivaient les terres de leurs monast?res et acquittaient un imp?t au Pr?taton. Les grands monast?res ? Lavra et Iviron ? poss?daient d?j? au Xle si?cle des biens ? Kom?tissa. Hilandar y a re?u avant novembre 1300 15 familles de par?ques, alors que de nombreux autres monast?res y poss?daient des p?cheurs sur la c?te du golfe d'H?rissos. Les p?turages et ces p?cheries de Kom?tissa ont souvent ?t? l'objet d'interminables litiges entre certains monast?res du Mont Athos. .
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"Au cœur de la médecine de famille turque". Primary and hospital care: médecine interne générale 16, n.º 07 (13 de abril de 2016): 143–44. http://dx.doi.org/10.4414/phc-f.2016.01195.

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MANÇO, Altay. "L'organisation des familles turques en Belgique et la place des femmes". CEMOTI, n.º 21 (1 de enero de 1996). http://dx.doi.org/10.4000/cemoti.564.

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Autant-Dorier, Claire. "La parenté “faitiche” ou que fait-on faire à la parenté ? Des familles turques en migration". European journal of Turkish studies, n.º 4 (2 de enero de 2006). http://dx.doi.org/10.4000/ejts.597.

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"TABLE RONDE I ET II : La femme au fil de l'histoire en Turquie. L'organisation familiale et la place de la femme dans la société". CEMOTI, n.º 21 (1 de enero de 1996). http://dx.doi.org/10.4000/cemoti.580.

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"Étude des haplotypes ancestraux liés au gène de la fièvre méditerranéenne familiale dans les populations arabe, arménienne, juive séfarade et turque". La Revue de Médecine Interne 18 (mayo de 1997): s116. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(97)80337-2.

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Armianov, Gueorgui. "Bilingualism and Diglossia in Bulgaria-a New Perspective upon Their Contemporary State". Slovo How to think of literary..., Varia (25 de febrero de 2020). http://dx.doi.org/10.46298/slovo.2020.6147.

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International audience The article examines some particular forms of diglossia and bilinguism in Bulgaria. It takes into account the evolution of Bulgarian society over the last thirty years and the processes of language interference associated with the political changes, or influenced by them. The analysis is directed mainly at the slow disappearance of the regional dialects and their gradual and systematic replacement by other substandard forms such as colloquial speech, urbanolects or to some extent social dialects. Special attention is paid to the Turkish language in Bulgaria which enters into more complex relationships with the standard language and represents a specific and very interesting case of bilingualism, combined with diglossia. Cet article examine certaines formes particulières de diglossie et de bilinguisme en Bulgarie. Il prend en compte l’évolution de la société bulgare au cours des trente dernières années et les processus d’interférence linguistique associés aux changements politiques ou influencés par ceux ci. L’analyse porte principalement sur la disparition progressive des dialectes régionaux et sur leur remplacement progressif et systématique par d’autres formes substandards, telles que le langage familier, le langage populaire, les urbanolectes ou les dialectes sociaux. Une attention particulière est accordée à la langue turque en Bulgarie, qui entretient des relations plus complexes avec la langue standard et représente un cas spécifique et très intéressant de bilinguisme, associé à la diglossie.
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Durand-Guédy, David. "Sīmjūriyān : naḫostīn dūdmān-e qodratmand-e tork dar Īrān. Tehrān, Īl-e Šāhsavan-e Baġdādī, 1381/2002, 121 p., fig., index. [Les Simjurides : la première famille turque puissante en Iran]". Abstracta Iranica, Volume 25 (15 de mayo de 2004). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.4486.

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Bromberger, Christian. "Iran". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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