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1

Bertrand, Colette. "François Richard, paysan parvenu". Dix-huitième Siècle 17, n.º 1 (1985): 329–35. http://dx.doi.org/10.3406/dhs.1985.1559.

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2

Goodden, Angelica y David Coward. "Marivaux: 'La Vie de Marianne' and 'Le Paysan parvenu'". Modern Language Review 80, n.º 2 (abril de 1985): 464. http://dx.doi.org/10.2307/3728718.

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3

Mander, Jenny. "Marivaux's Paysan parvenu and the Genre of Conjectural History". Nottingham French Studies 48, n.º 3 (septiembre de 2009): 20–31. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2009-3.004.

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4

Lièvre, Éloïse. "Répétition et démystification marivaudiennes : l’exemple de La méprise et du Paysan parvenu". Études littéraires 38, n.º 2-3 (5 de septiembre de 2007): 145–57. http://dx.doi.org/10.7202/016350ar.

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Résumé La répétition dans l’oeuvre de Marivaux est un principe dramaturgique et poétique trouvant son origine dans l’histoire racontée qui met en récit ou en scène la transmission, l’appropriation et la déformation des discours. Quels sont les rapports entre le principe de répétition ainsi mis en oeuvre et les pratiques génériques comiques ? Dans La méprise, la répétition, à la fois impliquée par la substitution et la confusion des deux héroïnes et née du dispositif de l’intercession, est au service de la démystification d’un discours amoureux conventionnel et usé. Dans Le paysan parvenu, la reprise d’éléments de la topique et du lexique héroïques dans différents contextes frappe d’ironie une conception désuète du romanesque.
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5

Gevrey, Françoise. "L'esthétique du plaisir dans La vie de Marianne et Le paysan parvenu". Revue d'histoire littéraire de la France 112, n.º 3 (2012): 561. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.123.0561.

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6

Vickermann-Ribémont, Gabrielle. "Séduction et droit royal. Une question juridique dans le Paysan parvenu de Marivaux". Dix-huitième Siècle 34, n.º 1 (2002): 435–50. http://dx.doi.org/10.3406/dhs.2002.2501.

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7

Bénac, Karine. "Parole et narcissisme dans La Vie de Marianne et Le Paysan Parvenu de Marivaux". Littératures 34, n.º 1 (1996): 57–75. http://dx.doi.org/10.3406/litts.1996.1712.

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8

Guilhembet, Jacques. "De la séduction textile à la séduction textuelle dans Le Paysan parvenu et La Vie de Marianne de Marivaux". Revista Criação & Crítica, n.º 15 (9 de diciembre de 2015): 55. http://dx.doi.org/10.11606/issn.1984-1124.v0i15p55-73.

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9

Rouben, C. "Marivaux et la libération sexuelle de la femme: rêve utopique ou réalité de demain? Le cas de Mme de Fécour dans Le Paysan parvenu". Les Lettres Romanes 47, n.º 3 (agosto de 1993): 161–68. http://dx.doi.org/10.1484/j.llr.4.00868.

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Piva, Franco. "Mouhy, La Paysanne parvenue, ou les Mémoires de la marquise de L. V." Studi Francesi, n.º 150 (L | III) (31 de diciembre de 2006): 605–6. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.27607.

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Clavel, Isabelle. "Le Mouvement républicain populaire (MRP) : l’expérience singulière d’un parti d’inspiration démocrate chrétienne en République française (1944-1965)". Revista Brasileira de História das Religiões 9, n.º 25 (9 de mayo de 2016): 189. http://dx.doi.org/10.4025/rbhranpuh.v9i25.31856.

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Resumen
En 1944, le Mouvement républicain populaire (MRP) est créé par un groupe d’hommes et de femmes, apparenté à la famille démocrate-chrétienne. Dans le contexte de libération du territoire français, il s’agit pour ceux qui ont pris part aux mouvements de Résistance contre l’occupation nazie et le régime collaborateur de Vichy, de contribuer à la reconstruction du pays après le second conflit mondial. L’émergence de ce parti « d’inspiration chrétienne » constitue une nouveauté dans le paysage politique français. Jusqu’alors, aucun parti confessionnel n’était parvenu à peser électoralement au point de devenir l’un des principaux acteurs des gouvernements. Malgré une existence relativement brève de 1944 à 1965, cette trajectoire singulière permet d’étudier comment les catholiques, qui se reconnaissent dans la famille démocrate-chrétienne, ont achevé un processus d’acculturation au régime républicain, dont l’un des principes fondamentaux est la laïcité.
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Ducreux, Marie-Elizabeth. "Exil et Conversion". Annales. Histoire, Sciences Sociales 54, n.º 4 (agosto de 1999): 915–44. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1999.279788.

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En 1756, longtemps après avoir quitté leur pays, quelques centaines de paysans et d'artisans tchèques émigrés clandestins décident de s'affilier à Berlin à l'Unité des Frères renouvelée par Zinzendorf entre 1722 et 1727. Désormais, selon l'usage desHerrnhuter, ils consignent ou font noter par un tiers les détails de leurs itinéraires spirituels et la description de leurs derniers moments dans des récits de vie (Lebenslaüfe, en tchèquebêhy života). Quinze à vingt ans auparavant, certains d'entre eux, en route vers l'exil ou déjà installés à Berlin, avaient fait parvenir des lettres à leurs familles et amis demeurés en Bohême. Ces messages résonnent alors sans équivoque : ils invitent à partir et à venir rejoindre leurs auteurs en Prusse. Qui n'obéirait pas s'exposerait à la damnation éternelle.
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Matu, Florina. "Fabriquer le bonheur conjugal : sur l’argent et l’impuissance chez Tahar Ben Jelloun". Voix Plurielles 12, n.º 1 (6 de mayo de 2015): 153–63. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v12i1.1181.

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Dans son dernier roman, intitulé de manière ironique Le Bonheur conjugal (2012), Tahar Ben Jelloun prépare soigneusement la recette d’un mariage infernal. Rien n’y manque dans ce pot au poison que constitue la vie commune des protagonistes: le choc des classes sociales entre un homme issu d’une famille aisée et une paysanne parvenue, la différence d’âge, l’immixtion de la belle-famille, la jalousie, l’adultère, la haine et la vengeance. Et pourtant c’est surtout l’argent, doublé d’une inévitable cupidité, qui représente la source des principaux conflits dans ce ménage. Cet article explore le rôle de l’argent dans la construction du bonheur et/ou du malheur conjugal, de même que la relation disproportionnelle entre la réussite financière et l’impuissance au sens propre et au figuré. Ces aspects seront analysés dans le cadre culturel marocain et français afin de faire ressortir le caractère universel des problèmes du couple dans la société contemporaine.
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Piva, Franco. "La Paysanne parvenue ou Les Mémoires de Madame la Marquis de L** V** par M. Le Chevalier de Mouhi". Studi Francesi, n.º 151 (LI | I) (1 de abril de 2007): 179–80. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.26326.

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Dionne, Ugo. "« De si solides bagatelles »". Études françaises 49, n.º 1 (4 de octubre de 2013): 101–28. http://dx.doi.org/10.7202/1018796ar.

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Lorsqu’on tente de dégager la « conception » qu’un romancier du xviiie siècle propose du roman, trois différents objets s’offrent à l’analyse. Au-delà du discours critique plus ou moins explicite que l’écrivain articule sur le genre, il faut s’intéresser à sa manière d’en thématiser la lecture et les effets, ainsi qu’à sa pratique elle-même : on ne s’occupe plus alors de ce qu’on dit du roman, ou de ce qu’on lui fait faire dans les seuls termes de la fiction, mais bel et bien de ce qu’on en fait. Le présent article cherche à vérifier cette hypothèse des « trois romans du romancier » à partir de l’oeuvre du chevalier de Mouhy, contemporain relativement marginal de Marivaux et de Prévost. Sur la valeur morale du roman, sur son rôle dans l’éducation des jeunes lecteurs, sur ses conséquences psychologiques à court ou plus long termes, sur les rapports du genre à l’histoire et à la réalité, comme sur sa propre place dans la littérature de son temps, l’auteur de La mouche et de La paysanne parvenue adopte des positions multiples et paradoxales ; on peinerait à dégager un Mouhy adversaire ou apologiste du roman, si ce n’était de l’évidence pléthorique de sa production, qu’on peut assimiler à une vaste et inconditionnelle affirmation romanesque.
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Poulin, Ghislain. "La fréquentation différentielle d’une aire de camping en forêt : un indice et une application". Cahiers de géographie du Québec 24, n.º 62 (12 de abril de 2005): 327–36. http://dx.doi.org/10.7202/021476ar.

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Les techniques de mesure de la fréquentation sont variées et, souvent, elles ne permettent pas de distinguer la fréquentation d'un lieu, de l'attraction exercée par celui-ci, et, si l'on y parvient, il est alors presqu'impossible d'associer les attributs préférés du paysage végétal aux préférences énoncées par les utilisateurs. L'indice de fréquentation différentielle élaboré ici permet non seulement de démontrer l'existence d'inégalités dans la fréquentation des sites, mais aussi d'associer ces inégalités de la fréquentation aux attraits du milieu forestier ambiant. En effet, la distribution spatiale de ces inégalités d'attraction n'est pas attribuable au seul fait du hasard. Au contraire, ces inégalités sont réparties d'une manière organisée, et leur appartenance à un type de communauté forestière contribue certainement à leur explication. Cette appartenance n'est pas le seul facteur explicatif de l'attraction. Toutefois, bien que la recherche ait porté sur plus d'une vingtaine de paramètres tant physiques, spatiaux que forestiers, cet article se limite uniquement à présenter l'indice de fréquentation différentielle mis au point et, à faire la preuve de l'existence de ce lien entre l'attraction d'un site de camping et son milieu forestier ambiant.
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Bédard, Mario. "L’apport structurel de l’imaginaire géographique dans l’inconscient collectif". Cahiers de géographie du Québec 52, n.º 147 (13 de mayo de 2009): 523–41. http://dx.doi.org/10.7202/029875ar.

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RésuméL’aménagement du territoire comporte diverses facettes économiques, environnementales et sociales qui relèvent du monde matériel et de l’ingénierie tant logistique que politique d’une société. Or, les enjeux que soulève l’aménagement de tout territoire sollicitent encore nos valeurs dont celles que nous accordons au lieu comme référentiel identitaire. Il s’agit là de dimensions certes plus immatérielles, inhérentes à la culture, à l’esthétique et à l’éthique, mais qui doivent tout autant être considérées, car directement associées à la perception comme à la représentation dudit territoire, notamment sous forme de paysage habité. Des perceptions et représentations qui, pour ancrées qu’elles soient dans le réel concret, demeurent largement façonnées par notre imaginaire. En référant aux débats qui ont cours quant à l’avenir du parc national du Mont-Orford, au Québec, et plus spécialement au recours à ce qu’en a imaginé le poète Alfred Desrochers, nous cherchons ici à illustrer en quoi notre imaginaire géographique structure la raison aménagiste. Pour y parvenir, une analyse de la fonction symbolique et de la vocation socio-identitaire de ce lieu telles que rapportées dans les principaux médias par les partisans et les opposants à son éventuel réaménagement, est proposée.
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Ouellet, Fernand. "L'échec du mouvement insurrectionnel, 1837-1839". Articles 6, n.º 2 (12 de abril de 2005): 135–61. http://dx.doi.org/10.7202/055264ar.

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Resumen
Le mouvement insurrectionnel de 1837-38 a été interprété de multiples façons. Certains historiens y ont vu le fruit d'une poussée subite de colère et d'indignation, évidemment non préméditée, qui aurait été déclenchée par les résolutions de Lord Russell qui violaient un principe constitutionnel. Cette vue des choses nous paraît assez peu conforme à la mentalité canadienne-française. Le recours spontané aux armes n'a jamais été le moyen de prédilection utilisé par les Canadiens français pour réaliser leurs objectifs collectifs ou pour faire valoir leurs réclamations. La Fontaine qui les connaissait bien disait que leur arme principale était l'inertie et, ajoutons-le, l'agitation verbale. Les insurrections ne s'expliquent principalement ni par une réaction spontanée ni par le souci de défendre des principes, soit politiques, soit constitutionnels. La masse paysanne ne vivait pas encore à l'âge du libéralisme ni à celui de la démocratie. D'autres historiens, parfois les mêmes, ont parlé d'aboutissement logique d'un long conflit politique et constitutionnel, par conséquent non nationaliste en ses dimensions principales mais ultimement de portée nationale. Quelques-uns cependant, tel Filteau, n'ont pas hésité à postuler le caractère nationaliste des troubles de 1837-38. On a aussi parlé d'explosion de caractère réformiste ; on a opéré un rapprochement avec le mouvement chartiste anglais, avec celui de la démocratie jacksonnienne ; finalement, on a annexé à une même réalité les insurrections des deux Canadas. On a voulu montrer par là qu'il s'agissait en définitive d'abattre des oligarchies coloniales afin de promouvoir un système colonial édifié sur des bases plus libérales. En somme, le phénomène insurrectionnel, pour autant que ses origines réelles, son caractère, son ampleur et ses conséquences sont mis en cause, a été simplifié à l'extrême. On ne doit pas non plus oublier les condamnations systématiques, appuyées sur le droit canon et les préceptes moraux, dont ce mouvement a été l'objet de la part de nombreux historiens. À cet égard, Chapais fait figure de modèle. Il est parvenu à surclasser bien des historiens-clercs sur leur propre terrain, soit, celui de la ferveur moralisante. Que beaucoup de ces interprétations soient partiellement justes, on l'admettra volontiers. Mais ce qui, dans l'ensemble, fait le plus défaut, c'est une perspective globale qui restitue à ce phénomène son sens et sa complexité. Il nous paraît évident que si le mouvement insurrectionnel n'avait eu que des racines politiques, même lointaines, il n'aurait pas eu lieu. Il est non moins clair que s'il n'avait engagé que des principes abstraits, il n'aurait en aucune façon mobilisé la masse rurale, pas plus, du reste, que les professions libérales. La crise qui prépara l'explosion insurrectionnelle était d'abord économique et sociale avant d'être politique. La crise agricole, les tensions démographiques et sociales, la situation particulièrement critique des professions libérales, sont les fondements principaux de la réaction nationaliste qui mobilise certaines élites et rallie une portion importante de la masse. On ne niera pas non plus l'influence des idéologies autres que le nationalisme. Nous avons déjà dit pourquoi elles ont fait intrusion dans la société canadienne-française et quelles fonctions elles y ont assumées. Le libéralisme français et anglais, le radicalisme britannique, la démocratie jeffersonnienne et jacksonnienne ont, tour à tour et à des degrés divers, influencé les élites politiques en fonction même des besoins qui leur étaient propres. Mais ces courants idéologiques n'ont jamais rejoint la masse rurale pas plus que la minorité ouvrière. Au total, on dira que ces systèmes de valeurs et de pensée demeurent tributaires des fins poursuivies par l'idéologie dominante, le nationalisme. Ajoutons qu'avant de s'exprimer dans deux insurrections successives, la réaction nationaliste, parce qu'elle visait au contrôle des structures politiques au profit des professions libérales et de la nationalité canadienne-française, s'affirme au niveau politique. A partir de 1806, les conflits politiques s'enracinent en même temps que les malaises économiques, les pressions démographiques et les tensions sociales. De temps à autre, en regard même des améliorations passagères survenues dans l'un ou l'autre secteur, on assiste à un amenuisement relatif des conflits. Même si l'initiative majeure appartient à l'économique, l'interdépendance des différents niveaux d'activité éclate à chaque instant. Il en est de même de la mentalité et des oscillations de la psychologie collective qui se situent en regard même de ce contexte global. L'heure est au pessimisme, aux visions tragiques et à l'agressivité. G.-J. de Lotbinière écrira en 1852 : « Il me semble que nous sommes dans un âge où l'on sent plus vivement qu'autrefois. Nos Pères savaient conserver jusqu'à la fin leur vivacité et leur gaieté malgré toutes les vicissitudes de la vie, maintenant nous prenons tout au sérieux : vie intime, vie publique. Nos blessures ne se cicatrisent plus. À qui la faute ? ». On ne doit pas oublier non plus le rôle capital des personnalités dominantes, en particulier le rôle de Papineau. Ce dernier est à la fois le reflet de la situation, un de ses principaux définisseurs et l'instrument par lequel s'exprime la réaction nationaliste. Ses ambitions, ses intérêts et surtout sa personnalité en font l'homme de cette réaction Arrivé à la tête du mouvement nationaliste pour toutes sortes de motivations, il parvient à en conserver la direction pendant près de vingt-cinq ans. Après 1830, il forme même le projet de devenir président d'une république canadienne-française indépendante ou rattachée à l'Angleterre par des liens fort ténus. Mais Papineau était l'homme de l'opposition, de l'obstruction systématique et de l'agitation verbale. Il n'était pas taillé pour l'action. Idéaliste, doctrinaire, indécis, profondément tiraillé entre des tendances contraires, son royaume était la Chambre d'Assemblée. Il était davantage un symbole que l'animateur d'un mouvement révolutionnaire. En somme, rien ne le prédisposait, si ce n'est son ambition et la fidélité au mythe qu'il incarnait, à être le chef d'une insurrection et à le demeurer malgré tout. Pourtant ses attitudes politiques conduisaient directement à une prise d'armes. L'obstruction systématique qu'il pratique après 1831-32 et l'intransigeance de ses revendications ne pouvaient avoir d'autre issue à moins que l'Angleterre et la minorité britannique du Bas-Canada ne consentissent à des concessions globales. Or, l'une et l'autre se refusent absolument à envisager cette option. Au moment où débute l'année 1837, les conflits politiques paraissent insolubles. En somme, les insurrections de 1837-38 seraient l'aboutissement logique d'un ensemble de facteurs, dont certains jouaient depuis les premières années du XIXe siècle. Est-ce à dire que cela suffisait à garantir le succès de l'opération ?
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van Strien-Chardonneau, Madeleine. "Adèle et Théodore, ou Lettres sur l’éducation contenant tous les principes relatifs aux trois différents plans d’éducation des Princes et des jeunes personnes de l’un et l’autre sexe, and: La Paysanne parvenue ou Les Mémoires de madame la marquise de L*** V***, and: Les Mémoires d’une honnête femme (review)". Eighteenth Century Fiction 20, n.º 4 (2008): 585–89. http://dx.doi.org/10.1353/ecf.0.0019.

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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka". Zbornik radova Vizantoloskog instituta, n.º 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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MILLET, Baudouin. "Appropriating Marivaux: The first English translations of La Vie de Marianne and Le Paysan Parvenu". E-rea, n.º 18.2 (14 de junio de 2021). http://dx.doi.org/10.4000/erea.12379.

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Xuan, Bui Thi, Vu Duc Loi, Tran Minh Ngoc y Bui Thi Kim Dung. "Compounds Isolated from the Leaf of Sanchezia Nobilis Hook.f." VNU Journal of Science: Medical and Pharmaceutical Sciences 35, n.º 1 (21 de junio de 2019). http://dx.doi.org/10.25073/2588-1132/vnumps.4146.

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Resumen
The ethylacetate fraction of the leaf of Sanchezia nobilis Hook.f. collected in Nam Dinh province isolated two compounds, daucosterol and stigmasterol, for the first time by chromatographic methods. Their structures were elucidated by spectroscopic methods, including MS and NMR. Keywords Sanchezia nobillis Hook.f., daucosterol, stigmasterol. References [1] E.C. Leonard, L.B. Smith, Sanchezia and related American Acanthaceae, Rhodora 66 (1964), The New England Botical Club, 313-343.[2] Phạm Hoàng Hộ, Cây cỏ Việt Nam, tập 3, Nhà xuất bản Trẻ, Hà Nội, 3 (2000) 39.[3] Md.S.R. Abu et al, Preliminary phytochemical screening and cytotoxic potentials from leaves of Sanchezia speciosa Hook. f, International Journal of Advances in Scientific Research. 1(3) (2015) 145-150.[4] S.R. Abu, Shumaia Parvin, Md. Abdul Kader, et al, In vitro antibacterial, antifungal and insecticidal activities of ethanolic extract and its fractionates of Sanchezia speciosa Hook. f, Int Res J Pharm. 5(9) (2014) 717-720.[5] M. Paydar, E.C., In vitro anti-oxidant and anti-cancer activity of methanolic extract from Sanchezia speciosa leaves, Pakistan Journal of Biological Sciences. 16(20) (2013) 1212-1215.[6] N. Shaheen, M. Uzair, B. Ahmad and Alamgeer; In vitro cytotoxicity of Sanchezia speciosa extracts on human epithelial cervical cancer (hela) cell line, Acta Poloniae Pharmaceutica - Drug Research, 5(74) (2017) 1389-1394.[7] Bui Thanh Tung, Vu Duc Loi, Nguyen Thanh Hai, Nguyen Tien Vung, In nitro antioxidant and anti-inflammatory activities of isolated compound of ethanol eaxtra from Sanchezia speciosa Leonard's leaves, Journal of basic and clinical physiology and pharmacology. 28(1) (2017) 79-84.[8] K.M. Mohamed, A.E.A. Ellah, E.Y. Backheet, et al, Matsutake alcohol glycosides from Sanchezia nobilishemistry of Natural Compuonds. 6(48) (2013) 930-933.[9] J.C.O.S. Omondi et al, Phytochemical analysis of 50 selected plants found in the University Botanic Garden, Maseno, Kenya for their chemotaxonomic values; Journal of Medicinal Herbs and Ethnomedicine. 1(2015) 130-135.[10] A.E.A. Ellah, K.M. Mohamed, E.Y. Backheet, M.H. Mohamed; Cinnamyl alcohol, benzyl alcohol and flavonoid glycosides from Sanchezia nobilis, Chemistry of Natural Compounds. 5(50) (2014). 823-826.[11] J.M. Lee, D.G. Lee, K.H. Lee, S.H. Cho, K.W Nam, S. Lee, Isolation and identification of phytochemical constituents from the fruits of Acanthopanax senticosus; African Journal of Pharmacy and Pharmacology. 7(6) (2013),294-301.[12] Y.S. Kim, X.F. Li, K.H. Kang, B.M. Ryu, S.K. Kim; Stigmasterol isolated from marine microalgae Navicula incerta induces apoptosis in human hepatoma HepG2 cells; BMB Reports. 48(7) (2014) 433-438.
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