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Filion, Louise. "Analyse macrofossile et pollinique de paléosols de dunes en Hudsonie, Québec nordique". Géographie physique et Quaternaire 38, n.º 2 (29 de noviembre de 2007): 113–22. http://dx.doi.org/10.7202/032546ar.

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RÉSUMÉ Les analyses macrofossile et pollinique de paléosols de dunes ont permis de reconstituer l'histoire de la végétation dans trois stations de l'Hudsonie. Dans les sites étudiés (lac Burton, grande rivière de la Baleine et Poste-de-la-Baleine), les spectres polliniques révèlent l'existence d'une phase d'afforestation d'une durée approximative de 1200-1300 ans, caractérisés par l'abondance de grains de pollen d'espèces arbustives. L'aulne vert domine les spectres associés à cette période dans les deux stations continentales et le bouleau glanduleux, ceux de la station de Poste-de-la-Baleine (milieu maritime). La présence de macrorestes d'épinettes dans tous les horizons humifères met en évidence la coexistence des arbres et des arbustes pionniers pendant cette phase d'afforestation. Pendant la phase forestière, ce sont les mêmes espèces arborescentes qui ont colonisé les dunes après chaque épisode éolien. L'abondance relative du pollen de Pinus et de Picea est restée à peu près constante. Certaines augmentations dans la représentation pollinique du bouleau glanduleux, des Ericaceoe et des Onagraceoe pourraient refléter l'influence déterminante des feux de forêt, laquelle s'exprime à travers une modification du rapport entre les milieux forestiers et les milieux arbustifs.
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Talon, Brigitte, Christopher Carcaillet y Michel Thinon. "Études pédoanthracologiques des variations de la limite supérieure des arbres au cours de l’Holocene dans les alpes françaises". Géographie physique et Quaternaire 52, n.º 2 (2 de octubre de 2002): 195–208. http://dx.doi.org/10.7202/004875ar.

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Resumen
RésuméCet article a pour objectif de montrer comment l'emploi de la pédoanthracologie permet de contribuer à l'étude de l'histoire de la végétation ligneuse de stations situées à des altitudes élevées. Cette méthode paléoenvironnementale est fondée sur l'identification microscopique et la datation (au14C par SMA) des charbons de bois macrofossiles enfouis dans les sols minéraux et extraits par tamisage sur un tamis de 400 μm. Dans les Alpes françaises du Sud, le déterminisme climatique de l'asylvatisme actuel de l'étage alpin est remis en cause par la découverte de charbons de bois dans tous les prélèvements réalisés dans cet étage. Les résultats révèlent l'importance géographique dePinus cembra, dont l'aire de répartition était bien plus étendue entre 3 800 et 1 400 ans BP que de nos jours. La précision spatiale de la méthode est soulignée par l'étude de plusieurs profils pédoanthracologiques d'une station dans une vallée des Alpes françaises du Nord ; cette analyse présente les changements locaux de la limite supérieure d'Alnus glutinosa/A. incanadepuis environ 6 000 ans. Des hypothèses impliquant les pratiques agro-sylvo-pastorales couplées à d'éventuelles péjorations climatiques expliquent les changements survenus dans la végétation forestière de cette station.
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CHEVALIER (Richard), BERGÈS (Laurent), GILBERT (J.M.) y GOSSELIN (Frédéric). "Station forestière et végétation spontanée d'accompagnement : perspectives pour la diversification des jeunes pineraies de l'Orléanais." Revue Forestière Française, n.º 2 (2001): 151. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5222.

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Tia, Lazare y Dohouri Rose Dago. "Morcellement d’une aire protégée en agglomération urbaine : le cas du parc national du Banco (Côte d’Ivoire)". Cahiers de géographie du Québec 59, n.º 168 (10 de agosto de 2016): 349–76. http://dx.doi.org/10.7202/1037254ar.

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La volonté de préserver et de conserver les ressources forestières en leur état naturel est à l’origine de la création des parcs nationaux et réserves naturelles, en Côte d’Ivoire. Ce processus fut entamé avec le parc national (PN) du Banco, qui est passé du statut de station forestière, en 1926, à celui de parc national, en 1953. De par sa situation géographique, le PN du Banco est classé parmi les parcs urbains du monde. Ce riche patrimoine naturel est l’objet de dégradations et pollutions diverses. Les résultats d’une enquête exhaustive montrent que la conjugaison de plusieurs facteurs a contribué au morcellement du parc dans sa partie nord-est, connue comme le Triangle de Sagbé (52 ha). Parmi ces facteurs on note les fortes pressions démographique et foncière urbaine, ainsi que les crises socioéconomiques et politicomilitaires doublées d’une faiblesse institutionnelle. Au total, 1134 acteurs économiques informels s’y sont installés par vagues successives, de 1987 à 2013. La quasi totalité des exploitants (95,6 %) des sites du Triangle de Sagbé sont bien disposés à libérer les lieux, mais ils s’y maintiennent à la faveur de la passivité et de la réduction du rôle régalien de l’État dans la protection des aires protégées. Pour garantir une conservation durable du parc, des mesures coercitives de déguerpissement, la construction d’au moins 14,2 km de clôture et l’application du système de gestion participative sont nécessaires.
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Richard, Kouadio Kouassi, Bakayoko Adama, N’guessan Kanga Anatole y Konan Djezou. "Diversité Et Structure Floristiques Sous Des Peuplements d’Acacias Australiens En Zone Forestière De La Côte d’Ivoire". European Scientific Journal, ESJ 12, n.º 35 (31 de diciembre de 2016): 229. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2016.v12n35p229.

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Since thirty years, four Australian Acacias species are introduced and studied in Anguédédou Research station. The station research is located in evergreen forest in the south of Côte d'Ivoire. The objective of the introduction of these species, is to rehabilitate degraded grounds and fallow after growing. The study aims at appreciating the impact of Acacia species on floristic diversity and the regeneration of forest species. For collecting data, we use quadrat method (35 x 50 m and 6 x 6 m).This method permitted the inventory of 212 species on 1.05 ha. Among these species, 1.89 % are Ivorian endemic species and 11.32 % are endemic of West African flora. The flora under the different species of Acacia are relatively diversified and dense. The majority of plant inventoried under Acacia species have small diameters. The highest specific richness average per plots (36 m2) were noted in the 11 years old parcels of Acacia mangium (26.20±2.34) and 27 years old parcels of Acacia auriculaeformis (25.40±2.34) and Acacia crassicarpa (30.60±2.34). The mean values of diameters (dbh ≥ 2.5 cm) fluctuate from 2.94±0.56 cm for the 8 years old stands of Acacia mangium to 8.09±0.56 cm for the 27 years old settlements of Acacia crassicarpa. The results show that leguminous trees can be used for recolonization of the deforested areas in order to rebuild quickly their plant biodiversity.
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Ngueguim, Jules Romain, Louis Zapfack, Noumi Valery Noiha, Dieudonné Onana, Jean Lagarde Betti y Bernard Riera. "Expériences sylvicoles au Cameroun : Croissance, mortalité et adaptabilité des espèces de bois d’oeuvre dans la station forestière de Mangombé (1964 - 2010)". International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, n.º 6 (12 de mayo de 2016): 2789. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i6.22.

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Pothier, David. "Accroissement d'une érablière à la suite de coupes d'éclaircie: résultats de 20 ans". Canadian Journal of Forest Research 26, n.º 4 (1 de abril de 1996): 543–49. http://dx.doi.org/10.1139/x26-062.

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Two intensities of thinning were executed in a 50-year-old sugar maple stand of the Station forestière de Duchesnay (46°57′N, 71°39′W). Initial basal area was reduced by 22 and 35% in moderate and heavy thinned plots, respectively. Twenty years after treatment, basal area of thinned plots approached that of controls and their basal area in sugar maple (Acersaccharum Marsh.) was larger than that of controls. Diameter growth of sugar maples was proportional to the intensity of thinning and a significant difference was detected between thinned and unthinned plots. Net increment of the 70 sampled plots was proportional to the intensity of thinning but mortality was inversely related to the thinning level. Ingrowth was also proportional to the intensity of thinning but its impact on net increment was relatively low. Ten years following treatment, the number of saplings of yellow birch (Betulaalleghaniensis Britt.) increased with increasing thinning intensity. However, the number of sugar maple saplings remains stable among treatments for all measurement periods. Diameter growth was not affected in sugar maples with annual tapping in comparison to sugar maples with no tapping during the whole study period.
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Pothier, David. "Effets des coupes d'éclaircie et des variations climatiques interannuelles sur la production et la teneur en sucre de la sève d'une érablière". Canadian Journal of Forest Research 25, n.º 11 (1 de noviembre de 1995): 1815–20. http://dx.doi.org/10.1139/x95-196.

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A study was initiated in 1975 on a sugar maple (Acersaccharum Marsh.) stand of the Station forestière de Duchesnay (46°57′N, 71°39′W) to determine the effect of thinning on sap production of sugar maple. From 1975 to 1989, spring sap flow and sugar concentration were measured in 58 sample plots distributed in five blocks within which three intensities of thinning (0, 22, and 35% of the initial basal area) were applied. Thinning intensities only accounted for a small part of the variation in sap volume per tap and sap sugar concentration. However, more than 60% of the variation of these two sap characteristics was related to year-to-year variations. This suggests that sap yield and sap sugar concentration were largely controlled by the different climatic conditions that occurred during these years. Hence, sap yield was strongly correlated with the number of days characterized by temperature fluctuations around 0 °C during springtime and by winter precipitation. Sap sugar concentration was also correlated to the number of days with temperature fluctuating around 0 °C during springtime but all other tested meteorological variables failed to improve this relationship. While thinning intensities did not affect sap yield per tap and sugar concentration, sugar yield per hectare could be improved by thinning over the long term since it increased the potential number of taps per hectare.
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Roy, M. y D. Couillard. "Mobilité des métaux et risque de contamination des eaux lors de la valorisation sylvicole des boues de station d'épuration municipales au Québec : une revue". Revue des sciences de l'eau 10, n.º 4 (12 de abril de 2005): 507–25. http://dx.doi.org/10.7202/705291ar.

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La présence de métaux dans les boues municipales demeure l'obstacle majeure à leur valorisation comme fertilisant agricole ou forestier. L'utilisation des boues en milieu forestier diminue certes les risques de contamination de la chaîne alimentaire humaine. Cependant, nos connaissances sur le comportement à long terme des métaux ajoutés aux sols forestiers sont encore très limitées. Le risque de lessivage des métaux vers les écosystèmes aquatiques situés en aval des zones traitées doit être évalué. Cet article propose une comparaison des risques de contamination de l'eau selon que l'application des boues s'effectue en forêt ou en milieu agricole. Les concentrations de métaux dans les boues municipales, leurs formes et leur mobilité dans les sols amendés sont passées en revue. Et finalement, les normes québécoises qui ont été établies pour protéger le milieu récepteur contre les métaux présents dans les boues sont comparées à celles recommandées par l'U.S. EPA.
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Cloutier, Conrad, Jean-Marie Perron y Christine Jean. "Extraits de l'évolution de l'entomologie appliquée au Québec : emphase sur la phytoprotection". Phytoprotection 89, n.º 2-3 (20 de noviembre de 2009): 79–97. http://dx.doi.org/10.7202/038236ar.

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Le développement de l’entomologie au Québec comme science naturelle a commencé avec des naturalistes érudits comme William Couper, Léon Provancher et Henry Lyman qui ont observé abondamment et décrit l’entomofaune du Québec, fondé des sociétés professionnelles et rédigé les premiers ouvrages scientifiques sur les insectes du Québec. Au début du XXe siècle, l’importance économique des plantes agricoles et des essences de coupes forestières a atteint un niveau favorisant la naissance de l’entomologie appliquée. Son développement initial est marqué par la fondation de la SPPQ, la création du premier programme d’études supérieures en entomologie, ainsi que le recrutement d’entomologistes professionnels dans les institutions publiques de protection des plantes contre les ravageurs. Les entomologistes en chef James Fletcher au gouvernement fédéral et Victor Huard au gouvernement provincial, ainsi que les professeurs William Lochhead du Collège Macdonald et Georges Maheux de l’École forestière de l’Université Laval, sont des figures remarquables de cette époque. Les entomologistes publient abondamment sur le cycle de vie des insectes nuisibles, sur les dommages causés et sur les moyens de lutte efficaces avec des insecticides encore primitifs et dangereux. Pendant plusieurs décennies, Ernest-Melville DuPorte se trouve au Collège Macdonald au centre des études supérieures et de la recherche en entomologie au Québec. Après la Seconde Guerre mondiale, la demande en denrées alimentaires et en fibre ligneuse croît à un rythme sans précédent, de même que la lutte aux ravageurs, à l’ère nouvelle des produits chimiques de synthèse, notamment des insecticides comme le DDT. En agriculture, les entomologistes actifs en phytoprotection se regroupent au laboratoire de recherche de Saint-Jean-sur-Richelieu et au Service de la protection des cultures du MAPAQ, ainsi que dans leurs stations de recherche de terrain. La recherche en entomologie forestière se développe à Québec autour du laboratoire fédéral des Laurentides et à la Faculté d’arpentage et de génie forestier (aujourd’hui la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique) de l’Université Laval. Sous la pression de l’industrie forestière, les arrosages aériens aux insecticides deviennent systématiques et sont surtout régis par l’abondance cyclique de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. À la fin des années 1960, l’entomologie appliquée prend lentement un virage écologique, ouvert au contrôle naturel des ravageurs et aux idées de la résistance des plantes et de la stimulation de l’impact des agents biologiques de répression. La recherche et la formation aux études supérieures en entomologie connaissent un essor marqué dans les centres universitaires établis et nouvellement créés. La fin du XXe siècle est marquée par l’arrivée des plantes transgéniques résistantes aux ravageurs et les conséquences prévisibles du réchauffement climatique sur l’abondance et la diversité des ravageurs. L’entomologie comme activité scientifique professionnelle s’est enrichie de l’arrivée de nombreuses femmes dans les centres de recherche et les universités, bien qu’affectée par le ralentissement du recrutement d’entomologistes professionnels dans les services publics et les universités et l’incertitude des conditions économiques futures.
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Bognounou, Fidèle, Renée Morton, Sarah Ayangma, Laurence Jonkers, Christer Björkman, Helena Bylund, Colin Orians, Andres Vega y Per Christer Oden. "Structure des peuplements de Monocotyledones et Dicotyledones lors de differents stades de succession dans le parc national de Corcovado au Costa Rica". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 307, n.º 307 (1 de marzo de 2011): 33. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.307.a20480.

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Les deux grands groupes d'angiospermes, monocotylédones et dicotylédones, diffèrent à plusieurs égards au niveau de leur cycle de vie. Malgré les différences évidentes entre ces deux groupes, peu d'études se sont penchées de façon approfondie sur la manière dont cela pourrait influencer leur succession écologique. L'étude compare les densités relatives de ces deux groupes fondamentaux à l'évolution contrastée, lors de deux stades de succession forestière à la station de Sirena dans le Parc national de Corcovado au Costa Rica, en Amérique centrale. Selon l'hypothèse de départ, le rapport monocotylédones/ dicotylédones devrait diminuer aux stades plus avancés de la succession. L'échantillonnage a porté sur un ensemble de 40 placettes triangulaires à angle droit ((5 × 5 m)/2), où les plantes ont été classées en quatre catégories selon la dimension des houppiers, ainsi qu'en monocotylédones et dicotylédones. Une analyse de la distribution des densités et des classes de dimension des houppiers a été effectuée par ANOVA selon la procédure de modélisation linéaire généralisée. La densité moyenne totale de la forêt secondaire apparaît significativement plus importante que celle de la forêt primaire (P < 0,001). Cependant, la structure de la distribution des classes de dimension des houppiers est proche entre monocotylédones et dicotylédones, mais aussi entre forêt primaire et secondaire. Il n'apparaît aucune différence significative entre les deux types de forêt dans le rapport monocotylédones / dicotylédones (P = 0,99). Les résultats concernant la distribution des classes de dimension des houppiers indiquent une tendance similaire dans la distribution des successions de monocotylédones et dicotylédones, même si les dicotylédones sont toujours plus nombreux. Ces résultats amènent à conclure qu'il est nécessaire d'avoir une importante différence entre les stades de succession avant de percevoir la différence anticipée dans cette étude. (Résumé d'auteur)
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Ackermann, F. "Influence du type de station forestière sur les composantes intracernes de la densité du bois du chêne pédonculé (Quercus robur L) dans les chênaies de l'Adour et des coteaux basco-béarnais". Annales des Sciences Forestières 52, n.º 6 (1995): 635–52. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19950609.

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DRAPIER, J. "Etude de la potentialité forestière des stations par l'Inventaire forestier national. Les plateaux calcaires de Haute-Marne". Revue Forestière Française, n.º 5 (1987): 425. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25814.

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Sevrin, Robert. "Les régions frontalières franco-belges". Cahiers de géographie du Québec 18, n.º 43 (12 de abril de 2005): 35–59. http://dx.doi.org/10.7202/021175ar.

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Les phénomènes géographiques frontaliers se répartissent en deux niveaux. Le plus large est constitué par des échanges qui traversent les régions frontalières sans beaucoup les concerner directement. Le deuxième niveau est celui des phénomènes et des problèmes géographiques qui intéressent les petites régions situées directement au contact de la frontière. Les régions qui, de la Mer du Nord à la frontière luxembourgeoise, sont coupées depuis deux siècles par la frontière franco-belge, se répartissent en deux grands groupes : — les régions frontalières rurales et forestières, — les régions frontalières urbaines. Les régions frontalières rurales et forestières ont en commun un faible degré de polarisation, la zone polarisée ne dépasse généralement pas la frontière ; certaines d'entre elles peuvent cependant être traversées par d'importants trafics de transit de voyageurs ou de marchandises dont l'impact sur la petite région est faible. Appartiennent à ce groupe les régions frontalières à prédominance forestière de la Thiérache à la Lorraine, les régions frontalières rurales en Flandre, en Pévèle et en Hainaut. Leur problème commun est l'harmonisation des deux États au point de vue de la sauvegarde et de l'utilisation pour les loisirs. Les régions frontalières urbaines consistent en villes doubles, notamment dans la vallée de la Lys, en agglomérations ferroviaires, en stations balnéaires au Littoral et en la Regio insulensis. Métropole du Nord et son versant belge. On y observe souvent une continuité dans le domaine bâti qui peut se concrétiser de façon variée dans le paysage. Les migrations pour le travail, pour le loisir ou pour les achats y atteignent une intensité plus grande que dans les secteurs frontaliers ruraux. Malgré une incontestable perméabilité de cette frontière, malgré aussi le Marché Commun, la limite de souvenainete constitue un frein incontestable à l'épanouissement des régions frontalières. On peut néanmoins espérer la naissance de formes nouvelles de coopération transfrontalière dans les domaines du développement industriel ou de l'aménagement du territoire dans la Regio insulensis, exemple original, au sein des pays du Marché Commun, d'agglomération transfrontalière.
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Horisberger, Denis y Micheline Meylan. "Le guide des stations forestières du canton de Vaud: synthèse pour les praticiens | The guide to forest stations in canton Vaud: a summary for practioners". Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 160, s1 (1 de diciembre de 2009): s43—s53. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2009.s0043.

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The guide to forest stations in canton Vaud is a collection of references and applications intended for forest practitioners. This computer-based instrument constantly incorporates new information. The guide is conceived on transparent bases that can be repeated and thus called in question. It offers a simplified process for determining vegetation groups and evaluating their productivity. It is completed by some suggestions for a choice of species adapted to the station which takes into account their suitability for any given station, climate changes and the present composition of forest stands.
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BRETHES, A. "La typologie des stations forestières. Recommandations méthodologiques". Revue Forestière Française, n.º 1 (1989): 7. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25949.

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JABIOL, B. "Les stations forestières en forêt domaniale d'Ecouves (Orne)". Revue Forestière Française, n.º 1 (1985): 33. http://dx.doi.org/10.4267/2042/21783.

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FRANC, A. y B. VALADAS. "Stations forestières et paysages : les granites du Massif central". Revue Forestière Française, n.º 4 (1990): 403. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26087.

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Cioldi, Fabrizio, Marco Conedera, Fulvio Giudici y Anne Herold. "Dynamique évolutive de la forêt au Sud des Alpes suisses". Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 172, n.º 5 (1 de septiembre de 2021): 318–29. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2021.0318.

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Résumé La surface forestière du Sud des Alpes suisses a plus que doublé en 120 ans, avec une accélération importante de cette croissance après la Seconde Guerre mondiale. En utilisant les données de l’Inventaire forestier national (IFN), l’article décrit la structure, la composition et l’évolution des forêts de cette région, en distinguant les forêts établies avant 1940, celles formées entre 1940 et 1985, ainsi que celles établies après 1985. En raison de difficultés structurelles et environnementales, la forêt a évolué de manière naturelle depuis plusieurs décennies sans véritable gestion régulière. Cette évolution conduit au vieillissement progressif des forêts de plus en plus denses et sombres, qui finit par favoriser les essences intermédiaires et surtout finales, en particulier le hêtre. Les espèces pionnières, en revanche, sont en fort déclin dans les forêts établies depuis longtemps et pour elles – le bouleau et le mélèze en particulier – les zones boisées de formation récente représentent un refuge important. En outre, les analyses mettent en évidence la rareté de la régénération, particulièrement importante pour garantir la stabilité des forêts à moyen et long terme, mais elles montrent aussi l’effet bénéfique des interventions sylvicoles sur l’abondance du rajeunissement. Les extrêmes climatiques, en particulier les sécheresses de plus en plus fréquentes, intensifient encore la concurrence entre les espèces. Dans ce cadre, le châtaignier – essence symbolique du Sud des Alpes – est en grande difficulté, surtout dans les stations fortement exposées au soleil et à la pénurie d’eau. Les résultats de l’IFN montrent effectivement une forte mortalité du châtaignier au cours des trois dernières décennies.
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Becker, Michel. "Intérêt de la végétation pour la typologie des stations forestières". Bulletin de la Société Botanique de France. Lettres Botaniques 134, n.º 1 (enero de 1987): 35–37. http://dx.doi.org/10.1080/01811797.1987.10824729.

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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20 de agosto de 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Resumen
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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PERKINS, PHILIP D. "Hydraenidae of Madagascar (Insecta: Coleoptera)". Zootaxa 4342, n.º 1 (3 de noviembre de 2017): 1. http://dx.doi.org/10.11646/zootaxa.4342.1.1.

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Resumen
The Madagascar fauna of the beetle family Hydraenidae is comprehensively revised, based on the study and databasing of 6,949 specimens. New collection records are provided for 11 previously described species, and 95 new species are described. Three new subgenera of Hydraena, viz. H. (Micromadraena), H. (Monomadraena), and H. (Dnahydnaedna) are described, and several new species groups of Hydraena are diagnosed. Two new genera in the tribe Madagastrini are described: Menomadraena and Trinomadraena. The Malagasy hydraenid fauna now comprises 106 species arrayed in the following nine genera: Aulacochthebius (2), Hydraena (65), Limnebius (10), Madagaster (8), Menomadraena (6), Ochthebius (1), Protozantaena (5), Sicilicula (8), and Trinomadraena (1). Lectotypes are designated for the following species: Aulacochthebius plicicollis (Fairmaire), 1898 (Ochthebius); Hydraena dilutipes Fairmaire, 1898; Hydraena impressicollis Fairmaire, 1898; Hydraena marginicollis Regimbart, 1903 (= Hydraena regimbarti Zaitzev 1908; nomen novum); and Ochthebius alluaudi Regimbart, 1903. Hydraena discicollis Fairmaire, 1898, is considered a nomen dubium: no type specimens were found, and the description appears to be that of a species of Aulacochthebius or Ochthebius, not Hydraena. High resolution digital images of lectotypes and holotypes of new species are presented (online versions in color). Male genitalia, representative antennae, maxillary palpi, and female terminal abdominal segments and spermathecae are illustrated. Geographic distributions of all species are mapped. Possible colonization and vicariance events are discussed at the tribal, generic and species group levels. The tribe Madagastrini, found only in Madagascar and southern India, is hygropetric, indicating that this microhabitat type has been continuously present in both Madagascar and India at least since the two separated, currently estimated to be 88 million years ago. Contrastingly, some lowland lentic species of other genera appear to be closely related to species in southern Africa, suggesting rather recent colonization events. New species of Aulacochthebius: A. perlaevis (Mahajanga, Boeny: Mahavavy Kinkony RS). New species of Hydraena (Micromadraena): H. breviceps (Fianarantsoa, 29 km SSW Ambositra, Ankazomivady); H. fortipes (Antsiranana, Forêt d' Antsahabe); H. genuvela (Antsiranana, Forêt de Binara); H. parvipalpis (Antananarivo, Réserve Spéciale d'Ambohitantely); H. rubridentata ((Mahajanga, Parc National de Namoroka); H. serripennis (Antsiranana, Forêt d' Antsahabe). New species of Hydraena (Monomadraena): H. acicula (Antsiranana, Antsaba, Galoko Mountains); H. ambohitantely (Antananarivo, Ambohitantely Spec. Res.); H. amplexa (Fianarantsoa, Andringitra NP); H. amplipunctata (Fianarantsoa, 7 km W Ranomafana); H. antsahabe (Antsiranana, Forêt d' Antsahabe); H. bergsteni (Antsiranana, Diana: Beraty); H. bisinuata (Toamasina, Tamatave 6.3 km S Ambanizona); H. bisinuloba (Toliara, Menabe: Kirindy RS.); H. bispica (Toamasina, Alaotra Mangoro: Analamazoatra SR); H. casacolumna (Fianarantsoa, Andringitra NP); H. compacta (Antananarivo, Ankaratra, Reserve Manjakatompo); H. contracolorata (Antsiranana, Montagne des Francais); H. epipleurata (Antsiranana, Forêt de Binara); H. furcula (Toliara, 40km N of Fort Dauphin, Managotry); H. gereckei (Antananarivo, Ankaratra, Reserve Manjakatompo); H. goldschmidti (Antananarivo, Anjozorobe, Ravoandrina); H. inseriata (Antananarivo, Anjozorobe, Ravoandrina); H. jubata (Antsiranana, Sava Marojejy NP); H. levifurcata (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km SW Ranomafana); H. lubrica (Antananarivo, Ambohitantely Spec. Res.); H. mahavavona (Fianarantsoa, Ionilahy, Mahavavona); H. manjakatompo (Antananarivo, Ankaratra, Reserve Manjakatompo); H. marojejy (Antsiranana, Parc National de Marojejy); H. multiarcuata (Fianarantsoa, Ranomafana); H. oscillata (Toamasina, Alaotra Mangoro Andasibe-Mantadia NP); H. parvispinosa (Toamasina, Andasibe NP); H. pentarubra (Antsiranana, Montagne d'Ambre); H. quatriloba (Toliara, Andohahela NP, Tsimelahy); H. ranomafana (Fianarantsoa, Ranomafana); H. ravoandrina (Antananarivo, Anjozorobe, Ravoandrina); H. rubrifurcata (Antsiranana, Sava, Marojejy NP); H. sculponea (Antsiranana, Befingotra (9.2 km WSW), Res. Anjanaharibe-Sud); H. simplicata (Antsiranana, Montagne d'Ambre); H. tibiodentipes (Fianarantsoa, Andringitra NP); H. triaequalis (Fianarantsoa, Ranohira); H. tripartita (Fianarantsoa, Ranomena); H. upsilonica (Toamasina, Zahamena NP); New species of Hydraena (Hydraenopsis): H. andranomena (Toliara, Andranomena); H. arta (Antsiranana, Parc National de Marojejy); H. bucollis (Toamasina, Tamatave, Andranobe Field Station); H. clavulata (Fianarantsoa, Ranomafana); H. contorta (Antananarivo, Anjozorobe forest reserve); H. dilutipoides (Mahajanga, Parc National Tsingy de Bemaraha); H. divisa (Antsiranana, Antsaba,Galoko Mountains); H. elementaria (Antananarivo, Tamatave, Coastal lagoon); H. fulgidicollis (Antananarivo, Parc de Tsimbazaza); H. longiloba (Fianarantsoa, Madiorano); H. nanula (Antsiranana, Ankarana, Ampositelo); H. orchisa (Toamasina, Alaotra Mangoro Andasibe-Mantadia NP); H. pilobova (Antsiranana, Sava, Marojejy NP); H. pilotumida (Fianarantsoa, 7 km W Ranomafana); H. ranarilalatiani (Toamasina, Alaotra Mangoro: Analamazoatra SR); H. randriamihajai (Antsiranana, Diana: Montagne d'Ambre NP); H. renalisa (Antsiranana, Sambava: Marojejy NP); H. sinuatipes (Antsiranana, Ankarana); H. torquata (Fianarantsoa, Andringitra NP). New species of Limnebius: L. angulatus (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km W Ranomafana); L. balkei (Antsiranana, Montagne d'Ambre); L. bergsteni (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km W Ranomafana); L. clandestinus (Mahajanga, Boeny:Mahavavy Kinkony RSc); L. labratus (Toamasina, Maroantsetra); L. lacrimosus (Toamasina, 18.7911S 48.4259E Alaotra Mangoro Andasibe-Mantadia NP); L. lobatus (Toliara, Manakaravavy); L. maximadus (Toamasina, Alaotra Mangoro: Analamazoatra SR); L. nanostillus (Antsiranana, Ankarana); L. steineri (Fianarantsoa, 7 km W Ranomafana). New species of Madagaster: M. barbata (Fianarantsoa, Andringitra NP); M. bergsteni (Antananarivo, 18.8704S 47.6708E Analamanga); M. cataracta (Antsiranana, Sava, Marojejy NP); M. procarina (Fianarantsoa, 32 km S Ambositra); M. quadricurvipes (Fianarantsoa, Andringitra NP); M. simplissima (Fianarantsoa, 32 km S Ambositra). New species of Menomadraena: M. andringitra (Fianarantsoa, Res. Andringitra); M. concava (Fianarantsoa, R.S. Ivohibe); M. fisheri (Toliara, Enakara (11 km NW), Res. Andohahela); M. ivohibe (Fianarantsoa, R.S. Ivohibe); M. nitedula (Fianarantsoa, Res. Andringitra); M. sembella (Fianarantsoa, Amparihibe). New species of Protozantaena: P. duplicata (Antananarivo, Vakinankaratra: Manjakatompo Stn. Forestière); P. elongata (Antananarivo, Vakinankaratra: Manjakatompo Stn. Forestière). New species of Sicilicula: S. ampla (Antananarivo, Onive River near Ilempona); S. bergsteni (Fianarantsoa, 21.2263S 47.3694E, Matsiara Ambony, Ranomafana NP); S. conjugalis (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km SW Ranomafana); S. cordicollis (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km SW Ranomafana); S. hygropetrica (Fianarantsoa, Matsiara Ambony, Ranomafana NP); S. malagasica (Fianarantsoa, Abohimahasoa); S. sexplanata (Antsiranana, Mt. Tsaratanana). New species of Trinomadraena: T. clusa (Antsiranana, Mt. d’Ambre).
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GILBERT, J. M. "Stations forestières et production du douglas [pseudotsuga menziesii (mirb.) franco] dans le pays d'othe". Revue Forestière Française, n.º 4 (1995): 343. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26664.

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OUANOUKI, B. y S. IGOUD. "Contribution à l'étude des boues résiduaires issues de stations d'épuration urbaine dans les plantations forestières". Revue Forestière Française, n.º 2 (1993): 153. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26406.

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BARTOLI (Michel), LARGIER (G.), ABGRALL (S.) y LUXCEY (E.). "Une base cartographique de données phytoécologiques issue des relevés de catalogues de types de stations forestières." Revue Forestière Française, n.º 1 (1999): 47. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5416.

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GAUDIN, Sylvain y Laurence CARNNOT-MILARD. "LE NIVEAU DE LA NAPPE ALLUVIALE EST-IL UN BON CRITÈRE POUR DIFFÉRENCIER LES STATIONS FORESTIÈRES DES VALLÉES ?" Revue Forestière Française, n.º 5 (2013): 395. http://dx.doi.org/10.4267/2042/53705.

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Benmoussa, H., R. D. Tyagi y P. G. C. Campbell. "Biolixiviation des métaux lourds et stabilisation des boues municipales: effet de la forme du souffre élémentaire utilisé comme substrat". Revue des sciences de l'eau 7, n.º 3 (12 de abril de 2005): 235–50. http://dx.doi.org/10.7202/705199ar.

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Resumen
La présence de concentrations élevées en métaux lourds retrouvés dans les boues de stations d'épuration est un facteur important limitant ainsi leurs différents modes de dispositions (rejet en mer, enfouissement, incinération, ou même recyclage comme fertilisant agricole ou forestier) par crainte de dégâts considérables qui pourraient être causés à l'environnement. L'objectif de ce travail consistait à mettre au point un procédé qui permettrait conjointement la stabilisation des boues municipales et l'enlèvement des métaux lourds qui y sont associés. L'approche poursuivie dans cette étude était de vérifier si ce procédé microbien, conçu pour enlever les métaux lourds associés aux boues municipales, pourrait éventuellement remplacer les procédés conventionnels de stabilisation des boues municipales, ce qui réduirait considérablement les temps et coûts de traitement. Ce procédé microbien consiste à utiliser des souches de thiobacilles qui oxydent le soufre élémentaire, produisant ainsi de l'acide sulfurique, et par la même occasion une forte baisse de pH (1.5). Les résultats obtenus en cultures discontinues, en bioréacteurs, avec des boues primaires provenant de la station d'épuration de la Communauté Urbaine de Québec (C.U.Q.- Est) montrent que cette chute de pH entraîne une solubilisation importante des métaux (Cr: 56 %, Cu: 97 %, Fe: 30 à 40 %, Pb: 69 %, Zn: 98 % ), du phosphore (52 %), ainsi qu'une réduction appréciable des matières volatiles en suspension (40 à 50 % ), et ce, après seulement 7 jours de traitement. Le soufre nécessaire à la biolixiviation- stabilisation est introduit, dans le cas de notre étude, sous forme de granules ou de blocs. Ce choix de la forme de soufre influe beaucoup sur la qualité de la boue produite, ainsi que sur son pouvoir acidophile après neutralisation. Le soufre en blocs s'avère plus efficace et aussi préférable au soufre en granules quant au pouvoir acidophile, après neutralisation, de la boue produite.
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Gangnibo, CN, AKN Aoudji y JC Ganglo. "Etude des groupements végétaux de la forêt classée d’Agrimey: application à l’identification et à la caractérisation des stations forestières". International Journal of Biological and Chemical Sciences 8, n.º 4 (14 de enero de 2015): 1445. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v8i4.9.

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Medjahdi, Boumediene, Assia Ltreuch-Belarouci y Rémy Prelli. "Actualisation du catalogue des pteridophytes du Nord Ouest Algerien (region de Tlemcen). An update of the cheklist of pteridophytes from Nordwest Algeria (Tlemcen region)". Acta Botanica Malacitana 38 (1 de diciembre de 2013): 33–39. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v38i0.2638.

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Resumen
Français. Un inventaire des ptéridophytes a été entrepris dans les forêts de la région de Tlemcen. L’inventaire de ces populations constitue une étape importante pour le développement des stratégies de conservation des ressources génétiques et de la diversité de ces populations sur l’ensemble de leur aire de distribution naturelle. Nous avons ainsi effectué le recensement et l’identification des fougères existantes dans la région de Tlemcen. Au total, plusieurs stations dont les caractéristiques écologiques diffèrent d’un site à un autre ont été prospectées, cela a permis l’identification de 26 taxons (dont 5 exceptionnellement rare). La création de réserves naturelles forestières renforcée par une protection réglementaire des espèces les plus menacées est nécessaire pour le maintien de ces communautés si particulières. English. An inventory of Pteridophyta was begun in the forests of the Tlemcen region. The inventory of these populations constitutes an important stage for the developement of the strategies of preservation of the genetic resources and the diversity of these populations on their whole area of natural distribution. We so made the inventory and the identification of the existing ferns in the region of Tlemcen. On the whole, several stations the ecological characteristics differ from a site in the other one were canvassed; they allowed the identification of 26 taxes (among which 5 exceptionally rare). The creation of forest nature reserves strengthened by a statutory protection of the most threatened species is necessary for the preservation of these particular communities.
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Ouimet, Rock, Louis Duchesne y Jean-David Moore. "Relation entre la composition foliaire et la présence de la maladie corticale du hêtre dans les stations du Réseau d’étude et de surveillance des écosystèmes forestiers du Québec". Résumés des conférences 95, n.º 1 (2 de febrero de 2015): 32–37. http://dx.doi.org/10.7202/1031956ar.

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Resumen
La maladie corticale du hêtre (MCH) est de plus en plus fréquente dans les forêts de l’est de l’Amérique du Nord. Des chercheurs ont avancé l’hypothèse que l’expansion de cette maladie pourrait être en partie liée au statut nutritif des arbres. Pour tester cette hypothèse, nous avons vérifié la relation entre l’apparition de cette maladie et la composition du feuillage du hêtre (Fagus grandifolia Ehrh.) dans les stations du Réseau d’étude et de surveillance des écosystèmes forestiers du Québec. Sur les 14 stations contenant du hêtre, cinq présentaient des symptômes de la maladie entre 2006 et 2012. Les arbres infectés étaient en moyenne de plus grand diamètre que ceux qui ne l’étaient pas. La présence de la MCH était liée en partie à la composition foliaire des arbres (pseudo-R2 : 0,551). L’analyse indique que plus le rapport N/P du feuillage du hêtre est élevé, plus la probabilité d’infection par la MCH est importante; et plus les rapports Zn/Mn et Mg/K du feuillage sont élevés, plus la probabilité d’infection par la MCH est faible. Ces rapports donnent à penser que les conditions d’acidification du sol et de drainage influencent la vigueur des arbres et, conséquemment, leur vulnérabilité à la MCH.
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Steinmann, Philippe. "L'apport de l'AR-WSL aux bureaux d'ingénieurs forestiers de Suisse romande | The Contribution of AR-WSL to the Private Forestry Offices of French Speaking Switzerland". Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 151, n.º 7 (1 de julio de 2000): 230–31. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2000.0230.

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WSL and its branch station Antenne romande frequently reveal the latest news and developments in the field of Swiss forestry. The new concept of AR-WSL and its reinforcement with additional academic personnel represent a new challenge to private forest engineering offices in the French-speaking part of Switzerland. There, the future of forestry depends on its interdisciplinary cooperation with other institutions which are active in landscape management.
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Tohngodo, Bernard Cossi, Jean Cossi Ganglo y Euloge Kossi Agbossou. "La phytosociologiecommeoutil d'identification et de caractéisation des stations forestièes de la forêt classée de Bonou (sud-est Bénin)". Acta Botanica Gallica 153, n.º 1 (marzo de 2006): 135–40. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2006.10515528.

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Roches, Didier. "Les difficiles relations entre recherche et pratique forestières, par-dessus la barrière des langues | The Difficult Correlation Between Forest Research and Forest Practice With a Language Barrier to Cross". Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 151, n.º 7 (1 de julio de 2000): 228–29. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2000.0228.

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Since 1990, the launching of the WSL branch station Antenne romande has been accompanied by a commission – the Comac– which represents the French speaking cantons and the private forestry offices. In 1993, it conducted an evaluation which gave evidence of the positive impact AR-WSL had among the target groups. However, Comac also pointed out that the task of WSL does not correspond with the expectations of the practitioners. The new concept of WSL offers good chances for innovative collaboration. Yet, while forest services are being reorganised, forest research is still lacking progress in French speaking Switzerland and the expectations of the eighties still remain.
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Ayer, François, Peter Lüscher y Simon Egli. "Quelle est la place des champignons supérieurs dans les stations forestières? | What is the status of higher fungi in forest site classification?" Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 154, n.º 5 (1 de mayo de 2003): 149–60. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2003.0149.

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17 forest sites in three Swiss cantons (Berne, Solothurn, Fribourg)were investigated mycologically during a four year period to find out to what extent higher fungi are bound to specific forest sites and whether they are suitable for characterizing forest types. The species lists reveal a species specific dependency on soil pH: 32% of the inventorized fungal species can be found in the whole pH range, 50% were found only in acid soils up to a pH of 5.75, and 18% in only neutral to alkaline soils. The species fructifying on slightly acid to neutral soils are considered to be possible indicator species for such environmental changes as acidification or eutrophisation. The present classification of higher fungi into pH-classes and forest types is a tentative one. The data set will be supplemented with further observations in order to attain a more definitive classification. These preliminary analyses, however, already reveal the suitability of higher fungi for characterizing and classifying forest types. The four-year investigation showed that pure coniferous forests are richer in macromycetes species than generally supposed and also that they harbour a higher percentage of mycorrhizal fungi than deciduous forests.
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Polan, Patrick, Jean Gagnon y J. Peter Jones. "L'utilisation du compost de boues de stations d'épuration des eaux comme substrat de culture pour la production des plants forestiers en récipients". Canadian Journal of Civil Engineering 20, n.º 3 (1 de junio de 1993): 518–27. http://dx.doi.org/10.1139/l93-066.

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The Quebec government has established a program to treat industrial and domestic wastewaters. However, this program does make it necessary to dispose of large quantities of sludge. This sludge can be burned or landfilled but such solutions do not properly draw benefit from the sludge's potential as a fertilizer. There is a considerable interest in composting of the sludge. In this study, compost from the composting plant in Plattsburgh was mixed with the growing substrate normally used for the production of containerized jack pine (Pinus banksiana Lamb.) seedlings to determine if the compost could be used for the production in containers of forest seedlings. The growth of containerized seedlings produced with proportions by volume of 80% peat moss and 20% vermiculite was compared to the growth of seedlings when the peat moss (80%) was replaced by different proportions of compost (20, 40, 60, and 80%). After one growing season in tunnel, the best growth rates in terms of shoot height, root-collar diameter, and dry biomass were obtained with the control, followed in decreasing order by the treatments compost 20, 40, 60, and 80%. In this experiment, the use of compost from wastewater treatment plants reduced significantly the growth of jack pine and this can be explained mainly by the lack of nitrogen in the tissues of jack pine seedlings. However, the adjustment of nitrogen fertilization and conditions of cultivation by using compost may permit the production of containerized seedlings having the same dimensions as the controls. The seedling growth parameters when 20% compost was incorporated in the substrate were nearly the same as the control seedling. Key words: sludge, recycling, compost, substrate, container, forest seedlings, jack pine.
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Doumbia, Salif, Sidiki G. Dembele, Fagaye Sissoko, Odiaba Samake, Fernando Sousa, Harun Cicek, Noah Adamtey y Andreas Fliessbach. "Evaluation de la fertilité des sols et les rendements de cotonnier, maïs et sorgho à >Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex. Walp". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n.º 7 (7 de diciembre de 2020): 2583–98. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.17.

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De nos jours, la carence en fertilité des sols est un problème très répandu dans la plupart des pays subsahariens. G. sepium a été testé en association avec le cotonnier, le maïs et le sorgho afin de développer les meilleures pratiques dans deux stations de recherche et en milieu paysan dans les zones soudaniennes et soudano-guinéenne du Mali. L'objectif de cette étude était de développer, avec les producteurs participants, une technologie agro-forestière basée sur le Gliricidia sepium dans le système de culture en couloir. Le dispositif expérimental utilisé a été le Split plot à quatre répétitions. Le pH, le carbone organique du sol et l'azote ont été analysé dans des échantillons de sol de 0 à 20 cm de profondeur prélevés en 2016 au début de l'expérience et en 2018. Les rendements grains moyens de coton, de maïs et de sorgho associés au G. sepium étaient respectivement de 812, 1457 et 1377 kg.ha-1, alors qu'ils étaient significativement plus faibles sans G. sepium, avec 623, 1014 et 807 kg.ha-1 respectivement. Pendant la troisième année suivant la plantation de G. sepium, la teneur en carbone organique et en azote total du sol a augmenté de 5% dans les sols situés entre les allées. Le G. sepium en association avec les cultures a le potentiel d'améliorer leurs rendements et le sol.Mots clés : Carbone organique, azote, rendements, zones soudanienne et soudano-guinéenne, Mali English Title: Evaluation of Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex. Walp effect on soil fertility, yields of cotton, maize and sorghum Nowdays, soil fertility deficiency is a widespread issue in most Sub-Saharian countries specially where the application of less input is the common agricultural practices. Thus the legume plant, G. sepium was established with cotton, maize and sorghum to develop best practices for increasing crop yield and soil fertility at two research stations and farming environment in the Sudanian and Sudano-Guinean zones of Mali. The objective of this study was to develop an agroforestry technology with farmers based on Gliricidia sepium in alley cropping system. The experimental design was Split plot with four replications. Soil pH, soil organic carbon and nitrogen were analyzed from 0-20 cm deep soil samples taken in 2016 at the beginning of the experiment and in 2018. Mean grain yields of cotton, maize and sorghum associated with G. sepium were 812, 1457 and 1377 kg.ha-1, respectively, while they were significantly lower without G. sepium with 623, 1014 and 807 kg.ha-1 as respectively cotton, maize and sorghum yield. In the third year after planting G. sepium, the soil organic carbon and total nitrogen content increased by 5% between the alleys. G. sepium in association with crops has the potential to improve crop yields and soil fertility.Keywords: Gliricidia sepium, organic carbon, nitrogen, yields, Mali.
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Richard, Pierre J. H. "Le couvert végétal du Québec-Labrador il y a 6000 ans BP : essai". Géographie physique et Quaternaire 49, n.º 1 (30 de noviembre de 2007): 117–40. http://dx.doi.org/10.7202/033033ar.

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RÉSUMÉ Une carte du couvert végétal du Québec-Labrador est proposée pour l'époque des 6000 ans BP, à partir des données paléopalynologiques et paléobotaniques. Une Toundra arbustive dense s'interposait entre les mers de Tyrrell ou d'Iberville et les glaces résiduelles qui occupaient alors plus de 100 000 km2 en Ungava (Nunavik) et jusque dans la région de Schefferville. Étroite au sud des glaciers, cette Toundra s'étalait à l'est des glaces sur plus de 400 km jusqu'à la mer du Labrador, au nord du 54° de latitude. La limite des arbres s'établissait donc alors à peu près au centre de l'actuelle zone de Taïga (Forêt boréale ouverte), mais la limite nord de la Forêt fermée correspondait déjà à peu près à la position moderne. Comme la Toundra, la Taïga de l'époque était arbustive, plus dense et plus diversifiée qu'actuellement, sans doute en raison d'un climat favorable, mais aussi d'une plus grande richesse des sols en éléments nutritifs. Les domaines forestiers méridionaux des Pessières, des Sapinières et des Érablières atteignaient dans l'ensemble les limites modernes de leur aire de peuplement, mais l'abondance de certaines essences compagnes différait le plus souvent de l'actuelle. Ces différences sont attribuables 1) à une migration tardive de certaines essences, telles le pin gris (Pinus banksiana) dans les Pessières occidentales ou le hêtre à grande feuilles (Fagus grandifolia) dans les Érablières, 2) à une incidence généralement plus faible des feux naturels, 3) à un entourbement moindre des stations hydriques, et 4) à un climat dans l'ensemble plus clément. L'analyse régionale permet d'identifier des gradients et des champs phytogéographiques plus nuancés éventuellement influencés par le climat, notamment en zones montagnardes et subalpines.
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Chergui, H. "Flux des particules grossières de matière organique allochtone et autochtone dans un bras mort du Rhône". Revue des sciences de l'eau 2, n.º 4 (12 de abril de 2005): 565–85. http://dx.doi.org/10.7202/705043ar.

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Les flux de matière organique particulaire allochtone et autochtone ont été suivis dans la Lône des Pêcheurs. Leur estimation quantitative et qualitative rend compte de l'impact de l'écotone rives sur le fonctionnement du système aquatique. Dans ce bras mort, les apports allochtones semblent plus importants que dans d'autres systèmes, comme les ruisseaux forestiers mentionnés par la littérature. Pour l'estimation des flux de matière organique particulaire nous avons utilisé, comme moyen d'échantillonnage, des bacs de plastique rectangulaires déposés sur le fond; en plus nous avons procédé à des prélèvements par benne. Le plus grand apport de feuilles terrestres a lieu en novembre, le plus grand apport de bois et autres débris en avril et dans les mois qui suivent, probablement par suite des crues. Au niveau de la lône, on note une différence entre les parties amont et aval. A surface égale, les apports grossiers (feuilles mortes et bois) sont plus abondants en amont, les éléments en voie de désintégration sont, au contraire, plus nombreux en aval. Cette différence est principalement due à la proportion des rives par rapport à la surface du plan d'eau et probablement aussi à la vitesse de dégradation de ces apports dans les deux stations. Ceci nous amène donc à penser qu'il existerait un gradient décroissant de matière organique grossière de l'amont de la lône vers l'aval. La biocénose aquatique est alimentée d'abord par les macrophytes immergés à décomposition rapide (été, automne), puis par les feuilles terrestres et les macrophytes émergés (hiver, printemps). L'analyse de la structure des invertébrés aquatiques montre la relation entre ces apports, particutièrement les feuilles mortes, et la biomasse des dilacérateurs et des collecteurs.
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Nouri, Jdaidi y Hasnaoui Brahim. "Etude de l’habitat écologique d’une espèce rare (Prunus avium) au nord-ouest de la Tunisie". Acta Botanica Malacitana 43 (20 de noviembre de 2018): 83–89. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v43i0.4152.

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AbstractPrunus avium is a component of the biodiversity in the forest ecosystems: its fruits are consumed by a large number of birds, its quality of the wood and its premature blooming confer it a big esthetic value. Multipurpose tree, it is present in the forest of Kroumirie in the Northwest of Tunisia. In this region, Prunus avium is a species exploited as a stock for cherry trees and ash wood for the cabinetmaking by the local populations. The natural populating, in constant decrease since a few decades, is threatened by diverse anthropogenic, getting more and more stronger pressures, reducing the capacities of natural regeneration of the species. The study of the ecological housing environment is essential to have a good knowledge of the ecology of such species to determine the conditions in which it develops and to set up appropriate rules of management. Indeed, Prunus avium prefers the lemon-clayey grounds, rich in nitrogen and with a relationship C/N lower than 10. The grounds which it prefers are of acid PH (4.3-6.7). According to the obtained results, such species resists well enough in lower temperatures (T min = 3°C) and is very sensitive to the summer drought (T max = 24°C). At the level of Kroumirie, the presence of Prunus avium is rare below 150 m of height, while it is regularly found in cliff- nesting situation, between 180 and 620 m, with a maximum near 550 m. The obtained results show that such species has an affinity for the lower slopes (0- 10 %). Our results allow formulating relative recommendations on the valuation of Prunus avium: practise plantations of this species at the level of the most preferable stations for the production of the wood and the stock for the culture of the cherry tree in the Northwest of Tunisia. Keywords: Tunisia, Prunus avium, central housing environment, marginal housing environment, environmental factors. RésuméPrunus avium est une composante de la biodiversité dans les écosystèmes forestiers: ses fruits sont consommés par de nombreux oiseaux, sa qualité du bois et sa floraison précoce lui confèrent une grande valeur esthétique. Arbre à usages multiples, il est présent dans la forêt de la Kroumirie au nord-ouest de la Tunisie. Dans cette région, Prunus avium est une espèce exploitée comme porte-greffe pour le cerisier et comme bois pour l’ébénisterie par les populations locales. Les peuplements naturels, en constante diminution depuis quelques dizaines d’années, sont menacés par diverses pressions anthropiques, de plus en plus fortes, réduisant les capacités de régénération naturelle de l’espèce. L’étude de l’habitat écologique est indispensable pour disposer d’une bonne connaissance de l’autoécologie de cette espèce afin de déterminer les conditions dans lesquelles elle se développe et de mettre en place des règles appropriées de gestion. En effet, Prunus avium préfère les sols limono-argileux, riches en azote et avec un rapport C/N inférieur à 10. Les sols qu’il préfère sont de pH acides (4,3 à 6,7). D’après les résultats obtenus, cette espèce résisteassez bien au froid (Tmin = 3°C) et est très sensible à la sécheresse estivale (Tmax = 24°C). Au niveau de la Kroumirie, la présence de Prunus avium est rare au-dessous de 150 m d’altitude, alors qu’on le trouve régulièrement en situationripicole, entre 180 et 620 m, avec un maximum aux alentours de 550 m. Les résultats obtenus montrent que cette espèce a une affinité pour les pentes faibles (0-10%). Nos résultats permettent de formuler des recommandations relatives sur la valorisation de Prunus avium : pratiquer des plantations de cette espèce au niveau des stations les plus favorables pour la production du bois et de porte-greffe pour la culture du cerisier au nord-ouest de la Tunisie. Mots clés : Tunisie, Prunus avium, habitat central, habitat marginal, facteurs environnementaux.
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Robichaud, Alain y Norman Bertrand. "Analyse des niveaux d'ozone troposphérique à la station forestière de Duschenay (Québec). Bilan des années 1988 à 1991". Pollution atmosphérique, N°140 (1993). http://dx.doi.org/10.4267/pollution-atmospherique.4297.

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Akanvou, L., R. Akanvou, C. Koffi y D. Saraka. "Evaluation agronomique des variétés de maïs riches en protéines de qualité (MRP) en station et en milieu paysan dans la zone forestière de Côte d’Ivoire". Agronomie Africaine 21, n.º 3 (13 de julio de 2010). http://dx.doi.org/10.4314/aga.v21i3.56461.

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Corona, Christophe y Georges Rovéra. "Réchauffement climatique et dynamique forestière au 20e siècle : la pinède de reboisement sur éboulis de la Courbe (Massif des Grandes Rousses, Alpes du Nord, France)". 61, n.º 2-3 (3 de febrero de 2010): 181–94. http://dx.doi.org/10.7202/038991ar.

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Résumé Cette étude porte sur la dynamique, depuis le début du 20e siècle, d’une forêt de reboisement à pin noir d’Autriche (Pinus nigra ssp. nigricans) sur un talus d’éboulis, localisé dans le sud du massif des Grandes Rousses (Alpes du nord, France). Les différentes étapes de la dynamique forestière ainsi que la croissance des arbres étudiée par dendrologie révèlent les fluctuations climatiques du siècle écoulé (1896-2003). Une cartographie diachronique à grande échelle (1/5 000) au pas de temps bi-décennal, combinée à des prélèvements dendrologiques (157 arbres échantillonnés sur 12 placettes), font ressortir l’expansion rapide de la pinède entre 1950 et 1970, puis un ralentissement dans les décennies 1980, 1990 et le début des années 2000. Cette évolution concorde avec les variations des basses fréquences contenues dans les séries dendrochronologiques et météorologiques. La croissance du peuplement dans les décennies 1950-1970 coïncide avec une augmentation de 40 % de la croissance radiale et une succession d’étés frais et arrosés, d’après les séries climatiques de la station Besse en Oisans située à proximité du site. Inversement, depuis le milieu des années 1970, le peuplement connaît un déficit de croissance radiale de 20 % lié à une série d’étés chauds et secs, contribuant à une expansion ralentie. Cette sensibilité très forte des pins à la sécheresse pré-estivale (mai, juin et juillet) est confirmée, au pas de temps mensuel, par l’analyse dendroclimatologique. Dans un contexte d’épisodes de sécheresse intra-alpine de plus en plus prononcé, un phénomène récent encore peu abordé par les scénarios macroclimatiques, ces résultats conduisent à une série d’interrogations sur le devenir de ces peuplements et sur la fonction de sentinelle de ces forêts reboisées sur un substrat à faible capacité hydrique, capables d’enregistrer fortement les modifications des régimes pluviométriques et thermiques, encore mal modélisées en régions de montagnes.
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GÉGOUT, Jean-Claude, Christian PIEDALLU, Jean-François CORNU y Catherine CLUZEAU. "La cartographie prédictive des stations forestières : un nouvel outil au service du gestionnaire". Revue Forestière Française, n.º 1 (2008). http://dx.doi.org/10.4267/2042/17240.

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Vittecoq, Benoit, Patrick Lachassagne, Sandra Lanini y Jean Christophe Maréchal. "Évaluation des ressources en eau de la Martinique : calcul spatialisé de la pluie efficace et validation à l’échelle du bassin versant". 23, n.º 4 (20 de diciembre de 2010): 361–73. http://dx.doi.org/10.7202/045098ar.

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L’évaluation des différents termes du bilan hydrologique à l’échelle d’un bassin versant constitue l’un des points clés de la gestion des ressources en eau, et ce, tout particulièrement dans les régions montagneuses présentant de fortes variations spatiales de la pluviométrie et de l’évapotranspiration. Une méthodologie, basée sur le modèle classique de Thornthwaite, est proposée. Elle prend en compte les différents types de sols, l’occupation des sols ainsi que les effets topographiques et calcule les différents termes du bilan hydrologique (pluie, évapotranspiration, pluie efficace, etc.). L’approche a été mise en oeuvre à l’échelle du kilomètre carré, pour l’ensemble de l’île de la Martinique (1 080 km2), puis validée à l’échelle du bassin versant, en comparant les pluies efficaces calculées avec les débits mesurés aux stations de jaugeage. Malgré l’absence de calage des différents paramètres du modèle, les résultats sont très satisfaisants. Une surestimation de la pluie efficace est néanmoins observée pour la plupart des bassins versants utilisés pour la validation du modèle. Cet écart est attribué à une sous-estimation de l’évapotranspiration potentielle, la plupart des bassins versants comportant une composante forestière significative, non prise en compte dans le modèle.
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