Literatura académica sobre el tema "Théâtre – Histoire – Tunisie"

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Artículos de revistas sobre el tema "Théâtre – Histoire – Tunisie":

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Bromberger, Christian. "Méditerranée". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Resumen
Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).

Tesis sobre el tema "Théâtre – Histoire – Tunisie":

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Garfi, Mohamed al. "Les formes de compositions musicale dans le théâtre lyrique arabe (en Tunisie et au Proche-Orient)". Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040200.

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Resumen
Cette étude se propose d'analyser les principales formes de composition arabe tant instrumentale que vocale et de décrire les différentes étapes du théâtre lyrique arabe depuis l'avènement de l'art dramatique au Proche-Orient au milieu du dix-neuvième siècle jusqu'au théâtre chanté des frères Rahbani, ultime manifestation contemporaine de cet art. En suivant une démarche chronologique, nous avons pu observer l'évolution des formes de composition et des moyens d'expression inhérents, relever les caractéristiques essentielles du théâtre lyrique arabe et comparer les répliques locales aux formes originelles. Tantôt lyrique tantôt dramatique, sérieux ou populaire, encore même satirique ou de revue, le théâtre lyrique arabe n'a pas cessé de rechercher une structure particulière qui s'oppose nettement aux modèles exogènes, à l'opéra en particulier, par un mélange d'éléments parfois composites : une sorte de synthèse d'éléments locaux et étrangers. Son intérêt vient d'ailleurs de ce qu'il a su développer des formes de chant savant et populaire, paraliturgique et profane. A l'opposé du répertoire musical classique arabe qui a été en grande partie perpétué grâce au concours combien efficace du mécénat aristocratique et a une large diffusion consolidée par les nouveaux supports médiatiques, le sort du répertoire lyrique est bien diffèrent. Le mode déficient de la transmission orale des œuvres pionnières, la dispersion des manuscrits appartenant à des tiers transcripteurs, le peu d'intérêt observé par les autorités publiques pour la documentation et l'uniformité de la vie musicale souvent réduite à l'imitation de modèles en vogue ont activé sa perte.
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Rached, Fathi. "Un siècle de scénographie dans le théâtre tunisien, de l’amateurisme à la professionnalisation (1912-2012)". Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2020. http://www.theses.fr/2020STRAC010.

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Resumen
Cette thèse est une étude de la scénographie théâtrale en Tunisie, envisagée selon les dimensions artistique et pédagogique. Si l’on veut, comme nous le souhaitons, favoriser le développement de la scénographie théâtrale, il faut connaître son histoire et ses enjeux, et plus particulièrement s’intéresser à son mode d’apparition en Tunisie. Ce travail s’appuie sur une étude à la fois pratique et théorique, dans la perspective de la transmission de savoirs aux futures générations d’artistes. En effet, que recouvre la scénographie ? Quel cadre lui donner ? Nous répondons à ces questions en analysant des spectacles qui nous semblent déterminants, sur le plan scénographique, et en étudiant les étapes de la mise en place des formations à cette discipline artistique dans les institutions tunisiennes, depuis l’amorce de l’acte théâtral proprement tunisien, au début de XXème siècle, et jusqu’en 2012. Une approche pédagogique est par ailleurs proposée, en fin de thèse, avec l’idée d’améliorer les modes de transmission de cet art. Nous n’estimons guère offrir une solution définitive ou idéale pour faire évoluer l’apprentissage de la scénographie, mais nous tentons de proposer les pistes d’un chercheur, basées sur des observations, des expériences et une étude de pédagogies utilisées et expérimentées dans le monde
This PhD thesis is a study of theatrical scenography in Tunisia considered accroding to the artistic and educational dimensions. If we want, as we hope for it, to foster the development of the theatrical scenography, we should first know its history and its challenges, and more particularly get interested in its mode of apparition in Tunisia. This work is based on theory and practice at the same time, within the perspective of transmitting knowledge to the future generations of artists. Indeed, what does scenography cover? What framework should we give it? We answer these questions through analysing shows that seem to be determining as far as scenography is considered and also through studying the different steps of establishing the needed information for this artistic discipline in the Tunisian institutions, starting from the primer purely Tunisian theatrical act of the early XXth century and up to 2012. A pedagogical approach is then proposed at the end of thesis with the idea of ameliorating the modes of transmitting this art. We don’t estimate to provide a definitive or an ideal solution for developing the learning of scenography, but we try to put forth new perspectives for researchers based on observations, experiments, and a study of the pedagogies used and experienced in the field
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Trabelsi, Ons. "Sīdī Molière. Traductions et adaptations de Molière en arabe : Liban, Égypte, Tunisie (1847-1967)". Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100051.

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Resumen
La genèse du théâtre arabe moderne à la deuxième moitié du XIXe siècle est directement liée à la découverte du théâtre de forme occidentale. Dès ses débuts, il se trouve associé à Molière et à un discours prônant le redressement et la modernité. Notre étude tend, à partir d’un corpus composé des premières adaptations de Molière au Liban, en Égypte et en Tunisie, d’observer le processus d’appropriation du théâtre de Molière et la mise en place d’une tradition théâtrale moderne à travers une démarche composite consistant essentiellement à emprunter des procédés à la comédie moliéresque et aux formes héritées du théâtre traditionnel arabe afin de répondre à un horizon d’attente en constante mutation. Nous nous interrogerons sur le rôle du dramaturge français dans la construction d’un langage dramatique et sur son importance dans le répertoire du théâtre arabe moderne
The genesis of modern Arab theatre in the second half of the 19th century is directly linked to the discovery of theatre in its Western form. From its beginning, modern Arab theatre was associated with Molière and with a discourse advocating progress and recovery. Based on a corpus composed of the first adaptations of Molière in Lebanon, Egypt and Tunisia, this thesis traces the process of appropriation of the theatre of Molière and the establishment of a modern theatrical tradition. This tradition borrows from Molièresque comedy and inherited forms of traditional Arab theatre in order to respond to a horizon of reception in constant mutation. The thesis interrogates the role of French dramaturgy in the construction of a dramatic language and its importance in the reportoire of modern arab theatre
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Mejri, Mahmoud. "La nouvelle thématique dans le théâtre tunisien contemporain : Mutations socio-culturelles et activité théâtrale". Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040070.

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Libros sobre el tema "Théâtre – Histoire – Tunisie":

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Boukadida, Ridha. Trois études sur le théâtre tunisien. Tunis]: Institut supérieur d'art dramatique, 2011.

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Cherni, Anouar. L'impossible émergence du théâtre tunisien: 1956-2009. Paris: Edilivre-Aparis, 2010.

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Bechr, Fatma Ben. Le Théâtre municipal de Tunis. Tunis: Editions Finzi création, 1998.

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Bechr, Fatma Ben. Le Théâtre municipal de Tunis. Tunis: Editions Finzi création, 1998.

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