Littérature scientifique sur le sujet « Anthropologie de l’attention »

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Articles de revues sur le sujet "Anthropologie de l’attention":

1

Bidet, Alexandra. « Anthropologie de la présence et de l’attention chez Albert Piette ». Sociologie du travail 52, no 3 (1 septembre 2010) : 435–38. http://dx.doi.org/10.4000/sdt.15099.

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2

Bidet, Alexandra. « Anthropologie de la présence et de l’attention chez Albert Piette ». Sociologie du Travail 52, no 3 (juillet 2010) : 435–38. http://dx.doi.org/10.1016/j.soctra.2010.06.018.

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3

Denizeau, Laurent. « « Soirées miracles et guérisons » ». Ethnologies 33, no 1 (14 février 2012) : 75–93. http://dx.doi.org/10.7202/1007797ar.

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Résumé :
À Lyon (France), l’Association internationale des Ministères de guérison organise une fois par mois des « soirées miracles et guérisons». Ces soirées s’articulent autour, d’une part, un « porteur de charisme » qui peut être pasteur, prêtre, religieux ou simple laïc, à la fois garant de la cohésion des acteurs autour de l’effort de prière et médiateur des énergies divines et, d’autre part, une assemblée en souffrance, en attente de miracle et qui le reçoit comme une preuve, une validation empirique du croire. Les prières s’inscrivent dès lors comme une quête thérapeutique. Cette recherche souhaite interroger la diversité des itinéraires thérapeutiques actuels, ainsi que les rapports au corps et à la guérison qu’ils occasionnent. À mi-chemin entre une anthropologie de la maladie et une anthropologie du religieux, cet article souhaite contribuer à une meilleure compréhension des rapports entre savoir et croyance à l’oeuvre dans la guérison. Il souhaite interroger l’acte de croire dans le processus de construction de la guérison, en portant l’attention sur les modalités d’implication tout autant que sur les conditions d’acceptabilité, par les acteurs, du « miracle » de guérison.
4

Hameau, Philippe. « Geste graphique et technicité ». Anthropologie et Sociétés 36, no 3 (19 février 2013) : 57–75. http://dx.doi.org/10.7202/1014165ar.

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Résumé :
L’une des particularités du motif peint sur une paroi est qu’il garde la mémoire du geste qui l’a produit. Toutefois, il n’est possible de restituer valablement ce geste qu’en contextualisant le motif, c’est-à-dire en invoquant les paramètres culturels (des circonstances de sa production à son choix) et physiques (les matériaux dont il est fait et sa morphologie) qui ont accompagné sa réalisation. On l’étudie donc dans le cadre d’une anthropologie des gestes associés aux expressions picturales du Néolithique, sachant qu’avec le recul du temps, il nous faudra préalablement présenter des paramètres tels que les contraintes culturelles qui président à l’emplacement des figures et les pratiques rituelles à l’origine de l’expression graphique, sans oublier la topographie des parois et des sites. En effet, le scripteur perçoit, s’adapte et agit en fonction de cet environnement spatial et social. Quelques stratégies culturelles sont évoquées ici : l’attention portée à la microtopographie de la paroi selon les signes à tracer, le respect de certains des critères qui déterminent le choix du site comme l’humidité des lieux et la teinte orangée des parois, la volonté de peindre aux limites de l’accessibilité du site et de la paroi, l’usage d’outils-traceurs augmentant les capacités du corps. L’efficacité du geste consiste alors dans la réalisation d’un motif porteur de sens parce qu’il est en adéquation avec la perception culturellement orientée des caractéristiques de son support. De cette analyse structurée sur un terrain ancien, on tire des éléments de réflexion anthropologique pour d’autres pratiques graphiques, notamment contemporaines et urbaines (tags,street art, etc.)
5

Sautereau, Cyndie. « Répondre à la vulnérabilité : Paul Ricœur et les éthiques du care en dialogue ». Journal of French and Francophone Philosophy 23, no 1 (5 août 2015) : 1–20. http://dx.doi.org/10.5195/jffp.2015.672.

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Résumé :
Nous voudrions, à partir de la prise en compte de la vulnérabilité humaine et de la réponse à y apporter, questionner la conception ricœurienne de l’homme capable.Au sein des théories morales contemporaines dominantes, la vulnérabilité fait figure d’oubliée. C’est en effet plutôt à partir d’une conception de l’individu considéré comme autonome qu’elles se sont élaborées. Pourtant, qui n’a pas expérimenté au cours de sa vie des périodes de vulnérabilité ? L’enfance peut, à cet égard, être tenue pour paradigmatique. C’est cette expérience humaine universelle de fragilité que les éthiques du care visent à penser et dont elles cherchent à rendre visible la valeur morale. Elles partent du constat qu’en tant qu’êtres incarnés, nous avons besoin des autres pour satisfaire nos besoins fondamentaux. Humains, nous sommes des êtres de relation : nous dépendons des autres. Ce qui nous porte, ce qui permet à la vie de se maintenir, c’est le souci (care) dont d’autres font preuve à notre endroit, c’est-à-dire l’attention à nos besoins et l’activité pratique consistant à y répondre, autrement dit, une « capacité de care ».Or, si Ricœur, dans son anthropologie philosophique, fait certes la part belle à la vulnérabilité, s’il reconnaît que l’homme capable est tout autant homme fragile, quelle réponse, cependant, apporte-t-il à la vulnérabilité ? Certes, il nous montre que les capacités humaines (à dire, à faire, à se raconter, à être responsable) peuvent faire place à leur envers : la capacité à dire, par exemple, se muer en impuissance à maîtriser le verbe. Il reconnaît donc tout à fait que l’actualisation de nos pouvoirs n’est pas garantie. Mais, voudrions-nous demander : qu’est-ce qui vient alors soutenir ces pouvoirs ? Qu’est-ce qui leur permet de se déployer ? Qu’est-ce qui leur permet de se restaurer ? Prenant appui sur les éthiques du care, nous nous proposons de développer l’hypothèse selon laquelle l’actualisation des pouvoirs du soi dépendrait, fondamentalement, de relations de care. Les différentes capacités humaines que Ricœur décline et déploie ne sont-elles pas, au fond, soutenues par la capacité de care dont dépend, du début à la fin de sa vie, le soi ?
6

Missonnier, Sylvain. « Du postnatal au périnatal : une métamorphose professionnelle et anthropologique ? » Spirale N° 106, no 2 (13 septembre 2023) : 29–41. http://dx.doi.org/10.3917/spi.106.0029.

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Résumé :
La pratique de psychologue en maternité ces dernières décennies témoigne d’une transformation chronologique essentielle : seulement centrée sur le seul postnatal au départ, le « savoir » et la clinique du bébé sont devenus périnataux. Au cœur du processus de parentalité, l’anticipation parentale est désormais périnatale et l’attention soignante mérite de se mettre au diapason. Cette redéfinition professionnelle correspond plus largement à une véritable métamorphose anthropologique de la chronologie de l’émergence de l’ontologie humaine et des premiers liens.
7

Tantchou, Josiane Carine. « « Dire » la maladie du malade : à propos d’un service de médecine interne au Cameroun (note de recherche) ». Hors-thème 37, no 3 (13 mars 2014) : 269–89. http://dx.doi.org/10.7202/1024090ar.

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Résumé :
Cette note décrit le fonctionnement du service de médecine interne d’un hôpital de référence du Grand Nord du Cameroun. Nous nous intéressons spécifiquement aux rondes, ce rituel qu’on retrouve dans la plupart des hôpitaux et qui n’a cependant pas vraiment bénéficié de l’attention des anthropologues. Le but de cette note est de montrer comment la maladie (disease) y est faite (enact) à travers une façon particulière de « voir », d’« écrire », de « parler ». Ce faisant, nous rapportons des éléments d’observations qui rendent pertinente l’étude de la médecine en tant que pratique nécessairement « située ».
8

Laroche-Gisserot, Florence. « Le mariage indien moderne. De la compensation matrimoniale à la dot ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 61, no 3 (juin 2006) : 675–93. http://dx.doi.org/10.1017/s039526490000322x.

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Résumé :
RésuméLes problèmes de dot en Inde et les violences qu’ils suscitent, de même que les questions démographiques, ont depuis un certain temps attiré l’attention de l’opinion publique et donné à penser que la dot était dans ce pays un fléau social. En fait, et malgré les recommandations des livres sacrés, la pratique des dots est assez nouvelle en Inde. Voici quarante ans, le gros de la population recevait des compensations matrimoniales. Ce basculement en faveur de la dot est un fait anthropologique majeur qui n’est pas inconnu dans l’histoire : l’Antiquité classique, l’Europe occidentale des XIe-XIIe siècles ont connu le même schéma. L’expérience indienne est donc riche d’interrogations.
9

Doat, David. « Vers une ontologie humaine intégratrice du handicap et de la fragilité en contexte évolutionniste ». Articles spéciaux 69, no 3 (8 juillet 2014) : 549–83. http://dx.doi.org/10.7202/1025868ar.

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Résumé :
Résumé Dans un contexte actuel où les questions relevant du domaine de l’éthique monopolisent une grande partie de l’activité philosophique en ce début de xxie siècle, cette étude souhaite démontrer que la thèse de la différence anthropologique et de la valeur inconditionnelle de toute personne humaine — quelles que puissent être ses fragilités — reste éminemment légitime et philosophiquement robuste en contexte évolutionniste. Pour y parvenir par une voie différant, sur le plan de la méthode, d’un raisonnement a priori (transcendantal) de type kantien, l’apport épistémologique de la phénoménologie de la vie de Michel Henry et la philosophie de la biologie de Hans Jonas font l’objet d’une réinterprétation associée aux travaux de Dominique Lambert sur l’hylémorphisme aristotélicien. Une fois repensée en régime darwinien et en tenant compte des apports critiques d’Henry et Jonas, une réactualisation contemporaine de la théorie des formes permet de mettre en évidence les raisons pour lesquelles, d’un point de vue anthropologique et ontologique, l’attention existentielle aux membres plus vulnérables de nos sociétés peut être considérée comme un indice majeur de la découverte par l’homme de la dignité de son être spécifiquement inachevé et vulnérable.
10

Bordin, Guy. « La nuit inuit. Éléments de réflexion ». Études/Inuit/Studies 26, no 1 (19 octobre 2004) : 45–70. http://dx.doi.org/10.7202/009272ar.

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Résumé :
Résumé Alors que les ethnographes ont de tout temps eu l’attention retenue par l’hiver et l’été arctiques, justifiant par des caractéristiques climatiques «extrêmes» leurs analyses souvent déterministes des modes de vie inuit qu’ils ont décrits, ils ont en revanche peu écrit sur la nuit vécue au quotidien et ses représentations. La nuit inuit reste méconnue. Dans le présent article, notre objectif principal est de proposer quelques éléments de réflexion susceptibles de conduire à une perception renouvelée de cette période du nycthémère. Pour ce faire, nous confrontons des écrits d’Inuit originaires de l’Arctique oriental canadien à ce que nous enseignent les récits ethnographiques classiques et des études ethnologiques plus récentes. Au-delà de la mise en évidence d’une série de paradoxes (ou apparaissant comme tels), nous cherchons à montrer qu’une vision simplificatrice — la longue huit hivernale versus le bref été lumineux — n’a que peu à voir avec le vécu et les représentations inuit. Il s’agit plus généralement de contribuer à faire de la nuit un objet anthropologique.

Thèses sur le sujet "Anthropologie de l’attention":

1

Yoboue, Tchindji Houphouët Félix. « Le viol comme arme de guerre en Côte d'Ivoire (1999-2010) : champs de causalité entre brisures, savoirs contaminés et vérités en ruines. Le plain-chant des narrations ethnophotographiques et du hors texte de 13 survivantes du peuple guéré à DUEKOUÉ en contre-configuration ». Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2022. http://www.theses.fr/2022LORR0276.

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Résumé :
Les récits de treize survivantes de viols subis à Duékoué, ville carrefour située à l’ouest de la Côte d’Ivoire, lors du coup d'État manqué du 19 Septembre 2002 jusqu’à la crise postélectorale de 2010, constituent la matrice narrative de cette thèse. Ces 13 femmes sont des survivantes, avec la sidération, l’angoisse, le désespoir des survivantes. Où trouver encore du sens quand on a vécu ce qu’elles ont vécu et vivent encore dix ans après ? En effet, les survivantes continuent de vivre un enfer permanent, victimes de formes lentes de violence invisibles, une forme subtile d’assassinat social par la mise à l’écart brutale de la famille et de la communauté, par la forme à dominante patriarcale et occidentale d’une réparation irrespectueuse ; des conséquences collatérales peu ou pas documentées voire déniées. Cette thèse tente de proposer des réponses à trois questions essentielles. Comment faire avancer une recherche formellement plus complexe que d’autres, avec une réflexion sur les tensions de l‘histoire ivoirienne, les récits des survivantes, le récit du chercheur-baoulé-survivant et des propositions esthétiques pour l’écrire ? Comment écrire scientifiquement sur la vulnérabilité, la détresse et la souffrance et rester à distance ? Comment restituer le chant des acteurs-témoins dans l’expression d’origine, de ces « vies minuscules », avec la parole hachée, balbutiante, et le faire dialoguer avec la parole, vigoureuse et affirmée, d’un chercheur qui découvre en fait lors d’une journée particulière qu’il est en quête de sa propre parole, celle d’un survivant, enfouie dans une gangue cadenassée. Il fallait pouvoir rendre l’adhésion du chercheur baoulé à sa propre parole et dans sa foi en les capacités du langage à atteindre l’intouchable et l’invisible, un monde perdu, le passé lui-même. Il fallait tenter de multiplier les détours narratifs et les pistes formelles, et prendre le risque de rejeter certains codes universitaires narratifs pour rendre palpable, en transformant une matière difficilement maniable et hautement inflammable, cette violence vécue par les survivantes dont Michel Foucault dit : « que le plus dangereux dans la violence est sa rationalité ». C’est aussi pour cette raison, pour faire ressentir plus particulièrement les ondes lointaines de cette souffrance exprimée et la certitude que nous passons souvent à côté, que le choix des narrations photoethnographiques s’est imposé. Pour confronter chacun des lecteurs à sa propre relation à l’image et d’une manière plus subtile aux récits des survivantes. Ce qui amène ensuite à réfléchir sur l’énigme des apparences. « Lire ce qui n’a jamais été écrit ». Pour dire la violence dans sa vérité, seule une anthropologie de l’attention qui entrerait en résonance avec ce qu’Édouard Glissant nomme « les profonds », désignant ainsi « ce qu’il y a réellement, concrètement, en dessous de l’apparence », permet de ressusciter la dignité de vie des survivantes et rendre légitime l’écriture d’un chercheur engagé
The accounts of thirteen survivors of rapes suffered in Duékoué, a crossroads city located in the west of Côte d'Ivoire, during the failed coup d'état of September 19, 2002 until the postelectoral crisis of 2010, constitute the narrative matrix of this thesis. These 13 women are survivors, with the astonishment, the anguish, the despair of the survivors. Where can we still find meaning when we have lived what they have lived and are still living ten years later? Indeed, the survivors continue to live in a permanent hell, victims of slow forms of invisible violence, a subtle form of social assassination through the brutal exclusion from family and community, through the predominantly patriarchal and of a disrespectful reparation; collateral consequences little or not documented or even denied. This thesis tries to propose answers to three essential questions. How to advance a research that is formally more complex than others, with a reflection on the tensions of Ivorian history, the stories of the survivors, the story of the researcher-baoulé-survivor and aesthetic proposals for writing it? How to write scientifically about vulnerability, distress and suffering and stay at a distance? How to restore the song of the actor-witnesses in the original expression, of these "tiny lives", with the choppy, stammering speech, and make it dialogue with the vigorous and assertive speech of a researcher who actually discovers during a particular day that he is in search of his own word, that of a survivor, buried in a padlocked gangue. It was necessary to be able to render the adhesion of the baoulé researcher to his own word and in his faith in the capacities of language to reach the untouchable and the invisible, a lost world, the past itself. It was necessary to try to multiply the narrative detours and the formal tracks, and to take the risk of rejecting certain narrative university codes in order to make palpable, by transforming a material that is difficult to handle and highly flammable, this violence experienced by the survivors of whom Michel Foucault says: "that what is most dangerous in violence is its rationality”. It is also for this reason, to make the distant waves of this suffering expressed more particularly felt and the certainty that we often overlook, that the choice of photoethnographic narrations was imposed. To confront each of the readers with their own relationship to the image and, in a more subtle way, to the stories of the survivors. Which then leads us to reflect on the enigma of appearances. “Read what has never been written”. To see violence in its truth, only an anthropology of attention that would resonate with what Edouard Glissant calls "the deep", thus designating "what there is really, concretely, below the appearance », making it possible to resuscitate the dignity of life of the survivors and to legitimize the writing of a committed researcher

Chapitres de livres sur le sujet "Anthropologie de l’attention":

1

Cantin, Serge. « Le Désenchantement du Monde et l’Avenir du Christianisme selon Fernand Dumont ». Dans The Paideia Archive : Twentieth World Congress of Philosophy, 42–48. Philosophy Documentation Center, 1998. http://dx.doi.org/10.5840/wcp20-paideia199836613.

Texte intégral
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Résumé :
Dans cette communication, je voudrais donner un aperçu de la pertinence de la pensée de Fernand Dumont (philosophe, sociologue, théologien et chrétien engagé) en regard des débats contemporains en philosophie de la religion. La première partie fait ressortir les principaux points de désaccord entre Dumont et Marcel Gauchet (Le désenchantement du monde, 1985) quant à la place et au rôle du christianisme dans une société sécularisée. Alors que, selon Gauchet, la religion chrétienne est destinée à ne subsister que sous le mode d’une expérience personnelle et subjective du sacré, Dumont s’efforce de penser les conditions d’ "une conversion de la pensée chrétienne" au drame de l’histoire et du salut collectif. Dans la seconde partie, je centre l’attention sur les idées et les valeurs qui fondent la foi anthropologique de Dumont. La comparison avec "l’humanisme transcendental" de Luc Ferry (dans L’homme-Dieu ou le sense de la vie) permet de saisir, par contraste, toute la profondeur et l’originalité de l’humanisme dumontein, ainsi que sa portée critique à l’égard des humanismes désincarnés.

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