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Wongbe Beralex, Boueunan, Bongoua-Devisme Affi Jeanne et Bahan Lemonou Franck Michaël. « Étude des propriétés physico-chimiques et microbiologiques d'un biofertilisant élaboré à partir d’un mélange de résidus de récolte, d'un consortium bactérien et de roche phosphatée ». European Scientific Journal, ESJ 20, no 18 (30 juin 2024) : 148. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n18p148.
Texte intégralRésumé :
En Afrique subsaharienne, la croissance démographique rapide et la dégradation des sols ont entraîné une forte utilisation d'engrais chimiques pour soutenir l'agriculture. Cependant, cette dépendance aggrave la dégradation des sols et génère des problèmes environnementaux. Pour contrer cela, l'utilisation de biofertilisants émerge comme une solution durable pour maintenir la fertilité des sols tout en réduisant l'impact environnemental. Ainsi, différentes formulations de bio-phospho-composts ont été développées, combinant du phosphate naturel du Maroc (RPM), des résidus de récolte de riz et de maïs, et des bactéries solubilisatrices de phosphate (BSP). L'objectif était d'évaluer leurs propriétés pour estimer leur valeur fertilisante. L'analyse des bio-phospho-composts finaux produits (C1, C2, C3) a montré qu'ils avaient un pH légèrement alcalin, des rapports C/N entre 10,20 et 11,81, et étaient riches en éléments fertilisants tels que le phosphore, l'azote, le potassium et le carbone. Cependant, aucune différence significative n'a été observée entre les paramètres chimiques des différents composts, suggérant que la dose de RPM n'a pas eu d'effet discernable. De plus, nos résultats ont révélé que les composts ont atteint un état de maturité avec plus de 80% de taux de décomposition en seulement cinq semaines de compostage, indépendamment de la dose de RPM, probablement en raison de la présence d'un consortium bactérien. Cette étude montre que l'ajout de bactéries solubilisatrices de phosphate a considérablement réduit la durée de compostage à 5 à 6 semaines, au lieu de 4 à 7 mois. Les bio-phospho-composts obtenus présentent des propriétés amendantes et fertilisantes, qui doivent être vérifiées par des cultures en conditions de champ. In sub-Saharan Africa, rapid population growth and soil degradation have led to heavy use of chemical fertilizers to support agriculture. However, this dependency exacerbates soil degradation and generates environmental problems. To counter this, the use of biofertilizers is emerging as a sustainable solution to maintain soil fertility while reducing environmental impact. Thus, various formulations of bio-phospho-composts have been developed, combining natural phosphate from Morocco (RPM), rice and maize crop residues, and phosphate-solubilizing bacteria (BSP). The objective was to evaluate their properties to assess their fertilizing value. The analysis of the final bio-phospho-composts produced (C1, C2, C3) showed that they had a slightly alkaline pH, C/N ratios between 10.20 and 11.81, and was rich in fertilizing elements such as phosphorus, nitrogen, potassium, and carbon. However, no significant difference was observed in the chemical parameters of the different composts, suggesting that the RPM dose had no discernible effect. Furthermore, our results revealed that the composts reached a mature state with an over 80% decomposition rate in just five weeks, regardless of the RPM dose, likely due to the presence of a bacterial consortium. This study shows that the addition of phosphate-solubilizing bacteria significantly reduced the composting duration to 5 to 6 weeks, instead of 4 to 7 months. The resulting bio-phospho-composts exhibit amending and fertilizing properties, which need to be verified through field crop trials.
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BOIU-SICUIA, Oana Alina, Radu Cristian TOMA, Camelia Filofteia DIGUTA et Calina Petruta CORNEA. « PROMISING BIOFERTILISING ENDOPHYTES AS HUMAN PATHOGENS SUPPRESSOR AGENTS ». AgroLife Scientific Journal 12, no 1 (30 juin 2023) : 21–27. http://dx.doi.org/10.17930/agl202313.
Texte intégralRésumé :
Despite the very good consideration regarding organic products, studies have shown that leafy vegetables can harbour various human pathogens. Preventive methods are the best way to reduce such risks and protect the quality and image of organic agricultural production. The aim of this study was to suppress important human pathogens, bacteria, and yeasts, by using selected plant beneficial endophytes. Results have showed that among 23 bacterial endophytes isolated from different plant species, some isolates revealed antimicrobial activity. Reference strains of Bacillus cereus and methicillin-sensitive Staphylococcus aureus were inhibited by 34.8% of the isolated endophytes, while the methicillin-resistant strain of S. aureus was inhibited by 30.4% of the tested endophytes. Enterococcus faecalis and Salmonella typhimurium were more reticent, and only 8.7% of the isolated endophytes were able to inhibit their growth. The pathogenic reference yeasts, Candida albicans and C. parapsilosis were inhibited by 17.4% and 21.7%, respectively of the isolated endophytes. In vitro results revealed certain strains of endophytic bacteria as potential inoculants, to provide not only plant growth promotion but also protection against important pathogenic contaminants.
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Surtiningsih, Tini, Farida Farida et Tri Nurhariyati. « BIOFERTILISASI BAKTERI Rhizobium PADA TANAMAN KEDELAI (Glycine Max (L) Merr.) ». Berkala Penelitian Hayati 15, no 1 (31 décembre 2009) : 31–35. http://dx.doi.org/10.23869/bphjbr.15.1.20097.
Texte intégralRésumé :
The aim of this research want to know the influence of the addition Rhizobium bacteria species, dose and combination both of them, on growth and production of soybean plant (Glycine max (L) Merr.). The experimental design of this research was factorial design 4×2, 4 species of Rhizobium are R1 = Rhizobium japonicum, R2 = R. phaseoli, R3 = R. leguminosarum, R4 = mixture of R1, R2 and R3, and 2 dose of inoculan Rhizobium (D1 = 5 m/plant, and D2 = 10 ml/plant) with 1010 sel bacteria/ml and 5 replications. Independent variable is species of Rhizobium, dose of inoculan Rhizobium and combination both of them. Dependent variable is dry matter, weight of nodules and dry weight of seeds. The harvest data was analyzed by Kruskal-Wallis Test using 5% level (a = 0.05) followed by Mann- Whitney Test. The result of this research show that species of Rhizobium, dose of inoculan Rhizobium and combination both of them present insignificant result (a > 0.05) on soybean growth and production, but the mixture of Rhizobium species with high level dose of bacteria, present better result than single species with low dose of bacteria.
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Goulet, Frédéric, Daniela Guerrero Poveda et Sylvanus Odjo. « Les biofabriques, nouveaux modèles de production et d’accès aux intrants agricoles en Amérique latine ». Perspective, no 64 (2024) : 1–4. http://dx.doi.org/10.19182/perspective/37596.
Texte intégralRésumé :
La production et l’accès à des alternatives aux intrants chimiques attirent l’intérêt de nombreux acteurs liés au secteur agricole. En Amérique latine, l’essor des intrants d’origine biologique, ou biointrants - incluant biofertilisants, biocontrôle et biostimulants – offre des réponses à ces enjeux (voir Perspectives 55, mai 2021). Cet essor est le résultat d’années d’investissements publics en recherche et développement, et du dynamisme des industries pour développer des technologies à base de microorganismes, de macroorganismes ou d’extraits végétaux. Mais il passe également par un autre chemin que celui des circuits traditionnels de l’agrofourniture : des ONGs, des réseaux d’agriculteurs, des politiques publiques et même certains acteurs privés encouragent la production de biointrants au sein de biofabriques, directement au sein des exploitations agricoles ou d’installations communautaires en zone rurale. Ces biofabriques ouvrent des perspectives nouvelles, mais font face dans le même temps à des défis majeurs.
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Tetchi Nicaise, AKEDRIN, AKOTTO Odi Faustin, COULIBALY Kiyinlma, COULIBALY Siendou et AKE Sévérin. « Monographie des légumineuses subligneuses utilisées pour la biofertilisation des sols dans les jachères améliorées dans la localité de Daloa (Côte d’Ivoire) ». Journal of Animal & ; Plant Sciences 45, no 1 (31 juillet 2020) : 7771–82. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v45-1.2.
Texte intégralRésumé :
En Côte d’Ivoire, la pratique des cultures continues ont entrainé la pauvreté des sols en éléments nutritifs. Pour y remédier, des espèces biofertilisantes en occurrence des légumineuses subligneuses susceptibles d’influer sur la disponibilité des éléments nutritifs du sol sont plantées dans les jachères pour la restauration de la fertilité. Cette étude sur le recensement et les caractérisations physicochimiques du sol et des légumineuses utilisées comme biofertilisants dans les jachères a été conduite à Daloa. La caractérisation chimique de ces végétaux réalisée sur la biomasse racinaire fraîche séchée au four à 65 ° C pendant 72 heures puis broyée et tamisée à une taille de 0,5 mm, a porté sur les compositions totales en N, P, K, Ca, Mg, C. Quant à la caractérisation du sol prélevé à 0-20 cm de profondeur, le pH, la taille des particules, l'azote total, le carbone organique, la capacité d'échange de cations, le P disponible et le K ont été analysés. Les prospections réalisées dans ces jachères ont permis de recenser six légumineuses comme culture principale. Ces légumineuses sont majoritairement lianescentes (50 %) contre 33 % des herbacées et 17 % d’arbustes. Les caractéristiques chimiques des racines ont montré une différence de variation de l’azote du témoin (13 g kg-1) à Mimosa invisa (28 g kg-1). Les concentrations en N, P, K ont été maximales chez toutes les espèces à l’exception de Mimosa invisa et Crotalaria retusa. Cependant, chez Mimosa invisa , les fortes concentrations de CEC (13,8 cmolc kg-1) et de C (27 g kg-1) ont été enregistrées. Les concentrations de phosphores (3,9 g kg-1) et de potassiums (53 g kg-1 de K) sont maximales respectivement chez Crotalaria goreensis et Crotalaria retusa. L’usage de ces légumineuses semble indispensable à la reconstitution de l’horizon humifère donc susceptible de restaurer la fertilité du sol et d’influencer la croissance des cultures non fixatrice d’azote. Akedrin et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.45 (1): 7771-7782 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v45-1.2 7772 Monograph of subligneous legumes used for the biofertilization of improved fallow soils in Daloa (Côte d'Ivoire). ABSTRACT In Côte d'Ivoire, the practice of continuous cultivation has resulted in poor nutrient soils. To remedy this, biofertilizing species in the form of subligneous legumes likely to influence the availability of soil nutrients are planted in fallows to restore fertility. This study on the inventory and the physico-chemical characterization of the legume species used as biofertilizers in fallows was conducted in Daloa. The chemical characterization of these plants was carried out from fresh root biomass dried in an oven at 65 ° C for 72 hours then crushed and sieved to a size of 0.5 mm. The analyses related to the total compositions in N, P, K, Ca, Mg, and C. As for the characterization of the soil sampled at 0-20 cm depth, the pH, the size of the particles, Total nitrogen, the organic carbon, cation exchange capacity, available P and K were analyzed. Surveys carried out in these fallows have identified six legumes as the main crop. These legumes are mostly creeping (50%) compared to herbaceous (33%) and shrubs (17%). The chemical characteristics of the roots showed a difference in the variation of nitrogen from the control (13 g kg-1) to Mimosa invisa (28 g kg-1). Concentrations of N, P, and K were highest in all species except Mimosa invisa and Crotalaria retusa. However, in Mimosa invisa, high concentrations of CEC (13.8 cmolc kg-1) and C (27 g kg-1) were recorded. Similarly, the concentrations of phosphorus (3.9 g kg-1) and potassium (53 g kg-1 K) are maximum in Crotalaria goreensis and Crotalaria retusa respectively. The use of these legumes seems essential to the reconstruction of the humiferous horizon, therefore likely to restore soil fertility and influence the growth of crops that do not fix nitrogen.
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Nadège, Adoukè Agbodjato, Amogou Olaréwadjou, Agossou Noumavo Pacôme, Dagbénonbakin Gustave, Adio Salami Hafiz, Karimou Rachidath, Alladé Abdel-Madjid et al. « Biofertilising, plant-stimulating and biocontrol potentials of maize plant growth promoting rhizobacteria isolated in central and northern Benin ». African Journal of Microbiology Research 12, no 28 (28 juillet 2018) : 664–72. http://dx.doi.org/10.5897/ajmr2018.8916.
Texte intégral
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Alain, Djinet Ignassou, Nguinambaye Mberdoum Memti et Nyssia Baissana. « Effets Des Fientes De Poulet Sur La Croissance Et Le Rendement Du Gombo (Abelmoschus Esculentus L. Moench) Cultivé A Bongor Au Tchad ». International Journal of Progressive Sciences and Technologies 46, no 1 (22 août 2024) : 35. https://doi.org/10.52155/ijpsat.v46.1.6485.
Texte intégralRésumé :
La baisse de la fertilité des sols agricoles causée par l’emploi inadéquat des engrais minéraux représente une contrainte fondamentale à la production agricole. L’utilisation des biofertilisants constitue des méthodes durables de fertilisation qui augmentent le rendement des cultures tout en protégeant l’environnement.L’objectif de cette étude est d’évaluer l’effet de dose des fientes de poulets sur la croissance et le rendement du gombo (Abelmoschus esculentus L. Moench) cultivé à Bongor. Pour cela, la longueur de la tige principale et le diamètre au collet ont été mesurés et les vitesses de croissance associées ont été calculées. Le nombre des feuilles, des fleurs et des fruits, le nombre de graines par fruit, le nombre de graines par loge ont été relevés. Le poids des fruits frais, la matière sèche des fruits, la matière fraiche de la biomasse aérienne, la matière sèche de la biomasse aérienne ont été notés et le rendement a été estimé. Des résultats ont montré qu’ en dehors du rendement en fruit, les plants ayant reçu 40 g de fientes de poulet ont présenté des meilleures performances pour tous les paramètres évalués. Ces résultats confirment l’importance de la fiente de poulets dans la fertilisation des sols et permettent de dire à l’état actuel des connaissances, que la fiente de poulets pourrait être une alternative dans la lutte contre l’appauvrissement des sols et la restauration des terres dégradées mais également un élément en faveur de la politique de sauvegarde environnementale.
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Gonçalves, Ana L. « The Use of Microalgae and Cyanobacteria in the Improvement of Agricultural Practices : A Review on Their Biofertilising, Biostimulating and Biopesticide Roles ». Applied Sciences 11, no 2 (19 janvier 2021) : 871. http://dx.doi.org/10.3390/app11020871.
Texte intégralRésumé :
The increase in worldwide population observed in the last decades has contributed to an increased demand for food supplies, which can only be attained through an improvement in agricultural productivities. Moreover, agricultural practices should become more sustainable, as the use of chemically-based fertilisers, pesticides and growth stimulants can pose serious environmental problems and lead to the scarcity of finite resources, such as phosphorus and potassium, thus increasing the fertilisers’ costs. One possible alternative for the development of a more sustainable and highly effective agriculture is the use of biologically-based compounds with known activity in crops’ nutrition, protection and growth stimulation. Among these products, microalgal and cyanobacterial biomass (or their extracts) are gaining particular attention, due to their undeniable potential as a source of essential nutrients and metabolites with different bioactivities, which can significantly improve crops’ yields. This manuscript highlights the potential of microalgae and cyanobacteria in the improvement of agricultural practices, presenting: (i) how these photosynthetic microorganisms interact with higher plants; (ii) the main bioactive compounds that can be isolated from microalgae and cyanobacteria; and (iii) how microalgae and cyanobacteria can influence plants’ growth at different levels (nutrition, protection and growth stimulation).
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El Husseini, Monir M., Helmut Bochow et Helmut Junge. « The biofertilising effect of seed dressing with PGPRBacillus amyloliquefaciensFZB 42 combined with two levels of mineral fertilising in African cotton production ». Archives Of Phytopathology And Plant Protection 45, no 19 (décembre 2012) : 2261–71. http://dx.doi.org/10.1080/03235408.2012.673259.
Texte intégral
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Assiri, Patrice Kouamé, Francis Yao Kouassi et Djako Franck N’Tapké. « Effet comparé d’un biofertilisant et d’un fertilisant de synthèse sur les performances agronomiques et phytosanitaires de deux variétés de tomate (Lycopersicum esculentum Mill) ». Journal of Applied Biosciences 197 (30 juin 2024). https://doi.org/10.35759/jabs.197.2.
Texte intégralRésumé :
Objectif : La production de la tomate constitue une activité lucrative pour plusieurs jeunes ivoiriens. Cependant, ils utilisent abusivement les fertilisants de synthèse qui causent d’énormes problèmes aux sols et à l’homme. Ce travail vise à réduire l’usage des intrants chimiques en vue d’une production durable de la tomate au profit des biofertilisants. Méthodologie et Résultats : L’effet de deux types de fertilisant [biofertilisant “AGRI-BIONAT” et le fertilisant de synthèse NPK 15-15-15] a été testé sur les paramètres de croissance (taux de germination, nombre de feuilles, hauteur et diamètre au collet des plants) et l’état sanitaire des plants de deux variétés de tomate (Cobra 26 F1 et Lindo) en pépinière et en pleine culture (hors sol) selon un dispositif split splot. Les deux types de fertilisant ont amélioré les paramètres agronomiques des tomates aussi bien en pépinière qu’en pleine culture. Cependant, la hauteur (55 cm), le nombre de feuilles (94) et le diamètre au collet (8 mm) des plants cultivés avec “AGRI-BIONAT” ont été plus élevés que ceux des plants cultivés avec le NPK (34 cm ; 43 et 6 mm respectivement pour la hauteur le nombre de feuilles et le diamètre au collet). En outre, le taux de germination des semences a été amélioré de 15 % de plus par “AGRI-BIONAT”. Les plants de tomate fertilisés avec le biofertilisant “AGRI-BIONAT” ont enregistré de faibles incidences (34 %) des maladies de flétrissement, de jaunissement et de brûlures des feuilles que ceux ayant reçu le fertilisant de synthèse (67 %). La variété Cobra 26 F1 cultivée avec le biofertilisant “AGRI-BIONAT” a même développé une résistance à ces maladies. Conclusion et application des résultats : Le biofertilisant AGRI-BIONAT améliore les performances agronomiques et sanitaires des tomates. La culture de la variété Cobra 26 F1 avec ce biofertilisant serait propice pour une production durable de la tomate. Mots clés : “AGRI-BIONAT”, Croissance végétative, Fertilisant de synthèse, État sanitaire, Tomate 20813 Kouame et al., J. Appl. Biosci. Vol: 197, 2024 Effet comparé d’un biofertilisant et d’un fertilisant de synthèse sur les performances agronomiques et phytosanitaires de deux variétés de tomate (Lycopersicum esculentum Mill) Comparative effect of Biofertilizer and synthetic fertilizer on agronomic and phytosanitary performance of two tomato (Lycopersicum esculentum Mill) varieties ABSTRACT Objective: Tomato production is a lucrative business for many young Ivorians. However, they make excessive use of synthetic fertilizers, which cause enormous problems for soil and humans. This work aims to reduce chemical inputs for sustainable tomato production in favor of biofertilizers. Methodology and results: The effect of two types of fertilizer (“AGRI-BIONAT” biofertilizer and NPK 15-15-15 synthetic fertilizer) was tested on growth parameters (germination rate, number of leaves, plant height and collar diameter) and health status of plants of two tomato varieties (Cobra 26 F1 and Lindo) in nursery and in field (soilless), using a split-splot design. Trial was regularly inspected, and incidence and severity of disease symptoms were determined. Both types of fertilizer improved the agronomic parameters of tomatoes, both in nursery and in field. However, height (55 cm), number of leaves (94) and crown diameter (8 mm) of plants grown with “AGRI-BIONAT” were higher than those grown with NPK (34 cm; 43 and 6 mm for height, number of leaves and crown diameter respectively). In addition, germination rate of seeds was improved by 15% more by “AGRI-BIONAT”. Tomato plants fertilized with “AGRI BIONAT” biofertilizer recorded lower incidences (34%) of wilt, yellowing and leaf blight than those fed synthetic fertilizer (67%). Cobra 26 F1 variety grown with “AGRI-BIONAT” biofertilizer even developed resistance to these diseases. Conclusion and application of findings: AGRI-BIONAT biofertilizer improves agronomic and sanitary performance of tomatoes. Growing Cobra 26 F1 variety with this biofertilizer would be conducive to sustainable tomato production. Keywords: “AGRI-BIONAT”, Chemical fertilizer, Health status, Tomato, Vegetative growth.
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Taiek, Taha, Adia Boutaleb, Bouchaib Bahlaouan, Amal El Jaafari, Hssein Khrouz, Amal Safi et Said El Antri. « Valorisation de déchets de poisson alliés à des rejets brassicoles en vue d’obtenir un biofertilisant ». Déchets, sciences et techniques, no 68 (2014). http://dx.doi.org/10.4267/dechets-sciences-techniques.147.
Texte intégral
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« Test comparatif du biofertilisant fertinova sur du mil (Pennisetum glaucum (L.) R.Br) avec les pratiques paysannes dans les communes de SAGNA et MISSIRAH WADENE au Sénégal ». Journal of Chemical, Biological and physical sciences 15, no 1 (10 février 2025). https://doi.org/10.24214/jcbps.b.15.1.08999.
Texte intégral
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Bertrand, Wang-Bara, Amedep David, Housseini Djida Jacques et Mana Gaston Guiwa. « Evaluation des effets des doses de mycorhizes sur les paramètres de croissance et de la production de trois variétés de Voandzou dans la localité de Dschang, Ouest Cameroun ». European Scientific Journal ESJ 17, no 17 (31 mai 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n17p213.
Texte intégralRésumé :
Cette étude a pour objectif d’évaluer l’effet des doses d’un biofertilisant sur la croissance et la production du Voandzou à l’Ouest Cameroun. Elle a été menée à la Ferme d’Application et de la Recherche (FAR) et au Laboratoire de Phytopathologie et de Zoologie Appliquée de la FASA (Dschang) de Décembre 2017 à Juillet 2018. Pour cette étude trois variétés de Voandzou ont été utilisées, une variété locale de Dschang (VL) et deux autres variétés du Nord Cameroun (Mendéo V1M et Mendéo V2M). Deux doses de mycorhizes (D1 = 10g et D2 = 20g) ont été inoculées et comparées au témoin (D0 = 0 g) dans un dispositif en split-plot combinant deux facteurs (doses et variétés) avec 3 répétitions. Après avoir évalué le taux de germination des graines des différentes variétés, nous avons évalué les paramètres de croissance, la précocité variétale et la productivité en gousse des différentes variétés. Nos résultats ont montré que les variétés Mendéo 1 et 2 du Nord sont précoces avec une floraison débutant à partir de 40e JAS et une maturité dès le 122e JAS. La variété VL est tardive avec une floraison dès le 58e JAS et une maturité à 160e JAS. En général, les deux doses de mycorhize inoculées augmentent la croissance des plants de voandzou. Cependant la dose D2 (20g) semble être efficace pour les variétés Mendéo V1M et Mendéo V2M, par apport à la variété local VL qui préfère la dose D1 (10g). Le nombre de feuilles des trois variétés de Voandzou a été plus prononcé pour les plantes inoculées par rapport à celles non inoculées. La dose D2 (20g) d’inoculum a eu un effet positif sur la densité du feuillage des plantes des variétés V1M et V2M. Par contre, la variété locale (VL) de l’Ouest Cameroun parait plus favorable aux deux différentes doses (D1 et D2) de mycorhizes. Cette étude a montré que l’inoculation directe des CMA pendant le semis entraine une augmentation du rendement en gousse de la VL et améliore la production de la variété introduite V1M. L’étude permet de conclure que la variété améliorée V1M et locale VL sont potentiellement aptes dans la zone à dose 20 g.
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Leyo, Idriss Hamidou, Zakari Moussa Ousman, Fréderic Francis et Rudy Caparros Megido. « Techniques de production d’asticots de mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) pour l’alimentation des volailles, synthèse bibliographique. » Tropicultura, no 2 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1813.
Texte intégralRésumé :
L’alimentation de la volaille nécessite un apport essentiel en protéine. Ces protéines sont introduites aux animaux à travers des ingrédients alimentaires comme les légumes à graines et leurs tourteaux (arachide, soja, etc.), les farines de poisson, etc. Ces sources protéiques bien qu’étant indispensables en alimentation de la volaille, sont assujetties à une flambée de prix et sont peu ou pratiquement non durables. Les asticots des mouches constituent une solution durable en alimentation animale mais sont classées dans les sources méconnues de protéines animales en Afrique de manière générale et au Niger en particulier. La production de ces asticots n’est pas onéreuse et n'implique pas pour le moment une compétition alimentaire avec l’alimentation humaine. Les asticots des mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) et des mouches soldats noires (Hermetia illucens L. 1758) sont privilégiés en raison de la facilité de leur production et de l’importance de leur biomasse. Les larves de ces deux types de mouches sont souvent produites avec des déchets de toute nature (substrats) disponibles gratuitement ou cédés dans le cas marchand à un prix dérisoire. Les compositions chimiques de ces asticots sont similaires voire meilleures que celles des ingrédients alimentaires conventionnels utilisés en alimentation avicole, et leur utilisation dans l’alimentation de ces volailles induit de bonnes performances zootechniques aux animaux. En plus de la protéine, le processus de production d’asticots permet d’un coté de recycler les déchets organiques qui constituent un véritable problème environnemental et de l’autre côté il permet de générer un résidu biofertilisant riche en nutriment qui peut être valorisé en agriculture. Plusieurs études ont montré qu’il n’a pas de dans danger sanitaire lié à l’utilisation des asticots en alimentation animale en général et celle de la volaille en particulier. En effet l’évaluation de plusieurs éléments-traces métalliques (ETM) au niveau des asticots avait révélé ces ETM sont à des seuils inferieur à ceux recommandés par les organismes internationaux (Union Européenne, organisation mondiale de la santé). Quelques rares études ont affirmé qu’une transmission de Salmonelles est possible aux consommateurs. Toutefois il est admis à l’unanimité que les asticots peuvent être introduits en alimentation animal sans induire des effets néfaste sur leur santé et que les contaminations éventuelles sur toute la chaine alimentaire peuvent être contrôlées.
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Lhernould, Sabine, Jean-Claude Fage, Pierre KRAUSZ, Guy Costa, Pascal LABROUSSE et Marie Morad. « Effet de substances humiques extraites à partir du bois de peuplier sur la croissance et le développement d’une culture de Lantana camara ». Annales Scientifiques du Limousin, no 17 (27 novembre 2017). http://dx.doi.org/10.25965/asl.495.
Texte intégralRésumé :
Les substances humiques sont connues pour être des produits naturels pouvant être utilisés comme bio-fertilisant. Dans ce travail nous avons testé des molécules issus d’un traitement thermo-mécanique de déchets de sciure du bois de peuplier (SHB: substance humique du bois, BoisValor). Les SHB ont servi d’amendement organique à une culture de Lantana camara. Dans ce travail nous démontrons que les SHB à l’instar des SH (substances humiques fossiles) sont des biofertilisants pour les cultures horticoles. Leur utilisation améliore la croissance et le développement de l’appareil végétatif et réduit le temps de culture avant floraison.
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Mapelli, Francesca, Daniele Carullo, Stefano Farris, Antonio Ferrante, Jacopo Bacenetti, Vera Ventura, Dario Frisio et Sara Borin. « Food Waste-Derived Biomaterials Enriched by Biostimulant Agents for Sustainable Horticultural Practices : A Possible Circular Solution ». Frontiers in Sustainability 3 (7 juillet 2022). http://dx.doi.org/10.3389/frsus.2022.928970.
Texte intégralRésumé :
The horticultural industry claims the substitution of plastic plantlet containers, which derive from oil-based raw materials and cannot be recycled, with bio-based ones, aiming to decrease waste management costs and increase the overall production sustainability. Bio-based fully biodegradable nursery pots can be directly placed in soil, thus decreasing the plantlet transplant stress and labor, and avoiding waste generation. The development of biomaterials specifically obtained from food-derived wastes like fruit and vegetables will add further advantages by an improved use of resources, the production of added-value materials and the replenishment of food losses, in a perfect circular economy approach. A multidisciplinary strategy combining material science, microbiology, agronomy and economy will, moreover, allow the development of functionalized food-waste derived materials, enriched in biostimulant extracts, alive plant-growth promoting microorganisms and thermal buffering molecules, obtaining biodegradable and biofertilising plant multiplication plugs with the potential to increase the sustainability of the overall agri-food production chain.
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NSIMBA Nsiku, David, Amand MBUYA Kankolongo, Christophe ASANZI Mbeyame, Richard RISASI Etutu Junior, Antoine MUMBA Djamba et Jean-Claude LUKOMBO Lukeba. « Essai de la combinaison des microdoses d’engrais minéraux avec le super Gro sur la productivité de la nouvelle variété biofortifiée du maïs UPN1 dans un sol sableux de Kinshasa. » Revue Congo Research Papers 3, no 2 (10 août 2022). http://dx.doi.org/10.59937/fmtd2916.
Texte intégralRésumé :
L’objectif de cette étude était de trouver une modalité de fertilisation qui, associée aux doses modestes d'engrais minéraux, soit capable d’améliorer la productivité et réduire les coûts de production du maïs dans les sols pauvres de Kinshasa. Cinq traitements ont été testés sur la variété UPN1, dans un essai conduit en saison B 2020 au CEPROSEM suivant un dispositif en bloc complet randomisé avec 4 répétitions : T0= témoin (sans engrais); T1= 200kg NPK 17-17-17 + 100kg Urée/ha; T2= 200kg NPK 17-17-17/ha + super Gro (0,1%) ; T3= 100 kg NPK 17-17-17/ha + super Gro (0,2%) et T4=100 kg NPK 17-17-17+ 50kg Urée/ha + super Gro (0,1%). Excepté le poids de mille grains qui n’a pas été influencé, les résultats obtenus après analyse de variance ont montré des différences hautement significatives pour les deux premiers paramètres de croissance (HP et DC) et significatives pour le reste. Du point de vue agronomique (productivité physique), la fertilisation à base de 200kg de NPK/ha et Super Gro (0,1%) a donné une bonne croissance des plants et un bon rendement en maïs grain (5,12 t/ha). L’essai devrait être reconduit en Saison A et dans d’autres environnements en vue d’une vulgarisation définitive de cette technologie aux maïsiculteurs congolais. Mots -clés : Maïs, microdose, engrais, biofertilisants, rendement.
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Anani, Combé K. Sélom, Agbéko Kodjo Tounou et Komi Agboka. « Évaluation de la durabilité des exploitations d’ananas (Ananas comosus L.) au Sud-Togo par la méthode IDEAv3. » Journal of Applied Biosciences 197 (30 juin 2024). https://doi.org/10.35759/jabs.197.7.
Texte intégralRésumé :
RESUME Objectif : La présente étude vise à identifier les externalités positives et négatives des systèmes de production d’ananas au Sud-Togo en termes de durabilité à l’échelle des exploitations. Méthodologie et résultats : La méthode utilisée est l’évaluation des indicateurs de durabilité des exploitations agricoles (IDEAv3), combinée aux analyses statistiques (ACP et CAH). Les trois échelles de durabilité agroécologique, socio-territoriale et économique ont été caractérisées au niveau des exploitations et ont permis d’identifier des groupes de systèmes de production d’ananas (SPA). L’évaluation des exploitations par des indicateurs ont montré que le facteur limitant de la durabilité est porté sur l’échelle agroécologique, ainsi le maintien de la performance des exploitations d’ananas repose sur l’amélioration des composantes (diversité végétale et animale, occupation raisonnée de l’espace, pratiques agricoles) de cette l’échelle. En revanche la durabilité économique est tenue par une bonne efficience et viabilité avec une forte dépendance économique par la sensibilité aux aides et aux financements des exploitants d’ananas. La durabilité socio-territoriale est à un niveau acceptable grâce aux indicateurs de démarche qualité orientée vers la certification biologique, implication sociale, contribution à la création d’emploi, travail intense collectif, démarche coopérative, formation collective. Conclusions et application des résultats : En définitive, pour que les SPA restent économiquement viables et efficients et socialement justes, il est important d’inciter les exploitants à l’adoption des pratiques éco-biologiques. Pour se faire, ils nécessitent des renforcements de capacité, l’adoption de l’utilisation des composts, des biofertilisants, engrais biologiques, des plans de rotations efficients, intégration de culture d’ananas sous paillis végétaux et plastiques biodégradables pour améliorer la fertilité des sols. Mots clés : Durabilité, agroécologique, performance, économique, viabilité. 20885 Anani et al., J. Appl. Biosci. Vol: 197, 2024 Évaluation de la durabilité des exploitations d’ananas (Ananas comosus L.) au Sud-Togo par la méthode IDEAv3. ABSTRACT Objective: This study aims to identify both positive and negative externalities of pineapple production systems in Southern Togo in terms of sustainability at the farm level. Methodology and Results: The methodology used is the evaluation of sustainability indicators of agricultural farms (IDEAv3), combined with statistical analyses (PCA and HCA). The three scales of agroecological, socio-territorial, and economic sustainability were characterized at the farm level and helped identify groups of pineapple production systems (PPS). The assessment of farms using these indicators showed that the limiting factor for sustainability is at the agroecological scale; thus, maintaining the performance of pineapple farms relies on improving components (plant and animal diversity, rational space occupation, agricultural practices) of this scale. Conversely, economic sustainability is maintained by good efficiency and viability with a strong economic dependence due to sensitivity to aids and financing of pineapple farmers. Socio-territorial sustainability is at an acceptable level thanks to quality approach indicators oriented towards organic certification, social involvement, contribution to job creation, intense collective work, cooperative approach, and collective training. Conclusions and Application of Results: Ultimately, for agricultural production systems (APS) to remain economically viable, efficient, and socially just, it is important to encourage farmers to adopt eco-biological practices. To achieve this, they need capacity building, the adoption of compost, biofertilizers, organic fertilizers, efficient crop rotation plans, and the integration of pineapple cultivation under plant mulch and biodegradable plastics to improve soil fertility. Keywords: Sustainability, agroecological, performance, economic, viability.