Littérature scientifique sur le sujet « Céphalalgie »

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Articles de revues sur le sujet "Céphalalgie"

1

Jean-Strochlic, Christine. « Consultation d'un cas de céphalalgie ». Revue française de psychosomatique 34, no 2 (2008) : 69. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.034.0069.

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2

Nayrou, Félicie, Claire Rueff-Escoubès et Jean-Jacques Pailler. « Discussion d'un cas de céphalalgie ». Revue française de psychosomatique 34, no 2 (2008) : 73. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.034.0073.

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3

Szwec, Gérard. « Discussion d'un cas de céphalalgie ». Revue française de psychosomatique 34, no 2 (2008) : 79. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.034.0079.

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4

Marty, Pierre. « Aspect psychodynamique de l'étude clinique de quelques cas de céphalalgies ». Revue française de psychosomatique 34, no 2 (2008) : 7. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.034.0007.

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5

Valade, D. « Le céphalalgique aux urgences : 4 ans au Centre Urgences Céphalées de l’hôpital Lariboisière (Paris) ». Revue Neurologique 161, no 6-7 (juillet 2005) : 729–31. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(05)85131-8.

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6

Schankin, Christoph, Niklaus Meier, Sven Streit et Urs Fischer. « Le patient céphalalgique au service des urgences : comment procéder ? » Forum Médical Suisse ‒ Swiss Medical Forum 17, no 19 (10 mai 2017). http://dx.doi.org/10.4414/fms.2017.02957.

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Thèses sur le sujet "Céphalalgie"

1

Saine, Laurence. « Les effets du fentanyl sur la douleur et la motricité suite à une hémorragie intracérébrale induite chez le rat ». Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/19166.

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Résumé :
La douleur éprouvée lors de trauma crânien est reliée à la sensibilisation du système nerveux central et aux maux de tête chroniques lorsque la douleur n’est pas traitée. Par contre, chez l’humain, l’utilisation d’analgésiques doit être faite avec précaution puisqu’ils sont associés à des déficits moteurs et cognitifs. La présente étude vise à évaluer l’efficacité du fentanyl pour le traitement de la douleur lors d’une hémorragie intracérébrale et les effets sur la motricité en utilisant un modèle induit d’hémorragie intracérébrale chez le rat. Pour ce faire, une hémorragie intracérébrale a été induite par injection stéréotaxique de 2 µL de collagénase (0.5 UI), injectée dans un noyau caudoputamen, chez vingt-et-un rats Sprague-Dawley mâles sous anesthésie générale. Le groupe contrôle (n=6) a reçu de la saline sous-cutanée (SC), et les groupe expérimentaux ont reçu respectivement des doses de 5 (n=6), 10 (n=6) et 20 (n=3) µg/kg de fentanyl SC, 2h suite à la chirurgie et ensuite 1 fois par jour pour les 2 jours suivants. Les animaux ont été évalués pendant les 5 jours suivants la chirurgie à l’aide d’une vidéo (grimace de la douleur), d’un examen neurologique, du test de la poutre et du rotarod. Le dernier jour, les animaux ont été euthanasiés, les cerveaux ont été prélevés et évalués pour déterminer le volume de l’hémorragie, l’astrocytose et le nombre de cellules nécrotiques. Comparé aux contrôles, le groupe ayant reçu 5 µg/kg de fentanyl a éprouvé un soulagement significatif de la douleur au jour 2 (p<0,01) tandis que le groupe 10 µg/kg a éprouvé un soulagement de façon significative au jour 1 (p<0,01), 2 (p<0,001) et 3 (p<0,01). Pour le rotarod, le groupe 10 µg/kg a démontré une diminution significative de sa performance aux jours 5 (p<0,05) et 6 (p<0,02). À l’examen neurologique, le sautillement a montré une piètre récupération pour les groupes de 5 et 10 µg/kg comparés au contrôle (p<0,01). À l’examen des cerveaux, aucune différence n’a été observée pour les 3 paramètres entre les groupes expérimentaux. En conclusion, le fentanyl à une dose de 10 µg/kg SC est efficace pour diminuer la douleur suite à une hémorragie intracérébrale; par contre il peut avoir un effet sur la motricité des animaux.
The pain associated with traumatic brain injury is linked with the central nervous system sensitization and chronic cephalalgia when pain is not treated. However, analgesics in human patient must be done with caution since they are associated with cognitive and motor deficits. The present study aims to assess the efficiency of fentanyl to treat pain and evaluate motor behaviors on a rat model of intracerebral hemorrhage (IH). Twenty-one male Sprague-Dawley rats underwent a stereotaxic surgery to produce a collagenase-induced IH with an injection of 2 µL of colagenase (0.5 UI) in the right caudoputamen nucleus. The control group (n=6) received saline subcutaneously (SC), and experimental groups received either 5 (n=6), 10 (n=6), or 20 (n=3) µg/kg of fentanyl SC, 2h following surgery and on the 2 subsequent days. The rat grimace scale, a neurological examination, balance beam test and rotarod test were performed for 5 consecutive days postoperatively to evaluate pain and motor performance. At the end of the experimentation, the animals were euthanized, the brains were collected and evaluated to determine hematoma volume, the number of reactive astrocytes and necrotic neurons. When compared to controls, the grimace scale has showed that 5 µg/kg fentanyl significantly alleviated pain on day 2 only (p<0.01) and that 10 µg/kg alleviated pain on days 1 (p<0.01), 2 (p<0.001), and 3 (p<0.01). For the rotarod test, only the 10 µg/kg group showed significant decreases in performance on days 5 (p<0.05) and 6 (p<0.02). The neurologic exam was not significantly different between groups, but only the hopping test showed a poor recuperation for the 5 and 10 µg/kg fentanyl group when compared to saline (p<0.01). During brains exams, no differences were found between groups for the results of the 3 parameters. Fentanyl, at a dose of 10 µg/kg SC, has provided a substantial analgesia following a collagenase-induced intracerebral hemorrhage in rats; however it can alter motor performance following analgesic treatments.
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Chapitres de livres sur le sujet "Céphalalgie"

1

Géraud, Gilles. « Interrogatoire et examen d'un patient céphalalgique ». Dans Les céphalées, 3–15. Elsevier, 2009. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-01379-9.00001-9.

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2

Géraud, Gilles. « Interrogatoire et examen d’un patient céphalalgique ». Dans Les céphalées en 30 le&#x00E7ons, 3–16. Elsevier, 2015. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-73953-8.00001-8.

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Actes de conférences sur le sujet "Céphalalgie"

1

Sulukdjian, Arek, Diane Nguyen, Vanina Luciani, Audrey Chanlon et Nathan Moreau. « Intérêt de l'indométacine comme traitement d'épreuve des céphalées hémi-faciales : aspects cliniques et pharmacologiques ». Dans 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France : EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602016.

Texte intégral
Résumé :
La région oro- faciale peut être le siège de nombreuses pathologies douloureuses dont certaines d'origine neurovasculaire (migraine) ou trigémino-autonomiques (algie vasculaire de la face, hémicrânie paroxystique) peuvent être de diagnostic difficile, surtout en cas de présentation purement facial. L'hémicrânie paroxystique (HP) est une céphalée primaire caractérisé e par de multiples crises douloureuses unilaté rales associé es à des troubles autonomiques cránio-faciaux (ICHD3). De prédominance féminine, sa prévalence est estimée à 1/50 000. Son áge moyen d'apparition est en moyenne à 40 ans et touche une population de 5 à 68 ans. La grande particularité de cette pathologie est que son traitement de référence est aussi son principal outil de confirmation diagnostiqué En effet, l'HP présente une réponse complète à l'indométacine, ce qui pourrait permettre ainsi d'écarter les autres pathologies douloureuses faciales. Cet AINS a pour particularité d'être le seul à avoir une action spécifique au niveau hypothalamique, dont l'activation serait responsable du tableau céphalalgique dans l'hémicrànie paroxystiqué A ce titre, il peut s'avérer un test diagnostique intéressant en cas de douleurs hémifaciales inexpliquées, en particulier si des signes autonomiques sont présents. Il est rapporté trois cas de patients ayant consulté dans la consultation douleurs chroniques oro- faciales du service de médecine buccodentaire de l'hôpital Bretonneau pour des douleurs oro-faciales inexpliquées associées à de discrets signes dysautonomiques (sudation, obstruction nasale, rhinorhée, larmoiement). Alors que leurs précédents traitements étaient peu ou pas du tout efficaces (antalgiques de pallier 2, carbamazépine ou gabapentine), un traitement d'épreuve par indométacine a permis une disparition immédiate de leurs douleurs faciales. La présentation clinique et la réponse absolue à l'indométacine ont ainsi permis de poser le diagnostic d'hémicránie paroxystique chez ces trois patients. Les contre-indications de la molécule étant réduites à celles de sa famille pharmacologique, cette série de cas suggère l'intérêt de l'utilisation l'indométacine comme test diagnostique chez tout patient souffrant de céphalées hémifaciales strictes, surtout en présence de signes autonomiques.
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2

Sulukdjian, A., D. Nguyen, V. Luciani, A. Chanlon et N. Moreau. « Intérêt de l’indométacine comme traitement d’épreuve des céphalées hémi-faciales : aspects cliniques et pharmacologiques ». Dans 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France : EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603015.

Texte intégral
Résumé :
Intérêt de l’indométacine comme traitement d’épreuve des céphalées hémi-faciales : aspects cliniques et pharmacologiques Arek SULUKDJIAN1, Diane NGUYEN2, Vanina LUCIANI3, Audrey CHANLON2, Nathan MOREAU4,5 1- Etudiant en 5ème année de chirurgie dentaire, Faculté de Chirurgie dentaire, Université Paris Descartes 2 - Praticien attaché, consultation de diagnostic et traitement des douleurs chroniques orofaciales, service de médecine bucco- dentaire, Hôpital Bretonneau, AP-HP, Paris 3 - Etudiante en 6ème année de chirurgie dentaire, Faculté de Chirurgie dentaire, Université Paris Descartes 4 - Responsable de la consultation de diagnostic et traitement des douleurs chroniques oro-faciales, service de médecine buccodentaire, Hôpital Bretonneau, AP-HP, Paris 5 MCU-PH en médecine et chirurgie orale, Faculté de Chirurgie Dentaire, Université Paris Descartes & Service de Médecine buccodentaire, Hôpital Bretonneau, AP-HP, Paris & Laboratoire de Neurobiologie Oro-Faciale, Université Paris Diderot La région oro- faciale peut être le siège de nombreuses pathologies douloureuses dont certaines d’origine neurovasculaire (migraine) ou trigémino-autonomiques (algie vasculaire de la face, hémicrânie paroxystique) peuvent être de diagnostic difficile, surtout en cas de présentation purement faciale. L’hémicrânie paroxystique (HP) est une céphalée primaire caractérisée par de multiples crises douloureuses unilatérales associées à des troubles autonomiques crânio-faciaux (ICHD3). De prédominance féminine, sa prévalence est estimée à 1/50 000. Son âge moyen d’apparition est en moyenne à 40 ans et touche une population de 5 à 68 ans. La grande particularité de cette pathologie est que son traitement de référence est aussi son principal outil de confirmation diagnostique. En effet, l’HP présente une réponse complète à l’indométacine, ce qui pourrait permettre ainsi d’écarter les autres pathologies douloureuses faciales. Cet AINS a pour particularité d’être le seul à avoir une action spécifique au niveau hypothalamique, dont l’activation serait responsable du tableau céphalalgique dans l’hémicrânie paroxystique. A ce titre, il peut s’avérer un test diagnostique intéressant en cas de douleurs hémifaciales inexpliquées, en particulier si des signes autonomiques sont présents. Il est rapporté trois cas de patients ayant consulté dans la consultation douleurs chroniques orofaciales du service de médecine bucco-dentaire de l’hôpital Bretonneau pour des douleurs oro-faciales inexpliquées associées à de discrets signes dysautonomiques (sudation, obstruction nasale, rhinorhée, larmoiement ). Alors que leurs précédents traitements étaient peu ou pas du tout efficaces (antalgiques de pallier 2, carbamazépine ou gabapentine), un traitement d’épreuve par indométacine a permis une disparition immédiate de leurs douleurs faciales. La présentation clinique et la réponse absolue à l’indométacine ont ainsi permis de poser le diagnostic d’hémicrânie paroxystique chez ces trois patients. Les contre-indications de la molécule étant réduites à celles de sa famille pharmacologique, cette série de cas suggère l’intérêt de l’utilisation l’indométacine comme test diagnostique chez tout patient souffrant de céphalées hémifaciales strictes, surtout en présence de signes autonomiques.
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