Littérature scientifique sur le sujet « Culte des ancêtres »

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Articles de revues sur le sujet "Culte des ancêtres"

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Dorais, Louis-Jacques. « Vie religieuse et adaptation : les Vietnamiens de Montréal ». ARTICLES 13, no 1 (20 septembre 2021) : 3–16. http://dx.doi.org/10.7202/1081384ar.

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Résumé :
Cet article décrit brièvement cinq cultes religieux pratiqués par les immigrants et réfugiés vietnamiens de Montréal : le culte des ancêtres, le bouddhisme, le catholicisme, le caodaïsme et le culte Lên Dong des génies. Il propose ensuite un modèle situant chacune de ces traditions sur une échelle allant de l’adaptation directe avec intégration maximale à une adaptation médiatisée par la communauté ethnique et une intégration faible.
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Kokou AKOTIA, Benjamin. « Pourquoi les peuples d’Afrique noire connaissent Dieu sans lui rendre un culte ? Les enjeux du culte africain ». Cahiers des Religions Africaines 1, no 1 (25 avril 2020) : 39–56. http://dx.doi.org/10.61496/beui6888.

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Résumé :
Résumé A l’opposé du judaïsme, du christianisme et de l’islam, le culte des peuples d’Afrique est un renoncement au culte à la divinité céleste en faveur des idoles sous la forme d’ancêtres ou de génies. Pourquoi les uns évitent-ils Dieu, et pourquoi les autres évitent-ils les idoles ? En répondant à cette question, on peut savoir pourquoi rendre culte et à qui rendre culte. On dirait que c’est parce que les hommes habitent un territoire qu’ils rendent un culte. C’est ce que cette étude veut montrer. Mots-clés : Culte, Hospitalité, Ancêtres, Dieu, Territoire.
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Hữu Khóa, Lê. « Bouddhisme, taoïsme, confucianisme, culte des ancêtres. Entre l’éthique et la rationalité autocritique ». Migrants formation 82, no 1 (1990) : 92–105. http://dx.doi.org/10.3406/diver.1990.6000.

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Résumé :
La cohabitation souple entre différentes religions (bouddhisme, taoïsme, confu¬ cianisme, mais aussi animisme ou culte des génies...) est une des caractéristiques de l’Asie. Les religions asiatiques, dans leur syn¬ crétisme, permettent à leurs sujets en exil d’appréhender l’intégration comme une nécessité, voire un devoir. Sous réserve cependant de la pérennité de certains rites, tel le culte des ancêtres, base de la pratique sociale de l’entraide, condition même de cette intégration.
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Nguyen-rouault, Florence. « Le culte des ancêtres dans la famille vietnamienne ». Hommes et Migrations 1232, no 1 (2001) : 26–33. http://dx.doi.org/10.3406/homig.2001.3716.

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PREYS, René. « La fête de Paophi et le culte des ancêtres ». Revue d'Égyptologie 58 (31 décembre 2007) : 111–22. http://dx.doi.org/10.2143/re.58.0.2028218.

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Gidoin, Jérôme. « La réactualisation du lien de filiation chez les Vietnamiens de France à partir du bouddhisme ». Enfances, Familles, Générations, no 20 (30 mai 2014) : 45–57. http://dx.doi.org/10.7202/1025329ar.

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Résumé :
À partir d’une étude ethnologique de terrain consacrée au culte des ancêtres des Vietnamiens en France, réinterprété à partir du bouddhisme, cet article traite des nouvelles modalités de transmission intergénérationnelle de l’identité ethnicoreligieuse vietnamienne. De plus en plus de familles, qui ont le sentiment de ne plus parvenir à transmettre les valeurs de la « vietnamité », délèguent par commodité leur culte des ancêtres domestique aux moines de certaines pagodes vietnamiennes de la région parisienne. Ce phénomène marque l’érosion d’un modèle ritualiste de la transmission. L’affiliation à une pagode permet d’entretenir certains éléments essentiels d’une trame éthique en cours de redéfinition. On constate que les jeunes se réapproprient volontiers la « vietnamité » à partir du référent bouddhiste, sans pour autant que cela passe par une perpétuation du ritualisme familial traditionnel. Pour eux, souvent, le bouddhisme est un choix. On observe alors une nouvelle manière d’appréhender les références collectives, et corrélativement, une redéfinition de l’affiliation à la mémoire léguée par les parents, toute culture étant amenée à s’adapter au changement, notamment dans le contexte postmigratoire.
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7

Hours, Bernard. « Du culte des ancêtres‑médiateurs au renversement de leurs statues ? » Journal des anthropologues, no 166-167 (15 décembre 2021) : 129–45. http://dx.doi.org/10.4000/jda.11232.

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Hemmet, Christine. « Le Nora du sud de la Thaïlande : un culte aux ancêtres ». Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient 79, no 2 (1992) : 261–82. http://dx.doi.org/10.3406/befeo.1992.1881.

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Wing Sing, Lui. « Spiritual Colonisation : Society and Religious Cults in Central Hunan since the Song Dynasty ». Cahiers d'Extrême-Asie 31, no 1 (2022) : 293–314. http://dx.doi.org/10.3406/asie.2022.1597.

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Résumé :
La mise au jour récente d’une multitude de sources primaires dans la région du centre du Hunan a considérablement enrichi les études sur le taoïsme local en Chine. La découverte la plus notable est celle de petites statues en bois dans lesquelles sont ingénieusement dissimulés des certificats de consécration. En tant que divinités communautaires et familiales, le « maître de famille » (jiazhu 家主) et le « maître du lieu » (dizhu 地主) sont représentés sous la forme de ces statues et disposés sur les autels domestiques. Membres du clan, les dizhu sont honorés d’une part en raison de leur pouvoir spirituel (fashu 法術), et ont été identifiés à des chamans et des dieux territoriaux et, d’autre part, comme les jiazhu, ils sont vénérés comme des divinités ayant mis en valeur des terres incultes. Le culte des ancêtres dans les communautés locales implique principalement la célébration des jiazhu. Cet article présente une étude du développement de leur culte par le biais d’analyses de diverses sources primaires, notamment des documents officiels, des sources locales et des textes rituels taoïstes. L’auteur se concentre sur le long processus au cours duquel les croyances locales se sont entrelacées avec différents cultes à partir de la dynastie des Song, ce qui a donné lieu à des caractéristiques régionales spécifiques qui sont repérables dans les observances rituelles de routine.
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Dinh, Trong Hiêu. « Rythmes des vivants, mémoire des morts : espace, temps, rituels du culte des ancêtres ». Hommes et Migrations 1134, no 1 (1990) : 17–26. http://dx.doi.org/10.3406/homig.1990.1496.

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Plus de sources

Thèses sur le sujet "Culte des ancêtres"

1

Watio, Dieudonné. « Le culte des ancêtres chez les ngyemba (ouest cameroun) et ses incidences pastorales ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040139.

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Résumé :
En maints pays d'afrique noire, le culte ancestral constitue l'element central de la religion traditionnelle. A leur arrivee pour la premiere annonce de l'evangile, les missionnaires, faute d'information suffisante, crurent voir dans ce culte une forme d'idolatrie. Combattu et donc proscrit, le culte des ancetres s'est retranche dans un maquis de mentalite invulnerable et inaccessible a l'etranger, et y a continue de vivre en juxtaposition avec le christianisme propose. Alors que les missionnaires le croyaient definitivement eteint, ce culte a subitement refait surface, remettant tout en question, se presentant ainsi comme une pierre d'achoppement pour l'evangelisation. Devant cette resurgence des anciennes coutumes et traditions jadis condamnees, et avec le retour massif aux sources, des missionnaires comprirent enfin qu'il fallait prendre en compte la culture et les traditions du peuple africain qui adhere sincerement au christ. Effectivement, on ne peut veritablement christianiser un peuple que si l'on a prealablement pris la peine de chercher a le comprendre dans toutes ses composantes. Vouloir evangeliser un peuple en mettant entre parentheses ses us et coutumes, c'est rechercher un christianisme superficiel. Aujourd'hui encore, les ancetres exercent sur les africains, y compris des chretiens, une influence indeniable. Ils habitent le psychisme des vivants, peuplent leur culture et la structure sociale dont ils sont les fondements et les garants. Une evangelisation qui se veut serieuse doit donc tenir compte et des ancetres et de toute la culture. Les ancetres doivent etre "convertis" par une evangelisation radicale de ceux qui croient en eux. La culture, quant a elle, doit etre assumee, purifiee et transfiguree par l'esprit du christ, pour servir de support a la foi. Mais ceci suppose une connaissance approfondie et du peuple que l'on se propose d'evangeliser, et de sa culture.
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Ferran, Hugo. « Offrandes et bénédictions : une anthropologie musicale du culte des ancêtres chez les Maale d'Ethiopie ». Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0430.

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Résumé :
Ce travail, issu de plusieurs enquêtes de terrain effectuées entre 2001 et 2008, propose une anthropologie musicale du culte des ancêtres chez les Maale du Sud-ouest éthiopien. Après avoir montré que le culte des ancêtres organise la société maale en patrilignages, il ressort que ces lignages sont pensés comme des canaux le long desquels s’écoulent les offrandes musicales (ershitsi) des des cadets lignagers à leurs aînés et les bénédictions (ots’o) de ces derniers à leurs cadets. L’enquête de terrain a révélé que chaque offrande musicale est censée véhiculer simultanément quatre types d’informations à son sujet. Si certaines d’entre elles sont exprimées verbalement par les paroles chantées, l’analyse ethnomusicologique démontre que la musique, la danse et le statut des exécutants véhiculent eux aussi, mais chacun à sa manière, des précisions sur le type d’offrande réalisée
Based upon several fieldworks conducted between 2001 and 2008, this work proposes a musical anthropology of the ancestor worship among the Maale of Southwestern Ethiopia. After showing how the ancestor worship organizes the Maale society in patrilineages, I explain how these lineages are considered as the channels through which the musical offerings (ershitsi) of the lineage youngers to their elders as well as the blessings (ots’o) of the latter to their lineage youngers are exchanges. The fieldwork inquiry reveals that each musical offering is intended to simultaneously carry four types of information. If some of them are verbally expressed by the lyrics sung, the ethnomusicological analysis chows that the music, the dance and the performers status also convey (but each in its own way) details about the type of the performed offering
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Guigbile, Banléne Dominique. « Le Culte des ancêtres et la foi chrétienne : essai d'anthropologie religieuse chez les Moba du Nord Togo ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2002. http://www.theses.fr/2002STR20001.

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Résumé :
Le culte des ancêtres constitue un des éléments essentiels de la culture et des religions des peuples d'Afrique. Intimement présents parmi les vivants et participant aux événements de la vie du groupe, les "morts accomplis" qu'on appelle ancêtres sont de véritables garants de l'équilibre et du bien-être de leur communauté, des intermédiaires incontournables entre le monde de l'invisible et celui des hommes. Perçu par les colonisateurs et les missionnaires comme une superstition, voire une manifestation diabolique, le culte des ancêtres, pièce maîtresse des religions africaines traditionnelles, n'a pourtant ni disparu, ni perdu de sa vitalité, même chez ceux qui se sont convertis au christianisme ou à l'islam. Les croyances et les pratiques qui s'y rapportent resurgissent aux moments importants de la vie. Parce que ce rapport aux ancêtres n'est pas toujours pris en compte par l'Eglise, les convertis se réfugient alors dans l'ambigui͏̈té du syncrétisme et de la double pratique. En prenant comme point de référence la rencontre de la société moba avec le catholicisme, ce travail s'attache à montrer l'actualité de l'importance du culte des ancêtres dans la vie de ce peuple, à identifier les lieux de conflits entre ces deux traditions, à évaluer les solutions préconisées par l'Eglise locale notamment pour ce qui concerne les rites funéraires et les rapports avec les ancêtres. Cette analyse critique conduit à la suggesions de pistes pour un dialogue entre le christianisme et les religions africaines traditionnelles et pour une façon de vivre en chrétien cette relation existentielle aux ancêtres
The cult of ancestors is a fundamental element of the culture and religions of African peoples. Intimately present among the living, and participating in the events o the group' life, the "accomplished dead"-or ancestors- are the true warrants of their community's balance and well-being. They are unavoidable intermediaries between the world of humans and that of the invisible. .
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Rey, Nicolas. « Les ancêtres noirs "révolutionnaires" dans la ville caribéenne d'aujourd'hui : l'exemple de Livingston, Guatemala ». Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010657.

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Résumé :
La ville de Livingston, située sur la côte carai͏̈be du Guatemala, a été fondée en 1802 par des Noirs issus des Antilles: les " negros franceses " issus de Saint-Domingue et les " caribes negros " provenant de Saint- Vincent. Ces deux groupes de Noirs, après avoir été chassés des Antilles respectivement par les colons Français et Anglais, se sont retrouvés à la fin du XVIIIe siècle dans la milice de Trujillo (Honduras) au service de l'Espagne, pour défendre le Reino de Guatemala contre les autres puissances coloniales européennes. Pourquoi et comment ces Noirs avaient-i1s pu rester libres depuis les Antilles jusqu'à leur départ forcé vers l'Amérique centrale ? En s'établissant tout le long de la côte carai͏̈be, quelle a été leur maîtrise foncière sur les terres qu'ils furent les premiers à occuper, pour qu'à nos jours comme l'étude de Livingston le révèle, ils se retrouvent confirmés en centre urbain après avoir abandonné leurs terrains des périphéries rurales, aux riches ladinos de la capitale ? Après leur départ massif vers les Etats-Unis depuis les années 1960, suite à la fermeture du plus gros employeur de la région, la compagnie bananière américaine United Fruit Company, les Noirs de Livingston (dénommés garifuna) ont donc connu une recomposition socio-spatiale qui a touché directement leur organisation " coutumière " tant dans le domaine foncier que dans celui du culte qu'ils vouent aux ancêtres. En montrant comment le culte des ancêtres, central dans les structures de pouvoir garifuna, est resté dominé par les familles fondatrices de Livingston, depuis le début du XIXe siècle jusqu'à nos jours, et en l'articulant avec l'analyse d'un système dit de maison que j'ai mis à jour, ainsi qu'avec le rôle historique révolutionnaire de premier plan joué par les ancêtres fondateurs de Livingston, on peut dès lors prendre toute la mesure du titre de cette thèse: Les ancêtres noirs " révolutionnaires " dans la ville caribéenne d'aujourd'hui: l'exemple de Livingston, Guatemala
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Gidoin, Jérôme. « La relation aux défunts chez les Vietnamiens de France : réinterprétation du culte des ancêtres dans le bouddhisme populaire ». Paris 5, 2009. http://www.theses.fr/2009PA05H030.

Texte intégral
Résumé :
Au Vietnam, le culte des ancêtres et le bouddhisme sont deux systèmes religieux distincts. Ils peuvent être juxtaposés et se chevaucher, mais leurs frontières restent étanches l'un pour l'autre. Dans le contexte post-migratoire français, on observe un phénomène étonnant et nouveau : ces deux références religieuses sont amenées à entrer en contact, à s'interpénétrer. En effet, en France, les pagodes vietnamiennes intègrent les hommages aux ancêtres, et certaines d'entre elles leur accordent même une place centrale au sein de l'espace rituel. Cette thèse, qui s'appuie sur une enquête de terrain réalisée dans trois pagodes vietnamiennes de la région parisienne, analyse les raisons et les multiples aspects de ce contact entre culte des ancêtres et culte bouddhique, ce que l'on pourrait appeler la « réinvention du culte des ancêtres » à partir du bouddhisme populaire vietnamien de France. La pagode, en prenant en charge la question du rapport à la mort (fondamentale dans la culture vietnamienne), offre aux familles un dispositif de mise en forme de la continuité culturelle. A une époque où l'affiliation lignagère perd de son évidence, tout laisse à penser que celles-ci ressentent un besoin impérieux de réactualiser une symbolique de la continuité, en particulier pour transmettre leur héritage culturel. La pagode permet de réunir toute la famille plus efficacement, et la fonction roborative d'une parenté mobilisable apporte une sécurité identitaire et eschatologique. Elle fournit également un réservoir de sens à redéfinir. L'éthos vietnamien peut être ainsi réactualisé, ses contenus étant remaniés en vue d'une meilleure adaptation à la situation présente
In Vietnam, Buddhism and ancestor-worship are two different religious systems. They may coexist and overlap, but they never interpenetrate. Surprisingly, in the French post-migratory context, an unprecedented phenomenon can be observed : Vietnamese monks take charge of the ancestor-worship, and in some pagodas, that service becomes an essential part of their activities. To some extent, Vietnamese monks are reinterpreting ancestor-worship into Buddhistic terms, hi this thesis, which relies on a survey conducted in three pagodas of the Parisian area, the author tries to analyse reasons and various facets of such a change in Vietnamese religious practices. By assuming responsibility for the issue of death -that is a fundamental feature of Vietnamese culture- the Buddhistic institution gives to families an opportunity for ensuring cultural continuity. Since in France family genealogy is partially depreciated, people strongly feel a need for other symbolic resources which would allow them to transmit their cultural heritage, and it seems that the Buddhistic institution is able to play that role. The pagoda provides family members with a place to join together and to honor their deceased, which reinforces their sense of identity and brings them an eschatological security. Thus, Vietnamese ethos is readjusted to present conditions, at the price of a reshaping of its contents
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Kourilsky, Grégory. « La place des ascendants familiaux dans le bouddhisme des Lao ». Thesis, Paris, EPHE, 2015. http://www.theses.fr/2015EPHE5032/document.

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Résumé :
Les enseignements du bouddhisme theravāda, tels qu’ils sont consignés dans le Canon pāli (Tipiṭaka), font peu de cas de la piété filiale et du culte aux ancêtres. Cela n’est guère surprenant pour une religion qui repose sur l’éthique du kamma (selon laquelle la destinée d’un individu, strictement individuelle, résulte de ses actions dans cette vie ou dans une vie antérieure) et qui préconise, dans ses textes fondateurs, le renoncement aux liens filiaux et familiaux, souvent considérés comme une entrave sur la voie de la délivrance. Pour les bouddhistes lao en revanche, la dévotion à l’égard des parents, aïeuls et ancêtres est au centre de la vie religieuse et relève sans conteste de l’Enseignement du Buddha. L’aumône matinale, l’édification d’un bâtiment monastique, la consécration d’une statue du Maître ou d’une figure sainte, la commande d’un manuscrit, l’organisation d’une cérémonie d’ordination, l’exercice de la méditation, la participation à des cérémonies calendaires – à dire vrai, tout acte pieux – sont autant d’occasions de rendre hommage ou de porter assistance aux parents et aux esprits lignagers avec lesquels sont partagés les fruits de ces entreprises. L’objectif de cette étude est d’appréhender la place qu’occupent les ascendants familiaux dans le bouddhisme des Lao et de comprendre comment, et dans quelle mesure, ces derniers ont pu harmoniser des considérations sociales et familiales qui leur sont propres avec la doctrine du theravāda sur laquelle repose formellement leur spiritualité
The Buddhist teachings of the Theravāda, as they are recorded in the Pāli canon (Tipiṭaka), demonstrate little concern for filial piety or ancestor cults. This is hardly surprising for a religion that rests on the ethic of kamma (according to which the fate of a being remains strictly individual, resulting only from his actions in this or previous existences) and recommends, at least in its founding texts, the renunciation of filial and familial ties, often regarded as an obstacle on the path to liberation. In contrast, Lao Buddhists consider that devotion towards parents, forebears and ancestors is at the core of religious life and undoubtedly belongs within the teaching of the Buddha. Giving alms, building a monastery, casting an image of the Master or a saint, commissioning a copy of a manuscript, receiving ordination, practising meditation, participating in annual festivals—more broadly, all kinds of pious deeds—are opportunities to pay homage or provide assistance to parents and lineage spirits, with whom the fruits of these actions will be shared. The purpose of this study is to consider the place occupied by parents and ancestors in Lao Buddhism and to understand how, and to what extent, the Lao have been able to harmonise their own social and familial accounts with the doctrine of the Theravāda, on which their spirituality is understood to rest
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Berger, Laurent. « Les raisons de la colère des ancêtres Zafinifotsy (Ankaraña, Madagascar) : l'anthropologie au défi de la mondialisation ». Paris, EHESS, 2006. http://www.theses.fr/2006EHES0202.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude de cas élargie, adossée à trois années de présence au nord de madagascar (dont 20 mois d'investigations ethnographiques), décrit et analyse la façon dont les conditions d'implantation d'un site d'aquaculture crevettière au nord de Madagascar, à proximité ou à l'endroit même des habitations, des lieux cultuels et sacrés, des zones de pêche, des pâturages et des champs cultivés des populations locales, ont été "négociées" sous le patronage de l'Etat malgache, entre différentes entreprises multinationales et différents représentants de ces populations, choisis pour leur affiliation à la royauté sacrée locale et/ou leur exercice d'un mandat électif communal, régional ou national. L'objectif de cette ethnologie politique de la mondialisation par le bas est de rendre intelligible la destitution rituelle du souverain de cette royauté à la suite de cette implantation. Son fil conducteur est donc d'articuler le temps événementiel des différents épisodes de cette "négociation" au temps de la plus ou moins longue durée des différents contextes, enjeux et logiques d'ensemble nécessaires à l'intelligibilité de l'évolution des prises de position et de confrontation des nombreux protagonistes de cette affaire
This ethnographical and anthropological research is funded as a case extended method approach, which describes and analyses trade negociations recently carried out in northern Madagascar, under the patronage of the malagasy state, involving a sacred kingship and multinational companies. They concerned the introduction of a shrimp farm in the very heart of coastal area claimed as cultural heritage of that antankaraña royalty. The main thread of this work is to articulate the factual time of these negociations to the more or less extended length of the various logical processes resorted to, in order to intelligibly account for the evolution of stand-taking and confrontation from the various protagonist involved in the story
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Lauwers, Michel. « La mémoire des ancêtres, le souci des morts : fonction et usages du culte des morts dans l'Occident médiéval (diocèse de Liège, XIe-XIIIe siècles) ». Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0322.

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Luquin, Elisabeth. « Abondance des ancêtres, abondance du riz : Les relations socio-cosmiques des Mangyan Patag, île de Mindoro, Philippines ». Paris, EHESS, 2004. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02495648.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur les Mangyan Patag des Philippines, société d'environ 15 000 personnes qui parlent le minangyan. L'approche choisie pour comprendre cette société, sans groupes de filiation ni relations d'alliance, est l'analyse des rituels qui mettent en œuvre l'ensemble de l'espace et des relations socio-cosmiques, et les renouvellent. Le travail des êtres humains consiste à nourrir de riz leurs morts et leurs ancêtres, qui détiennent l'autorité et leur donnent l'abondance; cette interdépendance est explicite dans les rituels agraires et les rituels funéraires. Les rituels animent les relations entre les différents êtres : humains, esprits malveillants, ancêtres ('āpu). De la différenciation de ces relations et de la place particulière du riz se dégagent les principes fondamentaux organisant les relations sociales et définissant le groupe local autour de l'opposition germanité/mariage. Cette société est aussi constituée d'êtres en relations à la terre et à la localité
This thesis deals with the Mangyan Patag of the Philippines, society of some 15 000 people, speaking the minangyan language. The approach chosen to understand this society, in which descent groups and marriage alliance are absent, is the analysis of rituals which articulate and renew space and relationships, both understood as being socio-cosmic. The work of the human beings consists in feeding rice to their dead and ancestors who hold the authority and give abundance; this interdependence is explicit for the agrarian rituals and the death rituals. The relations between the different beings - humans, malevolent spirits and ancestors ('āpu) - are animated by rituals. From the differentiation of these relations, as welle as from the particular place of rice the basic principles are drawn, that organize the social relations and define the local group around the opposition of siblings and married couples. This society is also constituted by beings in relation to soil and locality
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Bonkoungou, Alfred. « L'eschatologie chrétienne en Afrique à l'ombre de la théologie du Christ-Ancêtre ». Thesis, Strasbourg, 2017. http://www.theses.fr/2017STRAK004.

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Résumé :
Le contexte culturel du continent africain est marqué par la prégnance des ancêtres. C’est pourquoi la théologie de l’inculturation de la foi a pensé devoir s’approprier la thématique de l’ancêtre afin de rapatrier sa signification symbolique au service de la foi chrétienne. Mais, par-delà une mise en rapport informelle entre le Christ et l’ancêtre, l’inculturation de la foi a évolué vers la formalité spéculative d’une ancestralisation du Christ. En cela, la théologie du Christ-Ancêtre nous place devant un procédé périlleux de subsomption logique qui introduit et risque d’absorber le Novum du Christ dans les catégories et genres antérieurs de la culture de réception. L’ancestralisme n’est pas une réalité simplement africaine ; il traverse la Bible et d’autres cultures comme celle de la Rome antique et de la Chine ancienne. Par-delà la causalité exemplaire de l’ancêtre que la mémoire du passé suffit à fonder métaphysiquement, la théologie chrétienne ne peut pas lui reconnaître une causalité efficiente. En juste foi chrétienne, c’est l’efficience du Ressuscité qui bouleverse tout le régime d’efficience salvifique antérieur à la nouveauté chrétienne. Le Christ n’est pas un Ancêtre, il est l’Eschaton
The cultural context of the african continent is marked by the pregnancy of the ancestors.That is why the theology of the inculturation of the faith thought of having to appropriate the theme of the ancestor to repatriate its symbolic meaning in the service of the christian faith. But beyond an informal putting in report between the Christ and the ancestor, the inculturation of the faith evolved towards the speculative formality of an ancestralisation of the Christ. In that respect, the theology of Christ-Ancestor places us in front of a precarious process of logical subsumption which introduces and risks to absorb the Novum of Christ in the categories and the previous kinds of the culture of reception. The ancestralism is not only african reality; it crosses the Bible and the other cultures as that of ancient Rome and ancient China. Beyond the exemplary causality of the ancestor which the memory of past is enough to establish metaphysically, the christian theology cannot recognize it an efficient causality. In christian faith, it is the efficiency of the Resuscitated that upsets all the category of salvific efficiency previous to the Christian novelty. Christ is not an Ancestor, he is Eschaton
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Plus de sources

Livres sur le sujet "Culte des ancêtres"

1

Dánann, Alexandre de. Mémoire du sang : "contre-initiation," culte des ancêtres, sang, os, cendres, palingénésie. Milano : Archè, 1990.

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2

Ecole des hautes études en sciences sociales, dir. La mémoire des ancêtres, le souci des morts : Fonction et usages du culte des morts dans l'Occident médiéval : diocèse de Liège, XIe-XIIIe siècles. Lille : A.N.R.T. Université de Lille III, 1992.

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Chapitres de livres sur le sujet "Culte des ancêtres"

1

Ðặng Nghiêm, Vạn. « Le culte des Ancêtres, forme religieuse traditionnelle du Viêt Nam ». Dans Pluralisme religieux : une comparaison franco-vietnamienne, 119–30. Turnhout : Brepols Publishers, 2013. http://dx.doi.org/10.1484/m.behe-eb.4.00683.

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2

Hirobumi, Sumitani. « « Gens ordinaires », Seken, système impérial et culte des ancêtres ». Dans Individu-s et démocratie au Japon, 217–28. Presses universitaires du Midi, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/books.pumi.12276.

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3

Ghouirgate, Mehdi. « Chapitre IX. La mort du calife et le culte des ancêtres ». Dans L’Ordre almohade (1120-1269), 403–47. Presses universitaires du Midi, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/books.pumi.12063.

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Truong, Thúy Trinh. « Étude du culte des ancêtres chez les Vietnamiens à travers certaines œuvres d’Alexandre de Rhodes ». Dans Hanoi-Paris, 791–816. Éditions Kimé, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/kime.espag.2019.01.0791.

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5

Walzer, Nicolas. « Entre Madagascar et La Réunion, le culte des ancêtres malgaches et la gestion des défunts bouleversés par la Covid-19 ». Dans L'océan Indien traversé par l'épidémie de covid-19. Presses Universitaires Indianocéaniques, 2024. http://dx.doi.org/10.61736/ekwn2640.

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« Le rôle du soleil et de l’ eau dans le culte des ancêtres d’ après les données épigraphiques éblaïtes à la lumière de la religion comparée et de l’ ethnologie ». Dans The Third Millennium, 595–616. BRILL, 2020. http://dx.doi.org/10.1163/9789004418080_029.

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Goulard, Jean-Pierre. « Écrits d'Amazonie ». Dans Écrits d'Amazonie, 67–86. CNRS Éditions, 2013. http://dx.doi.org/10.3917/cnrs.metra.2013.01.0067.

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Résumé :
La tradition d’un Créateur ou Grand Ancêtre, qui fit l’univers ou les Hommes et qui mena l’humanité sur le chemin de la Civilisation, est probablement générale en Amérique du Sud. Un Initiateur et Civilisateur de la sorte pouvait aisément devenir un Être Suprême ou un Grand Dieu ; ce changement semble avoir eu lieu dans l’Ancien Pérou où Viracocha était à la fois un Héros culturel et un Dieu Suprême. Il est difficile de savoir si la conception de l’Être Suprême parmi les Araucan était pré-européenne ou si elle provenait de leurs relations de longue date avec les Blancs. La croyance en un Dieu Suprême était l’un des concepts fondamentaux de la religion des tribus de la Terre de Feu. Le « Père » de la mythologie witoto paraît être le résultat d’une pensée métaphysique unique et brillante. Il tirait son origine de la « Parole », c’est-à-dire des formules magico-religieuses. Il était la personnification du « Verbe » qu’il transmit à son tour aux premiers hommes. Les Yaruro et les Cágaba possédaient une déité qui était la « Mère de toutes les choses ». Le Héros culturel ne fait pas l’objet d’un culte ; il est davantage un personnage mythique qu’une déité. Il est un transformateur par excellence, qui sillonna le territoire tribal en orchestrant toutes sortes de changements dans la nature. Il est également un donneur d’ordres qui enseigna aux hommes comment vivre en société et comment obtenir les faveurs des êtres surnaturels. Un bon exemple de mythe sur le héros culturel est celui de Doyitt relevé par Norsdenkiöld chez les Mosetene. Il est parmi eux tout à la fois Créateur, transformateur et même décepteur. Le Créateur ou Héros culturel est rarement un personnage solitaire. Il a souvent un partenaire, un rival puissant qui contrecarre ses projets (Inca, Chocó). Une paire de frères, généralement jumeaux, sont parmi les protagonistes les plus importants du folklore sud-américain, dans lequel ils apparaissent comme des héros culturels, des décepteurs et des transformateurs. Ils sont souvent les personnifications de Soleil et Lune. Dans la mythologie gê et mataco, les exploits des Jumeaux sont effectivement attribués à ces astres. Les grandes actions réalisées par les Jumeaux ont transformé l’aspect de la nature et l’apparence de nombreux animaux. Une comparaison entre les récits des Jumeaux permet de démontrer leurs grandes similitudes à travers tout le continent.
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