Littérature scientifique sur le sujet « Fouilles archéologiques – Aube (France) »
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Articles de revues sur le sujet "Fouilles archéologiques – Aube (France)":
1
Barbier, Jean-Pierre. « Découvertes archéologiques dans un des plus vieux temples en France ». Revue d'histoire du protestantisme 9, no 1 (4 avril 2024) : 89–98. http://dx.doi.org/10.47421/rhp_9.1_89-98.
Résumé :
L’église luthérienne Saint-Martin de Montbéliard (Doubs) est considérée comme le plus ancien édifice français protestant subsistant encore aujourd’hui du fait de la destruction par le pouvoir royal des grands temples réformés français construits au XVIe siècle. Il est à ce titre un modèle architectural original, se démarquant par son plan basilical du « quadrangle choral réformé » et du plan axial des édifices luthériens nordiques. Des fouilles archéologiques récentes ont permis de découvrir des décors très intéressants datés de 1607 et de 1741. La découverte de cet aménagement originel modifie le regard que l’on porte généralement sur l’architecture protestante française qui ne peut se réduire à celle du XIXe siècle centrée sur la chaire d’enseignement et empreinte d’austérité et de sévérité.
2
Lequint, Rémi, et Éric Fouache. « Contributions of a geoarchaeological study of Wissant Bay (Pas-de-Calais, France) ». Annales de la Société Géologique du Nord, no 19 (1 décembre 2012) : 35–38. http://dx.doi.org/10.54563/asgn.1364.
Résumé :
La baie de Wissant possède une façade littorale composée d’une côte sableuse encadrée par des falaises rocheuses. Elle est affectée par une érosion importante à l’origine de l’effondrement de la digue de protection de la station balnéaire en 2000 et 2007. Le rythme du recul contemporain de la côte est un des plus importants en France. Depuis le milieu du XIXe siècle, de nombreuses campagnes de fouilles archéologiques ont été conduites à Wissant. Elles ont notamment été menées avec l’objectif de retrouver les vestiges du port médiéval et du Portus Itius de César qui pourrait être situé à Wissant. Les données sur l’occupation humaine et l’évolution du bassin de Wissant montrent que les populations ont entretenu des relations avec la mer depuis le Néolithique. L’occupation a été tantôt favorisée tantôt rendue difficile par les dynamiques littorales. L’étude du site de Wissant s’inscrit donc dans l’appréhension de la relation entre les phénomènes naturels et les faits humains. Elle passe par la synthèse des données historiques, archéologiques et géomorphologiques mises en relation dans une étude géoarchéologique générale de la baie.
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Moussette, Marcel. « Qu'en est-il de la légende de l'Homme au masque de fer de la Petite île aux Oies ? » Zone libre, no 58 (28 février 2012) : 297–310. http://dx.doi.org/10.7202/1008125ar.
Résumé :
Tout énigmatique qu'il soit, le personnage du Masque de fer, ce prisonnier dont on n'a pu encore établir l'identité d'une façon certaine, aurait bel et bien vécu en France au tournant des XVIIe et XVIIe siècles. Au Québec, le nom de ce personnage a servi à désigner au XIXe siècle un reclus ayant vécu à la petite île aux Oies, Pierre Bécart de Granville, fils du premier seigneur à s'y établir, donnant ainsi naissance à un récit légendaire. Cet article examine les différents éléments de ce récit à la lumière des documents d'époque se rapportant à Pierre Bécart et des résultats des fouilles archéologiques effectuées sur le site du manoir où il a vécu.
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Baril, Quentin, et Nicolas Samuelian. « Des vestiges méconnus de la Seconde Guerre mondiale : les tranchées-abris du programme de défense passive ». Revue d'archéologie contemporaine N° 2, no 1 (23 octobre 2023) : 145–58. http://dx.doi.org/10.3917/raco.002.0145.
Résumé :
En France, de nombreuses traces témoignent, encore aujourd’hui, du programme national de défense passive mis en place dès le début des années 1930. Son rôle était d’assurer la protection des civils contre les attaques aériennes en temps de guerre grâce à un certain nombre de mesures préventives, notamment la construction ou le renforcement de réseaux souterrains (caves, abris ou tranchées). Les vestiges de cette organisation défensive, qui ont parfois peu marqué la mémoire collective, se signalent aujourd’hui discrètement dans le paysage urbain ou rural, lorsqu’ils n’ont pas complètement disparu. Quelques exemples archéologiques récents et choisis permettent de redécouvrir ces témoignages matériels, à travers les fouilles d’Olonne-sur-Mer (Vendée) l et de Sauveterre-de-Guyenne (Gironde) m et le diagnostic de Nanterre (Hauts-de-Seine) n .
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Hulin, Guillaume, et François-Xavier Simon. « Inrap et géophysique : vers une approche raisonnée ». Archimède. Archéologie et histoire ancienne 7 (9 juin 2020) : 254–59. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0007.act.12.
Résumé :
L'archéologie préventive en France repose sur deux phases d’étude distinctes que sont le diagnostic et la fouille. L'intégration de la prospection géophysique dans ce processus reste, à ce jour, relativement limitée malgré un nombre important d'expériences visant à introduire ces techniques notamment en phase de diagnostic. Des tensions et malentendus sont apparus opposant l’utilisation de la géophysique à la réalisation des tranchées à la pelle mécanique pour l’évaluation du potentiel archéologique en contexte préventif. Ces points de discorde se concentrent autour de trois aspects que sont la fiabilité scientifique, le gain de temps et la rentabilité financière de la géophysique par rapport au diagnostic conventionnel. Malgré cela, au cours des dernières années, l'Inrap développe et met en œuvre des études géophysiques en prônant une utilisation raisonnée de ces techniques, c’est-à-dire uniquement lorsque l’on sait la géophysique particulièrement pertinente. Les principales applications concernent bien évidemment la détection de vestiges archéologiques mais également la reconstitution de paysages anciens et, de manière plus originale, la cartographie et la caractérisation des couches archéologiques lors des fouilles. Pour ce faire, l'Inrap a récemment mis en place une équipe de prospection géophysique et tous les indicateurs laissent présager une augmentation des demandes et une très bonne intégration de la géophysique auprès de la communauté archéologique.
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Bruna, D. « De l'agréable à l'utile : le bijou emblématique à la fin du Moyen Âge ». Revue historique o 123, no 1 (1 janvier 1999) : 3–22. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.g1999.123n1.0003.
Résumé :
Résumé Le badge est un emblème qui représente, par un animal, une plante ou un objet, un roi, un prince ou tout autre individu. Il apparaît dans la deuxième moitié du xiv siècle notamment sous forme de broches appelées : enseignes. Le badge sert d'ornement vestimentaire mais aussi de marque d'identité que son propriétaire appose sur ses effets personnels. C'est en ce sens que l'on peut dire que le rôle du badge est à la fois utile et agréable. Son caractère utilitaire s'accroît avec l'apparition d'événements sociaux et politiques : les livrées et les conflits. Lors des livrées, lé badge, essentiellement sous forme d'enseignes de plomb et d'étain, était diffusé par les princes auprès des membres de leur maison. Durant les conflits entre les Armagnacs et les Bourguignons en France, puis ceux entre les York et les Lancastre en Angleterre, les enseignes servaient à la fois de signes de reconnaissance, de ralliement et de passe-droits. Reposant sur des chroniques contemporaines, mais surtout sur l'examen de véritables enseignes découvertes lors de fouilles archéologiques en France et en Angleterre, cette étude montre combien ces petits objets ont joué un rôle important, notamment lors des derniers conflits de la guerre de Cent Ans.
7
Vivas, Mathieu, et Adrien Bayard. « Nouveau regard interdisciplinaire sur la ville de Vieil-Hesdin (Moyen Âge-pré-modernité) ». Revue du Nord 446, no 2 (14 mars 2023) : 445–75. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.1446.0445.
Résumé :
Du x e au xvi e siècle, la ville de Vieil-Hesdin est un pôle urbain peuplé et politiquement, économiquement et artistiquement prospère. Elle se situe dans un comté d’Artois tour à tour aux mains des princes artésiens, des ducs de Bourgogne, des rois de France et de l’empereur. Accolé au nom d’Hesdin, l’adjectif « vieil » renvoie à sa destruction par les troupes de Charles Quint en juillet 1553, mais aussi à la construction d’un « Nouvel Hesdin » à 5 km plus au nord. Aujourd’hui Vieil-Hesdin fait l’objet d’une recherche interdisciplinaire : sources textuelles, documents iconocartographiques, inventaire du mobilier et du lapidaire mis au jour dans les années 1970, reconnaissance de vestiges sur le terrain, prospection électromagnétique, campagnes de fouilles et d’observations archéologiques du bâti permettent d’interroger la fabrique de l’espace urbain et son évolution. À ce titre, les efforts ont surtout été concentrés sur la ville intro muros et, entre autres, sur l’ancienne place du marché et une portion de l’enceinte méridionale.
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Lachiche, Caroline. « Les équidés mutilés de la Grande Guerre ». Revue d'archéologie contemporaine N° 2, no 1 (23 octobre 2023) : 159–73. http://dx.doi.org/10.3917/raco.002.0159.
Résumé :
Pendant la Première Guerre mondiale, près de huit millions de chevaux, d’ânes et de mulets ont été utilisés comme moyens de traction et de communication dans l’effort de guerre. Plus d’un million d’entre eux ont perdu la vie, victimes de l’artillerie, des attaques chimiques, de la maladie ou de la faim. Les sites archéologiques du Châtelet-sur-Retourne, de Neufilze et de Juniville, situés dans le sud du département des Ardennes en France, révèlent des dépôts d’animaux liés à la Première Guerre mondiale. Au Châtelet-sur-Retourne, des fouilles ont permis de découvrir un aérodrome allemand ainsi que plusieurs fosses contenant des restes de boucherie provenant des premières découpes réalisées sur place par des professionnels. À Neuflize, des structures telles que des cratères d’obus et un abri souterrain témoignent de l’occupation pendant le conflit. Enfin, à Juniville, des fosses ont été creusées pour enterrer plusieurs carcasses d’équidés et de bovins. L’analyse des ossements a permis de caractériser les animaux découverts, notamment leur taille, leur âge et leur état de santé. Des traces de découpe sur les os suggèrent que certaines parties ont été prélevées probablement pour l’alimentation des troupes. Les résultats fournissent alors des informations précieuses sur les conséquences de la guerre et sur les conditions de vie des équidés ainsi que sur celles des soldats.
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Tzortzis, Stefan, Florence Mocci, Kevin Walsh, Claudia Defrasne, Brigitte Talon, Vincent Dumas, Thibault Lachenal et Carine Cenzon-Salvayre. « L’occupation préhistorique et protohistorique de la montagne et de l’abri Faravel dans le parc national des Écrins (Hautes-Alpes, France) ». Collection EDYTEM. Cahiers de géographie 20, no 1 (2018) : 161–76. http://dx.doi.org/10.3406/edyte.2018.1416.
Résumé :
L’Abri Faravel, découvert en 2010 à 2 133 m d’altitude dans le Parc National des Écrins (Freissinières, Hautes-Alpes, France), est un site d’altitude ayant fait l’objet de plusieurs campagnes de fouille programmée entre 2011 et 2015. Cet abri-sous-roche a connu plusieurs phases d’occupation sur une longue durée, depuis le Mésolithique jusqu’à l’époque contemporaine. Le mobilier archéologique collecté lors de ces fouilles se compose d’une série lithique assez importante dans un tel contexte (plus de 3 000 objets enregistrés dont un lot important de pièces diagnostiques attribuables au Premier Mésolithique) mais aussi, en moindre quantité, de céramique non tournée de l’âge du Fer, d’un objet de parure antique et d’éléments de ferronnerie antiques et médiévaux. La présence de peintures rupestres, comportant notamment la figuration de quadrupèdes la plus haute d’Europe à ce jour, souligne l’originalité de cet abri. La technique et le thème (un cerf blessé affronté à un autre animal) des peintures schématiques réalisées à l’ocre sur le plafond de l’abri et sur la paroi du fond, mais également les associations présentes, invitent à les attribuer au Néolithique. L’étude de ce site s’inscrit dans le cadre des recherches pluridisciplinaires menées depuis plusieurs années, sous la direction de F. Mocci et K. Walsh, dans les hauts massifs de l’Argentiérois, au coeur du Parc National des Écrins. Ces dernières ont notamment mis en évidence la fréquentation par l’Homme de ces reliefs alpins, au-delà de 2 000 m d’altitude, dès le Mésolithique. Nous présentons dans cet article un état des connaissances relatives à cet abri que nous replaçons dans le contexte plus large des données archéologiques et environnementales établi dans ce secteur des Alpes méridionales françaises.
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Borderie, Quentin, Barbora Wouters, Rowena Banerjea, Cristiano Nicosia, Grégory Schutz, Franck Gama, Stéphane Augry et Pierre Wech. « Il était une fois des sociétés qui stockaient du carbone en ville : processus de formation et implications sociétales des terres noires urbaines de l’Europe médiévale (Ve−XIe s.). » BSGF - Earth Sciences Bulletin 192 (2021) : 23. http://dx.doi.org/10.1051/bsgf/2021016.
Résumé :
Le sous-sol des villes est structuré par plusieurs millénaires d’interactions société-environnement, qui ont créé les strates et sols urbains dont la puissance sédimentaire peut aujourd’hui dépasser une dizaine de mètres. Depuis une trentaine d’années, le développement de la géoarchéologie des environnements artificialisés, et l’application des géosciences à ces formations anthropogènes, a permis de caractériser les processus pédo-sédimentaires et les systèmes d’activités qui en sont à l’origine. Ainsi, il est possible de constater que les strates des Ve–XIe siècles sont majoritairement caractérisées par des couches de terre sombre, d’apparence homogène, épaisses de plusieurs dizaines de centimètres, voire de plusieurs mètres, qui se rencontrent dans tous les espaces urbains anciens d’Europe, depuis Moscou jusqu’à Séville. Cet article présente une synthèse des résultats obtenus par l’étude systématique de ces terres noires, à l’échelle de l’Europe. Les résultats ont été acquis en associant une approche géo-archéologique à des fouilles archéologiques détaillées, et l’application des méthodes de l’archéo-pédologie, de la sédimentologie, de la micromorphologie, de la géochimie (métaux lourds, matières organiques) sur les stratifications archéologiques. Sur plus d’une centaine de sites étudiés en Grande-Bretagne, en Belgique, en France, en Italie, il a été possible de constater que les processus conduisant à la formation de terres noires sont très nombreux, tous liés à une occupation humaine des lieux. La bioturbation joue un rôle important dans la structuration de ces dépôts, conduisant à l’effacement partiel des anciennes interfaces sédimentaires. Les terres noires sont très riches en matières organiques, en déchets issus d’activités humaines domestiques, artisanales, en excréments, ainsi qu’en matériaux architecturaux dégradés. Les terres noires présentent des teneurs en carbone organique très élevées par rapport aux autres formations urbaines anciennes, comprises entre 9 et 35,9 mg/kg. Elles sont polluées au phosphore (jusqu’à 20,34 g/kg) et aux métaux lourds. Les concentrations en plomb atteignent 1830 mg/kg. Ces données permettent de mieux comprendre le comportement urbain des sociétés du début du Moyen Âge, dans leur gestion des déchets, leur rapport à la matérialité des surfaces sur lesquelles elles circulent et comment s’organisent les activités dans les villes.
Thèses sur le sujet "Fouilles archéologiques – Aube (France)":
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Denajar, Laurent. « L'occupation humaine du Bronze final au Moyen-Âge dans le département de l'Aube ». Université de Franche-Comté, 2005. http://www.theses.fr/2005BESA1041.
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Sanchez, Corinne. « Le mobilier céramique de Narbonne et sa région (fin IIe s. Av. N. è / Ier s. De n. è) : pour une approche du processus de romanisation ». Lyon 2, 2003. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2003/sanchez_c.
Résumé :
Le recensement des principales collections de mobilier céramique romain à Narbonne et dans sa région a permis de mettre en évidence leurs apports aux problématiques historiques, économiques et culturelles. Pour la première colonie, les découvertes se rattachent étroitement à celles de la topographie primitive de l'agglomération. Le mobilier de Montredon-des-Corbières complète l'image du mobilier de cette période et donne matière aux discussions chronologiques. Les fouilles de la Médiathèque permettent de dresser une première approche chrono-stratigraphique du mobilier durant le Ier s. Av. N. è. L'exploitation du mobilier des fouilles du Clos de la Lombarde vient compléter l'image de l'évolution économique de la ville antique. Une large part est faite au principal port de Narbonne romaine : Port-la-Nautique dont les données sont précieuses pour une approche du commerce antique. Les oppida et les établissements ruraux constituent un potentiel d'information indissociable de l'agglomération et de son port. Dans un cadre chronologique s'étendant de la fondation de la colonie jusqu'au Ie s. De n. è, l'ensemble du matériel permet d'exploiter deux orientations majeures : - l'élaboration d'une série céramologique de référence, en prenant en compte l'établissement d'une colonie de peuplement appuyé par l'installation de vétérans. Nous pouvons ainsi définir le faciès céramologique d'une ville romaine en Gaulle, essayer de cerner les liens entre ces faits et les changements de faciès céramique. - La définition économique et culturelle d'une ville romaine sur le sol gaulois sa spécificité et surtout son influence dans les transformations régionales et extra-régionalesThe census of the principal collections of roman ceramic in Narbonne and in its country are allowed to display prominently the contribution of narbonnaisʺ ceramic to the historic, economic and cultural problematics. For the first colony, the discoveries are connected tightly with the ones of the primitive topography of the agglomeration. The ceramic of Montredon des Corbières complete the material image of this period and give a subject for chronologic discussions for the end of the II nd b. C. The Médiathèque excavation permit to draw up a first chrono-stratigraphic approach of ceramic during the I st b. C. The exploitation of the ceramic of the excavations of Clos de la Lombarde is a supplementar point for know the economic evolution of the antic city. A large part is make to the set of the principal harbour of roman Narbonne: Port-la-Nautique witch the data are precious for a approach of antic trade. The oppida and the rural establishements constitue a potential of information andissociable of the agglomeration and of it harbour. In a chronologic scope extending of the first fundation to the I st a. C. , the material as a whole permit to exploited two orientations of great importance: - the elaboration of a ceramologic reference serie considering the establishement of a colony of populating based on the veteran’s installation. We can so defined the ceramologic facies of the roman city in Gaul, try to considering the bonds between this facts and the transformation of ceramic facies. - The economic and cultural definition of the roman city on the gallic soil for apppreciate the specificity and especially her influency in the regional and extra-régional transformations
3
Dellong, Éric. « Le littoral narbonnais dans l'Antiquité : approche archéologique de la ville de Narbonne et de son terroir à travers la réalisation d'un système d'informations géographiques (IIe s.av. J.-C.-IIIe s. apr. J.-C.) ». Toulouse 2, 2006. http://www.theses.fr/2006TOU20081.
Résumé :
Ce travail a pour objet de mieux cerner le fait archéologique, au cœur même de l’ancienne capitale de la Province de Narbonnaise (département de l’Aude), entre le IIe s. Av. J. -C. Et le IIIe s. Apr. J. -C. Intercalé entre la mer et les premiers contreforts des massifs des Corbières, au point de rencontre des flux commerciaux du sud espagnol, de l’Italie et de l’ouest aquitain, le littoral Narbonnais qui a vu se développer la cité de Narbonne, a été soumis à d’importantes variations environnementales. A travers la mise en place d’un système d’information géographique, ce travail cherche à décrire, pour une période donnée, l'Antiquité, une unité géographique, le littoral narbonnais, tout en rendant compte des dynamiques humaines et naturelles, parfois contradictoires, qui la caractérisent. S'il est à trouver une problématique globale, un fil directeur à cette analyse du littoral narbonnais antique, c'est dans le phénomène d'urbanisation et dans ses implications pour le territoire qu'il est à rechercher. Traiter de cette région revient à retracer un moment de l’évolution d’un milieu original précocement urbanisé, car c'est bel et bien là, en dépit de la particularité du milieu, sa véritable spécificité. Cette thèse, sans négliger l’histoire de Narbonne proprement dite, éclaire un peu plus, par la prise en compte de la dimension archéologique urbaine et rurale, la question délicate des relations entre une ville et son terroir, une cité antique et son territoireThis academic work has for objective to understand the archaeological event, in the heart of the ancient capital of “Province de Narbonnaise” (in French department Aude) between the 2nd century BC and the 3rd. Century after AD. Set up between the sea and the “Massif des Corbières” first foothills, trade meeting point for south of Spain, Italy and west Aquitaine region, City of Narbonne and its coastline has given in important environmental changes. Through the setting up of a Geographical Information System, this work searches to describe, both a specific period (Antiquity) and a geographic unit (“Narbonnais” coastline). This G. I. S. Also brings out characteristics, some even contradictory, about natural and human dynamics. If a overall problematic has to be found in this analysis of the Ancient “Narbonnais” Coastline, it certainly would be in the urbanization phenomenon and its involvement on the territory. To write about this region it’s just like to go back over the evolution of a original, prematurely, built up area, which is in fact, and despite the particularity of the natural medium, its real distinctive feature. Without disregarding Narbonne History itself and considering the archaeological urban and rural dimension, this thesis throws light on the delicate question of relationships between a town and its country, between an ancient city and its territory
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Garcia, Dominique. « Entre Ibères et Ligures : Lodévois et moyenne vallée de l'Hérault de la fin de l'Age du Bronze au Principat d'Auguste ». Montpellier 3, 1990. http://www.theses.fr/1990MON30025.
Résumé :
Cette zone n'est ni une frontiere reelle, ni une simple zone tampon, mais bien plutot une region a l'identite culturelle et economique propre. Deux facteurs jouent un role determinant : le fleuve et les richesses naturelles, en particulier le cuivre. Le fleuve occupe tout au long de la protohistoire une place preponderente dans le systeme de peuplement. A la fin de l'age du bronze, les habitats se concentrent a proximite des gites cupriferes. Au 1er age du fer, la region est peuplee par les elysiques dont l'interet pour ces richesses minieres est certain. Des la fin du 6e siecle, le minerai de cuivre provoquera la rencontre des indigenes avec les etrusques et les grecs. Les premiers echanges auront pour base cette matiere premiere rare et indispensable aux peuples de la mediterranee. L'exploitation des filons et les depots de metal, le vin et la vaisselle, revelent ces echanges qui vont faire basculer l'economie et les modes de vie de ces communautes. De nombreuses agglomerations seront alors creees. La tentative de main mise d'agde sur l'arriere-pays est motivee par ces richesses. Au 2e age du fer, des proto-cites comme l'oppidum de la ramasse temoignent de l'importance de ces contacts (architecture, relations commerciales. . . ). Sans aucun doute, c'est aussi le metal qui justifiera la cadastration des regions minieres des le debut de la creation de la narbonnaise, les colons ayant pour premiers desirs de gerer ces zones productives politiquement sensibles. C'est encore le metal qui peut expliquer la creation de lodeve-forum neroni dont le territoire livre d'importantes traces d'exploitations cupriferesThis area is neither a real frontier, nor a simple buffer zone, but rather a region with a real cultural and economic identity. Two factors play a determinant part : the river and the natural resources, particularly copper ore. During all protohistory, the river has a preponderant place in the populating system. At the end of bronze age, habitats are concentrated in the vicinity of cupriferous deposits. At the iron age, this area is populated by elysics who are interested in these mining resources. From the end of the 6th. Cent. , the resources in copper ore provoke the encounter of indigenous with etruscans and greeks. The first exchanges get on those raw materials, rare and indispensable to mediterranean peoples. Tapping of vein and metal deposits, wine and crockery, reveal these exchanges which make tip up indigenous's economy and way of life. Numerous agglomerations are then created. The agdes' seizure of hinterland is justified by those resources. In the 2d iron age, "proto-cities" as the oppidum of la ramasse give evidence of the great importance of those contacts (architecture, commercial relations. . . ). Without any doubt, it is the metal which vindicates the cadastration of mining areas from the outset of the narbonnaise creation, colonists having for first desire to manage those productive zones, politically sensible. It is also the metal which can explain the creation of lodeve-forum neroni whose territory delivers important traces of mining tapping
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Rothé, Marie-Pierre. « L'occupation humaine de la protohistoire au haut Moyen Age dans le Jura ». Lyon 3, 2001. http://www.theses.fr/2001LYO31012.
Résumé :
La réalisation du Pré-inventaire de la Carte archéologique de la Gaule du Jura, patronnée par l'Institut de France et dirigée par M. Provost, a motivé l'émergence de ce sujet de thèse. En effet le recensement de 2795 sites archéologiques a permis, en étroite collaboration avec les spécialistes de la région, de proposer une synthèse des connaissances sur la vie des hommes de la protohistoire, de la période romaine et du haut Moyen Age en étudiant les évènements historiques qui les ont marqués, le cadre de vie dans lequel ils évoluaient, la manière dont ils ont occupé le sol, les denrées ou objets qu'ils produisaient, les liens économiques qu'ils tissaient avec leurs voisins, leurs coutumes funéraires et leurs croyances religieuses. Notre propos est systématiquement illustré par des cartes archéologiques thématiques qui alimentent en partie la réflexion et permettent notamment de se questionner sur la part respective de l'histoire des recherches et du déterminisme géographique dans ce qu'elles nous donnent à voir. Cette recherche offre une approche diachronique remettant à jour des bilans qui commençaient à dater et soulignant la pérennisation de certains lieux d'occupations depuis des millénaires sans omettre de mentionner les lacunes des recherches dans les secteurs d'altitude, de marécages et de forêts.
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Vallat, Pierre. « Histoire de l'occupation du sol dans la Limagne des buttes (Puy-de-Dôme) de l'âge du Fer à l'Antiquité tardive ». Avignon, 2002. http://www.theses.fr/2002AVIG1031.
Résumé :
L'étude présentée correspond à une synthèse des résultats sur le thème général de l'histoire de l'occupation du sol de l'âge du Fer à l'Antiquité tardive, dans le cadre d'une unité géographique du département du Puy-de-Dôme : la Limagne des buttes. Il s'agit d'une exploitation des données déjà disponibles ou acquises à l'occasion de nos campagnes de prospection-inventaire dans cette micro-région, afin de tenter de combler une lacune historiographique sur un espace rural et ses modes d'occupation du IXe siècle av. J. -C. Jusqu'au début du Viiie siècle ap. J. -C. Cette recherche a pour finalité de proposer un essai de modélisation de l'évolution du peuplement des campagnes pour la partie méridionale de la Grande Limagne auvergnate et bourbonnaise, à partir d'une documentation qui est essentiellement archéologique, mais également fondée sur le dépouillement de sources textuelles ou figurées et de l'ensemble des données paléoenvironnementales disponiblesThis survey presents a synthesis of the results on the general subject of the history of the land use from the Iron Age to the late Antiquity on a given area of the Puy-de-Dôme department (one of the administrative divisions of France) : the Limagne des buttes. Data, either already available ones or those collected while prospecting-surveying in this micro-région have been studied in order to try to fill an historiographical gap over a rural area and its land use from the ninth century B. C. To the early eighth century A. D. This study's aim is to propose an attempt of model of the population evolution in the country on the southern part of the Grande Limagne in the Auvergne and in the Bourbonnais, and this from documentation which is mainly archeological, but also based on the perusal of textual and cartographical sources, as well as all the paleoenvironnemental date available
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Fosse, Philippe. « Taphonomie paléolithique : les grands mammifères de Soleilhac (Haute-Loire) et de Lunel-Viel (Hérault) ». Aix-Marseille 1, 1994. http://www.theses.fr/1994AIX10042.
Résumé :
L'archéologie préhistorique pose aujourd'hui de nouvelles questions sur le comportement humain. Une partie des réponses est apportée par les vestiges osseux qui font désormais l'objet d'études taphonomiques. Ces études sont d'autant plus importantes qu'elles portent sur une période clé de la préhistoire : celle des premiers peuplements. L'étude taphonomique des ossements recueillis à Soleilhac (Haute-Loire), qui est un site archéologique du très ancien paléolithique, dont l'âge est de 900 000 ans et à Lunel - Viel 1 site moustérien d'environ 250 000 ans, menée de pair avec des données provenant de sites paléontologiques et de repaires d'hyènes, permet de reconstituer en partie le comportement humain face à son environnement animal au cours du paléolithique inférieurNowadays prehistoric archaeology asks new questions about human behavior. Some of the answers are brought by faunal remains that are studied in a taphonomic way. This kind of study is important because it concerns a key-period of prehistory : the first settlements. Taphonomic studies of bones from the archaeological sites of Soleilhac (Haute-Loire), which belongs to the ancien paleolithique (900 000 years) and of Lunel-Viel 1, a mousterian one (250 000 years) are made and compared with data from natural (palaeontological) sites and carnivore dens. The results can be used to reconstruct human behavior in his faunal environment during lower palaeolithic
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Séara, Frédéric. « Campements mésolithiques de plein air : détection, caractérisation, modélisation de Ruffey-sur-Seille et Choisey (Jure), aux occupations des 9° et 8° millénaires de Pont-sur-Yonne (Yonne) ». Dijon, 2008. http://www.theses.fr/2008DIJOL020.
Résumé :
Le développement de l’archéologie préventive est à l’origine de la mise au jour de vastes gisements de plein air mésolithiques, à l’image des sites de Ruffey-sur-Seille et de Choisey dans le Jura. Au-delà des nombreuses informations archéologiques, l’étude de ces occupations a permis d’engager une réflexion sur les protocoles méthodologiques de détection et de caractérisation de ce type de campements situés en fond de vallée. Le gisement de Pont-sur-Yonne, fouillé plus sommairement, a révélé des occupations du Mésolithique ancien et moyen. La fouille intégrale de la petite occupation ancienne appartenant à la seconde moitié du Préboréal, a livré des informations de premier plan sur les questions palethnographiques grâce en particulier aux remontages très complets des éléments lithiques. La mise en application de modes de représentation originaux, a ouvert de nouvelles perspectives en particulier sur la question de la structuration spatiale. La proposition de modèles d’organisation spatiale, avec l’unité d’activités simple et l’unité d’activités à espace domestique permet de poser les premières bases formalisées d’une réflexion encore récente. La définition de modules types constitués par ces modèles autorise dans un second temps une approche de la variabilité de la forme du campement qui revêt un caractère plus ou moins extensif et un niveau d’imbrication plus ou moins fort. En définitif, les occupations ici étudiées traduisent dans leurs différentes composantes, des fréquentations de courte durée en lien avec un régime de très forte mobilité des dernières population de chasseurs-cueilleurs, proche du système économique défini sur les principes du foragingThe developpment of survey archeology explains the discovery of huge mésolithics open air sites, like Ruffey-sur-Seille and Choisey in Jura. More than numerous archeological data, the study of these occupations allowed to reflect about the methodologicals protocols of detection and characterisation from this kind of encampments located in the bottom of the valley. The Pont-sur-Yonne site, summarily excavated, revealed low and middle Mesolithic’s occupations. The entirely excavation of the small old occupation belonging to the second half of preboreal period, procured mains informations about the palethnographical question, in particular with the very completes refittings of lithics artifatcs. The application of originals way of representation, opened news perpectives, in particular, about the spatial organisation’s question. The proposal of spatial organisation’s patterns with the simple unit of activities and the unit of activities with domestic space, bring the first bases of a too young reflection. The definition of standard modulus with these patterns, allow in a second time, the consideration of the variability from the encampments form that will be more or less extensive and overlapped. Finaly, the occupations here analysed, reveal in their differents compositions, shorts frequentings related to a very high mobility of these last hunter-gathering populations, nearby of the economic system based on the foraging’s principles
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Monteil, Martial. « Nîmes : origine et développement urbain (fin VIe s. av. J.-C./IIIe s. ap. J.-C.) ». Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX10067.
Résumé :
Cette these est l'occasion d'un essai d'analyse de l'evolution urbaine de nimes (gard, france) entre la fin du vie s. Av. J. -c. , date d'apparition de l'agglomeration, et le iiie s. Ap. J. -c. Apres une introduction generale consacree aux principales caracteristiques geographiques du site ainsi qu'a une breve presentation de l'histoire de la recherche archeologique locale, un catalogue de sites permet d'etablir les bases documentaires sur lesquelles se fonde l'etude. Toutes les fouilles recentes realisees entre 1965 et mars 1996, et qui peuvent etre positionnees avec precision sur le plan actuel de la ville, y sont traitees sous la forme de notices abondamment illustrees. Quelques observations plus anciennes ont egalement ete prises en compte dans cet inventaire, lorsqu'elles etaient susceptibles de participer a la restitution des grandes lignes du paysage urbain. Les syntheses qui suivent permettent de suivre la lente elaboration de l'agglomeration depuis le premier village installe surles pentes et a la base du mont-cavalier jusqu'a la ville romaine, caracterisee notamment par sa vaste enceinte augusteenne. Pour chacune des grandes periodes chronologiques definies - fin vie s. /fin iiie s. Av. J. -c. ; iie/ier s. Av. J. -c. ; epoque augusteenne et haut-empire; iiie s. Et destinee ulterieure -, on aborde successivement la proche peripherie de l'agglomeration - voies, necropoles, champs, eventuels etablissements periurbains -; les limites de la ville; la topographie urbaine au travers des rues, des ilots et, au-dela, des quartiers; les ensembles monumentaux publics et leurs liaisons organiques; les habitations privees et les traces d'activites artisanales et commerciales. La conclusion generale, enfin, traite des apports plus specifiquement historiques qui ressortent de cette etude de topographie urbaineThis thesis presents an analytical approach to the urban evolution of nimes (gard, france) from the end of the vith century bc, time of the apparition of the agglomeration, and the iiird century ad. After a general introduction concerned with the major geographical caracteristics, as well as a brief presentation of the history of local archaeological research, the documentary base on which this study is founded can be established thanks to an inventory of sites. All recent excavations between 1965 and march 1996, which can be located precisely on the current town plan, are treated in the catalogue with abundant illustrated notes. Some less recent observations are also taken into account in this inventory when they seem likely to have participated in the restitution of the main urban landscape. The synthesis which follows reveals the slow elaboration of the agglomeration from the first village installed on the slopes and at the foot of the mont-cavalier up to the roman town, characterized in particullary by it's vast surrounding wall dating from the era of august. For each of the big chronological periods defined - end of vith c. Bc/end of iiith c. Bc; iind/ist c. Bc; era of august and earlier empire; iiird c. Ad and onwards -, the following criteria are succesively aborded : arterial roads, necropolis, fields, possible peripheral establishments; town limits, urban topography as revealed by the streets, blocks of houses and neighbourhoods; the monumental public complexes and their organic relationships; private homes and finally traces of handicraft and commercial activities. The general conclusion treats more specifically historical material which emanates from this topographical urban study
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Gateau, Fabienne. « La chaîne de la Nerthe et son piémont nord (Bouches-du-Rhône) : archéologie de l'espace rural du premier âge du fer au Moyen Age ». Aix-Marseille 1, 1993. http://www.theses.fr/1994AIX10031.
Résumé :
A partir d'un inventaire archeologique realise surtout grace a la prospection au sol, sur les communes de carry-le-rouet, chateauneufles-martigues, ensues-la-redonne, gignac-la-nerthe, marignane, martigues, saint-victoret, sausset-les-pins et le rove, notre propos est d'essayer de comprendre l'evolution des habitats et des modes d'occupation des sols dans la diachronie, du premier age du fer au moyen age, a travers egalement l'evolution holocene du paysage. Notre etude a ainsi mis en evidence une occupation dense pour l'epoque romaine jusqu'a la fin de l'antiquite qui se reflete dans une documentation plus abondante que pour la protohistoire et le moyen age. Elle a permis aussi de montrer des differences dans les schemas d'occupation des sols et le mobilier trouve en surface qui permettent de supposer l'existence d'une limite entre la nerthe occidentale et la nerthe orientale qui pourrait coincider avec l'existence d'une cite autonome maritima. Cette limite serait deja perceptible durant la protohistoire et le serait encore au moyen age. Elle constituerait une originalite de lachaine de la nerthe par rapport aux autres rives de l'etang de berre.
Livres sur le sujet "Fouilles archéologiques – Aube (France)":
1
Dupond, Renata. Metz, place de la république : 2000 ans d'histoire : recherches & fouilles archéologiques. Metz : Serpenoise, 2010.
2
Poirier, Anne. Anne et Patrick Poirier : Petit guide à l'usage des visiteurs du domaine de Chaumont-sur-Loire, permettant de s'orienter à travers les récentes découvertes archéologiques réalisées dans le château et dans le parc par Anne et Patrick Poirier au cours de leur campagne de fouilles, septembre 2009-mai 2010. Paris : Thalia, 2010.
3
Pinette, Matthieu. Autun, Saône-et-Loire, ville gallo-romaine, Musée Rolin et Musée lapidaire. [Paris] : Ministère de la culture et de la communication, Direction du patrimoine, 1986.
4
Halsall, Guy. Settlement and social organization : The Merovingian region of Metz. Cambridge [England] : Cambridge University Press, 1995.
5
Halsall, Guy. Settlement and Social Organization : The Merovingian Region of Metz. Cambridge University Press, 2010.
6
Halsall, Guy. Settlement and Social Organization : The Merovingian Region of Metz. Cambridge University Press, 2002.
7
Halsall, Guy. Settlement and Social Organization : The Merovingian Region of Metz. Cambridge University Press, 2012.
Chapitres de livres sur le sujet "Fouilles archéologiques – Aube (France)":
1
René-Hubert, Matthieu. « Des militaires en fouilles : traces et archives des activités archéologiques de l’Armée d’Orient ». Dans La France et la Grèce au XXe siècle : des archives à l’histoire, 39–55. École française d’Athènes, 2021. http://dx.doi.org/10.4000/books.efa.13460.