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1

Ahronian, Céline, et Henri Béjoint. « Les noms composés anglais et français du domaine d’Internet : une radiographie bilingue ». Meta 53, no 3 (6 novembre 2008) : 648–66. http://dx.doi.org/10.7202/019245ar.

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Résumé :
Résumé Cet article se propose d’étudier le lexique d’un domaine de spécialité, Internet, qui présente la particularité de n’être pas réservé à un groupe d’experts. Les termes apparaissant quasi exclusivement en langue anglaise, la question centrale est de savoir comment se traduit l’influence de l’anglais sur la terminologie du français, langue cible. Pour apporter des éléments de réponse, nous avons examiné les noms composés, qui sont particulièrement nombreux dans ce domaine. Après avoir dressé le profil morphosyntaxique des termes collectés dans notre corpus à travers l’étude de leurs structures compositionnelles, y compris la pseudo-confixation, nous avons tracé leur portrait sémantique avec une analyse de la centricité et des relations sémantiques entre leurs éléments. Notre conclusion est que le lexique français d’Internet conserve des traces de l’origine anglaise de nombreux termes mais que le nombre d’emprunts est faible.
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2

Pak, Man-Ghyu. « Traduction automatique et classes d'objets : le problème de « porter un vêtement » en français et en coréen ». Meta 42, no 1 (30 septembre 2002) : 155–67. http://dx.doi.org/10.7202/003778ar.

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Résumé Nous traitons, dans cet article, d'un des problèmes les plus difficiles dans le domaine de la traduction automatique, et qui n'est pas résolu à l'heure actuelle. C'est le cas où un verbe de la langue source correspond à plusieurs verbes de la langue cible. Nous présentons ici une solution qui s'appuie sur la classe d'objets, introduite par G. Gross pour décrire les traits sémantiques des noms et des verbes des langues naturelles : elle consiste à construire les classes d'objets tant dans la langue source que dans la langue cible et à les relier.
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3

Ndayiragije, Juvénal. « La source du déterminant agglutiné en créole haïtien ». Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 34, no 3 (septembre 1989) : 313–17. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100013487.

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En créole haïtien (CH), l’agglutination du déterminant dans certains items lexicaux empruntés au français réalise des paires minimales révélant dans la plupart des cas une distinction sémantique évidente entre la forme à déterminant préfixé et sa correspondante non agglutinée. Ceci est illustré dans l’opposition établie entre listoua ‘histoire’ et istoua ‘une histoire’. Quelle est la source d’un tel type de distinction?Pour Baker (1984, 1986), la fréquence d’apparition d’un article particulier devant certains noms du français plutôt que d’autres constitue une condition préliminaire ayant favorisé l’agglutination du déterminant. L’influence de la structure morphologique des langues sources permet, quant à elle, d’expliquer l’inégale répartition de ce phénomène dans les différents créoles à base lexicale française.
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Huyghe, Richard. « Autonomie ou dépendance sémantique des noms d'événements en français ». Travaux de linguistique 67, no 2 (2013) : 7. http://dx.doi.org/10.3917/tl.067.0007.

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Todirascu*, Amalia, Thierry Grass*, Mirabela Navlea* et Laurence Longo*. « La relation de hiérarchie « chef » : une approche translingue français-anglais-allemand ». Meta 59, no 2 (21 novembre 2014) : 436–56. http://dx.doi.org/10.7202/1027483ar.

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La présente contribution fait état d’un projet de recherche dont l’objectif principal est de conceptualiser la relation chef (une relation de hiérarchie s’établissant à l’intérieur d’un groupe ou d’une organisation) du point de vue de la sémantique lexicale. Le deuxième objectif de ce travail est de définir un lexique trilingue (structuré par domaine) identifiant cette relation. Pour proposer une description complète de la relation chef, nous avons étudié d’un point de vue contrastif des données extraites de corpus monolingues et multilingues (parallèles et comparables) en français, en anglais et en allemand. Les noms propres de ces corpus ont été étiquetés, lemmatisés et annotés. Des patrons lexico-syntaxiques permettant une extraction automatique des expressions linguistiques de la relation chef ont été définis dans les trois langues.
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Fuentes, Sandrine. « LA TRADUCTION DES NOMS DE PROFESSION DANS UN SYSTÈME DE DICTIONNAIRES ÉLECTRONIQUES COORDONNÉS (ES-FR) ». Verbum 7, no 7 (20 décembre 2016) : 66. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2016.7.10259.

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Résumé :
Dans cet article, nous nous attachons à la problématique posée par la traduction des noms de profes­sions de l’espagnol vers le français et ce, dans une perspective de Traitement Automatique des Langues (TAL). Malgré la proximité linguistique des deux langues mises en regard, des obstacles d’ordre géné­ral comme la polysémie ou le figement et d’autres plus spécifiques comme le haut degré de technicité des termes concernés ou encore la structure interne complexe des syntagmes terminologiques peuvent entraver le processus de traduction automatique. C’est pourquoi il est nécessaire de fournir au système des descriptions linguistiques exhaustives, minutieuses et formalisées. C’est ce que nous proposons dans le dictionnaire électronique DicPro, où chaque lemme est associé à des champs lexicographiques de différents types (morphologique, sémantique, syntaxique, etc.) et ce, conformément au modèle de microstructure des dictionnaires électroniques conçus au sein du LDI (Université Paris 13). Il convient de souligner que chaque entrée du dictionnaire correspond à une seule et unique unité lexicale et que les formes polysémiques sont donc automatiquement dédoublées. D’autre part, nous concevons le dic­tionnaire bilingue comme une paire de dictionnaires monolingues coordonnés (Blanco : 1999), c’est pourquoi les équivalents de traduction que nous offrons servent de pointeurs vers le module français, dans lequel les lemmes sont munis de leurs propres descriptions linguistiques.
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Fuentes, Sandrine. « LA TRADUCTION DES NOMS DE PROFESSION DANS UN SYSTÈME DE DICTIONNAIRES ÉLECTRONIQUES COORDONNÉS (ES-FR) ». Verbum 7, no 7 (22 décembre 2016) : 66. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2016.7.10287.

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Résumé :
Dans cet article, nous nous attachons à la problématique posée par la traduction des noms de profes­sions de l’espagnol vers le français et ce, dans une perspective de Traitement Automatique des Langues (TAL). Malgré la proximité linguistique des deux langues mises en regard, des obstacles d’ordre géné­ral comme la polysémie ou le figement et d’autres plus spécifiques comme le haut degré de technicité des termes concernés ou encore la structure interne complexe des syntagmes terminologiques peuvent entraver le processus de traduction automatique. C’est pourquoi il est nécessaire de fournir au système des descriptions linguistiques exhaustives, minutieuses et formalisées. C’est ce que nous proposons dans le dictionnaire électronique DicPro, où chaque lemme est associé à des champs lexicographiques de différents types (morphologique, sémantique, syntaxique, etc.) et ce, conformément au modèle de microstructure des dictionnaires électroniques conçus au sein du LDI (Université Paris 13). Il convient de souligner que chaque entrée du dictionnaire correspond à une seule et unique unité lexicale et que les formes polysémiques sont donc automatiquement dédoublées. D’autre part, nous concevons le dic­tionnaire bilingue comme une paire de dictionnaires monolingues coordonnés (Blanco : 1999), c’est pourquoi les équivalents de traduction que nous offrons servent de pointeurs vers le module français, dans lequel les lemmes sont munis de leurs propres descriptions linguistiques.
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Lajus, Dorota. « Les sigles français et polonais : entre noms propres et noms communs. L’impact de la valeur sémantique des sigles sur leur traduction ». Studia Romanica Posnaniensia 46, no 1 (30 mai 2019) : 97–113. http://dx.doi.org/10.14746/strop.2019.461.006.

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Bassano, Dominique. « Sémantique et syntaxe dans l'acquisition des classes de mots : l'exemple des noms et des verbes en français ». Langue française 118, no 1 (1998) : 26–48. http://dx.doi.org/10.3406/lfr.1998.6249.

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Winters, Margaret E. « Innovations in French Negation ». Diachronica 4, no 1-2 (1 janvier 1987) : 27–53. http://dx.doi.org/10.1075/dia.4.1-2.03win.

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SUMMARY Predicate and phrase negation marking developed from Latin non to Old French ne in pre-verbal position. During the Old French period a small number of emphatic reinforcement elements added after the verb (such as pas "step" and personne "person") became negative polarity items in contexts such as 'not walking a step', 'not seeing a [single] person'. They further developed in early modern French into bipartite negative markers as they are still in contemporary written and formal spoken styles. An on-going change is that of 'ne-drop', that is, the use of the post-verbal element (such as pas) without the preceeding ne. Negation is therefore now being expressed more and more by what was originally an ordinary (that is, non-polarized) noun. The above analysis is made in the framework of Cognitive Grammar, a semantics-based theory of language structure and function which posits, among other concepts, a radial configuration to meaning sets. The set of 'Negation', therefore, can be perceived as having incorporated, at first as peripheral and then as central, these original nouns which have become full negative elements in modern French. RÉSUMÉ La marque de négation prédicate ou phrasale s'est dévéloppée du latin non à ne en ancien français en position pré-verbale. A l'époque de l'ancien français, un petit groupe d'éléments de renforcement emphatique ajoutés après le verbe (tels que pas et personne) sont devenus éléments de polarité négative dans des contextes tels que 'ne pas marcher un pas'„'ne pas voir une [seule] personne'. Puis ils sont devenus en français moderne primitif des marques bipartites de négation, tels qu'on les trouve dans les styles écrit contemporain et formellement parlé. Un changement en cours est la 'chute de ne', c'est-à-dire, l'emploi de l'élément post-verbal (tel que pas) sans le ne précédent. La négation s'exprime maintenant de plus en plus par le moyen de ce qui était à l'origine un nom ordinaire. Cette analyse se fait dans le cadre de la Grammaire Cognitive, une théorie de la structure et de la fonction linguistiques basée sur la sémantique qui pose, parmi d'autres concepts, une configuration radiale pour les groupes de sens. Le groupe 'Négation', donc, peut être considéré d'avoir incorporé, d'abord à la périphérie et puis au centre, ces noms originels qui sont devenus des éléments de négation pleins en français moderne. ZUSAMMENFASSUNG Das pradikative und syntaktische Zeichen der Negation entwickelte sich vom Lateinischen non zum Altfranzösischen ne in präverbaler Stel-lung. Während der altfranzösischen Periode wurden eine kleine Anzahl von Elementen dem Verb nachgestellt (wie etwa pas "Schritt" u. personne "person"), welche einem emphatischen Nachdruck dienten. Diese bekamen Elemente negativer Polarität in Zusammenhängen wie 'nicht einen Schritt tun', 'nicht eine [einzelne] Person sehen'. Sie entwickelten sich weiter im modernen Französischen, und zwar zu zweiteiligen Negations-Merkmalen wie wir sie in heutigen schriftsprachlichen wie gesprochenen Spielarten antreffen. Gegenwartig beobachten wir einen neuen Wandel sich vollziehen, und zwar die Tendenz, die Negationspartikel ne ganz fallen zu lassen, d.h. die Verwendung des postverbalen Elements (z.B. pas) ohne das vorhergehende ne. Die Negation wird jetzt mehr und mehr durch ein Mittel ausgedrückt, das ursprünglich ein gewöhliches (d.h. nicht-polarisiertes) Nomen war. Diese Analyse der Entwicklung wird im Rahmen der 'Kognitiven Grammatik', einer semantisch fundierten Theorie der Sprachstruktur, vorgenommen, die eine radikale Gestaltung von Be-deutungsgruppen ansetzt. Die Gruppierung 'Negation' kann daher ange-sehen werden als etwas, das diese ursprünglichen Nomina zunachst ein-verleibt hat, wenn auch periphar, dann aber spater zentral, mit dem Ergebnis, daß sie vollwertige negative Elemente im modernen Französischen geworden sind.
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Vušović, Olivera. « Vocabulaire du droit pénal français : cas de polysémie externe ». Linguistica 53, no 2 (1 décembre 2013) : 211–25. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.53.2.211-225.

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Résumé :
La polysémie constitue un moyen important de lʼéconomie linguistique. Si les langues de spécialité ne disposent pas dʼun terme spécifique, elles trouvent la solution dans le vocabulaire général auquel elles empruntent des mots comprenant de nombreuses acceptions. Lʼune dʼelles sera précisée dʼaprès les besoins du domaine en question. Dans le présent article, nous rendons compte de lʼinterpénétration existant entre le vocabulaire du droit pénal français (issu de Code de procédure pénale et de Vocabulaire juridique), le vocabulaire général et dʼautres vocabulaires de spécialité. Les approches contemporaines de la terminologie qui prennent en considération les dimensions discursive, sociale, cognitive et culturelle permettent dʼaborder le terme avec plus de flexibilité et de ne pas le considérer comme une simple étiquette destinée à classer les connaissances. Les migrations qui sʼeffectuent entre vocabulaire général et vocabulaires de spécialité, connues sous les noms de terminologisation et déterminologisation,sʼaccompagnent des modifications sémantiques. En fonction du contexte et du domaine spécialisé, un mot peut avoir des acceptions différentes. A titre dʼexemple, le mot blanchiment ne renverra pas à la même notion pour un agent qui lutte contre la criminalité financière, un horticulteur, un cuisinier, un photographe ou un dentiste. Nous nous proposons de vérifier à quel point la polysémie externe est un phénomène répandu. Notre objectif est dʼexplorer ces transferts sémantiques, cʼest-à-dire les diverses facettes dʼun terme
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Santos, Sheila Cristina dos, et Ronaldo Lima. « Faux-amis dans les activites de traduction français-portugais ». Revista Letras Raras 4, no 1 (31 août 2015) : 160–75. http://dx.doi.org/10.35572/rlr.v4i1.400.

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Résumé :
Dans le cadre de cet article, on examine quelques contraintes langagières générées par le phénomène linguistique connue comme faux amis3 . Pour ce faire, on considère le couple de langues français/portugais, et on dérive l’attention à l’enseignement et apprentissage du français des étudiants brésiliens. On met en évidence, sous l’optique de la sémantique différentielle de Rastier (1997) et Vaillant (1999), des facteurs agissant sur la sélection d’éléments linguistiques en langue source4 lors de l’interprétation du sens des textes en langue cible5. On aborde aussi bien des aspects d’ordre lexical que des questions situées au palier syntaxico-sémantique et pragmatique. On examine notamment des composants situés au niveau profond, c’est-à-dire, de nature conceptuelle, pouvant déclencher des productions instables chez les étudiants brésiliens lorsqu’ils dégagent le sens des textes en français par des interprétations influencées par le système fonctionnel de leur langue source ou de leur interlangue(s)6 (Giacobbe,1992). Nous espérons ainsi pouvoir dégager un certain nombre de questions permettant d’attirer l’attention de nos lecteurs sur des problèmes posés par l’émergence des faux amis notamment dans les activités de traduction implicites dans le processus d’apprentissage du français langue étrangère (FLE).
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LAUWERS, PETER. « C'est très théâtre, c'est-à-dire très faux. Les origines et le développement de la construction [Adverbedegré + Nom] ». Journal of French Language Studies 28, no 3 (16 octobre 2018) : 431–53. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269518000261.

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Résumé :
RÉSUMÉDans cette contribution, nous nous intéressons à l'origine et au développement de la construction [adverbe de degré + nom]: C'est très théâtre, c'est-à-dire très faux. De nos jours, cette construction se présente comme un puissant outil de recatégorisation contextuelle pour exprimer un rapport de ressemblance basé sur une analogie avec un concept nominal. Sur la base d'une recherche de corpus outillée, nous montrons que la construction-hôte [ADVdegré + ADJ] a pu s'ouvrir à la catégorie nominale à partir d'un petit noyau dur de noms humains, en partie qualitatifs, tirant profit de certaines propriétés structurelles du français de l’époque. Par la suite, la construction s'est diversifiée vers d'autres classes sémantiques (noms inanimés, noms propres, etc.) et a progressivement attiré une gamme plus diversifiée de types lexicaux dans son orbite. Elle n'a cessé de gagner en productivité, tout en réduisant son fonds lexical d'origine à la portion congrue.
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Larivière, Louise-L. « Edwige Khaznadar Le féminin à la française. Paris, L’Harmattan, 2001, 403 p. Claudie Baudin Politique de la langue et différence sexuelle : la politisation du genre des noms de métier. Paris, L’Harmattan, 2001, 403 p. Claire Michard Le sexe en linguistique : sémantique ou zoologie ? Paris, L’Harmattan, 2002, 157 p. » Recherches féministes 15, no 2 (2002) : 153. http://dx.doi.org/10.7202/006515ar.

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Redmond, Leslie, et Louisette Emirkanian. « Analyse de la polysémie verbale : apports à la didactique du français L2 ». SHS Web of Conferences 46 (2018) : 07007. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184607007.

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Résumé :
Cette contribution se situe à l’interface de la linguistique et de la didactique des langues secondes; elle a pour objectif de démontrer les apports d’une analyse de la polysémie verbale à la didactique du français langue seconde. Notre premier objectif est de décrire la polysémie du verbeprendreau moyen d’une analyse sémantique lexicale dans une approche cognitive. Notre second objectif est d’évaluer l’incidence de la polysémie du verbeprendresur les connaissances qu’ont les apprenants de ce verbe et d’isoler les différentes acceptions deprendremises au jour par notre analyse sémantique, qui s’avèrent problématiques pour les apprenants du français L2. Pour atteindre le second objectif de notre travail, nous avons mené une étude empirique auprès de 191 apprenants du français langue seconde. Les résultats montrent non seulement que l’analyse sémantique que nous avons proposée permet de prédire la connaissance des différentes acceptions du verbe par les apprenants du français L2, mais aussi que les apprenants anglophones et allophones ont un comportement différent par rapport aux types d’acceptions du verbeprendre, comportement que nous avons pu expliquer par l’influence translangagière chez les participants anglophones. Nous discutons des résultats au regard de ceux des études antérieures, en mettant l’accent sur les variables linguistiques réputées prédire l’acquisition des différents sens d’un mot polysémique.
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Surridge, Marie E. « Genre grammatical et dérivation lexicale en français ». Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 31, no 3 (1986) : 267–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100011749.

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Dans un article précédant (Surridge, 1985) nous avons examiné la relation entre le genre grammatical des composés en français et leur terminaison phonétique. Nous avons démontré que le genre grammatical des composés est attribué selon certaines règles relativement simples. Ces règles dépendent soit directement soit indirectement de la structure morpho-syntaxique du composé en conjonction, pour certains types de composés, avec des critères sémantiques étroitement liés à la structure du nom. La “micro-syntaxe” de la composition (nous empruntons le terme employé par Benveniste 1967:15) inclut une formule pour déterminer le genre grammatical des noms produits par ce mécanisme, formule qui est en large mesure indépendante de la terminaison phonétique du composé. Nous nous proposons maintenant d’examiner le rôle dans l’attribution du genre grammatical d’une autre “micro-syntaxe”, celle de la nominalisation suffixale, et d’un phénomène associé: la nominalisation par conversion grammaticale.
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Rinoldi, Paolo. « Les noms et les choses ». Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 24 (31 décembre 2012) : 131–51. http://dx.doi.org/10.1075/rein.24.07rin.

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Résumé :
Le processus de dénomination des animaux dans les langues romanes, souvent anodin (le mot est simplement hérité du latin), devient parfois plus complexe et intéressant par suite d’altérations, fautes de copistes, manipulations et inventions des auteurs, au point qu’éditeurs et historiens de la langue, confrontés à des animaux mystérieux, manifestent souvent leur embarras. L’article offre une série d’exemples, la plupart tirés de l’ancien français, qui se veut une tentative de classement, aussi rudimentaire soit-il, de ces rapports entre les noms et les choses.
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Bochnakowa, Anna. « Le tabou dans la langue culinaire ? » ACTA UNIVERSITATIS LODZIENSIS. FOLIA LITTERARIA ROMANICA, no 12 (22 mai 2017) : 81–88. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.12.08.

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L’article contient une présentation des termes culinaires français et polonais qui peuvent être considérés comme des euphémismes. Il s’agit des noms des plats préparés à partir des abats (foie, langue, testicules, coeur, etc.) donc des parties « non nobles » des animaux comestibles. Dans les deux langues, mais surtout en polonais, on observe l’emploi des diminutifs formés à partir des noms anatomiques : fr. cervelle, pl. móżdżek de mózg ‘cerveau’, pl. żeberka de żebra ‘côtes’, etc. Parfois, un nom différent de celui de l’organe est utilisé pour désigner le plat : pl. ozór/ozorek ‘langue’, pl. cynaderki à côté de nerki, fr. rognons, à côté de reins, etc. Le fait d’éviter le nom propre de l’organe pour désigner un plat relève de l’euphémisme, comme si le nom de l’organe de l’animal préparé à la consommation ne devait pas être utilisé (à côté, pourtant, de cuisse de poulet ou tête de veau, en polonais avec des diminutifs : kurze udko, główka cielęca). Est-ce pour ne pas mettre en évidence les analogies anatomiques et l’identité des noms des organes de l’homme et de l’animal que nous recourons dans nos langues aux stratégies mentionnées ci-dessus ?
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Surridge, Marie E. « Le facteur sémantique dans l'attribution du genre aux inanimés en français ». Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 34, no 1 (mars 1989) : 19–44. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100025871.

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Dans deux articles récents, (Surridge 1985, 1986), l'auteur a examiné le rôle de la morphologie lexicale dans l'attribution du genre grammatical en français, ainsi que la relation des facteurs morphologiques avec les facteurs phonétiques identifiés par Tucker, Rigault et Lambert (1970). Parmi les linguistes et les grammairiens qui ont traité les facteurs déterminant le genre des noms en français, la majorité sinon tous attribuent un certain rôle à un autre facteur: c'est-à-dire l'élément sémantique. Jusquéà présent, cependant, ni le facteur sémantique en tant que tel ni la relation entre les facteurs sémantiques et les autres n'a été soumis à une étude formelle. Ceci résulte pour les intéressés (linguistes, enseignants et apprenants du français) en une image confuse du système d'attribution comme le fait, par exemple, la constatation suivante:Les genres sont conditionnés par les suffixes, et peut-être motivés par les sens, à moins que les sens ne soient conditionnés par les genres … GLLF 1971(3): 2205
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Gervais, André. « Perez / White : "Trompe-l'oeil" le tour de l'angrais et le retour du temps ». Études littéraires 23, no 1-2 (12 avril 2005) : 169–83. http://dx.doi.org/10.7202/500935ar.

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Une suite de six poèmes en vers où chaque mot doit être lu « en français » ou « en anglais », « en français » et « en anglais » : cela implique une standardisation graphique, une prolifération sémantique et, bien sûr, des distorsions syntaxiques. L'oeuvre comporte aussi une dimension picturale importante, implicite dans son titre et explicite du fait des photographies en couleur de la première édition (1978). Tous ces éléments et paramètres sont pris en compte dans cette lecture audacieuse, qui propose quelques scénarios où la notion de jeu (de mots, de noms, de langage, et sur les textes) est explorée de façon exhaustive.
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Richer, Ernest. « Des enfants qui comprennent le fonctionnement de leur langue ». Revue des sciences de l'éducation 4, no 3 (9 octobre 2009) : 355–64. http://dx.doi.org/10.7202/900084ar.

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Depuis quelques décennies, presque toutes les disciplines scolaires ont subi des transformations en profondeur : dans l’enseignement de la langue française, pourtant, aucun changement radical n’a été opéré. Dans certaines classes de niveaux élémentaire et secondaire de la région du Saguenay, on enseigne la langue française selon une méthode d’analyse syntaxique fondée sur la linguistique structurale et destinée à simplifier, tout à la fois, et à purifier l’enseignement de notre langue. Dans cette formule pédagogique, on est très attentif à faire le départ entre les éléments qui constituent la langue (matière de la syntaxe) et les messages véhiculés par les divers énoncés possibles en français (matière de la sémantique). L’enseignement tout entier de la langue est rapporté aux données syntaxiques, qui se réduisent à six pièces réparables en cinq structures. La classe de français se révèle, dans ces conditions, une expérience agréable, voire attendue par les enfants, et notre langue y apparaît comme une réalité facile à saisir et à manipuler en raison d’un étiquetage fort réduit et du recours constant à l’observation et à la reconnaissance des faits de la langue.
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Anscombre, Jean-Claude. « À propos des mécanismes sémantiques de formation de certains noms d'agent en français et en espagnol ». Langages 35, no 143 (2001) : 28–48. http://dx.doi.org/10.3406/lgge.2001.889.

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DE MULDER, WALTER, et ADELINE PATARD. « Marqueurs verbaux de TAM en diachronie ». Journal of French Language Studies 25, no 2 (4 juin 2015) : 153–63. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269515000083.

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Alors qu'il existe une littérature très vaste sur les emplois et valeurs des marqueurs verbaux de temps, aspect et mode (désormais TAM) en synchronie du français, moins de travaux ont été consacrés à l'évolution de ces marqueurs d'un point de vue syntaxique, sémantique ou pragmatique. La plupart des grammaires historiques donnent avant tout des informations sur leur phonologie et morphologie, même si l'on trouve évidemment aussi des informations plus ou moins développées sur leur syntaxe et sémantique dans des ouvrages généraux sur l'histoire de la langue française (comme Brunot, 1904–1913), quelques grammaires de l'ancien français (comme par exemple Foulet, 1919; Moignet, 1973 ou Buridant, 2000), du moyen français (Martin et Wilmet, 1980) ou du français classique (Fournier, 1998) et des aperçus historiques dans des grammaires du français contemporain (comme par exemple Wilmet, 2007). Quant aux études linguistiques proprement dites, les ouvrages et travaux de Martin, Wilmet, Schøsler, Soutet ou Barral mentionnés dans la bibliographie (qui ne prétend pas être exhaustive) témoignent de l'intérêt constant des linguistes pour le développement des marqueurs de TAM.
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GAUCHER, DAMIEN. « Sémantique temporelle et accord du participe passé en français parlé : une analyse variationniste ». Journal of French Language Studies 25, no 1 (17 janvier 2014) : 65–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269513000458.

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Résumé :
RÉSUMÉDans cet article, nous analysons l'influence de la valeur aspectuo-temporelle attribuée aux formes composées sur la fréquence d’accord du participe passé (APP). On sait que l'APP est variable dans les usages de la langue parlée, notamment lorsqu’il est employé avec l'auxiliaireavoir. Partant de l'observation de corpus de langue parlée, et d’une approche variationniste, nous évaluons la fréquence d’accord des participes féminins potentiellement audibles, en fonction de l'effet de sens qui est attribué à la séquence [avoir(pres) + PP], selon qu’il est évalué comme ‘résultant’ ou ‘événementiel’ selon la terminologie de Desclés et Guentcheva (2003). Les résultats de cette analyse laissent entrevoir une influence faible mais relativement constante de ce facteur sémantique sur l'APP, et soulèvent plus avant la question de la présence d’éléments spécifiques au médium oral comme facteurs d’influence sur le marquage morphologique du genre; en d’autres termes, de l'existence d’une grammaire spontanée de l'oral (Branca-Rosoff, 2005).
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Kacprzak, Alicja, et Jean-Pierre Goudaillier. « Dénominations des maladies en langue populaire et argotique (de la ‘synonymite’ des noms de maladies) ». e-Scripta Romanica 1 (30 décembre 2014) : 1–8. http://dx.doi.org/10.18778/2392-0718.01.01.

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Résumé :
Pour ce qui est des diverses maladies pouvant être contractées par les êtres humains, on trouve de nombreuses appellations, aussi bien officielles que populaires et/ou argotiques. L’analyse tant d’un point de vue formel que sémantique d’un certain nombre de ces désignations a été effectuée à partir d’un corpus constitué de relevés écrits (dictionnairiques et littéraires). Il en apparaît une image de séries synonymiques de termes désignant certaines maladies. Cette « synonymite » de noms de maladies n’est pas certes gratuite : elle traduit un réel besoin langagier d’appeler le mal d’une manière spécifique selon l’usager et la situation de communication.
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Edmonds, Amanda. « Le développement de l’expression du genre grammatical en français L2 ». Language, Interaction and Acquisition 10, no 2 (4 novembre 2019) : 229–54. http://dx.doi.org/10.1075/lia.18010.edm.

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Résumé Les recherches portant sur l’acquisition de l’expression du genre grammatical en français langue seconde (L2) nous montrent, entre autres, que les apprenants réussissent plus souvent à marquer le genre avec un nom masculin (vs. un nom féminin) et sur les déterminants plutôt que sur les adjectifs. En revanche, il n’est pas clair si ces tendances générales s’appliquent de la même manière à l’ensemble des noms, adjectifs et déterminants concernés. En d’autres termes, nous pouvons nous demander à quel point l’expression du genre grammatical est déterminée par des spécificités lexicales. Est analysée, dans cette étude, l’évolution du marquage en genre produit par un groupe de 20 apprenants britanniques du français L2 sur une période de 21 mois. Des productions orales et écrites recueillies à trois périodes différentes ont été analysées, et le marquage en genre avec cinq noms féminins fréquents – chose, famille, maison, nourriture, vie – a fait l’objet d’une étude approfondie. Les résultats montrent que l’expression du genre grammatical se développe différemment avec ces cinq noms, résultat qui est interprété à l’aide des approches basées sur l’usage.
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Vajta, Katharina. « Le paysage linguistique du cimetière alsacien : un reflet diachronique et synchronique de la situation sociolinguistique ». SHS Web of Conferences 78 (2020) : 13001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207813001.

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Résumé :
Cette étude examine comment les choix linguistiques dans les cimetières alsaciens reflètent la situation sociolinguistique de la région et le changement de langue du germanique (allemand et alsacien) au français. Dans ce paysage linguistique (Landry & Bourhis 1997), les inscriptions des épitaphes ont un rôle fonctionnel puisqu’elles comportent des informations personnelles sur les défunts (nom, dates, etc.), et aussi un rôle symbolique, de par le choix de langue qui pouvait être transgressif. En effet, en Alsace, région ayant basculé plusieurs fois entre France et Alle-magne, le choix du français ou de l’allemand était censé suivre la langue du pouvoir. Mais ceci n’est pas toujours le cas. Ainsi, le choix du français pendant une période allemande pourra indiquer une prise de position identitaire en faveur de la France. Le choix de l’allemand, par contre, peut être considéré comme étant plutôt la conséquence de la tradition germanique de la région. De plus, noms et prénoms sont eux aussi marqués par les appartenances nationales. Aujourd’hui, le déclin des variétés germaniques est reflété par le choix général du français, l’allemand devenant exception.
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Larivière, Louise. « Valeur sémantique du verbe dans les collocations verbales spécialisées ». TTR : traduction, terminologie, rédaction 11, no 1 (26 février 2007) : 173–97. http://dx.doi.org/10.7202/037321ar.

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Résumé Valeur sémantique du verbe dans les collocations verbales spécialisées — Le présent article se propose de spécifier la valeur sémantique du verbe qui fait partie des collocations verbales spécialisées (CVS) et de caractériser, de ce fait, la nature même de cette collocation afin d'en faciliter l'identification lors de la collecte des données et, par la suite, la consignation dans un répertoire. Pour ce faire, nous établissons d'abord la place qu'occupe la collocation ou syntagme semi-figé parmi les combinaisons lexicales; puis, nous précisons la nature de la collocation, tant en langue générale qu'en langue de spécialité, en faisant ressortir la diversité de ses acceptions et de ses appellations; et, enfin, nous décrivons les caractéristiques propres et communes des trois types de verbe qui entrent dans la composition des CVS : le verbe à valeur métaphorique, le verbe à sens plein et le verbe à sens vide. Le statut du verbe, ainsi établi, permet de déterminer la composition des collocations verbales, en particulier en français commercial.
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Mezeg, Adriana. « Le vocabulaire militaire dans le corpus français-slovène FraSloK ». Linguistica 58, no 1 (14 mars 2019) : 237–48. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.58.1.237-248.

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Le présent article se propose d’étudier l’usage du vocabulaire militaire dans le corpus parallèle français-slovène FraSloK, qui contient des textes publiés entre 1995 et 2009. Partant de la fréquence d’occurrences du mot guerre(s) dans les textes français sources, le sous-corpus journalistique composé de 300 articles du Monde diplomatique et 3 romans du sous-corpus littéraire se sont avérés intéressants pour notre recherche. À la base des listes de tous les mots utilisés, nous avons manuellement extrait les noms du domaine militaire (3735 occurrences pour 289 mots différents). Appuyée sur des dictionnaires monolingues français et slovènes, la classification par niveaux de langue témoigne de la prédominance de la langue standard en français bien que certains mots soient très spécialisés ; il est intéressant de noter que dans le principal dictionnaire slovène, plusieurs traductions (équivalents slovènes de tels mots français) portent un indicateur du registre de langue non standard (militaire, jargon, jargon militaire, etc.). En outre, les textes de notre corpus contiennent un certain nombre de mots d’origine étrangère ou bien d’emprunts, tandis que ceux d’autres registres de langue (ancien, courant, familier, moderne, politique, vieux) ne sont que sporadiques. Les mots portant l’indicateur militaire ou argot sont quasi inexistants. Notre article révèle de quelles guerres parlent les textes français du FraSloK, expose le lexique utilisé regroupé dans cinq catégories de variétés du français et identifie les stratégies de traduction vers le slovène employées.
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Eek, Élisabeth. « La langue française de l'informatique envisagée depuis une perspective américaine ». Meta 43, no 3 (2 octobre 2002) : 455–62. http://dx.doi.org/10.7202/002698ar.

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Résumé Le français de l'informatique peut être, d'une part, envisagé depuis différents horizons (France, États-Unis) et également englober différentes logiques linguistiques. D'autre part, une analyse des transferts terminologiques va déclencher, à partir du principe de "mouvance" des idées, une remise en cause du concept traditionnel d'emprunt. Il est bon de rappeler que les terminologies mises au point par les commissions d'experts doivent reposer sur une sémantique reconnaissable par la majorité des locuteurs. L'ignorance de ce principe risque d'engendrer un rejet des nouvelles terminologies, en particulier par les spécialistes de l'informatique eux-mêmes, dont l'attitude de "malaise" linguistique vaut quelques explications. Il conviendra également de rappeler l'influence du français de l'informatique sur l'anglais de même que l'existence des industries de la langue, nécessaires pour faire du fran- çais une langue véhiculaire de la science.
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Sallandre, Marie-Anne, Cyril Courtin, Ivani Fusellier Souza et Marie-Thérèse L'Huillier. « L’expression des déplacements chez l’enfant sourd en langue des signes française ». Language, Interaction and Acquisition 1, no 1 (30 juillet 2010) : 41–66. http://dx.doi.org/10.1075/lia.1.1.04sal.

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L’expression des déplacements a fait l’objet de nombreuses recherches en acquisition des langues vocales et de quelques travaux dans plusieurs langues des signes, mais pas en langue des signes française (LSF). Ce travail est donc une première étude des déplacements en LSF par comparaison au français oral. Le corpus, issu de données plus vastes, est composé de trois études de cas provenant des productions d’un adulte sourd et de deux enfants sourds de 8 ans. L’analyse qualitative montre une densité sémantique importante dans les énoncés en LSF marquée par l’utilisation de deux structures à fort degré d’iconicité appelées transferts. Les transferts personnels expriment plutôt la manière tandis que les transferts situationnels expriment simultanément la trajectoire et la manière, alors qu’en français, le verbe exprime le plus souvent la trajectoire seule, la manière devant être exprimée par un élément externe. De plus, les sujets sourds enchaînent quasi systématiquement deux structures pour exprimer deux points de vue sur un même déplacement, ce qui ne se retrouve pas fréquemment en français. Ainsi, cette première étude montre peu de différences entre les sujets enfants et adulte en LSF, mais des différences notables entre français et LSF.
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Maniez, François. « La traduction du nom adjectival en anglais médical ». Meta 46, no 1 (2 octobre 2002) : 56–67. http://dx.doi.org/10.7202/003548ar.

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Résumé La traduction du groupe nominal est une tâche délicate pour le traducteur scientifique, en particulier pour celui qui traduit à partir d'une langue comme l'anglais, où la prémodification nominale est d'usage fréquent, vers le français, qui n'a pas recours à cette structure syntaxique. Cet article examine le choix auquel est confronté le traducteur médical devant les structures anglaises contenant des noms adjectivaux (dans un grand nombre de cas, soit le complément de nom soit l'adjectif peuvent être utilisés en français) et étudie quelques-unes des contraintes dont dépend ce choix.
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Bochnakowa, Anna. « Notre première boisson – le lait. Étude du mot en français et en polonais ». Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no 14 (30 décembre 2019) : 99–107. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.14.09.

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Résumé :
Le mot désignant la première boisson de notre vie paraît peu original comme objet d’intérêt. Mais puisqu’il est des plus courants et connu de tous, nous présentons son fonctionnement dans le sens premier et dans d’autres acceptions dans le registre standard, dans la langue technique, dans le sens figuré ; nous observons les formations dérivées et composées et les expressions phraséologiques françaises et polonaises avec lait / mleko. Nous évoquons le lien entre le lait et le vin, présent uniquement en français et visible à travers quelques expressions. Nous essayons d’en tirer une image sémantique du mot et son emploi dans les expressions à partir des dictionnaires anciens et modernes français et polonais. Ce substantif concret, pouvant être compté parmi les universaux de la langue, ne présente pas de champ synonymique développé mais seulement quelques emplois métonymiques et métaphoriques qui nous paraissent néanmoins mériter une réflexion relative aux deux langues.
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Gajos, Mieczysław. « Boire et boissons en classe de FLE ». Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no 14 (30 décembre 2019) : 181–93. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.14.17.

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Résumé :
Le choix du vocabulaire dans le processus d’enseignement et d’apprentissage des langues est l’un des problèmes clés de la didactique des langues. La compétence lexicale et son développement sont perçus comme une priorité par les enseignants et les étudiants. Quelle place occupe le champ sémantique de la consommation de boissons dans les manuels scolaires d’enseignement du français langue étrangère ? Quel est le choix du vocabulaire lié à ce cercle thématique effectué par les auteurs des manuels de FLE ? Pour répondre à ces questions, une recherche diagnostique de dictionnaires et de manuels de FLE publiés entre 1973 et 2016 a été réalisée. Les résultats de la recherche présentés sous forme de tableaux et d’analyses qualitatives ont montré des moyens de présenter le verbe ‘boire’, les boissons sans alcool et les boissons alcoolisées dans des manuels de français langue étrangère utilisés dans le système éducatif polonais.
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Bochnakowa, Anna. « Les mots amour et miłość, aimer et kochać dans la langue française et polonaise : aspect sémantique, dérivation, phraséologie ». Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no 16 (19 mai 2021) : 49–55. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.05.

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Ce texte est une présentation du fonctionnement des mots amour/miłość i aimer/kochać en français et en polonais, afin d’índiquer les différences de sens et d’emploi dans les deux langues. On compare des relations sémantiques entre les mots amour/miłość et amitié/przyjaźń, ainsi que leur expressivité. On présente aussi les dérivés, les phraséologismes contenant ces mots. Il est à constater une grande richesse synonymique du français aimer, ainsi qu’une différence sémantique entre les verbes polonais kochać et lubić et leurs équivalents français aimer et aimer bien/beaucoup renforcés par des adverbes d’intensité qui, paradoxalement, réduisent le sens émotionnel du verbe aimer ‘aimer d’amour’ au degré correspondant à lubić ‘aimer bien’ dans certains contextes. Bien que les mots amour et aimer appartiennent aux universaux du langage, leurs champs sémantiques diffèrent dans les deux langues.
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Prodanovic, Gorana M. « ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE FLE INSPIRÉES DE L’OULIPO ». Методички видици 8, no 8 (12 janvier 2018) : 271. http://dx.doi.org/10.19090/mv.2017.8.271-294.

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Résumé :
Cette recherche a pour objectif de proposer des activités ludiques pour la classe de français langue étrangère (ou une autre langue), inspirées des techniques d’écriture créative proposées par l’Oulipo. Ces activités relèvent de la production écrite basée sur une contrainte d’ordre alphabétique, syntaxique, sémantique ou numérique et peuvent avoir n’importe quel texte comme point de départ. Nous présentons ici trois activités: « l’homoconsonantisme », « la traduction antonymique » et « le tireur à la ligne ». Nous avons testé ces activités dans des cours particuliers et à l’IIEF de Strasbourg. Par la suite, elles ont été mises en place par deux enseignantes de FLE dans leurs cours à l’Université de Novi Sad et à l’Institut français de Novi Sad. Nous donnons dans cet article. la description détaillée de ces activités ainsi que leur mise en place. L’enquête et les données statistiques recueillies auprès des enseignantes et des apprenants ont confirmé notre hypothèse que ces acticités avaient de quoi nourrir les pratiques pédagogiques dans l’apprentissage des langues.
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Cappeau, Paul. « Michelle LECOLLE Les noms collectifs humains en français. Enjeux sémantiques, lexicaux et discursifs Limoges, Lambert Lucas, 2019, 312 p. » Langage et société N°169, no 1 (2020) : 205. http://dx.doi.org/10.3917/ls.169.0205.

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Smolej, Mojca. « Qu'est-ce que le slovène et le français ont en commun ? : les articles défini et indéfini ». Linguistica 51, no 1 (31 décembre 2011) : 365–75. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.51.1.365-375.

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On peut distinguer deux principaux groupes d'actualisateurs textuels: les actualisateurs généraux et les actualisateurs spécifiques. Le premier groupe comprend les déterminants définis et indéfinis, tandis que le second est constitué des noms propres, des locutions substantivales, des pronoms et des numéraux. Le slovène standard exprime le défini, entre autres, grâce à la forme définie de l'adjectif (dans les locutions figées, après les adjectifs démonstratifs et possessifs, quand il s'agit d'évoquer une particularité déjà connue ou évoquée, etc.). De leur côté, les substantifs sont en principe toujours définis. Cependant, si nous analysons l'expression du défini et de l'indéfini dans la langue parlée spontanée (par exemple, des locuteurs de Ljubljana), nous pouvons remarquer que cette dernière se différencie souvent de la langue standard par la présence généralisée des actualisateurs généraux, autrement dit des déterminants définis et indéfinis. L'analyse précise de textes variés montre ainsi que la langue parlée spontanée des locuteurs donnés exprime le plus souvent le défini et l'indéfini à l'aide d'actualisateurs généraux, ce qui, d'une certaine manière, la rapproche des langues romanes et germaniques où l'expression du défini et de l'indéfini est déjà codifiée dans le système de la langue standard.
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Arslangul, Arnaud, Henriëtte Hendriks, Maya Hickmann et Annie-Claude Demagny. « L’expression des procès spatiaux causatifs chez les apprenants francophones du chinois ». Language, Interaction and Acquisition 9, no 2 (31 décembre 2018) : 256–92. http://dx.doi.org/10.1075/lia.17005.ars.

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Résumé Cette recherche, située dans le cadre proposé par Talmy (1985, 1991, 2000), analyse la façon dont des apprenants francophones du chinois langue étrangère (un groupe de niveau intermédiaire et un groupe de niveau avancé) expriment les procès spatiaux causatifs, en comparaison avec des locuteurs natifs du chinois et du français. La procédure utilisée est celle d’une analyse de corpus oraux produits à partir d’une description de séquences animées. Les réponses ont été étudiées au niveau du choix des informations exprimées, de la densité sémantique et de la façon dont les informations ont été encodées. Les résultats révèlent les phénomènes suivants : (1) les apprenants intermédiaires produisent des réponses qui sont en apparence proches de celles des locuteurs natifs du français, mais très différentes de celles des locuteurs natifs du chinois en tous points ; ils ont des difficultés à exprimer un nombre important d’informations dans un seul énoncé grammaticalement correct. En revanche, (2) les apprenants avancés s’éloignent du modèle de leur langue maternelle et montrent une progression nette vers la langue cible au niveau du choix et de la quantité d’informations exprimées ; cependant, les moyens linguistiques utilisés présentent encore des différences avec ceux des locuteurs natifs du chinois.
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Jeanmaire, Guillaume. « Quelles stratégies adopter face aux mimétiques coréens ? » Meta 56, no 3 (6 mars 2012) : 579–95. http://dx.doi.org/10.7202/1008334ar.

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Comment traduire en français la composante orale que véhiculent les mimétiques coréens, qui constituent une singularité, voire la poétique de la langue coréenne, dans un récit littéraire ? Véritable gageure. Outre l’omission, communément pratiquée, plusieurs stratégies s’offrent aux traducteurs, qui vont du report pur et simple à l’équivalence indirecte sémantique en passant par le littéralisme. Mais ne peut-on aller plus loin et retrouver, au-delà du sens, les effets sonore et visuel, toute la valeur du mimétique d’origine ? Laissons au traducteur le soin de relever ce défi, de puiser dans les trésors de sonorités, d’images et de poésie que recèle la langue française pour rendre toute la valeur originelle du texte source, en faciliter la lecture et l’ouvrir au monde.
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Emirkanian, Louisette, et Lorne H. Bouchard. « Conception et réalisation de logiciels : vers une plus grande intégration des connaissances de la langue ». Revue québécoise de linguistique 16, no 2 (12 mai 2009) : 189–220. http://dx.doi.org/10.7202/602599ar.

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Résumé La souplesse d’adaptation et la puissance de calcul symbolique du micro-ordinateur permettent, d’une part, de créer une véritable interaction avec l’enfant et, d’autre part, de favoriser des activités amenant l’enfant à manipuler la langue et à réfléchir sur son fonctionnement. Ce sont ces deux caractéristiques du micro-ordinateur que nous avons essayé d’exploiter en réalisant des logiciels de français dont le but est d’amener l’enfant à une meilleure maîtrise de la langue écrite. L’un des logiciels porte sur les relatives complexes et a pour objectif de susciter chez l’enfant une réflexion explicite sur le fonctionnement de ces relatives; l’autre génère des phrases avec une erreur morphologique, syntaxique ou sémantique et analyse des phrases contenant des erreurs de même type.
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Bedjaoui, Wafa, Bahia Zemni, Hayfa Almalki et Marwa Elsaadany. « Dictionnaires contextuels ». Texto Livre : Linguagem e Tecnologia 14, no 1 (29 septembre 2020) : e25577. http://dx.doi.org/10.35699/1983-3652.2021.25577.

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Le but de cet article est de mettre en évidence les fonctionnalités des corpus en ligne à l’instar des concordanciers, notamment le dictionnaire contextuel Reverso Context. À travers cette étude exploratoire, nous cherchons à connaître les limites de ce dictionnaire contextuel en ligne de l'arabe vers le français en analysant la traduction dans le contexte des adages arabes traduits en français. Il s’agit aussi de mettre en exergue la notion de collaboration virtuelle proposée dans le cadre du dictionnaire collaboratif de Reverso Context. L’étude a également permis de décrire les prestations et les fonctionnalités proposées en ligne de ce dictionnaire ainsi que ses limites. A travers l’expérimentation de la traduction des adages et des proverbes de l’arabe vers le français, nous avons pu déduire que le dictionnaire contextuel Reverso Context présente des limites de traduction en ce qui concerne les combinaisons arabe-français. Ces limites sont d’ordre lexical, sémantique, phrastique et rhétorique. Sans oublier que ses bases de données lexicales et terminologiques sont faiblement alimentées en langue arabe.
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Kaya, Mümtaz. « De l’intraculturel à l’interculturel : l’opération traduisante ». Meta 52, no 3 (21 novembre 2007) : 584–88. http://dx.doi.org/10.7202/016745ar.

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Résumé Dans ces lignes, l’auteur se fait l’écho des difficultés rencontrées lors de sa traduction vers le français, du Ruhmana, ouvrage doctrinaire de Saparmourat Turkmenbashi, ancien chef du jeune état turkmène. Au-delà des évidents problèmes posés par le transfert d’éléments culturels vers la langue d’arrivée, sont apparues des difficultés « intraculturelles », liées à la diversité culturelle à l’intérieur même de la zone linguistique turque, et des difficultés d’ordre linguistique (lexicale, sémantique), d’ordre sociologique (diversité des niveaux sociaux et des substrats identitaires) et d’ordre idéologique (intention doctrinaire, symbolique). S’appuyant sur des exemples précis, l’auteur dresse une typologie des difficultés intraculutrelles et propose, pour chaque type, une attitude pour guider « l’opération traduisante ».
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Boudechiche, Nawal. « Apprendre ensemble à écrire tout seul ». Voix Plurielles 9, no 1 (12 mai 2012) : 242–58. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v9i1.587.

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Comme la didactique est un domaine de réflexions sur les pratiques d’enseignement/apprentissage et en raison de la difficulté des scripteurs à se représenter un équilibre entre les connaissances et les attentes des lecteurs potentiels de leur écrit, nous analysons les effets d’une variante du travail collaboratif sur les procédés de réécriture mis en œuvre en situation de production écrite individuelle, et par hypothèse, sur les capacités cognitives de prise en charge du lecteur différé du message. Il s'agit précisément d’analyser les développements du contenu sémantique d'un texte descriptif en français langue étrangère, écrit et réécrit en situation individuelle, par des apprenants de première année licence de français, suite aux annotations mentionnées par les pairs. Le socioconstructivisme (Vygotsky; Jonnaert) prône le rôle majeur des interactions sociales dans la construction et la reconstruction des connaissances. Les recherches sur la cognition soulignent le besoin de développer la responsabilité individuelle au niveau de la construction des connaissances.
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Moyes, Lianne. « « Global/Local » ». Dossier 30, no 3 (8 décembre 2005) : 113–32. http://dx.doi.org/10.7202/011860ar.

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Résumé L’écriture anglo-québécoise a longtemps semblé isolée, tant du Québec de langue française que du Canada anglais. L’auteure propose ici une lecture d’oeuvres de Robyn Sarah, de Mary di Michele et d’Erin Mouré, qui cherchent à éviter un tel repli et qui s’engagent sur une scène globale imbriquée dans le local. Dans ces poèmes, le monde est filtré par des contiguïtés culturelles et religieuses de quartiers spécifiques, des histoires de migration dont certains noms de lieux portent la trace, et du mouvement entre le français, l’anglais et les autres langues de Montréal. Les différences entre les poétiques de ces auteures empêchent toutefois de considérer l’écriture anglo-québécoise comme une catégorie entièrement cohérente.
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Niang, Mouhamédoul A. « Déconstruction et renouveau esthétique : une exégèse narratologique de l’hybride et de la traduction dans Les Soleils des indépendances et Solibo Magnifique ». ALTERNATIVE FRANCOPHONE 1, no 3 (7 janvier 2011) : 95–106. http://dx.doi.org/10.29173/af9629.

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Les Soleils des indépendances (1968) et Solibo Magnifique (1988) manifestent deux modèles narratologiques au service d’une esthétique textuelle hybridée. Ces œuvres consacrent une intériorité narrative hétérogène offerte à un public cible divers dans un cadre de renouveau littéraire soutenu par la traduction. Ainsi, Kourouma bat en brèche le fétichisme linguistique du français par une hybridation textuelle et narrative esthétisée à travers une pratique de la traduction reposant sur une synergie entre cette langue et l’imaginaire culturel malinké. L’auteur emploie le comparatif “comme”, traducteur de l’hybride et pont de passage entre deux imaginaires, à des fins d’harmonisation culturelle et linguistique. En outre, l’analogie constitue aussi un pilier important de l’hybridation dans Les Soleils des indépendances, et elle introduit le double, français/malinké et homme/animal, respectivement en termes d’harmonie interculturelle, de bâtardise identitaire et de déchéance sociale. Solibo Magnifique de Chamoiseau oppose quant à lui la savane, espace de la parole créole, au commissariat, lieu de l’officialité, de l’unilatéral, et de l’écrit. On y retrouve deux conceptions différentes du nom. L’intérêt de ce roman créoliste réside, pour notre propos, dans sa représentation d’actes officiels de reformulation linguistique et sémantique ou traduction qui permet de passer d’un unilatéralisme discursif parfois opaque à un état d’ouverture favorable à l’expression de l’imaginaire créole dans sa pluralité. Ce transfert éclairant de culture en langue accouche d’un récit hybridé.
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Gauthier, Valérie, Amélie Hien et Ali Reguigi. « Morphosyntaxe et sémantique de quelques locutions contenant le mot « tête » dans les canadianismes ». Actes de la Journée des Sciences et Savoirs, no 24 (22 mars 2019) : 19–39. http://dx.doi.org/10.28984/actes_acfas.v0i24.305.

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Résumé :
Bien qu’une intercompréhension entre les locuteurs du français à travers le monde soit possible grâce aux nombreuses conventions prescrites, l’efficacité de leur communication peut toutefois être compromise à cause de la présence de mots et d’expressions propres à un pays ou à une région. En effet, le français est susceptible de variations synchroniques et diachroniques, étant donné les variations culturelles, sociales, économiques et politiques à l’intérieur d’un même pays et entre les pays ou les régions partageant cette langue. Ces mots et locutions, qui peuvent faire partie du vocabulaire de certains locuteurs, réfèrent alors à des réalités spécifiques de leurs pays ou de leurs régions. En outre, ces expressions ont souvent une telle opacité sémantique que les locuteurs étrangers à celles-ci risquent d’être déroutés et ne seront pas en mesure d’en comprendre le sens (Klett, 2013, p. 60). À titre d’exemple, dans une situation où un locuteur francophone de la Belgique communique avec un locuteur francophone du Canada, il est possible qu’il y ait une incompréhension des expressions utilisées de part et d’autre. De même, cette incompréhension peut s’instaurer entre locuteurs d’un même pays. Cela suggère que le vocabulaire de ces locuteurs diffère par des facteurs individuels, c’està-dire des facteurs sociolinguistiques, qui ont un effet sur leur usage et leur compréhension des expressions. C’est sur cette incompréhension que nous nous penchons dans cette étude. Étant donné la panoplie d’expressions existantes, nous avons restreint notre champ de recherche en ne nous intéressant qu’à quelques locutions anatomiques1 contenant le mot « tête » dans les canadianismes, telles que « être une tête carrée » et « avoir des yeux tout le tour de la tête ».
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François, Thomas. « La Lisibilité Computationnelle ». ITL - International Journal of Applied Linguistics 160 (1 janvier 2010) : 75–99. http://dx.doi.org/10.1075/itl.160.04fra.

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Résumé :
Résumé Avec la multiplication des documents disponibles, notamment sur le web, la tentation est grande, pour le professeur de français langue maternelle ou seconde, de se passer des manuels balisés et de proposer à ses étudiants un texte à son goût. Cependant, il risque alors de perdre un temps précieux à sélectionner un texte qui convienne au niveau de ses étudiants. Il existe pourtant des outils dont la vocation est de l’assister dans cette tâche : les formules de lisibilité. Peu connues dans la culture francophone, elles jouissent dans la culture anglo-saxonne d’un large succès. Cet article présente une nouvelle synthèse des études en lisibilité du français L1 et L2. Partant du constat que les études récentes sont trop rares, nous présentons le nouveau paradigme dominant dans les études anglo-saxonnes, que nous avons appelé la lisibilité computationnelle. Ces recherches combinent des techniques issues du traitement automatique du langage et de l’apprentissage automatisé afin de prendre en compte l’ensemble des dimensions d’un texte : lexicale, syntaxique, sémantique et organisationnelle. Nous clôturons ce parcours en présentant nos propres travaux dans le domaine et, en particulier, «Dmesure», un prototype de plateforme web pour la lisibilité du FLE.
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Dawes, Elizabeth. « La féminisation des titres et fonctions dans la Francophonie ». Ethnologies 25, no 2 (13 avril 2004) : 195–213. http://dx.doi.org/10.7202/008054ar.

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Résumé :
Résumé Cet article examine les attitudes sociales envers les différentes méthodes morpho-syntaxiques utilisées en français pour créer les formes féminines des titres professionnels tels que professeur ou ministre, autant qu’envers l’usage du masculin pour désigner la profession d’une femme. L’auteure résume brièvement les débats et les controverses engendrés par chacune des options possibles, incluant les suffixes (ex : une professeure), les épicènes (ex : une professeur) et les noms masculins employés de manière générique (ex : un professeur). Une comparaison de l’usage des termes désignant des professions de prestige en France, en Belgique, en Suisse et au Canada dévoile des différences régionales significatives et suggère que la structure interne de la langue française permet aux locuteurs une grande latitude dans la création des dénominations au féminin des professions. Là où les choix des locuteurs sont bridés, c’est plus souvent pour des considérations idéologiques que linguistiques.
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Zolotukhin, Denis. « Les termes, les objets, les notions et les points de vue de la linguistique : problèmes de corrélation ». SHS Web of Conferences 78 (2020) : 05014. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207805014.

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Résumé :
La présente contribution vise à analyser quelques problèmes structurels et épistémologiques de la terminologie linguistique dans le français. Par le biais d’une approche sémantique, nous mettons en évidence les particularités du sens terminologique, sa corrélation avec la notion scientifique et sa dépendance de l’objet de recherche linguistique, c’est-à-dire du fait langagier de départ. L’analyse des cas précis des termes phrase, sémantème, langue parmi d’autres met en relief l’importance du « jeu » des points de vue dans le domaine linguistique contribuant à la modification de l’extension et de l’intension des sens. En guise de la résolution des problèmes, nous recourrons aux approches de la terminologie générale ainsi qu’à l’application des théories épistémologiques permettant d’introduire une distinction entre des concepts de terminologie et de système terminologique, de termes et de prétermes, de termes aspectuels et de termes synthétisants, de relations intersystémiques et de relations intrasystémiques.
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