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Potter, David. « La foi d’Antoine de Bourbon, roi de Navarre ». Revue d'histoire du protestantisme 7, no 4 (26 janvier 2023) : 437–78. http://dx.doi.org/10.47421/rhp7_4_437-478.

Texte intégral
Résumé :
Antoine de Bourbon, duc de Vendôme, roi de Navarre, premier prince du sang et progéniteur de la maison royale de Bourbon, s’est fait à la fin de sa vie en 1562 une mauvaise réputation surtout parmi les protestants. Les espérances qu’ils avaient mises en lui furent déçues, et ils considéraient qu’il avait trahi la cause de Dieu et sa conscience en continuant à revendiquer un royaume fantôme qu’il cherchait à obtenir du roi d’Espagne. Certains contemporains l’ont décrit comme courageux, mais souvent frivole et manquant de jugement. D’autres ont dit qu’il avait mal traité sa femme, Jeanne d’Albret, l’héroïne de la cause protestante. Depuis, la plupart des historiens ont suivi ce point de vue. Ce jugement semble fixé et il est probablement inutile de le combattre, mais on doit le regarder tout simplement comme une tradition historiographique. L’auteur du présent article, qui prépare une édition aussi complète que possible de sa correspondance active et passive (plus de 1 250 lettres), considère que le moment est venu d’évaluer à nouveau sa sensibilité religieuse et les dilemmes auxquels il a fait face pendant les années de l’essor du protestantisme en France et le début des guerres de religion, durant lesquelles il a joué un rôle central. Sa correspondance apporte des nuances à ses croyances religieuses et le met décidément parmi ceux, tout en sympathisant avec l’idée de réforme, étaient plutôt « moyenneurs » pragmatiques, qui ne se souciaient des controverses dogmatiques, enclins enfin aux doctrines « évangéliques » de la Confession d’Augsbourg. Cette position l’a mis dans une situation impossible pendant les années des controverses de plus en plus aiguës. Bien qu’on l’ait souvent dit dépourvu d’expérience politique, il était en réalité rompu au gouvernement des provinces et expérimenté comme chef militaire. Il est toutefois vrai que sa clientèle, à l’origine issue de Picardie, était mal adaptée au territoire qu’il détenait en Gascogne par l’héritage de sa femme. Il fut pourvu de la charge de lieutenant-général du royaume en 1561 et, bien que Catherine de Médicis ait su manier l’appareil de l’État, son office était d’une importance prééminente pour un prince qui se regardait comme le protecteur de la couronne et ancré dans un monde dynastique qui excluait l’abandon des droits hérités souvent regardés – alors et maintenant – comme inutiles. D’où son obsession de faire valoir ses droits en Navarre, ses négociations avec Philippe II et l’influence de celles-ci sur ses décisions relatives à la question religieuse.
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Jaeger, C. Stephen. « L'Amour des Rois : Structure Sociale D'Une Forme de Sensibilité Aristocratique ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 46, no 3 (juin 1991) : 547–71. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1991.278964.

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Résumé :
En 1187 la campagne militaire de Henri II en France s'enlisa lorsque son fils Richard Coeur de Lion, à qui il avait confié le commandement du quart de l'armée anglaise, s'éprit du roi ennemi, le jeune Philippe Auguste. Le chroniqueur Roger de Howden décrit cette relation en ces termes: (le roi de France)… l'honorait tant depuis si longtemps qu'ils mangeaient chaque jour à la même table et dans le même plat, et le soir le lit ne les séparait pas. Et le roi de France l'aimait comme son âme; et ils s'aimaient tant l'un l'autre que le roi d'Angleterre était profondément étonné par l'amour véhément qui existait entre eux.
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Chauviré, Frédéric. « La Maison du Roi sous Louis XIV, une troupe d’élite ». Revue Historique des Armées 242, no 1 (1 janvier 2006) : 114–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.242.0114.

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Résumé :
Louis IV, dont le règne et la conception même de la souveraineté furent si marqués par la guerre, aurait-il pu ne pas accorder à la cavalerie de sa Maison militaire une place éminente au sein de son armée ? Ces unités anciennes, que le roi a regroupé en un corps autonome, brillent bien sûr à la cour, mais qu’en est-il de leur rôle effectif sur les champs de bataille ? Pour envisager une réponse exhaustive à cette question, il faudrait tout d’abord étudier la Maison du Roi d’un point de vue organique, à la recherche des éléments intrinsèques – dont la volonté royale n’est pas le moindre – qui font une troupe d’élite. C’est ce que nous tenterons d’analyser dans le présent article en nous attachant d’abord aux éléments extérieurs et matériels (équipements, armement, organisation en escadron) puis à ceux qui déterminent véritablement la capacité au combat d’une troupe : la discipline, la formation et l’exercice.
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Morin, Michel. « Fraternité, souveraineté et autonomie des Autochtones en Nouvelle-France ». Dossier : La parenté et les traités 43, no 2 (27 février 2014) : 531–98. http://dx.doi.org/10.7202/1023206ar.

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Résumé :
Aux xviie et xviiie siècles, les principes juridiques encadrant les relations entre les Algonquiens de la vallée du Saint-Laurent et les Français sont généralement bien compris par chacune des parties en présence. Initialement fondés sur les concepts d’amitié, d’alliance ou de fraternité, ces principes postulent l’existence de nations indépendantes possédant leurs propres structures décisionnelles et leurs coutumes, ainsi que de chefs locaux ou régionaux qui jouissent en pratique d’une grande autorité. De 1628 à 1663, le statut de sujet du roi de France est d’ailleurs accordé uniquement aux nouveaux convertis, puis, de 1664 à 1674, à leurs descendants. Par la suite, la situation est ambiguë. Toutefois, les communautés de chrétiens vivant près des villes françaises conservent une grande autonomie à laquelle elles acceptent rarement de renoncer. Elles sont parfois qualifiées d’enfants du roi, parce qu’elles soutiennent inconditionnellement les Français sur le plan militaire. Dans la deuxième moitié du xviie siècle, des nations non converties reconnaissent également le statut de père au roi de France, mais cette dépendance socio-économique et militaire ne remet pas en question leur indépendance, ce que les Français comprennent fort bien.
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Furon, Christophe. « Le roi et les Écorcheurs ». Inflexions N° 55, no 1 (18 janvier 2024) : 83–92. http://dx.doi.org/10.3917/infle.055.0083.

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Résumé :
En 1435, la signature de la paix d’Arras met fin au conflit entre Charles VII, roi de France, et Philippe le Bon, duc de Bourgogne. En faisant cesser les opérations militaires françaises contre les territoires bourguignons, ce traité laisse de nombreux hommes de guerre sans emploi. Pour subsister, ces derniers se livrent alors à toutes sortes de pillages dans le royaume de France et sur ses marges. C’est la réforme militaire instituant les compagnies d’ordonnance qui met fin au phénomène en 1445. Au final, au terme d’un processus complexe et semé d’obstacles, l’Écorcherie permet à Charles VII de réaffirmer et de renforcer son autorité, non seulement sur les gens de guerre et leurs capitaines, mais aussi sur des princes récalcitrants.
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Iosipescu, Sergiu. « Relations politiques et militaires entre la France et les principautés de Transylvanie, de Valachie et de Moldavie ». Revue Historique des Armées 244, no 3 (1 août 2006) : 11–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.244.0011.

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Résumé :
Cette première analyse des relations politiques et militaires entre la France et les principautés Carpatho-danubiennes de la fin du XVIe siècle à la fin du XVIIIe siècle, montre qu’il s’est forgé un partenariat entre le « Roi Très-Chrétien » (c’est-à-dire le roi de France) et le « Grand Turc ». Depuis le début de l’alliance ottomane, la cour de France s’est efforcée d’établir un lien direct avec la cour de Transylvanie d’Alba Julia et avec les cours romaines de Jassy et Bucarest. L’objectif principal de ces liens était de faire diversion sur le plan militaire en arrière de la monarchie des Habsbourgs. Lors de la guerre de Trente Ans, la cour française signa en 1645 le premier traité militaire avec le prince de Transylvanie György Rákóczi mais la coopération militaire avec le corps expéditionnaire de Walachie et de Moldavie était, elle, plus ancienne (1644). Un autre traité militaire entre la France et la Transylvanie fut signé en 1677, lorsqu’une mission militaire française organisa la diversion de Transylvanie contre les Habsbourgs en « Hongrie supérieure » lors de la guerre de Hollande (1672-1678). Par la trêve de la diplomatie française, la Transylvanie entra dans le traité Nimwergen, comme ce fut le cas pour la paix de Westphalie, en tant qu’allié de la France. Même si les princes Hongrois de Transylvanie avaient pris parti de soutenir l’alliance franco-ottomane anti-Habsbourg, les princes roumains de Walachie et de Moldavie penchaient plutôt vers la politique traditionnelle de croisade. Avec le XVIII e siècle, la situation changea. Une partie non négligeable de l’élite roumaine soutint la politique française en Europe de l’Est et en mer Noire pour lutter contre l’expansion des Russes et des Habsbourgs. Les cours de Bucarest et de Jassy, les familles princières de Racovitza et Mavrocordato se joignirent aux efforts de l’ambassade de France à Constantinople dans le soutien à la résistance des Polonais et des Tartares contre les tsars. Forte de l’assentiment de la « Sublime Porte », la Moldavie devint même une base pour le soutien français au soulèvement révolutionnaire de Koscinsko de 1794. L’expédition en Égypte de Napoléon Bonaparte (1798) provoqua un véritable bouleversement de la politique traditionnelle en Orient et l’avènement d’une nouvelle ère dans les relations franco-roumaines.
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Le Moine, Roger. « Considérations sur la noblesse canadienne ». Les Cahiers des dix, no 54 (30 octobre 2012) : 45–59. http://dx.doi.org/10.7202/1012969ar.

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Résumé :
L’article traite de l’aspect juridique de la noblesse coloniale canadienne en Nouvelle-France. À partir du XVIe siècle, la noblesse en France n’est plus liée à la possession de terres. En Nouvelle-France, les anoblis sont seigneurs, mais sans qu’il y ait en lien entre les états. Les motifs qui poussent le roi à anoblir relèvent du mérite, du développement des terres, de l’économie, de l’expansion territoriale et du service militaire. L’article aborde aussi les questions de la transmission des titres, de la dérogeance et des privilèges, ainsi que de la condition économique des la classe noble, son attitude après 1760 et son destin en Amérique.
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Descimon, Robert. « Les fonctions de la métaphore du mariage politique du roi et de la république en France, XVe-XVIIIesiècles ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 47, no 6 (décembre 1992) : 1127–47. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1992.279100.

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Résumé :
« Épouse et n'épouse pas ta maison »René CharParmi les métaphores qui aident les juristes à penser les rapports entre le roi et le royaume, celle du mariage politique occupe une place privilégiée.L'analogie est le pont aux ânes des scolastiques, ancienne ou nouvelle, et la fiction un procédé familier à la pensée normative. Au sens précis, la fiction consiste à accorder à une personne le statut juridique d'une autre. Mais prêter au roi le statut d'un époux mystique est une opération mentale qui dépasse une simple manipulation à l'intérieur du droit fondateur des statuts. Il s'agit bien plutôt de la création mythique du droit royal lui-même, d'une cosmogonie de la monarchie légitime, en somme.
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Hellin, Stéphan. « Deux fidèles des Guises complices de Maurevert ». Revue d'histoire du protestantisme 7, no 3 (24 octobre 2022) : 343–68. http://dx.doi.org/10.47421/rhp7_3_343-368.

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Résumé :
François de Villiers, seigneur de Chailly (vers 1527 – vers 1582) est un fidèle de la maison de Guise tout au long de sa vie. Devenu maître d’hôtel de cette maison en 1572, il participe, de manière notoire, à l’attentat de Maurevert contre le chef protestant Coligny, le 22 août 1572. Il accueille Maurevert à Paris et, après son crime, Villiers assure un refuge au tueur dans son château de Chailly, en Brie. Tout en servant le duc de Guise, Villiers est maître d’hôtel du roi et conserve sa charge après la Saint-Barthélemy. Plus tard, il hérite sans difficultés de l’office de « grand louvetier de France », détenu par son oncle, Jean de La Boissière, lui aussi au service des Guises. Le parcours de ce personnage après la Saint-Barthélemy montre que sa carrière n’a nullement souffert d’un mécontentement royal et donne un indice sur les intentions de Catherine de Médicis et de son fils Henri d’Anjou, futur Henri III, en 1572. François de Pilla, sieur de Villemur, est connu pour être l’occupant de la maison utilisée par Maurevert lors de sa tentative de meurtre contre Coligny, deux jours avant la Saint-Barthélemy. Il quitte opportunément cette demeure en ordonnant au personnel d’obéir à Chailly et à son accompagnateur, le tueur Maurevert. Ce personnage proche de la maison de Guise a d’abord été précepteur du jeune duc, et il avait la confiance d’Anne d’Este, veuve du duc de Guise. Pilla, simple roturier, finit par obtenir de grandes récompenses, d’abord au sein de la maison de Guise dont il devient le surintendant, puis au service de Henri III : il est fait aumônier de la reine, Louise de Lorraine, puis aumônier du roi. Sa carrière n’a pas été freinée par sa participation à la préparation du crime de Maurevert, et la bienveillance de Henri III à son égard constitue un indice quant à l’attitude du futur roi lors de la Saint-Barthélemy.
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Clarke de Dromantin, Patrick. « Heurs et malheurs des troupes jacobites au service de la France au XVIII e siècle ». Revue Historique des Armées 253, no 4 (1 décembre 2008) : 28–42. http://dx.doi.org/10.3917/rha.253.0028.

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Résumé :
Au lendemain de l’éviction du roi d’Angleterre, Jacques II Stuart, lors de la Glorieuse Révolution de 1688, 25 à 30000 soldats jacobites, Irlandais pour la plupart, se réfugièrent en France pour constituer la célèbre brigade irlandaise au service du roi très chrétien. L’auteur rappelle dans cet article les pages les plus glorieuses de l’extraordinaire épopée de ces troupes d’élites dans les guerres de Louis XIV, puis tout au long du XVIII e siècle à travers toute l’Europe et même dans le Nouveau Monde avec leur remarquable participation à la guerre d’Indépendance américaine. Il retrace ensuite les innombrables tribulations auxquelles ils furent soumis au cours de leur vie militaire : les déboires concernant leurs rémunérations, leurs promotions, leurs pensions de retraite, leurs affectations successives, le sort de leurs veuves et de leurs enfants et parfois leur tragique destin, notamment au moment de Révolution française, quand tout les désignait à la vindicte populaire…
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Rocher, Yves-Marie. « Louis XIV et la guerre d’Indépendance hongroise (1701-1711) ». Revue Historique des Armées 263, no 2 (1 janvier 2011) : 63–74. http://dx.doi.org/10.3917/rha.263.0063.

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Résumé :
Durant la guerre de Succession d’Espagne (1701-1716), le roi Louis XIV soutient la révolte menée par le prince Ferenc II Rákóczi en Hongrie. Sous la coupe de la maison d’Autriche et du Saint-Empire romain germanique depuis 1596, ce pays cherche à s’émanciper et menace les positions habsbourgeoises. Ce soulèvement est un bienfait pour la France, confrontée à une coalition de pays européens, car il lui permet d’avoir un allié de revers occupant une partie des forces adverses. Afin de soutenir ce mouvement, les Hongrois souhaitent que leur armée et celle de France se rejoignent pour pouvoir définitivement l’emporter sur la maison d’Autriche. Mais Louis XIV se contente d’envoyer de l’argent et des soldats pour maintenir la révolte. Cette aide matérielle se double de démarches diplomatiques destinées à empêcher les négociations de paix entre la Hongrie et le Saint-Empire et à soutenir des liens avec des pays plus favorables à la cause française. Versailles, à partir de 1709, diminue son aide à la Hongrie qui, suite à de multiples revers, traite la paix avec l’Empire en 1711, contraignant Rákóczi à s’exiler en France.
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Mattéoni, Olivier. « Un discours sur le pouvoir : le prologue de l’ Armorial de Guillaume Revel (milieu du xv e siècle) ». Revue du Nord 446, no 2 (14 mars 2023) : 291–302. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.1446.0291.

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Résumé :
L’ Armorial de Guillaume Revel est un document remarquable et unique. Réalisé au milieu du xv e siècle à la demande du duc Charles I er de Bourbon puis dédié au roi après sa mort, son intérêt réside dans le fait de réunir sur une même page armoiries des hommes du prince et vues figurées de villes, villages et châteaux. Son prologue, jamais étudié, est riche d’un message politique. Édité dans le cadre de cette contribution, il développe une série de remarques sur le prince, qui doit assurer à ses sujets abondance, paix et sécurité. Au-delà, le prologue propose une relecture des relations entre le duc de Bourbon et le roi en insistant sur la proximité de sang que dit la similitude des armes entre la maison de France et celle de Bourbon.
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O'Brien, D. C. « Traditional Virtues, Feudal Ties and Royal Guards : The Culture of Service in the Eighteenth-Century Maison Militaire du Roi ». French History 17, no 1 (1 mars 2003) : 19–47. http://dx.doi.org/10.1093/fh/17.1.19.

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Bastet, Delphine. « Étude iconographique des Bacchanales Richelieu de Nicolas Poussin ». Studiolo 4, no 1 (2006) : 167–86. http://dx.doi.org/10.3406/studi.2006.1168.

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Résumé :
Cet article étudie l'iconographie du décor du cabinet du roi Louis XIII au château de Richelieu, présentant conjointement les tableaux du Studiolo d'Isabelle d'Este entrés dans la collection du cardinal de Richelieu, les trois triomphes de personnages de la légende de Bacchus commandés à Nicolas Poussin dans les années 1630 et une allégorie de La Libéralité de Titus peint par Jacques Stella. Un bilan des interprétations auxquelles ce décor a donné lieu est dressé, puis une nouvelle lecture iconographique est proposée. Elle se base sur l'examen des interprétations existantes dans la peinture et la littérature du thème du Triomphe de Bacchus et sur la consultation des thèmes retenus dans les ballets ou les panégyriques adressés à la gloire du roi Louis XIII. Ces éléments permettent d'avancer que le décor rend hommage aux victoires militaires de Louis XIII au travers du personnage de Dionysos revenant de la conquête des Indes et célèbre le retour en France de la paix et de l'abondance, consécutif à la grande valeur militaire du roi.
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Joannon, Pierre. « Les soldats perdus de l’armée d’Irlande ». Revue Historique des Armées 253, no 4 (1 décembre 2008) : 43–54. http://dx.doi.org/10.3917/rha.253.0043.

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Résumé :
Au lendemain de l’éviction du roi d’Angleterre, Jacques II Stuart, lors de la Glorieuse Révolution de 1688, 25 à 30000 soldats jacobites, Irlandais pour la plupart, se réfugièrent en France pour constituer la célèbre brigade irlandaise au service du roi très chrétien. L’auteur rappelle dans cet article les pages les plus glorieuses de l’extraordinaire épopée de ces troupes d’élites dans les guerres de Louis XIV, puis tout au long du XVIII e siècle à travers toute l’Europe et même dans le Nouveau Monde avec leur remarquable participation à la guerre d’Indépendance américaine. Il retrace ensuite les innombrables tribulations auxquelles ils furent soumis au cours de leur vie militaire : les déboires concernant leurs rémunérations, leurs promotions, leurs pensions de retraite, leurs affectations successives, le sort de leurs veuves et de leurs enfants et parfois leur tragique destin, notamment au moment de Révolution française, quand tout les désignait à la vindicte populaire…
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Dolan, Claire. « Liturgies urbaines et rapports sociaux en France au XVIe siècle : fascination militaire, quartiers et corporations de métiers ». Journal of the Canadian Historical Association 5, no 1 (9 février 2006) : 87–109. http://dx.doi.org/10.7202/031074ar.

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Résumé Démonstration de pouvoir, l'entrée royale dans les bonnes villes de France donne en spectacle la relation entre la royauté et ses villes mais elle fournit aussi aux urbains Ioccasion de se représenter eux-mêmes. L'objectif méthodologique de cet article est de vérifier si les descriptions d'entrées sont utilisables pour reconstruire le tissu social spécifique de chaque ville. Cet article s'attarde sur l'un des éléments de cette entrée : le cortège urbain qui, en « belle ordonnance », franchit les murs pour aller accueillir le roi à quelques lieues de la ville. La représentation quon y trouve du « peuple de la ville » montre que l'entrée révèle moins le corps social urbain que le système d'encadrement de ce corps social. D'abord regroupé par métiers, le « peuple de la ville » perd bientôt sa spécificité pour former un tout confondu à l'intérieur du défilé militaire qui se généralise au XVIe siècle. L'article met d'abord en évidence la fascination pour la chose militaire qui se développe au XVIe siècle et qui confère à la symbolique des armes un caractère à la fois politique et festif. Il s'interroge ensuite sur les rapports sociaux mis en scène par le cortège urbain et évalue la place du quartier par rapport au métier comme système d'encadrement, en comparant diverses entrées à travers la France.
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Nejedlý, Martin. « Fauvel en bohême ? Réflexions sur la diffusion d’un thème littéraire et iconographique au xiv e siècle ». Revue du Nord 446, no 2 (14 mars 2023) : 315–29. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.1446.0315.

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Dans l’une des chambres du vieux château de Strakonice, en Bohême du Sud, on peut trouver une peinture gothique représentant la roue de Fortune. Elle date probablement de la première moitié du xiv e siècle. Du haut de la roue, un être est en train de tomber : mi-homme mi-cheval, il est doté d’un buste humain mais le bas de son corps est celui d’un équidé, avec une queue et des sabots. La présente étude tente de proposer une hypothèse basée sur la vivacité des relations politiques et culturelles entre la France et le royaume de Bohême sous le règne des deux premiers rois de la dynastie des Luxembourg. Le sujet est peut-être à rapprocher du Roman de Fauvel : l’histoire d’un cheval qui voulait assujettir les gens et devenir roi. Ce texte nous est connu grâce au magnifique codex qui fut probablement rédigé entre 1317 et 1322 et dont le destinataire fut vraisemblablement le comte Charles de Valois, beau-père du futur roi de Bohême Charles IV. Le château de Strakonice appartenait a Vilém de Strakonice, un seigneur extrêmement cultivé, entretenant des relations étroites tant avec le roi Jean de Luxembourg qu’avec son fils Charles IV, élevé à la cour royale de France. Il est possible qu’il ait connu l’histoire de Fauvel au moins de manière indirecte. L’éducation, la vie et les activités littéraires de Vilém de Strakonice ainsi que ses contacts avec les souverains de la Maison de Luxembourg et leurs artistes de cour permettent de l’envisager, au moins à titre d’hypothèse stimulante pour la recherche internationale et interdisciplinaire.
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Porte, Rémy. « L’héritage de la principauté d’Orange. Enjeu entre le protecteur des Provinces-Unies et le roi de France ». Revue Historique des Armées 253, no 4 (1 décembre 2008) : 14–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.253.0014.

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Mal connue, l’histoire de la principauté d’Orange ne relève pas d’une histoire locale ou régionale traditionnelle. Paradoxalement, alors que sa superficie n’a jamais été considérable, la ville doit à sa position géographique et à un héritage complexe de jouer pendant cinq siècles un rôle important entre le royaume de France et le Saint- Empire germanique, puis entre catholiques et prostestants. Parallèlement aux différentes interventions prononcées aujourd’hui sur les relations franco-irlandaises stricto sensu , je voudrais souligner ici la place de cette principauté souveraine et son rôle dans l’émergence des princes de la maison de Nassau, d’abord comme protecteurs des Provinces-Unies, puis comme rois d’Angleterre. Les ambitions manifestées par le prince Guillaume à partir des années 1560 ne peuvent pas se comprendre sans prendre en compte l’histoire médiévale de la principauté et l’enchevêtrement des liens toujours contestés de vassalité.
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Chauviré, Frédéric. « RÉMI MASSON, Défendre le roi. La maison militaire au XVIIe siècle, Ceyzérieu, Champ Vallon, 2017, 415 p., ISBN 979-10-267-0530-7 ». Revue d’histoire moderne & ; contemporaine 66-1, no 1 (2019) : 123. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.661.0123.

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Bruna, D. « De l'agréable à l'utile : le bijou emblématique à la fin du Moyen Âge ». Revue historique o 123, no 1 (1 janvier 1999) : 3–22. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.g1999.123n1.0003.

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Résumé :
Résumé Le badge est un emblème qui représente, par un animal, une plante ou un objet, un roi, un prince ou tout autre individu. Il apparaît dans la deuxième moitié du xiv siècle notamment sous forme de broches appelées : enseignes. Le badge sert d'ornement vestimentaire mais aussi de marque d'identité que son propriétaire appose sur ses effets personnels. C'est en ce sens que l'on peut dire que le rôle du badge est à la fois utile et agréable. Son caractère utilitaire s'accroît avec l'apparition d'événements sociaux et politiques : les livrées et les conflits. Lors des livrées, lé badge, essentiellement sous forme d'enseignes de plomb et d'étain, était diffusé par les princes auprès des membres de leur maison. Durant les conflits entre les Armagnacs et les Bourguignons en France, puis ceux entre les York et les Lancastre en Angleterre, les enseignes servaient à la fois de signes de reconnaissance, de ralliement et de passe-droits. Reposant sur des chroniques contemporaines, mais surtout sur l'examen de véritables enseignes découvertes lors de fouilles archéologiques en France et en Angleterre, cette étude montre combien ces petits objets ont joué un rôle important, notamment lors des derniers conflits de la guerre de Cent Ans.
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Fonck, Bertrand. « Le commandement des armées et ses enjeux sous Louis XIV ». Revue Historique des Armées 263, no 2 (1 janvier 2011) : 17–27. http://dx.doi.org/10.3917/rha.263.0017.

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Résumé :
Si les plus connus parmi les généraux de Louis XIV ont trouvé leur biographe et si leurs origines sociales, leur rôle dans la direction de la guerre ou la place des maréchaux de France dans l’État monarchique ont fait l’objet de travaux plus ou moins récents, les carrières des chefs d’armée, les critères de nomination et les enjeux du commandement n’ont qu’insuffisamment été étudiés dans une approche synthétique et comparatiste. Malgré la structuration de la carrière d’officier général qui accompagna l’œuvre de subordination accomplie par Louis XIV, Le Tellier et Louvois, les profils et les parcours des commandants en chef gardèrent une certaine diversité, illustrée par la présence fréquente à la tête des armées des membres de la famille royale et des princes du sang ou légitimés. Les choix souverainement opérés par le roi dans la délégation de son autorité de chef de guerre, fruits de compromis entre la faveur, la naissance, le mérite et l’ancienneté promue par l’ordre du tableau, furent également motivés par des considérations politiques et marqués, malgré le caractère temporaire des commandements et les insuffisances parfois constatées, par la stabilité. L’élite de l’aristocratie militaire bénéficiait ainsi, à condition d’afficher une entière soumission, des dividendes du service qui procurait pouvoir, fortune, charges et promotion sociale.
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Vergnaud, Jean-Louis. « De l'âge des services au temps des vanités. La compagnie des conseillers-secrétaires du roi, maison, couronne de France, et de ses finances. Histoire, fonctions et privilèges ». Cahiers Saint Simon 14, no 1 (1986) : 55–70. http://dx.doi.org/10.3406/simon.1986.1086.

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Schaub, Jean-Frédéric. « Neithard Bulst, Robert Descimon, Alain Guerreau éds, L'État ou le roi. Les fondations de la modernité monarchique en France (XIVe-XVIIe siècle), Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, 1996, 169 p. » Annales. Histoire, Sciences Sociales 52, no 2 (avril 1997) : 401–3. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900050290.

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A. Orban, Myriam. « Des huguenots en Provence orientale (1558-1594) ». Revue d'histoire du protestantisme 5, no 2-3 (18 décembre 2020) : 181–96. http://dx.doi.org/10.47421/rhp5_2-3_181-196.

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Résumé :
Si l’engagement de la grande noblesse (les Guise, Bourbons, Montmorency, Coligny, Condé) dans les guerres de religion est relaté dans les livres d’histoire, la noblesse de second ordre est moins connue, et l’historiographie ignore largement les grands seigneurs de la Provence orientale qui adhérèrent à la Réforme. Parmi cette noblesse du sud-est de la France, et notamment celle possédant fiefs dans les actuels départements des Alpes-Maritimes, du Var et des Alpes-de-Haute-Provence, on peut citer des Castellane, des Oraison, des Grasse, des Grimaldi de Beuil, et des Villeneuve auxquels est consacrée cette étude. Dès 1550, les évêchés sont affaiblis par la simonie, les questions d’argent et les procès pour conserver leurs droits temporels. L’abbaye de Lérins, dont le rayonnement a décliné suite à la gestion calamiteuse sous le régime de la commende, est devenue un foyer calviniste. Des moines ont été chassés. Quelques évêques ont abjuré publiquement, d’autres sympathisent plus ou moins ouvertement avec les huguenots. Mais, le mouvement réformé ne prend véritablement racine au sein de la noblesse qu’à partir de 1559, avec la fin des guerres d’Italie et le retour des barons sur leurs terres. Certains ont été en contact avec les Allemands luthériens et en reviennent convertis à la doctrine de la « nouvelle foi ». Protégés par le gouverneur de Provence, Claude de Tende, les Grasse et les Lascaris, les Villeneuve ont entraîné parentèle, gentilshommes et notables et créé de petites communautés qui accueillent des pasteurs venus de Genève. Des partis se créent, qui brouillent la légendaire solidarité nobiliaire. Les guérillas mettent tout le pays à feu et à sang. En 1569, le baron de Vence Claude de Villeneuve, son frère Honoré de Villeneuve-Tourrettes-lès-Vence et son oncle Jean de Villeneuve-Thorenc acquièrent, lors d’enchères, des terres et les droits associés mise en vente par l’évêque Louis Grimaldi de Beuil afin de payer les décimes réclamées par la royauté pour subvenir aux guerres de religion. Il semble que leur arrière-pensée soit de reconstituer leur fief, ce qui assurerait, grâce à une alliance avec les Grasse et les Villeneuve-les-Fayence, un vaste territoire protestant. Lors de la guerre proprement provençale entre carcistes et razats, ils font de Saint-Martin-la-Pelote, Saint-Laurent-la-Bastide et le Canadel (notamment) des bastions fortifiés pour accueillir les protestants et leurs troupes. Ces guerres ont fait des ravages parmi les seigneurs. Beaucoup sont morts au combat, les autres se sont ruinés et n’ont plus les moyens d’entretenir un ministre réformé. Quand en 1589 Henri IV devient roi de France, de nombreux barons se soumettent à lui pour obtenir son pardon. Ils n’ont plus de soutien et les abjurations commencent. La fin des guerres de religion dans le sud-est provençal marque aussi celle de l’esprit de patriotisme provençal et celle de la féodalité politique et militaire, tandis que les évêques tridentins cherchent à récupérer les terres vendues par leurs prédécesseurs aux Villeneuve. Néanmoins, la Réforme protestante est bien établie dans une partie de la population. Au XVIIe siècle, les évêques des diocèses de Vence et de Grasse s’attachent lors de visites pastorales à repérer les protestants et à faire appliquer par les vicaires et les curés les préceptes de la Contre-Réforme.
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Fratini, Marco. « Les vaudois dans la propagande visuelle des Provinces-Unies à la fin du XVII<sup>e</sup> ; siècle ». Revue d'histoire du protestantisme 6, no 4 (24 février 2022) : 401–40. http://dx.doi.org/10.47421/rhp6_4_401-440.

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Résumé :
Au XVIIe siècle, la survie des vaudois dans les vallées alpines du Piémont a été menacée à plusieurs reprises et ils n’ont pu se maintenir que grâce au soutien des puissances européennes protestantes. Parmi celles-ci, les Provinces-Unies les ont soutenus en 1655 et après 1686, par leurs interventions diplomatiques, financières et militaires ; dans la campagne de propagande contre le souverain français, l’image des vaudois a également utilisé des affiches, des cartes et des médailles. La représentation des vaudois comme minorité persécutée a été largement diffusée à l’occasion des massacres de 1655, connus sous le nom de « Pâques piémontaises » ou « Printemps du sang ». À travers des publications néerlandaises et anglaises, l’opinion publique européenne a pu découvrir les images des habitants des vallées alpines du Piémont soumis à d’innombrables atrocités, images diffusées dans le but de provoquer l’horreur et l’indignation, mais aussi d’éveiller la pitié et la solidarité des pays protestants. Trente ans plus tard, avec la révocation de l’édit de Nantes, l’offensive de Louis XIV contre les huguenots a également impliqué de façon dramatique les vaudois, sujets du duc de Savoie. La persécution, l’emprisonnement et l’exil forcé ont conduit à un nouveau soutien diplomatique et à une nouvelle propagande des puissances protestantes, en particulier l’Angleterre et les Provinces-Unies, unies sous l’égide de Guillaume III d’Orange. À ce stade, les représentations des vaudois dans les gravures et les médailles restent sporadiques et, lorsqu’elles apparaissent, c’est surtout pour dénoncer la persécution dont ils ont été victimes. À cette caractéristique s’ajoutent d’autres thèmes à l’ordre du jour du débat politique et religieux de l’époque. Tout d’abord, ils n’apparaissent plus comme un groupe isolé, mais comme faisant partie d’un monde protestant pluriel, au sein duquel, dans la controverse contre la politique du roi de France à l’égard des réformés, ils sont restés en retrait par rapport aux huguenots. Du point de vue politique également, leurs tentatives de survie, et parfois de résistance armée, représentent et constituent un élément perturbateur constant dans le conflit d’un territoire frontalier entre le royaume de France et le duché de Savoie. C’est pourquoi ils suscitent un intérêt supplémentaire pour les autres puissances européennes et leur participation militaire au conflit franco-savoyard en tant que sujets du duc les montre, dans une médaille de 1691, comme des soldats efficaces et fidèles au service de Victor Amédée II. En même temps, la continuité historique de l’époque médiévale garantit aux vaudois une valeur exemplaire d’ancêtres de la Réforme, à une époque où le protestantisme européen est à la recherche de racines historiques profondes pour légitimer son antagonisme à l’Église de Rome. La justification de leur présumée origine apostolique en fait un témoignage ancien du « christianisme authentique », toujours vivant et à préserver en tant que tel. Enfin, le succès, bien qu’avec des implications tragiques, de la Rentrée d’exil en 1689, crée l’image exemplaire de la libération du peuple de Dieu. Dans sa parabole accomplie du « martyre » à la « gloire », ils ont offert, notamment aux exilés huguenots des Provinces-Unies, la confirmation d’une possible réalisation concrète de leurs lectures prophétiques de l’Apocalypse, en vue de la délivrance de tous les protestants persécutés, attestée par une médaille hollandaise de 1686-1687, de la circulation tortueuse également dans les publications imprimées. L’étude des témoignages figuratifs (quoique rares) concernant les vaudois, produits à la fin du XVIIe siècle, permet de comprendre les formes de représentation symbolique des multiples significations qu’ils en sont venus à assumer, notamment aux Provinces-Unies et grâce à la large diffusion de l’imprimé, aux yeux du protestantisme européen.
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Hadjeras, Stéphane. « Le boxeur Georges Carpentier dans la presse franco-britannique de la Belle Époque ». Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 10, no 2 (19 décembre 2021) : 104–19. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v10.n2.2021.441.

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Résumé :
FR. A la veille de la Grande Guerre la boxe anglaise a pris, dans les sociétés anglo-saxonnes (États-Unis, Grande-Bretagne et Australie) et depuis peu en France, une dimension sociale et culturelle d’importance. Dans l’Hexagone alors qu’elle était au tournant du XIXème siècle une mise en scène illégale et inconnue du grand public, elle a connu en 10 ans une fulgurante ascension. Aussi, En 1914, elle est devenue sport roi non seulement à Paris mais également en province. Ce que l’on peut appeler « la Belle Époque de la boxe anglaise en France » est marqué par une corrélation entre les succès de cette pratique et l’avènement de la première superstar du sport tricolore : le boxeur Georges Carpentier. Né en 1894 à Liévin, dans les bassins miniers du Pas-de-Calais, le « gosse » embrasse la carrière de pugiliste à l’âge de 14 ans. Entre 1908 et 1914, au rythme de nombreuses et surprenantes victoires, sa popularité ne cesse de croître. Elle atteint son apogée dans les deux années précédant la guerre, particulièrement lors de probants triomphes face à la fine fleur pugilistique britannique. A l’occasion de matchs mobilisant les ressorts du nationalisme anti-anglais, ces affrontements poursuivent la longue inimitié historique entre la France et la « perfide Albion », tout en nourrissant et amplifiant la célébrité du jeune prodige. A l’aube du culte des vedettes et dans une métaphore évidente de la guerre, la presse franco-britannique n’hésite pas à l’élever au rang de « vengeur de Waterloo ». Puis, contre toute attente, à quelques mois de l’embrasement de la vieille Europe, augurant du nouveau jeu d’alliance militaire qui se dessine dans les salons de la diplomatie franco-anglaise, il devient dans ces mêmes journaux le « champion de l’Entente Cordiale ». *** EN. In the years preceding the Great War, English boxing occupied an important social and cultural role in Anglo-Saxon societies (United States, Great Britain and Australia) and came to gradually occupy a similar position in France. At the turn of the 19th century, it was still an illegal and obscure show to French audiences. However, in the course of the following decade, it was propelled to higher grounds: by 1914, it had become the king of sports, both in Paris and in the provinces. The “Belle Époque of English boxing in France" is characterized by the correlation between the success of the sport and the rise of the first French boxing superstar, Georges Carpentier. Born in 1894 in Liévin, in the coal mining basins of the Pas-de-Calais, the “kid” embraces the career of pugilist at the age of 14. Between 1908 and 1914, his popularity was on a constant rise thanks to numerous and surprising victories. His popularity climaxes in the two years preceding the war, largely thanks to multiple victories against the British pugilistic elite. Mobilizing nationalism fueled by anti-English sentiments, these boxing matches are presented as a natural extension of the long historical enmity between France and the "perfidious Albion", contributing to grow and amplify the young prodigy’s fame. At the dawn of celebrity worship, and in an obvious metaphor of the war, the Franco-British press did not hesitate to adorn him as the "Waterloo avenger". Then, against all odds, a few months before the dislocation of old Europe, the same newspapers transformed him into the "champion” of the Entente Cordiale, implicitly pulling in behind the new military alliances taking shape in the halls of Franco-British diplomacy. *** PT. Às vésperas da Grande Guerra, o boxe inglês assume uma dimensão sociocultural central nas sociedades anglo-saxônicas (Estados Unidos, Grã-Bretanha e Austrália). Isso ocorre também na França, onde, até a virada do século XIX, não passava de uma encenação ilegal desconhecida do público em geral. 10 anos depois, experimenta uma ascensão meteórica, tornando-se, em 1914, o rei dos esportes em Paris, mas também nas demais cidades francesas. O período da Belle Époque do boxe inglês na França é marcado por uma convergência entre o sucesso do boxe e o advento da primeira superestrela do esporte francês: o boxeador Georges Carpentier. Nascido em 1894 em Liévin, nas bacias mineiras do Pas-de-Calais, o “moleque”, como era chamado, abraçou a carreira de pugilista aos 14 anos de idade. Entre 1908 e 1914, tendo já acumulado diversas vitórias surpreendentes, sua popularidade não para de crescer, atingindo seu auge nos dois anos que precederam a guerra, com vitórias arrasadoras contra a nata do pugilismo britânico. Essas partidas, cenário de incitação ao nacionalismo antiinglês, passaram simultaneamente a consolidar a longa inimizade histórica entre a França e o “pérfido Albion” e a fama do jovem prodígio. Nos primórdios do culto às estrelas do esporte, a imprensa franco-britânica, lançando mão de uma óbvia metáfora bélica, eleva Carpentier ao ranking de “vingador de Waterloo”. Poucos meses antes do estremecimento da velha Europa, contrariando todas as expectativas e prefigurando o novo jogo de alianças militares que se perfilava nos salões da diplomacia franco-britânica, Georges Carpentier torna-se, nas colunas desses mesmos jornais, o “campeão da Entente Cordiale”. ***
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García Hurtado, Manuel-Reyes. « Un comisionado francés en la primera década del siglo XVIII en Galicia : preparándose para una guerra ». Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no 11 (22 juin 2022) : 375–92. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.17.

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Résumé :
El ascenso al trono de España de Felipe V lleva aparejado la llegada junto a él de personajes de origen francés que ocupan importantes esferas de poder con la nueva dinastía. Junto a estos vienen numerosos individuos siguiendo órdenes que son quienes van a llevar a cabo un trascendental trabajo de campo clave para poder hacer frente al principal problema que debe superar durante sus primeros años el monarca, que no es otro que garantizar la defensa del territorio ante la posibilidad de un conflicto armado. Analizamos la figura de uno de estos hombres, Bernard Renau d’Éliçagaray, prestando atención singularmente a la misión que llevó a cabo en Galicia en los años 1702 y 1703. Palabras clave: fortificación, ingeniería, Guerra de SucesiónTopónimos: GaliciaPeriodo: siglo XVIII ABSTRACTPhilip V’s ascent to the throne of Spain was accompanied by the arrival of individuals of French origin who occupied important positions of power within the new dynasty. They were joined by numerous individuals, following orders, who would carry out crucial fieldwork, essential in order to address the main problem facing the monarch during his first years, which was none other than guaranteeing the defence of the territory against the possibility of an armed conflict. This work considers the contribution made by one of these men, Bernard Renau d’Éliçagaray, concentrating in particular on the mission he undertook in Galicia in 1702 and 1703. Keywords: Fortification, Engineering, War of SuccessionPlace names: GaliciaPeriod: 18th century REFERENCIASCluny, I. (2002), “A Guerra de Sucessão de Espanha e a diplomacia portuguesa”, Penélope. Revista de História e Ciências Sociais, 26, pp. 63-92.Désos, C. (2016), “Les ingénieurs du roi de France auprès de la couronne d’Espagne (1704-1715)”, Vegueta. Anuario de la Facultad de Geografía e Historia, 16, pp. 67-92.Eiras Roel, A. 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Truchuelo García (eds.), Europa en torno a Utrecht, Santander, Universidad de Cantabria, pp. 175-204.— (2016), “Los cambios de la organización militar y los inicios de la intendencia en Galicia (1704-1716)”, en M. López Díaz (ed.), Galicia y la instauración de la Monarquía borbónica. Poder, élites y dinámica política, Madrid, Sílex, pp. 53-93.— (2017), “El papel de las élites locales en la organización militar: Galicia, 1668-1715”, en E. García Hernán y D. Maffi (eds.), Estudios sobre Guerra y Sociedad en la Monarquía Hispánica. Guerra marítima, estrategia, organización y cultura militar (1500-1700), (Valencia), Albatros, pp. 519-538.Soraluce Blond, J. R. (1985), Castillos y fortificaciones de Galicia. La arquitectura militar de los siglos XVI-XVIII, La Coruña, Fundación Pedro Barrié de la Maza.Sue, E. (1852), Jean Bart et Louis XIV. Drames maritimes du XVIIe siècle, Paris, Marescq et Compagnie.Tourón Yebra, M. 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Kusman, David. « Compter l’argent qui circule en barils : Les capitaux anglais dans les anciens Pays-Bas durant la campagne diplomatique et militaire d’Édouard Ier Plantagenêt contre Philippe Le Bel (1294-1297). » Clio@Themis, no 17 (29 mars 2021). http://dx.doi.org/10.35562/cliothemis.402.

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Résumé :
Comment circule l’argent en temps de guerre et à quels aléas et charges financières est-il soumis ? À la fin du xiiie siècle, le roi d’Angleterre Édouard Ier rétribue des alliés sur le continent, parmi les princes des anciens Pays-Bas, avec des dizaines de milliers de livres, dans le cadre de son conflit avec le roi de France. Cette recherche se veut une réflexion sur les coûts de protection princière des convois monétaires étrangers et sur l’élaboration du droit de conduit en temps de guerre. Nous concluons au rôle stimulant de la guerre comme moteur de construction de ce droit de conduit.
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Duffuler-Vialle, Hélène. « From barracks to brothels : prostitution’s regulation for the benefit of the military institution (1900-1939) ». C@hiers du CRHIDI, 2018. http://dx.doi.org/10.25518/1370-2262.625.

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Résumé :
De la Révolution à 1946, la France est réglementariste, c’est-à-dire que la prostitution, pensée comme un mal nécessaire, est régulée par des réglementations locales, harmonisées par des injonctions ministérielles. Si en général les clients de la prostitution ne font l’objet d’aucun traitement spécifique par l’autorité régulatrice, la clientèle militaire constitue une exception. En effet certaines dispositions réglementaires les concernent. Cette clientèle est considérée comme particulièrement vulnérable dans un contexte de « Nation en danger » où la syphilis représente un péril national. A la fin du XIXe siècle et jusqu’en 1916, une politique d’éducation sexuelle préventive est mise en place auprès des soldats, où la chasteté est prônée comme la meilleure garantie. De manière pragmatique, la maison de tolérance reste considérée comme le meilleur moyen de contrôler la sexualité des soldats et d’éviter qu’ils ne contractent des maladies vénériennes. Ainsi, d’une part, l’institution militaire lutte contre la prostitution clandestine et d’autre part fait obstacle à la mise en place du système abolitionniste ou semi-abolitionniste dans les quelques villes qui tentent de l’installer. Le réglementarisme est adapté aux nécessités militaires et, à partir de 1916, il n’est plus question de revoir le système mais de renforcer son efficacité prophylactique. Dans ce contexte l’autorité militaire est ponctuellement saisie de questions juridiques particulières : existe-t-il un droit d’accès aux maisons de tolérance pour les militaires ? Les femmes qui se prostituent ont-elles le droit de refuser des clients ? Quid de la discrimination raciale ?
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« Neithard Bulst, Robert Descimon, and Alain Guerreau, eds., L'état ou le roi : Les fondations de la modernité monarchique en France (XIVe–XVIIe siècles). Table ronde du 25 mai 1991 organisée par Neithard Bulst et Robert Descimon à l'Ecole Normale Supérieure, Paris. Paris : Editions de la Maison des Sciences de l'Homme, 1996. Paper. Pp. v, 174 plus 8 black-and-white figures. F 120. » Speculum 73, no 02 (avril 1998) : 636. http://dx.doi.org/10.1017/s0038713400081069.

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