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Articles de revues sur le sujet « Géographes »

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Gilbert, Anne. « Vers l’émergence d’une nouvelle géographie sociale de langue française ? 1 ». Cahiers de géographie du Québec 51, no 143 (12 octobre 2007) : 199–218. http://dx.doi.org/10.7202/016600ar.

Texte intégral
Résumé :
Résumé L’évolution récente de la géographie québécoise ne serait pas sans rappeler celle qu’observait Christine Chivallon en France à propos de la dichotomie entre géographie sociale et géographie culturelle. Ici comme là-bas, on remarque toutefois des recoupements de plus en plus étroits entre ces deux perspectives, d’une part à la faveur d’un intérêt marqué des géographes de la société pour la représentation et l’identification dans l’étude de la territorialité, d’autre part de la tendance de plus en plus forte des géographes de la culture de reconnaître la socialité à l’oeuvre dans le dispositif territorial. Au Québec notamment, les deux géographies témoigneraient d’un intérêt commun pour la question nationale, telle qu’elle découle de la rencontre sur le territoire de populations au pouvoir inégal. L’analyse comparée des travaux de deux jeunes géographes, l’une française, l’autre québécois, partageant un point de vue similaire sur l’imbrication du social et du culturel, permet de voir jusqu’à quel point les trajectoires, en dépit de certaines différences liées au contexte, ont été analogues dans ces deux lieux de production d’un savoir géographique de langue française. Cette convergence n’est pas sans rappeler celle qui a donné lieu, durant les années 1980, à la consolidation d’une nouvelle géographie culturelle anglo-saxonne. Les courants français et québécois de la géographie de langue française seraient-ils en train de faire naître, de part et d’autre de l’Atlantique, une nouvelle géographie sociale ?
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2

Bérubé, Adrien. « La géographie évolue. Elle est utile. Mais les géographes le sont peut-être moins… ». Cahiers de géographie du Québec 32, no 87 (12 avril 2005) : 261–67. http://dx.doi.org/10.7202/021977ar.

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Résumé :
Un autre colloque épistémologique. Signe de santé ou symptôme de pathologie ? La géographie a changé, certes. Parce que les temps changent. Parce que les géographes ont voulu se rendre plus utiles. Mais la lecture de certains périodiques laisse perplexe. La géographie, est-ce bien ce que font les géographes? La géographie universitaire ne serait-elle pas plus utile si elle était d'abord plus utilisable? Par qui donc les géographes veulent-ils être admirés? Par quelques spécialistes ou par le grand public?
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3

Marois, Claude. « Géographie de la population : parcours d’une branche de la géographie ». Cahiers de géographie du Québec 54, no 151 (8 septembre 2010) : 177–95. http://dx.doi.org/10.7202/044372ar.

Texte intégral
Résumé :
Cet article a pour objectif de présenter les différentes trajectoires de la géographie de la population depuis les années 1950. Plus spécifiquement, il propose un bilan sur les plans théorique, méthodologique et thématique de cette sous-discipline de la géographie en portant une attention sur les recherches entreprises par les géographes québécois. Ainsi, nous abordons l’objet de la géographie de la population dans les géographies nationales et les raisons pour lesquelles cette sous-discipline s’est cantonnée surtout dans une approche positiviste. La section suivante dresse une synthèse des recherches entreprises sur les trois composantes de la démographie, soit la fécondité, la mortalité et les migrations. Dans ce bilan, nous verrons que les travaux de recherche se caractérisent par une préoccupation marquée pour les mesures et les analyses à la fois statistiques et cartographiques. En raison de la place accordée au thème migratoire, nous portons une attention particulière à ce thème car il est de loin le champ de recherche que les géographes de la population occupent le plus depuis les débuts. Enfin, nous terminons par une présentation des thèmes porteurs pour le XXIesiècle et par les changements que la géographie de la population devrait apporter pour assurer son existence et sa durabilité.
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Deshaies, Laurent. « Évolution de la pensée géographique dans la foulée des mutations de la géographie ». Cahiers de géographie du Québec 54, no 151 (8 septembre 2010) : 49–75. http://dx.doi.org/10.7202/044367ar.

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Résumé :
L’article a pour objectif de décrire l’évolution de la géographie entre 1950 et 1985 et d’en découvrir le sens unitaire. Après la présentation du questionnement et du cadre d’analyse, le malaise des géographes à propos de leur discipline durant les années 1950 et 1960 fait ressortir l’ampleur des mutations après les années 1970 avec l’analyse spatiale et les géographies radicale, humaniste, historique et féministe. Il y a une rupture épistémologique entre les deux périodes car, depuis 1970, la géographie adopte la perspective constructiviste et l’idée d’un objet formel pour la discipline : l’organisation spatiale des sociétés. Mais avec l’arrivée des autres « nouvelles » géographies, l’objet formel se modifie pour devenir les « interactions sociales ». Bref, les mutations des années 1970-1985 sont davantage des tournants disciplinaires sans être des ruptures épistémologiques au sens de Kuhn.
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Dejean, Frédéric. « Pierre Deffontaines, géographe de la « noosphère». Une lecture de Géographie et religions ». Cahiers de géographie du Québec 56, no 159 (1 mai 2013) : 543–56. http://dx.doi.org/10.7202/1015305ar.

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Résumé :
Résumé La publication en 1948 de Géographie et religions par Pierre Deffontaines témoigne de l’intérêt nouveau des géographes pour le fait religieux. L’auteur présente son ouvrage comme la description minutieuse et exhaustive des marqueurs du religieux dans le paysage. Notre article montre que, à rebours du caractère descriptif du développement, les pages introductives et conclusives sont l’occasion pour l’auteur de revisiter le thème du déterminisme naturel en opérant un renversement original par rapport à la perspective classique. À un second niveau, Pierre Deffontaines propose en filigrane une définition personnelle de la géographie qui s’appuie sur des auteurs inattendus sous la plume d’un géographe, à savoir le Jésuite Pierre Teilhard de Chardin et le philosophe Henri Bergson. La géographie est alors présentée comme une discipline humaniste qui témoigne de l’action de la pensée dans la matière.
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Sautter, Gilles. « La géographie comme idéologie ? » Cahiers de géographie du Québec 29, no 77 (12 avril 2005) : 193–203. http://dx.doi.org/10.7202/021717ar.

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Résumé :
La géographie reproduit sur le mode scientifique un ensemble de façons de voir tirées de l'expérience commune de l'humanité. Déjà dans la Genèse, on peut déceler une conscience de l'espace. Mais c'est chez Descartes que l'on peut trouver l'archétype mental de la saisie du monde par les géographes. On en arrive ainsi à suggérer une origine à la « survalorisation » dans la tradition géographique, du contenant, de son étude et de celle des limites au détriment du contenu. Les fondements des liens étroits qui unissent l'État et les géographes sont ainsi identifiés. Les géographes ne se croient-ils pas au centre du monde? Ne sont-ils pas des observateurs qui tendent à substituer une image, une forme à la réalité ? Ceci semble évoluer. La géographie bénéficie d'une idéologie de base, d'une certaine façon de conceptualiser l'espace, mais elle ne saurait avoir le monopole de son étude.
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Hulbert, François. « Pouvoir municipal et développement urbain : la restructuration des quartiers de Sainte-Foy et le rôle du géographe (2e partie) ». Cahiers de géographie du Québec 26, no 68 (12 avril 2005) : 199–221. http://dx.doi.org/10.7202/021558ar.

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Résumé :
Si des géographes s'intéressent au pouvoir local depuis quelques années en tant que chercheurs ou acteurs, ce sont surtout les sociologues et les politologues qui en ont fait leur objet d'étude. Pour approfondir les liens entre le pouvoir municipal et l'espace urbain, le géographe peut être amené à s'impliquer avec des citoyens: c'est le cas de l'opération de restructuration des quartiers de Sainte-Foy. Redéfinir ces lieux de pouvoir dans un long processus de recherche-action, au contact des réalités vécues par les citoyens concernés, constitue un exercice de géographie appliquée et une méthode de travail peu développée dans la formation actuelle des géographes. Dans le cas à l'étude deux conceptions s'affrontent: celle du pouvoir municipal en place qui tend à faire du quartier un simple district électoral sans prendre en compte les luttes urbaines liées aux réalités de l'urbanisation qu'il a largement contribué à implanter; celle du groupe de citoyens pour qui le quartier, espace vécu, devient un outil de revendication et le cadre d'une possible planification démocratique du développement. L'exercice d'intégration et d'arbitrage des deux projets aux finalités différentes enlève toute logique d'ensemble au projet finalement retenu. Mais le bilan de l'opération va bien au-delà du simple découpage qui a entraîné la modification de la composition du conseil de ville aux élections de novembre 1981. Il constitue, pour le groupe de citoyens avec lequel l'auteur a travaillé, un savoir sur l'espace qui devient pouvoir aux mains de ceux qui l'ont élaboré. Cet acquis collectif contribue à modifier le rapport de force entre les détenteurs traditionnels de l'information et le citoyen. Le géographe peut contribuer à la formation des connaissances nécessaires à cette modification, mais une telle démarche pose le problème du rôle de l'université dans la société tout en révélant la capacité d'information et d'action que renferme la géographie.
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Chapman, Rosemary. « L’écriture de l’espace au féminin : géographie féministe et textes littéraires québécois ». Articles et notes de recherche : Représentations et vécus 10, no 2 (12 avril 2005) : 13–26. http://dx.doi.org/10.7202/057933ar.

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Résumé :
Cet article traite de l'apport de la géographie féministe à l'analyse des textes littéraires. La contribution de géographes féministes à une remise en question des bases masculinistes de la géographie traditionaliste y est discutée. Ensuite, ces aspects de la géographie féministe constituent le point de départ d'une analyse de la représentation de l'espace dans un certain nombre de textes littéraires d'auteures et d'auteurs québécois. Jusqu'à quel point les textes d'Hémon, de Roy et d'Hébert reproduisent-ils un discours masculiniste de l'espace, du territoire, de la cartographie? Peut-on parler de la percée d'un discours féministe de l'espace dans les textes de Théoret et de Robin des années 80 et 90, comparable à celle discernée chez les géographes féministes de l'époque?
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BROSSEAU, Marc. « L’essai géographique : réflexions sur l’oeuvre de Luc Bureau ». Cahiers de géographie du Québec 61, no 173 (4 juillet 2018) : 219–34. http://dx.doi.org/10.7202/1049370ar.

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Résumé :
L’oeuvre de Luc Bureau a quelque chose de relativement unique dans la géographie québécoise, en particulier, et d’expression française, plus généralement. Si elle partage, avec la tradition humaniste de la géographie humaine et culturelle, une fascination commune pour les représentations, l’imaginaire, le symbolique et une affinité élective pour la littérature, elle se démarque par l’originalité de son ton, sa candeur, la nature de la relation à son objet, la liberté stylistique et l’affirmation résolue de la subjectivité du géographe. En un mot, les écrits de Bureau assument pleinement leur statut d’essai. La forme essayistique favorise pareille liberté discursive et épistémologique. Pourtant, rares sont les géographes qui en ont exploité les ressources aussi systématiquement que lui. Sur la base d’une lecture courtoise de l’oeuvre, mais aussi de sa réception critique (tant universitaire que journalistique), l’article propose une réflexion générale sur l’oeuvre livresque de Bureau dans le cadre de l’évolution de la géographie humaine francophone des 40 dernières années.
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Ribeiro, Guilherme. « Canonisation et décanonisation en histoire de la géographie au Brésil ». Cahiers de géographie du Québec 66, no 184-185 (17 mai 2023) : 107–29. http://dx.doi.org/10.7202/1099839ar.

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À partir d’un questionnement sur le rôle des traductions dans un pays périphérique et de l’étude de revues telles que le Boletim Geográfico et GEOgraphia, nous constatons que les traductions sont devenues une pratique régulière (encore qu’inconsciente) chez les géographes brésiliens dès la fondation des premiers cours universitaires dans les années 1930, et ce, jusqu’à nos jours. Notre étude porte sur les traductions en langue portugaise des écrits du géographe français Paul Vidal de la Blache qui ont circulé au Brésil entre 1943 et 2020. D’une part, sur le plan méthodologique, les translations studies s’avèrent utiles pour montrer comment les traductions peuvent enrichir notre compréhension des sciences humaines. D’autre part, en revoyant comment Vidal de la Blache et les classiques en géographie ont été considérés par l’historiographie de la géographie, nous en arrivons à la conclusion que les traductions ont joué un rôle fondamental dans les processus de « canonisation » (1943-1999) et de « décanonisation » (1999-2020) de Vidal de la Blache, au Brésil.
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Entrikin, J. Nicholas. « Réintroduire le soi dans la subjectivité ». Cahiers de géographie du Québec 54, no 153 (12 août 2011) : 419–28. http://dx.doi.org/10.7202/1005598ar.

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Résumé :
À travers des éléments d’histoire et d’épistémologie de la géographie et des sciences sociales, l’auteur pose et éclaire la question du choix fait par les géographes anglophones actuels de recourir (majoritairement) à la notion de sujet (subject) plutôt qu’à celle de soi (self). Après avoir rappelé l’intérêt relativement ancien d’une partie de la géographie pour la subjectivité, mais aussi la nécessité aujourd’hui largement admise de prendre en compte cette dernière pour mieux comprendre les transformations territoriales, l’auteur souligne combien la question de l’autonomie de l’individu a pu donner lieu à des conceptions divergentes finalement cristallisées par les notions de soi et de sujet. L’auteur se demande alors si en parlant de sujet (subject), les géographes qui font ce choix ne font pas aussi celui d’une conception appauvrissante de la subjectivité.
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Martin, Jean-Yves. « De quoi Lefebvre est-il le nom dans la jeune géographie critique française ? » Novos Rumos Sociológicos 4, no 6 (10 décembre 2016) : 9. http://dx.doi.org/10.15210/norus.v4i6.9262.

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Résumé :
Avant même la disparition d’Henri Lefebvre en 1991, les géographes français ont, à l’évidence, négligé délibérément ou méconnu l’intérêt de sa pensée spatiale. La préservation de son legs de “spatiologue” fut ensuite en France le fait de philosophes, de sociologues, d’urbanistes et de militants qui en furent les passeurs ou les précurseurs. Pourtant, aujourd’hui, une nouvelle génération de géographes le (re)découvre, pour une part à travers une réappropriation, elle-même critique, des travaux des écoles de géographie radicale étrangères, notamment américaine et brésilienne. Mais, d’autre part, le rattrapage accéléré du retard lefebvrien français en cours ouvre au-delà de l’espace, de la ville et de l’urbain, des champs d’investigation inédits à une jeune géographie radicale française tournée vers les interpellations de son temps, dans une volonté affirmée de mobilisation citoyenne et d’émancipation populaire.
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Lemieux, Vincent. « Commentaire ». I. Perspectives historiques 3, no 1-2 (12 avril 2005) : 83–85. http://dx.doi.org/10.7202/055114ar.

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Résumé :
Pourquoi les responsables de l'organisation de ce colloque sur « L'état présent des recherches sur le Canada français » ont-ils demandé à un géographe de dresser le bilan des études régionales effectuées jusqu'ici sur le Québec et d'indiquer ce que peuvent être, selon lui, les perspectives de la recherche dans ce domaine ? Vous me permettrez de signaler quelques raisons qui ont pu, consciemment ou non, guider les responsables du colloque. Disons d'abord qu'il faut peut-être donner à cette invitation une signification symbolique. Discrètement, nos collègues sociologues auraient-ils voulu nous rappeler que nous aussi, géographes, nous pratiquons une discipline qui, par certains côtés, est bel et bien, ou devrait être, une science « sociale » qui pourrait normalement apporter une contribution de plus en plus importante à la connaissance du Canada français, des groupes humains qui l'habitent et des régions qui le composent ? C'est fort possible. S'il est encore trop tôt pour régler définitivement les rapports qui doivent exister entre la géographie et les sciences de l'homme, il était, en tous les cas, grand temps que nous nous trouvions tous ensemble à discuter de nos problèmes communs de description, de recherche et d'analyse du contexte québécois. L'organisation de ce colloque fait honneur à l'équipe de la revue Recherches sociographiques et il me plaît de le reconnaître avec gratitude. En me demandant cet exposé sur les études régionales, peut-être mes collègues ont-ils voulu tenir compte de cette prétention souvent affirmée par des géographes, mais, je dois dire, rarement admise par les autres, prétention suivant laquelle les études régionales constituent la chasse-gardée des géographes et, à la limite, disent certains, la justification ultime de la position de leur discipline à mi-chemin entre les sciences naturelles et les sciences de l'homme ? Est-il besoin d'ajouter que cette position n'est pas toujours très confortable ni très enviable ? Pour ma part, en tous les cas, je ne la recommande à personne et j'estime que les géographes ne se trompent pas trop quand ils considèrent la région comme le cadre privilégié de leurs recherches et quand ils cherchent à améliorer les méthodes susceptibles de faire avancer les études régionales. Nos collègues des Recherches sociographlques ont donc simplement voulu reconnaître, je crois, l'importance quantitative des efforts déployés jusqu'ici par les géographes en vue de l'établissement d'une première description régionale du Québec. Il me reste le redoutable honneur d'ébaucher un jugement d'ensemble sur les travaux de mes collègues et sur les miens, ce que je vais tenter de faire avec un très grand souci d'objectivité.
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Morissonneau, Christian, et Denis Sirois. « La quête du sens et du vécu : la phénoménologie en géographie ». Cahiers de géographie du Québec 29, no 77 (12 avril 2005) : 317–24. http://dx.doi.org/10.7202/021727ar.

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Résumé :
Cet article présente succinctement la pensée et la méthode phénoménologiques que les géographes tentent d'intégrer à la connaissance et à leur pratique, de même que les critiques qui en sont faites. L'absence d'études appliquant les relations entre phénoménologie, existentialisme et géographie y est constatée.
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Palom, Anna Ribas. « La géographie française et le risque d’inondation : de la géographie physique à la géographie humaine ». Cahiers de géographie du Québec 38, no 103 (12 avril 2005) : 7–20. http://dx.doi.org/10.7202/022404ar.

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Résumé :
Les inondations, comme tous les risques naturels, ont été un thème qui est revenu souvent au long de l'histoire de la géographie française, mais toujours — et contrairement à ce qui se passe dans la géographie anglo-saxonne —, en relation à la géographie physique. Dans cet article, nous voulons expliquer les raisons de la présence de la géographie physique dans le traitement du risque d'inondation : nous mettons en relation les différents moments de la géographie française avec l'analyse du risque d'inondation et révisons le contenu des références aux inondations entre les géographes ou écoles géographiques les plus représentatifs.
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Tricart, Jean. « Place du géographe dans l’étude des problèmes d’aménagement régional et de développement ». Cahiers de géographie du Québec 14, no 31 (12 avril 2005) : 63–77. http://dx.doi.org/10.7202/020900ar.

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Résumé :
Partant d'une réflexion méthodologique sur le rôle que doit jouer la géographie dans l'aménagement régional, l'auteur expose les caractéristiques d'une formation géographique universitaire destinée à préparer les étudiants à travailler dans des équipes interdisciplinaires, et à collaborer à des études de développement. De nos jours, l'aménagement régional est de plus en plus envisagé dans une perspective écologique. La géographie peut apporter de précieuses connaissances pour l'exploitation et la conservation des ressources naturelles, à condition de garder une approche synthétique des problèmes. C'est en renouant l'unité du physique et de l'humain que la géographie peut le mieux aider à comprendre la complexité des organisations régionales, et à faire oeuvre originale par rapport à d'autres disciplines, telle l'économie. D'où la nécessité d'adapter la formation des géographes afin de les préparer à travailler sur les problèmes de développement. Il faut d'abord prévoir les caractéristiques méthodologiques de la discipline plusieurs années à l'avance ; il faut ensuite concevoir un enseignement interdisciplinaire, non seulement pour initier le géographe au vocabulaire et aux concepts des disciplines connexes, mais aussi donner aux spécialistes de ces disciplines les élément géographiques nécessaires à une meilleure compréhension du milieu. Enfin, l'auteur termine en exposant le contenu d'un programme de formation interdisciplinaire, patronné par l'UNESCO, au niveau de la maîtrise. Le programme comprend trois orientations : étude des ressources en eau, de l'aménagement du milieu naturel dans une perspective écologique, et un programme d'études intégrées en vue du développement. L'auteur conclut que le géographe doit se débarrasser de ses complexes d'infériorité et baser son action sur une profonde réflexion méthodologique, accompagnée d'une ouverture intelligente sur les disciplines voisines.
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Maistre, Gilbert. « Propositions pour une géographie des communications de masse ». Cahiers de géographie du Québec 14, no 33 (12 avril 2005) : 295–308. http://dx.doi.org/10.7202/020928ar.

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Cet article s'efforce de préciser l'attitude des géographes face aux moyens d'information et évoque les problèmes relatifs à l'élaboration d'une géographie des communications de masse. Il fait état des matériaux nécessaires à cette nouvelle orientation, et en précise la finalité et les méthodes, avant de donner un aperçu des perspectives de recherche qui s'offrent à elle.
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Brocard, Madeleine. « Regard des géographes sur la géographie appliquée ». Géographes associés 26, no 1 (2002) : 21–22. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.2002.2205.

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Auriac, Franck. « Géographie et géographes pour les sciences sociales ». Espace géographique 18, no 2 (1989) : 116–19. http://dx.doi.org/10.3406/spgeo.1989.2859.

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Brosseau, Marc. « Réflexion sur l’influence éventuelle de la géographie française dans l’évolution de la géographie scolaire au Québec ». Cahiers de géographie du Québec 38, no 103 (12 avril 2005) : 39–56. http://dx.doi.org/10.7202/022406ar.

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À partir d'une reconstitution de révolution de la discipline dans les manuels de géographie québécois entre 1920 et i960, l'auteur examine certains indices de la diffusion des idées de la géographie française classique dans les manuels. L'auteur met en lumière le rôle important qu'a joué la première génération de géographes professionnels dans la redéfinition de l'architecture générale de la discipline à l'intérieur du matériel scolaire. Il suggère, en cours de route, quelques filiations possibles avec la géographie française par l'entremise de certains grands thèmes qui l'ont caractérisée à pareille époque (analyse des processus en géographie physique; examen des relations homme/nature, des genres de vie et de la notion de paysage en géographie humaine).
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Péaud, Laura. « Discours et engagement des géographes français, allemands et britanniques en contexte colonial (1800-1900) ». Le Globe. Revue genevoise de géographie 163, no 1 (2023) : 47–61. http://dx.doi.org/10.3406/globe.2023.7858.

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Au cours du XIXe siècle, les géographes européens s'engagent peu à peu sur le terrain de la colonisation, d'abord en tant que simples compilateurs de données sur les territoires coloniaux, puis comme ardents défenseurs de ce processus. Ce faisant, ils contribuent à transformer la géographie, au moins partiellement, en une science coloniale. Cet article porte sur les liens tissés entre sociétés de géographie et processus colonial, en considérant la situation en France, en Grande-Bretagne et en Prusse, au cours d'un long XIXe siècle.
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de La Soudière, Martin. « Géographes ». Ethnologie française Vol. 51, no 1 (1 février 2021) : 59–60. http://dx.doi.org/10.3917/ethn.211.0059.

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Racine, J. B. « Géographie urbaine et aménagement urbain ». Cahiers de géographie du Québec 12, no 26 (12 avril 2005) : 247–75. http://dx.doi.org/10.7202/020810ar.

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Le phénomène urbain est l'un des traits les plus frappants de notre civilisation contemporaine, dont la ville est le creuset. Son importance est telle qu'il devrait être au premier plan des préoccupations de la géographie humaine. L'auteur a donc fait une enquête auprès d'Instituts de géographie français pour connaître la place de la géographie urbaine dans la formation des jeunes géographes et leurs recherches ultérieures. Il a rencontré des professeurs qui participent à l'action par des travaux en urbanisme et en aménagement urbain pour des agences ou des organismes gouvernementaux. Ce sont les résultats de cette enquête et les réflexions qu'elle a, suscitées que nous livre ici l'auteur
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Ginsburger, Nicolas. « Le paysage allemand des géographes universitaires oubliées (1901-1962) ». Les Études Sociales 178, no 2 (19 février 2024) : 107–36. http://dx.doi.org/10.3917/etsoc.178.0107.

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L’histoire de la féminisation de la géographie académique allemande peut sembler paradoxale : si elle compte la première femme dans le monde à obtenir un doctorat dans la discipline, en 1901, les femmes géographes y ont été relativement peu visibles dans les deux premiers tiers du xx e siècle, la première professeure titulaire n’étant nommée qu’en 1962. Cela signifie-t-il que la discipline fut particulièrement rétive à une présence féminine dans ses rangs ? La présente étude entend reconsidérer cette question, en approfondissant par exemple l’hypothèse d’une préférence féminine pour la géographie humaine, afin d’expliquer la façon dont les dynamiques internes et externes propres au champ disciplinaire allemand de la première moitié du xx e siècle ont pu jouer à l’encontre ou en faveur de sa féminisation, par des effets divers d’exclusion et d’inclusion professionnelles.
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Allefresde, Maurice. « Le développement local, la géographie et les géographes ». Géographes associés 26, no 1 (2002) : 109–16. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.2002.2224.

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Bouvet, Rachel. « Ailleurs, au Mexique : topographie géopoétique d’Ourania de J.-M.G. Le Clézio ». Convergences francophones 3, no 1 (23 décembre 2016) : 56–70. http://dx.doi.org/10.29173/cf374.

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Résumé :
Cet article examine la représentation de l’ailleurs à partir d’une perspective géopoétique et propose une analyse topographique du roman Ourania de J.M.G. Le Clézio. L’ailleurs n’y est pas pensé en termes d’énonciation ou à partir du genre viatique, comme cela se fait souvent, mais bien à partir des rapports entre littérature et géographie. La curiosité du narrateur, un géographe français parti faire des relevés pédologiques au Mexique, n’a d’égale que sa propension à passer d’un monde à un autre monde : du réel à l’imaginaire, de la terre au ciel en passant par un village utopique, « fait de songes ». Son discours, quant à lui, a pour effet d’inscrire le personnage dans la lignée des géographes et des aventuriers ayant la « passion du monde ». Pour connaître son parcours, en grande partie occulté, il est nécessaire de se pencher au-delà des frontières du récit et de s’intéresser à la carte et à l’itinéraire présentés en annexe. Ainsi, se met en place un exercice de topographie romanesque, qui met en évidence les échos entre toponymes, hydronymes, patronymes et prénoms. Un chassé-croisé marqué par l’intensification du rapport entre le lieu et l’écriture, par l’entremêlement du géographique et du linguistique.
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Cossart, Étienne. « Recherches sur programmes : enjeux scientifiques intra- et interdisciplinaires en géographie de l’environnement ». Annales de géographie N° 753, no 5 (19 octobre 2023) : 21–40. http://dx.doi.org/10.3917/ag.753.0021.

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Résumé :
Une conséquence déjà bien documentée de la recherche sur programmes est celle de la prise en compte accrue des « intérêts de la société » dans les questions de recherche (Gibbons et al. , 1994 ; Hubert et al. , 2011). Dans le champ thématique de l’environnement, cette conséquence revêt la forme d’une injonction au développement de stratégies de remédiation, dans le contexte des changements environnementaux contemporains et à venir. Pour y parvenir malgré la complexité des questions environnementales, l’interdisciplinarité est largement promue (Leblanc et al. , 2019) et constitue souvent un critère d’éligibilité explicite dans les appels à projets. Sur la base d’un corpus de programmes, nous identifions les relations scientifiques interdisciplinaires qui mobilisent la géographie. Une typologie en trois principales catégories est proposée et nous présentons les objectifs qu’elles visent. Toutefois, nous montrons également que cette injonction à l’interdisciplinarité peut entraver les collaborations intradisciplinaires entre ( i ) les géographes qui peuvent être tourné.e.s vers les « humanités environnementales », dont les pratiques mobilisent les cadres et méthodes des sciences sociales, et ( ii ) celles et ceux tourné.e.s vers les « géosciences », dont les pratiques s’inscrivent dans les sciences expérimentales. Chaque champ intradisciplinaire à la géographie peut ainsi être renvoyé à ses propres cadres de pensées habituels, pouvant ralentir les efforts mis en œuvre pour réunir l’ensemble de la communauté des géographes travaillant sur les questions environnementales.
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Débarre, Ségolène. « L'Asie Mineure des géographes allemands au milieu du XIXe siècle : le projet scientifique de Carl Ritter ». Chronos 17 (15 janvier 2020) : 125–44. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v17i.645.

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Résumé :
La présence de voyageurs dans l'Empire Ottoman est ancienne et ne date pas du XIXe siècle (Yérasimos 1991). La spécificité du début du XIXe siècle, des années 1830 en particulier, c'est de correspondre à la mise en place d'un réseau d'échange et de correspondance via les sSociétés de géographie qui sont fondées à Paris (1821), Berlin (1828) et Londres (1829). Ce moment d'institutionnalisation de la géographie repose en effet sur un partage des tâches entre géographes de cabinet et voyageurs (Surun 2006 : 128) : des instructions précises sont données aux voyageurs, les réseaux de circulation de l'information se structurent tout au long du siècle et les données collectées sur le terrain sont soumises à des procédures de validation au sein des sociétés de géographie.
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Bédard, Mario. « Résonances à L’Homme et la Terre d’Éric Dardel dans la géographie culturelle québécoise ». Cahiers de géographie du Québec 55, no 155 (4 janvier 2012) : 279–91. http://dx.doi.org/10.7202/1007386ar.

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Résumé :
Foncièrement originale, la géographie culturelle québécoise n’en demeure pas moins façonnée, si ce n’est en résonnance, avec certains courants de pensée ou géographes extérieurs, notamment européens. Nous en voulons pour preuve l’influence qu’a pu avoir sur la géographie culturelle québécoise L’Homme et la Terre (1952) d’Éric Dardel. S’il peut être ardu de dégager précisément cet impact, il nous est apparu utile d’illustrer en quoi la connaissance et la pratique de la géographie québécoise rejoint la pensée de Dardel, et surtout de démontrer comment la lecture de cet ouvrage peut nous permettre de mieux comprendre la géographie culturelle québécoise et, ce faisant, le Québec et ses habitants. Les idées de Dardel, la force de ses convictions et de ses intuitions ont ceci de remarquable, tenterons-nous de démontrer, qu’elles peuvent contribuer à l’explication de l’appropriation, par le Québec, de son territoire, puis à l’affirmation d’une géographie culturelle québécoise distincte.
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Ozouf-Marignier, Marie-Vic. « La part de la géographie et celle de l’histoire ». Cahiers de géographie du Québec 66, no 184-185 (17 mai 2023) : 67–80. http://dx.doi.org/10.7202/1099836ar.

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Résumé :
Après la phase d’appréciation critique de la géographie classique par les géographes des années 1970, l’oeuvre de Vidal de la Blache a été réexaminée en profondeur et des rééditions ou ouvrages d’histoire de la discipline l’ont mieux fait connaître. Dans cet article, nous proposons de relire une oeuvre peu connue de Vidal de la Blache, États et nations de l’Europe. Autour de la France, publiée en 1889. Du point de vue de l’histoire de la géographie, cette oeuvre est intéressante à plus d’un titre. Elle permet, d’une part, de saisir une forme de conception de l’Europe, après celle élaborée de manière originale et marquante par Élisée Reclus. Elle illustre, ensuite, la manière propre à l’auteur de convoquer l’histoire et la géographie avant l’autonomisation décisive de la géographie. Enfin, elle livre des analyses saisissantes de certains faits politiques.
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Brunet, Roger. « Géographes soviétiques ». Espace géographique 18, no 1 (1989) : 69–72. http://dx.doi.org/10.3406/spgeo.1989.2830.

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Sanguin, André-Louis. « Le paradigme régional, la pensée géographique et l’œuvre québécoise de Raoul Blanchard ». Cahiers de géographie du Québec 30, no 80 (12 avril 2005) : 175–88. http://dx.doi.org/10.7202/021798ar.

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Résumé :
Raoul Blanchard (1877-1965) eut un rôle et une influence considérable dans la formation de la géographie québécoise. Un examen attentif de l'oeuvre blanchardienne permet d'en extraire le paradigme régional et la pensée géographique qui sont d'inspiration typiquement vidalienne. Une telle étude permet de mieux saisir comment Raoul Blanchard fut le grand ordonnateur de la monographie régionale classique. Son célèbre tableau géographique du Québec constitue l'exemple très curieux d'une véritable « oeuvre dans l'oeuvre ». Si Raoul Blanchard représente un moment important dans l'histoire de la géographie francophone, sa grande fresque de la Belle Province interpelle et questionne les géographes québécois contemporains. L'oeuvre de Raoul Blanchard constitue l'un des plus vivants témoignages d'une foi inébranlable dans notre discipline.
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Klein, Juan-Luis. « Changements de paradigme en géographie et aménagement du territoire ». Cahiers de géographie du Québec 54, no 151 (8 septembre 2010) : 133–52. http://dx.doi.org/10.7202/044370ar.

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Résumé :
Dans le contexte d’une analyse de la géographie dans les années 1970, ce texte aborde le domaine de l’aménagement du territoire et en particulier la problématique de l’aménagement régional au Québec. Cette problématique permet de dégager les tendances qui se confrontent dans les années 1970 au sujet de la structuration du territoire québécois. Le texte analyse certains projets gouvernementaux et les réactions qu’ils ont suscitées. Il cherche à montrer que cette analyse permet de dégager les bases des politiques qui ont été appliquées par la suite et qui reflètent les compromis institutionnels donnant lieu à une approche originale au Québec, une approche hybride basée sur la concertation, à laquelle les géographes et la géographie ont contribué.
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Sanguin, André-Louis. « La géographie du Canada vue par des géographes français ». Cahiers de géographie du Québec 32, no 85 (1988) : 49. http://dx.doi.org/10.7202/021927ar.

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Roncayolo, Marcel. « Histoire et Géographie : Les Fondements D'Une Complémentarité ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 44, no 6 (décembre 1989) : 1427–34. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1989.283662.

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Résumé :
Les circonstances ont voulu qu'en remettant en question la division et le groupement des disciplines dans l'enseignement du second degré, historiens et géographes aient été amenés à s'interroger sur le sens de leur traditionnelle association. Héritage embarrassant ou injustifié ? Ou, au contraire, alliance bienvenue, en raison de la complémentarité des deux enseignements ? De nombreux côtés, c'est dans la seconde direction que débats et conversations paraissaient s'orienter. Est-il sans raison de s'interroger, au-delà des dispositions pratiques destinées à de jeunes élèves, sur les rapports de l'histoire et de la géographie comme disciplines de recherche ?
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Laplace-Treyture, Danièle. « Le tableau de la géographie de la France ». Cahiers de géographie du Québec 66, no 184-185 (17 mai 2023) : 95–106. http://dx.doi.org/10.7202/1099838ar.

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Résumé :
Croisant l’intérêt des géographes pour le versant discursif de la pensée et celui, grandissant, pour les images (linguistiques, mentales ou iconographiques), je propose ici de revisiter les relations texte-images à l’oeuvre dans le Tableau de la géographie de la France à la lumière de La chambre claire. Note sur la photographie de Roland Barthes (1980) sur l’image photographique. Mon hypothèse est que l’image photographique (son modus operandi selon Barthes) permet d’éclairer un type de lecture/regard qu’instaure le Tableau de la géographie de la France. C’est bien ici l’expérience géographique d’un sujet lecteur-spectateur du Tableau que je souhaite appréhender, dans un dialogue avec les images, comme pédagogie de la relation individus-lieux et conduite de soi dans le monde.
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Hamelin, Louis-Edmond. « Inventaire de la terminologie géographique au Québec ». Revue québécoise de linguistique 32, no 2 (15 février 2008) : 83–96. http://dx.doi.org/10.7202/017543ar.

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Résumé :
Résumé L’auteur considère les caractéristiques des dictionnaires géographiques, les travaux de ses collègues et sa propre démarche. À partir de la décennie 1950, les oeuvres terminologiques de géographie se sont surtout développées dans les départements de géographie (centre Gécet, Université Laval, 1966) et, indirectement, à la Commission de géographie du Québec, réactivée en 1977. Les publications sont limitées par le flottement de la conceptualisation de la discipline, le manque d’intérêt lexical (à l’exception du domaine de la géomorphologie), la quasi-inexistence d’une formation proprement linguistique, ainsi que par l’utilisation de mots de la langue commune dans une langue de spécialité. Néanmoins, des géographes produisent des dictionnaires, qu’ils soient généraux, thématiques ou régionaux. L’ensemble de ces travaux se rangent en sept catégories. La production québécoise a connu un net progrès, notamment entre 2000 et 2003 : 20 000 nymes différents ont été définis au cours de cette période.
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DESBIENS, Caroline, Étienne RIVARD et Irène HIRT. « Nous nous souvenons du territoire : la géographie québécoise face aux mémoires autochtones ». Cahiers de géographie du Québec 61, no 173 (4 juillet 2018) : 293–313. http://dx.doi.org/10.7202/1049374ar.

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Résumé :
Au Québec, plusieurs identités collectives liées au territoire coexistent, mais elles n’ont pas toutes la même visibilité. En 2006, Étienne Rivard avait parlé d’une « géographie de l’absence » en ce qui a trait à la question autochtone. Partant de ce constat, nous abordons la disproportion entre l’importance des questions autochtones dans l’actualité et l’apport des géographes pour comprendre ces problématiques. Si la géographie universitaire gomme parfois la diversité des territorialités québécoises, les Inuit et les Premières Nations, en revanche, ne cessent de tracer les lignes de ce que pourrait être une compréhension du Québec intégrant pleinement les composantes autochtones du territoire. À travers deux exemples – l’un portant sur la toponymie et l’autre sur un festival culturel –, nous abordons la visibilité grandissante des Autochtones dans l’espace québécois, autant dans les régions nordiques qu’en milieu urbain.
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Bussi, Michel. « Le développement local et la géographie : géographes et développement local ». Géographes associés 19, no 1 (1996) : 99–104. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1996.2055.

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Sol, Marie-Pierre. « Géographes et géographie(s) à Toulouse dans les années 1970 ». Bulletin de l'Association de géographes français 92, no 1 (1 mars 2015) : 14–23. http://dx.doi.org/10.4000/bagf.397.

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Claval, Paul. « Mythe et connaissance scientifique dans l’histoire de la pensée géographique ». Cahiers de géographie du Québec 45, no 126 (12 avril 2005) : 349–68. http://dx.doi.org/10.7202/022998ar.

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Résumé :
La géographie humaine est née, à la fin du XIXe siècle, comme science naturelle des paysages et des lieux. Elle cherche aujourd'hui à comprendre l'expérience que les hommes font de la Terre, s'intéresse aux représentations et doit prendre compte les valeurs. Ces dernières résultent d'un processus mental de décentrement qui ouvre des perspectives sur ce qui pourrait ou devrait exister. Dans les sociétés purement orales, la vision de l'au-delà par rapport auquel il est possible de juger le monde résultait de l'accès que certains avaient au temps immémorial des origines et s'exprimait dans des mythes. Toutes les sociétés produisent des récits fonctionnellement similaires aux mythes afin de bâtir des interprétations de leurs structures sociales, de leur dynamique et de leurs destinées individuelles ou collectives. Les géographes sont les seuls chercheurs à pouvoir expliquer la genèse des valeurs sur lesquelles se fondent les sociétés, puisque cette genèse fait appel à un processus spatial de communication. Néanmoins, il peut être dangereux pour eux de les analyser comme s'il s'agissait de paysages ou de forces économiques : on le voit bien aux erreurs d'interprétation qui ont marqué les premiers développements de la géopolitique et de la géographie urbaine. Les perspectives que les techniques de déconstruction à la mode offrent sur les sociétés d'aujourd'hui sont exclusivement morales. Avec elles, les sciences sociales tendent à devenir purement idéologiques. Afin d'éviter ce risque, les géographes doivent développer une vue critique des épistémologies modernes et de l'idée qu'il existe des « explications alternatives » : celles-ci sont produites par le web et par l'illusion voulant qu'il donne accès à des chercheurs réellement « libres », de la même manière que les vieillards des sociétés d'oralité paraissaient avoir accès au temps de l'immémorial et à l'histoire des origines.
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Brocard, Madeleine, et Françoise Plet. « L'Europe des géographes, ou les échanges européens des étudiants en géographie ». Géographes associés 8, no 1 (1990) : 67–73. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1990.1735.

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Chamussy, Henri. « Didactique de la géographie et tuteurs intelligents : l’exemple de Shiva-Géographes ». Géographes associés 13, no 1 (1993) : 111–17. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1993.1859.

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Wolff, Jean-Pierre. « Carnets de géographie anecdotique. Ce que les géographes ne disent pas ». Sud-Ouest européen, no 49 (3 décembre 2020) : 79–81. http://dx.doi.org/10.4000/soe.6887.

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Torre, Angelo. « Un « tournant spatial » en histoire ? » Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, no 5 (octobre 2008) : 1125–44. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900025440.

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Résumé :
RésuméLe succès récent de la catégorie de paysage en histoire permet d’examiner les formes et les contenus du « tournant spatial ». L’utilisation de cette catégorie en termes essentiellement visuels et symboliques de la part des historiens et des géographes peut être mise en relation avec l’influence de la géographie culturelle. Cet article essaie d’identifier quelques-unes des discussions théoriques qui ont donné naissance à cette démarche méthodologique, et en particulier sa distance par rapport à l’analyse localisée des processus. Enfin, l’auteur propose une lecture alternative de la notion de paysage grâce aux méthodes de l’écologie historique, dont il illustre les possibilités explicatives à travers un exemple d’analyse localisée des pratiques d’utilisation des ressources végétales dans les montagnes de Ligurie.
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Klein, Juan-Luis. « Des genres de vie aux modes de vie : splendeur et déclin de la géographie régionale au Québec ». Cahiers de géographie du Québec 30, no 80 (12 avril 2005) : 203–16. http://dx.doi.org/10.7202/021800ar.

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Résumé :
Les nombreuses intuitions de Blanchard concernant l'articulation entre différents modes de production et le rôle de la famille dans la reproduction des « genres de vie » l'éloignent du déterminisme dominant la géographie française du début du siècle, tout en le rapprochant des préoccupations actuelles de la discipline. Les apports de Blanchard à la connaissance des régions du Québec ont tardé à fructifier à cause du désintérêt des géographes qui, à partir des années soixante, inspirés par le nouveau paradigme anglo-saxon, se sont éloignés des régions pour privilégier les politiques et méthodes de régionalisation et d'aménagement régional. Aujourd'hui, devant l'échec de cette approche, on redécouvre l'importance de connaître les rapports établis par les acteurs sociaux dans des cadres locaux et régionaux, ce qui nécessite un renouvellement de la géographie régionale. L'apport de Blanchard se révèle donc d'une grande actualité, compte tenu de l'importance que prend la notion de « mode de vie » dans ce renouveau.
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Darot, François. « L'emploi des jeunes géographes ». Géographes associés 2, no 1 (1985) : 19–20. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1985.1645.

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Girard, Nicole, et Françoise Plet. « Le devenir des géographes ». Géographes associés 5, no 1 (1987) : 1–19. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1987.2409.

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Rivière-Honegger, Anne. « Les géographes et l’eau ». Géocarrefour, no 3 (30 septembre 2010) : 261–62. http://dx.doi.org/10.4000/geocarrefour.7931.

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Hulbert, François. « Le réveil des géographes ? » Cahiers de géographie du Québec 39, no 108 (1995) : 497. http://dx.doi.org/10.7202/022526ar.

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