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Diallo-Dudek, Julita, Thibaut Vairet, Yves Richard, Thomas Thevenin, Nadège Martiny, Julien Pergaud, Damien Roy et al. « Cartographier la végétation et les Local Climate Zone dans six agglomérations de Bourgogne-Franche-Comté ». Climatologie 20 (2023) : 2. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320002.

Texte intégral
Résumé :
Les recherches sur le climat urbain de Dijon Métropole ont révélé l’importance de l’îlot de chaleur urbain (ICU) dans les villes de taille moyenne (6°C) et les effets rafraîchissants des espaces verts (réduction de 1 à 4°C). Ces résultats mettent en évidence l’importance d’intégrer ces aspects dans la planification urbaine pour favoriser des environnements urbains plus frais. La classification Local Climate Zones (LCZ) permet de mieux comprendre et étudier le climat urbain à l’échelle locale. Elle permet de différencier les différentes structures et revêtements des zones urbaines et leur impact. De plus, l’analyse de l’imagerie satellite Pléiades a permis d’améliorer la représentation de la végétation et d’identifier les zones nécessitant la création d’îlots de fraîcheur urbains. Le pourcentage élevé de végétation privée par rapport à la superficie totale de la végétation urbaine souligne la nécessité d’un partenariat public-privé pour protéger les îlots de fraîcheur urbains existants. Le programme SAVE-IFU a permis une collaboration sur le climat urbain entre six agglomérations, dont Dijon Métropole.
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Crétat, Julien, Yves Richard, Olivier Planchon, Justin Emery, Melissa Poupelin, Mario Rega, Julien Pergaud et al. « Impact de la topographie et de la circulation atmosphérique sur l’îlot de chaleur urbain en situation de canicule (Dijon, France) ». Climatologie 20 (2023) : 10. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320010.

Texte intégral
Résumé :
Canicules et fortes chaleurs induisent un stress thermique potentiellement accru en milieu urbain. Nous examinons ici la combinaison de ces différents éléments à Dijon, à partir d’un réseau dense de stations avec des mesures horaires sur la période 2014-2021. Pour cela, nous mettons en œuvre une analyse (i) de la circulation atmosphérique synoptique et locale et (ii) des déterminants géophysiques (occupation du sol et topographie). Les cinq canicules détectées persistent 4 à 5 jours et sont associées à des situations de blocage atmosphérique de large échelle favorisant le développement d’inversions thermiques. Sur les 24 nuits étudiées : 60% sont caractérisées par un Îlot de Chaleur Urbain (ICU) excédant +3°C, une inversion thermique souvent supérieure à 0,5°C/100 m et un vent faible (<2 m/s); 30% par un ICU plafonnant à +2°C, un gradient adiabatique et un vent non négligeable (>2 m/s); 10% par un faible ICU, une faible inversion thermique et des conditions de vent variables. Des statistiques comparables sont obtenues par jours de fortes chaleurs (105 jours). Canicules et fortes chaleurs sont associées à deux structures contrastées en fonction des conditions de vent. Un vent non négligeable (>2 m/s) contribue à ventiler l’excès de chaleur de la ville et à limiter le contrôle de la topographie. En résultent des températures très homogènes sur l’ensemble de l’aire d’étude. Au contraire, un vent faible (<2 m/s) maximise le contrôle de l’occupation du sol et de la topographie sur la température de l’air. En résulte un excès de chaleur en ville. La plaine, à l’est, est relativement plus fraîche que le plateau à l’ouest, de même qu’un axe traversant l’agglomération le long du talweg et du cours d’eau (vallée de l’Ouche). Cet axe frais naturel limite l’ICU ou, a minima, favorise de relatifs Îlots de Fraîcheur Urbains nocturnes. Cette étude montre la pertinence de l’analyse combinée d’un réseau de mesures de la température de l’air, de la circulation atmosphérique et des descripteurs géophysiques pour mettre à jour les déterminants de la température de l’air et la spatialiser.
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Cantat, Olivier, et Alexandre Follin. « Les singularités thermiques d’un espace périurbain dans une agglomération de dimension moyenne : le cas de Caen durant l’hiver 2018/2019 ». Climatologie 17 (2020) : 3. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017003.

Texte intégral
Résumé :
L’analyse comparative des données météorologiques de la station rurale de Carpiquet avec une station expérimentale en périphérie de la ville de Caen a permis de montrer la présence en hiver d’un léger îlot de chaleur péri-urbain (ICPU) (moyenne de +0,4°C). Il est caractérisé par un maximum d’intensité en fin d’après-midi et début de soirée (+0,8°C) et des écarts faibles le reste du temps. Derrière cette image moyenne, une analyse du continuum temporel au pas de temps journalier puis horaire a mis en exergue des comportements différenciés selon les types de temps. Le caractère le plus original des résultats est la présence certes rare, mais significative en termes d’intensité, d’un îlot de fraîcheur péri-urbain (IFPU). Il se forme de nuit par temps clair et calme et se prolonge dans la matinée, jusqu’à présenter un maximum d’intensité vers 9 h UTC. Cette inversion par rapport au schéma classique de fonctionnement des îlots de chaleur urbain (ICU) s’explique par un mode d’occupation du sol favorable à la formation d’une poche froide par rayonnement nocturne, favorisée par l’absence totale de vent (effet de barrage du bâti et de la végétation) et par la faible densité urbaine, alors que sur la campagne ces mécanismes de refroidissement sont atténués par la persistance d’un léger flux. Cet IFPU résiste et s’intensifie en début de matinée, jusqu’à temps que le soleil et la turbulence de l’air ne viennent échauffer et disperser cette pellicule d’air froid plus dense. Ici, les conditions stationnelles semblent donc primer sur les effets purement urbains car l’agglomération de Caen ne présente pas une masse suffisante pour créer une « bulle chaude » jusque dans ses quartiers périphériques quand un type de temps radiatif s’impose.
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VAILLANT, H., Y. RUELLE et JS CADWALLADER. « Brèves de médecine ». EXERCER 34, no 197 (1 novembre 2023) : 431–32. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.197.431.

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Résumé :
À l’ombre des arbres Une étude espagnole a estimé l’effet d’une infrastructure végétalisée urbaine sur la mortalité globale en Europe. Des îlots urbains de chaleur sont décrits dans 93 villes d’Europe et seraient responsables, selon les données récentes, d’une mortalité précoce des Européens. Les chercheurs ont ici réalisé une étude quantitative d’impact en analyse de survie de Monte-Carlo. Les personnes de plus de 20 ans habitant dans 93 villes dans l’ensemble du territoire européen ont été prises en compte. Les calculs étaient fondés sur une augmentation théorique de 30 % de la végétation urbaine. Les données d’« Urban Audit » de 2018 ont été utilisées en les croisant avec l’atlas démographique européen de densité urbaine. Une analyse de sensibilité a été utilisée pour étudier la robustesse des résultats des simulations avec un IC95 (p < 0,05). En analysant les données de l’été 2015 en Europe, les auteurs observaient une augmentation de 1,5 °C en moyenne de la température dans les îlots urbains de chaleur. 6 700 décès pouvaient être attribués à cette augmentation de température en tenant compte de la répartition de la population, soit 4,33 % de l’ensemble des décès (IC95 = 3,37-5,28). L’augmentation théorique de 30 % de la végétation urbaine résultait en une baisse moyenne de 0,4 °C (DS = 0,2 ; 0,0-1,3). Cette diminution de température entraînait, dans le modèle, une diminution de 2 644 décès lors de l’été 2015, soit 1,84 % de l’ensemble des décès en Europe (IC95 = 1,69-1,97). Il s’agit de la première étude publiée utilisant des registres spécifiques et avec de telles variables environnementales. Lancet 2023. doi: 10.1016/S0140-6736(22)02585-5.
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Dubreuil, V., X. Foissard, J. Nabucet, A. Thomas et H. Quénol. « Fréquence et intensité des îlots de chaleur à rennes : bilan de 16 années d’observations (2004-2019) ». Climatologie 17 (2020) : 6. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017006.

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Résumé :
Cet article s’intéresse à l’observation de l’îlot de chaleur urbain (ICU) à Rennes de 2004 à 2019. L’existence d’un réseau d’observation urbain relativement ancien et dense permet de quantifier la fréquence et l’intensité de l’ICU en fonction de l’heure et de la saison : l’ICU moyen atteint ainsi 1,3°C mais il approche 3°C en moyenne la nuit en fin d’été et peut parfois dépasser 7°C. Les nuits de fort ICU, supérieur à 4°C, représentent plus de 17% des observations en moyenne mais jusqu’à près de 30% en septembre. En 2019 comme en 2011, un nombre record d’ICU de forte intensité a été relevé, résultant essentiellement d’une forte fréquence de situations radiatives (forte insolation, vent faible). La spatialisation de l’ICU montre que le gradient classique centre-ville / périphérie n’est pas symétrique entre le sud et le nord de l’agglomération : la présence de parcs et de vallées au nord génère, en effet, des îlots de fraîcheur dont l’intensité varie en fonction de leur taille.
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Kastendeuch, Pierre, Naïs Massing, Elsa Schott, Nathalia Philipps et Karen Lecomte. « Vulnérabilité et îlot de chaleur urbain : les facteurs du risque thermique nocturne à Strasbourg ». Climatologie 20 (2023) : 9. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320009.

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Résumé :
L’objectif de cette étude est de proposer une carte du risque thermique nocturne en relation avec la vulnérabilité de la population face à l’îlot de chaleur dans l’Eurométropole de Strasbourg (EMS). Dans un premier temps, un indice a été mis au point pour traduire la vulnérabilité de la population urbaine face à la chaleur à travers l’influence de l’exposition, la sensibilité et l’adaptation. Ces trois facteurs ont été estimés pour chaque « Îlot Regroupé pour l’Information Statistique » (IRIS) de l’agglomération, grâce à une combinaison d’une dizaine de variables de substitution (proxy) issues des bases de données de l’INSEE et de l’EMS. Dans un second temps, une carte a été mise au point pour identifier l’intensité de l’îlot de chaleur urbain nocturne (ICU) pour chaque IRIS, en appliquant une méthode qui consiste à relier statistiquement l’intensité de l’ICU à des paramètres morphométriques. Enfin, dans un troisième temps, cette information thermique a été croisée avec l’indice de vulnérabilité pour obtenir le niveau du risque thermique nocturne.
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Técher, Magalie, Hassan Ait Haddou et Rahim Aguejdad. « Îlot de chaleur urbain et application territoriale en France : revue des méthodes de simulation numérique ». Climatologie 20 (2023) : 6. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320006.

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Résumé :
Cet article a pour objectif de faire l’état des recherches récentes sur l’évaluation du phénomène d’îlot de chaleur urbain (ICU), des stratégies d’adaptation et des applications territoriales pour l’aménagement opérationnel et la planification réglementaire en France. Les méthodes d’évaluation par simulation numérique sont prometteuses, car elles permettent de tester et vérifier des solutions d’aménagement et de planification variées; toutefois, elles sont peu exploitées par les acteurs de l’urbanisme. Cet article fait la revue critique des différentes études ayant évalué l’ICU par simulation numérique en France afin d’identifier les principales applications et limites de ce type d’approche pour la planification urbaine et l’aménagement opérationnel en France. Des recommandations sont proposées afin de parvenir à des mises en œuvre et des intégratio ns efficaces dans les politiques et plans de développement urbain. Les recommandations regroupent quatre aspects : 1) compréhension des besoins des acteurs de l’urbanisme; 2) choix de l’outil de simulation; 3) développement des outils et accompagnement des acteurs; 4) développement des liens entre recherche et planification urbaine. Plus précisément, il s’agit tout d’abord de mieux tenir compte des motivations et besoins des différents acteurs et des caractéristiques du territoire afin de sélectionner l’outil d’évaluation le plus adapté. Enfin, il s’agit pour la recherche de développer des outils et des méthodes permettant une meilleure traduction des connaissances en climatologie vers le langage des acteurs de l’urbanisme.
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Kastendeuch, Pierre P., Georges Najjar et Nathalia Philipps. « Îlot de sécheresse et d’humidité à Strasbourg (France) ». Climatologie 16 (2019) : 72–90. http://dx.doi.org/10.4267/climatologie.1392.

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Résumé :
Les différences d’humidité entre domaines urbain et rural ont été analysées pour la ville de Strasbourg (France, 48.583° N, 7.745° E), à partir des données horaires de trois stations météorologiques sur une période de huit ans (2011-2018). Notre attention s’est focalisée sur les différences d’humidité relative et de pression partielle en vapeur d’eau de deux stations situées en ville (représentatives d’un parc et d’un quartier urbain) comparées à une référence rurale. L’humidité relative traduit nettement les spécificités des différents sites, ne serait-ce qu’au niveau des moyennes annuelles : l’îlot de sécheresse urbain (ISU) est quasiment permanent, avec un pic d’intensité en été et la nuit. Spatialement, cette intensité peut être modulée par la présence de végétation ainsi que par l’îlot de chaleur urbain (ICU). Cependant, la ville peut aussi parfois devenir un îlot d’humidité urbain (IHU) couplé à un îlot de fraicheur urbain (IFU). Ce couplage est plus fréquent en hiver et augmente avec la présence de végétation. Pour la pression partielle en vapeur d’eau, les spécificités des sites apparaissent surtout au niveau mensuel et horaire : la ville alterne entre un IHU en hiver (ou la nuit) et un ISU en été (ou en journée). La fréquence des ISU intenses (Δe < -0,5 hPa) est nettement plus faible dans le parc (18,7 %) que dans le quartier (28,3 %), ce qui prouve que la ville ne forme pas forcément toujours un ensemble homogène du point de vue de la vapeur d’eau : dans 30 % des cas, on a même des situations où le parc et le quartier sont classés dans des catégories opposées.
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Chebli, M., S. Charfi et S. Dahech. « Répartition spatio-temporelle des températures dans l’agglomération de Kairouan (Tunisie) pendant la saison chaude 2019 ». Climatologie 17 (2020) : 4. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017004.

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Résumé :
L’effet de site et la nature du substrat modifient la température de l’air dans l’agglomération de Kairouan par rapport à son environnement rural, donnant naissance à un îlot de chaleur urbain (ICU) d’une intensité moyenne d’environ 4°C. Cette étude visant à cerner la variation spatio-temporelle des températures pendant la période estivale est menée à l’aide de mesures fixes et itinérantes. L’étude montre que l’intensité de l’ICU varie de 2 à 9°C en fonction des types de temps. Les zones agricoles et vallonnées au nord-ouest de l’agglomération sont les moins chaudes. Ce travail montre des différences entre la variation spatiotemporelle de l’ICU et celle du confort thermique : dans le centre-ville, l’air sec fait baisser les températures ressenties.
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Migliari, Matteo, Kazuki Hayashi, Yan Ulanowski, Stéphane Laporte, Martin Hendel, Sophie Parison, Julien Despax, Loïc Chesne et Olivier Baverel. « Comprendre les déterminants du ressenti thermique humain à l’aide de l’intelligence artificielle : une expérience participative ». SHS Web of Conferences 198 (2024) : 02004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202419802004.

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Résumé :
Le changement climatique exige une remise en question des pratiques d’urbanisation. Les environnements urbains influencent la relation des résidents avec les espaces extérieurs et intérieurs, avec des conséquences sur la consommation d’énergie et les rejets de chaleur à l’intérieur de ses limites. Les avantages de l’éclaircissement des revêtements de sol des espaces publics pour réduire les îlots de chaleur urbains ont été confirmés par la littérature scientifique, mais les effets de rebond en termes d’augmentation de la sensation thermique extérieure (OTS) doivent encore être analysés par des expériences empiriques. Cette étude présente les résultats d’une expérience participative de confort thermique impliquant 75 volontaires exprimant des votes de sensation thermique (TSV) à l’aveugle sur des revêtements de surface de différentes réflectivités. Chaque TSV était lié aux caractéristiques physiques et psychologiques du sujet, à son emplacement et aux conditions microclimatiques au moment du vote. 714 chaînes de données collectées lors de la canicule d’août 2022 ont été traitées par des méthodes d’intelligence artificielle (IA) successives : apprentissage supervisé, explications additives de Shapley, réduction de dimension par approximation et projection uniforme de la variété (UMAP), et regroupement hiérarchique basé sur la densité des applications avec bruit (HDBSCAN). Ce post-traitement a permis de définir des clusters caractérisés par une répartition similaire des 10 variables les plus influentes sur le TSV, résultant en des valeurs TSV similaires. Les calculs d’IA et l’analyse des graphiques sur DesignExplorer ont montré que les pavés réfléchissants aggravent le stress thermique des personnes. Ces résultats montrent que l’éclaircissement des espaces publics, souvent employé dans de nombreux réaménagements urbains, n’est pas une solution adaptée pour protéger les citoyens des risques sanitaires du changement climatique.
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Ghribi, Marwen, et Salem Dahech. « Impacts des espaces verts sur la répartition des températures de l’air pendant la saison chaude dans l’agglomération de Sfax (centre-est de la Tunisie) ». Climatologie 20 (2023) : 5. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320005.

Texte intégral
Résumé :
La présente étude montre l’impact de la végétation sur les températures en général et le confort thermique en ville. La présence de la végétation dans les secteurs périurbains accélère le refroidissement nocturne et explique en partie les écarts thermiques significatifs de l’ordre de 5,5°C calculés entre le centre-ville et la campagne environnante notamment après minuit (îlot de chaleur urbain - ICU). Des chutes de températures sont souvent enregistrées en passant à côté des espaces verts dans l’agglomération de Sfax. En calculant l’indice de confort Heat Index dans la partie centrale de l’agglomération de Sfax, un écart de 4°C est mesuré entre les alentours du parc Taparura et les endroits densément construits du centre-ville. Au niveau des températures de l’air, une différence d’environ 3°C est observée entre le périmètre du parc Taparura et les quartiers avoisinants, ce qui corrobore les constatations des mesures fixes indiquant une baisse des températures au niveau de ce parc par rapport au centre-ville et à la périphérie. Les méthodes et les résultats issus de ce travail sont reproductibles et permettent d’étudier l’effet de la végétation sur les températures en fonction de la taille des espaces verts et leur arrosage en milieu urbain, notamment en Méditerranée.
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MARCHAND, L., M. VIVIERE-BEVAN, E. OPPENEAU, O. PAPIN et A. COLIN. « Projet Vision : quelles solutions basées sur l’eau et le végétal pour rafraîchir l’espace urbain dans un contexte de changement climatique ? » Techniques Sciences Méthodes, no 10 (20 octobre 2021) : 67–83. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202110067.

Texte intégral
Résumé :
"Les vagues de chaleur – périodes de plusieurs jours de températures au-dessus des valeurs fréquentes pour la saison – font désormais partie du paysage estival. L’augmentation de leur fréquence et de leur intensité en fait cependant un des phénomènes météorologiques extrêmes les plus préoccupants du XXIe siècle. En France, si 2003 reste la référence en la matière, il suffit de remonter à l’été 2019 pour recenser deux épisodes d’une intensité exceptionnelle. Ces pics de chaleur induisent le développement d’îlots de chaleur urbains (ICU) – des zones où la température est régulièrement au-dessus de la moyenne de l’aire urbaine –, qui eux-mêmes génèrent dans le quotidien un inconfort notable, persistant, et désormais récurrent pour les habitants. Dans ce contexte, le projet Vision (2019-2020), porté par l’Eau de Bordeaux Métropole, cofinancé par l’agence de l’eau Adour Garonne et piloté par Suez Le LyRE, en partenariat avec E6-Nepsen et Atelier-paysages, avait plusieurs objectifs : 1) identifier les besoins sociétaux autour de la question de la chaleur en ville (ressenti des acteurs et usagers) ; 2) proposer une méthodologie d’identification fine des ICU, mais également des espaces où la population est la plus touchée par ces bulles de chaleur ; 3) les confronter aux ressources en eau à disposition pour les atténuer ; 4) lister les solutions aujourd’hui existantes pour lutter contre la chaleur en ville et 5) tester à échelle réelle la pertinence de cinq solutions (existantes ou innovantes). L’objectif était de proposer aux collectivités des éléments d’aide à la décision pour développer des solutions durables de rafraîchissement basées sur l’eau et adaptées aux besoins des usagers d’un espace public. L’ensemble de ces informations est synthétisé sous forme d’un rapport et d’une plaquette de synthèse."
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Chaix, Basile, et Rémy Slama. « Changement climatique et santé : défis et opportunités pour la santé publique ». Questions de santé publique, no 45 (février 2023) : 1–8. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2023045.

Texte intégral
Résumé :
Au-delà de la déshydratation, de l’hyperthermie et d’effets sur les systèmes cardiaque, respiratoire, endocrinien, immunitaire et nerveux, les fortes chaleurs sont associées à une augmentation de la mortalité, des accidents au travail, des suicides, ainsi que des violences domestiques et agressions. Les îlots de chaleur urbains amplifient les effets sanitaires des vagues de chaleur. Les événements climatiques extrêmes entraînent notamment décès et traumatismes. Plus indirectement, le change- ment climatique induit une modification de la distribution géographique de maladies à vecteurs et de bactéries aquatiques. Les températures élevées et les événements extrêmes sont associés à une diminution des rendements agricoles, qui peut induire malnutrition et troubles de la croissance. Le changement climatique pourrait renforcer la prolifération d’algues toxiques, et il a des implications en termes d’allergies. Il impactera aussi la concentration atmosphérique de polluants, augmentera la fréquence des feux de forêts et des tempêtes de sable et de poussière, associés à des problèmes respiratoires. L’augmentation du niveau de la mer pourrait contribuer à des migrations climatiques de masse, induisant des problèmes de maladies infectieuses et de conflits. L’acidification des océans pourrait déstabiliser les économies reposant sur la pêche. Les mesures de lutte contre et d’adaptation au changement climatique concernent les secteurs de l’agriculture, de l’urbanisme, des transports, de l’énergie et de l’industrie, qui façonnent des déterminants majeurs de la santé (alimentation, activité physique, pollution atmosphérique et bruit, contaminants chimiques). La lutte contre le changement climatique constitue ainsi une fantastique opportunité pour améliorer la santé.
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Guimard, David. « Les îlots de chaleur urbains dans l'agglomération annecienne (Haute-Savoie) / Urban heat islands in the urban area of Annecy ». Revue de géographie de Lyon 72, no 4 (1997) : 299–303. http://dx.doi.org/10.3406/geoca.1997.4710.

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Robin, Marc. « Apport de l'imagerie thermique basse résolution NOAA-AVHRR pour l'étude des îlots de chaleur urbains : exemple des villes de Loire-Atlantique ». Cahiers du Centre nantais de recherche pour l'aménagement régional 40, no 1 (1993) : 47–56. http://dx.doi.org/10.3406/canan.1993.1558.

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Maillard, P., F. David, M. Dechesne, J. B. Bailly et E. Lesueur. « Caractérisation des îlots de chaleur urbains et test d’une solution d’humidification de chaussée dans le quartier de la Part-Dieu à Lyon ». Techniques Sciences Méthodes, no 6 (2014) : 23–35. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201406023.

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JOUIN, C., et Z. MLOCEK. « Évolutions des techniques alternatives de gestion des eaux pluviales : l’exemple de trois projets à Villeneuve-la-Garenne ». Techniques Sciences Méthodes, no 3 (20 mars 2020) : 61–70. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202003061.

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Résumé :
La gestion des eaux pluviales est l’un des enjeux majeurs de l’aménagement urbain moderne. Son intégration au sein des projets urbains doit prendre en compte et respecter l’environnement tout en protégeant les biens et les personnes des dommages pouvant être causés par les inondations. Les techniques dites « alternatives » permettent de résoudre cette problématique, tout en répondant à des enjeux sociaux (en créant davantage d’espaces publics, en améliorant le cadre de vie, en recréant du lien avec la nature), économiques (en augmentant la valeur foncière du site, en réduisant les coûts de travaux et d’entretien) et environnementaux (en créant des corridors écologiques, en favorisant la biodiversité et en luttant contre les îlots de chaleur). Dès les premiers stades de la conception, de nombreuses possibilités existent pour intégrer la gestion de l’eau dans les projets urbains. Le but de cet article est de présenter un retour d’expérience à travers trois projets menés successivement sur un même territoire, la commune de Villeneuve-la-Garenne. Ces projets, qui ont en commun les contraintes propres à leur territoire et une gestion alternative des eaux pluviales, permettent d’illustrer les évolutions constatées dans la conception des ouvrages et dans la perception des techniques alternatives par les acteurs associés aux projets. Encouragées par les publications, les retours d’expériences positifs et l’évolution de la réglementation, les techniques alternatives rencontrent une adhésion de plus en plus forte. Il subsiste toutefois des a priori négatifs sur leur efficacité, leur coût et leur entretien. Du côté du concepteur, il ne s’agit plus seulement de gérer la pluie de référence, mais de concevoir un système de gestion de la pluie intégré aux espaces publics et au bâti, de gérer les petites pluies au maximum sur le site et de promouvoir la plurifonctionnalité des ouvrages.
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HASSANI, Nassima, Sébastien LEBAUT, Gilles DROGUE et Said SGHIR. « Dynamique d'urbanisation et thermographies satellitaires en milieu méditerranéen : le cas du grand Casablanca (Maroc) ». Bulletin de la Société Géographique de Liège, 2021, 5–22. http://dx.doi.org/10.25518/0770-7576.6449.

Texte intégral
Résumé :
L’étude diachronique des températures de surface (Ts) prises pendant la saison chaude par situation anticyclonique radiative (temps clair et calme) est réalisée dans l’aire métropolitaine de Casablanca à l’aide d’une série d’images infrarouges thermiques Landsat multi-dates sur la période 1984-2019. Les thermographies obtenues sont alors analysées pour évaluer les gradients thermiques de jour comme de nuit au sein de ce territoire côtier densément peuplé. Les résultats obtenus montrent l’existence en fin de matinée, d’îlots de fraîcheur urbains au niveau du sol (IFUs) couvrant les villes de Casablanca et de Mohammedia. La nuit, ces IFUs se muent en îlots de chaleur urbains au niveau du sol (ICUs), les Ts étant alors plus faibles dans l’intérieur des terres par rapport à celles de la conurbation littorale. Par ailleurs, sur la période 1984-2019, une bonne concordance entre l’évolution spatio-temporelle des surfaces chaudes et celle des espaces urbanisés est établie en journée.
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