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Becquet, Valérie. « Comprendre l’instrumentation des questions de citoyenneté dans les politiques d’éducation et de jeunesse : une typologie des dispositifs d’action publique ». Lien social et Politiques, no 80 (22 mars 2018) : 15–33. http://dx.doi.org/10.7202/1044107ar.

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Résumé :
Que ce soit au niveau européen qu’au niveau national, les enjeux relatifs à la citoyenneté des jeunes sont présents dans les débats publics et donnent lieu à la mise en place de dispositifs spécifiques. L’ancienneté et la récurrence de la mise à l’agenda de cette question invitent à réfléchir sur les dynamiques de l’action publique. Cet article propose une typologie des dispositifs progressivement développés dans deux secteurs publics qui interviennent auprès des jeunes : l’éducation et la jeunesse. En mobilisant une approche par les instruments d’action publique, il met en évidence que les choix opérés par les décideurs publics pour traiter des questions de citoyenneté conduisent à une multiplication et à une diversification des dispositifs. Cette prolifération interroge la lisibilité de l’action publique : si les dispositifs peuvent apparaître complémentaires et constituer une opportunité pour les jeunes, ils peuvent aussi entrer en tension. Dans un contexte de renouvellement générationnel du corps électoral, elle invite également à réfléchir sur les conséquences sur les pratiques des jeunes et sur la construction de leur représentation de la citoyenneté.
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ELLEFSEN, Bjenk, et Jacques HAMEL. « Citoyenneté, jeunesse et exclusion. Lien social et politique à l’heure de la précarité ». Lien social et Politiques, no 43 (2 octobre 2002) : 133–42. http://dx.doi.org/10.7202/005099ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ Les auteurs s'emploient d'abord à définir l'exclusion dans l'orbite sociologique. Sur cette base, ils proposent ensuite d'élargir la notion de citoyenneté en distinguant la citoyenneté abstraite et la citoyenneté pratique. Sur la lancée, ils envisagent cette dernière à la lumière de l'entrée dans la vie adulte pour démontrer que la citoyenneté prend également forme dans le sillage de l'insertion sociale. Après un rapide état des lieux, l'insertion et l'exclusion des jeunes diplômés sont illustrées par les résultats d'une enquête sur leur insertion professionnelle et sociale conduite à dix ans d'intervalle. Ils viennent passablement nuancer les thèses mises de l'avant par André Gorz et Pierre Bourdieu pour expliquer les ratés du travail salarié. Ces résultats génèrent enfin l'hypothèse selon laquelle l'exclusion s'exprime par des conditions et des valeurs qui font l'impasse sur le droit de cité.
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Greissler, Elisabeth, Isabelle Lacroix et Isabelle Morisette. « Les cadres de la participation citoyenne en milieu de vie : le discours des jeunes en difficulté ». L’insertion ? La capacitation ? Les interventions jeunesses de proximité, no 80 (22 mars 2018) : 190–209. http://dx.doi.org/10.7202/1044116ar.

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Résumé :
Répondant de leur mission ou d’une vogue participationniste, nombre d’organisations jeunesse québécoises, qu’elles soient institutionnelles ou communautaires, ont mis en place des dispositifs soutenant des processus de participation chez les jeunes en difficulté. À partir des résultats de trois recherches qualitatives en Centres jeunesse et au sein d’organismes communautaires jeunesse, la manière dont les jeunes en difficulté perçoivent et s’approprient ces espaces de participation est interrogée. S’appuyant sur le discours des jeunes engagés, et mobilisant la théorie de l’analyse des cadres, cet article montre que les modalités de construction de leur citoyenneté en milieu de vie ont la particularité d’être à la fois un objectif et un processus d’intervention. Le sens que les jeunes en difficulté accordent à leur participation se révèle dans leurs perceptions des espaces de participation proposés par les milieux de vie. Les rôles qu’ils développent reposent sur un travail de signification qui s’appuie sur la continuité de l’intervention ; les relations significatives ; et les pratiques démocratiques. Malgré des limites à cette participation suscitée, les jeunes ont le sentiment de développer des compétences et d’être acteurs grâce au contexte organisationnel de mobilisation en milieu de vie et au processus de cadrage réalisé quotidiennement par les intervenants.
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Grand, Jérôme. « Street-level Citizenship : le cas de la promotion de la citoyenneté dans les politiques extrascolaires de la jeunesse à Genève ». Swiss Journal of Sociology 44, no 3 (1 novembre 2018) : 383–404. http://dx.doi.org/10.1515/sjs-2018-0017.

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Résumé Cet article analyse la formulation et la mise en oeuvre d’une politique sociale visant à promouvoir la citoyenneté. En s’intéressant au cas de la Fondation pour l’animation socioculturelle genevoise mandatée par l’État de Genève pour « favoriser la citoyenneté active », l’article cherche à mettre en lumière la norme de citoyenneté véhiculée par l’État, mais aussi à rendre compte de sa mise en oeuvre par des animateurs socioculturels au bénéfice de dispositions individuelles et confrontés à la réalité des contextes.
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Dumollard, Marie. « L’éducation à la citoyenneté, entre politique de prévention et politique de jeunesse ? » Cahiers de l’action 42, no 2 (2014) : 57. http://dx.doi.org/10.3917/cact.042.0057.

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Desroches-Maheux, Ève. « Les chemins de la participation citoyenne des jeunes Kanak de Koné (Nouvelle-Calédonie)1 ». Lien social et Politiques, no 80 (22 mars 2018) : 149–70. http://dx.doi.org/10.7202/1044114ar.

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En partant d’un terrain ethnographique, cet article explore les formes et modalités de la participation « citoyenne » des jeunes Kanak vivant en province Nord, en Nouvelle-Calédonie. Étant à l’aube du référendum sur son accession à la pleine souveraineté, ce territoire français de statut sui gereris se situe à un moment charnière de son histoire. En préparation à cet événement, l’accord de Nouméa vint poser les bases d’une nouvelle citoyenneté néo-calédonienne située, pour le moment, à l’intérieur de la citoyenneté française. Cette citoyenneté en construction pose toutefois la question de la place qui y est accordée aux Kanak, peuple autochtone du territoire. Abordant la citoyenneté comme un ensemble de « processus de subjectivation politique », produisant une citoyenneté à la fois « déterminée par l’État et par les sujets qui la composent », nous explorerons les réponses et « tentatives de négociations » de jeunes Kanak envers cette dernière. Les résultats montrent que malgré les représentations négatives qui pèsent sur eux, les jeunes s’approprient les possibilités ouvertes par les politiques et les programmes publics dans l’espoir de faire entendre leurs doléances et de mettre en oeuvre des projets structurants. De plus, alors que ce type de pratiques citoyennes constituent un levier de résistance face à l’hégémonie française en province Sud pour les jeunes qui cherchent avant tout à y affirmer leur identité kanak, l’implication des jeunes du Nord dans l’espace public s’inscrit plutôt dans une démarche inclusive face aux autres communautés.
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Leblanc, Marie-Nathalie, et Muriel Gomez-Perez. « Jeunes musulmans et citoyenneté culturelle : retour sur des expériences de recherche en Afrique de l’Ouest francophone ». Sociologie et sociétés 39, no 2 (27 novembre 2008) : 39–59. http://dx.doi.org/10.7202/019083ar.

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Résumé :
Résumé La question des jeunes est un élément essentiel pour comprendre les dynamiques de l’espace public38 et les pratiques citoyennes qui émergent dans l’Afrique d’aujourd’hui. Leur importance tient non seulement à leur poids démographique imposant, mais aussi à leur transformation, souvent dramatique, en tant qu’acteurs sociaux dans l’espace public africain au cours des années 1990. Cette transformation encourage la création de nouvelles formes de légitimité et de nouveaux espaces d’expression individuelle ou collective, et correspond à une mutation radicale de l’idée de citoyenneté, qui fait appel à de nouvelles ressources et qui remodèle les dynamiques nationales d’inclusion et d’exclusion. Ainsi, la constitution de nouveaux espaces d’expression encourage une conception moins restrictive de la participation citoyenne dans la mesure où les jeunes veulent faire entendre leur opinion et participer ouvertement aux divers débats de société. En lien avec les concepts de « citoyenneté culturelle » et de « contre-nation », nous nous proposons dans cet article d’examiner le rôle des jeunes dans le contexte de réaffirmation de l’identité islamique qui a marqué l’Afrique de l’Ouest francophone à partir des années 1980 et plus encore dans les années 1990, particulièrement dans les grands centres urbains du Sénégal, du Mali, du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire. Nous nous penchons plus spécifiquement sur la question du rapport entre jeunes (comme catégorie sociale), religion et espace public.
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Lemoine, Lise, Benoît Schneider et Marie-Claude Mietkiewicz. « Des élèves (pas?) comme les autres parmi les autres. La littérature jeunesse comme facteur d’inclusion sociale pour les enfants avec trisomie 21 et autisme ». Revue de psychoéducation 47, no 2 (27 novembre 2018) : 383–407. http://dx.doi.org/10.7202/1054066ar.

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L’inclusion dans des classes ordinaires d’élèves avec trisomie ou autisme se heurte à bien des difficultés dont le regard des enfants typiques peu préparés à ces rencontres. En France, depuis la promulgation, en 2005 de la loi « pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées », l’inclusion des enfants en situation de handicap est devenue l’objectif à atteindre. Pour examiner dans quelle mesure la littérature jeunesse pourrait être un outil pertinent pour leur faire découvrir les difficultés rencontrées par des enfants avec des troubles neuro-développementaux, nous avons analysé 26 ouvrages destinés aux enfants de 3 à 11 ans dans lesquels un héros avec trisomie ou autisme est scolarisé. Au terme d’une étude comparative des deux séries de livres (15 sur la trisomie, 11 sur l’autisme), dans lesquels les caractéristiques et les difficultés des enfants en situation de handicap sont décrites de manière différentielle, nous avançons que ces ouvrages qui délivrent des messages implicites d’acceptation de la différence et de tolérance pourraient contribuer à lever les réticences et à engager le dialogue au sein des établissements scolaires.
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Jochems, Sylvie. « PraTIC de RAJE citoyenne. Usages des TIC pour la mobilisation de jeunes à l’aide sociale ». Échos de pratique 24, no 2 (10 juin 2013) : 257–72. http://dx.doi.org/10.7202/1016359ar.

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Résumé :
Qu’est-ce que le Web et le milieu de l’intervention jeunesse ont en commun ? Le potentiel de développement de l’action collective. Une récente initiative mérite d’être connue. Le Rassemblement de la jeunesse citoyenne (RAJE citoyenne) mène une action collective qui s’inscrit dans la défense des droits sociaux de jeunes qu’ils soient ou non impliqués dans les Auberges du coeur du Québec. Elle a de particulier qu’elle fait usage des médias sociaux non seulement pour informer et sensibiliser le public mais aussi pour mobiliser ces jeunes. En somme, j’ai tenu à réaliser cette entrevue auprès de Maxime Boucher et de François Labbé parce qu’il m’apparaît nécessaire que les travailleurs et travailleuses et intervenants sociaux reconnaissent que le lien social et politique peut se travailler sur le Web.
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Drolet, Carole. « Une expérience citoyenne ». La prévention précoce en question, no 1 (5 avril 2012) : 127–39. http://dx.doi.org/10.7202/1008631ar.

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Résumé :
L’empowerment, ou la prise de pouvoir, est un terme très utilisé à notre époque. Mais comment cela se traduit-il sur le terrain ? Est-ce que tous les travailleurs et travailleuses du social en ont la même compréhension ? Pour le Bureau de consultation jeunesse, cette pratique réside dans la prise de parole des jeunes sur leur situation dans une visée de changement social. Cet article fait état d’un groupe de jeunes mères de l’organisme qui, interpellées par un sujet concernant leurs enfants, soit l’enquête sur la maturité scolaire, ont décidé de s’exprimer, de s’impliquer et de revendiquer leur droit d’avoir voix au chapitre à propos des décisions politiques les concernant.
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Greissler, Élisabeth, et François Labbé. « Lutter pour exister ». Nouvelles pratiques sociales 25, no 1 (15 juillet 2013) : 208–23. http://dx.doi.org/10.7202/1017391ar.

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Résumé :
Cet article vise à analyser les conditions d’émergence du Rassemblement de la Jeunesse citoyenne (RAJE citoyenne), une action directe non violente coordonnée par le Regroupement des Auberges du coeur du Québec (RACQ). Le RAJE citoyenne se veut une réponse collective à des problèmes d’accès de jeunes adultes à l’aide sociale et aux programmes de formation ou de retour aux études. Les auteurs décrivent les conditions de possibilité de ce mouvement « précaire ». Ils s’intéressent également au rôle déterminant du RACQ, initiateur et soutien principal du RAJE. Ils réfléchissent enfin aux enjeux de structuration de cet espace de participation citoyenne.
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Felder, Maxime, Laurence Ossipow et Isabelle Csupor. « Citoyen·ne·s, mais pas encore adultes ? Les injonctions à la responsabilité et à la citoyenneté dans les rituels d’accession à la majorité en Suisse ». Les institutions civiques de l’enfance et de l’adolescence, no 80 (22 mars 2018) : 108–27. http://dx.doi.org/10.7202/1044112ar.

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Résumé :
Les communes suisses organisent un rituel pour célébrer l’accession à la majorité civile et civique de leurs résident·e·s qui atteignent l’âge de dix-huit ans. Dans les six communes que nous avons étudiées, les autorités invitent les jeunes à participer à une séance du conseil communal, les convient à un repas ou un apéritif, ou leur organisent une soirée de témoignages, de spectacle ou encore de jeux en plein air. Ces événements font place à des discours dans lesquels des représentant·e·s des autorités enjoignent les jeunes à être de « bonnes » et « bons » citoyens. Si l’appel au vote est toujours le leitmotiv, les discours se centrent aussi sur des définitions plus larges de la citoyenneté, insistant tantôt sur l’engagement associatif et local, tantôt sur la nécessité d’agir pour l’écologie ou contre les inégalités. Le croisement de ces analyses avec celles des entretiens menés avec de jeunes participant·e·s fait émerger des tensions. En effet, les autorités s’adressent à des jeunes qu’elles ne considèrent pas tout à fait comme des adultes (et qui ne se considèrent pas non plus comme tel·le·s), qui sont pour certain·e·s déjà engagé·e·s dans ces formes de citoyenneté vernaculaire, et qui s’apprêtent à quitter leur commune pour étudier ou voyager. Ces promotions citoyennes permettent ainsi de mettre en scène l’intérêt des élu·e·s pour les jeunes, considéré·e·s comme des citoyen·ne·s en apprentissage dont dépend le renouvellement de la démocratie.
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Danic, Isabelle. « L’Information jeunesse : une socialisation citoyenne pour tous les jeunes ? » Agora débats/jeunesses 81, no 1 (2019) : 27. http://dx.doi.org/10.3917/agora.081.0027.

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Benimmas, Aïcha, et Sylvia Kasparian. « Le concept de citoyenneté chez des immigrants et des membres de la société d’accueil en milieu minoritaire francophone : une analyse lexicale ». Articles 45, no 1-2 (8 février 2017) : 173–97. http://dx.doi.org/10.7202/1038907ar.

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Résumé :
Étant donné les changements et les mutations constantes que connaissent les sociétés sur différents plans (social, politique, économique, technologique, etc.), le concept de citoyenneté nécessite une redéfinition d’une manière continue. Si les citoyens francophones, immigrants et membres de la société d’accueil, peuvent se rejoindre grâce à la langue française, ils peuvent différer à cause de leurs autres caractéristiques identitaires à savoir, la culture, l’ethnie, la religion et l’histoire. C’est dans ce sens qu’il importe d’explorer le sens que ces différents groupes donnent aux concepts de citoyen et de participation citoyenne. L’utilisation des outils informatisés et statistiques nous a permis de relever, par un aller-retour constant entre les analyses qualitatives et quantitatives, les ressemblances et les divergences dans le discours de quatre groupes de participants à notre étude : jeunes immigrants, parents immigrants, jeunes de la société d’accueil et parents de la société d’accueil.
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Butler, Kate, et Cecilia Benoit. « Citizenship Practices Among Youth Who Have Experienced Government Care ». Canadian Journal of Sociology 40, no 1 (19 mars 2015) : 25–50. http://dx.doi.org/10.29173/cjs20571.

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Abstract. Expressions of youth citizenship are evident in young people’s actions, behaviours, and lived experiences. While youth citizenship literature has proliferated in the last two decades, the focus has often been on rights and responsibilities, rather than the differences in citizenship practices amongst youth themselves. Using a qualitative research design, our study explores how youth-with-care-experience practice citizenship. We conducted twenty semi-structured interviews with youth-with-care-experience between the ages of 14-24 in Greater Victoria, Canada. Analysis of participants’ narratives reveals three types of citizenship practices: self-responsible, dissenting and reluctant citizenship. We discuss our findings in the context of the literature on youth citizenship, focusing on the ways that it is contextualized by experiences with family, peers, institutions, and the government care system. Résumé. Les expressions de la citoyenneté des jeunes sont évidentes dans leurs actions, comportements et leurs expériences vécues. Alors que la littérature reliée à la citoyenneté des jeunes a proliféré dans les deux dernières décennies, l’emphase a souvent été mise sur les droits et les responsabilités, plutôt que sur les différences dans les pratiques de la citoyenneté chez les jeunes. En utilisant un modèle de recherche qualitatif, notre étude explore comment la citoyenneté est vécue par les jeunes qui ont été pris en charge. Nous avons effectué vingt entretiens semi-structurés avec des jeunes qui ont été pris en charge âgés entre 14 et 24 ans dans la région de Victoria, Canada. L’analyse des données révèle trois types de pratiques de la citoyenneté: auto-responsable, dissidente et réticente. Nous discutons de nos résultats dans le contexte de la littérature sur la citoyenneté des jeunes, en mettant l’accent sur les façons dont la citoyenneté des jeunes est contextualisée par des expériences avec la famille, les pairs, les institutions et le système de santé.
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Ellefsen, Bjenk, Jacques Hamel et Maxime Wilkins. « La citoyenneté et le droit de cité des jeunes ». Sociologie et sociétés 31, no 2 (2 octobre 2002) : 89–99. http://dx.doi.org/10.7202/001229ar.

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Résumé :
Résumé Cet article traite de la question de la citoyenneté et du droit de cité des jeunes. Après un bref survol des concepts de travail etde citoyenneté, le droit des jeunes à prendre part à la communauté ou à la société est considéré sous l’angle de leur entrée dansla vie adulte. Les résultats d’une étude sur l’insertion sociale et professionnelle de jeunes diplômés québécois sont présentésdans cette perspective. En conclusion, les auteurs mettent de l’avant les pistes d’une nouvelle recherche destinée à montrercomment le travail modèle des valeurs qui, tout en intégrant les jeunes dans la société, effacent leurs droits de citoyen.
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Bouvier, Alain. « Esquisse de scénarios pour l'école de 2030 ». Journal of Quality in Education 3, no 3 (1 novembre 2012) : 12. http://dx.doi.org/10.37870/joqie.v3i3.84.

Texte intégral
Résumé :
On ne peut prétendre évoquer le futur sans d'abord plonger dans les racines du sujet abordé. Or l'histoire de l'école est longue, fort longue même. Je laisse aux spécialistes le soin de dire s'il y eut des civilisations sans école et comment se firent les évolutions au cours des siêcles, voire des millénaires. Ce propos serait d'ampleur, sans commune mesure avec les éléments de prospective que nous avons en vue dans ce texte. Nous nous en tiendrons donc à un passé récent, postérieur au siêcle des Lumiêres et plus particuliêrement relatif à ces derniêres décennies. En un peu plus de deux siêcles, dans les pays développés, l'école est devenue un bien public, une Institution, protégée, construite autour de valeurs (en France, l'école laïque, gratuite et obligatoire), porteuse d'une certaine idée de la démocratie (on parle, dans l'Hexagone, « d'école républicaine ») et chargée de la transmettre à la jeunesse (par exemple en termes « d'éducation à la citoyenneté »). La transmission de valeurs, humanistes notamment, est l'une des missions importantes de l'école, ou tout au moins l'était encore il y a peu, même si, nous le verrons, les évolutions actuelles soulêvent cruellement cette question. Si l'école n'existait pas et que l'on envisageait de la créer, nul ne peut imaginer que le choix s'arrêterait sur le modêle en place aujourd'hui. Selon l'expression employée par les sociologues, elle est prisonniêre de la « forme scolaire » inspirée d'institutions religieuses, certes quelque peu différentes suivant les époques, les pays et les cultures. Elle est figée depuis le XIXe siêcle. L'école s'exerce dans une unité de lieu, la classe. Elle combine un groupe d'élêves, un programme et l'action d'un enseignant qui doit enseigner ce programme à ces élêves (on dit même à « ses » élêves). Les variations que l'on peut noter, ici o๠là , sont toujours à la marge et préservent, jusqu'à présent et sauf cas exceptionnel, ces trois piliers. Or Antoine Prost (1997) fait remarquer : « on ne voit pas s'annoncer avec précision un nouveau type d'école : celle du XIXe siêcle est morte, mais celle du XXIe siêcle se cherche encore ». Alors o๠en est l'école en ce début de XXIe siêcle ? Peut-on discerner les changements auxquels elle doit se préparer ? Sous la pression de quelles forces ? Dans quelle perspective ? Pour fixer les idées, quelles sont les principales hypothêses d'évolution dans un avenir à la fois proche et un peu éloigné, 2030 ?
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Parazelli, Michel, et Annamaria Colombo. « Intervenir aux marges de la citoyenneté ». Le dossier : Vers de nouvelles pratiques citoyennes 18, no 2 (7 août 2006) : 88–109. http://dx.doi.org/10.7202/013289ar.

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Résumé :
Cet article fait état de l’évolution de l’application d’un mode d’intervention collective auprès des jeunes de la rue à Montréal, de 1997 à 2005. Ce mode d’intervention favorise le dialogue sous la forme d’écrits, de groupe à groupe, entre des jeunes de la rue, des responsables institutionnels, des intervenants et des policiers. Cette intervention constitue une adaptation du dispositif institutionnel de la sociopsychanalyse visant à développer l’appropriation de l’acte des individus de façon démocratique. On y présente les trois moments d’application tout en faisant état des modifications qui ont eu lieu au fur et à mesure des évaluations. Les fondements théoriques ainsi que les principes d’actions sous-tendant le dispositif sont explicités en insistant sur l’importance du concept d’« actepouvoir » comme un fondement psychosocial de la pratique citoyenne.
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Claes, Ellen, Marc Hooghe et Dietlind Stolle. « The Political Socialization of Adolescents in Canada : Differential Effects of Civic Education on Visible Minorities ». Canadian Journal of Political Science 42, no 3 (septembre 2009) : 613–36. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423909990400.

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Résumé :
Abstract.It is assumed that civic education has persistent effects on political attitudes and behaviours of young citizens. There is no consensus, however, on what kind of efforts have the strongest effects on specific outcomes, like political knowledge and intended political participation. In some of the older literature, it has been shown that effects of civic education are stronger for children from a visible minority background. This article takes up these questions using a dataset with a sample of 15–17-year olds from Canada (n = 3,334). The results show that active efforts for civic education can make a difference. Especially community service, a rather new form of civic education, fosters political knowledge and conventional future participation. However, in Canada, adolescents from a visible minority background do not benefit disproportionately from civic education efforts.Résumé.On soutient que l'éducation à la citoyenneté amène des effets positifs durables sur les attitudes et les comportements politiques des jeunes. Toutefois, il n'existe pas de consensus concernant les efforts spécifiques les plus fructueux pour stimuler les connaissances et la participation politiques. Dans cet article nous examinons premièrement l'ampleur des effets de l'éducation à la citoyenneté. Deuxièmement, nous examinons la thèse selon laquelle ce sont les minorités visibles qui bénéficient le plus de ces efforts – position défendue dans une partie de la littérature plus ancienne sur le sujet. Ces deux questions sont étudiées quantitativement en utilisant un groupe témoin de jeunes Canadiens de 15 à 17 ans (n = 3334). Les résultats révèlent que les efforts actifs dans le domaine de l'éducation à la citoyenneté ont un effet sur les attitudes et les comportements politiques. Le service communautaire, entre autres, une nouvelle forme d'éducation à la citoyenneté, sensibilise les jeunes à la politique et favorise leur participation conventionnelle future. Nous ne trouvons pas, en revanche, d'effet différentiel notable chez les adolescents des minorités visibles.
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Roudet, Bernard, et Bernard Bier. « Les jeunes en Europe : politique et citoyenneté ». Agora débats/jeunesses 12, no 1 (1998) : 7–10. http://dx.doi.org/10.3406/agora.1998.1601.

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Ragi, Tariq. « Citoyenneté et participation des jeunes en France ». Agora débats/jeunesses 27, no 1 (2002) : 106–20. http://dx.doi.org/10.3406/agora.2002.2003.

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Leclercq, Benjamin, et Jeanne Demoulin. « Promouvoir la « citoyenneté » dans les quartiers populaires : les professionnels du développement social urbain à l’épreuve des enfants et des jeunes ». L’insertion ? La capacitation ? Les interventions jeunesses de proximité, no 80 (22 mars 2018) : 171–89. http://dx.doi.org/10.7202/1044115ar.

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Résumé :
Cet article interroge les tensions qui régissent l’injonction à se comporter en citoyen dans les quartiers populaires en France. Plus spécifiquement, il s’intéresse aux pratiques des professionnels du développement social urbain, recrutés ou mandatés par des organismes HLM pour lutter contre les incivilités dont les enfants des locataires sont rendus responsables (dégradations, vandalisme…). Les interventions sociales conçues par ces professionnels à l’intention des enfants et des jeunes s’apparentent à des formes d’éducation à la citoyenneté qui oscillent entre normalisation des conduites et valorisation de l’engagement pour le bien commun. D’un côté, elles constituent des expériences susceptibles d’engendrer des questionnements profanes sur le vivre-ensemble dans la Cité. De l’autre, en demeurant tributaires d’une approche gestionnaire de l’espace public, elles résistent mal au simple rappel des normes élémentaires du savoir-vivre en société. Pour éviter cette approche morale de la citoyenneté, les agents cherchent alors à donner des capacités à leur public afin que celui-ci résolve de lui-même les problématiques auxquelles il est confronté. Ce travail participatif est redevable d’une conception capacitaire de la citoyenneté, impliquant une maîtrise préalable de la civilité. Il s’adresse ainsi aux jeunes les plus influents, les « grands frères » qui détiennent des compétences d’encadrement de leurs pairs. Les professionnels cherchent alors à leur donner des « codes » pour être reconnus comme partenaires des institutions. Mais ce partenariat implique d’acquérir des compétences d’adaptation aux façons de faire et de dire la politique locale qui n’autorisent pas ces jeunes à publiciser leurs critiques ordinaires du fonctionnement institutionnel.
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Caron, Caroline. « La citoyenneté des adolescents du 21e siècle dans une perspective de justice sociale : pourquoi et comment ?1 ». Lien social et Politiques, no 80 (22 mars 2018) : 52–68. http://dx.doi.org/10.7202/1044109ar.

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Résumé :
Comment sait-on ce que l’on sait sur la citoyenneté des adolescents et leurs pratiques de participation civique ? Cette question épistémologique a été négligée dans les écrits traitant de l’engagement civique et de la participation politique des jeunes. Cet article utilise la perspective théorique de la justice sociale pour examiner le rôle que jouent les rapports sociaux fondés sur l’âge dans la production de connaissances qui offrent un portrait pessimiste du rapport des jeunes à la politique. L’analyse montre que l’injustice épistémique et la validation empirique déficiente des connaissances à propos de la compétence civique appellent une théorisation alternative, précisément inclusive, de la citoyenneté des jeunes. L’analyse souligne aussi que l’avènement du Web social a créé de nouveaux besoins de connaissances que les cadres de recherche établis par tradition peinent à satisfaire. Un premier pas vers la production de connaissances socialement justes au sujet des compétences civiques des adolescents à l’ère du Web social consiste à analyser les fondements épistémologiques des approches de recherche prédominantes afin de susciter des échanges fructueux au sujet des critères normatifs qui devraient guider la confection des protocoles de recherche dans le futur.
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Gallissot, René. « Au-delà du multiculturel : nationaux, étrangers et citoyens. Urbanisation généralisée et transnationalisation ». I. Nationalité et citoyenneté à l’épreuve du pluriculturalisme, no 21 (17 novembre 2015) : 27–33. http://dx.doi.org/10.7202/1034074ar.

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Résumé :
Le multiculturel n’est peut-être qu’un feu follet courant sur une transformation de base : l’urbanisation généralisée et la généralisation des cultures urbaines. Retardée en France, l’urbanisation ne s’accomplit que dans les trois dernières décennies. C’est donc pour la première fois que les générations jeunes sont, dans leur masse, socialisées et acculturées par la ville. Pour les jeunes issus de l’immigration, la ville est en outre le lieu de francisation, et c’est donc en ville que se produit une surexcitation des conflits dits ethniques, suivant la ligne de partage entre les nationaux français, les nationaux européens auxquels l’on reconnaît l’équivalence nationale et les immigrés. L’immigré est celui qui n’est pas français d’origine. Cette discrimination lui dénie et une nationalité propre et la pleine citoyenneté française, pour l’ethniciser comme musulman, noir, asiatique, etc. La différence dite d’origine et de culture masque la différenciation raciale qui sépare l’Europe du Tiers Monde. Sous couvert multiculturel, la culture des jeunes répercute les cultures urbaines; celles-ci sont le signe d’un cosmopolitisme nouveau; elles révèlent qu’opère en profondeur un procès de transnationalisation qui met en cause la centralité nationale et dissocie la citoyenneté de la nationalité.
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Bier, Bernard. « La place des jeunes, un enjeu de citoyenneté ». Hommes et Migrations 1196, no 1 (1996) : 27–29. http://dx.doi.org/10.3406/homig.1996.2632.

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Hamel, Jacques, Bjenk Ellefsen et Maxime Wilkins. « Travail, citoyenneté et droit de cité des jeunes ». Agora débats/jeunesses 16, no 1 (1999) : 85–94. http://dx.doi.org/10.3406/agora.1999.1152.

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Duchesne, Sophie. « Jeunes, citoyenneté, Europe : quelques remarques à propos des représentations ordinaires de la citoyenneté en France ». Agora débats/jeunesses 12, no 1 (1998) : 69–80. http://dx.doi.org/10.3406/agora.1998.1607.

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Bégin, Mathieu. « Quand des adolescents font une vidéo sur la cyberintimidation : une action citoyenne ?1 ». Lien social et Politiques, no 80 (22 mars 2018) : 128–48. http://dx.doi.org/10.7202/1044113ar.

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Résumé :
La recherche présentée s’intéresse au problème de la cyberintimidation. Elle souhaite apporter une réponse à la question suivante : dans quelle mesure, chez les adolescents, la publication dans les médias sociaux d’une vidéo sur la cyberintimidation constitue-t-elle une action citoyenne ? En nous fondant sur la pensée du philosophe Habermas, nous définissions une action citoyenne comme un acte situé dans un contexte sociohistorique donné, qui entend répondre à un problème social précis, par la mobilisation de connaissances et de moyens techniques, et dont la finalité première doit être la transformation de la société. Trois entrevues individuelles et 14 groupes de discussion avec 75 adolescents fréquentant une maison de jeunes ont été menés. Leur analyse a permis de constater que les adolescents ne font pas de la transformation de la société une priorité lorsqu’ils produisent des vidéos sur une thématique sociale comme la cyberintimidation et qu’ils accordent peu d’importance à la nécessité de documenter le discours contenu dans leurs vidéos. Leurs productions vidéos ne peuvent donc pas être considérées comme des actions citoyennes au sens strict. Les résultats montrent aussi que les adolescents sont attirés par l’appropriation des langages et techniques vidéographiques et par la reconnaissance publique. Des priorités éducatives fondées sur ces constats sont proposées. Il est notamment suggéré d’intégrer des notions de base de psychologie sociale à tout enseignement relatif aux médias, puisque les adolescents tendent à penser que toute communication de masse ciblant une large population peut se traduire par un changement social rapide et à grande échelle.
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Bertossi, Christophe. « La citoyenneté des jeunes en France et en Europe ». Agora débats/jeunesses 34, no 1 (2003) : 98–113. http://dx.doi.org/10.3406/agora.2003.2142.

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Halter, Jean-Pierre. « Les jeunes et l’exposition : une propédeutique de la citoyenneté ? » Cahiers de l’action 42, no 2 (2014) : 29. http://dx.doi.org/10.3917/cact.042.0029.

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Lopez, David. « Des jeunes volontaires promoteurs d’une citoyenneté active et globale ». Cahiers de l’action 46, no 3 (2015) : 37. http://dx.doi.org/10.3917/cact.046.0037.

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Fréchette, Lucie. « Quand la jeunesse est conviée à bâtir la cité ». L’entrevue 14, no 2 (15 septembre 2004) : 12–19. http://dx.doi.org/10.7202/009070ar.

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Résumé :
Résumé L’itinéraire de Michel Azcueta a fait de lui un Péruvien si connu que plusieurs ignorent qu’il a un jour quitté Madrid sans savoir que ce passage au Sud ferait de lui un de ces Péruviens qui figurent aujourd’hui parmi les développeurs. La rumeur veut qu’il soit d’origine lointaine basque ; ce qui explique peut-être ce sens de la cause et ce militantisme qui lui collent à la peau comme un habit dont il ne peut se départir. Son histoire est intimement liée à celle de Villa El Salvador, bidonville péruvien né dans le désert et comptant aujourd’hui près de 400 000 habitants, ville que l’ONU a reconnue Messagère de la paix ; il en fut le premier maire. Il fut en outre l’un des artisans de la communauté autogérée qui a fait de Villa El Salvador un modèle d’organisation sociale maintenant connu sur le plan international.Villa El Salvador s’est dotée d’une organisation sociale de l’espace où l’unité de base du découpage territorial est le groupe résidentiel. Un groupe résidentiel comprend environ 384 familles ou 2000 à 2500 habitants. Ces groupes sont animés par des comités de résidents élus, les juntas directivas. Dès leur début, des représentants des jeunes ont siégé à ces comités. On ne pouvait penser le développement local en bidonville sans tenir compte du dynamisme de la jeunesse puisque près de 60 % des Péruviens ont moins de 25 ans. C’est de cette jeunesse péruvienne et de sa participation citoyenne que nous entretient Michel Azcueta que j’ai interviewé pour NPS lors de la Deuxième Rencontre internationale sur la mondialisation de la solidarité qui se tenait à Québec en octobre 2001.
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Castillo González, Eduardo, Élodie Marion et Mélody Saulnier. « Travail de rue, reconnaissance et citoyenneté : étude d’un cas montréalais1 ». Service social 61, no 1 (22 octobre 2015) : 93–108. http://dx.doi.org/10.7202/1033742ar.

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Résumé :
Résumé Cet article présente l’étude d’un programme de Travail de rue s’adressant aux jeunes en difficultés dans un arrondissement de la ville de Montréal. Le document vise essentiellement la discussion des effets du programme sur la population desservie. La combinaison de méthodes qualitatives et quantitatives a permis de récolter un riche matériau de recherche de même que d’identifier deux sphères de la vie sociale des jeunes sur lesquelles le travail de rue, une pratique de proximité, semble avoir un effet important : le développement d’un sentiment de reconnaissance et l’exercice de la citoyenneté. Qui plus est, les analyses permettent d’entrevoir dans ce milieu l’impact positif de la pratique du travail de rue, cet impact étant davantage perceptible chez les filles que chez les garçons. Enfin, les particularités du travail de rue en tant que pratique d’intervention, son caractère atypique et les stratégies d’intervention qui y sont reliées sont discutées à différents moment dans cet article.
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Robin, Pierrine. « Les jeunes sortant de la protection de l’enfance : une citoyenneté à accomplir par l’action collective ? » Perspectives communautaires 24, no 2 (10 juin 2013) : 185–203. http://dx.doi.org/10.7202/1016355ar.

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Résumé :
Comment intervenir pour favoriser l’agir ensemble en protection de l’enfance en France ? C’est à cette question que s’intéresse cet article d’un point de vue théorique et pratique. Nous montrons que si la participation des « premiers concernés » est un principe érigé comme finalité de l’action sociale, les interventions sociales collectives avec les jeunes sortant de la protection de l’enfance restent balbutiantes. Ceci est lié à la difficulté de définir qui sont les « premiers concernés » en protection de l’enfance et de concevoir leur citoyenneté pratique. Mais comment dans ces conditions favoriser des actions communautaires ascendantes, tenant compte de la perspective subjective des jeunes, sans les stigmatiser ?
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Boutet, Marc, Ghislain Samson et Julie Myre Bisaillon. « La construction d’une citoyenneté environnementale au sein des programmes d’insertion socioprofessionnelle de jeunes en grandes difficultés d’apprentissage ou d’adaptation ». 2) De la lecture d’un quotidien à la tournée de la caravane : considérations sur le contenu du programme des Centres de formation en entreprise et récupération destiné aux élèves en difficulté 35, no 1 (19 mai 2009) : 111–32. http://dx.doi.org/10.7202/029926ar.

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Résumé :
Résumé Cet article porte sur l’importance du développement d’une citoyenneté environnementale comme facteur d’insertion sociale pour les jeunes qui terminent leur parcours scolaire sans diplôme d’études secondaires ou de formation professionnelle, afin d’éviter que leur exclusion scolaire ne se transforme en exclusion sociale. Des résultats de recherche portant sur un programme d’insertion sociale et professionnelle des jeunes (ISPJ) qui fait place aux préoccupations environnementales et au développement durable, le programme des Centres de formation en entreprise et récupération (CFER), y sont présentés et discutés. Ces résultats tendent à montrer que l’engagement des élèves envers une cause environnementale augmente leur sentiment de pouvoir agir sur des enjeux sociaux complexes.
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Castel, Robert. « La discrimination négative. Le déficit de citoyenneté des jeunes de banlieue ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 61, no 4 (août 2006) : 777–808. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900030407.

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Résumé :
RésuméEn dépit de discours convenus sur « l’exclusion » ou le « ghetto des banlieues », les jeunes qui ont participé aux violences urbaines de l’automne 2005 ne sont nullement hors des cadres de la société française. La majorité d’entre eux étaient des citoyens français « issus de l’immigration », c’est-à-dire marqués par leur appartenance ethnique, citoyens par défaut. Leur désespoir pourrait tenir à ce qu’ils vivent les prérogatives de la citoyenneté sur le mode de l’impossibilité de leur réalisation. Dans une République qui proclame l’égalité des droits et l’égalité des chances, ils font quotidiennement l’expérience du déni des droits: discrimination dans les rapports avec la police et la justice, dans leurs relations à l’école et au travail. Discrimination aussi en raison de leur affiliation religieuse, puisque le fait d’être d’origine musulmane est souvent associé à une adhésion à l’islam radical. La stigmatisation d’une partie de la population sur une base ethnique est contradictoire avec les principes de la République. Elle est aussi dangereuse pour l’unité de la nation. Les politiques sécuritaires actuelles ciblent un profil de jeunes comme les principaux responsables de la propagation de l’insécurité, en oubliant de s’interroger sur l’ensemble des conditions nécessaires pour être reconnu comme un citoyen à part entière. C’est le paradoxe d’une instrumentalisation rigide et dogmatique du modèle républicain: si nos banlieues ne sont pas encore des ghettos, elles sont en train de le devenir, à force de traiter une partie de leurs habitants, en particulier les jeunes issus de l’immigration, comme des citoyens de seconde zone.
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Barrett, Martyn. « L’engagement civique et politique des jeunes et la citoyenneté mondiale ». Chronique ONU 54, no 4 (10 avril 2018) : 44–46. http://dx.doi.org/10.18356/a449f313-fr.

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Couture, Nancy. « De la confiance en soi à l’exercice de la citoyenneté ». Écho de pratique 25, no 2 (6 décembre 2013) : 247–59. http://dx.doi.org/10.7202/1020833ar.

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Résumé :
Deux organismes communautaires de Québec, le Centre résidentiel et communautaire Jacques-Cartier ainsi que Mères et Monde, ont réalisé auprès de leurs membres actuels et anciens (jeunes, travailleurs.euses et personnes-ressources) une consultation sur la gestion participative. Cet article présente les effets de la gestion participative sur les personnes qui la vivent, notamment le développement de la confiance en soi, mais aussi un plus grand exercice de la citoyenneté. Sont également sommairement présentés les ingrédients essentiels permettant l’actualisation de ce mode organisationnel.
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Chobeaux, Fran�ois. « Formation des jeunes et citoyennet� : et pourtant, elles marchent... » Apr�s-demain N�5,NF, no 1 (2008) : 31. http://dx.doi.org/10.3917/apdem.005.0031.

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Chevalier, Tom. « Familialisation de la citoyenneté sociale des jeunes en France et inégalités ». Informations sociales 195, no 4 (2016) : 56. http://dx.doi.org/10.3917/inso.195.0054.

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Lussier, Véronique, et Sophie Gilbert. « L’inscription paradoxale ou le refus de renoncer à la subjectivation ». Le dossier : Normativités, marginalités sociales et intervention 27, no 2 (19 octobre 2016) : 27–44. http://dx.doi.org/10.7202/1037677ar.

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Résumé :
Le Groupe de Recherche sur l’Inscription sociale et identitaire des Jeunes Adultes (GRIJA) est engagé depuis une vingtaine d’années dans des travaux de recherche qualitative explorant l’expérience subjective de jeunes adultes en situation de grande précarité. L’exercice de synthèse proposé ici examine l’angle de l’inscription comme fil rouge et pivot de nos conceptualisations progressives: inscription centrale et marginale, humaine et sociale, filiale et citoyenne, signant existence et identité, engageant sujet et chercheur.
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Ferreira Nunes, Brasilmar. « Le Brésil, un pays de jeunes ? » Les pratiques sociales d’ailleurs 9, no 2 (28 janvier 2008) : 169–86. http://dx.doi.org/10.7202/301374ar.

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Résumé :
Résumé Entreprenant une réflexion sur les politiques sociales à partir du cas du Brésil, l'auteur souligne que dans un contexte où une grande partie de la population est exclue, il existe non pas une, mais des citoyennetés multiples. L'analyse des politiques sociales doit tenir compte de cette réalité complexe. L'auteur propose d'y travailler en utilisant le biais de la dynamique démographique. L'idée étant que cette dynamique est à la fois tributaire et productrice d'inégalités sociales. Il explore ainsi l'articulation entre certains indices démographiques et les phénomènes d'urbanisation et de pauvreté. Il montre qu'avec un taux de croissance démographique qui chute, la part relative de la population infantile dans la population totale est en diminution. Les enfants étant ceux qui souffrent le plus, cela se traduirait globalement par une diminution du taux de pauvreté au Brésil.
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Riccio, Bruno, et Nadia Valgimigli. « Citoyenneté, représentations et discriminations : Les associations des jeunes d’origine étrangère à Bologne ». Migrations Société N° 141-142, no 3 (2012) : 141. http://dx.doi.org/10.3917/migra.141.0141.

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Fofana, Moussa. « Les jeunes dans la rébellion du nord de la Côte d’Ivoire : les raisons de la mobilisation ». Afrika Focus 24, no 1 (25 février 2011) : 51–70. http://dx.doi.org/10.1163/2031356x-02401006.

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Résumé :
Le conflit armé qui a éclaté en Côte d’Ivoire le 19 septembre 2002 a conduit à la partition du pays entre le Nord et le Sud. La rébellion des Forces Nouvelles qui contrôle la moitié nord du pays a justifié son action par la dénonciation de l’exclusion et des injustices sociales dont les« nordistes » seraient les victimes. Cette rébellion a été rejointe par de nombreux jeunes originaires du Nord. Cette étude basée sur les études de cas et biographies de 22 jeunes combattants de la rébellion et des entretiens avec leurs leaders montre les raisons justifiant leur engagement. Elle questionne leurs perceptions du conflit et analyse les rhétoriques de la justification. Il ressort que dans l’ensemble des cas, l’engagement a pour but la reconnaissance de leur citoyenneté qui passe par l’acquisition de canes d’identités. Le sentiment victimaire né de l’exercice de la violence légale par les forces de l’ordre, la vengeance, le besoin de sécurité ou encore l’attrait pour le métier des armes nourrissent les motivations qui conduisent à l’enrôlement des jeunes. L’étude montre aussi l’existence d’un environnement s’appuyant sur la parenté, un discours culturel et la mobilisation de la mémoire ancestrale collective qui ont favorisé l’adhésion des jeunes nordistes au mouvement rebelle. Au-delà des expériences individuelles, l’étude découvre, non une armée ethnique mais plus une organisation à base identitaire engagée dans la renégociation violente de son appartenance nationale.
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Basson, Jean-Charles. « La fabrique des « bons petits gars » ». L’insertion ? La capacitation ? Les interventions jeunesses de proximité, no 80 (22 mars 2018) : 210–36. http://dx.doi.org/10.7202/1044117ar.

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Résumé :
Facteur structurel du système toulousain d’action publique dont il contribue à assurer la stabilité, le rugby tend à maintenir la dimension socio-éducative de celui-ci dans une forme d’entre-soi confinant à l’immobilisme. Adossée à la « grande famille du rugby » sans en être partie prenante, l’association socio-sportiveRebonds !joue la différence et développe des actions éducatives sollicitant le rugby distinctes des clubs et de la logique fédérale. Prestataire des collectivités locales, elle intervient prioritairement auprès des établissements scolaires des quartiers populaires identifiés par la politique de la Ville. Concevant l’éducation comme une socialisation méthodique à même de permettre l’articulation des dispositions des jeunes rugbymen d’origine populaire à une variété de contextes fréquentés, elle oeuvre à la fabrication d’une citoyenneté du quotidien.
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Sarr, Fatou. « Crise de la citoyenneté en Afrique et responsabilité des élites : la question de la migration clandestine ». Social Science Information 47, no 4 (décembre 2008) : 715–29. http://dx.doi.org/10.1177/0539018408096457.

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Résumé :
Au Sénégal, en 2006 des milliers de jeunes ont du quitter leur pays à la recherche de moyens de survie pour eux et leurs familles. L'analyse de l'implication citoyenne des mères dans la gestion de ce drame nous incite à réfléchir sur la nécessité de la prise en compte des femmes dans la définition et la gestion des politiques publiques: ce qui renvoie à la question de la démocratie inclusive, objet de cette réflexion.
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Mayen, Patrick. « Les jeunes du rural et de l’enseignement agricole : une éducation particulière à la citoyenneté ? » Pour 230, no 2 (2016) : 125. http://dx.doi.org/10.3917/pour.230.0125.

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Pinet, Nicolas. « La politique des profanes. Formes d'action politique et pratiques de citoyenneté des jeunes adultes ». Revue du MAUSS 43, no 1 (2014) : 395. http://dx.doi.org/10.3917/rdm.043.0395.

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Fortier-Chouinard, Alexandre. « Éducation à la citoyenneté et politisation des jeunes au Québec : perspectives d’enseignant⋅e⋅s ». Revue des sciences de l'éducation 46, no 3 (2020) : 95. http://dx.doi.org/10.7202/1075989ar.

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Quéniart, Anne, et Julie Jacques. « L'engagement politique des jeunes femmes au Québec : de la responsabilité au pouvoir d'agir pour un changement de société ». II L'engagement responsable, no 46 (6 septembre 2002) : 45–53. http://dx.doi.org/10.7202/000322ar.

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Résumé :
Résumé Cet article se propose de montrer que l'engagement politique de jeunes femmes militant au sein de partis politiques et de groupes féministes peut être lu comme une pratique de responsabilité. Chez elles en effet, l'engagement politique se vit d'abord comme obligation envers les autres, envers les institutions sociales. Il implique une responsabilité de citoyenne, un devoir de citoyen. L'engagement est également un pouvoir d'agir pour un changement de société, mettant en lumière la dimension prospective de la responsabilité. Enfin, l'engagement des jeunes femmes illustre l'émergence dans le champ politique de formes nouvelles de subjectivité, marquées par l'importance des convictions personnelles : par la passion plutôt que par une idéologie ou par l'adhésion en bloc à un parti.
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