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Articles de revues sur le sujet « Maladie de la Sharka »

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Auteur : Grafiati
Publié le 25 novembre 2022

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1

Ravelonandro, Michel. « Des pruniers résistant à la maladie de la sharka ». Biofutur 1997, no 172 (novembre 1997) : 53–54. http://dx.doi.org/10.1016/s0294-3506(97)89048-5.

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Cheung, Verna, Nancy Siddiq, Rebecca Devlin, Caroline McNamara et Vikas Gupta. « Modèle de soins partagés pour les hémopathies malignes chroniques complexes ». Canadian Oncology Nursing Journal 31, no 2 (7 mai 2021) : 175–85. http://dx.doi.org/10.5737/23688076312175185.

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Résumé :
Les néoplasies myéloprolifératives (NMP) sont des leucémies chroniques rares sans chromosome Philadelphie. L’expertise de cette maladie peu commune est limitée et concentrée dans des centres spécialisés où les patients doivent se rendre pour obtenir confirmation du diagnostic, prendre des décisions complexes, recevoir des soins de soutien et accéder à de nouveaux médicaments par la participation à des essais cliniques. Toutefois, les nombreux déplacements nécessaires pour ces rendez-vous représentent un poids pour les patients; ils augmentent le fardeau financier, accroissent le stress des proches aidants et nuisent à la qualité de vie. Pour s’attaquer à ce problème, le programme du Centre de cancérologie Princess Margaret (PM) dédié aux NMP a mis en place un modèle de soins partagés et a misé sur la collaboration avec les équipes soignantes locales afin d’offrir aux patients atteints de NMP une prise en charge continue et des soins de soutien plus accessibles. Ainsi, les patients se déplacent moins et reçoivent des soins de qualité axés sur leurs besoins. Le présent article décrit l’expérience de mise en œuvre du modèle de soins partagés au Centre Princess Margaret, expérience qui pourrait s’étendre à d’autres hémopathies malignes chroniques et maladies chroniques rares. L’objectif ultime des soins partagés n’est pas de centraliser les services, mais plutôt de bâtir une communauté de soins accessibles pour le patient.
3

Iliev, P., A. Stoev et N. Petrov. « BETWEEN SHARKA AND MONILIA ». Acta Horticulturae, no 899 (juin 2011) : 171–74. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2011.899.23.

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4

Rimbaud, Loup, Claude Bruchou, Sylvie Dallot, David R. J. Pleydell, Emmanuel Jacquot, Samuel Soubeyrand et Gaël Thébaud. « Using sensitivity analysis to identify key factors for the propagation of a plant epidemic ». Royal Society Open Science 5, no 1 (janvier 2018) : 171435. http://dx.doi.org/10.1098/rsos.171435.

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Résumé :
Identifying the key factors underlying the spread of a disease is an essential but challenging prerequisite to design management strategies. To tackle this issue, we propose an approach based on sensitivity analyses of a spatiotemporal stochastic model simulating the spread of a plant epidemic. This work is motivated by the spread of sharka, caused by plum pox virus , in a real landscape. We first carried out a broad-range sensitivity analysis, ignoring any prior information on six epidemiological parameters, to assess their intrinsic influence on model behaviour. A second analysis benefited from the available knowledge on sharka epidemiology and was thus restricted to more realistic values. The broad-range analysis revealed that the mean duration of the latent period is the most influential parameter of the model, whereas the sharka-specific analysis uncovered the strong impact of the connectivity of the first infected orchard. In addition to demonstrating the interest of sensitivity analyses for a stochastic model, this study highlights the impact of variation ranges of target parameters on the outcome of a sensitivity analysis. With regard to sharka management, our results suggest that sharka surveillance may benefit from paying closer attention to highly connected patches whose infection could trigger serious epidemics.
5

Louro, D., et L. Corvo. « OCCURRENCE OF SHARKA IN PORTUGAL ». Acta Horticulturae, no 193 (novembre 1986) : 183–86. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1986.193.31.

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Hartmann, W., et M. Neumüller. « CONTROL OF SHARKA BY BREEDING ». Acta Horticulturae, no 874 (septembre 2010) : 229–38. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2010.874.31.

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Hartmann, W. « STRATEGY FOR BREEDING SHARKA RESISTANT PLUMS ». Acta Horticulturae, no 478 (octobre 1998) : 31–38. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1998.478.3.

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Ilardi, V., E. Di Nicola-Negri, A. Brunetti, A. Gentile, S. Monticelli et C. Damiano. « RNA INTERFERENCE FOR SHARKA DISEASE RESISTANCE ». Acta Horticulturae, no 738 (mars 2007) : 593–99. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2007.738.77.

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9

Budzanivska, I., L. Usko, A. Gospodaryk, M. Melnyk et V. Polischuk. « EPIDEMIOLOGY OF SHARKA DISEASE IN UKRAINE ». Acta Horticulturae, no 899 (juin 2011) : 57–63. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2011.899.6.

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Martínez-Calvo, Jose, Gerardo Llácer et Maria Luisa Badenes. « ‘Moixent’, an Apricot Resistant to Sharka ». HortScience 46, no 4 (avril 2011) : 655–56. http://dx.doi.org/10.21273/hortsci.46.4.655.

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García, S., M. M. Martín, L. Avinent, G. Llácer, A. Hermoso et J. Serra. « SPREAD OF SHARKA IN APRICOT TREES ». Acta Horticulturae, no 293 (septembre 1991) : 563–68. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1991.293.68.

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DOSBA, F., M. LANSAC et J. P. EYQUARD. « Résistance des Prunus à la sharka ». EPPO Bulletin 24, no 3 (septembre 1994) : 691–96. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1994.tb01084.x.

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Labonne, G., et S. Dallot. « Epidemiology of sharka disease in France ». EPPO Bulletin 36, no 2 (août 2006) : 267–70. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.2006.00985.x.

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Cambra, M., N. Capote, M. A. Cambra, G. Llácer, P. Botella et A. López-Quílez. « Epidemiology of sharka disease in Spain ». EPPO Bulletin 36, no 2 (août 2006) : 271–75. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.2006.00986.x.

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Rankovic, M., I. Dulic-Markovic et S. Paunovic. « SHARKA VIRUS IN APRICOT AND ITS DIAGNOSIS ». Acta Horticulturae, no 488 (mai 1999) : 783–86. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1999.488.131.

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Rankovic, M., et D. OgaÅ¡anovic. « PLUM CULTIVARS AND HYBRIDS RESISTANT TO SHARKA ». Acta Horticulturae, no 522 (janvier 2000) : 135–40. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2000.522.14.

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Dragoiski, K., I. Minev, V. Dzhuvinov et V. Bozhkova. « THE STRATEGY FOR CONTROLLING SHARKA IN BULGARIA ». Acta Horticulturae, no 734 (février 2007) : 259–63. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2007.734.33.

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Kamenova, I., S. Milusheva, K. Dragoyski, A. Borissova, S. Dallot, V. Mavrodieva et L. Levy. « AN OVERVIEW OF SHARKA RESEARCH IN BULGARIA ». Acta Horticulturae, no 899 (juin 2011) : 19–27. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2011.899.1.

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Viršček, M., et I. Mavrič. « CURRENT STATUS OF SHARKA DISEASE IN SLOVENIA ». Acta Horticulturae, no 657 (septembre 2004) : 245–49. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2004.657.36.

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Gottwald, T. R. « Epidemiology of sharka disease in North America ». EPPO Bulletin 36, no 2 (août 2006) : 279–86. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.2006.00988.x.

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Slováková, Ľ., et I. Dávidová. « Annual herbs – possible reservoirs of sharka disease ? » Plant Protection Science 38, SI 2 - 6th Conf EFPP 2002 (31 décembre 2017) : 364–66. http://dx.doi.org/10.17221/10492-pps.

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Résumé :
Nineteen annuals – herbaceous indicators – were used for elucidation of Plum pox potyvirus seed transmission possibility after artificial inoculation with 9 different naturally infected PPV M and D strain sources. The seeds of positive enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) tested herbaceous indicators were collected and planted for germination. Successful seed transmission was detected after ELISA in 3 weeks old plants as follows: Nicotiana benthamiana 3.75% (source of PPV M Prunus domestica L. cv. unknown); N. clevelandii 3.5% (source of PPV M P. armeniaca (L.) Batsch cv. V 66052); N. benthamiana 8.42% and N. acuminata 1.97% (source of PPV D P. domestica L. cv. Althane); N. benthamiana 12.73% (source of PPV M P. domestica L. cv. Bystrická); N. acuminata 1.84% and N. occidentalis 15.1% (source of PPV D Rubus fruticosus Agg.); N. occidentalis 19.23% (source of PPV M Juglans regia L. isolate O 15); N. occidentalis 12.0% (source of PPV M J. regia L. isolate H1). These preliminary results suggest that PPV seed transmission by annual species may serve as a potential source of a virus spreading to the new plantations of the stone fruit trees by aphids transmission.
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Hartmann, Walter. « Sharka-Resistant Plum Hybrids and Cultivars from the Plum Breeding Programme at Hohenheim ». Proceedings of the Latvian Academy of Sciences. Section B. Natural, Exact, and Applied Sciences. 73, no 3 (1 juillet 2019) : 226–31. http://dx.doi.org/10.2478/prolas-2019-0036.

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Résumé :
Abstract Sharka (PPV) is one of the most dangerous viruses in fruit growing. More and more fruit growers are unsatisfied with the resistances or tolerance of plum varieties cultivated today. With the utilisation of the hypersensitive reaction to PPV in breeding we developed ‘Jojo’ as the first absolutely resistant cultivar in the field. Most interesting now is the development of new sharka-resistant cultivars, especially in three points: extension of ripening range, better fruit size, and high fruit quality. In a new breeding programme, we obtained many hypersensitive clones. After testing in different regions, some interesting resistant clones and cultivars were selected and are presented here.
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Rimbaud, Loup, Sylvie Dallot, Claude Bruchou, Sophie Thoyer, Emmanuel Jacquot, Samuel Soubeyrand et Gaël Thébaud. « Improving Management Strategies of Plant Diseases Using Sequential Sensitivity Analyses ». Phytopathology® 109, no 7 (juillet 2019) : 1184–97. http://dx.doi.org/10.1094/phyto-06-18-0196-r.

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Résumé :
Improvement of management strategies of epidemics is often hampered by constraints on experiments at large spatiotemporal scales. A promising approach consists of modeling the biological epidemic process and human interventions, which both impact disease spread. However, few methods enable the simultaneous optimization of the numerous parameters of sophisticated control strategies. To do so, we propose a heuristic approach (i.e., a practical improvement method approximating an optimal solution) based on sequential sensitivity analyses. In addition, we use an economic improvement criterion based on the net present value, accounting for both the cost of the different control measures and the benefit generated by disease suppression. This work is motivated by sharka (caused by Plum pox virus), a vector-borne disease of prunus trees (especially apricot, peach, and plum), the management of which in orchards is mainly based on surveillance and tree removal. We identified the key parameters of a spatiotemporal model simulating sharka spread and control and approximated optimal values for these parameters. The results indicate that the current French management of sharka efficiently controls the disease, but it can be economically improved using alternative strategies that are identified and discussed. The general approach should help policy makers to design sustainable and cost-effective strategies for disease management.
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Çağlayan, K., C. Ulubaş Serçe et M. Gazel. « FOURTHY-FIVE YEARS OF SHARKA DISEASE IN TURKEY ». Acta Horticulturae, no 1063 (janvier 2015) : 41–45. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2015.1063.4.

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Németh, M., et M. Kölber. « PLUM POX (SHARKA) VIRUS INFECTION OF APRICOT CULTIVARS ». Acta Horticulturae, no 209 (mai 1988) : 155–62. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1988.209.17.

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Llacer, G., M. Cambra, A. Lavina et J. Aramburu. « INVESTIGATIONS ON PLUM POX (SHARKA) VIRUS IN SPAIN ». Acta Horticulturae, no 193 (novembre 1986) : 155–60. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1986.193.27.

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Ravelonandro, M., et R. Scorza. « TRANSGENIC PLUMS - FRUIT-TREES RESISTANT TO SHARKA DISEASE ». Acta Horticulturae, no 663 (décembre 2004) : 443–46. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2004.663.76.

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Llácer, G., et M. Cambra. « THIRTEEN YEARS OF SHARKA DISEASE IN VALENCIA, SPAIN ». Acta Horticulturae, no 472 (novembre 1998) : 379–84. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1998.472.44.

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Sochor, Jiri, Petr Babula, Vojtech Adam, Boris Krska et Rene Kizek. « Sharka : The Past, The Present and The Future ». Viruses 4, no 11 (7 novembre 2012) : 2853–901. http://dx.doi.org/10.3390/v4112853.

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Ozer Elibuyuk, I. « Current situation of sharka disease in Ankara, Turkey ». Phytoparasitica 32, no 4 (août 2004) : 417–20. http://dx.doi.org/10.1007/bf02979855.

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Moustafa, T. A., M. L. Badenes, J. Martínez-Calvo et G. Liacer. « STUDIES ON PLUM POX (SHARKA) RESISTANCE IN APRICOT ». Acta Horticulturae, no 550 (mai 2001) : 117–20. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2001.550.15.

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E.M. Vera-Ruiz, C. Romero, G. Llácer, M.L. Badenes, T. Zhebentyayeva et A. Abbott. « TOWARDS SHARKA CONTAINMENT, THE 'SHARCO' PROJECT : GENETIC APPROACH ». Acta Horticulturae, no 862 (mai 2010) : 471–77. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2010.862.73.

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Kamenova, I., et S. Milusheva. « Sharka Disease in Bulgaria : Past, Present and Future ». Biotechnology & ; Biotechnological Equipment 19, sup3 (janvier 2005) : 22–40. http://dx.doi.org/10.1080/13102818.2005.10817283.

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Özer İ., ELİBÜYÜK. « Ankara’da Şeftali Ağaçlarında Görülen Sharka Hastalığı Üzerinde Araştırmalar ». Tarım Bilimleri Dergisi 11, no 3 (2005) : 1. http://dx.doi.org/10.1501/tarimbil_0000000586.

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Vanbinst, Virginie, et Pierre Titeca. « Maladie acquittante ?... Maladie condamnante ? » Thérapie Familiale 35, no 4 (2014) : 483. http://dx.doi.org/10.3917/tf.144.0483.

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Jevremovic, Darko, et Svetlana Paunovic. « Plum pox virus strains : Diversity and geographical distribution in Serbia ». Pesticidi i fitomedicina 29, no 2 (2014) : 97–107. http://dx.doi.org/10.2298/pif1402097j.

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Résumé :
Plum pox virus (PPV) is the causal agent of Sharka disease. Since its discovery, Sharka has been considered as a calamity in plum orchards. PPV is present worldwide in many Prunus species, causing great economic losses. In highly susceptible plum varieties, such as Pozegaca, PPV causes a premature fruit drop and reduces fruit quality, which leads to total yield loss. Eight PPV strains (PPV-M, PPV-D, PPV-EA, PPV-C, PPV-Rec, PPV-W, PPV-T and PPVCR) have been recognized so far. Three major strains (PPV-M, PPV-D and PPV-Rec) are the most widely dispersed and occur frequently in many European countries. Other strains are of minor importance due to their limited host preferences or geographic distribution. So far, all three major strains have been identified in Serbia. In this paper, we provide a comprehensive overview of the research into Plum pox virus variability in Serbia.
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Ádám, J., L. Palkovics, I. Tóbiás et A. Almási. « PRESENCE OF SHARKA DISEASE IN THE NORTH-HUNGARIAN COUNTIES ». Acta Horticulturae, no 1063 (janvier 2015) : 55–60. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2015.1063.6.

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Savino, V., G. P. Martelli, B. Di Terlizzi, M. Digiaro et O. Murolo. « ERADICATION OF SHARKA IN APULIA : STATE OF THE ART ». Acta Horticulturae, no 386 (juillet 1995) : 248–52. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1995.386.32.

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Martínez-Calvo, Jose, Gerardo Llácer et Marisa Luisa Badenes. « ‘Rafel’ and ‘Belgida’, Two Apricot Cultivars Resistant to Sharka ». HortScience 45, no 12 (décembre 2010) : 1904–5. http://dx.doi.org/10.21273/hortsci.45.12.1904.

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Llácer, G., L. Avinent et A. Hermoso de Mendoza. « EPIDEMIOLOGY OF PLUM POX (SHARKA) VIRUS IN VALENCIA (SPAIN) ». Acta Horticulturae, no 309 (mai 1992) : 129–34. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1992.309.17.

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Dicenta, F., M. Rubio, M. Gambín et P. Martínez-Gómez. « RESISTANCE OF ALMOND CULTIVARS TO SHARKA (PLUM POX POTYVIRUS) ». Acta Horticulturae, no 591 (novembre 2002) : 577–79. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2002.591.90.

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Hartmann, W. « HYPERSENSITIVITY - A POSSIBILITY FOR BREEDING SHARKA RESISTANT PLUM HYBRIDS ». Acta Horticulturae, no 472 (novembre 1998) : 429–32. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.1998.472.51.

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AUDERGON, J. M., F. DOSBA, I. KARAYIANNIS et F. DICENTA. « Amélioration de l'abricotier pour la résistance à la sharka ». EPPO Bulletin 24, no 3 (septembre 1994) : 741–48. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1994.tb01090.x.

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Kegler, H., S. Schwarz, E. Fuchs et M. Gruentzig. « SHARKA RESISTANT PLUMS AND PRUNES BY UTILIZATION OF HYPERSENSITIVITY ». Acta Horticulturae, no 538 (octobre 2000) : 391–95. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2000.538.69.

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Rubio, M., P. Martínez-Gómez, F. Dicenta et W. E. Weber. « Resistance of almond cultivars to Plum pox virus (sharka) ». Plant Breeding 122, no 5 (octobre 2003) : 462–64. http://dx.doi.org/10.1046/j.1439-0523.2003.00872.x.

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L. Dondini, M. Adami, M. Guidarelli, F. Gaiotti, P. Negri, S. Tartarini, F. Palmisano et al. « STRATEGIES TO CONFER RESISTANCE TO SHARKA (PPV) IN APRICOT ». Acta Horticulturae, no 862 (mai 2010) : 477–82. http://dx.doi.org/10.17660/actahortic.2010.862.74.

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Smadja, Claude. « La maladie avant la maladie ». Revue française de psychosomatique 31, no 1 (2007) : 29. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.031.0029.

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Dalmat, Yann-Mickael. « Maladie de Farber, maladie pédiatrique ». Option/Bio 29, no 597-598 (mai 2019) : 7. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(19)30098-4.

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Campagna, R., A. Feydy, J. Malghem, F. Lecouvet, H. Guérini, X. Poittevin, J. L. Drapé et A. Chevrot. « Maladie hyperostosante (maladie de Forestier) ». EMC - Radiologie et imagerie médicale - Musculosquelettique - Neurologique - Maxillofaciale 1, no 2 (janvier 2006) : 1–15. http://dx.doi.org/10.1016/s1879-8551(06)70777-1.

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Rousset, H., et N. Fabien. « La maladie cœliaque : maladie d'avenir ? » La Revue de Médecine Interne 25, no 1 (janvier 2004) : 1–2. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2003.09.007.

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