Littérature scientifique sur le sujet « Nationalité – Yougoslavie »

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Articles de revues sur le sujet "Nationalité – Yougoslavie"

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Gossiaux, Jean-François. "La fin des Yougoslaves ou l’ethnicité toujours recommencée." Anthropologie et Sociétés 26, no. 1 (2003): 53–68. http://dx.doi.org/10.7202/000702ar.

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Résumé :
Résumé L’article tend à montrer comment les citoyens de Yougoslavie qui jouaient, notamment à travers la nomenclature utilisée dans les recensements, le jeu de la mixité, ont été les premières victimes du processus d’éclatement du pays, qui a rétabli la patrilinéarité comme unique principe d’identification collective. À travers l’échec de la conception austro-marxiste qui sous-tendait la Fédération yougoslave, c’est le concept même de nationalité, en tant que projection légitime de l’ethnicité, qui est mise en question par les redéfinitions spatiales et politiques de la péninsule balkanique et plus généralement de l’Europe centrale et orientale. Les diverses déclinaisons de la notion de minorité (« droit des minorités », « protection des minorités ») ne font qu’entériner dans le nouvel ordre mondial les apories du principe des nationalités.
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2

Canapa, Marie-Paule. "Crise des nationalités et crise du système politique en Yougoslavie." Revue d’études comparatives Est-Ouest 22, no. 3 (1991): 81–107. http://dx.doi.org/10.3406/receo.1991.1516.

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3

Mrdjen, Snjezana. "La mixité en ex-yougoslavie. Intégration ou ségrégation des nationalités ?" Revue d’études comparatives Est-Ouest 27, no. 3 (1996): 103–44. http://dx.doi.org/10.3406/receo.1996.2801.

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Soutou, Georges-Henri. "La France et le problème des nationalités pendant la guerre de 1914-1918: Le cas de la Serbie." Balcanica, no. 45 (2014): 369–98. http://dx.doi.org/10.2298/balc1445369s.

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Résumé :
Paris a suivi pendant la Premi?re guerre mondiale ? l??gard de la Serbie une politique beaucoup plus complexe qu?on ne le croit en g?n?ral. Bien s?r, on soutenait par principe la Serbie, victime de l?agression austro-allemande. En m?me temps, ? plusieurs reprises pendant le conflit des consid?rations d?opportunit? strat?giques ou diplomatiques d?termin?rent la position fran?aise bien plus que le soutien ? la Serbie. A la fin de la guerre, tout en acceptant le principe de la Yougoslavie, Paris essaya de tenir compte ?galement des ?quilibres r?gionaux des Balkans, en particulier en ?vitant de heurter frontalement l?Italie. Dans ces conditions, on comprend mieux les h?sitations de la politique officielle fran?aise ? l??gard de la Serbie, malgr? la sympathie g?n?rale que suscit?rent les Serbes par leur r?sistance h?ro?que.
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Gagnon, Rémy. "La désintégration yougoslave : un cadre fertile pour la théorie des dominos ?" Études internationales 25, no. 4 (2005): 763–79. http://dx.doi.org/10.7202/703389ar.

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Résumé :
Undoubtedly, one of the most critical crisis in the post-Cold War ex a, the Yugoslav conflict, due to its nationalist character, nurture the fear that a full scale Balkan War would result. In the very heart of Europe, it threated to spread, and then to slip away from the Occidental power's control. How to explain it, but specially how to prevent this diffusion ? The Domino Theory applied to the Yugoslav conflict proposes a model to answer these core questions. Based on a positive model of spatial diffusion, the analysis which follows investigates in depth the relationships between the « 1989 socialist break-up », the internal situation of Yugoslavia, and the spreading of the conflict. By so doing this analysis sheds light on the circomstantial causes and on the chaine of events which explain the origin of the conflict, as well as its expension. Starting with the postulate that the actions of state, within a given spatial and time framework, have a definite chance of influencing the actions of its neighboring states, we attribute an important mesure of responsibility to the collapse of USSR in the Yugoslav Conflict's release.
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Pavlovic, Vojislav. "Les buts de guerre alliés et leur soutien aux nationalités opprimées novembre 1917 - mai 1918." Balcanica, no. 42 (2011): 49–75. http://dx.doi.org/10.2298/balc1142049p.

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Résumé :
La d?faite italienne ? Caporetto et la r?volution bolchevique ont oblig?s les Alli?s ? modifier leurs buts de guerre, voire de tenter d?affaiblir le camp adverse par une paix s?par?e avec l?Autriche-Hongrie. Les Alli?es anglo-saxons notamment voulaient ainsi pr?venir la prolongation de la guerre, mais les diff?rents pourparlers avec les repr?sentants de la Double Monarchie n?ont pas aboutis car les Alli?s voulaient une paix s?par?e et l?empereur Charles une paix g?n?rale. La France ?tait r?solument contre toute solution autre celle qui se soldera par une d?faite de l?Allemagne et le retour de l?Alsace-Loraine au sein de la R?publique. C?est pourquoi le gouvernement Clemenceau voulait affaiblir le camp adverse en y provoquant des troubles int?rieures en apportant le soutien alli? aux nationalit?s vivant dans l?Autriche-Hongrie. Les revendications nationales des Tch?coslovaques, des Polonais, et jusqu?au certain point, m?me des Yougoslaves ont ?t? ? partir du mai 1918 officiellement reconnues.
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Fournier, Julie. "La crise yougoslave : la genèse du conflit et ses perspectives de paix dans l'après-Dayton." Études internationales 28, no. 3 (2005): 461–91. http://dx.doi.org/10.7202/703772ar.

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Résumé :
The present article compares the conditions that sparked the Yugoslav conflict and the prospects for peace following the signing of the Dayton Accords. Analysis suggests that the outbreak of nationalist hostilities in Yugoslavia should he explained through a combination of underlying and proximate factors. Just as the circumstances accompanying the collapse of communism were chiefly responsible for the eruption of violence, the immediate factors associated with the Dayton Accords and, more specifically, the attitude of the political elites will determine the likelihood of a lasting peace. Although the new context arising from Dayton seems to have had peace-promoting effects, the socio historical factors that helped to spark the hostilities are still active and are keeping alive the conflict-oriented motives of the local leaders. A resurgence of violence is thus possible.
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Rajakovic, Natacha. "L'anatomie d'une captation nationaliste : l'absence de mouvements de contestation en Yougoslavie." Cultures & conflits, no. 05 (May 21, 1992). http://dx.doi.org/10.4000/conflits.141.

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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Résumé :
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Volcic, Zala, and Mark Andrejevic. "That’s Me: Nationalism and Identity on Balkan Reality TV." Canadian Journal of Communication 34, no. 1 (2009). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2009v34n1a2113.

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Résumé :
Abstract: In this article, we consider the themes and reception of To Sam Ja (That’s Me), a Big Brother–style Balkan reality TV show filmed in Macedonia in 2004 and 2005 that featured several cast members from former Yugoslav republics living together. Drawing on examples taken from the production and reception of To Sam Ja, we explore the way in which the show manages political and economic conflicts by transposing them into the realm of the personal.Résumé : Dans cet article, nous considérons la réception de To Sam Ja (C’est moi), une émission de téléréalité réalisée en Macédoine en 2004 et 2005. À la manière de Big Brother et Loft Story, To Sam Ja met en vedette plusieurs représentants d’anciennes républiques yougoslaves vivant ensemble. En nous fondant sur des exemples provenant de la production et de la réception de To Sam Ja, nous explorons la manière dont cette émission gère les conflits politiques et économiques en les transposant dans le domaine personnel.
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Thèses sur le sujet "Nationalité – Yougoslavie"

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Hassid, Laurent. "Nation et État en Slovénie : la question de la citoyenneté." Paris 8, 2006. http://www.theses.fr/2006PA082615.

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Gatti, Luigi. "Idéologie et déconstruction de l'Etat : La Yougoslavie communiste : 1941-1991." Thesis, Bordeaux, 2017. http://www.theses.fr/2017BORD0790/document.

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Résumé :
La littérature scientifique associe communément l’idéologie à la construction d’un groupe, d’une société, d’un régime. Ici, il s’agit d’expliquer comment une idéologie, projetant de bâtir une Yougoslavie communiste et indépendante, cause la chute du régime et la dislocation de la fédération yougoslave. Un examen minutieux de la doctrine ainsi que de la pratique politique issues de l’idéologie yougoslaviste met en exergue les contradictions à l’origine de l’échec yougoslave. Reconsidérer l’autonomie des acteurs politiques et de leurs idées offre de rendre pleinement intelligible l’impasse du modèle yougoslave
In the scientific literature, ideology is traditionally studied in relation to the structuration of a group, a society, or a regime. This thesis aims to explain how an ideology, here dedicated to the building of an independent communist Yugoslavia, was on the contrary responsible for the breakdown of the regime and for the dislocation of the Yugoslav federation. A detailed study of the doctrine and political practice derived from the Yugoslavist ideology highlights the contradictions that were to lead to the failure of the Yugoslav model. To reconsider the autonomy of the political actors and their ideas enables to make fully intelligible the stalemate of the yugoslav model
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Paris, de Bollardiere Hervé. "Les Gens du bord : Pour une sociologie des pratiques soucieuse de l'histoire." Thesis, Lyon, 2019. http://www.theses.fr/2019LYSES024.

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Résumé :
Le propos de cette thèse, est de discuter les rapports entre les dynamiques de transformation sociale de communautés d’expérience et de subjectivation d’acteurs émergeant dans différentes circonstances et qui tentent d’infléchir leur contexte d’action. Comment l’action de l’acteur engagé dans un parcours de subjectivation à la rencontre de l’autre fait-elle retour sur son monde ou milieu, et aussi sur celui de l’autre ? Tout ici est question de frontières et de limites, d’histoire et de mémoire en acte. C’est à l’exploration du travail des gens du bord, passeurs de mémoire vives, de frontières matérielles et symboliques que se consacre cette thèse à partir des terrains et de situations variés.Trois types d’expérience à fort enjeux socio-historiques sont mis en intrigue : celle des générations héritières de l’immigration maghrébine des quartiers populaires; celle des militants anti-guerre dans l’ex-Yougoslavie ; celle des migrants rroms en France et celle d’un mouvement activiste rrom roumain. Plutôt qu’une approche comparative il s’agit ici d’opérer des décentrements en travaillant leur potentiel critique.La mise en récit des expériences explorées conjugue intrigue de la ville et intrigue de la transformation sociale. Le décentrement permet de revisiter les termes du rapport citadinité-citoyenneté-nationalité dans les différents terrains.C’est en empruntant à la fois à la sociologie urbaine et à une anthropologie du sujet d’inspiration herméneutique qu’est tentée ici l’expérience d’une sociologie des pratiques soucieuse de l’histoire, dont l’horizon serait de penser une écologie des pratiques et non pas seulement une écologie des groupes sociaux
This thesis discusses the relationship between the dynamics of social transformation of communities of experience and the dynamics of subjectivation in the course of militant, civic or urban action, of actors emerging in different circumstances, and who try to influence their context of action.How the action of the actor engaged in a process of subjectivation to the encounter of the other makes return to his world or environment, and also to that of the other? Everything here is about borders and limits, history and memory in action. This thesis explore the work of the “les gens du bord”, passers of bright memory, passers of material and symbolic borders, throught various field materials and situations.Three types of experience with high socio-historical stakes are intrigued: that of the generations heirs of North African immigration from lower-income neighborhoods; that of anti-war activists in the former Yugoslavia; that of Roma migrants in France and that of a Romanian Rumanian activist movement.Rather than a comparative approach, it is a matter of decentering by working on their critical potential.The narrative path of this research on each of the experiences explored combines intrigue of the city and intrigue of social transformation. The decentering makes it possible to revisit the terms of the citadinity-citizenship-nationality relationship in the various fields.It is by borrowing from both urban sociology and an anthropology of the subject inspired by hermeneutics that we attempt here the experience of a sociology of practices concerned with the history, whose horizon would be to think an ecology of practices and not only an ecology of social groups
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Mrden, Snjezana. "Structures démographiques, nationalités et territoires en ex-Yougoslavie (1945-1990)." Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0031.

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Markovic, Sacha. "Les intellectuels marxistes humanistes de Serbie entre socialisme et nationalisme : aux origines intellectuelles et culturelles des transitions yougoslaves, des années 1920 aux années 1970." Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100104.

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Résumé :
À la fin des années 1980, le processus de désintégration de la Yougoslavie, déjà très avancé, apparaît au grand jour et annonce un très probable emballement violent. Il réserve aussi quelques surprises apparentes : la présence, aux côtés de Slobodan Milošević, d’intellectuels marxistes serbes qui ont compté, dans les années 1960-1970, parmi les plus grandes figures du communisme yougoslave, comme Ljubomir Tadić, Mihailo Marković ou Svetozar Stojanović. À première vue, cette évolution s’inscrit dans les bouleversements généraux connus par l’ensemble de l’Europe de l’Est, dans la phase de transition qui a commencé avant l’effondrement des régimes communistes et s’est poursuivie dans une période dite « post-communiste ». L’éclatement de la Yougoslavie, comme les « mutations idéologiques » individuelles, apparaissent de prime abord comme le résultat d’un processus de transition à la fois territoriale, politique et socio-économique, somme toute commun à l’ensemble de l’« autre Europe ». Les élites serbes n’auraient ainsi connu qu’un processus de « conversion » au « libéralisme » et le pays des transformations socio-économiques générées par l’effondrement du « système titiste ». Les singularités de l’expérience autogestionnaire yougoslave nous invitent, toutefois, à interroger le passé d’un pays qui a connu de nombreuses transitions politiques et socio-économiques, bien avant celle des années 1980-1990, susceptibles d’expliquer l’émergence d’un nationalisme exclusif dont la source se situe en fait plus en amont. Cette thèse se propose d’analyser les origines intellectuelles et culturelles des ultimes divisions yougoslaves, en étudiant l’évolution politique d’un groupe qui raconte la Yougoslavie de Tito : les marxistes humanistes de l’Université de Belgrade, depuis la naissance de la sensibilité humaniste dans les années 1920, parmi les hommes de lettres, jusqu’à la purge des milieux universitaires belgradois, conduite dans les années 1970 par le régime titiste. Cette plongée dans le passé communiste des Yougoslaves révèle que ni la Seconde Guerre mondiale ni l’effondrement du communisme à l’Est ne sont les seules matrices historiques de la montée des nationalismes en Yougoslavie
At the end of the eighties, Yugoslavia is already quite far ahead with its desintegration process. This latter comes to light and forecasts a probable flight of violence. It also has in store many outward surprises as the presence of learned serbian marxist intellectuals by the side of Slobodan Milošević. Ljubomir Tadić, Mihailo Marković or Svetozar Stojanović, for instance, were among the more eminent figures of the yugoslav communism in the sixties and seventies. At first sight, this evolution takes place in the general upheavals that break out in Eastern Europe, during the liberal transition on the occasion of the communist collapse. The yugoslav decomposition and the individual mutations seem to be the result of a global transition process, territorial, political and socioeconomic at once, that takes the whole “Other Europe” at a glance. Thus, the serbian elites would just have experience a process of “conversion” to “liberalism” and the country would have been subjected to structural transformations because of the Tito’s regime collapse. However, the uncommon nature of the yugoslav self-management experience induces us to question the past of a country which went through many political and socioeconomic transitions, a good while before the eighties ones. These last-mentioned are able to explain the emergence of an exclusive nationalism, which has its source upstream from the eighties. This doctoral thesis intends to analyse the intellectual and cultural origins of the final yugoslav divisions by studiing the political evolution of a group which tells the Tito’s Yugoslavia: the humanist marxists of the University of Belgrade, from the birth of the humanist sensibility in the twenties, among writers, to the purge of the intellectual cercles of Belgrade in the seventies by the titist regime. This diving in the communist past of Yugoslavs reveals that neither the World War II nor the eastern communism collapse are the only historical matrix of the rise of nationalisms in Yugoslavia
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Trégourès, Loïc. "Jeu en triangle : Football, politique et identités dans l'espace post-yougoslave des années 1980 à nos jours." Thesis, Lille 2, 2017. http://www.theses.fr/2017LIL20003/document.

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Résumé :
La transformation de supporters de football serbes, bosniaques et croates en soldats dès 1991, la présence de supporters en première ligne contre la police dans la chute du régime de Milošević et dans l’opposition au président croate Franjo Tuđman, la mobilisation violente de supporters contre la tenue de gay pride, la prise d’assaut de l’ambassade des Etats-Unis à Belgrade, sont autant de faits qui s’inscrivent au croisement du football par les acteurs en jeu, du politique par la portée de leurs actes, et de l’identitaire comme fondement légitimateur à agir. C’est donc à partir de ces faits politiques que la question des interactions entre les mondes du football et le monde politique tire sa légitimité. Il s’agit alors de décrypter ces interactions, aussi bien dans le temps depuis la fin de la Yougoslavie communiste jusqu’à nos jours, que de façon comparée entre les différents pays issus de la Yougoslavie. Ce faisant, loin de la futilité dont on l’affuble, il faut prendre le football au sérieux aussi bien dans son rôle de fenêtre d’observation que dans celui d’agent politique de changement. Ce faisant, c’est à travers le football mais surtout par le football que l’on peut produire une analyse politique transversale de l’espace post-yougoslave, que ce soit sur le phénomène de politisation par le bas, sur la persistance du paradigme ethno-nationaliste, sur le caractère très discutable de l’idée de rupture entre l’avant et l’après 2000, ainsi que sur la persistance de pratiques politiques autoritaires dans l’ensemble de la région indépendamment du processus d’intégration européenne
Football fans from Croatia, Bosnia and Serbia started turning into soldiers from 1991. Football fans were on the frontline against police during Milosevic’s fall as well as in the opposition to Croatian president Tudjman. Football fans were able to mobilize in huge numbers with extreme violence against gay pride parades. Football fans assaulted and set the US embassy in Belgrade on fire in 2008. These facts are at the crossroads between football through the actors at stake, politics through their aims and meanings, and identity regarding the founding ideas upon which they rely. It is therefore throughout those facts that interactions between the football world and the political world are a legitimate question to raise. It shall be dealt with not only by taking into account a broad period from the end of communist Yugoslavia to nowadays, but also in a comparative approach between the different states born from Yugoslavia’s collapse. Thus, far from being a futile occupation and an illegitimate social science object, it is necessary to take football seriously regarding the two roles it plays, first as an observation window, second as a political agent of change. Therefore, not only through football but also by football will it be possible to draw a transversal political analysis, be it on the politicisation process from the bottom, on the persistence of an ethno-nationalist paradigm, on whether 2000 can be deemed a deep break in the period from 1991 to nowadays, and on authoritarian practices in the region regardless of the European integration process
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Hernandez, Gonzalez Andrès Felipe. "Intellectuels et élites politiques : facteurs entropiques de la crise yougoslave : archives du Quai d'Orsay et témoignages sur un processus de longue durée (1966 - 1991)." Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0127.

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Résumé :
Après 1966, l’inefficacité du système économique, politique et idéologique de la Fédération yougoslave amène la population à vivre une profonde crise morale, visible dans l’effondrement des idéaux titistes et dans l’incapacité des élites politiques à reconnaître leur échec dans la gestion de la société. Les dirigeants du système autogestionnaire ont toujours cru que les différents peuples qui composaient le pays pouvaient vivre en harmonie grâce à l’unité idéologique et au Parti. Pourtant, ces deux éléments sont plongés dans une crise profonde après la mort de Tito. À partir de 1980, les élites politiques et l’intelligentsia yougoslave jouent un rôle fondamental dans le processus de décomposition du pays, qui s’accélère avec l’explosion des conflits nationalistes, la disparition de la guerre froide et l’instauration de la nouvelle ère globale
After 1966, the inefficiency of the economic, political and ideological system of the Yugoslav Federation brought the population to a deep moral crisis. This is visible in the collapse of the Tito’s ideals and in the inability of the political elites to recognize their failure in the management of the society. The leaders of the self-management system had always believed that the various people who made up the country could live in harmony thanks to ideological unity and Communist Party. However, these two elements were plunged into a deep crisis after the death of Tito. Beginning in 1980, the political elites and the Yugoslav intelligentsia played a fundamental role in the country’s decomposition process, which accelerated with the explosion of nationalist conflicts, the disappearance of the Cold War and the establishment of the new global era
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Vučić, Momcilo. "Les élèves de nationalité yougoslave dans l'enseignement français : contribution de la fréquentation des "cours de langue et culture d'origine" à la réussite scolaire en France (niveaux élémentaire et collège) : bases méthodologiques de l'analyse quantitative." Paris 5, 1992. http://www.theses.fr/1992PA05H023.

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Résumé :
Le champ de recherche comprend la ville de Paris et la Seine-Saint-Denis : deux départements ou la concentration des élèves yougoslaves est la plus forte et peu étudiée jusqu'à présent. Le temps de recherche est en 1988-1989 et les disciplines étudiées : le français, les mathématiques, le comportement au travail, la conduite et le retard scolaire. Techniques employées sont : l'enquête (le questionnaire) sur la réussite scolaire des élèves yougoslaves ; l'interview des chefs d'établissements scolaires; les opinions des autorités scolaires yougoslaves auprès de l'ambassade et le questionnaire destiné aux élèves. Méthodes utilisées : statistique et comparative. L'échantillon est représentatif et atteint 30% de la population scolaire totale étudiée et il se compose des deux sous-échantillons (groupe A: les élèves qui fréquentent l'enseignement en langue maternelle et groupe B: qui ne le fréquentent pas). L’hypothèse vise sur la non-nuisance de cet enseignement par rapport à la réussite dans l'enseignement français. De plus, sa contribution est bénéfique puisque dans toutes les disciplines étudiées les élèves du groupe a montrent de meilleurs résultats que les élèves du groupe B. Etant donné que cette étude a le caractère d'une analyse quantitative, de nombreux tableaux et graphiques y sont présents
Studies include the town of Paris and the department of Seine-Saint-Denis, two regions where the concentration of Yugoslav pupils is the highest and not studied until today. The time of research was the school year 1988-1989 and the studied fields are: French language, mathematics, attitude at work, behaviors and the school retardation. The techniques used are: a study (questionnaire) on scholar cuscess of Yugoslav children; the interview of directors of school, the opinion of Yugoslavian school authorities from the embassy and a list of questions to pupils themselves. The used methods: statistical and comparative and raise to 30% of the whole school population studied and it's composed of two sub-samples (group a: the pupils who attend to studies in native tongue and group b: those who don't attend). The hypothesis tend to demonstrate the non-nuisance of this teaching with regard to the success in French studies. More, its contribution is benefic since in all fields studied, the pupils from group a have shown better results than pupils from group B, in regard of this study's aspect of quantitative analysis, numerous tables and graphs are included
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Ragazzi, Francesco. "When governments say "diaspora" : transnational practices of citizenship, nationalism and sovereignty in Croatia and former Yugoslavia." Paris, Institut d'études politiques, 2010. http://www.theses.fr/2010IEPP0025.

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Résumé :
Un certain nombre d’acteurs non-étatiques sont en compétition pour le monopole de la représentation de « leur » diaspora : associations de migrants, organisations de minorités, lobbies etc. De plus en plus de gouvernements des pays d’origine sont, eux aussi, engagés dans cette compétition pour définir et gouverner « leurs » populations à l’étranger. Mais comment expliquer des pratiques transnationales de souveraineté visant des populations situées précisément en dehors des frontières territoriales qui légitiment cette souveraineté ? La thèse développée ici est que la notion de « diaspora » doit être comprise comme un « speech act », un énoncé performatif qui permet de justifier des pratiques politiques transnationales qui ne le pourraient être autrement. L’étude empirique de la thèse porte sur l’Ex-Yougoslavie et la Croatie contemporaine. La première partie de la thèse aborde l’émergence des différentes catégories de populations Croates à l’étranger, et l’évolution différentiée de pratiques de pouvoir transnationales pour les gouverner. Dans la seconde partie, la thèse explore comment, dans les années 1990, la fusion des pratiques discursives et bureaucratiques dans la catégorie de « diaspora » a permis de justifier 1) la mobilisation des ressources politiques, économiques et humanitaires des groupes diasporiques durant le conflit de 1991-1995, 2) la recomposition de l’équilibre ethnique Serbe/Croate au travers de la d’une définition post-territoriale de la citoyenneté, ainsi que des tactiques électorales lies au vote et à la représentation de la « diaspora » au parlement 3) l’annexion déterritorialisée de parties de la Bosnie-Herzégovine dans les années post-Dayton
A wide range of non-state actors are in competition to monopolize the discourse of diaspora: migrant association leaders, minority organisations, lobbies etc. But the efficiency of the diaspora discourse is also increasingly harnessed by governments. Yet what does it mean, for governments, to formulate claims of sovereignty over populations who reside precisely outside the very borders that legitimate them? The argument developed in this dissertation is that “diaspora” is as a ‘speech act’, a performative utterance which enables transnational political practices that could otherwise not be justified in a normative structure of world politics dominated by the imperatives of territorial sovereignty. The empirical analysis of the dissertation focuses on former Yugoslavia and contemporary Croatia. A first part of the dissertation focuses on the heterogeneous categorizations of Croatian populations abroad and the evolution of differentiated transnational practices of power to reach out to thee populations. In the second part of the thesis, the dissertation explores how, in the nineties, the merging of bureaucratic categories and state practices into the category of ‘diaspora’ has been instrumental in justifying 1) the homeland’s tapping into the diasporic groups’ political, economic and humanitarian resources for the 1991-1995 war 2) the reshuffling of the ethnic Croatian/Serb composition of the citizenry through diaspora citizenship, and the tactical electoral strategies through diaspora voting rights and representation in the parliament and 3) the de facto deterritorial annexation of parts of neighbouring Bosnia-Herzegovina
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Culaj, Gjon. "La création d’une nouvelle nation au XXIème siècle : l’exemple du Kosovo de 1974 à 2008, au lendemain de l’éclatement de la Yougoslavie." Thesis, Paris 2, 2015. http://www.theses.fr/2015PA020074.

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Résumé :
Nombreux sont ceux qui pensent que la dissolution de la Yougoslavie commence et finit au Kosovo. Il s’agit d’une suite logique de l’éclatement yougoslave une fédération fragile composée des différentes nationalités. Province autonome sous l’ère de Tito de 1974 - 1989, le Kosovo avait des prérogatives similaires à une république. Le régime de Milosevic supprima cette autonomie déclenchant ainsi des violences et des tensions. Face aux incessantes violations de leurs droits fondamentaux, les Albanais du Kosovo ont d’abord opté pour une résistance pacifique, toutes en boycottant les institutions serbes et yougoslaves. Ils ont réussi à crée une véritable société parallèle, une sorte d’Etat dans l’Etat. Les guerres yougoslaves ont initié la création des nouveaux Etats, il s’agit d’un processus de redéfinition des identités nationales de l’ex-Yougoslavie qui met en relation plusieurs conceptions de la nation et de la citoyenneté. Il y a de bonnes raisons de penser que la naissance d’un Etat du Kosovo peut amener la création d’une nouvelle Nation, cependant la création de cette nation suppose une conscience partagée et des circonstances politiques favorables. L’objectif de cette recherche était d’argumenter les causes de l’effondrement violent de l’ex-Yougoslavie et de tirer les enseignements d’une accession mouvementée et parfois tragique du Kosovo à l’indépendance et consistait aussi à analyser les difficultés, pour une société composite et fragmentée, d’accéder au XXIème siècle à la souveraineté nationale. Il ressort de cette thèse que la cause principale de l’effondrement violent de l’ancienne Yougoslavie était le programme national serbe qui cherchait à créer la Grande Serbie et que l’indépendance du Kosovo, au lendemain de la désintégration yougoslave, était la seule solution possible qui pouvait assurer la paix et la stabilité dans la région
Many people believe that the dissolution of Yugoslavia begins and ends in Kosovo. This is a logical continuation of the Yugoslav breakup a fragile federation composed of various nationalities. Autonomous province under the Tito’s era of 1974 - 1989, Kosovo had similar powers to a republic. Milosevic 's regime abolished Kosovo’s autonomy triggering violence and tensions. Faced with constant violations of their human rights, Kosovo Albanians opted for a peaceful resistance, all by boycotting Serbian and Yugoslav institutions. They managed to create a real parallel society, a kind of State in the State. The Yugoslav wars initiated the creation of new States, it is a process of redefining of the national identities of the former Yugoslavia which connects several conceptions of nation and citizenship. There are good reasons to belive that the birth of Kosovo State can cause the creation of a new nation, however, the creation of this nation requires a shared awareness and favorable political circumstances. This thesis aims to argue the causes of the violent collapse of the former Yugoslavia and to learn of a turbulent and sometimes tragic accession of Kosovo to independence and also to analyze the challenge and difficulties for a composite and fragmented society, to access in the 21st century to national sovereignty. This research showed that the main cause of the violent collapse of the former Yugoslavia was the Serbian national program that sought to create a Greater Serbia and that Kosovo's independence after the disintegration of Yougoslavia was the only possible solution that could ensure peace and stability in the region
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Livres sur le sujet "Nationalité – Yougoslavie"

1

Kubli, Olivier Ladislav. Du nationalisme yougoslave aux nationalismes post-yougoslaves. L'Harmattan, 1998.

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2

Bianchini, S. La question yougoslave. Casterman, 1996.

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3

Lutard-Tavard, Catherine. La Yougoslavie de Tito écartelée: 1945-1991. L'Harmattan, 2005.

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4

Lutard-Tavard, Catherine. La Yougoslavie de Tito écartelée: 1945-1991. Harmattan, 2005.

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5

Yougoslavie, un pari impossible?: La question nationale dans la République Fédérative Socialiste Yougoslave vue par les diplomates et experts français de 1944 à 1960. L'Harmattan, 1998.

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6

La déchirure yougoslave: Questions pour l'Europe. L'Harmattan, 1994.

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7

Baudson, Gérard. L' Europe des fous, ou, La destruction de la Yougoslavie. Editions Club privé des Communautés européennes, 1993.

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8

Kullashi, Muhamedin. Humanisme et haine: Les intellectuels et le nationalisme en ex-Yougoslavie. L'Harmattan, 1998.

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9

Dérens, Jean-Arnault. Balkans--la crise. Gallimard, 2000.

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10

La Croatie depuis l'effondrement de la Yougoslavie: L'opposition-nationaliste. L'Harmattan, 1994.

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