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1

Larin, Robert. « Note de recherche. La reproduction nobiliaire dans la lignée de René Gédéon Potier de Pommeroy, du 17e au 19e siècle. Étude généalogique ». Revue d’histoire de l’Amérique française 75, no 3 (8 septembre 2022) : 69–89. http://dx.doi.org/10.7202/1092171ar.

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Résumé :
Cette note de recherche remet en question l’idée que les nobles canadiens furent mal reçus en France après la conquête de 1760 et qu’ils peinèrent à s’insérer dans la société métropolitaine de la fin du 18e siècle. René Gédéon Potier de Pommeroy (1730-1822) y poursuit en effet sa carrière militaire et fait un beau remariage qui assure la fortune de sa descendance au sein de la noblesse sur au moins trois générations. Le texte aborde entre autres la lente intégration dans la noblesse française de familles venues des colonies, de faible notoriété et de noblesse douteuse ; l’insertion de nobles d’Ancien Régime dans les nouvelles élites du 19e siècle ; et la stratégie de l’homopatronymie pour obtenir l’appui d’un protecteur de haute noblesse.
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2

Martin, Michel-Louis. « Les relations entre politiques et militaires en France de l’Ancien Régime à nos jours ». Tocqueville Review 17, no 1 (janvier 1996) : 107–34. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.17.1.107.

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Résumé :
Dans tout système social, la tension entre d’une part les managers de la violence année, qui à ce titre participent de l’essence étatique, et d’autre part les autorités politiques responsables de l’administration de l’Etat, est presque toujours accentuée par l’évolution contrastée des valeurs dont procèdent la société et le corps militaire. Rarement synchiones en effet, ces normes ainsi que les comportements et les solidarités qu’elles induisent, apparaissent du côte des armes en avance ou bien en retard par rapport à l’ensemble social parent. La France n’échappe pas à cette tendance quand elle n’en est pas l’illustration meme, où de manière continue, les forces armées ont servi de refuge aux tenants de principes plus ou moins en opposition aux pouvoirs publics et à la société. Ainsi, par exemple, les troupes royales sous I’Ancicn Régime passent-elles pour le lieu d’accueil privilégié d’une noblesse souvent nostalgique du moyen-âge et des modes féodaux d’organisation sociale. Sans imaginer remettre en cause la légitimité capétienne, elles se démarquaient cependant plus ou moins consciemment de l’effort de construction de l’Etat moderne entrepris par la monarchie. Au contraire, à la suite de la Révolution et pendant la première moitié du XIXe siècle, l’armcc est considérée sous l’Empire et plus encore sous la Restauration et la Monarchie de Juillet comme regrettant confusément les principes républicains avec d’ailleurs les possibilités de promotions rapides qu’ils impliquaient : le souci de la police de surveiller les officiers comme autant de conspirateurs potentiels montre qu’à l’époque ils faisaient figure de menace pour l’ordre établi. Par un revirement caractéristique, l’institution militaire s’affirme et se perçoit sous le Second Empire et la Troisième République comme plus conservatrice, refuge pour des officiers d’origine aristocratique ou se prétendant tels, qui y voient une façon de servir la France sans se compromettre avec le régime politique. Après la Seconde Guerre mondiale, cl avec l’avènement progressif d’un assez large consensus dans la société française autour de quelques valeurs politiques, économiques et sociales, le rôle de l’armée comme site d’opposition au nom d’idées autrefois en honneur et désormais contestées, s’atténue. Elle n’en demeure pas moins un espace où un certain nombre de principes tels que la défense de la nation et l’esprit de sacrifice, se trouvent préserves.
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3

Franc, Claude. « Histoire militaire ». Revue Défense Nationale N° 863, no 8 (10 octobre 2023) : 110–14. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.863.0110.

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Résumé :
Le retrait de la France de la structure militaire de l’Otan ne doit pas être réduit à une mésentente entre le général de Gaulle et Washington. Il s’agit davantage d’une question majeure autour de la notion de souveraineté et de la mise en œuvre de notre dissuasion nucléaire, devenue une réalité à partir de 1964.
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4

Le Moine, Roger. « Considérations sur la noblesse canadienne ». Les Cahiers des dix, no 54 (30 octobre 2012) : 45–59. http://dx.doi.org/10.7202/1012969ar.

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Résumé :
L’article traite de l’aspect juridique de la noblesse coloniale canadienne en Nouvelle-France. À partir du XVIe siècle, la noblesse en France n’est plus liée à la possession de terres. En Nouvelle-France, les anoblis sont seigneurs, mais sans qu’il y ait en lien entre les états. Les motifs qui poussent le roi à anoblir relèvent du mérite, du développement des terres, de l’économie, de l’expansion territoriale et du service militaire. L’article aborde aussi les questions de la transmission des titres, de la dérogeance et des privilèges, ainsi que de la condition économique des la classe noble, son attitude après 1760 et son destin en Amérique.
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5

David, Christophe. « Histoire des Lois de programmation militaire (LPM) ». Revue Défense Nationale N° Hors-série, HS13 (20 septembre 2023) : 191–208. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.hs13.0191.

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Résumé :
Protéger la France, c’est planifier dans l’incertitude, car l’environnement international est mouvant, les risques évoluent, les finances de l’État aussi. Ainsi, dresser l’histoire des LPM sous la Ve République conduit inévitablement à s’interroger sur leur utilité, la comparaison entre la programmation et l’exécution montrant qu’elles ont rarement été respectées. L’auteur propose une synthèse pédagogique et chronologique, en suivant trois macrocycles, qui illustrent l’acceptabilité politico-sociale de l’effort de défense, lui-même lié au contexte international et économique du pays : la priorité donnée au nucléaire, les dividendes de la paix, les attentats en France et le retour de la guerre en Europe. Il conclut par des propositions pour l’avenir.
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Franc, Claude. « Histoire militaire – Septembre 1939, la France oublie août 1914 ». Revue Défense Nationale N° 826, no 1 (1 janvier 2020) : 121–23. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.826.0121.

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7

Baxter, Douglas Clark, Philippe Contamine, Andre Corvisier et Jean Delmas. « Histoire Militaire de la France. Volume 1, Des Origines a 1715. » American Historical Review 98, no 2 (avril 1993) : 501. http://dx.doi.org/10.2307/2166894.

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8

Ross, Steven T., et Guy Pedroncini. « Histoire Militaire de la France. Volume 3, De 1871 a 1940. » American Historical Review 99, no 3 (juin 1994) : 914. http://dx.doi.org/10.2307/2167843.

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9

Lynn, John A., et Philippe Contamine. « Histoire Militaire de la France. Vol. 1. Des origines a 1715. » Journal of Military History 56, no 4 (octobre 1992) : 686. http://dx.doi.org/10.2307/1986169.

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10

Porch, Douglas, et Guy Pedroncini. « Histoire Militaire de La France, Volume III, De 1871 a 1940. » Journal of Military History 57, no 3 (juillet 1993) : 559. http://dx.doi.org/10.2307/2944007.

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Connelly, Owen, Jean Delmas et Andre Corvisier. « Histoire Militaire de la France. Volume 2 : De 1715 a 1871. » Journal of Military History 57, no 1 (janvier 1993) : 150. http://dx.doi.org/10.2307/2944240.

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Doughty, Robert A., et Andre Martel. « Histoire militaire de la France, volume 4, De 1940 a nos jours. » Journal of Military History 59, no 1 (janvier 1995) : 175. http://dx.doi.org/10.2307/2944394.

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Bruyères-Ostells, Walter. « Armées françaises et crises récentes du Moyen-Orient : une histoire qui reste à écrire ». Revue Défense Nationale N° 869, no 4 (15 avril 2024) : 19–22. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.869.0019.

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Résumé :
La reconfiguration du Moyen-Orient est une réalité constante avec une implication historique de la France comme acteur diplomatique et militaire. D’où le besoin de comprendre l’histoire « compliquée » de la région pour en tirer les leçons encore nécessaires aujourd’hui. C’est la proposition de ce dossier pour éclairer cette compréhension d’un passé récent encore prégnant.
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Duclert, Vincent. « L'affaire Dreyfus et le tournant critique (note critique) ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no 3 (juin 1995) : 563–78. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279385.

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Résumé :
La recherche scientifique a généralement occulté la dimension militaire de l'affaire Dreyfus et l'impact d'un tel événement sur les structures profondes de la nation et de l'État. Cette double lacune a formé le contexte de deux ouvrages parus dès le mois de janvier 1994, au seuil de la première année du centenaire de l'Affaire. Un secret bien gardé de Jean Doise a d'emblée inscrit cet anniversaire dans une perspective antihistorienne. Il est pourtant publié dans une collection d'innovation et son sous-titre (Histoire militaire de l'affaire Dreyfus) introduit une donnée essentielle pour comprendre l'événement. La France de l'affaire Dreyfus dirigé par Pierre Birnbaum affiche quant à lui une ambition scientifique capable de renouveler les approches de l'Affaire.
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Horowski, Leonhard. « Useful Ink-Shitters and Decorative Excellencies : The Difficult Relationship Between Ministers of State and Courtiers in Brandenburg-Prussia and France, c. 1650–1800 ». European History Quarterly 53, no 3 (juillet 2023) : 407–26. http://dx.doi.org/10.1177/02656914231181294.

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Résumé :
The notion that early modern ministers of state were useful functionaries and thus the very opposite of ridiculously parasitic courtiers is something traditional historians of ancien régime France and Brandenburg-Prussia could have agreed on, even though these states were otherwise assumed to have been polar opposites. Once new research had shown that both groups were in fact part of the same system of power and status in both states, simply reversing the judgement became as tempting as it would be misleading. It is true that both France and Brandenburg-Prussia developed what one may only semi-facetiously call relatively absolutist systems, and that both states set out to do so with an elite clearly divided into an old chivalric and a new judicial nobility. Yet their subsequent trajectories not only provide us with two interesting variations on the theme of elite integration; more importantly, this article argues that a closer look at these processes will disprove the currently dominant interpretations of both cases. In France, co-operation, social mobility and (decreasing) intermarriage between noblesse d’épée and noblesse de robe, far from proving their alleged fusion, were in fact the necessary consequences of what remained a sharp functional differentiation right up to 1789. Instead, it was Prussia which saw an actual fusion of both groups into a social elite that was not only much more court-orientated than hitherto assumed, but also (and somewhat ironically) both less military and less socially open than its French counterpart.
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Forrest, Alan. « Histoire militaire de la France. Volume 2 : De 1715 à 1871. Jean Delmas ». Journal of Modern History 67, no 2 (juin 1995) : 442–43. http://dx.doi.org/10.1086/245130.

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Blaufarb, Rafe. « Vers une histoire de l’exemption fiscale nobiliaire ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 60, no 6 (décembre 2005) : 1203–28. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900020801.

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Résumé :
RésuméAu coeur du système fiscal absolutiste se trouve l’exemption nobiliaire d’impôts, une institution dont l’importance est si généralement reconnue qu’elle en est trop souvent tenue pour acquise. Pourtant, cette exemption a une histoire. C’était une construction juridique contestée, soumise à des fluctuations constantes, ainsi qu’un objet de conflits qui reflétait la relation dynamique entre la couronne, la noblesse et le tiers état. Cet article analyse l’histoire conflictuelle de cette institution en Provence des années 1530 à la Révolution. L’exemple provençal suggère quelques points à réviser parmi les interprétations les plus généralement admises de l’absolutisme. En premier lieu, on y trouve des preuves que la monarchie n’a pas forcément cherché à régner par l’entremise des nobles locaux. Il remet aussi en question l’idée que l’administration absolutiste voulait vaincre la résistance des intermédiaires traditionnels afin de pénétrer plus profondément la France provinciale. Il permet d’envisager que, en semant la discorde entre les élites provinciales, les exigences fiscales royales créèrent – involontairement – une pléthore de disputes internes, qui sapa la cohésion provinciale et poussa les élites régionales divisées à réclamer l’arbitrage de la monarchie.
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Lignereux, Yann. « Une mission périlleuse ou le péril colonial jésuite dans la France de Louis XIV : Sainte-Marie des Iroquois (1649-1665) ». Revue d’histoire de l’Amérique française 69, no 4 (2 juin 2016) : 5–26. http://dx.doi.org/10.7202/1036512ar.

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Résumé :
L’importance de la mission jésuite d’Onondaga (ou de Gannentaha) excède largement sa seule réalité chronologique (mai 1656 – avril 1658). Succédant aux missions en Huronie et à sa dispersion, Sainte-Marie des Iroquois met en évidence les impasses de la diplomatie française et la faiblesse de la colonie du Saint-Laurent face au dynamisme politico-militaire des cantons iroquois. La mission doit répondre à des attentes diverses et d’un bout à l’autre de son histoire, elle n’est qu’un objet relatif soumis aux aléas et aux tribulations d’une histoire dont les Français ne sont jamais les maîtres. Cet échec humiliant est l’occasion d’un ressaisissement par Louis XIV de l’oeuvre coloniale américaine et du basculement dans l’âge impérial de la colonie canadienne.
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Chaline, Jean-Pierre. « Éric Mension-Rigau. Singulière noblesse. L’héritage nobiliaire dans la France contemporaine . Fayard Histoire, 2015, 377 p. » Histoire, économie & ; société 34e année, no 4 (18 décembre 2015) : V. http://dx.doi.org/10.3917/hes.154.0123e.

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Fortescue, W. « Shorter notice. Nouvelle histoire militaire de la France, 1789-1919. W Serman, J-P Bertaud ». English Historical Review 115, no 462 (juin 2000) : 747–48. http://dx.doi.org/10.1093/enghis/115.462.747.

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Fortescue, W. « Shorter notice. Nouvelle histoire militaire de la France, 1789-1919. W Serman, J-P Bertaud ». English Historical Review 115, no 462 (1 juin 2000) : 747–48. http://dx.doi.org/10.1093/ehr/115.462.747.

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Shimooka, Erina. « Les négociations de la convention franco-ryūkyū : micro-histoire d’une relation diplomatique ». Ebisu 61 (2024) : 359–86. https://doi.org/10.4000/1313w.

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Résumé :
La convention franco-ryūkyū a été conclue le 24 novembre 1855. Elle a été signée après six négociations officielles et deux entrevues non officielles entre le représentant français, Nicolas François Guérin, et des fonctionnaires aux postes fictifs du royaume. Ayant été conclue à la suite de la manifestation militaire, cette convention est considérée comme un traité inégal. Toutefois, le royaume des Ryūkyū avait obtenu une concession sur le contenu de la convention, la « diplomatie de la canonnière » française n’a pas eu beaucoup d’effet. Tout au long des pourparlers, la France et le royaume des Ryūkyū ont tous les deux utilisé leurs stratégies diplomatiques à la fois pour tenter de faire avancer les négociations en leur faveur et pour trouver un compromis.
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Chassaigne, Philippe. « L’Angleterre, ennemie héréditaire ? » Revue Historique des Armées 264, no 3 (1 août 2011) : 3–10. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0003.

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Résumé :
L'idée d'une Angleterre, ennemie héréditaire de la France, passerait presque pour une vérité d’évidence. De fait, la liste des affrontements, ouverts ou feutrés, entre les deux pays est bien connue. Anglophobie et francophobie ont, tour à tour, servi à cristalliser les identités nationales. Pourtant, il convient de ne pas oublier que chaque pays a connu d’autres « ennemis héréditaires » au cours de son histoire : les Espagnols pour les Britanniques, les Habsbourg et les Allemands pour les Français. Surtout, les évolutions récentes (depuis la fin du XX e siècle) attestent d'une coopération militaire renforcée, les deux pays devenant le moteur de la politique européenne de sécurité et de défense.
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Ageron, Charles-Robert. « Le « drame des Harkis » : mémoire ou histoire ? » Vingtième Siècle. Revue d'histoire 68, no 4 (1 octobre 2000) : 3–16. http://dx.doi.org/10.3917/ving.p2000.68n1.0003.

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Résumé :
Résumé Reprenant le dossier des dernières années de la question harkie pendant la guerre d'Algérie et dans l'immédiat après-guerre, C.-R. Ageron tente de démêler les positions des différents acteurs du « drame » : pouvoir politique et militaire français, autorités et populations algériennes ainsi que les harkis eux-mêmes et l'ANP. Il met en avant les violences dont ces anciens supplétifs de l'armée française furent victimes entre 1962 et 1963 et l'indifférence, voire la complaisance, des autorités algériennes à l'égard des responsables de ces représailles. L'attitude des hommes politiques français, âpre-ment critiquée par certaines fractions de l'opinion à l'époque, ne fut pas exempte d'ambiguïtés. Tandis que la controverse sur le nombre de harkis exécutés commençait à enfler, le sort des anciens supplétifs devint un sujet de discussions entre la France et l'Algérie et, à partir de l'été 1962, le gouvernement français tenta d'obtenir des assurances. En vain. L'armée encore présente sur le territoire algérien s'efforça alors de protéger ses anciens soldats et leurs familles sans toujours parvenir à les rapatrier. C'est en 1970 seulement que la question diplomatique fut réglée laissant ouverte une guerre des mémoires que l'historien a voulu, ici, apaiser.
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Massat, Arnaud. « Le Parlement et la Marine en France, 1871-1914. Une histoire politique de la marine militaire ». Revue Historique des Armées N° 315, no 4 (3 avril 2024) : 138–39. https://doi.org/10.3917/rha.315.0138.

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Laliberté, Annie. « Le silence du figurant de sa propre histoire ». Au plus près. Silences, fractures, liens 32 (19 février 2009) : 55–63. http://dx.doi.org/10.7202/000206ar.

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Résumé :
Résumé Une abondante cinématographie est née des cendres du génocide rwandais de 1994. En juin 2007, le cinéaste français Alain Tasma et son équipe ont parcouru le Rwanda dans le but de tourner un film sur l’Opération Turquoise, une action militaire organisée par la France vers la fin du génocide rwandais. L’équipe s’est arrêtée dans la ville de Butare, province très touché par les massacres : elle y a recruté des figurants parmi les Rwandais présents au moment du drame de 1994 et a procédé à une reconstitution du drame tandis que les habitants vaquaient à leurs occupations quotidiennes. Le tout treize ans après le drame. Une réflexion peut s’engager sur la perception de ces tournages chez les Rwandais. Nous avons choisi de mettre l’accent sur les intellectuels de Butare : dans le cadre de discussions avec les élèves et les enseignants et la présence sur les lieux du tournage de l’Opération Turquoise, nous avons constaté que ce tournage suscitait des attentes au sujet du déséquilibre dans les représentations, en particulier pour des raisons politiques. Ce point de vue des élites est aussi révélateur d’un rapport trouble avec la transparence, l’expression et la relation avec la paysannerie.
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Brunelli, Giampiero. « « Altri che hanno servito Francia ». La noblesse militaire italienne au service des rois de France pendant les guerres d’Italie (1494-1559) ». Cahiers de la Méditerranée, no 106 (1 juillet 2023) : 29–45. http://dx.doi.org/10.4000/cdlm.16642.

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Gaultier-Voituriez, Odile. « Mension-Rigau Éric , Singulière noblesse : l’héritage nobiliaire dans la France contemporaine , Paris, Fayard, « Histoire », 2015, 377 p., 20 € ». Vingtième Siècle. Revue d'histoire N° 128, no 4 (1 octobre 2015) : XXVI. http://dx.doi.org/10.3917/ving.128.0173az.

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Levy, David, et Henri Wallard. « Les évolutions de l’opinion publique sur le nucléaire en France et en Europe ». Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 113, no 1 (23 janvier 2024) : 79–82. http://dx.doi.org/10.3917/re1.113.0079.

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Résumé :
L’énergie nucléaire, invisible et récente, a connu une histoire mouvementée marquée par sa dualité civile/militaire et trois accidents aux retentissements mondiaux. L’idéologie et la politique ont souvent pris le pas sur l’économie et la technique. En Europe, après 30 ans peu porteurs, la donne a changé en 2022. Ce changement apparaît plus en lien avec la guerre en Ukraine et les craintes de pénurie qu’à la lutte contre l’effet de serre. Dans le monde, de nombreux pays comptent sur le nucléaire pour décarboner l’électricité. Et des voix de jeunes militants écologiques commencent à s’exprimer en faveur du nucléaire, à rebours des doctrines historiques. Le nouveau nucléaire nécessitera un grand professionnalisme dans le processus de déploiement, et un cadre démocratique irréprochable comme celui mis en place pour le site de stockage en profondeur. Des annonces et des plans insuffisamment préparés pourraient rendre certains projets beaucoup plus difficiles malgré cet environnement favorable.
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Aracil, Adrien. « Histoire d’une liberté dans la France moderne protestants, politique et monarchie (vers 1598-vers 1629) ». Études théologiques et religieuses Tome 99, no 3 (16 octobre 2024) : 503–15. http://dx.doi.org/10.3917/etr.993.0503.

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Résumé :
Cette thèse interroge l’histoire politique des réformés français au début du xvii e siècle au prisme de la notion de liberté : liberté comme défense des acquis juridiques conférés par le régime de l’édit de Nantes, mais aussi et surtout comme capacité d’action, d’appropriation de modes d’action et de reconfiguration constante du cadre au sein duquel celle-ci se déploie. Loin de considérer les huguenots comme les victimes passives d’une « France toute catholique », elle les pense donc comme des acteurs politiques, au sens où ceux-ci sont capables d’investir et de penser leur action politique, et d’initier celle-ci au sein d’une relation avec le pouvoir royal en pleine reconfiguration au sortir des guerres de Religion. Cette capacité d’agir est analysée en deux temps : nous interrogeons d’abord les caractéristiques qui fondent cette liberté d’action dans le contexte du xvii e siècle, en particulier dans le cadre du régime de l’édit de Nantes, à travers une étude de la place accordée aux institutions, à la mémoire, à l’union et au langage dans leurs pratiques. Nous étudions ensuite la mise en pratique de cette liberté politique, en interrogeant les évolutions du parti huguenot, du rapport aux institutions, à la noblesse, aux stratégies langagières à la suite de la mort d’Henri IV. Enfin, nous consacrons un épilogue à la mise à mort de cette culture politique : la fin du parti huguenot n’est pas le fruit de dissensions internes, mais celui d’une volonté politique qui cherche spécifiquement à attaquer cette liberté, et se construit, dans une certaine mesure, par opposition avec elle.
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Meltz, Renaud. « Du secret au mensonge : l’État de droit contre lui-même ». Pouvoirs N° 193, no 2 (4 avril 2025) : 75–86. https://doi.org/10.3917/pouv.193.0075.

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Résumé :
La Constitution de la V e République formule le contrat qui fonde la démocratie libérale sur une exigence de publicité. La publicité est garantie, contre son envers, le secret, justifié, encadré, réglementé. Mais les textes constitutionnels ne disent rien d’un autre péril, qui n’est pas l’opposé de la publicité, mais un poison plus pernicieux : le mensonge d’État. Le nucléaire, particulièrement le nucléaire militaire, apparaît comme un cas d’école du glissement du secret au mensonge, de la dérogation du devoir de publicité à la volonté de tromper le public, au nom de ses spécificités (sa puissance destructrice), de sa complexité scientifique (le profane n’y comprend rien) et sans doute de son histoire : la France s’est dotée de la bombe à l’issue d’un processus clandestin, sous la IV e République.
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Bourlet, Michaël. « L’îlot Saint-Germain au tournant des XIX e et XX e siècles ». Revue Historique des Armées 248, no 3 (1 août 2007) : 3–11. http://dx.doi.org/10.3917/rha.248.0003.

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Résumé :
Depuis près de deux siècles, le ministre en charge des affaires militaires est installé à l’hôtel de Brienne. Il a attiré à lui, au cours du XIX e siècle, une grande partie de l’administration centrale. Au lendemain de la guerre franco-prussienne, l’état-major de l’armée, nouvellement créé, s’installe dans les nouveaux bâtiments haussmanniens jouxtant l’hôtel du ministre de la Guerre. En quelques décennies, l’armée a façonné le quartier. L’îlot Saint-Germain s’intègre au cœur du « noble faubourg ». Cet espace devient alors un siège unique de l’autorité militaire. Ses attributions ne sont pas celles dévolues habituellement aux sièges de l’autorité militaire d’une ville, d’une région, d’un protectorat ou d’une colonie ; ce sont celles de l’armée française. La mission de l’EMA est de mener les armes de la France à la victoire. Cette installation de l’EMA au 231 boulevard Saint-Germain à la fin du XIXe siècle marque le début d’une histoire qui lie intimement un lieu et un organisme. Pendant des décennies, et encore de nos jours, les termes d’îlot Saint-Germain et d’EMAT, ont été indissociables. Quelle est la nature et quelle est l’histoire des liens qui, de l’Ancien Régime à la Première Guerre mondiale, expliquent une telle symbiose ?
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Seramour, Michaël. « Histoire de la ligne Maginot de 1945 à nos jours ». Revue Historique des Armées 247, no 2 (1 avril 2007) : 86–97. http://dx.doi.org/10.3917/rha.247.0086.

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Résumé :
Présentée en 1939 comme un barrage inexpugnable par les médias, la « Muraille de France » a failli aux yeux du Français moyen. Le système de fortification le plus moderne de son temps a pourtant rempli sa mission, en contraignant la Wehrmacht a réemprunter les plaines belges, comme en 1914, et en immobilisant une partie de ses forces. Loin du raccourci historique populaire, l’autorité militaire reconsidère la valeur de la ligne Maginot au début de la guerre froide. Dans un premier temps, restaurée par pur réflexe défensif, elle fait l’objet d’un véritable programme de modernisation, en vue de fixer l’armée Rouge en cas d’attaque conventionnelle. Mais l’initiative franco-française ne trouve pas grâce aux yeux de l’OTAN, et les vastes chantiers s’étiolent dès 1955. En 1960, l’explosion de la première bombe atomique française, stoppe définitivement le programme engagé dix ans plus tôt. En 1973, un journaliste lorrain, Roger Bruge, publie le premier tome de son histoire de la ligne Maginot , alors que la même année, plusieurs municipalités projettent d’ouvrir leurs ouvrages aux touristes. La ligne Maginot, tenue au secret depuis les années 1930, s’ouvre aux Français et au monde. Aujourd’hui visitée par près de 300 000 visiteurs, le béton porte encore l’injuste responsabilité de la défaite, mais le mystère qui l’entourait se résorbe lentement, ce qui constitue un premier pas dans la voie de la réhabilitation collective.
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A. Orban, Myriam. « Des huguenots en Provence orientale (1558-1594) ». Revue d'histoire du protestantisme 5, no 2-3 (18 décembre 2020) : 181–96. http://dx.doi.org/10.47421/rhp5_2-3_181-196.

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Résumé :
Si l’engagement de la grande noblesse (les Guise, Bourbons, Montmorency, Coligny, Condé) dans les guerres de religion est relaté dans les livres d’histoire, la noblesse de second ordre est moins connue, et l’historiographie ignore largement les grands seigneurs de la Provence orientale qui adhérèrent à la Réforme. Parmi cette noblesse du sud-est de la France, et notamment celle possédant fiefs dans les actuels départements des Alpes-Maritimes, du Var et des Alpes-de-Haute-Provence, on peut citer des Castellane, des Oraison, des Grasse, des Grimaldi de Beuil, et des Villeneuve auxquels est consacrée cette étude. Dès 1550, les évêchés sont affaiblis par la simonie, les questions d’argent et les procès pour conserver leurs droits temporels. L’abbaye de Lérins, dont le rayonnement a décliné suite à la gestion calamiteuse sous le régime de la commende, est devenue un foyer calviniste. Des moines ont été chassés. Quelques évêques ont abjuré publiquement, d’autres sympathisent plus ou moins ouvertement avec les huguenots. Mais, le mouvement réformé ne prend véritablement racine au sein de la noblesse qu’à partir de 1559, avec la fin des guerres d’Italie et le retour des barons sur leurs terres. Certains ont été en contact avec les Allemands luthériens et en reviennent convertis à la doctrine de la « nouvelle foi ». Protégés par le gouverneur de Provence, Claude de Tende, les Grasse et les Lascaris, les Villeneuve ont entraîné parentèle, gentilshommes et notables et créé de petites communautés qui accueillent des pasteurs venus de Genève. Des partis se créent, qui brouillent la légendaire solidarité nobiliaire. Les guérillas mettent tout le pays à feu et à sang. En 1569, le baron de Vence Claude de Villeneuve, son frère Honoré de Villeneuve-Tourrettes-lès-Vence et son oncle Jean de Villeneuve-Thorenc acquièrent, lors d’enchères, des terres et les droits associés mise en vente par l’évêque Louis Grimaldi de Beuil afin de payer les décimes réclamées par la royauté pour subvenir aux guerres de religion. Il semble que leur arrière-pensée soit de reconstituer leur fief, ce qui assurerait, grâce à une alliance avec les Grasse et les Villeneuve-les-Fayence, un vaste territoire protestant. Lors de la guerre proprement provençale entre carcistes et razats, ils font de Saint-Martin-la-Pelote, Saint-Laurent-la-Bastide et le Canadel (notamment) des bastions fortifiés pour accueillir les protestants et leurs troupes. Ces guerres ont fait des ravages parmi les seigneurs. Beaucoup sont morts au combat, les autres se sont ruinés et n’ont plus les moyens d’entretenir un ministre réformé. Quand en 1589 Henri IV devient roi de France, de nombreux barons se soumettent à lui pour obtenir son pardon. Ils n’ont plus de soutien et les abjurations commencent. La fin des guerres de religion dans le sud-est provençal marque aussi celle de l’esprit de patriotisme provençal et celle de la féodalité politique et militaire, tandis que les évêques tridentins cherchent à récupérer les terres vendues par leurs prédécesseurs aux Villeneuve. Néanmoins, la Réforme protestante est bien établie dans une partie de la population. Au XVIIe siècle, les évêques des diocèses de Vence et de Grasse s’attachent lors de visites pastorales à repérer les protestants et à faire appliquer par les vicaires et les curés les préceptes de la Contre-Réforme.
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dos Santos Matthes da Costa, Maira. « Hervé Drévillon et Olivier Wieviorka (dir.), Histoire militaire de la France. 1. Des Mérovingiens au Second Empire, Paris, Perrin, 2018 ». Cités N°79, no 3 (2019) : 181. http://dx.doi.org/10.3917/cite.079.0181.

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Rocher, Yves-Marie. « La campagne de Russie dans les collections du musée de l’Armée ». Revue Historique des Armées 267, no 2 (1 avril 2012) : 60–69. http://dx.doi.org/10.3917/rha.267.0060.

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Résumé :
La représentation de la campagne de 1812 dans les salles actuelles du musée de l’Armée est le fruit d’une longue histoire. Depuis sa création en 1905, l’institution a en effet beaucoup remanié ses collections au cours des acquisitions qu’elle a pu faire ou du contexte politique. Passant, à l’image de l’ensemble des campagnes de la Révolution et de l’Empire, d’un statut d’icône de l’histoire militaire française avant la Première Guerre Mondiale, à un objet d’étude pour les amateurs de l’épopée napoléonienne, l’exposition des pièces de la campagne de Russie suit les évolutions du musée. Elle revêt cependant un caractère tout à fait particulier de par l’influence qu’ont sur elle les relations entre la France et la Russie à la fin du XIX e siècle et au début du XX e siècle, mais aussi par la gageure que représente l’évocation d’un événement si important de l’histoire du Premier Empire avec le peu d’objets parvenus jusqu’à nous. Face à ces contraintes, les conservateurs du musée vont chercher à apporter des solutions afin de transcrire au mieux la réalité des soldats de l’armée des vingt nations.
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Aliyeva, Hayat. « La créativité de l'écrivain Ismayil bey Qutqashinli et sa nouvelle “Rashid bey et Saadat khanim” ». EuroGlobal Journal of Linguistics and Language Education 2, no 2 (3 mars 2025) : 82–88. https://doi.org/10.69760/egjlle.2500185.

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Résumé :
Ismaïl bey Goutgachinli, en tant qu’écrivain et militaire du XIXe siècle, occupe une place particulière dans la littérature azerbaïdjanaise en tant que l’un des auteurs réalistes et éducateurs les plus marquants. Une de ses œuvres les plus importantes est la nouvelle « Rachid bey et Saadat khanum ». Cette œuvre, qui reflète les idées éducatrices et le réalisme d’Ismaïl bey, est également considérée comme l’un des premiers exemples littéraires influencés par la culture européenne dans la littérature azerbaïdjanaise. La nouvelle a été publiée en 1835 en France, ce qui en fait la première œuvre en prose imprimée en langue azerbaïdjanaise. Rachid bey et Saadat khanum a joué un rôle essentiel dans la naissance de la littérature éducatrice azerbaïdjanaise. Inspirée par la littérature européenne, elle est fondée sur des motifs nationaux et réalistes. Dans cette nouvelle, Ismaïl bey aborde des thèmes tels que l’amour, l’héroïsme, les relations familiales et les traditions. Le héros principal de l’œuvre, Rachid bey, est décrit comme un jeune homme courageux et vaillant. Son héroïsme et sa noblesse incarnent les traditions, la morale nationale et l’esprit héroïque du peuple azerbaïdjanais. L’autre personnage principal, Saadat khanum, est présentée comme une femme belle, intelligente et désireuse de vivre selon ses propres sentiments et aspirations. En mettant en avant l’importance de l’amour et du bonheur personnel, la nouvelle explore également en profondeur les relations familiales et sociales. À travers cette œuvre, Ismaïl bey Goutgachinli promeut des idées éducatrices et s’oppose à l’injustice et à l’oppression dans la société, tout en diffusant des idéaux humanistes. En présentant ses idées éducatrices à travers ses personnages, l’auteur a grandement contribué au développement du genre narratif dans la littérature azerbaïdjanaise.
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Chancerel, Pierre, et Bertrand Fonck. « Le centenaire de la Première Guerre mondiale au Service historique de la Défense ». La Gazette des archives 258, no 2 (2020) : 289–301. http://dx.doi.org/10.3406/gazar.2020.5988.

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Résumé :
Dépositaire de l’énorme production archivistique issue des institutions militaires de la Première Guerre mondiale, le Service historique de la Défense a engagé durant le Centenaire de nombreux projets visant à faciliter l’accès à ces fonds, à encourager leur exploitation historique et à les faire connaître à un public élargi. Le bilan de ces actions fait ressortir la grande diversité des chantiers mis en oeuvre et des manifestations organisées, reflets de l’organisation d’un service installé sur dix sites en France et chargé, outre ses fonctions premières de service d’archives du ministère des Armées, d’une riche bibliothèque, de collections de symbolique de défense et d’une mission d’études et de recherche en histoire militaire. Au-delà des conséquences très positives de ces réalisations en matière d’entrées par voie extraordinaire, de diffusion d’instruments de recherche, de mise en ligne de fonds numérisés ou d’opérations de valorisation, le Centenaire aura permis un renforcement de la coopération entre les différents centres et départements du service impliqués dans des projets transverses, ponctuels ou plus structurants. Vis-à-vis de l’extérieur, il a accru la visibilité du SHD et a suscité de nouveaux partenariats, contribuant au développement pérenne du rayonnement du service et de son action.
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ΛΟΥΚΟΣ, ΧΡΗΣΤΟΣ. « ΚΟΙΝΩΝΙΚΗ ΙΣΤΟΡΙΑ ΤΟΥ ΤΑΝΓΚΟ ΑΠΟ ΤΙΣ ΥΠΟΒΑΘΜΙΣΜΈΝΕΣ ΣΥΝΟΙΚΙΕΣ TOΥ BUENOS AIRES ΣΤΑ ΣΑΛΟΝΙΑ ΤΗΣ ΕΥΡΩΠΗΣ ». Μνήμων 20 (1 janvier 1998) : 251. http://dx.doi.org/10.12681/mnimon.677.

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<p>Christos Loukos, Histoire sociale du tango. Des faubourgs marginaux deBuenos Aires aux salons européens</p><p>Le tango (qui comprend danse, musique et paroles) est né la secondemoitié du XIXe siècle dans les faubourgs marginaux de Buenos Aires.Il s'agit du proquit de plusieurs mélanges culturaux, dont les sujets sontdes natifs mais aussi des centaines de milliers d'immigrants qui accourentde l'Europe en Argentine à la recherche d'un emploi ou d'une meilleurechance. Sont examinées les causes qui ont permis à cette danse marginellede gagner les classes populaires et enfin, après un accueil enthousiasteen Europe, surtout en France, la veille de la première guerremondiale, d'être adoptée en tant que produit national par la bourgeoisieargentine. Le tango, comme expression de l'identité argentine, subit lesconséquences des bouleversements politiques et sociaux qui tourmententle pays à partir de 1930: intervention des militaires dans la vie politique,crise économique des années 30, régime péronien, périodes successivesde vie politique normale et de dictature militaire. Le tango devient uninstrument de propagande pour les régimes autoritaires mais aussi unearme de résistance pour les démocrates, un grand nombre desquels vivaienten exil.</p>
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Catros, Philippe. « Des citoyens et des soldats. Histoire politique de l'obligation militaire en France de la Révolution au début de la Troisième République (1789-1872) ». Annales historiques de la Révolution française 340, no 1 (2005) : 217–23. http://dx.doi.org/10.3406/ahrf.2005.3526.

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Tnaïnchi, Leïla. « French Volunteers in Benjamin Franklin's Correspondence : The American Revolution as Mirror of a Military Crisis ». Early American Studies : An Interdisciplinary Journal 22, no 1 (janvier 2024) : 32–57. http://dx.doi.org/10.1353/eam.2024.a920458.

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Résumé :
Abstract: The French who took part in the American War for Independence have been the subject of many historical studies. However, the correspondence of Benjamin Franklin offers new elements about these numerous volunteers coming from multiple geographical and social backgrounds. In their letters to the American commissioner, military men, nobles, ecclesiastics, surgeons, lawyers, engineers, peasants, and even convicts—most of whom never left the France—explained their motives for crossing the Atlantic Ocean to fight the British army on the side of the Patriots. From that epistolary source emerges also the perception those subjects of Louis XVI had of the Americans and the United States. All this information reveals a French society imbued with many contradictions, such as the public attraction for enemies fought during the Seven Years' War and the glorification of ancestral nobiliary values through a war for the benefit of a young republic.
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Langloit, Philippe. « Hervé Drévillon et Olivier Wieviorka (dir.), Histoire militaire de la France. 1. Des Mérovingiens au Second Empire , Perrin-ministère des Armées, 2018, 864 p. » Stratégique N° 121-122, no 1 (14 février 2020) : II. http://dx.doi.org/10.3917/strat.121.0387b.

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Langloit, Philippe. « Hervé Drévillon et Olivier Wieviorka (dir.), Histoire militaire de la France. 1. Des Mérovingiens au Second Empire , Perrin/ Ministère des armées, 2018, 864 p. » Stratégique N° 119, no 2 (18 décembre 2018) : I. http://dx.doi.org/10.3917/strat.119.0193a.

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Kovač, Miro. « La « capitulation » de Stjepan Radić et l’échec de sa politique de coopération avec Belgrade ». Review of Croatian history 20, no 1 (19 décembre 2024) : 61–82. https://doi.org/10.22586/rch.v20i1.33990.

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Résumé :
Après la création du Royaume des Serbes, Croates et Slovènes en décembre 1918 le président du Parti paysan croate Stjepan Radić devint le leader du mouvement national croate. Confronté à l’échec de sa politique obstructionniste, sans aide substantielle d’une puissance étrangère pour « affranchir le peuple croate » de la « tyrannie serbe », mis en prison pour avoir « conspiré avec les Soviets », en juillet 1925 il accepta finalement de coopérer avec « Belgrade », notamment avec ennemi politique et geôlier Nikola Pašić, le chef du Parti radical national. Arriver à une « paix » entre Croates et Serbes et consolider le royaume balkanique allié, ce fut également le souhait de la France officielle, dont le président du Conseil Édouard Herriot n’avait pas manqué d’user de son influence au sein de la presse de gauche pour promouvoir cette idée. Radić abandonna alors sa politique obstructionniste, reconnut la Constitution centralisatrice du Vidovdan, abjura le républicanisme, leva son opposition au service militaire, et entra même au gouvernement de Pašić comme ministre de l’Instruction publique. Cependant, ainsi Radić se révéla encore plus dangereux pour la caste politico-militaire serbe. Car non seulement le « trublion croate » gênait le fonctionnement du gouvernement, mais, au surplus, il tâchait d’élargir sa base électorale majoritairement paysanne aux dépens de celle de ses « partenaires » radicaux. En avril 1926, il fut invité à se retirer du ministère, et en janvier 1927 il mit fin à la coopération avec le Parti national radical. Son échec de s’implanter en Vieille Serbie l’amena à s’allier à un autre ancien ennemi mortel, Svetozar Pribićević, l’énergique Serbe ex-habsbourgeois, avec lequel il forma, en novembre 1927, la Coalition démocrate paysanne (SDK), formation qui regroupait la majorité des Croates et des Serbes de l’ancien royaume triunitaire. Le nouveau bloc des prečani fut la plus dangereuse force d’opposition dans la courte histoire du royaume, et il n’est guère surprenant que le roi Alexandre s’efforçât de le briser à tout prix.
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Fabre, Clément. « La poignée de main de l’étameur (Paris, 30 janvier 1887) Une histoire des relations sino-occidentales à hauteur d’interaction ». Revue historique 708, no 4 (29 novembre 2023) : 661–706. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.234.0661.

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Résumé :
Le 30 janvier 1887, avenue Victor Hugo à Paris, le général Chen Jitong, attaché militaire de la légation chinoise en France, refuse la main que lui tend l’étameur Ferdinand Laporte, qui l’injurie alors. Le procès qui s’ensuit pour injures publiques met au jour, derrière cette affaire anecdotique, un mauvais tour alors répandu à Paris, résumé par le chroniqueur judiciaire qui, sous le pseudonyme d’Argus, rend compte de l’affaire dans les colonnes du Figaro : « Il paraît que c’est une espèce de sport, parmi les loustics des faubourgs extérieurs, d’accoster les Chinois dans la rue et de leur tendre la main en les tutoyant avec une aimable familiarité. » Faire l’histoire de cette plaisanterie devenue incompréhensible impose d’entremêler trois histoires de mains. Celle, déjà, des imaginaires qui se greffent à partir du xviii e siècle sur le décalage des gestes de politesse chinois et occidentaux et constituent les salutations chinoises en antipodes mêmes de la poignée de main occidentale et égalitariste. Celle, ensuite, de l’attention continuelle que doivent prêter à leurs mains, dans la Chine du xix e siècle, diplomates et missionnaires pour les plier aux règles des bienséances chinoises et éviter le type de faux pas que recherche, précisément, Ferdinand Laporte. Celle, enfin, de la progressive familiarisation avec la structure des interactions sino-occidentales de franges entières de la population chinoise qui, tel Chen Jitong, apprennent entre autres, au fil du xix e siècle, à maîtriser la poignée de main. Ces trois histoires entremêlées jettent un éclairage original sur le statut à conférer aux interactions ordinaires dans l’histoire des relations sino-occidentales, et sur les différentes temporalités qui viennent se nouer dans une banale poignée de main.
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Chemlali, Ikram. « Le Choléra et la question sociale dans Horace de George Sand ». ALTRALANG Journal 4, no 02 (30 décembre 2022) : 244–55. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v4i02.213.

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Résumé :
The Cholera and the Social Issue in Horace by George Sand ABSTRACT: George Sand lived through two epidemics, cholera in 1832 in Paris and smallpox in 1870 in Nohant. Just as she addresses this theme of the epidemic in Histoire de ma vie, she also speaks about it in her literary work, including Horace. Within this text, Sand recounts the drama of cholera which will shake a Paris which is already at the mercy of social misery. In addition to being an opportunity to talk about this poverty of the masses that cholera will further amplify, the epidemic will be an opportunity to showcase this solidarity that France will experience and whose heroes will be especially part of the noble class where some members find themselves gifted with great freedom of mind. It is to the character of Theophilus that the author gives the honor of representing this caste and the values that she has just adopted and that she wishes to implement while profiting from the epidemic. In addition, Sand points to the positive role that the female character will play during these hard times. Like the nobility, the woman will be the friend of the people who will stretch out their hand to her, trying to help her to bring her to salvation. RÉSUMÉ : George Sand a vécu deux épidémies, le choléra en 1832 à Paris et la variole en 1870 à Nohant. De même qu’elle aborde cette thématique de l’épidémie dans Histoire de ma vie, elle en parle également dans son œuvre littéraire dont Horace. Au sein de ce texte, Sand relate le drame du choléra qui va secouer un Paris se trouvant déjà à la merci de la misère sociale. En plus d’être une occasion de parler de cette indigence des masses que le choléra va encore amplifier, l’épidémie sera l’occasion de mettre en scène cette solidarité de la France dont les héros feront surtout partie de la classe noble où certains membres se trouvent doués d’une grande liberté d’esprit. C’est au personnage de Théophile que l’auteure donne l’honneur de représenter cette caste ainsi que les valeurs qu’elle vient d’adopter et qu’elle désire mettre en œuvre tout en tirant profit de l’épidémie. En plus, Sand pointe du doigt le rôle positif que va jouer le personnage féminin durant ces temps durs. Tout comme la noblesse, la femme sera l’amie du peuple qui lui tendra la main en essayant de le secourir pour l’amener vers le salut.
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Laudin, Gérard, et Claude Michaud. « Simon Surreaux , Les Maréchaux de France des Lumières. Histoire et dictionnaire d’une élite militaire dans la société d’Ancien Régime , Paris, Éditions SPM, coll. « Kronos », 2013, 1126 p. » Dix-huitième siècle 47, no 1 (17 juin 2015) : XCIII. http://dx.doi.org/10.3917/dhs.047.0627co.

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Hémez, Rémy. « HISTOIRE MILITAIRE DE LA FRANCE. I. DES MÉROVINGIENS AU SECOND EMPIRE. II. DE 1870 À NOS JOURS, Hervé Drévillon et Olivier Wieviorka (dir.), Paris, Perrin/Ministère des Armées, 2018, 560 et 552 pages ». Politique étrangère Automne, no 3 (29 août 2019) : VIII. http://dx.doi.org/10.3917/pe.193.0167h.

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Canabal Rodríguez, Laura. « Reformas, acciones y planteamientos de rechazo a los superiores masculinos en beaterios y conventos de Toledo (siglos XV al XVII) ». Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no 8 (20 juin 2019) : 249. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.13.

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Résumé :
RESUMENLos monasterios femeninos nacen en beaterios en muchos casos. Así los beaterios son el primer paso de la reclusión pero, al mismo tiempo el modelo de rechazo. Por otro lado, con el Concilio de Trento, la Contrarreforma fue la imposición de la reforma religiosa con una renovación espiritual, pero reproduce la subordinación femenina y la clausura. Nuevamente se renuevan los rechazos en este caso el modelo son los conventos de Toledo y el monasterio de San Clemente. Este estudio examina la importancia de los beaterios en las fundaciones conventuales en Toledo.Y analiza la oposición y acciones de rechazo de las beatas y monjas de las distintas comunidades monásticas y mendicantes frente a las reformas de vida claustral, incluido la normativa del Concilio de Trento. Utilizando para ello las fuentes documentales localizadas durante la elaboración de mi tesis doctoral.PALABRAS CLAVE: Beaterios, conventos, oposición, Toledo, Edad ModernaABSTRACTWomen’s monasteries often began as beatorios. These beaterios were thus the first step in confinement but at the same time the model of rejection. Meanwhile the Council of Trent and Counterreformation represented the imposition of religious reform with spiritual renewal, but reproduced female subordination and cloister. Again renew rejects in this case the model are convents in Toledo and the monastery of Saint Clemens. This study examines the importance of beaterios in the founding of convents in Toledo. And it analyses how pious women and nuns of the different monastic and mendicant orders opposed and rejected resist reforms of cloistered life, including the Council of Trent legislation. Using to this end documents studied during the preparation of my doctoral thesis.KEY WORDS: Beaterios convents, opposition, Toledo, Modern Age. BIBLIOGRAFÍAAbad Pérez, A., Soledad Sonora. Convento de San Antonio de Padua, Talavera-Toledo, 1980.Alemán Ruiz, E., Inicios de la clausura femenina en Gran Canaria: el Monasterio de la Concepción, 1592-1634, Las Palmas de Gran Canaria, Universidad de Las Palmas de Gran Canaria, 2000.Álvarez, T., Cultura y mujer en el siglo XVI: el caso de Santa Teresa de Jesús, Ávila, 2006.Atienza, A., “De beaterios a conventos: nuevas perspectivas sobre el mundo de las beatas en la España Moderna”, Historia Social, 57 (2007), pp. 145-168.Atienza, A., “Los límites de la obediencia en el mundo conventual femenino en la Edad Moderna: políticas de clausura en la Corona de Aragón, siglo XVII”, Studia Histórica, Historia Moderna, 40/1 (2018), pp. 125-157.Atienza López, A., Tiempo de conventos. Una historia social de las fundaciones en la España Moderna, Madrid, Marcial Pons, 2008.Burrieza Sánchez, J., (ed.), El alma de las mujeres. Ámbitos de espiritualidad femenina en la modernidad (siglos XVI-XVII), Valladolid, Universidad de Valladolid, 2015.Burrieza Sánchez, J., “La percepción jesuítica de la mujer (siglos XVI- XVIII)”, Investigaciones Históricas, 25 (2005), pp. 85-116.Bueno, M. L., “Las mujeres de Santa María de las Dueñas de Zamora. La realidad humana”, El cristianismo medieval, Madrid, Almudayna, 1991, pp. 231-245.Callado Estela, E., “Mujeres, reforma y resistencia. Las dominicas valencianas de Santa María Magdalena en los siglos XVI y XVII”, en La vida cotidiana y la sociabilidad de los dominicos: entre el convento y las misiones (s. XVI-XVII-XVIII), Arpegio, 2013, pp. 73-103.Canabal Rodríguez, L., “La aplicación de Trento en la vida regular: el convento femenino de San Clemente de Toledo”, Cistercium, 232 (2003), pp 571-596.Canabal Rodríguez, L., “Beaterio y convento. Origen, evolución y desarrollo de las comunidades regulares de la Orden Franciscana de Toledo”, en Congreso Internacional. El Franciscanismo: identidad y poder, Baeza, Priego de Córdoba, 2015, pp. 317-330.Canabal Rodríguez, L., “Clausura en el siglo XVII: el convento dominicano de Jesús y María en Toledo”, Toletana. Cuestiones de Teología e Historia, 14 (2006) pp. 137-160.Canabal Rodríguez, L., “Las comunidades religiosas femeninas de Toledo. Implantación y características generales de su patrimonio fundacional (siglos XII- XVII)”, Toletana. Cuestiones de Teología e Historia, 9 (2003), pp. 287-322.Canabal Rodríguez, L., Los conventos femeninos en Toledo. 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