Littérature scientifique sur le sujet « Organes lymphoïdes »

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Articles de revues sur le sujet "Organes lymphoïdes"

1

Okoye, J. O. A., A. O. Agu, C. N. Chineme et G. O. N. Echeonwu. « Caractérisation pathologique chez des poulets du virus vélogénique de la maladie Newcastle isolé chez une pintade ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no 4 (1 avril 2000) : 325. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9709.

Texte intégral
Résumé :
Une bande de 160 coquelets Harco âgés de six semaines ont été inoculés par voie intramusculaire avec un isolat nigérian local de virus vélogénique de la maladie de Newcastle (VMN) obtenu à partir d'une pintade morte. Des signes cliniques de la maladie, principalement la dépression, des diarrhées verdâtres, la paralysie, l'opisthotonos et le torticolis, ont pu être observés sur les volailles trois jours après l'inoculation. Le taux de morbidité a été de 100 p. 100 alors que celui de mortalité a été de 92 p. 100. Au dix-huitième jour après l'inoculation, seul le torticolis a été encore présent chez certaines volailles. Les lésions macroscopiques principales ont été les hémorragies dans les muqueuses proventriculaires, des ulcères hémorragiques des intestins et une atrophie transitoire des organes lymphoïdes. Des coupes d'organes ont révélé des nécroses et des déplétions lymphocytaires des organes lymphoïdes, une endothéliose, une gliose et des manchons périvasculaires du cerveau et du cervelet. Ces observations ont indiqué que l'isolat provenait d'une souche vélogénique viscérotropique. Les auteurs proposent de considérer les ulcères hémorragiques dans les intestins comme des éléments diagnostiques du VMN vélogénique viscérotropique en l'absence de preuve épizootiologique de virus grippal aviaire.
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Omeke, B. C. O., et D. O. Ugwu. « La trypanosomose porcine : anémie et histologie comparées des organes lymphoïdes ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no 3 (1 mars 1991) : 267–72. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9164.

Texte intégral
Résumé :
Après avoir infecté expérimentalement des porcs par des espèces pathogènes de Trypanosoma brucei brucei et de Trypanosoma congolense (le premier se montrant plus virulent que le second), les auteurs ont étudié un syndrome d'anémie accompagné des symptômes cliniques caractéristiques, les modifications hématologiques et d'histopathologi e des organes lymphoïdes. Les périodes moyennes d'incubation ont été de 4 à 7 jours et on a observé des niveaux, généralisés mais variables, de la parasitémie et de la pyrexie sans mortalité. Les autres symptômes ont été l'hyperémie, des hémorragies pétéchiales conduisant à des plaques ou à des lésions, de l'innapétence, de la déshydratation avec ou sans ascites. La trypanosomose a abaissé significativement (P < 0,01) la valeur de l'hématocrite (PCV), la concentration en hémoglobine et les globules rouges. Elle a par contre accru la numération différentielle des globules blancs des animaux infectés. Les trypanosomes étaient localisés dans les tissus lymphatiques qu'ils ont détruits et dont les lésions essentielles étaient des hémorragies, la prolifération des infiltrations par les mononucléaires, la déformation des follicules et la nécrose ou la fibrose des tissus. Les effets significatifs résultant de l'immunosuppression, l'érythrophagocytose et des infections secondaires sont mis en évidence.
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Bonnan, M. « Organes lymphoïdes tertiaires méningés : des acteurs majeurs de l’auto-immunité intrathécale ». Revue Neurologique 171, no 1 (janvier 2015) : 65–74. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2014.08.003.

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4

SCHELCHER, F., O. ANDREOLETTI, G. TABOURET, C. LACROUX, G. FOUCRAS, F. EYCHENNE, P. BERTHON, P. SARRADIN, F. LANTIER et J. M. ELSEN. « Pathogenèse des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles : apports du modèle ovin ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 23–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3619.

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Résumé :
Parmi les Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST), la tremblante du mouton est un modèle d’infection naturelle, caractérisé par la diversité des souches d’agent de transmission, par un rôle majeur des facteurs génétiques de réceptivité/sensibilité et par une transmission interindividuelle fréquente. La voie de contamination naturelle semble être orale. Chez des ovins génétiquement sensibles (PrPVRQ/VRQ) (premiers symptômes observés vers 20 à 24 mois), la PrPsc a été détectée dans les plaques de Peyer iléales dès l’âge de 21 jours. L’ensemble des formations lymphoïdes secondaires est envahi entre l’âge de 3 et 6 mois. Dans les tissus lymphoïdes, la PrPsc s’accumule d’abord dans les cellules CD 68+ (cellules dendritiques ou macrophages) puis dans les cellules folliculaires dendritiques. A partir des plexus nerveux myentériques, la PrPsc gagnerait le système nerveux central par les nerfs sympathiques et parasympathiques. Les cellules de Schwann pourraient jouer un rôle majeur dans ce transfert. L’envahissement du névraxe débute vers 9 à 10 mois d’âge, dans le noyau dorsal du nerf vague et dans les segments médullaires T4–T9. A partir des organes lymphoïdes et/ou nerveux, la PrPsc contamine d’autres tissus en particulier placentaire et musculaire. Les modalités de contamination, sanguine versus nerveuse, restent hypothétiques. L’accumulation de PrPsc dans le trophoblaste placentaire de brebis infectées, est déterminée par le génotype PrP du foetus. Dans les muscles d’ovins en phase d’incubation ou en phase clinique, la PrPsc est détectable dans des structures particulières, les fuseaux neuromusculaires, mais à des concentrations environ 5000 fois inférieures à celles détectées dans l’obex d’ovins en phase clinique. Chez les ovins, ces résultats (nature des tissus atteints, cinétique) sont étroitement dépendants du génotype PrP de l’hôte et probablement de la souche d’EST. L’extension à d’autres modèles animaux ou humains doit donc être réalisée avec prudence.
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Bouhidel, Mohamed Larbi, Fayçal Beichi, Atika Bouhidel, Hachani Khadraoui, Imene Benamira, Mahdia Saidi, Abdelouahab Maaref et Hocine Bounecer. « Cancer register in the Wilaya of Batna. The 2011 report ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no 2 (30 décembre 2012) : 126–28. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2015.2205.

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Résumé :
Le registre du cancer de la wilaya de Batna est un registre de population, couvrant 1.173.852 habitants en 2011 (estimation avec un taux d’accroissement annuel de 1,58% à partir du recensement général de la population et de l’habitat RGPH 2008). Au total, 768 nouveaux cas de cancer ont été notifiés ; ce qui représente une incidence standardisée de 78,2 cas pour 100 000 habitants. Les cancers les plus fréquents chez l’homme sont respectivement : le cancer broncho-pulmonaire (12,2 cas/100 000 hbts) suivi du cancer colorectal et du cancer de la vessie. Chez la femme, le cancer du sein occupe largement le premier rang (25,2 cas/100 000 hbts) ce qui représente plus de 30% des cancers chez la femme. En deuxième position, se trouve le cancer colorectal suivi des cancers de la vésicule biliaire et de la thyroïde. La pathologie tumorale chez l’enfant (0-14 ans), dont l’incidence standardisée est de 1,9 cas/100 000 habitants, est dominée par le cancer du sang et des organes lymphoïdes.
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Galy, A., M. Clément, P. Bruneval, F. Hyafil, T. Papo, A. Nicoletti et K. Sacré. « Organes lymphoïdes tertiaires dans l’artérite de Takayasu : les lymphocytes B sont-ils impliqués dans la pathogénie ? » La Revue de Médecine Interne 37 (juin 2016) : A106. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2016.04.046.

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Evnouchidou, Irini, Mathilde Nugue et Loredana Saveanu. « La signalisation endosomique impliquant la chaîne ζ du récepteur des lymphocytes T est nécessaire à leur survie dans les organes lymphoïdes secondaires ». médecine/sciences 36, no 12 (décembre 2020) : 1213–15. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020235.

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Bagot, M., et L. Dubertret. « La peau : un organe lymphoïde périphérique ». médecine/sciences 4, no 5 (1988) : 311. http://dx.doi.org/10.4267/10608/3821.

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Silva Junior, Francisco Feliciano da, José Andreey Almeida Teles, Fábio Denilson de Oliveira Feliciano et Gil Dutra Furtado. « SOROPREVALENCE POUR LA LEUCOSE ENZOTIQUE BOVINE DANS LE CHEPTEL LAITIER DE ‘SERTÃO’ DE L'ETAT D'ALAGOAS, NORD-EST DU BRÉSIL ». ENVIRONMENTAL SMOKE 2, no 1 (7 mai 2019) : 67–77. http://dx.doi.org/10.32435/envsmoke.20192167-77.

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Résumé :
La leucose bovine enzootique (LEB) est une maladie infectieuse-contagieuse chronique qui affecte principalement le système lymphoïde du bétail infecté et détermine les processus de désorganisation des tissus et des organes, plus particulièrement les ganglions lymphatiques. L'objectif de cette étude était de déterminer la séroprévalence de LEB dans le troupeau laitier du Sertão de Alagoas. Au total, 719 échantillons de sérum sanguin provenant de 37 exploitations réparties dans les 26 municipalités du Sertão Alagoano ont été évalués. Les échantillons ont été évalués par rapport au test d'immunodiffusion sur gel d'agar (IDGA), dont 85 (11,82%) étaient positifs et 634 (88,17%) étaient négatifs. LEB est répandu dans les troupeaux examinés. Les mesures préventives et sanitaires doivent être mises en œuvre au moyen de tests sérologiques et d'un suivi médical vétérinaire constant visant à assurer l'assainissement progressif des troupeaux.
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Thèses sur le sujet "Organes lymphoïdes"

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Kesteman, Nicolas. « Etude de la migration des neutrophiles dans les organes lymphoïdes ». Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2007. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210651.

Texte intégral
Résumé :
Le rôle des neutrophiles dans la réponse immunitaire innée est bien connu. Ils résident dans le sang et ont une durée de vie limitée à quelques heures. Suite à une infection, ils quittent le flux sanguin et se dirigent vers les sites inflammatoires en réponse à des chimiokines produites par des cellules endothéliales et des fibroblastes. Au niveau du site d’inflammation, les neutrophiles phagocytent et éliminent les pathogènes extracellulaires, et produisent des cytokines inflammatoires.

Des travaux récents montrent que les neutrophiles peuvent également jouer un rôle dans l’immunité adaptative. En effet, ils ont la capacité de transporter des antigènes vers les ganglions lymphatiques, d’induire la différenciation des lymphocytes et d’influencer la réponse immune adaptative par la production de cytokines.

La fonction des neutrophiles dans l’induction et/ou la régulation de la réponse adaptative requiert l’interaction entre ceux-ci et d’autres populations cellulaires, telles que les cellules dendritiques et les lymphocytes.

Nous avons donc examiné la localisation des neutrophiles au niveau de la rate dans des conditions basales ou inflammatoires. D’une manière générale, nos résultats montrent que, en cas d’infection, les neutrophiles migrent vers la pulpe blanche de la rate et se localisent en contact étroit avec les lymphocytes T. Ce phénomène de migration est dépendant des molécules CD14 et MyD88 et corrèle avec l’augmentation de l’expression des chimiokines CXCL1 et 2, ainsi qu’avec la diminution de l’expression du récepteur CXCR2 à la surface des neutrophiles.

Cependant, au niveau de la cavité péritonéale, le recrutement des neutrophiles est augmenté en absence de la molécule CD14. Nos résultats montrent que la migration des neutrophiles, dans les organes lymphoïdes et non lymphoïdes, est dirigée par des mécanismes différents.


Doctorat en Sciences
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Audemard-Verger, Alexandra. « Caractérisation des lymphocytes T résidents des organes lymphoïdes secondaires à l’état basal ». Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCB260/document.

Texte intégral
Résumé :
Une résidence à long terme de lymphocytes T (LTs) au sein de la plupart des tissus non lymphoïdes a été récemment décrite, notamment à la suite d’infections. Ces cellules confèreraient à l’hôte une meilleure protection en cas de réinfection. À l'aide de deux approches expérimentales différentes, l'injection d'anticorps bloquant l’entrée des LTs dans les ganglions lymphatiques (LNs) et la génération de parabioses par chirurgie, nous avons pu mettre en évidence, à l’état basal, la résidence d’une proportion significative des LTs αβ mémoires CD4+, des LTs αβ régulateurs CD4+ et d’une sous-population des LTs γδ dans les organes lymphoïdes secondaires. Les LTs CD4+ régulateurs et mémoires résidents ont en commun de nombreuses caractéristiques phénotypiques et fonctionnelles, et partagent avec leurs homologues issus de tissus non lymphoïdes une signature transcriptionnelle commune de résidence. Les LTs γδ résidents, quant à eux, arborent des caractéristiques phénotypiques et fonctionnelles proches de celles des cellules du système immunitaire inné. Si le microbiote semble jouer un rôle important dans la résidence des LTs αβ CD4+ des plaques de Peyer (PPs), son rôle ne semble pas être prépondérant dans la résidence de ces cellules au sein des LNs. Comme dans de nombreux tissus non lymphoïdes, la sous-expression de S1PR1 pourrait en partie expliquer la résidence des LTs αβ CD4+. Par contre, les LTs γδ seraient, eux, retenus dans les tissus lymphoïdes de par des interactions étroites avec les macrophages. Enfin, la résidence des LTs αβ augmente avec l'âge au point que la majorité des LTs CD4+ régulateurs et mémoires des LNs et des PPs sont en fait résidents chez des souris âgées. Nos résultats montrent que la résidence des cellules T n'est pas seulement une caractéristique des tissus non lymphoïdes mais qu’elle peut être étendue aux organes lymphoïdes secondaires. Le rôle respectif de ces différentes populations de LTs devra être exploré
In the last decade, numerous data have demonstrated the existence of T cells residing in non-lymphoid tissues, mostly after infectious diseases. These resident memory T cells may represent a first line of defense against pathogens at front-line sites of microbial exposure upon reinfection. Using two different experimental approaches such as the injection of integrin-neutralizing antibodies that inhibits the entry of circulating lymphocytes into lymph nodes and long-term parabiosis experiments, we have highlighted the long-term residence of a substantial proportion of regulatory and memory CD4 αβ T cells and γδ T cells within the secondary lymphoid organs of specific pathogen free mice. Resident γδ T cells display innate-like characteristics. Lymph node-resident regulatory and memory CD4 αβ T cells share many phenotypic and functional characteristics, including a core transcriptional profile, with their cell-counterparts from non-lymphoid tissues. Microbiota plays an important role in αβ T-cell residence in Peyer’s patches but only a small one if any in lymph nodes. Like in many non-lymphoid tissues, S1PR1 down-regulation may account forαβ T-cell residency within secondary lymphoid organs although other mechanisms may account for this especially in the case of lymph node memory CD4 T cells. Specific in vivo cell-depletion strategies have allowed us to demonstrate that macrophages are the main actors involved in the long-term retention of γδ T cells in secondary lymphoid organs. Strikingly, T-cell residence increases with age to the point that the majority of regulatory and memory CD4 αβ T cells from LNs and Peyer’s patches are in fact resident T cells in old mice. Altogether, our results show that T-cell residence is not only a hallmark of non-lymphoid tissues but can be extended to secondary lymphoid organs
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Perie, Leila. « Implication du VIH dans la distribution des cellules dendritiques entre les compartiments des organes lymphoïdes et du sang ». Phd thesis, AgroParisTech, 2009. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00005931.

Texte intégral
Résumé :
Les cellules dendritiques constituent une population hétérogène de cellules d'origine hématopoïétique. Ces cellules interviennent au niveau de la réponse immunitaire innée et adaptative. On peut les classer en deux groupes, les cellules dendritiques myeloïdes (mDC) et les plasmacytoïdes (pDC). Les pDC sont connues pour être les principales cellules productrices d'interférons de type I qui ont une activité antivirale forte. L'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) a une action sur la distribution et la fonction des cellules dendritiques. Ainsi le nombre des cellules dendritiques est diminué dans le sang des patients atteints par le VIH. Ce travail de thèse étudie les mécanismes liés à cette diminution. En particulier l'hypothèse de la domiciliation des cellules dendritiques dans les organes lymphoïdes. Nous montrons une accumulation des pDC dans la rate des patients infectés contrairement aux mDC. Dans les ganglions de macaques cynomolgus en début d'infection par le SIV, modèle animal de l'infection par VIH, nous montrons aussi une domiciliation des pDC. Dans la rate des patients étudiés, les pDC sont immatures et ne semblent pas être les cellules productrices d'IFN-α. D'autres cellules comme les macrophages et les lymphocytes T et B semblent prendre le relais. En revanche, chez le singe, la production d'IFN-α en primoinfection semble bien due aux pDC. Elle est corrélée avec l'apparition de mécanismes liés à la tolérance comme la sécrétion d'indoléamine 2,3-dioygénase et l'induction de lymphocytes T régulateurs. La production d'IFN-α en primo-infection semble ainsi nécessaire à l'élimination du virus. Toutefois lorsqu'elle atteint un niveau élevé, elle a des effets délétères pour la mise en place d'une réponse immunitaire stérilisante, via l'induction de mécanismes régulateurs. Au stade chronique de l'infection, la production d'IFN-α semble promouvoir l'activation générale du système immunitaire et favoriser sa destruction.
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Dieu-Nosjean, Marie-Caroline. « Etude du rôle des chimiokines dans le recrutement des cellules dendritiques au site de l'inflammation puis dans les organes lymphoïdes ». Lyon 1, 1999. http://www.theses.fr/1999LYO10332.

Texte intégral
Résumé :
Les cellules dendritiques (dc), sentinelles de l'organisme, sont specialisees dans la capture et la presentation de l'antigene et sont necessaires a l'initiation d'une reponse immunitaire specifique. Nous avons demontre que la migration induite par les chimiokines est etroitement correlee au stade de developpement de la dc via une regulation sequentielle de l'expression des recepteurs a ces chimiokines. Lors de la presence d'un signal danger, le site d'inflammation induit la production de chimiokines dont mip-3, qui permet le recrutement des dc immatures au site d'entree du pathogene et la capture de celui-ci. Dans cet environnement inflammatoire, la dc s'engage dans un processus de maturation incluant la perte de la reponse a ce premier groupe de molecules. De facon concomitante, elle acquiert le recepteur ccr7 et emigre via les vaisseaux lymphatiques exprimant 6ckine, puis se fixe dans les zones t des organes lymphoides secondaires en reponse a mip-3 pour presenter l'antigene aux lymphocytes t. La regulation de l'expression de ccr7 joue donc un role crucial dans l'initiation des reponses immunitaires. Ainsi, une meilleure connaissance de la migration des dc pourrait ouvrir de nouvelles opportunites quant a leurs manipulations dans des essaies therapeutiques visant a supprimer ou stimuler les reponses immunitaires. D'autre part, mip-3 : 1 - est selectivement produit par les epitheliums, 2 - reste la seule chimiokine qui induit la migration des cellules de langerhans et 3 - l'expression de son recepteur ccr6 est controlee par des cytokines immunomodulatrices suggerant un role du couple mip-3/ccr6 dans l'immunite acquise des epitheliums et des muqueuses. L'etude de pathologies montre que mip-3 est effectivement exprime par les cellules epitheliales au cours de l'inflammation (psoriasis) ainsi que dans certains cancers. Des etudes sont actuellement en cours pour determiner la pertinence de nos observations dans l'initiation et le developpement de pathologies.
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Feuillard, Jean. « Etude des rôles des protéines ReL/NF-kappa B dans la réponse immune : analyse in situ de l'expression des proteines Rel/NF-kappa B dans le thymus et les organes lymphoïdes secondaires ». Paris 7, 1997. http://www.theses.fr/1997PA077210.

Texte intégral
Résumé :
Le système immunitaire nécessite le recrutement et la différenciation coordonnée de nombreux types cellulaires. Or, les facteurs transcriptionnels déterminent en grande partie le phénotype et le degré de différenciation des cellules. Parmi ces facteurs transcriptionnels, la famille Rel/NF-kappa B est sans doute importante. Les protéines Rel/NF-kappa constituent une famille de 5 facteurs transcriptionnels ubiquitaires, p50, p52, p65, c-Rel et RelB. Ces protéines sont caractérisées par l'existence d'un domaine d'homologie commun appelé domaine Rel, et sont fonctionnelles à l'état d'homo ou d'hétérodimères, formant les complexes Rel/NF-kappa B. Ces complexes participent à la régulation positive de la transcription des gènes ayant un site spécifique, appelé site kappa B, dans leur région régulatrice. Les sites kappa B sont retrouvés au sein des régions régulatrices de nombreux gènes de la réponse immune. Les complexes Rel/NF-kappa B contenant les protéines c-Rel ou p65 sont retenus dans le cytoplasme par interaction avec des inhibiteurs spécifiques, les protéines I-kappa B. L'activation NF-kappa B consiste en la dissociation de ces complexes d'avec ses inhibiteurs I-kappa B suivi de leur translocation dans le noyau, où leur activité transcriptionnelle s'exerce. La diversité de signaux activateurs et le nombre de gènes cibles potentiels posent la question du rôle effectif des protéines Rel/NF-kappa B dans la réponse immune in vivo. In vitro, l'activation NF-kappa B peut être obtenue dans tous les tous les types cellulaires, quelle que soit l'origine embryologique, par des agents de nature très variée. Ainsi, il est très difficile d'extrapoler les résultats expérimentaux obtenus in vitro pour déduire les rôles réels des protéines Rel/NF-kappa B in vivo dans le système immunitaire. C'est pourquoi, afin d'aborder ce problème, nous avons analysé l'expression des protéines Rel/NF-kappa B in situ dans le thymus et les organes lymphoïdes secondaires. En effet il existe une relation étroite entre la différenciation cellulaire et la microanatomie dans ces organes lymphoïdes. De plus, il est possible de reconnaître individuellement les cellules dans ces tissus, soit morphologiquement, soit à l'aide d'immunomarquages. Enfin, nous avons analysé l'activité NF-kappa B in situ dans les organes lymphoïdes de souris transgéniques ayant comme transgène le gène de la (3galactosidase sous contrôle des sites kappa B. Nos résultats montre que, i) la localisation nucléaire de p50, p52 et RelB n'est constatée que pour les cellules accessoires de l'immunité avec p50 pour les cellules épithéliales du thymus, p52 et RelB pour les cellules accessoires de l'immunité, p50, p52 et RelB pour les cellules présentatrices de l'antigène, suggérant un rôle majeur de ces protéines dans cette catégorie de cellules, ii) Dans le thymus, c-Rel est absent des thymocytes corticaux, mais présent dans les thymocytes médullaires et, dans les organes lymphoïdes secondaires, c-Rel prédomine dans les lymphocytes B vierges, suggérant que c-Rel joue un rôle dans la différenciation thymocytaire et dans la différenciation lymphocytaire B et, iii) p65 est retrouvée de façon dispersée dans les organes lymphoïdes secondaires et dans le thymus; cependant, dans le thymus, p65 prédomine dans les thymocytes médullaires. Ces résultats suggèrent donc que, dans le système immunitaire, la localisation nucléaire des protéines Rel/NF-kappa B est associée à l'accomplissement d'un programme génétique particulier en rapport avec la fonction et ou la différenciation de la cellule. La nature exacte du(des) complexe(s) déterminerait(aient) alors l'ensemble des gènes ciblés pour la réalisation de ce programme génétique.
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Fournier-Betz, Véronique. « Le système immunitaire intestinal du turbot (Scophthalmus maximus L. ) : relation avec le système immunitaire général et recherche des mécanismes immuns induits lors de vaccinations par voie orale contre la vibriose à Vibrio anguillarum ». Brest, 2000. http://www.theses.fr/2000BRES2011.

Texte intégral
Résumé :
Afin d'étudier la distribution des lymphocytes b-like et t-like dans les organes lymphoïdes rein, rate, thymus et le tissu lymphoïde associe à l'intestin du turbot et de la truite arc-en-ciel, des ac polyclonaux de lapin dirigés spécifiquement contre les immunoglobulines (ig) et les thymocytes de chaque espèce ont été produits. Un manque de spécificité des sérums antithymocytes n'a pas permis la détection des lymphocytes t-like. Seuls les anticorps anti-ig ont donc été utilisés dans cette étude menée sur des poissons, indemnes de toute maladie. Quels que soient les organes considérés, un plus grand nombre de cellules ig + est observé chez la truite. En ce qui concerne l'intestin des différences majeures sont notées entre les deux espèces : les cellules ig + sont présentes à la fois dans la lamina propria et la lamina epithelialis chez la truite alors qu'elles ne sont détectées que dans la lamina propria chez le turbot. Dans un second temps la mise au point de techniques de prélèvement du mucus intestinal, et d'isolement des cellules mononuclées présentes dans l'intestin postérieur du turbot, avec la possibilité d'obtenir séparément les cellules issues de la lamina epithelialis et de la lamina propria, a permis d'appréhender les mécanismes de déclenchement de la réponse immune au niveau intestinal a la suite de vaccinations orales (vo) contre la vibriose à vibrio anguillarum. L’absorption de l'ag et la réponse immune systémique ont également été étudiées. Différentes formulations vaccinales ont été testées : des vaccins constitués de corps bactériens entiers, gastroproteges (vog) ou non (voe), et des vaccins constitués d'ag solubles (vos). La voie intraperitoneale a toujours été testée en parallèle car utilisée comme référence. A la suite des vaccinations par vo, l'ag est detecte dans la lamina propria et dans les organes systémiques, où il est transporte jusqu'aux cellules immunocompetentes. En réponse a cette stimulation antigénique des cellules b-like et/ou des plasmocytes apparaissent dans l'intestin au niveau de la lamina propria, puis dans la rate et le rein. Contrairement aux cellules intestinales issues de la lamina propria et aux cellules rénales qui possèdent une aptitude a la phagocytose et sont capables de sécréter des ac, aucune activité comparable n'est mise en évidence sur les cellules issues de la lamina epithelialis. Les réponses observées dans l'intestin restent modérées. A la suite d'une vaccination par vo, une réponse immunitaire locale et générale existe donc et ceci malgré l'absence d'ac anti-vibrio anguillarum, dans le mucus intestinal et dans le sérum. L’injection parentérale, a montré quant à elle que l'ag atteint les organes systémiques mais parvient également dans la lamina propria, dans laquelle une lymphoprolifération de cellules b-like est observée. De plus des ac sont détectés dans le plasma et le mucus indiquant que le système immunitaire général et intestinal sont conjointement sollicites. Enfin, l'étude d'un transfert passif d'immunité, démontre l'existence d'une réaction immunitaire humorale consécutive aux vaccinations par ip mais aussi par vo avec l'ag soluble, sans que la protection induite soit réellement attribuable aux ig.
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Berthault, Camille. « Etude des mécanismes menant à l'atrophie des organes lymphoïdes primaires dans le cadre de l'infection précoce par le virus de la maladie de Marek chez la poule ». Thesis, Tours, 2017. http://www.theses.fr/2017TOUR4023.

Texte intégral
Résumé :
L’infection par le virus de la maladie de Marek (MDV) induit chez les poussins une immunosuppression précoce et transitoire associée à une atrophie du thymus (TA) et de la bourse de Fabricius (BA). L’objectif de ce travail était de mieux comprendre les mécanismes cellulaires responsables de cette atrophie. La 1ère étape de mon travail a été d'établir un modèle d'infection in vivo menant à une BA et TA suffisante et reproductible. Une fois établi, ce modèle nous a permis d’étudier l’effet du MDV au sein de ces organes à 6, 10 et 14 jours post-infection. Les résultats indiquent que l'apoptose et l'inhibition de prolifération peuvent contribuer à la BA, tandis que seule l'augmentation de l'apoptose conduit à la TA. La numération des lymphocytes sanguins, a mis en évidence une diminution des lymphocytes B durant les 2 premières semaines post-infection concomitamment à la BA. Cette technique semble donc un outil prometteur non invasif pour diagnostiquer la BA induite par le MDV. Une différence de sensibilité à la TA et BA induite par le MDV a été mise en évidence dans deux lignées de poule White Leghorn d’haplotype B différents, toutes deux très sensibles au développement des tumeurs
Marek's disease virus (MDV) infection induces early and transient immunosuppression associated with atrophy of the thymus (TA) and the bursa of Fabricius (BA) in chicks. The aim of this work was to better understand the cellular mechanisms responsible for this atrophy. The first step in my work was to establish an in vivo infection model leading to a sufficient and reproducible BA and TA. Once established, this model allowed us to study the effect of MDV in these organs at 6, 10 and 14 days post-infection. The results indicate that apoptosis and inhibition of proliferation can contribute to BA, whereas only the increase in apoptosis leads to TA. The lymphocyte blood count showed a decrease in B-lymphocytes during the first 2 weeks of infection that seems related to BA. This technique therefore seems a promising non-invasive tool to diagnose BA at early times of MDV infection. A difference in sensitivity to MDV-induced TA and BA was found in two lines White Leghorn of different B haplotype, both of which very sensitive to tumor development
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Jamin, Agnès. « Caractérisation de cellules dendritiques dans les organes lymphoïdes secondaires et le sang du porc sain et étude de leur activation après infection par le virus de la peste porcine classique ». Rennes 1, 2006. http://www.theses.fr/2006REN1S122.

Texte intégral
Résumé :
Des cellules dendritiques conventionnelles (cDC) et plasmacytoïdes (pDC) immatures et semi-matures ont été identifiées dans les zones T des organes lymphoïdes secondaires et le sang de porcs sains. Après infection des porcs par le virus de la peste porcine classique, les DC deviennent matures et actives en 24 h en prenant en charge le virus pour initier la réponse immunitaire innée dans les zones T de l’amygdale. Les lymphocytes B activés co-localisées avec l’antigène viral E2 migrent des centres germinatifs vers les zones T de l’amygdale après 48 h. Les pDC sont recrutées dans le sang, mais le nombre de cDC et de lymphocytes y diminuent. Les pDC sont transitoirement activées les zones T de la rate, mais les cDC y expriment l’interleukine 10, induisant une réponse humorale et l’inhibition de l’activité des DC. Les grandes productions d’interféron alpha et de TNF alpha par les DC, pourraient induire l’apoptose des cellules non infectées et un dysfonctionnement des lymphocytes T
Conventional and plasmacytoid dendritic cells (cDC and pDC) were identified in secondary lymphoid organs and blood of healthy pigs. These DC were immature and semi-mature in T areas of these tissues. After in vivo classical swine fever virus infection, DC subsets loaded viruses, then became mature and active as early as 24 h in T areas, starting innate immune response in tonsil. B cells processed E2 viral antigen from germinal centres to T areas at 48 h post-infection, probably initiating humoral immune response. PDC were recruited in blood, where cDC and lymphocyte numbers decreased. PDC were transiently activated in T areas of spleen. However cDC expressing interleukin 10 induced humoral immune response and inhibited DC functionalities in spleen. High alpha interferon and tumor necrosis factor alpha secretions by DC subsets might be at the origin of uninfected cell apoptosis and T cell disruption
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Agrawal, Samir. « Activation des lymphocytes T périphériques chez l'homme : différences des signaux nécessaires à l'activation des lymphocytes T des organes lymphoïdes secondaires et du sang, une nouvelle voie de costimulation via les molécules du CMH I ». Paris 12, 1999. http://www.theses.fr/1999PA120023.

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Résumé :
Le modele d'activation des lymphocytes t par deux signaux propose que la stimulation du tcr doit etre accompagnee par un deuxieme signal de costimulation pour obtenir une reponse productive. Les cellules t naives, memoires et effectrices du sang presentent un degre variable de dependance vis a vis de la costimulation, les cellules naives etant les plus dependantes et les cellules effectrices les moins dependantes. Nous avons etudie des cellules t humaines issues d'organes lymphoides secondaires de lymphome b (nhl-til) ou de pathologie benigne (t reactionnels). Bien que le phenotype de ces cellules soit de type active/memoire (cd45ro+, hla-dr+, cd25+), les nhl-til et t reactionnels ne proliferent pas a l'activation par les stimuli utilises pour activer les t du sang. En outre, ce phenotype anergique est aussi associe a une resistance a l'apoptose induite par fas, un arret de proliferation au stade g0/g1 du cycle cellulaire et un niveau d'expression des molecules bcl-2 et bcl-x#l compatible avec un activation partielle in vivo. En utilisant des clones t humains, nous avons trouve un nouveau signal de costimulation specifique des lymphocytes t actives en agregeant leur complexe cmh classe i avec la molecule de surface des cellules nk, by55. Ces donnes ont ete appliques aux t normaux du sang dans lesquels la costimulation via l'agregation des cmh classe i n'est pas fonctionnelle au repos, quelque soit leur phenotype naif ou memoire. Cependant, quand les cellules t du sang sont activees, ils acquierent la capacite de reponse a l'agregation des cmh i. Nous avons montre recemment que les cellules t d'organes lymphoides secondaires sont encore plus dependantes de la costimulation que les t du sang et qu'ils necessitent une double stimulation par cd2 et cd28 pour une activation efficace. Ceci suggere que les cellules t specifiques de l'antigene pourraient etre exclusivement activees par une costimulation appropriee. Ainsi, le phenotype anergique de la population t des organes lymphoides secondaires peut refleter un mecanisme physiologique empechant une expansion cellulaire anarchique.
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Le, Coz Carole. « Quelle contribution du centre germinatif et de ses composants moléculaires et cellulaires dans la physiopathologie du lupus ? » Thesis, Strasbourg, 2014. http://www.theses.fr/2014STRAJ077.

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Résumé :
Le lupus érythémateux disséminé est une maladie auto-immune systémique très invalidante dont les atteintes sont multiples, les plus fréquentes étant cutanées, articulaires et rénales. Dans ce type de maladie, le système immunitaire, hyperactif, ne se limite pas à lutter contre des agents extérieurs mais s'attaque à ses propres cellules, entre autres par le biais d'auto-anticorps. Ces anticorps délétères sont produits par des plasmocytes, cellules issus de la différenciation des lymphocytes B. Ce processus se déroule principalement au sein des centres germinatifs (GC) dans les organes lymphoïdes secondaires, et fait intervenir de nombreux acteurs moléculaires et cellulaires. Mon projet de thèse a porté sur l'étude de la contribution du GC et de ses constituants, tels que les cellules auxiliaires folliculaires (Tfh) et l'IL-21, au cours du lupus. Au cours de ce travail, nous avons mis en évidence une altération à la fois quantitative et qualitative des cellules Tfh chez des patients lupiques et dans un modèle murin, altération entre autres responsable de taux anormalement élevés d'IL-21. Nous avons également observé une sensibilité accrue des cellules B de souris lupiques à cette cytokine, dont la cause est une surexpression de molécules clés telles que STAT3, et dont la conséquence est un surcroit de différenciation plasmocytaire. Tous les éléments sont donc présents pour favoriser l'interaction "Tfh-B" et la réaction du GC, et amplifier la réponse autoimmune. Enfin, la découverte de l'existence de GC ectopiques fonctionnels dans les reins de souris lupiques permet d'envisager l'existence de réponses locales au sein même des organes cibles. Les données obtenues, fondamentales, sont prometteuses et laissent entrevoir de nouvelles perspectives de biothérapies, plus ciblées, pour le traitement de la maladie lupique
Systemic lupus erythematosus is a disabling chronic autoimmune disease characterized by B cell hyperactivity leading to the production of autoantibodies, some of which exerting pathogenic effects. Autoantibodies are produced by plasma cells, which originate from the differentiation of B cells through a process that mainly takes place in germinal centers (GC) in secondary lymphoïd organs and involves many molecular and cellular parameters. The aim of my PhD project was to analyze the individual contribution of GC components, such as follicular helper T cells (Tfh) and IL-21, to lupus development. During this work, we have shown both a quantitative and qualitative impairment of Tfh cells in lupus patients and in a mouse model, leading, among other things, to high IL-21 levels. We also observed that B cells from lupus mice display a specific intrinsic sensitivity to this cytokine, due to over-expression of key molecules such as STAT3, which results in increased plasma cell differentiation. Thus, all elements are gathered that favor "Tfh-B" cell interactions and the GC reaction, and therefore the autoimmune response. Finally, the discovery of functional ectopic GC in the kidneys of lupus mice allows envisaging that local responses occur within the target organs and likely participate to kidney injury. The fundamental data we obtained are promising and anticipate new and better targeted biotherapies for lupus treatment
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Plus de sources

Chapitres de livres sur le sujet "Organes lymphoïdes"

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« Système immunitaire et organes lymphoïdes ». Dans Embryologie et Histologie Humaines, 307–30. Elsevier, 2016. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-73779-4.00012-3.

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