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Articles de revues sur le sujet « Parasitoses intestinales »

Auteur : Grafiati
Publié le 29 mars 2025

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Faussart, A., et M. Thellier. « Parasitoses intestinales ». EMC - Traité de médecine AKOS 2, no 4 (janvier 2007) : 1–8. http://dx.doi.org/10.1016/s1634-6939(07)45408-4.

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2

Pariente, Alexandre. « Parasitoses intestinales ». EMC - Traité de médecine AKOS 1, no 3 (1998) : 1–2. https://doi.org/10.1016/s1634-6939(20)30599-8.

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3

Bourée, P. « Parasitoses intestinales infantiles ». Perfectionnement en Pédiatrie 1, no 4 (décembre 2018) : 257–64. http://dx.doi.org/10.1016/j.perped.2018.10.003.

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4

Bourée, P. « Parasitoses intestinales infantiles ». EMC - Pédiatrie - Maladies infectieuses 6, no 2 (janvier 2011) : 1–9. http://dx.doi.org/10.1016/s1637-5017(11)72487-5.

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5

Bourée, Patrice. « Parasitoses intestinales infantiles ». EMC - Traité de médecine AKOS 1, no 1 (janvier 2006) : 1–5. http://dx.doi.org/10.1016/s1634-6939(06)75636-8.

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Bourée, P. « Parasitoses intestinales infantiles ». Journal de Pédiatrie et de Puériculture 26, no 5 (octobre 2013) : 268–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2013.07.010.

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7

Bourée, Patrice, Aurélia Lançon et Paula Resende. « Parasitoses intestinales émergentes ». Revue Francophone des Laboratoires 2008, no 399 (février 2008) : 23–28. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(08)70179-5.

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8

Desoubeaux, Guillaume, et Thanh Hai Duong. « Parasitoses intestinales cosmopolites ». Actualités Pharmaceutiques 50, no 509 (octobre 2011) : 24–29. http://dx.doi.org/10.1016/s0515-3700(11)71045-x.

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Desoubeaux, Guillaume, et Thanh Hai Duong. « Parasitoses intestinales cosmopolites ». Option/Bio 22, no 456-457 (juin 2011) : 11–16. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(11)70802-9.

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10

Bourée, P. « Parasitoses intestinales infantiles ». EMC - Traité de médecine AKOS 19, no 3 (juillet 2016) : 1–10. https://doi.org/10.1016/s1634-6939(16)56912-9.

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Bourée, Patrice. « Parasitoses intestinales infantiles ». EMC - Traité de médecine AKOS 3, no 2 (2000) : 1–5. https://doi.org/10.1016/s1634-6939(20)30775-4.

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Bourée, Patrice. « Parasitoses intestinales infantiles ». EMC - Pédiatrie - Maladies infectieuses 20, no 3 (2000) : 1–5. https://doi.org/10.1016/s1637-5017(19)30245-5.

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Bourée, P. « Parasitoses intestinales et immunofluorescence ». Médecine et Santé Tropicales 23, no 2 (avril 2013) : 159. http://dx.doi.org/10.1684/mst.2013.0193.

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Bourée, P. « Les parasitoses intestinales courantes ». Journal de Pédiatrie et de Puériculture 1, no 4 (mai 1988) : 198–203. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7983(88)80084-7.

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Collet, Lionel, Patrice Bourée, Silvie Olivier et Yves Cazal. « Les parasitoses intestinales à Mayotte ». Revue de biologie médicale 346, no 1 (1 février 2019) : 63–65. https://doi.org/10.3917/rbm.346.0063.

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Résumé :
À l’occasion du cas d’un enfant mahorais atteint d’ascaridiose à Mayotte, un bilan des parasitoses intestinales dans cette île a été réalisé. Il a révélé une régression de leur prévalence depuis 2008.
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Bourée, P. « Les parasitoses intestinales sont encore fréquentes ». Médecine et Santé Tropicales 25, no 2 (avril 2015) : 130. http://dx.doi.org/10.1684/mst.2015.0459.

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Prieux-Klotz, C., M. C. Sabate Ferris, L. Gan, X. Bohand et P. Rey. « Traitement des parasitoses intestinales (amœbose exclue) ». EMC - Gastro-entérologie 41, no 2 (avril 2024) : 1–15. https://doi.org/10.1016/s1155-1968(23)45969-x.

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Gétaz et, Laurent, François Chappuis et Louis Loutan. « Parasitoses intestinales et hépatiques : diagnostic et traitement ». Revue Médicale Suisse 3, no 111 (2007) : 1254–58. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2007.3.111.1254.

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Nicolas, Xavier, Benoît Chevalier, Francis Klotz et Fabrice Simon. « Traitement des parasitoses intestinales (amibiase et mycoses exclues) ». EMC - Gastro-entérologie 1, no 1 (janvier 2006) : 1–14. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1968(06)74186-4.

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Nicolas, Xavier, Benoît Chevalier, Francis Klotz et Fabrice Simon. « Traitement des parasitoses intestinales (amibiase et mycoses exclues) ». EMC - Maladies infectieuses 1, no 1 (janvier 2004) : 1–14. http://dx.doi.org/10.1016/s1166-8598(04)73876-4.

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Nicolas, Xavier, Benoît Chevalier, Francis Klotz et Fabrice Simon. « Traitement des parasitoses intestinales (amibiase et mycoses exclues) ». EMC - Maladies infectieuses 19, no 1 (2002) : 1–14. https://doi.org/10.1016/s1166-8598(20)30274-x.

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Émile, Carole. « Parasitoses intestinales, quand y penser et quels examens réaliser ? » Option/Bio 32, no 655-656 (juillet 2022) : 26–27. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(22)00161-1.

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Bouchaud, Olivier. « Infections et parasitoses intestinales aiguës : il est urgent d’éclairer la « boîte noire » ! » La Presse Médicale 42, no 1 (janvier 2013) : 42–44. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpm.2012.09.018.

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Missohou, Ayao, Grégoire Nahimana, Simplice Bosco Ayssiwede et Mbacké Sembene. « Elevage caprin en Afrique de l’Ouest : une synthèse ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no 1 (4 juillet 2016) : 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31167.

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Résumé :
L’Afrique de l’Ouest, avec 37,2 % du cheptel caprin continental, est l’un des principaux bassins d’élevage de cette espèce au rôle socio-économique parti­culièrement important. La chèvre est élevée dans des zones agroécologiques et dans des systèmes variés, mais elle est surtout présente dans les régions les plus arides où elle joue un rôle de subsistance et de sécurisation des systèmes agraires de premier plan. Les systèmes d’élevage sont surtout traditionnels (pas­toral, agropastoral et sédentaire) et accessoirement périurbains. La productivité des élevages caprins est faible. L’âge à la première mise bas est en moyenne de 15,3 mois pour un intervalle entre mises bas moyen de 295,8 jours et une prolificité de 1,46. Celle-ci est cependant plus élevée chez la chèvre naine où elle peut atteindre 1,85. La mortalité présevrage des chevreaux est très élevée et constitue l’une des principales contraintes de l’élevage caprin en Afrique de l’Ouest. Elle est due aux pneumopathies, en particulier à la peste des petits ruminants, et aux parasitoses gastro-intestinales. Les performances de croissance sont également faibles avec des poids moyens à 12 mois d’âge ne dépassant 20 kg que chez quelques rares types génétiques. Pour améliorer la productivité en élevage caprin il a été proposé : a) de réduire la mortalité présevrage en met­tant un accent particulier sur la lutte contre les parasitoses gastro-intestinales, b) de mettre en place une complémentation stratégique basée sur une utilisa­tion digestive optimale d’aliments grossiers, et c) de développer des programmes d’amélioration génétique faisant appel à la gestion communautaire de base dans un contexte socioprofessionnel renforcé.
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Coulaud, J. P., S. Matheron, A. M. Deluol, P. M. Girard et C. Michon. « Les parasitoses intestinales chez l'homosexuel masculin et au cours du syndrome d'immunodeficience acquise ». Médecine et Maladies Infectieuses 17, no 10 (octobre 1987) : 549–53. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(87)80322-0.

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Lango-Yaya, Ernest, Donatien Clotaire Rafai, Tatiana Ngalema, Freddy Marcelin Agboko, Romaric Lebon Bondom et Marcellin Namzeka. « Prevalence Des Infections Parasitaires Dues Aux Protozoaires Identifies Au Laboratoire National De Biologie Clinique Et De Sante Publique, Bangui Republique Centrafricaine ». European Scientific Journal, ESJ 17, no 21 (30 juin 2021) : 115. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p115.

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Résumé :
Les Protozoaires sont des parasites de petite taille, de forme diverses parmi lesquels on distingue les Protozoaires intestinaux (Amibes, Flagellés, Coccidies, Ciliés et Microsporidies) qui sont les plus répandus. Selon l’OMS, les parasitoses intestinales constituent un problème de santé publique dans le monde en général et en Afrique en particulier. Les formes graves sont généralement provoquées par certains protozoaires intestinaux à savoir Entamoeba histolytica, Giardia intestinalis et Trichomonas intestinalis qui jouent un rôle dans la survenue du syndrome dysentérique. C’est dans ce contexte que cette étude est menée dans l’objectif est d’évaluer la prévalence des Protozoaires digestifs selon leur degré de pathogénicité chez les patients. La mise en évidence des parasites a été effectuée par la technique de Formolether et de l’examen à l’état frais. Cette étude a montré que sur 11500 patients, 3922 soit 34,1% étaient parasités. Parmi les patients parasités le sexe féminin était prédominant avec un pourcentage de 57,51%. La tranche d’âge la plus touchée est celle comprises entre 20 à 29 ans (39,4%), les enfants de moins de 1 an étaient moins touchés (1,2%). Le parasite le plus représentatif est le kyste d’Entamoeba histolytica 30,40% suivi de Trichomonas intestinalis 1,4%. L’amibiase, la giardiose et la trichomonose restent les protozooses les plus pathogènes associées à l’hygiène défectueuse et du péril fécal. Protozoa are parasites of small size, of various shapes, among which we distinguish the intestinal Protozoa (Amoeba, Flagellates, Coccidia, Ciliates and Microsporidia) which are the most widespread. According to WHO, intestinal parasitosis is a public health problem in the world in general and in Africa in particular. The severe forms are generally caused by certain intestinal protozoa namely Entamoeba histolytica, Giardia intestinalis and Trichomonas intestinalis which play a role in the occurrence of dysenteric syndrome. It is in this context that this study is being carried out with the objective of assessing the prevalence of digestive protozoa according to their degree of pathogenicity in patients. The detection of the parasites was carried out by the formalin-ether technique and the examination in the fresh state. This study showed that out of 11,500 patients, 3,922 or 34.1% were parasitized. Among the parasitized patients the female sex was predominant with a percentage of 57.51%. The most affected age group is between 20 to 29 years old (39.4%), children under 1 year old were less affected (1.2%). The most representative parasite is the Entamoeba histolytica cyst 30.40% followed by Trichomonas intestinalis 1.4%. Amebiasis, giardiasis and trichomoniasis remain the most pathogenic protozoa associated with poor hygiene and faecal hazard.
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Baba, Ould Ahmed Salem Cheikh, Bent Mohamed Aminetou, Ousmane Ba, Koita Mouhamedou, Dem Elhdj, Hamidou Samba, Mohamed Ould Abdallahi et Baidy Lo. « Prévalence des parasitoses intestinales chez les écoliers dans les Wilayas du Gorgol, Guidimagha et Brakna (Mauritanie) ». Revue Francophone des Laboratoires 2012, no 440 (mars 2012) : 75–78. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(12)71367-9.

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Gbadoé, A. D., et K. S. Koffi. « Parasitoses intestinales chez les enfants de moins de cinq ans au Togo et recommandations de la PCIME ». Archives de Pédiatrie 12, no 9 (septembre 2005) : 1404. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2005.05.013.

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El Idrissi, A. L. « [Prevalence of intestinal parasites disease in three provinces in Morocco] ». Eastern Mediterranean Health Journal 5, no 1 (1 mai 1999) : 86–102. http://dx.doi.org/10.26719/1999.5.1.86.

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Résumé :
Une étude sur les parasitoses intestinales a été réalisée au niveau des provinces de Taounate, Béni Meilal et Tiznit [Maroc]. Elle a porté sur un échantillon de 1682 personnes, représentatif des deux milieux urbain et rural. Pour chaque prélèvement de selles, trois examens directs entre lame et lamelle ont été pratiqués ainsi qu’un examen selon la technique qualitative de Kato. Cette étude a montré qu’environ deux tiers des habitants du milieu rural des trois provinces sont parasités, alors qu’en milieu urbain environ une personne sur deux l’est. La similitude dans les trots provinces est en faveur de la généralisation des résultats trouvés au reste des provinces du pays. Parmi les groupes de parasites trouvés, le groupe des amibes vient en tète, suivi des flagellés puis des helminthes. Quant aux espèces pathogènes, c’est Entamoeba histolytîca dans le groupe des amibes qui a été le plus fréquemment rencontré. Tous les cas positifs ont été traités par le médicament spécifique
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Andrade, I. D., G. Y. Muñiz Granoble, N. N. Álava R. et B. S. Cerezo Leal. « Prevalencia de parasitosis intestinal en escolares de 5 a 9 años del barrio Las Penas de la ciudad de Guayaquil 2020 ». Boletín de Malariología y Salud Ambiental 61, no 2 (2021) : 185–94. http://dx.doi.org/10.52808/bmsa.7e5.612.007.

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Résumé :
Los parásitos intestinales son uno de los principales factores etiológicos de las enfermedades infecciosas humanas a nivel mundial estimándose que las infecciones parasitarias (IP), causadas por parasitos protozoarios y helmintos, representan el 25% de las enfermedades infecciosas humanas. Las parasitosis afectan en especial a la poblacion infantil en etapa escolar. El objetivo fue establecer la prevalencia de parasitosis intestinal en escolares de 5 a 9 años del barrio Las Penas de la ciudad de Guayaquil 2020. Se estudiaron 297 muestras de heces de escolares, por métodos coproparasitologícos, resultando 135 positivas para parásitos intestinales, arrojando una prevalencia de 45,45 % para la muestra en estudio, al estraficar la prevalencia por edad, se demostró una asociación altamente significativa con p valor de p=0,0002203*** para está variable categorica y presencia de parasitos intestinales, evidenciándose que los niños de 5 y 6 años de edad, reportaron la prevalencia mas alta para parasitos intestinales con 21,48 % y 25,19 % respectivamente. Las muestras en estudio resultaron positivas para helmintos (Ascaris lumbricoides con 68,15 %.) y protozoarios intestinales (Entamoeba histoliytica/dispar con 60%). Con todo lo antes descrito se puede concluir que existe una alta frecuencia de parasitosis intestinal en escolares de 5 a 9 años del barrio Las Penas de la ciudad de Guayaquil, 2020.
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Bengone-Ndong, T., E. Adjomo-Mba, M. N. Mabika-Moussavou, F. Meza, M. Kombila et M. Alvinerie. « Propriétés cinétiques et thérapeutiques des lactones macrocycliques endectocides, doramectine et moxidectine, chez le bovin N’Dama (Bos taurus) au Gabon ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 63, no 1-2 (1 janvier 2010) : 17. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10104.

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Résumé :
La cinétique plasmatique et l’efficacité de la doramectine et de la moxidectine ont été étudiées chez le bovin de race taurine N’Dama après administration sous-cutanée à la dose recommandée pour les bovins (0,2 mg/kg). Les valeurs du temps de demi-absorption ont montré une absorption significativement plus rapide de la moxidectine (0,05 jour pour la moxidectine contre 1,7 jour pour la doramectine). Les concentrations maximales obtenues n’ont pas été statistiquement différentes, mais elles ont été atteintes plus rapidement avec la moxidectine (0,3 jour) qu’avec la doramectine (4,8 jours). L’exposition, mesurée par l’aire sous la courbe, a été plus importante pour la doramectine (458 ng.jour/ml) que pour la moxidectine (159 ng.jour/ml), alors que la moxidectine a semblé plus rémanente. Les deux molécules ont présenté une efficacité de 100 p. 100 entre les quinzième et trentième jours qui ont suivi le traitement. Ces résultats sont comparables à ceux obtenus chez les autres races taurines de bovins. La doramectine et la moxidectine peuvent donc être recommandées dans la lutte contre les parasitoses gastro-intestinales de la vache N’Dama en région tropicale humide.
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AUMONT, G., R. POUILLOT, R. SIMON, G. HOSTACHE, H. VARO et N. BARRÉ. « Parasitisme digestif des petits ruminants dans les Antilles françaises ». INRAE Productions Animales 10, no 1 (7 février 1997) : 79–89. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3979.

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Résumé :
Les parasitoses digestives, pathologie majeure des petits ruminants de la zone Caraïbe, sont dues essentiellement à une espèce de Nématode "Haemonchus contortus" et, dans une moindre mesure, à une espèce de Cestode, "Moniezia" sp., et un ensemble de protozoaires du genre "Eimeria". Des études en station expérimentale et en fermes ont permis de définir les dynamiques des larves infestantes d’Haemonchus contortus et de "Trichostrongylus colubriformis" sur le pâturage. Les risques d’infestation parasitaire ont été ensuite quantifiés par des modélisations et des simulations selon la saison, l’irrigation, la biomasse herbacée sur le pâturage et le mode de gestion du pâturage. En Guadeloupe, la diversité faunistique des populations vermineuses est faible : 10 espèces. Les prévalences d’Haemonchus sp. et "Trichostrongylus" spp. varient entre 80 et 100 %. Les incidences dépassent très fréquemment 60 % par mois pour ces genres. Les facteurs relatifs à l’eau (irrigation, régions sèches ou humides) ou à la réceptivité des hôtes (âge par exemple) sont les principales sources de variation du risque d’infestation parasitaire par les strongles digestifs. Plus des trois quarts de la mortalité avant le sevrage (soit 40 %) sont liés pour tout ou partie aux strongles gastro-intestinaux. L’utilisation fréquente des anthelminthiques a induit l’apparition de résistances d’Haemonchus contortus aux benzimidazoles dans toute la Guadeloupe et la Martinique. Les études en fermes ont confirmé que les strongyloses gastro-intestinales sont la pathologie dominante des petits ruminants des petites Antilles. Les recherches pour améliorer les techniques d’élevage au pâturage menées à l’Unité de Recherches Zootechniques de l’INRA (rotation, pâturage mixte avec les bovins) tiennent compte des répercussions des strongyloses sur les productions. Des études sont menées sur la résistance génétique aux strongles digestifs chez les caprins Créoles et l’intérêt de complémentations alimentaires dans des plans de lutte intégrée contre ces parasitoses.
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Visser, Silvia, Leandro Luiz Giatti, Ricardo Augusto Chaves de Carvalho et Jose Camilo Hurtado Guerreiro. « Estudo da associação entre fatores socioambientais e prevalência de parasitose intestinal em área periférica da cidade de Manaus (AM, Brasil) ». Ciência & ; Saúde Coletiva 16, no 8 (août 2011) : 3481–92. http://dx.doi.org/10.1590/s1413-81232011000900016.

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Résumé :
Este estudo teve como objetivo avaliar a associação entre fatores socioambientais e condições de saneamento urbano com a prevalência de parasitoses intestinais, em uma comunidade na periferia da cidade de Manaus. O estudo consistiu de um levantamento socioambiental e de um inquérito parasitológico. Foi encontrada uma comunidade heterogênea, apresentando diferenças em relação aos níveis socioeconômicos e ambientais entre as micro-áreas avaliadas, embora as condições de saneamento básico da comunidade tenham-se mostrado precárias de uma forma geral. A prevalência de parasitose intestinal foi de 44,2%. Não foi identificada diferença significativa entre as micro-áreas com respeito à ocorrência de parasitoses intestinais. Houve associação entre parasitoses intestinais e tipo de construção residencial, faixa etária e procedência da água de higiene pessoal e do lar. O despejo do esgoto a céu aberto foi fator de risco associado a parasitoses intestinais (OR=6,72; p=0,034) e a protozoários intestinais (OR=21,87; p=0,004). Foram fatores de risco, apenas para a presença de protozoários, o despejo de esgoto em igarapé (OR=12,98; p=0,011) e o uso de fossa rudimentar (OR=9,54; p=0,019).
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Guamri, Y. El, D. Belghyti, A. Achicha, M. Tiabi, N. Aujjar, A. Barkia, K. El Kharrim et al. « Enquête épidémiologique rétrospective sur les parasitoses intestinales au Centre hospitalier provincial El Idrissi (Kénitra, Maroc) : bilan de 10 ans (1996-2005) ». Annales de biologie clinique 67, no 2 (mars 2009) : 191–202. http://dx.doi.org/10.1684/abc.2009.0313.

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Saotoing, P., R. Djonyang, D. D. Dereng et A. M. Njan Nlôga. « Enquête épidémiologique sur les parasitoses urinaires et intestinales chez les élèves des écoles primaires de l’arrondissement de Maga, Extrême-Nord Cameroun ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 10, no 1 (8 août 2016) : 344. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v10i1.26.

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Diouf, S., I. Diagne, C. Moreira, S. Y. H. Signate, O. Faye, O. Ndiaye, A. Sylla et al. « Traitement intégré de la carence en fer, de l’avitaminose A et des parasitoses intestinales : impact sur la croissance des enfants sénégalais ». Archives de Pédiatrie 9, no 1 (janvier 2002) : 102–3. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(01)00704-7.

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Silva, Millena Carla de Albuquerque, Fabrícia da Silva Mesquita et Nayze Lucena Sangreman Aldeman. « COMPLICAÇÕES DECORRENTES DAS PARASITOSES INTESTINAIS : REVISÃO BIBLIOGRÁFICA E PARASITOS MAIS PREVALENTES ». Centro de Pesquisas Avançadas em Qualidade de Vida 16, V16N1 (2024) : 1. http://dx.doi.org/10.36692/v16n1-135r.

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Résumé :
As parasitoses intestinais são um grupo de doenças causadas por parasitos que invadem o sistema gastrointestinal, aderem à parede intestinal e utilizam condições ambientais favoráveis para alimentação e reprodução. Para esta revisão, adotou-se um estudo bibliográfico de livros, revistas, legislação e uso de notícias. Após a busca, 6 dos artigos apresentados pertencem à Scielo e 5 à PubMed, dos quais 3 artigos são do ano de 2013, e dois artigos do ano de 2009, os demais são publicações dos últimos 20 anos. Dentre as parasitoses de importância médica, a mais comum foi a Giardia lamblia (12,8%), diagnosticada na forma de cistos. Também foi encontrada alta frequência de leveduras (28,9%). Entre as parasitoses não patogênicas, dentre os parasitos oportunistas a maior frequência foi Entamoeba coli (15,5%). No presente estudo, foi encontrada alta prevalência de parasitoses na população, principalmente entre classes socioeconômicas desfavorecidas, bem como em grupos de crianças em idade escolar, o que está de acordo com relatos de outros autores que denominam essa faixa etária a mais vulneráveis a este tipo de infecção.
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Machado, Renato Carlos, Euzélia Lidubino Marcari, Siamar de Fátima Vechiato Cristante et Cláudia Márcia Aparecida Carareto. « Giardíase e helmintíases em crianças de creches e escolas de 1° e 2° graus (públicas e privadas) da cidade de Mirassol (SP, Brasil) ». Revista da Sociedade Brasileira de Medicina Tropical 32, no 6 (décembre 1999) : 697–704. http://dx.doi.org/10.1590/s0037-86821999000600013.

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O presente trabalho mostrou freqüências diferentes de parasitoses intestinais (giardíase e helmintíases) entre crianças de pré-escolas e de escolas de 1 e 2 Graus, públicas e privadas. Pesquisou-se 199 indivíduos, sendo 96 pertencentes às instituições públicas e 103 pertencentes às instituições particulares. Nas instituições públicas as freqüências de giardíase foram maiores que nas instituições privadas. Para as helmintíases, as freqüências foram semelhantes entre as creches, porém maiores na escola pública em relação à particular. Indicadores do nível sócio-econômico, de escolaridade, de saneamento básico, como determinantes de parasitose intestinal, evidenciaram que as maiores freqüências de parasitoses ocorreram tanto entre as crianças de baixa renda quanto entre as que tinham pais com nível de escolaridade mais baixo. Também a origem das hortaliças foi um fator significativo para determinação destas parasitoses.
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Ramos, Mariana Cristina de Assis, Girley Francisco Machado De Assis et Michel Rodrigues Moreira. « Ocorrência de parasitos intestinais no município de Governador Valadares, Minas Gerais ». Brazilian Journal of Development 9, no 4 (21 avril 2023) : 14232–45. http://dx.doi.org/10.34117/bjdv9n4-116.

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Introdução: As parasitoses intestinais representam um grave problema de saúde pública, com elevada prevalência em países tropicais. Objetivo: Avaliar a ocorrência de parasitos intestinais detectados em laboratórios de análises clínicas do município de Governador Valadares, Minas Gerais. Metodologia: O estudo foi realizado no período de setembro/2014 a março/2015, Cada laboratório preencheu uma planilha diariamente, informando o quantitativo de exames realizados, quantos foram positivos e quais os parasitos encontrados, considerando gênero e faixa etária dos pacientes. O grupo “outras parasitoses” incluiu Entamoeba coli, Endolimax nana e Iodamoeba butschlii. Resultados: No total, os sete laboratórios realizaram 27.448 exames parasitológicos, sendo 18,2 % positivos. A taxa de exames alterados foi significativamente mais alta no único laboratório que realizava atendimento exclusivamente pelo Sistema Único de Saúde. O percentual estimado de crianças com parasitoses intestinais foi significativamente maior quando comparado com o grupo dos adultos, entretanto, não houve diferença significativa entre as taxas estimadas para os gêneros masculino e feminino. Entamoeba histolytica foi o parasito mais prevalente (7,5%), seguido pelos parasitos do grupo “outras parasitoses” (6,1%), Giardia spp. (2,3%), Ascaris lumbricoides (1,4%), Schistossoma mansoni (1,0%), Strongyloides stercoralis (0,3%), Hymenolepis nana (0,3%), Enterobius vermicularis (0,2%), Ancilostomídeos (0,2%), Taenia spp (0,05%), e Trichuris trichiura (0,02%). Conclusão: A ocorrência de parasitos intestinais em Governador Valadares é alta, com destaque para parasitos transmitidos através da água, principalmente entre as crianças e a população atendida pelo Sistema Único de Sáude, sendo necessário maior investimento financeiro por parte dos governantes para diminuir as taxas destas parasitoses.
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Savadogo, B., MD Bengaly, D. Zongo, AN Zeba, JN Poda, D. Dianou et AS Traore. « Anémie et parasitoses (intestinales et urinaires) chez les enfants d’âge scolaire au Burkina Faso : cas des écoles de Yamtenga, Daguilma et Koubri ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no 3 (9 septembre 2015) : 1459. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i3.28.

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Mpoame, M., et L. I. Essomba. « Essai de traitement contre des parasitoses gastro-intestinales du poulet avec des décoctions aqueuses de graines de papaye (Carica papaya) ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no 1 (1 janvier 2000) : 23. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9761.

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Résumé :
Entre avril et septembre 1998, un essai de traitement utilisant les graines de papaye (Carica papaya) a été conduit sur 60 poulets de race locale dans six exploitations infestées par Heterakis sp., Capillaria sp., Eimeria sp. Dans chaque exploitation, les poulets ont été répartis dans trois lots comportant des infestations équivalentes : un lot témoin (non traité), un lot traité à la décoction aqueuse de graines de papaye au taux de 5 g de poudre de graines de papaye par litre d'eau et un lot traité à 10 g/l. Alors qu'en général le nombre d'oeufs et d'oocystes par gramme de fèces (opg) posttraitement a toujours augmenté dans le lot témoin, il a baissé dans les lots traités infestés par Heterakis sp. et Eimeria sp. (40-65 p. 100 de taux de réduction) et s'est maintenu pour Capillaria sp. Ces résultats attestent des effets thérapeutiques des graines de C. papaya contre certains parasites gastro-intestinaux du poulet. Ces effets sont attribuables soit à une activité parasiticide directe soit à une inhibition de la production d'oeufs et d'oocystes des parasites.
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Alphonse, lufuluabu mpemba, Tshishimbi kalala Jean Hubert et Tshodi bulanda Arsène. « Impact of the season and prevalence of intestinal parasitosis at the Notre Dame de l’Espérance University Hospital Center ». F1000Research 14 (9 janvier 2025) : 50. https://doi.org/10.12688/f1000research.160135.1.

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Background Intestinal parasitoses are one of the main causes of morbidity and mortality in Africa, with a prevalence of 42.18%. The tropical climate in the D.R. Congo provides parasites with an environment conducive to their proliferation. The prevalence rates of intestinal parasitoses remain poorly understood in the D.R. Congo. Objective This study aims to estimate the overall and specific prevalence of intestinal parasitosis and to determine an association between intestinal parasitosis and the season. Methods From January 1, 2020, to December 31, 2021, patients for whom a direct stool examination was requested at the Notre Dame de l’Espérance University Hospital Center were included in this study. Stool samples were collected and examined under an optical microscope. Results During the period of the study, we recorded 187 patients aged 2 to 77 years. The prevalence of intestinal parasitosis was 75.40%. The specific prevalence rates for parasites were as follows: Entamoeba H., the most common, with a prevalence of 55.08%, followed by Trichomonas I. and Giardia L. with respective prevalence rates of 9.09% and 6.24%. Ascaris L. had a prevalence of 27.81%, followed by Schistosoma M., Ankylostoma D., and Enterobius V. with respective prevalence rates of 3.74%, 1.60%, and 1.07%. There was no association between the season and the overall prevalence of intestinal parasitosis. Conclusion The prevalence of intestinal parasitosis was higher during the dry season. There is no statistically valid association between the season and the prevalence of intestinal parasitosis.
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Silva, Jéferson Pereira da. « Parasitose intestinal humana : estudo narrativo acerca das publicações científicas ». Scire Salutis 10, no 3 (9 juillet 2020) : 1–11. http://dx.doi.org/10.6008/cbpc2236-9600.2020.003.0001.

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A parasitose intestinal é acometida por microrganismos infecciosos que estão intrinsicamente relacionados a condições de precariedade sanitária, condições de moradias e em alguns casos ausência de informação quanto à higiene, tornando-se assim grande problemática de saúde púbica de repercussão mundial inclusive no Brasil com números considerados elevados de mortalidade. A OMS divulgou no ano de 2000 que em média 3,5 bilhões de pessoas foram acometidos, dentre elas mais de 450 milhões eram crianças. Assim surge a inquietação frente como tem se dado estudos científicos epidemiológicos das parasitoses intestinais humana, publicados a partir deste ano 2000 no Brasil, bem como levantar estudos frente a identificações dos parasitas que possui tropismo Intestinal sua etiologia, morfologia e sinais e sintomas da doença. Além disso, contribuir e cooperar para conhecimento desta problemática permeando um direcionamento para planejamentos, profilaxia, educação em saúde a partir dos estudos existentes. Este estudo se efetiva a partir de revisão bibliográfica de cunho qualitativo narrativo de artigos científicos completos dispostos no Google Acadêmico e SiELO com buscas a partir dos descritores: Perfil Epidemiológico; Parasitologia e Parasitose Intestinal Humana e Livros que retratem essa temática. Do qual não fora encontrado trabalhos com datas recentes. Este estudo se encontra organizado em III capítulos, sendo abordado no I – Resumo, Introdução e Perfil Epidemiológico; II- Epistemologia do Estudo da Parasitose no Brasil e por fim III- Discrição das Parasitoses Intestinal Humana e Considerações Finais. Logo, foi possível contatar que mesmo com grande incidência de casos acometidos ainda a precariedade de publicações de artigos científicos que permeiam esta temática no Brasil, no entanto há existência de materiais tais como livros de autores renomados e manuais disposto pelo ministério da saúde que descreve com excelência os conceitos, parasitas sinais e sintomas das doenças parasitarias intestinal conforme pode ser descrito neste trabalho.
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Soares, Izabel Aparecida, Ana Paula Zotti, Eduarda Socovoski Gnoatto, Franciele Pletsch et Glenda Mariana Cantoni Brock. « PARASITOSES INTESTINAIS EM CRIANÇAS DE CENTROS MUNICIPAIS DE EDUCAÇÃO INFANTIL ». Varia Scientia - Ciências da Saúde 6, no 1 (31 juillet 2020) : 9–17. http://dx.doi.org/10.48075/vscs.v6i1.24603.

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Parasitoses intestinais, doenças cujos agentes etiológicos são helmintos ou protozoários, os quais, em pelo menos um dos períodos do ciclo evolutivo, localizam-se no aparelho digestivo do ser humano. As crianças com idade escolar representam a maioria dos acometidos, causando graves consequências ao seu crescimento e desenvolvimentos físico e mental. O objetivo deste trabalho foi verificar se há casos de contaminação por parasitas intestinais em crianças em dois centros municipais de educação infantil no município na região Oeste do Paraná. Os dados foram obtidos através de exames parasitológicos realizados em crianças com idade de 3 a 4 anos. Para que as crianças participassem da pesquisa, os pais e/ou responsáveis assinaram um Termo de Consentimento Livre e Esclarecido (TCLE), para autorizarem a participação de seus filhos e um kit contendo o coletor e um manual explicativo de como fazer a coleta das fezes. As amostras foram enviadas para um laboratório clínico para a realização das análises pelos métodos de Hoffman, Pons e Janer e Faust e cols. Para os pais e/ou responsáveis que aceitaram participar da pesquisa, foi aplicado um questionário para avaliar as variáveis quanto ao conhecimento e as atitudes sobre as parasitoses intestinais. Foram obtidas 48 amostras e destas, um caso de parasitose intestinal, Giardia lamblia. O conhecimento dos pais em relação aos sintomas indicativos de parasitoses intestinais, estes relataram que 13% das crianças apresentaram sintomas como: diarreia, cólicas abdominais, emagrecimento, náuseas e vômitos; e 87% das crianças não apresentaram. Assim, as crianças investigadas apresentaram baixo índice de parasitoses intestinais.
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Araújo, Bruno S. de, João F. dos Santos, Alany S. Oliveira et Tahise da S. Neiva. « Análise comparativa dos índices de parasitoses intestinais, avaliada em duas etapas diferentes, no povoado de Matinha dos Pretos, Feira de Santana, Bahia, Brasil ». SITIENTIBUS série Ciências Biológicas 7, no 1 (1 avril 2007) : 10–14. http://dx.doi.org/10.13102/scb8125.

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Résumé :
O Laboratório de Análises Clínicas da UEFS realizou, em 2000, um estudo de identificação de anemias e parasitoses intestinais em 937 habitantes do povoado de Matinha dos Pretos, Feira de Santana/BA, onde verificou uma alta positividade dos parasitos intestinais (68,52%), em particular dos ancilostomatídeos (Ancylostomatidae, gênero Ancylostoma) (57,14%). Após cinco anos, o mesmo Laboratório reviu os índices de parasitoses desta população, com o intuito de verificar a nova situação da localidade. Para isto, procedeu-se a repetição da coleta de materiais para a realização dos exames parasitológicos de fezes. Os métodos utilizados foram a Sedimentação Espontânea ou Método de Lutz e o Método de Baermann-Moraes. Das 699 amostras coletadas, 62,52% demonstraram parasitos intestinais, com os maiores índices na faixa etária de 07 a 18 anos. Além disso, 46% destas evidenciaram um poliparasitismo com até seis tipos de espécies diferentes. Os parasitos mais freqüentes foram os ancilostomídeos e Entamoeba histolytica Schaudim, com valores percentuais iguais a 74,83% e 13,76% respectivamente. Com base nos resultados obtidos, verifica-se que a manutenção de altas taxas de parasitoses intestinais na localidade pode estar relacionada com a forma de transmissão, condições de vida e higiene da população, que são inadequadas e ineficientes.
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Araújo, Bruno S. de, João F. dos Santos, Alany S. Oliveira et Tahise da S. Neiva. « Análise comparativa dos índices de parasitoses intestinais, avaliada em duas etapas diferentes, no povoado de Matinha dos Pretos, Feira de Santana, Bahia, Brasil ». SITIENTIBUS série Ciências Biológicas 7, no 1 (1 avril 2007) : 10–14. http://dx.doi.org/10.13102/scb8125.

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Résumé :
O Laboratório de Análises Clínicas da UEFS realizou, em 2000, um estudo de identificação de anemias e parasitoses intestinais em 937 habitantes do povoado de Matinha dos Pretos, Feira de Santana/BA, onde verificou uma alta positividade dos parasitos intestinais (68,52%), em particular dos ancilostomatídeos (Ancylostomatidae, gênero Ancylostoma) (57,14%). Após cinco anos, o mesmo Laboratório reviu os índices de parasitoses desta população, com o intuito de verificar a nova situação da localidade. Para isto, procedeu-se a repetição da coleta de materiais para a realização dos exames parasitológicos de fezes. Os métodos utilizados foram a Sedimentação Espontânea ou Método de Lutz e o Método de Baermann-Moraes. Das 699 amostras coletadas, 62,52% demonstraram parasitos intestinais, com os maiores índices na faixa etária de 07 a 18 anos. Além disso, 46% destas evidenciaram um poliparasitismo com até seis tipos de espécies diferentes. Os parasitos mais freqüentes foram os ancilostomídeos e Entamoeba histolytica Schaudim, com valores percentuais iguais a 74,83% e 13,76% respectivamente. Com base nos resultados obtidos, verifica-se que a manutenção de altas taxas de parasitoses intestinais na localidade pode estar relacionada com a forma de transmissão, condições de vida e higiene da população, que são inadequadas e ineficientes.
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Camargo, Gabriela Leite de, Rafael Silveira Alves de Sa, Luiz Claudio de Assis Kneodler Junior, Sofia Barbosa da Costa Pimentel, Júlio César Delgado Correal, José Roberto Machado e. Silva et Paulo Vieira Damasco. « Enteroparasitoses na era da pandemia de coronavirus : experiencia de um hospital universitário público no rio de janeiro referência no atendimento de pacientes com SARS-CoV-2 ». Journal Archives of Health 5, no 2 (29 avril 2024) : e1644. http://dx.doi.org/10.46919/archv5n2-005.

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Résumé :
As doenças gastrointestinais causadas por parasitos intestinais (protozoários e helmintos) representam um desafio significativo para a saúde pública, particularmente em regiões carentes de saneamento básico e acesso à água potável. Este estudo analisou a prevalência desses parasitos em pacientes atendidos no maior hospital universitário do Rio de Janeiro (Hospital Pedro Ernesto) antes e durante a pandemia de COVID-19. Durante o período pré-pandemia (agosto de 2019 a março de 2020) e a pandemia (março de 2020 a abril de 2022), foram realizados exames coproparasitológicos pelos métodos de Lutz ou Hoffman, Pons e Janer, Kato-Katz e Baermann-Moraes. Dos 5.030 exames analisados, 33,1% foram realizados antes da pandemia e 72,7% durante ela. A prevalência geral de parasitoses intestinais foi de 4,3%. Protozoários comensais como Endolimax nana e Entamoeba coli foram mais comuns do que o patogênico, Giardia intestinalis. Além disso, a prevalência total de Strongyloides stercoralis foi 1,3%. A análise estatística não revelou diferenças significativas na prevalência de parasitos intestinais entre os dois períodos. A frequência de diarreia na série de casos de pacientes com coronavírus variou de 2 a 50%. Não registramos casos de pacientes com estrongiloidíase disseminada durante a pandemia de COVID-19.
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Alencar, Rodrigo Maciel, Liliane Coelho Da Rocha, Adilson Santos Andrade Júnior, Lara Isabelli Oliveira Da Silva, Jorge Rubens Coelho De Lima, José Gregorio Martinez et Cleiton Fantin. « Avaliação parasitológica em indígenas Yanomami da Amazônia brasileira ». Cuadernos de Educación y Desarrollo 16, no 1 (31 janvier 2024) : 3287–97. http://dx.doi.org/10.55905/cuadv16n1-170.

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Résumé :
Os parasitos intestinais infectam mais da metade da população mundial, sendo mais prevalentes nas regiões pobres. Para povos indígenas, são um problema de saúde pública que pode levar à anemia e à desnutrição, além de estarem associados a fatores demográficos e socioeconômicos. O objetivo deste trabalho foi comunicar resultados de prevalência total e específica de parasitoses intestinais em uma sociedade ameríndia tradicional dentro da Amazônia brasileira. Foram realizados exames coproparasitológicos em 22 indígenas pertencentes à comunidade indígena Yanomami, empregando-se as metodologias de Lutz ou Hoffmann, Pons e Janner para verificar a ocorrência de parasitos na amostra. As análises demonstraram que 41% foram positivas para presença de parasitos intestinais e 59% negativas, onde as espécies mais prevalentes foram Entamoeba coli, ancilostomídeos, Ascaris lumbricoides, Enterobius vermiculares e Hymenolepis nana. Os Yanomami vivem em condições de vulnerabilidade social, o presente estudo mostrou que as parasitoses intestinais são de grande importância clínica e epidemiológica para a melhoria da saúde e qualidade de vida das populações indígenas brasileiras e medidas de infraestrutura e de educação em saúde necessitam ser implementadas pelas instituições governamentais.
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DIENG, Sara Danièle, Fatimata Niang-Diop, Mamadou Diop, Assane Goudiaby, Bienvenu Sambou et Anne Mette Lykke. « Filière des produits à usage médicinal issus de Cordyla pinnata, Detarium microcarpum et Detarium senegalense au Sénégal ». Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 22 (20 décembre 2019) : 23–35. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.22.78.

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Résumé :
Cette étude avait pour objectifs : 1) d’identifier et de caractériser les acteurs impliqués dans la filière des produits à usage médicinal tirés de Cordyla pinnata, Detarium microcarpum et Detarium senegalense au Sénégal; 2) d’analyser l’organisation de cette filière et l’importance des parties utilisées ; 3) d’analyser la commercialisation de ces produits ; 4) d’identifier les forces, faiblesses, opportunités et menaces de la filière. L’échantillonnage en boule de neige a été utilisé et a permis d’interroger, à l’aide de guides d’entretien 13 tradipraticiens locaux, 3 récolteurs et 17 herboristes. Les résultats ont révélé que les acteurs de cette filière, majoritairement des hommes, entretenaient des relations de coopération et qu’ils bénéficiaient de l’appui de la société civile en termes de formation et d’organisation. Les racines et les écorces de Cordyla pinnata et Detarium microcarpum étaient plus utilisées tandis que celles de Detarium senegalense étaient peu commercialisées. Les écorces, les racines et les feuilles étaient vendues entre 0,11 et 0,29Euro/100g. Une partie des écorces était transformée en poudre avant d’être commercialisée chez les herboristes entre 1,05 Euro/100g (pour Cordyla pinnata) et 1,52 Euro/100g (Detarium microcarpum). Les prix étaient plus élevés à Dakar. Les parties tirées de Cordyla pinnata étaient essentiellement utilisés contre les parasitoses intestinales tandis que celles de Detarium microcarpum et dans une moindre mesure celles de Detarium senegalense servaient à soigner les dermatoses. Les faiblesses de cette filière concernaient essentiellement l’exploitation anarchique de la ressource et la raréfaction saisonnière de certains produits tandis que l’éloignement des sites d’approvisionnement menaçait son bon fonctionnement. Mots clés : produits à usage médicinal, Cordyla pinnata, Detarium microcarpum, Detarium senegalense, filière, Sénégal.
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Michel Martínez, Andree Joseline. « Situación de enteroparasitosis en niños menores de 5 años en la Comunidad de Villa Trinidad ». Revista Vive 2, no 6 (1 septembre 2019) : 117–23. http://dx.doi.org/10.33996/revistavive.v2i6.32.

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Résumé :
Introducción: La parasitosis intestinal es un problema común y de preocupación en los países subdesarrollados, en Villa Trinidad debido a las bajas condiciones de vida, por falta de saneamiento básico, inadecuada higiene de manos y consumo de alimentos contaminados. Objetivo: Determinar la situación actual de enteroparasitosis en niños menores de 5 años en la Comunidad de Villa Trinidad. Materiales y Método: El tipo de estudio fue observacional, retrospectivo, descriptivo y de corte transversal, cada participante brindo muestra de heces para análisis coproparasitológico previa consulta, las muestras fecales fueron estudiadas mediante examen directo en solución salina fisiológica y técnica modificada Ritchie en laboratorios de INLASA. Resultados: Se evaluaron 19 niños entre 0-5 años de edad, de ellos: 9 masculinos y 9 femeninos, 15 de estos presentaron parásitos en el examen coproparasitològico. El hallazgo de parasitosis intestinales general fue Giardia intestinalis, Complejo Entamoeba histolytica y dispar, Áscaris lumbricoides, Entamoeba coli, Lodomoeba butschlii, Endolimax nana y Blastocystis hominis. Se diagnosticaron parasitosis de 7 especies diferentes, de ellos 9 eran protozoarios y 1 helminto. Conclusión: Se determinó una alta prevalencia de parasitosis intestinal en niños menores de 5 años, el poliparasitismo fue superior y ligado a medidas de saneamiento ambiental a diferencia del uniparasitismo que se encontró más relacionado al consumo de agua y otros.
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