Littérature scientifique sur le sujet « Partis et syndicats »

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Articles de revues sur le sujet "Partis et syndicats"

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Pavan, Pietro. « Syndicat et partis politiques ». Relations industrielles 9, no 4 (21 février 2014) : 314–24. http://dx.doi.org/10.7202/1022809ar.

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Résumé :
Sommaire Dans deux articles précédents, l'auteur a précisé la nature et les objectifs des syndicats ainsi que ses rapports avec la religion. Ici, il définit le rôle respectif du syndicat et du parti politique et montre les liens idéologiques vitaux qui doivent s'établir entre l'un et l'autre. Cette étude envisage ce problème tant sur le plan théorique qu'historique.
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Pavan, Pietro. « Syndicat et État ». Relations industrielles 10, no 1 (20 février 2014) : 2–14. http://dx.doi.org/10.7202/1022786ar.

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Résumé :
L'auteur, après avoir étudié dans trois articles précédents la nature et les objectifs des syndicats ainsi que ses rapports avec la religion et les partis politiques, envisage ici les relations qui existent entre le syndicat et l'Etat. Son étude se place tant sur le plan des principes que dans son évolution historique.
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Savage, Larry. « Quebec Labour and the Referendums ». Canadian Journal of Political Science 41, no 4 (décembre 2008) : 861–87. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423908081067.

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Résumé :
Abstract.The Quebec labour movement's decision to withdraw its support for Canada's federal system in the 1970s and instead embrace the sovereignist option was unquestionably linked to the intersection of class and nation in Quebec. In this period, unions saw the sovereignist project as part of a larger socialist or social democratic societal project. Because the economic inequalities related to ethnic class, which fuelled the labour movement's support for sovereignty in the 1970s, were no longer as prevalent by the time of Quebec's 1995 referendum, organized labour's continued support for the sovereignist option in the post-referendum period cannot adequately be explained using the traditional lens of class and nation. This paper employs an institutional comparative analysis of Quebec's three largest trade union centrals with a view to demonstrating that organized labour's primary basis for supporting sovereignty has changed considerably over time. While unions have not completely abandoned a class-based approach to the national question, they have tended to downplay class division in favour of an emphasis on Quebec's uniqueness and the importance of preserving the collective francophone identity of the nation. Party–union relations, the changing cultural, political and economic basis of the sovereignist project and the emergence of neoliberalism in Quebec are offered as key explanatory factors for the labour movement's shift in focus.Résumé.La décision du mouvement syndical québécois de retirer son soutien du système fédéral, dans les années 1970, et d'embrasser l'option souverainiste, a été liée incontestablement à l'intersection de classe et nation au Québec. Dans cette période, les syndicats ont vu le projet souverainiste en tant qu'élément d'un plus grand projet de société à caractère social démocratique ou socialiste. Toutefois, puisque les inégalités économiques associées à la classe ethnique qui avaient poussé le mouvement syndical dans le camp de la souveraineté n'étaient plus aussi prononcées lors du référendum de 1995, l'analyse traditionnelle de classe et nation ne peut plus expliquer le maintien de sa position souverainiste durant la période postréférendaire. Cet article se fonde sur une analyse comparative et institutionnelle des trois plus grandes centrales syndicales québécoises en vue de démontrer que les motifs premiers de l'appui syndical au projet souverainiste ont changé considérablement avec le temps. Même si les syndicats n'ont pas complètement abandonné l'approche militante surla question nationale, ils ont relégué les divisions de classes au second plan et plutôt mis l'accent sur le caractère distinct du Québec et sur l'importance de préserver l'identité francophone collective de la nation. Les relations entre les syndicats et les partis politiques, la base culturelle, politique et économique du projet souverainiste, et l'introduction du néolibéralisme au Québec sont présentées en tant que facteurs principaux expliquant l'évolution de la position syndicale à l'égard de la question nationale.
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de Becdelièvre, Pauline, et François Grima. « Assurer son employabilité militante externe par la mobilisation du capital social : le cas des ex-permanents syndicaux lors d’une reconversion en dehors du syndicat ». Articles 72, no 2 (22 juin 2017) : 345–69. http://dx.doi.org/10.7202/1040404ar.

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Résumé :
À partir d’une recherche qualitative auprès de 48 ex-militants syndicaux ayant eu plus de 80% de leur temps de travail pour leur syndicat, de 10 directeurs des Ressources humaines et de trois organisations syndicales, une organisation patronale et un cabinet d’accompagnement, cet article questionne la reconversion des militants syndicaux en dehors de la sphère syndicale. En s’appuyant sur le contexte français et la littérature existante sur la reconversion des militants syndicaux, nos travaux soulignent les stratégies mises en place par les ex-militants afin d’assurer leur employabilité militante externe. Ces stratégies sont influencées par la perception qu’ils ont de leur employabilité. Plusieurs facteurs externes et individuels affectent cette perception. Les facteurs individuels sont le capital social perçu, la nature du départ (subi ou volontaire), le niveau de poste précèdent et le niveau atteint dans l’organisation syndicale. Ces facteurs individuels n’expliquent pas tout. D’autres facteurs externes, tels la stigmatisation dont peut faire l’objet le militant à cause de son engagement syndical, le lien contractuel et l’accompagnement du syndicat, expliquent la perception que le militant a de son employabilité. Celle-ci entraine soit une non mobilisation du capital social, soit une mobilisation offensive du capital social. Dans ce dernier cas, l’ex-permanent peut subir une phase d’observation de la part de l’entreprise d’accueil. En s’intéressant à la reconversion syndicale, cette recherche constitue un renversement de positionnement par rapport aux nombreux travaux analysant la carrière syndicale. Le capital social des militants n’est plus pensé au sein de l’organisation syndicale, mais en dehors de celle-ci, et il permet de proposer le concept d’employabilité militante externe, à savoir la capacité d’un ex-militant syndical d’obtenir un travail et de se maintenir en emploi en dehors du syndicat grâce à la mobilisation de son capital social.
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Dufour, Christian, et Adelheid Hege. « L’évolution de la négociation collective et de ses acteurs dans six pays européens ». Articles 66, no 4 (17 janvier 2012) : 535–61. http://dx.doi.org/10.7202/1007634ar.

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Résumé :
Comment évoluent depuis la fin 1970 les statut et pratiques de négociation collective ? Quelles transformations sont repérables dans le comportement des acteurs ? Les six pays retenus dans cet article – Allemagne, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Suède – disposent de systèmes de relations professionnelles originaux. Les bouleversements économiques et sociaux poussent à des transformations, parallèlement à l’enjeu de l’Europe en construction. Les difficultés nées de la longue crise économique ne déstructurent pas ces systèmes, ni ne nivellent leur diversité. Les acteurs se montrent adaptables et jouent sur une acceptation sociale historiquement acquise pour maintenir leur influence. Ils investissent de nouveaux thèmes (emploi) et de nouveaux espaces d’échange (comités d’entreprise européens, pactes sociaux). Réponse apparemment rationnelle et efficace dans la crise, la négociation collective voit plutôt renforcée son statut, son cahier des charges densifié – dans les pays du continent européen. La Grande-Bretagne fait exception ; la mise en cause frontale du système de négociation collective et du pouvoir syndical souligne par contraste la tendance commune aux autres pays.Progressivement la négociation collective est perçue comme le pivot des systèmes de relations professionnelles ; les acteurs collectifs tendent à s’identifier à leur fonction de négociateurs. La dissolution des anciennes alliances entre syndicats et partis inaugure un mouvement peu commenté de dépolitisation du projet syndical, avec recentrage sur l’espace des relations professionnelles. Avec le 21esiècle, des contradictions apparaissent. Les acteurs, patronaux et syndicaux, perdent en représentativité et en capacité d’intégration de bases hétérogènes. Les systèmes de négociation perdent en rendement ; les États les contournent ainsi que leurs acteurs pour piloter des transformations sociales. Plus qu’à une crise des systèmes, on a affaire à une crise des acteurs. Pour les syndicats, elle soulève la question de la revitalisation de leurs liens avec leurs mandants, comme celle des nouvelles alliances à construire.
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Hyman, Richard, et Rebecca Gumbrell-McCormick. « Syndicats, politique et partis : une nouvelle configuration est-elle possible ? » La Revue de l'Ires 65, no 2 (2010) : 17. http://dx.doi.org/10.3917/rdli.065.0017.

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Combes, Hélène. « Pour une sociologie du multi-engagement ». Sociologie et sociétés 41, no 2 (18 février 2010) : 161–88. http://dx.doi.org/10.7202/039263ar.

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Résumé :
RésuméÀ travers le monde, de nombreux partis sont nés de syndicats ou de mouvements sociaux, de nombreux mouvements sociaux et des associations tissent des liens complexes avec des partis. Malgré la richesse de leurs interactions, peu de travaux universitaires se sont attachés à la question des relations entre partis politiques et mouvements sociaux en tant que telles. Cet article, à partir du cas spécifique des relations entre le Parti de la révolution démocratique au Mexique et plusieurs mouvements sociaux, propose une méthode d’analyse qui repose sur l’étude du multi-engagement de certains dirigeants. Rompre avec la démarche qui consiste à mettre l’accent sur les organisations (de mouvement social ou partisanes) et porter le regard sur les dirigeants multipositionnés en étudiant leurs trajectoires sur le long terme permet de dévoiler la complexité et les logiques des multiples échanges qui s’instaurent entre partis et mouvements sociaux et ce, en fonction des épisodes de la contestation.
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Jansen, Harold J., et Lisa Young. « Solidarity Forever ? The NDP, Organized Labour, and the Changing Face of Party Finance in Canada ». Canadian Journal of Political Science 42, no 3 (septembre 2009) : 657–78. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423909990412.

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Résumé :
Abstract.We consider the impact of changing Canadian national party finance laws that banned trade union donations on the relationship between the New Democratic party (NDP) and organized labour. Although the changed laws have required a restructuring of the relationship between the two actors, we find evidence of a continued commitment to co-operation. We conclude that accounts that stress the ideological affinity between the NDP and labour explain the preservation of the relationship better than political economy or rational exchange models.Résumé.Nous considérons les changements apportés aux lois canadiennes sur le financement des partis politiques, lois qui ont banni les donations des syndicats, dans la perspective de leur incidence sur la relation entre le Nouveau Parti démocratique (NPD) et les syndicats. Malgré le fait que les nouvelles lois ont nécessité une restructuration de la relation entre les deux acteurs, nous avons découvert la présence d'un engagement continu envers la coopération. Nous concluons que les interprétations qui mettent l'accent sur l'affinité idéologique entre le NPD et les syndicats expliquent mieux le maintien de cette relation que l'économie politique ou les modèles d'échange rationnel.
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McShane, Steven L. « Sources of Attitudinal Union Militancy ». Articles 40, no 2 (12 avril 2005) : 284–302. http://dx.doi.org/10.7202/050134ar.

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Résumé :
Les attitudes relatives à l'activité militante des syndicats ainsi que leur puissance ont beaucoup retenu l'attention au cours de la dernière décennie à la suite du développement du syndicalisme dans des industries et des professions qui, auparavant, n'avaient guère connu de relations conflictuelles. La plupart des travaux ont tente de découvrir si ces attitudes proviennent surtout de la conjoncture du milieu de travail ou des opinions et des valeurs ayant cours dans la société que les travailleurs transposent dans la profession ou à l'usine. Ainsi, même si la recherche est devenue très sophistiquée, la question n'en est pas pour autant résolue à cause de constatations contradictoires. L'objectif principal de la présente étude est de déceler l'importance relative de plusieurs groupes de variables en considérant les deux dimensions que revêt le militantisme syndical, c'est-à-dire le militantisme en milieu de travail et le militantisme du syndicat lui-même. Les cinq catégories, qui représentent quatorze indicateurs, comprennent des facteurs démographiques, familiaux, sociaux, professionnels et d'activisme en milieu de travail. La détermination de leur contribution relative se fonde sur une analyse de régression graduée normalisée de manière à refléter l'importance causale implicite des dits facteurs. L'étude compare aussi la corrélation des deux mesures de l'attitude militante des syndicats avec une mesure du comportement des individus à l'endroit du syndicalisme en général. Le but de cette comparaison est d'établir dans quelle mesure les attitudes militantes sont distinguées du comportement à l'endroit du syndicalisme ou peuvent s'y comparer, et, de ce fait, permettre une meilleure compréhension de la façon dont ces attitudes s'alignent avec les opinions que l'on professe sur le syndicalisme. Les données sur lesquelles repose l'étude furent tirées d'une enquête à laquelle ont répondu 297 membres (sur une possibilité de 482) d'un syndicat d'employés municipaux du sud de l'Ontario. Les trois variables dépendantes — le militantisme syndical, l'activisme syndical en milieu de travail et l'attitude générale à l'endroit du syndicalisme — ont été rendues opérationnelles à partir de questions multiples très crédibles. Les mesures furent établies à partir d'abord d'un échantillon initial recueilli six mois plus tôt suivi de l'analyse des données qui ont servi à l'étude. L'analyse des facteurs (par rotation oblique) dissociait nettement les questions relatives au pouvoir du syndicat du militantisme sur les lieux du travail. Le troisième facteur identifiait les questions portant sur l'appréciation du syndicalisme, mais la moitie de ces questions valaient aussi pour le facteur du militantisme sur les lieux du travail. Ainsi, l'attitude du syndique à l'endroit du syndicalisme semble en quelque sorte similaire à sa volonté de s'engager dans une activité de lutte. Les analyses de régression normalisée laissent présager que la volonté de s'engager dans une activité de lutte (c'est-à-dire le militantisme sur les lieux du travail) est rattachée davantage aux antécédents et à des facteurs sociaux qu'à la conjoncture du milieu de travail, alors que les caractéristiques de l'emploi et les attitudes syndicales et professionnelles sont davantage reliés à sa propre perception de ce que devrait être le pouvoir du syndicat (le militantisme syndical). Les résultats en ce qui concerne l'attitude à l'endroit du syndicalisme se rapprochent plus de l'activisme syndical en milieu de travail que du militantisme du syndicat. Ainsi, on peut considérer dans une certaine mesure le militantisme sur les lieux du travail comme la composante fondamentale de la confiance au syndicalisme. En plus de la distinction entre les deux attitudes militantismes et de leur correspondance avec le comportement à l'endroit du syndicalisme en général, les constatations rapportées ont montre l'importance des facteurs sociaux comme explication de ces attitudes. Des corrélations significatives entre les deux attitudes militantismes et l'adhésion syndicale de même que le comportement des amis ont souligne le fait que ces attitudes se concilient socialement et que, en conséquence, elles doivent être soutenues socialement. Aussi, plus un syndique est intègre à un milieu de culture syndicale par les liens de l'amitié, plus il est probable qu'il appuiera les actions collectives et le pouvoir du syndicat.
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Costa, Hermes Augusto. « Le syndicalisme portugais et l’austérité : entre la force des protestations et la fragilité des alliances ». Articles 70, no 2 (30 juin 2015) : 262–84. http://dx.doi.org/10.7202/1031464ar.

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Résumé :
L’adoption de mesures d’austérité pour surmonter la crise des dettes souveraines de ces dernières années a accentué la fragilité des syndicats en tant qu’institutions, en mettant aussi à l’épreuve leur capacité de résistance en tant que mouvements. Il n’en demeure pas moins que les syndicats ont cherché à réagir, en s’insurgeant contre les politiques d’austérité. Toutefois, le syndicalisme demeure «orgueilleusement seul», touché par des divisions internes et influencé par des tendances partisanes, semblant dès lors peu enclin à former des alliances avec d’autres groupes et mouvements. Ces derniers, pourtant, partagent souvent des préoccupations semblables à celles des syndicats (la lutte contre la précarité au travail en constituant le meilleur exemple). Dans la première partie de l’article, nous synthétisons quelques-unes des mesures d’austérité, décrivons brièvement les deux principales confédérations syndicales portugaises ainsi que certains acteurs socioprofessionnels, et analysons leurs discours face à la crise. Dans la seconde partie, nous abordons les caractéristiques et les moments principaux des réactions syndicales et de la protestation sociale plus ample face à l’austérité. Finalement, nous identifions certains défis externes et internes auxquels le syndicalisme est confronté au Portugal. D’une part, les syndicats doivent résister aux pressions externes dictées par les politiques d’austérité; d’autre part, ils doivent adopter une action proactive «à partir de l’intérieur», en s’ouvrant à de nouveaux publics (travailleurs précaires non syndiqués, fortement touchés par la crise et l’austérité) et, par conséquent, à de nouvelles formes de protestation sociale. La création d’un syndicat dans le secteur de la musique, du spectacle et de l’audiovisuel et la lutte dans un centre d’appels dans le secteur de la santé sont, à cet égard, deux défis à l’autonomie et à la rénovation des pratiques syndicales, et elles constituent, peut-être, la voie d’un «syndicalisme de travailleurs précaires», inexistant jusqu’à présent.
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Thèses sur le sujet "Partis et syndicats"

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Ardaya, Salinas Gloria. « La Femme et la politique : partis et syndicats en Bolivie ». Paris, EHESS, 1988. http://www.theses.fr/1988EHES0059.

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Résumé :
LA recherche PROUVE QUE LES FEMMES DES SECTEURS SUBORDONNES EN BOLIVIE SONT DES ACTEURS SOCIAUX QUI ONT PARTICIPE DANS LA CONSTITUTION DE L'ETAT ET DE LA SOCIETE MODERNE. CECI GRACE A UNE PARTICIPATION ACTIVE ET PERMANENTE. CETTE PARTICIPATION LEUR A PERMIS EGALEMENT DE SE FAIRE RECONNAITRE UNE LEGITIMITE A L'INTERIEUR DU SYSTEME POLITIQUE. EN EFFECT, LA PARTICIPATION DES FEMMES DANS LA POLITIQUE A MIS EN EVIDENCE UNE CAPACITE D'ADAPTATION ADDEZ IMPORTANTE, ACQUISE AVEC LES DIFFERENTS FORMES DE LUTTE, TANT DANS LA LEGALITE COMME DANS L'ILLEGALITE. PAR AILLEURS, CETTE PARTICIPATION A ETE MASSIVA, ORGANIQUE ET ORIENTEE VERS LE CHANGEMENT SOCIAL. CEPENDANT, LA PARTICIPATION DES FEMMES DANS LA POLITIQUE A ETE FAITE A PARTIR DE LEUR CONDITION DE MERES DE FAMILLE ET NON PAS EN TANT QUE CITOYENNES. LEURS LUTTES ONT ETE ORIENTEES PAR LA "CONTRADICTION PRINCIPALE" QUI S'EXPRIME DANS CERTAINS CAS PAR LA "CLASSE" ET DANS D'AUTRES PAR LA "NATION". ELLES N'ONT PAS INCORPORE LA SUBORDINATION "DU GENRE" QUI CONDITIONNE LEUR ROLE DANS LA SOCIETE, MALGRE LA GRANDE CAPACITE DE MOBILISATION QU'ELLES FONT PREUVE. CETTE FORME MASCULINE QU'ONT LES FEMMES DE FAIRE LA POLITIQUE S'EXPRIME TOUT AU LONG DE L'HISTOIRE ET DANS CETTE RECHERCHE ONT ETE ETUDIEES DEUX FORMES D'INSERTION DES FEMMES DANS LA POLITIQUE : LE COMANDO NATIONAL FEMININ DU M. N. R. (PARTI POLITIQUE) ET LE COMITE DES MAITRESSES DE MAISON (SYNDICAT)
This investigation proves that women from inferior sectors in bolivia are social actors who participated in the constitution of the state and the modern society. This was the result of an active and permanent participation. This participation permitted them to acquire legitimity within the political system. Women's participation in politics proved their strong adapted capacities gained in different ways in struggling legally as well as illegally. Their participation was massive, organic and orientated towards social changement. The political women's contribution started as mothers and not as citizens. Their fighting was oriented by a "principal contradiction" which was expressed in certain cases by "working class" and in other cases by the "whole nation". They did not incorporate their dependance as women which permits them to act in the society, despite their great and proved mobilization capacity. In history women demonstrated a masculin way of political expression. Two ways of women's insertion in politics, were studied in this paper : the national women comando m. N. R. (political party) and the mother's committee (syndicate
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Poirmeur, Yves. « Contribution à l'étude du phénomène des tendances dans les partis et les syndicats : le cas français ». Amiens, 1987. http://www.theses.fr/1987AMIE0006.

Texte intégral
Résumé :
Les tendances qui se forment principalement dans les organisations de masses admettant un certain pluralisme interne et intervenant dans le champ politique, sont des groupes organisés qui au sein d'un parti ou d'un syndicat défendent des positions en souhaitant les lui faire adopter. Incluses dans une formation plus vaste, elles ont une double identité: dotées d'une organisation particulière et diffusant un discours distinctif, elles ont une identité propre ; insérées dans un ensemble plus vaste, elles ont aussi une identité commune. En concurrence avec d'autres entreprises du même genre, elles cherchent à prendre la direction de l'organisation en participant à de multiples luttes de positionnement arbitrées par les adhérents de la formation auxquels elles s'efforcent d'offrir des produits politiques ou syndicaux ajustés à leurs attentes. Ces luttes peuvent dégénérer en crise et obliger une tendance à se transformer en organisation autonome après scission volontaire ou exclusion. Apparaissant dans la rencontre en une combinaison sociale spécifique de groupes d'intérêt de toute nature et d'hommes qui prennent en charge l'expression de leurs intérêts en contribuant à les définir, elles disparaissent symétriquement avec l'effritement de ces forces et la disparition de l'intérêt individuel et ou collectif qu'elles prenaient en charge: incapables de se renouveler, elles sont renvoyées à la sérialité
The factions that form mainly in mass organizations allowing a certain internal pluralism and intervening in the political field are organized groups which, in the bosom of a party or a trade-union, defend positions and wish these would adopt them. Included in a wider organization, they have a double identity ; inserted within a wider group, they have a common identity. In competition with other undertakings of the same kind, they try to take control of the organization by taking parts in various struggles to gain positions, arbitrated by the members of the group to whom they strive to offer political or trade-union products to meet their expectations. These struggles can degenerate into a crisis and due to a volontary split or exclusion, oblige a faction to transform itself into an autonomus organization. Appearing in the meeting as a specific social combination of various interest groups and the people who express their interests by contributing to their definition, they disappear symmetrically with the dispersion of their strengths and the dissolution of both the individual and collective interest they took over : incapable of self-renovation, they are left to die
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Erdinç, Işil. « Syndicats, partis, Etat sous le gouvernement AKP (2002-2015) : contribution à l’analyse des dynamiques interchamps ». Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01D089.

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Résumé :
Cette thèse étudie les relations entre le champ syndical et le champ politique en Turquie sous le gouvernement du Parti de la Justice et du Développement (Adalet ve Kalkınma Partisi, AKP) de 2002 à 2015. Cette recherche s'appuie principalement sur un travail de terrain qui comprend des observations et une centaine d'entretiens semi-directifs dans les trois confédérations ouvrières syndicales (DİSK, Hak-İş, Türk-İş). Le terrain a été mené entre décembre 2011 et avril 2014. Sous le gouvernement AKP, une mise en cohérence entre le champ syndical et le champ politique s'effectue par le biais des transferts entre les deux champs. Les dynamiques partisanes entre les syndicats et les mouvances politiques donnent à voir des affinités entre les deux champs. L'intervention du gouvernement AKP, donc l'action étatique, renforce et accélère les transferts et transforme le champ syndical. Ainsi, les syndicats proches des réseaux AKP deviennent dominants dans le champ syndical. L'équilibre entre les organisations syndicales est modifié. Être pour ou contre le gouvernement AKP devient l'axe principal de la concurrence syndicale. Les dynamiques infra-confédérales, locales (sectorielles et territoriales), voire internationales, suscitent une pluralité des configurations partisanes et syndicales
This thesis studies the relationship between the trade union field and the political field in Turkey under the government of the Justice and Development Party (Adalet ve Kalkınma Partisi, AKP) from 2002 to 2015. Joining the discussion around Pierre Bourdieu's field theory, it aims to understand how homologies between social fields are constructed and how fields are becoming autonomous. This research is primarily based on fieldwork that involves observation and nearly a hundred semi-structured interviews in the three labour union confederations (DİSK, Hak-İş, Türk-İş), conducted between December 2011 and April 2014. Under the AKP government, the transfers and alliances between trade unions and political parties enable their coherence. The intervention of the AKP government reinforces and accelerates these transfers, and transforms the trade union field. Thus, the correspondent of the dominant actor in the political field becomes the dominant actor in the trade union field. The influence of political cleavages on trade union strategies increases. Being for or against the AKP government becomes the main axis of union competition. These homologies do not yet happen in the same way at all scales. The local (sectorial and territorial), and even international dynamics generate a plurality of configurations. Autonomous spaces for resistance for trade unions emerge at the local level
Bu çalışmada Türkiye’de 2002-2015 yılları arasındaki AKP hükümetleri döneminde sendikal alanve siyasal alan arasındaki ilişkiler incelenmiştir. Pierre Bourdieu’nün alan teorisi etrafında, alanlararasındaki benzerliklerin nasıl oluştuğu ve alanların nasıl özerkleştiği açıklanmaya çalışılmıştır.Araştırma, 2011 Aralık ve 2014 Nisan tarihleri arasında üç işçi sendikası konfederasyonunda(DİSK, Hak-İş, Türk-İş) gerçekleştirilen gözlem ve yüze yakın yarı yapılandırılmış derinlemesinegörüşmelerden oluşan saha çalışmasına dayanmaktadır. AKP döneminde sendikal alan ve siyasalalan birbirine benzeşmeye başlamıştır. Sendika ve siyasi gruplar arasında var olan yakınlaşmalariki alan arasında çeşitli kaynak alışverişleri ortaya çıkarmaktadır. AKP hükümetinin sendikalişleyiş üzerindeki müdahalesi, devlet eliyle, bu süreci hızlandırarak sendikal alanıdönüştürmektedir. Siyasal ayrışmaların sendikal stratejiler üzerindeki etkisi artmakta, sendikal alankutuplaşmaktadır. Siyasal alandaki hakim aktörün sendikacılıktaki karşılığı kendi alanının hakimaktörü haline gelmektedir. AKP hükümetine karşı olmak veya olmamak sendikal rekabetinbelirleyici ekseni olmaktadır. Ancak bu homolojilerin sendikal örgütlenmenin her seviyesinde aynışekilde yeniden üretildiği de söylenemez. Yerel (sendikal/işkolu ve bölgesel), hatta uluslararasıölçekte, farklı sendika-siyaset ilişkileri ortaya çıkmakta, sendikalar için yerel ölçekte özerkleşmeve direniş alanları gözlemlenmektedir
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Poirmeur, Yves. « Contribution à l'étude du phénomène des tendances dans les partis et les syndicats le cas français / ». Lille 3 : ANRT, 1988. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37608930q.

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Park, Dahn. « Les pratiques unitaires entre les syndicats, les fédérations et les unions départementales : C.G.T.-C.G.T.U. de 1929 à la réunification syndicale de 1936 ». Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010610.

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Résumé :
Pour mieux comprendre le processus de la réunification de la C. G. T. Qui se faisait en 1936, nous nous sommes concentré notamment sur les pratiques unitaire de la base, en choisissant quatre régions (la région parisienne, le nord, le Pas-de-Calais et la Loire) et six branches (le bâtiment, les chemins de fer, le livre, le sous-sol, les métaux et le textile). Il ressort d'abord de notre étude que les syndicats ont mené de plus en plus d'actions communes, surtout à partir de 1934. Cela montre que bien que les revendications économiques aient été relativement importantes, la montée du fascisme et les décrets-lois du gouvernement d'union nationale ont joué un rôle plus prépondérant dans le retour à l'unité syndicale. En ce qui concerne les branches, nous avons observé qu'avant la grève générale de 1934, dans le sous-sol et le textile, les pratiques unitaires ont ete relativement nombreuses et qu'après celle-ci, elles se sont effondrées nettement. En revanche, chez les cheminots, dans le bâtiment et dans les métaux, les pratiques se sont accélérées. Par ailleurs, ce sont les chemins de fer qui ont constitué le principal secteur favorable à l'unité, surtout à partir de la parution des décrets-lois Laval. Dans ce secteur, le rôle des unions de syndicats fut décisif pour l'unité syndicale. En comparant les régions, nous observons une opposition notable entre la province et la région parisienne, cette dernière étant devenu le point central de l'unité après la grève générale de 1934. Enfin, pour les rapports entre les pratiques unitaires et la fusion, nous avons pu constater que bien que la stratégie nationale des deux C. G. T. Ait été la plus décisive, le rôle de la base était également important dans la réunification syndicale, compte tenu de l'importance des pratiques unitaires des syndicats locaux qui n'étaient pas soumis à leur centrale
For a clear understanding of the procedures leading to the reunification of the C. G. T. (the general confederation of Labro) in 1936, this thesis focuses on the unitary activities of the local unions of four regions (the Paris area (région parisienne), le nord, le Pas-de-Calais and la Loire) and six branches of the C. G. T. (construction, railroad, printing paper, mining, metalworking and textiles). The primary conclusion is that the unions led communal actions with increasing frequency, especially from 1934 on. Although the economic causes were of relative importance, the rise of fascism and the decrees of the government of the union nationale (national union) played a much more dominating role for the reunification. As for the branches, it is notable that in mining and textiles the unitary practices had been relatively numerous until the general strike of 1934, after which the activities greatly diminished. On the other hand, for the sections of railroad, construction and mining, the activities accelerated. Besides, it was railroad which constituted the principal sector favoring the unity, especially after the appearance of Laval's decree. In this division, the role of the union network (l'union des syndicats) was decisive for the unity. In the regional comparisons, a clear opposition can be delineated between the province and the paris area, the latter having become the central point of the unity after the general strike. Finally, regarding the relationship between the unitary activities and the fusion, the conclusion is that while the national strategy of the two c. G. T. Was the most decisive, the role of the local unions was equally important, given their relative independence vis-a-vis the center in the activities for the reunification
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Martinache, Igor. « Occuper le terrain : une socio-histoire des appropriations du sport par le milieu communiste français ». Thesis, Lille 2, 2016. http://www.theses.fr/2016LIL20011/document.

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Résumé :
En dépit de la place importante qu’elles occupent dans les sociétés contemporaines, les activités physiques et sportives continuent d’occuper une place secondaire sur l’agenda politique. Pourtant, dès le début du 20e siècle, des militants ouvriers ont commencé à développer une approche particulière du sport. Après avoir rappelé quelques éléments de l’histoire de ce « sport ouvrier », et en particulier les contradictions qui le traversent, nous nous intéressons surtout ici à la manière dont ses héritiers après la Seconde guerre mondiale ont tenté d’ériger le sport en enjeu politique de première importance en France. Ce « milieu communiste du sport », site d’interactions particulier qui dépasse les frontières des organisations s’articule cependant autour d’un certain nombre de carrefours. La commission sport nationale du PCF institutionnalisée en 1959 est de ceux-là. Appuyée sur l’analyse d’archives, d’entretiens et d’une participation observante de plusieurs années au sein de ce collectif, cette enquête propose ainsi d’étudier le statut, le fonctionnement et le recrutement d’un tel groupe de travail thématique. Il s’agit en d’autres termes de chercher à comprendre ce que militer pour la cause du sport veut dire, comment certains en viennent à s’engager pour cet objet relativement illégitime dans le champ politique pour saisir enfin quel type de doctrine ils produisent. Une deuxième partie est consacrée aux appropriations elles-mêmes de cette doctrine ailleurs dans le parti, en s’intéressant aux politiques sportives de deux municipalités de la « banlieue rouge » puis à celle menée au gouvernement lorsque le portefeuille des Sports échoit pour la première fois à une communiste, consécration en trompe-l’oeil du travail de la commission
In spite of the major attention they benefit from in contemporary societies, sport and physical activities remain a secondary matter in the political agenda. Yet, since the beginning of the 20th Century, working class activists began developing a peculiar approach of sport. After recapping a few elements on this “working class sport” and specifically its contradictions, we will focus on how its heirs have tried to make sport a first-matter subject in France after World War II. This “communist sport world” goes beyond organizations’ borders but is nevertheless made of several crossroads. Created in 1959, the French Communist Party sport commission is one of them. This inquiry is based upon various archival sources, direct interviews and above all an ethnographic immersion during several years. It aims at studying the status of such a work group in a political party or a Trade union, how it works and who are its members. In other words, it is trying to understand what it means to advocate for sport while being a communist activist and what kind of doctrine they produce given who they are and where they stand from in social space. The second part focuses on how other members of the Party appropriate themselves this doctrine by analyzing the sports policies developed in two historically communist cities and then finally the consequences of having a communist minister of Sports for the first time in the very end of the 20th Century
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Chaigneau, Jean-Louis. « Boris Souvarine, militant internationaliste : l'Internationale communiste et sa section française : les causes de la bolchevisation du PCF ». Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010605.

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Résumé :
Boris Souvarine, l'un des principaux artisans de la fondation du PCF, leader de la gauche communiste ralliée au bolchevisme et à l’IC, membre du secrétariat, du présidium, et du comité exécutif de l'internationale communiste, est au cœur de l'histoire des premières années du communisme français, et au centre des relations entre le parti bolchevik, l’IC et le PCF, avant d'être exclu en 1924 pour s'être oppose à la ligne "stalinienne". A travers Boris Souvarine c'est une histoire faite de ces trois volets que nous pouvons suivre. Notre thèse permet de voir comment s'effectue le passage d'un "communisme démocratique" (issu du socialisme français) à un "communisme centraliste" (importe de Russie). Avec la révolution Russe et l’IC c'est une nouvelle conception triomphante du socialisme et de la révolution qui s'impose peu à peu au socialisme français. Si certains (tel Souvarine) acceptent les schémas bolcheviks, d'autres veulent les adapter aux conditions françaises. 1920-1924, c'est l'histoire de ce combat permanent entre les partisans du centralisme bolchevik et ceux du fédéralisme issu de la sfio. Comment se sont mis en place les mécanismes qui ont permis la bolchevisation puis la stalinisation du PCF, tel est le noyau central de notre thèse. Notre thèse montre également pour quelles raisons, malgré les crises successives, le parti communiste français se plie en définitive aux "ordres" de Moscou. A travers Souvarine c'est aussi la mise en place du processus idéologique favorable à la Russie soviétique, qui conduit à l'acceptation de la bolchevisation que nous pouvons appréhender, en montrant que le processus conduisant à la bolchevisation du socialisme français trouve sa source bien avant 1924
Boris Souvarine, one of the leading founding members of the french communist party, leader of the left wing rallied to bolshevism and the comintern, melber of the secretariat, of the praesidium, and of the executive committe of the comintern, played a leading role in the early history of french communist party and its relations with the bolshevik party and the comintern before being expelled in 1924 for having opposed the stalinist line. The three facets of this story may be followed through the study of Boris Souvarine. Our thesis allows us to see how the transformation of democratic communism (having its roots in french socialism) to centralised communism (imported from Russia) came about. With the russian revolution and the comintern came a new triumphant conception of socialism and the revolution gradually imposed itself within french socialism. If certain leading figures, such as Souvarine, accepted the bolshevik concept, others sought to adapt it to french conditions. Between 1920-1924 a permanent struggle, between those in favour of bolshevik centralism and those in favour of a more federalist approach rooted in french socialism, took place. This thesis examines, in particular, how and with what mechanisms the bolshevisation and in turn the stalinisation of french communist party occured. Our thesis also shows, inspite of successive crises, the reasons why the french communist party bowed in the end to Moscow's orders. Through examining Boris Souvarine's role in these events one is able to apprehend the ideological process at work favourable to soviet Russia which led to an acceptation of bolshevisation. What is more, our study shows clearly that the process, which led to the bolshevisation of french socialism, originated well before 1924
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Olivier, Marie-Hélène. « Roger Millot, 1909-1973, et l'avènement des classes moyennes ». Dijon, 1996. http://www.theses.fr/1996DIJOL004.

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Résumé :
Catholique convaincu, persuadé du rôle social de l'ingénieur, R. Millot s'est engagé dans des activités militantes dès 1929, durant sa vie d'étudiant à l'école des Mines de Paris, équipes sociales de R. Garric, USIC, fédération française des étudiants catholiques, rattachée au mouvement international de pax Romana, fondé à Fribourg (Suisse) en 1921. Le rayonnement de sa personnalité tient moins à sa carrière professionnelle qu'à son action civique et bénévole. Apres une courte et brillante campagne comme commandant de batterie de D. C. A. En mai-juin 1940, il s'engage dans la résistance dès l'origine, tout en acceptant de participer à la charte du travail pour y mettre en œuvre le syndicalisme des ingénieurs et cadres. Son action fut déterminante dans la création de la confédération générale des cadres, dont il fut constamment l'un des dirigeants. Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, il déploie une activité prodigieuse : entraide universitaire, pax romana-mouvement international des intellectuels catholique dont il est le premier président, de 1947 à 1952. . . Malgré ses attaches avec le M. R. P. , c'est dans le domaine social et non politique qu'il réalise sa vocation. A partir de 1947, président-fondateur du comité national de liaison et d'action des classes moyennes, il se consacre sans relâche à la constitution et au rassemblement de cette "troisième force" qu'il représente au conseil économique et qu'il incarne officiellement, en 1958, devant les instances européennes, comme "délègué général aux classes moyennes". Ne concevant pas son action sans prolongement international, il fut souvent un précurseur. En 1972, son élection à l'académie des sciences morales et politiques reconnait son rôle éminent dans l'édification de notre société. Par les liens multiples qu'elle révèle, la biographie de cet homme d'influence souligne la complexité de cette période d'histoire contemporaine
R. Millot, an earnest catholic, deeply convinced of an engineer's social responsability, became an active militant in 1929, during his student years at the Paris "école des Mines" : R. Garric's "social teams", USIC, French federation of catholic students affiliated to the international pax romana movement which was founded at Fribourg (Switzerland) in 1921. His fame rests less on his professional commitment than on his philantropic activities. After a short and brilliant campaign art the head of an anti-aircraft battery in may-june 1940, he joins the budding resistance movement while accepting to enter the labour charter in order to implement the unionization of engineers and white collar workers. He takes a decisive part in the creation of the "confédération générale des cadres" and remains one of its prominent leaders. At the end of world war II, he demonstrates astonishing energy : international student service and the pax romana-icmica (international catholic movement for intellectual and cultural affairs)of which be becomes the first president from 1947 to 1952. . . In spite of his connections with M. R. P. , he chooses to involve himself in the social rather than the political arena. On 1947, at the head of the national comity for the coordination and action of the middle classes, he devotes himself without respite to the constitution of this "third power" which he represents at the "economic council". In 1958, he is their spokesman as official delegate of the middle classes among European institutions. Not able to conceive his action outside of an international framework, he is often a forerunner. In 1972, his prominent contribution to society is acknowledged by his election at the "Institut de France". The numerous links revealed by the biography of this influential leader emphasizes the complexity of this historical period
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Bathily, Arona. « L'invention du multipartisme au Sénégal : (1974-2000) ». Montpellier 1, 2008. http://www.theses.fr/2008MON10016.

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Résumé :
Le pluralisme politique reste une donnée importante de l’évolution politique du Sénégal. Cette étude s’est donné pour ambition d’interroger la réalité du multipartisme en accordant une place importante à l’environnement social et politique de cette expérience singulière de démocratisation. Quels sont les facteurs, les acteurs et les contingences propres qui ont présidé à l’évolution de cet intervalle d’un quart de siècle ? A travers la saisie des relations entre le parti socialiste et l’opposition, entre ces derniers et les familles maraboutiques, la société civile, la presse privée, les syndicats et les mouvements étudiants, nous avons tenté de mettre en lumière le procès de l’invention du multipartisme. L’approche néo institutionnelle et stratégique de notre objet permet d’écarter le pluralisme politique des lices qui sont d’ordinaire les siennes. Ainsi, le coté informel de la construction multipartisane de la société sénégalaise a été mis en avant dans cette analyse expliquant les distorsions notées entre le statut de référence démocratique du Sénégal en Afrique et les multiples jeux en coulisses qui, en définitive, permettent de saisir les différentes trajectoires empruntées. Il apparaît aujourd’hui qu’un multipartisme superficiel à ses débuts peut trouver des ressources internes lui permettant de changer de gouvernements par la voix des urnes sans pour autant garantir la pérennité de la démocratisation. L’organisation de la compétition politique, si elle repose nécessairement sur les partis politiques, ne saurait être optimale sans l’implication effective d’institutions portant les intérêts des différentes franges de la société
Political pluralism remains an important item of the political evolution in Senegal. This study aims at questioning the reality of the multiparty system, by paying special attention to the social and political environment of this unprecedented experience. What are the factors, actors and appropriate contingencies at stake in such an evolution? Throughout a depiction of the relationships between the then governing socialist party and the opposition parties, between the latter and the spiritual chief families, the civil society, the private press, labor unions and student movements we tried to bring into light the process of the invention of the multiparty system in Senegal. This neo-institutional and strategic approach of our object allows us to show that political pluralism has been deterred from its main goal. Therefore, in order to explain the gap between the status of democratic reference of Senegal in Africa and the endless underground tricks, we chose stress the informal side of its political pluralism. This situation indeed enabled us to understand the various paths taken by this system. It seems today that a superficial multiparty system in its beginnings can find internal resources allowing it to change governments by way of ballot boxes without actually guaranteeing a genuine democratic society. If the organization of the political competition inevitably rests on political parties, it would never ever be optimal without the actual involvement of institutions whose main objective is to ensure that the interests of all fringes of the society are equally defended
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Wolikow, Serge. « Le Parti communiste français et l'Internationale communiste (1925-1933) ». Paris 8, 1990. http://www.theses.fr/1990PA080523.

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Résumé :
Le travail entrepris, centre sur le PCF, se déploie sue les deux plans, national et international, politique et syndical, puisque l'étude de l'Internationale communiste va de pair avec celle du syndicalisme rouge. La chronologie événementielle courte est combinée avec l'obervation des évolutions sur le moyen terme. Les années vingt éclairent la situation du PCF dans les années trente. En 1933-34, le mouvement communiste retrouve des pratiques et des réflexions déjà constituées en 1926-27, puis éclipsées. La stratégie et l'activité communistes, insérées dans la société française mais partie prenante de l'Internationale communiste, sont au centre de la thèse. L'importance, méconnue, de la période 1926-27 est mise en valeur. L'élaboration et les conséquences de l'orientation classe contre classe sont étudiées dans leurs dimensions idéologiques et pratiques. Sont également examinés les modes d'organisation et de fonctionnement du PCF et de l'IC durant cette période. Une part importante est réservée aux analyses et aux théorisations économiques et politiques communistes. Enfin les activités des directions du PCF et de la CGTU sont étudiées, avec leurs imbrications, jusqu'en 1934
The study wich deals with french communist party, is developped on two different levels, national and international, unionistic and political. Short and middle times are mixed up. The twenties light up the situation of the FCP during the thirties. In 1934 the communist movement meets again reflexions and activities already set up in 1926 but vanished afterwards. The main point of the thesis consists in studying communist strategy and activity both among french society and Comintern. Communist organization as well as ideological productions concerning political and economical analysis and theory are considered
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Plus de sources

Livres sur le sujet "Partis et syndicats"

1

François-Mathieu, Poupeau, dir. Lumières sur la banlieue : Histoire du Syndicat intercommunal de la périphérie de Paris pour l'électricité et les réseaux de communication, SIPPEREC. Ivry-sur-Seine : Les Éditions de l'Atelier, 2014.

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2

1936-, Knight Rolf, dir. Homer Stevens : A life in fishing. Madeira Park, B.C : Harbour Pub., 1992.

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3

Knight, Rolf, et Homer Stevens. Homer Stevens : A Life in Fishing. Harbour Publishing, 1992.

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Chapitres de livres sur le sujet "Partis et syndicats"

1

Bernard, Elaine. « Le mouvement syndical et le Parti travailliste en Colombie-Britannique, une transformation dynamique ». Dans Syndicalisme et société, 95–102. Presses de l'Université du Québec, 2011. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv18ph1qz.8.

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2

« L’ÈRE REAGAN CONTRE LE MOUVEMENT SYNDICAL, 1980-1992 ». Dans Mouvements ouvriers, partis politiques et luttes populaires aux États-Unis. 1938-2018, 807–990. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p0s4.14.

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3

Felli, Romain, et Raphaël Ramuz. « L’environnement comme stratégie syndicale internationale : réflexions sur la « géographie ouvrière » à partir du changement climatique ». Dans Espace et rapports de domination, 367–76. Presses universitaires de Rennes, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.59468.

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Boll, Friedhelm, et Stéphane Sirot. « 5. Du « tarif » à la convention collective. Grèves et syndicats des ouvriers à Londres, Paris et Hambourg à la fin du xixe siècle ». Dans L’invention des syndicalismes, 129–50. Éditions de la Sorbonne, 1997. http://dx.doi.org/10.4000/books.psorbonne.48018.

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Poidevin, Aurélien. « 22 - Pratiques syndicales dans le secteur du spectacle vivant sous Vichy et l’Occupation : l’exemple des travailleurs de l’art lyrique dans les villes du Mans, de Nice et de Paris ». Dans Villes et culture sous l'Occupation, 241. Armand Colin, 2012. http://dx.doi.org/10.3917/arco.talia.2012.01.0241.

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« Les musulmans, assurément, peuvent prier observer le ramadan, aller (éventuellement) en n’importe où, mais pourquoi n’auraient-ils pas pèlerinage à La Mecque, en quoi est-ce plus leurs lieux de culte ? Ceux qui s’épouvantent à gênant pour l’ordre public que d’assister à la l’idée (au fantasme) de voir le « sol de France », messe, payer le denier du culte [6], faire comme dit P. Chaunu [1], se couvrir de minarets carême [7], aller à Lourdes, ou monter à (mais beaucoup de mosquées n’ont pas de genoux [8] les marches du Sacré-Cœur [9] ? minaret) montrent non seulement qu’ils n’ont A lire [10] les derniers sondages sur certaines aucun sens esthétique (ont-ils jamais admiré les mœurs hexagonales [11], on regrette (presque) mosquées de Fès ou de Damas?), mais, surtout, que la deuxième religion de France ne soit pas qu’ils ne comprennent rien à la fonction de la première : si davantage de Français régulation sociale de la mosquée [2]. pratiquaient l’islam ou s’en inspiraient, n’y Comme l’église autrefois pour les Polonais aurait-il pas un peu moins de crasseux (67 p.100 du Nord (et pour les Polonais de la Pologne de avouent qu’ils ne se lavent pas tous les jours), Jaruzelski), comme le local de la section un peu moins d’obèses (61 p.100 sont trop syndicale ou du parti, la mosquée est d’abord gros), beaucoup moins d’ivrognes?… un lieu de réunion et d’expression : on s’y Il y aurait davantage de polygames, de retrouve entre soi – on se retrouve [3] –, on y est femmes cloîtrées ? Mais il n’est nul besoin d’être reconnu à part entière [4] et, parce qu’on a musulman pour maltraiter sa femme : il suffit conscience d’appartenir à un groupe, on a soi-d’être un rustre. Apparemment, ils ne manquent même davantage conscience d’être quelqu’un – pas, puisque les pouvoirs publics ont dû ouvrir une personne. des centres d’accueil pour les femmes que leurs Plus de dignité, une identité plus forte – sans maris battaient. Lesquels, bien entendu, ne sont oublier l’information qui s’échange, la culture pas plus chrétiens que les autres ne sont qu’on reçoit ou développe : loin de séparer, ou musulmans : ce n’est pas une religion, quelle d’opposer, la mosquée intègre, ou permet de qu’elle soit, qui détermine le statut des femmes, mieux s’intégrer à la société … française. c’est la structure et le mode d’organisation L’expérience prouve que plus un être est d’une société. Au XIX siècle, la plupart des enraciné dans sa propre culture, plus il est Françaises étaient aussi « musulmanes » que susceptible d’en acquérir une autre. Ce sont les peuvent l’être aujourd’hui des Saoudiennes, des sans-culture qui sont condamnés à vivre dans Siciliennes ou des Calabraises… les marges. Épaves ou fauteurs de troubles [5]. Fréquenter une mosquée, faire l’aumône »,. Dans Francotheque : A resource for French studies, 74–86. Routledge, 2014. http://dx.doi.org/10.4324/978020378416-12.

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