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1

Vulbeau, Alain. « L'approche sensible des quartiers “sensibles” ». Informations sociales 141, no 5 (2007) : 8. http://dx.doi.org/10.3917/inso.141.0008.

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2

Sinigaglia-Amadio, Sabrina. « Cyprien Avenel, Sociologie des « quartiers sensibles » ». Questions de communication, no 7 (30 juin 2005) : 361–62. http://dx.doi.org/10.4000/questionsdecommunication.5555.

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3

Delmas, Corinne. « Cyprien Avenel, Sociologie des « quartiers sensibles » ». L'Homme, no 182 (2 mai 2007) : 277–78. http://dx.doi.org/10.4000/lhomme.4265.

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4

Tissot, Sylvie. « Identifier ou décrire les « quartiers sensibles » ? » Genèses 54, no 1 (2004) : 90. http://dx.doi.org/10.3917/gen.054.0090.

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5

Pan Ké Shon, Jean-Louis. « Ségrégation ethnique et ségrégation sociale en quartiers sensibles ». Revue française de sociologie 50, no 3 (2009) : 451. http://dx.doi.org/10.3917/rfs.503.0451.

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6

Ronez, Claude. « Les quartiers sensibles de Reims face à la crise ». Economie et statistique 294, no 1 (1996) : 75–87. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1996.6084.

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7

Khosrokhavar, Farhad. « La violence et ses avatars dans les quartiers sensibles ». Déviance et société 24, no 4 (2000) : 425–40. http://dx.doi.org/10.3406/ds.2000.1739.

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8

Rosenberg, Suzanne. « Agents et bureaux de poste dans les quartiers sensibles ». Flux 16, no 42 (2000) : 35–42. http://dx.doi.org/10.3406/flux.2000.1341.

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9

Rosenberg, Suzanne. « Agents et bureaux de poste dans les quartiers sensibles ». Flux 42, no 4 (1 décembre 2000) : 35–42. http://dx.doi.org/10.3917/flux.p2000.16n42.0035.

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10

Maurin, Louis. « Territoires : les quartiers “ ; sensibles ” ; face aux stéréotypes ». Alternatives Économiques 235, no 4 (1 avril 2005) : 65. http://dx.doi.org/10.3917/ae.235.0065.

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11

Dieci, Daniele. « La politique de la ville e i quartiers sensibles in Francia : un profilo ». STORIA URBANA, no 135 (février 2013) : 91–118. http://dx.doi.org/10.3280/su2012-135005.

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Résumé :
Il saggio tratta la storia delle politiche urbane francesi, approfondendo l'evoluzione cronologica del dispositivo pubblico della politique de la ville e della categoria pubblica di quartier sensible. Si parte dalle origini delle politiche urbane francesi che vedono il quartiere come unitŕ territoriale di riferimento passando attraverso i moti delle balie, che influenzano fortemente le policy, dagli anni '80 in poi. Parallelamente sono analizzati i testi normativi piů importanti, i dibattiti parlamentari, gli avvicendamenti politici, le riforme introdotte e la nascita della geografia prioritaria, concludendo con i moti urbani piů recenti e le critiche alle misure adottate dal governo francese.
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Avenel, Cyprien. « La question des quartiers dits « sensibles » à l’épreuve du ghetto ». Revue économique 67, no 3 (2016) : 415. http://dx.doi.org/10.3917/reco.673.0415.

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13

Vieillard-Baron, Hervé. « Quartiers « sensibles » et politique de la ville : bilan d'une recherche ». Espace géographique 29, no 3 (2000) : 237–54. http://dx.doi.org/10.3406/spgeo.2000.2010.

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Oppenchaim, Nicolas. « Les fonctions socialisantes de la mobilité pour les adolescents de zones urbaines sensibles : différentes manières d’habiter un quartier ségrégué ». Enfances, Familles, Générations, no 19 (12 mars 2014) : 1–18. http://dx.doi.org/10.7202/1023768ar.

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Résumé :
L’objectif de cet article est de mieux comprendre l’articulation entre l’ancrage résidentiel des adolescents habitant dans des quartiers ségrégués et leurs pratiques de mobilité dans la ville. Nous nous appuyons pour cela sur le cas des adolescents de catégories populaires et moyennes qui habitent dans des zones urbaines sensibles (ZUS) franciliennes. L’emploi de matériaux statistiques, ethnographiques et d’entretiens semi-directifs nous permet de montrer que les adolescents de ZUS ont un potentiel de mobilité inférieur à celui des autres adolescents, mais que vivre dans un quartier ségrégué ne signifie pas nécessairement une absence de fréquentation du reste de la ville.
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Pan Ké Shon, Jean-Louis. « Déterminants de la non-inscription électorale et quartiers sensibles en France ». Population 59, no 1 (2004) : 147. http://dx.doi.org/10.3917/popu.401.0147.

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Shon, Jean-Louis Pan Ké, et Jean-Louis Pan Ke Shon. « Déterminants de la non-inscription électorale et quartiers sensibles en France ». Population (French Edition) 59, no 1 (janvier 2004) : 147. http://dx.doi.org/10.2307/3654972.

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Madelin, Bénédicte. « Le travail social dans les quartiers « sensibles » : un rendez-vous manqué ». Informations sociales 152, no 2 (2009) : 82. http://dx.doi.org/10.3917/inso.152.0082.

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Tissot, Sylvie. « Les sociologues et la banlieue : construction savante du problème des « quartiers sensibles » ». Genèses 60, no 3 (2005) : 57. http://dx.doi.org/10.3917/gen.060.0057.

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Lopez, Alberto. « Les "quartiers sensibles" de l'agglomération lyonnaise face à la montée du chômage ». Recherches et Prévisions 29, no 1 (1992) : 31–44. http://dx.doi.org/10.3406/caf.1992.1545.

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Oppenchaim, Nicolas. « Les freins à la mobilité d’une partie des jeunes des quartiers sensibles ». Les Cahiers du Développement Social Urbain N° 58, no 2 (1 juillet 2013) : 18–19. http://dx.doi.org/10.3917/cdsu.058.0018.

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Vieillard-baron, Hervé. « Le travail social dans les quartiers "sensibles" : crise et mutations récentes ». Espaces et sociétés 84, no 2 (1996) : 177. http://dx.doi.org/10.3917/esp.1996.84.0137.

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Frasse, C. « Actions coordonnées de prévention de l’obésité pédiatrique dans des quartiers sensibles du Nord toulousain ». Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 67 (février 2019) : S43. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2018.12.006.

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Soto, Hélène, et Pierre Therme. « Les figures de l'exploit. Pratique et supporterisme chez les jeunes des quartiers sensibles marseillais ». Agora débats/jeunesses 16, no 1 (1999) : 53–60. http://dx.doi.org/10.3406/agora.1999.1148.

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Vieille Marchiset, Gilles, et Benjamin Coignet. « La sociologie de l’innovation au service d’une recherche-action. L’exemple des clubs sportifs dans les quartiers populaires français ». Cahiers de recherche sociologique, no 53 (27 février 2014) : 167–94. http://dx.doi.org/10.7202/1023195ar.

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Résumé :
L’article s’appuie sur une recherche-action engagée avec des clubs sportifs dans les zones urbaines sensibles en France pour questionner l’utilisation de la notion d’innovation sociale par les scientifiques et les responsables associatifs. Une approche systémique de l’innovation sociale est présentée, ainsi que sa pertinence pour comprendre les réalités observées. L’article insiste sur la dynamique relationnelle de l’innovation sociale dans les clubs sportifs, notamment par l’analyse des liens entre sociologues et porteurs de l’innovation. L’appropriation ambiguë par les acteurs de l’innovation, des notions produites par les sociologues est mise en exergue. Dès lors se pose le problème de l’engagement du chercheur et de son intégration progressive dans le processus d’innovation.
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Raze, Jean-François. « La localisation des équipements publics : renouveau des coûts de la croissance urbaine et élément de réponse au problème des quartiers sensibles ? » Revue d'Économie Régionale & ; Urbaine avril, no 2 (2004) : 195. http://dx.doi.org/10.3917/reru.042.0195.

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Bresson, Maryse. « Peut-on parler d'un échec de la participation dans les quartiers « sensibles » en France ? Réflexion sur la pluralité des attentes et les confusions autour de ce thème ». Pensée plurielle 15, no 2 (2007) : 121. http://dx.doi.org/10.3917/pp.015.0121.

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Lacombe, Séverine. « Sensible (quartier, question) ». Quaderni 63, no 1 (2007) : 84–87. http://dx.doi.org/10.3406/quad.2007.1792.

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Guillemot, Lionel. « Des riches parmi les pauvres ? La « géographie prioritaire » et les emplois-ville : exemple de discrimination par l'habitat des politiques de lutte contre le chômage au sein des quartiers dits « sensibles » (Riches among poors ? "Geographic priority" and "emplois-ville") ». Bulletin de l'Association de géographes français 78, no 4 (2001) : 395–402. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.2001.2243.

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André, Catherine. « Bouillon créatif au cœur d'un quartier sensible ». Alternatives Économiques N° 384, no 11 (1 novembre 2018) : 80. http://dx.doi.org/10.3917/ae.384.0080.

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Barou, Jacques. « De la difficulté d'élever ses enfants dans un quartier sensible ». Informations sociales 141, no 5 (2007) : 52. http://dx.doi.org/10.3917/inso.141.0052.

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Vieillard-Baron, Hervé. « Entre proximité et distance, quelle place pour le terrain ? » Cahiers de géographie du Québec 49, no 138 (17 juillet 2006) : 409–27. http://dx.doi.org/10.7202/012565ar.

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Résumé :
Résumé Ce texte a pour but de clarifier les significations du concept de terrain, d’analyser son usage et de montrer les pièges que révèle une proximité non maîtrisée. En première approche, le terrain se donne à voir simplement dans sa matérialité. Il apparaît comme l’espace des pratiques quotidiennes, le lieu de l’expérience et l’école de la vie. Mais ce terrain n’est pas un absolu; il dépend de celui qui l’appréhende, de sa culture et de son histoire. À peine perçu, il est déjà construit, délimité, théorisé. L’article montre aussi comment s’articulent en France le travail deterrain, l’investissement sur le local et la démocratie de proximité. Aujourd’hui, le quartier sensible, comme espace emblématique de l’action publique en faveur des exclus, semble avoir laissé la place à une approche institutionnelle dont la référence serait le territoire. Le glissement du terrain au territoire souligne le passage d’une gestion des quartiers à une maîtrise des processus qui font de la mise à l’écart des uns la condition de la valorisation des autres.
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Rode, Sylvain, Mathilde Gralepois et Éric Daniel-Lacombe. « Les transactions entre la ville et l'inondation pour un urbanisme plus résilient ». La Houille Blanche, no 3 (juin 2018) : 34–40. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018030.

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Résumé :
Les projets d'aménagement urbain en zone inondable se présentent comme des configurations - à la fois spatiales et actorielles - lors desquelles sont mises en œuvre des transactions entre la ville et l'eau afin d'intégrer le risque d'inondation et aboutir à une forme d'urbanisme résilient. L'étude transversale de quatre projets d'aménagement urbain développés en zone inondable constructible en France - le quartier Rives de Maine à Angers, le quartier Berges de la Robine à Narbonne, le quartier de l'Eure St-Nicolas au Havre et le quartier Matra à Romorantin - permet de faire ressortir les grandes catégories de transactions nécessaires à un urbanisme résilient. Nous identifions tout d'abord trois grands types d'espaces génériques de transaction ville/risque d'inondation, qui sont des solutions d'organisation de l'espace adaptées au risque d'inondation et constituent donc des réponses à l'enjeu de l'urbanisation résiliente des zones inondables : les espaces surélevés, les transparences hydrauliques, l'aménagement paysager de l'interface ville/eau. Nous montrons ensuite que la prise en compte de l'inondation dans un projet d'aménagement urbain tient à la capacité des acteurs du projet à articuler registre technique et registre sensible, mais aussi à leur capacité à articuler logique réglementaire et logique de projet. Il s'agit de rendre possible la confrontation des différents acteurs et l'invention de solutions d'organisation de l'espace qui soient le résultat de négociations inventives.
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Ferchaud, Flavie, et Marc Dumont. « Les « échappées » des expérimentations, une forme de design social des espaces ? Le cas du réaménagement du quartier du Blosne à Rennes (France) ». Partie 3 — Des stratégies participatives à l’épreuve des « publics », no 73 (1 juin 2015) : 199–214. http://dx.doi.org/10.7202/1030958ar.

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Résumé :
Inlassablement aux prises avec la question de la participation des citoyens, les acteurs publics en France comme dans d’autres pays européens ont tenté d’en intégrer de manière récente à des formes plus expérimentales dans le cadre d’opérations d’urbanisme. Ces pratiques permettent-elles réellement de renouveler l’expression et les formes du politique en milieu urbain ? Dans leur tentative d’articulation des dynamiques sociales avec l’action publique, parviennent-elles à définir de nouvelles modalités de design social des espaces construits ? Pour tenter d’y répondre, l’article s’appuie sur une analyse réalisée dans le cadre d’une recherche-action menée à l’occasion d’une pratique expérimentale de participation en urbanisme, en France, dans un quartier classé zone urbaine sensible (ZUS) de la Ville de Rennes, quartier qui fait l’objet depuis plusieurs années d’un projet de renouvellement urbain. Trois registres propres à cette expérimentation y sont dégagés : la performance, le réformisme et la capacité indirecte à induire certaines dynamiques sociales.
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Tauber, M., B. Jouret, C. Frasse et C. Fleury. « Programme coordonné de prévention de l’obésité pédiatrique mis en œuvre par un réseau de santé dans un quartier sensible toulousain ». Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 64 (avril 2016) : S106—S107. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2015.07.029.

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Meissonnier, Joël, et Nicolas Jouve. « Penser la mobilité dans une politique de rénovation urbaine ». Cahiers de géographie du Québec 58, no 163 (19 février 2015) : 39–57. http://dx.doi.org/10.7202/1028938ar.

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Résumé :
En France, la politique publique de renouvellement urbain passe de plus en plus souvent par une destruction de l’habitat suivie d’une reconstruction. Elle implique de mettre en place une procédure de relogement des ménages qui, du point de vue des familles, se traduit par une relocalisation dans un autre quartier de la ville. Cette étude analyse l’évolution des pratiques de mobilité quotidienne dans ce contexte particulier du déménagement sous contrainte. Enquête qualitative à l’appui, les auteurs caractérisent les mobilités des résidants d’une Zone urbaine sensible (ZUS) à Tourcoing (France). Ils concentrent ensuite leur propos sur le covoiturage d’entraide, qui est apparu comme une pratique saillante au sein de la population étudiée. Ils analysent comment cette pratique de déplacement est potentiellement affectée par la politique publique de rénovation urbaine lorsque celle-ci passe par un relogement des ménages. En effet, les ancrages et l’entraide participent largement de la motilité des personnes.
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Ducharme, Francine, Bilkis Vissandjee, Mario Paquet, Normand Carpentier, Louise Lévesque et Denise Trudeau. « La pratique dans un contexte pluriethnique ». Perspectives étatiques 21, no 2 (25 janvier 2010) : 137–56. http://dx.doi.org/10.7202/038967ar.

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Résumé :
Résumé Cette étude qualitative visait à mettre à l’essai une démarche pour la création d’une approche de négociation entre le personnel des services de soutien à domicile et des proches-aidantes d’un parent âgé, en vue de formuler des recommandations pour une offre de services culturellement sensibles. L’approche repose sur un cadre conceptuel de négociation qui tient compte des perspectives paradigmatiques des parties concernées : les utilisateurs et prestataires de services. L’étude a été réalisée auprès d’aidantes d’origine haïtienne, en tant que cas traceurs, et auprès d’intervenants et d’intervenantes des services de soutien à domicile. Les données révèlent que les attentes et solutions concernant les services sont largement convergentes entre ces deux groupes d’acteurs et portent notamment sur les barrières à l’utilisation des services et les relations entre les aidantes et les intervenants ou intervenantes. Les principales recommandations issues des détenteurs d’enjeux2 concernent la formulation d’une politique de soutien des aidantes, la mise en place d’équipes ethnoculturelles de quartier, l’établissement de liens avec les organismes communautaires et la formation interculturelle des intervenants. Cette démarche fournit des pistes pour une pratique basée sur la négociation dans des contextes culturels divers.
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Escudero, David. « Roma, c. 1955 : Arquitectura y representación en los márgenes de la ciudad ». ZARCH, no 14 (3 novembre 2020) : 160–75. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_zarch/zarch.2020144300.

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Résumé :
Durante la reconstrucción de Italia tras la Segunda Guerra Mundial, la periferia de Roma fue objeto de debate arquitectónico y urbano. Ciertas voces de la crítica, impregnadas del ambiente cultural del neorrealismo, pusieron el foco en la vida cotidiana y el problema del habitar y captaron las relaciones humanas que tenían lugar en los márgenes de la ciudad. La zona noreste, a orillas del río Aniene, atrajo especialmente la atención como umbral entre campo y ciudad, entre barracas y urbanización. Allí se construyeron el Quartiere Tiburtino y las Torres en Viale Etiopia, dos proyectos de vivienda ampliamente estudiados por la historia y la teoría de la arquitectura y ligados entre sí como punta de lanza del neorrealismo en arquitectura. El artículo indaga en el ambiente de la periferia de aquella Roma con el objetivo de revelar si la representación fotográfica intervino en la recepción de ambos proyectos y les atribuyó significados. Por un lado, examina cómo la fotografía contribuyó a la asociación crítica entre ambos barrios a pesar de sus notables divergencias y, a su vez, a la vinculación de estos con el neorrealismo. Por otro, analiza cómo la fotografía mostró la periferia donde ambos proyectos fueron construidos. El trabajo se fundamenta en el estudio de una selección de fuentes primarias –fotografías de archivos y revistas, descripciones literarias, documentales y películas– que evidencia una narrativa compartida entre los proyectos, a la vez que nexos no obvios entres estos y su entorno. Con ello, el artículo se aproxima a un momento de la historia de Roma en el que sus márgenes fueron representados por imágenes tan sensibles como divergentes.
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LAISSE, Sarah, René BAUMONT, Léonie DUSART, Didier GAUDRÉ, Benoit ROUILLÉ, Marc BENOIT, Patrick VEYSSET, Didier RÉMOND et Jean-Louis PEYRAUD. « L’efficience nette de conversion des aliments par les animaux d’élevage : une nouvelle approche pour évaluer la contribution de l’élevage à l’alimentation humaine ». INRA Productions Animales 31, no 3 (18 janvier 2019) : 269–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2355.

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Résumé :
L’élevage est souvent perçu comme inefficient pour produire des denrées alimentaires pour l’Homme car les animaux consomment davantage de végétaux qu’ils ne produisent de viande, de lait ou d’œufs. Le calcul de l’efficience nette de conversion des aliments en ne considérant dans le calcul que la part potentiellement consommable par l’Homme des aliments utilisés par les animaux permet de relativiser ce constat. En effet, une large part des aliments consommés par les animaux d’élevage (fourrages, coproduits…) n’est pas directement consommable par l’Homme. Appliqués à des systèmes d’élevage français, les calculs d’efficience nette montrent que toutes les productions animales (bovins laitiers et à viande, ovins à viande, porcins, poulets de chair, poules pondeuse) peuvent être producteurs nets de protéines à condition de maximiser la part des végétaux non valorisables en alimentation humaine dans les rations. Le calcul de l’efficience nette est très sensible à l’estimation de la part des aliments utilisés en alimentation animale qui peut être directement valorisée par l’Homme. Celle-ci varie fortement d’une matière première à l’autre selon les habitudes alimentaires et les technologies agroalimentaire qui peuvent évoluer dans le temps. Il est donc nécessaire d’analyser les résultats d’efficience nette à travers plusieurs scénarios de valorisation des matières premières végétales. De même le niveau de valorisation du cinquième quartier de la carcasse des animaux d’élevage pour l’alimentation humaine est très variable et influence sensiblement les résultats d’efficience nette. Enfin, la prise en compte du différentiel de qualité entre les protéines végétales permettrait d’affiner les calculs d’efficience protéique.
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Gibney, M. J. « Strategies for altering population intakes of fats and fatty acids ». Proceedings of the Nutrition Society 58, no 1 (février 1999) : 189–91. http://dx.doi.org/10.1079/pns19990024.

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Résumé :
Quantitative dietary guidelines for fats were first issued in 1977 in the USA and these guidelines have changed little since then. In the UK only 14 % of the population achieve the dietary goal for fat (33 % energy) and only 3 % achieve the target (10 % energy) from saturated fatty acids. Analysis of the Dietary and Nutritional Survey of British Adults reveals that across quartiles of decreasing total fat intake, the actual fatty acid composition of this fat does not alter; i.e. when total fat is lowered, all fatty acid categories are equally lowered. This arises because 85 % of total fat and of each of the categories of fatty acids are provided by just five foods (milk, meat, cereals, spreads and vegetables). When total fat in the UK is lowered, the intake of polyunsaturated fatty acids is lowered. The problem is that if the intake of polyunsaturated fatty acids falls below a threshold of about 5 % energy, the cholesterol-raising properties of certain saturated fatty acids, e.g. myristic acid, are greatly augmented. In order to alter the balance of dietary fatty acids, more data are needed on food choices of those in the population achieving particular targets. These targets cannot be based on existing dietary goals, since so few people attain them. A new set of‘interim attainable dietary guidelines’, based on prevailing dietary intakes, must be the basis for establishing sensible food-based dietary guidelines.
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Levan, Véronique. « Sécurisation des quartiers « sensibles » : l’inéluctable ascension de la prévention situationnelle ? » Champ pénal, Vol. I (24 février 2004). http://dx.doi.org/10.4000/champpenal.64.

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Lemarchand, Nathalie. « Pierre Merlin : Les Grands Ensembles. Des discours utopiques aux « quartiers sensibles » ». Territoire en mouvement, no 13 (1 mai 2012). http://dx.doi.org/10.4000/tem.1655.

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Desponds, Didier, et Pierre Bergel. « Identifier les « quartiers sensibles » dans les villes françaises : une quête sans cesse recommencée ». Itinéraires, no 2016-3 (10 mai 2017). http://dx.doi.org/10.4000/itineraires.3521.

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Tissot, Sylvie. « Y a-t-il Un « problème des quartiers sensibles » ? Retour sur une catégorie d'action publique ». French Politics, Culture & ; Society 24, no 3 (1 janvier 2006). http://dx.doi.org/10.3167/153763706780586747.

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Couture, Jean-Simon. « Multiculturalisme ». Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.047.

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Résumé :
Durant plus d’un siècle, la culture a été l’une des notions les plus en vogue en anthropologie. Malgré la diversité épistémologique qui la sous-tend, il est un trait qui rassemble les diverses définitions de la culture, celui de la considérer comme une entité isolée et comme un organisme social cohérent en soi. À partir des années 1980, tous les concepts holistes de la culture ont été la cible d’une critique en partie justifiée. On leur reprochait de considérer les cultures comme des phénomènes propres à une seule société, selon le principe une société, une culture. Cherchant à considérer le caractère pluriel des sociétés contemporaines, on a recouru à plusieurs expressions comme, par exemple, multiculturalisme, communication interculturelle et identités transculturelles. Les préfixes multi-, inter- et trans- ont en commun une certaine affinité mais aussi des connotations diverses. Ces trois préfixes servent à construire des notions utilisées soit dans un contexte descriptif et par conséquent, analytique, soit dans un cadre prescriptif et donc normatif. Toutefois la distinction entre ce qui est et ce qui devrait être n’est pas clairement définie. C’est pourquoi, d’une part, on se trouve face à un mélange d’interprétations scientifiques, et d’autre part, de raisonnements appréciatifs et de jugements de valeur. C’est ainsi que l’analyse scientifique tend à se confondre et à se brouiller avec les programmes politiques, à quoi il convient d’ajouter des vues idéologiques utopiques. L’approfondissement de la notion de multiculturalisme fera foi d’exemple. Qu’est-ce que peut vouloir signifier le terme de multiculturalisme? Ce terme, de même que le préfixe multi tendent en fait à souligner l’importance aussi bien des différences culturelles que des frontières qui s’y rattachent. Ainsi, avec la notion de multiculturalisme on met en évidence la séparation des collectivités entre elles, y compris du point de vue spatial. Le terme de multiculturalisme possède une orientation plus relativiste, communautariste et parfois ségrégationniste ainsi qu’un caractère plutôt additif et moins relationnel comparativement à des notions telles que celles d’interculturalité et de transculturel (Taylor, 1992; Kymlicka, 1995 Modood, 2002). Les préfixes inter ou trans seraient considérés comme plus dynamiques, ouverts et processuels. Et pourtant le concept de multiculturalisme continue à être utilisé par des chercheurs, des politiciens, des intellectuels ou par de véritables producteurs d’identité, dans les pays où la différence culturelle est considérée comme un enrichissement social et surtout comme une donnée de fait, acceptée pragmatiquement comme telle le ou encore, là où elle fait l’objet d’un véritable culte. En raison de la grande hétérogénéité entre les divers types de multiculturalisme, il semble judicieux de se pencher sur ce qu’est le multiculturalisme en analysant des situations que l’on peut observer dans certaines sociétés où il fait partie des discussions quotidiennes et dans lesquelles le terme est opérationnel. Nous avons choisi trois cas exemplaires ne faisant pourtant pas partie des cas considérés comme classiques et par conséquent les mieux connus. Il s’agit de l’Allemagne, de la Suisse et de la Malaisie. En Allemagne, nation qui se considère comme historiquement monoethnique, le terme de Multikulturalismus, conçu lors de l’arrivée d’un nombre important d’immigrés de l’Europe du Sud suite à la Deuxième Guerre, a joui d’une grande popularité entre les années 970 et 1990. Aujourd’hui le terme de Multikulturalismus a mauvaise réputation. La mauvaise connotation actuelle du terme est attribuable au projet socio-culturel nommé MultiKulti. Ce projet dont le centre a été Francfort et Berlin (alors Berlin Ouest), où la concentration d’immigrants était particulièrement haute, s’est fait remarquer par ses bonnes intentions, mais surtout par le dilettantisme qui y a présidé. Ce qui a fini par discréditer toute conception politique future de multiculturalisme au sein d’une nation très fière depuis toujours de son homogénéité culturelle. La société allemande n’a jamais été sensible à la diversité culturelle, mais ce que l’on appelait le MultiKulti était fondé sur une idée plutôt vague de coexistence harmonieuse et spontanée entre des cultures fort diverses au quotidien. Le MultiKulti était donc destiné à échouer en raison de la négligence même avec laquelle il avait été pensé dans ce contexte. C’est pourquoi le multiculturalisme inhérent au projet d’une société MultiKulti finit par évoquer en Allemagne le spectre de sociétés parallèles, à savoir l’existence de communautés ethnoculturelles séparées qui vivent sur le territoire national dans des quartiers urbains ethniquement homogènes. Un scénario de ce genre, considéré comme une calamité, a réveillé les fantasmes du sinistre passé national-socialiste. C’est pour cette raison qu’actuellement, le multiculturalisme est rejeté aussi bien par le monde politique que par une grande partie de la société. Ainsi, c’est le concept d’intégration, comme forme d’assimilation souple, qui domine maintenant. En Suisse, le terme de multiculturalisme jouit d’une réputation bien meilleure. La société nationale, avec sa variété culturelle, la tolérance qui règne entre les communautés linguistiques et confessionnelles, la stabilité fondée sur le consensus et sur l’accord, est conçue et perçue comme une forme particulière de société multiculturelle. La Suisse est donc une communauté imaginée dont la multiculturalité est historiquement fixée et sera, à partir de 1848, constitutionnellement définie, reconnue et partiellement modifiée. Dans le cas de la Suisse on peut parler d’un multiculturalisme constitutionnel fondé sur la représentation que le peuple suisse s’est forgée au sujet de ses communautés culturelles (les Völkerschaften) diverses et séparées par les frontières cantonales. La société suisse est bien consciente et fière de ses différences culturelles, légalement reconnues et définies par le principe dit de territorialité selon lequel la diversité est cultivée et fortement mise en évidence. Will Kymlicka a raison lorsqu’il affirme que les Suisses cultivent un sentiment de loyauté envers leur État confédéré précisément parce que celui-ci garantit d’importants droits à la différence et reconnaît clairement des délimitations culturelles relatives à la langue et à la confession (Kymlicka 1995). Le sentiment d’unité interne à la société suisse est à mettre en rapport avec les politiques de reconnaissance de l’altérité qui se basent paradoxalement sur la conscience que le pays est une coalition de résistances réciproques dues aux différences linguistiques et religieuses au niveau cantonal. Cette conscience différentialiste a eu pour conséquence la pratique du power sharing (partage de pouvoir) qui fait que la Suisse est devenue un exemple de démocratie consociative (Lijphart 1977). Ce système politique ne coïncide pas avec le modèle classique de la démocratie libérale car pour affaiblir les résistances des cantons il est nécessaire de recourir au niveau fédéral à de vastes coalitions qui tiennent compte de l’équilibre entre les communautés cantonales et neutralisent la dialectique entre majorité et opposition. Il convient d’ajouter que les étrangers et les immigrés non citoyens sont exclus des pratiques politiques du multiculturalisme helvétique. La condition première pour participer est l’intégration, à savoir une forme plus légère d’assimilation, puis l’obtention de la nationalité. Le régime colonial britannique et dans une moindre mesure le régime hollandais, ont créé en Afrique, en Amérique, en Océanie mais surtout en Asie des sociétés appelées plural societies (Furnivall 1944) en raison de leur forte diversité ethnoculturelle. Dans ces sociétés, les communautés semblent mener volontairement des existences parallèles, les contacts culturels n’ayant lieu que sporadiquement avec les autres composantes de la société. Le multiculturalisme constitue un instrument politique et social indispensable pour garantir la reconnaissance et le respect réciproque des différences ethno-culturelles à l’intérieur d’un État souverain portant la marque d’une telle complexité. C’est le cas de la Malaisie où vivent ensemble et pacifiquement, mais non sans tensions permanentes, une dizaine de communautés ethnoculturelles parmi lesquelles on trouve, pour les plus nombreuses, les Malais, les Chinois et les Indiens. Dans ce pays on a créé des représentations et des stratégies d’action concrètes visant à mettre au point une forme spécifique de multiculturalisme qui continuerait à garantir la paix sociale et la prospérité économique. Mentionnons parmi celles-là : -La doctrine de l’harmonie de la nation (rukun negara) fondée sur l’idée de l’« unité dans la diversité ». Cette construction idéologique possède une forte valeur symbolique surtout lorsque naissent des tensions entre les communautés. -Au quotidien, la référence à un principe consensuel d’« unité dans la séparation ». Les diverses communautés tendent à vivre volontairement dans des milieux sociaux séparés mais non ségrégés. -La commémoration du grave conflit interethnique entre Malais et Chinois du 13 mai 1969. Ces faits sont devenus le mythe national négatif, à savoir quelque chose qui ne doit plus se reproduire. -Un régime politique fondé sur le consociativisme ethnique. Le gouvernement fédéral et celui des États particuliers sont formés de grandes coalitions auxquelles participent les divers partis ethniques. -La politique de discrimination positive pour les Malais qui sont la communauté ethnique la plus faible économiquement. Ces mesures sont acceptées tacitement de la part des Chinois et des Indiens (quoique non sans résistance). -Enfin, le projet, à travers le programme One Malaysia, de créer dans le futur une société plus unie, même si elle reste fondée sur le multiculturalisme. Du point de vue socioéconomique et politique, la Malaisie peut se considérer aujourd’hui, malgré des limites évidentes, comme une histoire à succès, un succès dû paradoxalement à cette forme particulière de multiculturalisme. Le multiculturalisme n’est pas une stratégie universalisable (voir le cas de l’Allemagne) pas plus qu’il n’est réductible à un modèle unique (voir le cas de la Suisse et de la Malaisie). Nous sommes plutôt face à un ensemble de solutions fort variées dans leur manière de gérer la diversité dans des sociétés ethniquement et culturellement plurielles. Une théorie générale du multiculturalisme est peut-être trop ambitieuse; l’analyse comparative qui en fait voir les défauts et les difficultés, mais aussi certains avantages importants est en revanche enrichissante.
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