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Detoc, Sylvie. « L'état des ressources en eau souterraine en France ». La Houille Blanche, no 2 (avril 2003) : 102–7. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2003035.

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Assaad, Aziz, Marc Benoit, Eliane Cablé, Michelle Cussenot et Marie-Noëlle Pons. « Expérience de recherche participative dans le bassin du Madon (Lorraine, France) ». Revue des sciences de l’eau 28, no 3 (10 novembre 2015) : 199–205. http://dx.doi.org/10.7202/1034008ar.

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Résumé :
Résumé La recherche participative (ou recherche citoyenne) permet d’établir un partenariat entre le milieu académique (laboratoire universitaire et ses chercheurs) et le milieu associatif ou scolaire pour réaliser des études à visée scientifique. Elles permettent à la fois de mieux faire apprécier la démarche scientifique au grand public (qu’il s’agisse d’enfants ou d’adultes) et d’obtenir des données, sur le long terme ou sur un grand secteur géographique, utiles au chercheur. C’est dans ce cadre que deux actions se sont déroulées entre 2012 et 2014 sur le bassin du Madon, l’un des affluents de la Moselle, dans le sud de la Lorraine. Une première action a été réalisée dans le cadre d’une manifestation socioculturelle (les Chemins de l’Eau) organisée par la Fédération Départementale des Foyers Ruraux en juin 2013 : afin de sensibiliser les visiteurs aux ressources en eau dans leur environnement immédiat, une hydrothèque a été créée. La seconde action s’est adressée à des classes de primaire (CE2-CM1-CM2 et CM2) de trois localités rurales le long du Madon (Lerrain, Mattaincourt et Haroué). Tous les échantillons ont ensuite fait l’objet d’analyses au laboratoire : pH, conductivité, carbone organique dissous, azote total dissous, azote ammoniacal, ions majeurs, propriétés optiques (spectroscopie UV-visible, fluorescence). Ces expériences ont permis d’avoir un suivi temporel de trois stations le long du Madon et de participer à une cartographie des ressources en eau des Vosges en fonction des caractéristiques du bassin versant et de l’usage des sols. Dans les deux cas, le public visé a montré un vif intérêt.
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Harrison, Peter, et W. R. Derrick Sewel. « La réorganisation économique et régionale de la gestion des eaux en France ». Cahiers de géographie du Québec 20, no 49 (12 avril 2005) : 127–41. http://dx.doi.org/10.7202/021312ar.

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Résumé :
En 1964, la France a introduit des changements majeurs dans la gestion de ses ressources en eau. Ceux-ci peuvent intéresser des pays, provinces ou régions qui voudraient mettre en oeuvre des approches similaires. La gestion classique est présentée dans cet article et suivie par une discussion de la loi de 1964. Deux thèmes sont choisis parmi plusieurs possibles : a) la considération de l'eau en tant que bien économique et le système de redevances qui en résulte, et b) la régionalisation du système de gestion par l'intermédiaire des agences financières de bassin. La section finale présente quelques critiques de cette réorganisation ainsi que des pronostics de l'évolution future des institutions.
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Gonot, Bertrand. « Diversité des terroirs et ressources en eau : l'exemple de la Midouze (France du Sud-Ouest) ». Annales de Géographie 107, no 604 (1998) : 571–89. http://dx.doi.org/10.3406/geo.1998.20877.

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Paplorey, Carole. « Stratégie internationale de la France pour l'eau et l'assainissement 2020–2030, interview de Philippe Lacoste, Directeur du développement durable du ministère de L'Europe et des Affaires étrangères ». La Houille Blanche, no 2 (avril 2020) : 101–6. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020022.

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Résumé :
En 2018, le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE) lançait la préparation concertée d'une nouvelle stratégie internationale en matière d'eau et d'assainissement. La concertation a pris la forme d'une consultation des parties prenantes, dont la Société hydrotechnique de France (SHF). Rapporteur, avec l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et l'Office international de l'eau (OIEau) du collège « Recherche, formation et associations scientifiques et techniques », la SHF s'est nettement positionnée pour que les tensions sur les ressources en eau, les impacts du changement climatique, les besoins de formation et toutes les composantes d'une gestion intégrée des ressources en eau soient traités au bon niveau. La stratégie 2020–2030 ainsi élaborée a été présentée lors d'une réunion de lancement le 24 février 2020 au MEAE en présence du Secrétaire d'État Jean-Baptiste Lemoyne. Philippe Lacoste, ingénieur des travaux publics de l'État, Directeur du développement durable du MEAE nous en explique les grandes lignes. Propos recueillis par Carole Paplorey, Déléguée Générale de la SHF.
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Bollot, Nicolas, Alain Devos et Guillaume Pierre. « Ressources en eau et glissements de terrain : exemple du bassin versant de la Semoigne (bassin de Paris, France) ». Géomorphologie : relief, processus, environnement 21, no 1 (14 avril 2015) : 7–20. http://dx.doi.org/10.4000/geomorphologie.10826.

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Paccard, Pierre. « Un exemple d'exploitation des ressources en eau du karst : la production de neige à Villard-de-Lans - Corrençon-en-Vercors (Isère, France) ». Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique 53, no 1 (2009) : 41–52. http://dx.doi.org/10.3406/karst.2009.2648.

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Roult, Didier. « Hydro Energy & ; Sustainability – Synthèse de la conférence internationale organisée par la SHF, les 29 et 30 janvier 2019 à Grenoble ». La Houille Blanche, no 2 (avril 2019) : 117–21. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019021.

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Résumé :
L'hydroélectricité reste la plus importante des énergies renouvelables. Ses apports au système énergétique sont indéniables. Offrant à la fois la possibilité de stockage à différentes échelles de temps (de l'heure à l'année), une grande flexibilité et permettant de répondre aux besoins de services systèmes, l'hydroélectricité joue un rôle essentiel dans la transition énergétique. L'hydroélectricité participe largement au développement économique des territoires. L'usage multiple de l'eau (eau potable, irrigation, soutien d'étiage, navigation) est devenu la règle. Au-delà de la production énergétique, elle est au centre des enjeux liés à la gestion des ressources en eau et au développement des territoires. Mais, dans un contexte énergétique en pleine mutation, l'hydroélectricité doit s'adapter. La question environnementale reste une priorité, avec notamment de nombreuses solutions à apporter sur la continuité piscicole, reposant sur des actions de recherche et d'innovation importantes. De nouvelles technologies sont testées, telles que le couplage énergie photovoltaïque/ STEP, l'installation d'hydroliennes fluviales, et un nouveau regard est porté sur l'énergie des marées. Ce document présente une synthèse de la conférence internationale HydroES 2019 ≪ Quel avenir voulons-nous pour l'hydroélectricité en France et en Europe ? », organisée par la SHF et accueillie par INP ENSE3 à Grenoble, les 29 et 30 janvier 2019.
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DOREAU, M., A. FARRUGGIA et P. VEYSSET. « Aménités et impacts sur l’environnement des exploitations françaises élevant des bovins pour la viande ». INRA Productions Animales 30, no 2 (19 juin 2018) : 165–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2242.

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Résumé :
L’ambition de cet article est de dresser un bilan environnemental de l’élevage de bovins pour la viande en France, aussi exhaustif que possible, à partir des données scientifiques et statistiques disponibles. Les impacts environnementaux abordés sont les émissions de gaz à effet de serre, la pollution de l’eau et des sols, l’utilisation des ressources naturelles (énergie, phosphore, eau), l’utilisation des terres et la biodiversité végétale et animale. Les méthodologies d’évaluation et les indicateurs utilisés sont justifiés et discutés. Lorsque l’unité d’expression est le kg de viande, l’essentiel des impacts environnementaux provient de l’atelier naisseur en raison de la longue phase d’élevage pour obtenir un broutard. Les résultats sont très différents lorsque les impacts sont calculés par unité de surface, que le stockage de carbone dans les prairies est pris en compte et que les impacts positifs de ces systèmes sur la biodiversité et sur le paysage sont intégrés à l’analyse. Bien qu’ayant des atouts pour aborder la transition agroécologique du fait de la part importante de prairies permanentes leur permettant de tirer avantage des régulations biologiques, les systèmes naisseurs sont cependant engagés depuis 20 ans dans un processus d’agrandissement au détriment de leur durabilité.
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Besson, François, Pierre Etchevers, Florence Habets, Patrick Le Moigne, Fabienne Rousset-Regimbeau, Jean-Michel Soubeyroux, Christian Viel et Béatrice Vincendon. « Suivi en temps réel des sécheresses : de l'analyse à la prévision saisonnière ». La Houille Blanche, no 4 (août 2020) : 82–92. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020042.

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Résumé :
Météo-France opère en temps réel depuis 2003 la chaîne de modélisation hydro-météorologique SIM, composée du module d'analyse des conditions atmosphériques en surface (SAFRAN), d'une modélisation détaillée des interactions sol-biosphère-atmosphère (ISBA) et du modèle hydrogéologique MODCOU. Cette chaîne a connu une évolution majeure en 2016 afin d'améliorer certains de ses composants. Cette application temps-réel, complétée par une réanalyse depuis 1958 permet de caractériser la situation par rapport aux années antérieures pour plusieurs variables du cycle hydrologique (précipitations, humidité du sol, enneigement). Les épisodes de sécheresse, l'évolution du stock nival, etc. peuvent ainsi être suivis au jour le jour sur l'ensemble de la France métropolitaine. Des applications de prévisions ont également été mises en place pour anticiper l'évolution de la situation hydrologique. L'initialisation des conditions hydrologiques provient de la chaîne d'analyse temps-réel et des données météorologiques prévues sont utilisées en entrée d'ISBA-MODCOU. Ainsi une application pour les échéances allant jusqu'à 10 jours utilise comme forçage météorologique les prévisions d'ensemble du CEPMMT (Centre Européen de Prévision Météorologique à Moyen Terme). Chaque jour des prévisions sont produites sur différentes zones (départements, bassins versants, etc.), l'ensemble de prévision fournit des informations pour les différentes variables hydrologiques au pas de temps quotidien. De plus la visualisation de la dispersion des prévisions renseigne sur l'incertitude associée à chaque prévision. Pour des échéances plus lointaines (jusqu'à 6 mois), deux applications de prévisions sont opérées tous les mois. La première utilise en entrée des scénarios météorologiques issus de la climatologie, alors que la seconde utilise des données issues du modèle de prévisions saisonnières atmosphériques de Météo-France. Malgré l'incertitude des prévisions, l'exploitation complémentaire des prévisions climatologique et saisonnière est un outil pour la gestion des ressources en eau. Les débits moyens mensuels prévus pour chacune des applications comparés aux débits des années précédentes permettent en effet de caractériser la situation pour les mois à venir et l'incertitude associée.
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Folton, Nathalie, Éric Martin, Patrick Arnaud et Mathieu Tolsa. « Cinquante ans de processus hydrologiques observés dans des petits bassins versants méditerranéens : vers une raréfaction de la ressource en eau ? » La Houille Blanche, no 5 (octobre 2020) : 17–27. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020048.

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Résumé :
L'observatoire hydrologique du Réal Collobrier situé dans le sud-est de la France à proximité du littoral méditerranéen (massif des Maures) et géré par Irstea depuis 1966, constitue un site de référence en hydro-climatologie régionale. En raison du réseau dense de mesures des pluies et des débits, ce site offre une occasion unique d'évaluer les tendances hydrométéorologiques méditerranéennes à long terme. La végétation est composée de forêts principalement calcifuges sur des sols cristallins (maquis de bruyère, chêne-liège, pin maritime et châtaignier). L'influence humaine directe a été négligeable au cours des 50 dernières années. L'occupation du sol est demeurée presque inchangée, à l'exception notable d'un incendie de forêt en 1990 qui a touché un petit sous-bassin hydrographique. Par conséquent, les changements dans la réponse hydrologique des bassins versants sont causés par des changements dans les conditions climatiques et/ou physiques. Cette étude examine les changements sur la période d'observation de 50 ans, à l'aide de séries de précipitations et de débits. L'analyse utilise plusieurs indices climatiques décrivant des modes de variabilité distincts, à des échelles de temps interannuelles et saisonnières. Des indices hydrologiques décrivant les épisodes de sécheresse, en particulier en termes de durée et de sévérité sont également utilisés. Les tendances sont évaluées à l'aide du test statistique de Mann-Kendall. L'analyse montre qu'il existe une tendance marquée à la diminution des ressources en eau du bassin versant en réponse aux tendances climatiques, avec une augmentation de la sévérité et de la durée de la sécheresse. Mais les changements sont variables d'un sous-bassin à l'autre en fonction de leur propre fonctionnement hydrologique.
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Lepercq, Daniel, et Jean-Eudes Dupeuty. « La réduction des conflits par la combinaison d'un aménagement et d'une gestion rigoureuse : le cas du Marais Poitevin ». La Houille Blanche, no 3 (juin 2020) : 5–12. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020027.

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Résumé :
Le Marais Poitevin est la deuxième zone humide de France par son étendue. Le développement des prélèvements pour l'irrigation agricole dans la partie sédimentaire qui alimente la zone humide a créé un déséquilibre récurent des ressources en eau par rapport au besoin. Après la grande sécheresse de 1990, les irrigants se sont emparés du problème et ont cherché des solutions durables pour améliorer la situation des milieux naturels tout en conservant une économie agricole performante. La solution mise en œuvre consiste à allier un aménagement fait de réserves de substitution à une gestion fine et contrôlée des prélèvements restant dans le milieu. Cinquante pour cent des volumes prélevés l'été sont remplacés par des prélèvements d'hiver, lorsque les nappes sont rechargées et que leur niveau le permet. Le déficit structurel est réduit par abandon de certains volumes alloués à l'agriculture, la substitution d'une partie des volumes et une gestion des volumes prélevables décidée chaque quinzaine en fonction de la situation écologique des milieux naturels. Cette gestion transparente est source d'apaisement des tensions. Les résultats sont encourageants avec une remontée très significative des niveaux de nappe, une augmentation des niveaux de marais et une augmentation de la biodiversité mesurée actuellement par la présence d'oiseaux inféodés à la zone humide. La mutation agricole est rapide, conditionnée avant tout par le prix de l'eau qui oblige à une meilleure efficience et une valorisation plus importante de son utilisation.
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Cotton, G., C. Feliers, K. Kecili et A. L. Colon. « Performance du traitement membranaire (NF et OIBP) : rétention des micropolluants et enjeux énergétiques ». Techniques Sciences Méthodes, no 4 (avril 2019) : 29–36. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201904029.

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Résumé :
Pour s’adapter aux évolutions de la qualité de ses ressources en eau et aux renforcements de la réglementation relative aux eaux destinées à la consommation humaine, le Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif) s’est engagé dans une réflexion sur l’évolution à long terme des filières de ses usines de production d’eau potable. Les études d’évolutions des usines de potabilisation proposent d’insérer, au sein des filières existantes, une étape de filtration sur membranes d’affinage, à l’horizon 2030. Les procédés membranaires, et plus particulièrement les membranes d’osmose inverse basse pression (OIBP), sont considérés comme un affinage de pointe pour la potabilisation de l’eau de surface, permettant notamment d’appréhender la problématique des micropolluants émergents. Dans ce contexte, il a été choisi de tester des membranes d’OIBP afin de caractériser, d’une part, leurs efficacités en matière de rétention (de micropolluants, de la dureté…) et, d’autre part, leurs performances hydrauliques et énergétiques. Cet article présente les résultats des essais des campagnes de caractérisation des membranes d’OIBP sur un pilote de filtration sur membrane plane installé au centre d’essais de Choisy-le-Roi. Quatorze membranes couvrant l’ensemble du domaine recherché en matière de perméabilité à l’eau et de rétention en sels ont été étudiées. Parmi celles-ci, quelques-unes sont particulièrement adaptées aux besoins du Sedif, car elles présentent un bon compromis entre rétention en micropolluants et consommation énergétique. Les conclusions de ces essais de caractérisation sur coupons ont permis de sélectionner deux modèles de membranes afin de les tester, lors d’une étude actuellement en cours, à l’échelle 4 pouces sur le pilote membranaire trois étages de Choisy-le-Roi. En effet, les résultats obtenus sur ces deux membranes prometteuses doivent être validés à échelle semi-industrielle. Cette étude permet d’aborder également d’autres enjeux relatifs aux membranes d’OIBP tels que le colmatage, la reminéralisation, l’optimisation du fonctionnement à trois étages…
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Hervé-Bazin, Céline. « Bringing water challenges to target groups : French water utilities within the European legislative context ». Regions and Cohesions 5, no 2 (1 juin 2015) : 1–25. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2015.050201.

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Résumé :
Water utilities have a strong potential for bringing key messages to water users, such as beneficiaries or non-state actors who will usually join together to manage water resources more effectively or based on participation of end-users. Water utilities have the possibility to convey local messages and to organize events that can generate changes. In this framework, they are important leaders for water communication. My main research interest is to consider the constraints to the communication of French water utilities on water resources in the European environment. I want to provide a theoretical concept to the communication of water utilities, analyze actual practices and case studies in order to highlight its main characteristics, and further study messages and the integration of targets groups throughout communication processes related to water issues. The main purpose of this publication is to analyze the specificities of communication by water utilities in France on water management resources, how they interact with their different target groups, and how they potentially contribute to the implementation of the European legislation. This article questions the way communication tools and strategies contribute to better implementation of EU water policies. Spanish Las compañías de agua tienen un fuerte potencial para transmitir mensajes clave a los usuarios del agua, por ejemplo, a los beneficiarios o a los actores no estatales, quienes normalmente se unirán para gestionar los recursos hídricos de forma más eficaz o en base a la participación de los usuarios finales. Las compañías de agua tienen la posibilidad de transmitir mensajes locales y organizar eventos que pueden generar cambios. En este contexto, las compañías son importantes líderes para la comunicación sobre el agua.Mi mayor interés de investigación es considerar los límites que se ejercen sobre la comunicación de las compañías francesas en materia de gestión de recursos hídricos en el contexto europeo. Deseo proporcionar un concepto teórico a la comunicación sobre el agua y analizar las prácticas vigentes y casos de estudio con la finalidad de resaltar sus características más importantes, así como estudiar los mensajes y la integración de los públicos objetivo a lo largo de los procesos de comunicación sobre asuntos hídricos.El objetivo más importante de esta publicación es analizar las especificidades de la comunicación de las compañías de agua en Francia sobre el manejo de los recursos hídricos; cómo interactúan estas con los diferentes públicos objetivos y cómo contribuyen potencialmente a la implementación de la legislación europea. Este artículo cuestiona cómo las herramientas y estrategias de comunicación contribuyen a una mejor implementación de las políticas europeas sobre el agua. French Les collectivités peuvent jouer un rôle clé pour transmettre des messages aux utilisateurs de l'eau, c'est-à-dire, l'ensemble des bénéficiaires ou la société civile qui peut être amené à participer à la gestion des ressources en eau. Les collectivités ont la capacité de sensibiliser à travers des outils locaux et d'organiser des événements qui peuvent changer les comportements des personnes touchées par un phénomène proche de chez eux. A ce titre, les collectivités peuvent devenir des porte-parole importants pour communiquer sur la préservation de l'eau. Notre recherche considère les limites qui s'exercent sur la communication des collectivités françaises en matière de gestion des ressources en eau dans le contexte législatif européen. Nous souhaitons éclairer la communication des collectivités à partir de l'analyse des pratiques actuelles et diff érentes études de cas afin d'en établir ses caractéristiques. L'enjeu est d'étudier l'adéquation entre les messages et les groupes cibles choisis au cours des diff érentes campagnes de communication dédiées aux défis de l'eau. Notre but est de détacher des éléments théoriques et si cette communication répond à des codes propres à toute communication locale sur l'eau. A partir de ces spécificités, nous étudierons dans quelle mesure les municipalités interagissent avec leurs publics cibles afin de faciliter l'application de la législation européenne à l'échelle locale. Nous analyserons en quoi ces outils et stratégies participent en eff et, à la réalisation des directives européennes sur l'eau.
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GROSCLAUDE, Jeanne, et M. THIBIER. « Spécificités de l'élevage de ruminants en montagne ». INRAE Productions Animales 27, no 1 (2 avril 2014) : 3–4. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.1.3048.

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Résumé :
DOSSIER : Spécificités de l’élevage de ruminants en montagne Avant-propos Dans le cadre de l’organisation d’une séance annuelle commune, l’Académie d’Agriculture de France et l’Académie Vétérinaire de France ont choisi pour 2013 le thème de l’élevage en montagne (séance publique du 17 avril 3013). Sur fond de crise, d’évolution des politiques agricoles européennes et de fluctuation des revenus des éleveurs, l’Académie d’Agriculture, et plus particulièrement la section « Production Animale », réfléchit sur les conditions de restauration de perspectives positives pour l’élevage ; elle assume l’hypothèse qu’une clé est l’ancrage territorial de cette activité, associé à un effort d’imagination pour valoriser des produits propres à combler l’attente des citoyens. Choisir en premier lieu d’approfondir l’évolution de l’élevage en montagne et d’en analyser quelques traits spécifiques est un prologue tout indiqué pour cette réflexion. De manière convergente l’Académie Vétérinaire, confrontée à la déprise territoriale du métier de vétérinaire notamment dans les zones dites difficiles ou défavorisées que représentent certaines régions de montagne, a relevé de manière frappante les risques associés, sur les plans sanitaire et épidémiologique, aux systèmes de transhumance et de mise en commun des troupeaux toutes générations confondues, loin de leurs « camps de base » et des yeux attentifs de leurs propriétaires. Rassembler des troupes issues d’exploitations multiples, c’est aussi favoriser les échanges de leurs agents pathogènes respectifs risquant ainsi d’exposer brutalement à de tels agents des jeunes peu ou pas immunisés. Dans les milieux de montagne la détection précoce des maladies est rendue difficile par la dissémination des animaux sur de vastes territoires. Loin de toute vision rousseauiste sur la salubrité et la paix des alpages, l’élevage de montagne est de plus confronté à des prédateurs tolérés voire défendus par les profanes (ours et loup) et à la mitoyenneté avec une faune sauvage porteuse d’agents pathogènes non contrôlés, parfois responsables de zoonoses (agent de la brucellose, notamment). Le thème de l’élevage des ruminants en montagne était donc particulièrement bienvenu pour cette séance commune. L’Editeur d’« Inra Productions Animales », René Baumont, a bien voulu reconnaître l’intérêt des travaux présentés en cette occasion sur quelques aspects géographique, technique, économique, historique et sanitaire, même s’ils ne traitent qu’une partie des problèmes de l’élevage en montagne. Grâce à ses exigences, et à celles des lecteurs critiques des articles, ce dossier a pris figure et pourra constituer une base estimable de références pour de nombreux lecteurs intéressés à l’élevage en montagne. Dans le respect de la pluralité professionnelle représentée dans nos académies nous avons demandé à de jeunes chercheurs d’une part, à des professionnels praticiens en activité d’autre part, de présenter différentes facettes des forces et faiblesses de ces systèmes pastoraux. Bruno Martin, avec Michel Lherm et Claude Béranger, dresse un panorama très documenté, dans l’espace et dans le temps, des atouts qui ont permis à des éleveurs dynamiques et imaginatifs demaintenir par leurs initiatives et leur sens de l’entraide la stabilité économique de ces modes de production, tout en assurant un service écologique par la préservation de milieux fragiles, qui légitime des soutiens publics spécifiques. Stabilité, il est vrai, à un niveau de revenus moindre que leurs homologues des plaines, beaucoup plus affectés par la crise de l’élevage. L’avenir de la production de ruminants en montagne passe comme en plaine par la nécessaire maîtrise des coûts, mais surtout par la capacité des filières animales à valoriser les atouts spécifiques de ces territoires notamment autour de la notion de paniers de biens. Marie Dervillé, avec Gilles Allaire, s’interroge sur le devenir de la production laitière de montagne après la suppression en 2015 des quotas laitiers protecteurs. Détaillant les mécanismes de concurrence entre montagne et plaine d’une part, et entre différentes régions de montagne d’autre part, elle montre que la différenciation des productions de montagne par rapport à celles qui peuvent être obtenues en plaine est la stratégie essentielle d’adaptation à la libéralisation des marchés. Développer au niveau d’un territoire une capacité d’innovation et la construction d’une réputation collective, répondant à l’imaginaire des citoyens, conditionnera la survie de la production laitière et fromagère de montagne. Jean-Pierre Alzieu, en collaboration avec Jeanne Brugère-Picoux et Christophe Brard, montre que les dominantes pathologiques sont d’abord et surtout des maladies dites de groupe, principalement d’étiologie infectieuse. Il explicite les raisons de la plus grande susceptibilité sanitaire de ce type de conduite des troupeaux, face à une diversité de maladies (respiratoires, parasitaires ou boiteries entre autres) qui vont trouver dans le pâturage de montagne des conditions favorables à leur propagation. S’il existe au sein du troupeau un ou plusieurs états cliniques avant la montée à l’estive, ceux-ci seront amplifiés et propagés aux autres animaux réunis, d’où l’importance primordiale des mesures prophylactiques en amont et notamment durant l’hivernage. Christophe Roy présente, au regard de ces conditions sanitaires particulières, les contraintes spécifiques à l’activité vétérinaire en montagne. Celles-ci contribuent à une légère découverture du maillage vétérinaire. Or, la veille sanitaire est très importante en montagne, sans doute plus qu’ailleurs étant donné les risques liés à l’élevage dans ces régions. L’auteur nous livre quelques pistes d’adaptation afin de maintenir une offre de service aussi efficace et performante que possible alors que l’engouement pour les produits de montagne, notamment fromagers, appelle une vigilance soutenue. Outre ces avertissements sanitaires, des alertes sont perceptibles : une partie de la production laitière, trop générique, résistera mal à la concurrence des plaines. Des appétits fonciers apparaissent, pas seulement pour des activités de loisir consommatrices de territoires et de ressources en eau : des compétitions nouvelles pour l’accès aux estives apparaissent avec des investisseurs aux capacités financières affirmées. A un titre ou un autre tous les auteurs de ce dossier soulignent néanmoins les atouts de cette production montagnarde, basée sur une culture collective d’acteurs durs au labeur : recours à une ressource herbagère peu coûteuse, utilisation de races locales rustiques, référence à des terroirs évocateurs de dépaysement, robustesse d’une activité fromagère calée sur des appellations contrôlées et dans laquelle les urbains se plaisent à reconnaître une naturalité respectueuse du bien-être animal, au servicedu maintien de milieux et de paysages à préserver. La conjonction d’acteurs de montagne combatifs et sobres, de citoyens avides d’images pastorales devrait favoriser l’acceptation de soutiens financiers spécifiques et la pérennisation économique de systèmes d’élevages ancrés sur ces territoires tout en sachant s’adapter.
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Dumas, Dominique. « Impact de la forêt sur l’évolution des ressources en eau en moyenne montagne alpine depuis le milieu du XIXe siècle (massif de Chartreuse, France) ». Revue de géographie alpine, no 99-3 (12 décembre 2011). http://dx.doi.org/10.4000/rga.1555.

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Gerbaux, Martin, Pierre Spandre, Hugues François, Emmanuelle George et Samuel Morin. « Fiabilité de l’enneigement et disponibilité des ressources en eau pour la production de neige dans les domaines skiables du Département de l’Isère (France), en conditions climatiques actuelles et futures ». Revue de géographie alpine, no 108-1 (3 avril 2020). http://dx.doi.org/10.4000/rga.6724.

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