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Dolfus, S. « La cohérence cardiaque : définition, intérêts et applications en psychiatrie ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 13. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.031.

Texte intégral
Résumé :
Le concept de cohérence cardiaque est apparu aux États-Unis vers les années 1995 et reste encore peu connu en France.Définition du conceptSi on a longtemps pensé que le rythme cardiaque était parfaitement régulier, on sait aujourd’hui que la fréquence cardiaque varie en permanence. Or, cette variabilité (VFC) est un excellent reflet de la capacité du cœur à moduler son rythme en fonction des sollicitations internes et externes. Elle est régulée par le système nerveux autonome (SNA), comprenant les systèmes sympathique (accélérateur) et parasympathique (frein) et sous la dépendance d’un circuit complexe incluant plusieurs régions cérébrales, corticales et limbiques. La synchronisation de l’activité de ces 2 systèmes provoque un phénomène de « balancier physiologique » appelé cohérence cardiaque. Or, le rythme cardiaque reflète notre état émotionnel, qui en affecte à son tour les aptitudes du cerveau à organiser l’information. Nos pensées, perceptions et réactions émotionnelles sont transmises du cerveau au cœur via les deux branches du système nerveux autonome et sont liées au rythme cardiaque. Mais les liens entre cœur et cerveau sont réciproques : en modifiant notre rythme cardiaque notamment en modifiant notre respiration, on influence le fonctionnement du cerveau et donc potentiellement notre état émotionnel.Applications thérapeutiquesEn utilisant un capteur de pulsations placé sur le doigt ou sur le lobe de l’oreille, relié à un ordinateur équipé d’un logiciel informatique, on peut en direct par la méthode de biofeedback suivre et ajuster sa courbe de cohérence cardiaque. Les travaux récents suggèrent que la VFC est un indicateur de la capacité à faire face au stress et à la régulation des émotions d’où son intérêt dans les troubles dépressifs et anxieux. Les programmes de cohérence cardiaque semblent cependant efficaces dans la gestion du stress quel qu’il soit et s’adressent donc à tous nos patients.
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2

Courcelles, L., T. Roy, Jean-François Vanderijst, A. Hanot, J. C. Degols, C. Lamontagne et Stéphane Jaumier. « Anomalie des métanéphrines urinaires, surdité et paralysie du nerf XII : un cas de paragangliome ». Revue de biologie médicale 358, no 1 (1 février 2021) : 19–25. https://doi.org/10.3917/rbm.358.0019.

Texte intégral
Résumé :
Les paragangliomes sont des tumeurs, le plus souvent bénignes, des paraganglions (extra-surrénaliens) du système nerveux autonome sympathique ou parasympathique, dont les manifestations cliniques sont liées à l’expression potentielle de catécholamines et/ou à une extension locale du processus tumoral avec compression des structures anatomiques voisines. Leur diagnostic peut être retardé en raison de leur faible incidence, mais aussi parce que les symptômes qu’ils induisent ne sont pas spécifiques. Les paragangliomes de la tête et du cou sont des entités cliniques très rares qui se développent pendant des années. Nous rapportons ici l’observation d’une tumeur du glomus jugulaire produisant de la dopamine en excès chez une patiente diabétique, hypertendue et souffrant d’hypoacousie, diagnostiquée par l’imagerie cérébrale (notamment fonctionnelle) et par le dosage des catécholamines et de leurs métabolites dans les urines.
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Moalla, Mounia. « La Yoga Thérapie dans la prise en charge du syndrome de Stress Post Traumatique (SSPT) ». Hegel N° 4, no 4 (18 janvier 2024) : 259–63. http://dx.doi.org/10.3917/heg.134.0259.

Texte intégral
Résumé :
Le Syndrome du stress post traumatique (SSPT) est un trouble psychologique dont la prévalence ne cesse d’augmenter dans le monde en raison des guerres et conflits armés, des catastrophes naturelles, ou encore des violences conjugales et intrafamiliales. La prise en charge de ce trouble est complexe. Elle repose sur la psychothérapie, la prise de médicaments, ainsi qu’un ensemble de techniques et thérapies qui permettent une diminution du stress chronique, une reconnexion au corps, et une réconciliation avec le passé. Le Yoga, discipline millénaire dont le but est de renforcer la connexion corps/mental est une option thérapeutique non médicamenteuse reconnue aujourd’hui par l’association américaine de psychiatrie. A travers des techniques physiques (postures), mentales (méditation), et respiratoire, le Yoga permet de rester dans le moment présent, de prendre conscience sans jugement de ses émotions ainsi que de son corps, et de se réconcilier avec celui-ci. Il permet également de rééquilibrer le système nerveux autonome en freinant la domination du système sympathique qui est responsable des symptômes. Le domaine d’application de la yogathérapie dans la prise en charge du stress post traumatique est aujourd’hui large et concerne aussi bien les anciens combattants, que les réfugiés, et les victimes de violences conjugales ou intrafamiliales.
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Serratrice, G., et A. Verschueren. « Système nerveux autonome ». EMC - Neurologie 2, no 1 (janvier 2005) : 1–18. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-0378(05)39084-1.

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Serratrice, J., A. Verschueren et G. Serratrice. « Système nerveux autonome ». EMC - Neurologie 10, no 1 (janvier 2013) : 1–18. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-0378(12)60767-2.

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Serratrice, G., et A. Verschueren. « Système nerveux autonome ». EMC - Neurologie 2, no 1 (février 2005) : 55–80. http://dx.doi.org/10.1016/j.emcn.2004.08.003.

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Serratrice, G., F. Billé Turc et J. Serratrice. « Système nerveux autonome ». EMC - Neurologie 18, no 1 (1995) : 1. https://doi.org/10.1016/s0246-0378(19)30433-6.

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Magnon, Claire. « Le système nerveux autonome ». médecine/sciences 29, no 8-9 (août 2013) : 699–701. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2013298007.

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Lafontan, Max. « Obésité humaine et système nerveux sympathique ». Oléagineux, Corps gras, Lipides 10, no 2 (mars 2003) : 124–30. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2003.0124.

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Chenu, Chantal, et Massimo Marenzana. « Système nerveux sympathique et remodelage osseux ». Revue du Rhumatisme 72, no 10-11 (octobre 2005) : 894–97. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2005.09.005.

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Cazenoves, Alexandre. « Anatomie du système nerveux autonome ». Kinésithérapie, la Revue 11, no 111 (mars 2011) : 23–26. http://dx.doi.org/10.1016/s1779-0123(11)75074-4.

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Durand, M., H. Louis, C. Fritz, B. Levy et A. Kimmoun. « β-bloquants dans la prise en charge du choc septique ». Médecine Intensive Réanimation 28, no 2 (mars 2019) : 126–43. http://dx.doi.org/10.3166/rea-2019-0095.

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Résumé :
Les adrénorécepteurs α et en particulier β sont les principales cibles de l’adrénaline et de la noradrénaline libérées par le système sympathique activé. Durant le choc septique, la dysautonomie est une stimulation prolongée à un haut niveau d’intensité du système nerveux sympathique à l’origine d’une altération de la contractilité, de la vasoréactivité et d’une immunodépression. Ainsi, l’administration précoce d’un traitement β-bloquant lors du choc septique pourrait pondérer les effets délétères de cette surstimulation sympathique. Néanmoins, si les preuves expérimentales sont en faveur de cette approche, l’accumulation des preuves cliniques reste encore insuffisante.
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Braune. « Vegetative Störungen beim idiopathischen Parkinsonsyndrom : diagnostische Relevanz und therapeutische Möglichkeiten ». Praxis 91, no 10 (1 mars 2002) : 402–6. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.10.402.

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Résumé :
La participation du système nerveux autonome dans la maladie de Parkinson est un exemple du caractère multisystémique qui dépasse le système extrapyramidal de cette maladie. Les symptômes qui sont provoqués par celle-ci apparaissent chez 40 à 60% des patients et provoquent une diminution importante de la qualité de vie. La cause en est principalement une lésion postganglionnaire du système nerveux autonome. La scintigraphie avec metaiodebenzylguanidine (MIBG) met en évidence une atteinte précoce du système nerveux et peut être utilisée pour le diagnostic différentiel entre la maladie de Parkinson et d'autres maladies neurodégénératives déjà durant la phase précoce. Cet examen a une sensibilité d'au moins 89.7% et une spécificité de 94.6% pour la différentiation d'une atrophie multisystémique. Un symptôme trop souvent négligé d'une insuffisance autonome est l'hypotension orthostatique. La vérification du diagnostic et l'investigation des causes peuvent être effectuées avec des méthodes cliniques simples; des options physiothérapeutiques et médicamenteuses sont à disposition pour le traitement.
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Labat, J. J. « Atrophies multisystémique et système nerveux autonome ». Annals of Physical and Rehabilitation Medicine 54 (octobre 2011) : e302. http://dx.doi.org/10.1016/j.rehab.2011.07.104.

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Zimmermann, Marc, et Marco Bettoni. « Fibrillation auriculaire et système nerveux autonome ». Revue Médicale Suisse 61, no 2427 (2003) : 510–12. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2003.61.2427.0510.

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Martinez-Lavin, M. « Dysfonctions du système nerveux sympathique dans la fibromyalgie ». Douleur et Analgésie 20, no 4 (décembre 2007) : 219–26. http://dx.doi.org/10.1007/s11724-007-0061-4.

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Constant, Isabelle. « À quoi sert le système nerveux autonome cardiovasculaire ? » Le Praticien en Anesthésie Réanimation 10, no 6 (décembre 2006) : 419–32. http://dx.doi.org/10.1016/s1279-7960(06)75641-8.

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Van de Louw, A., C. Médigue et F. Cottin. « Interrelations entre ventilation mécanique et système nerveux autonome ». Réanimation 20, no 2 (16 février 2011) : 105–11. http://dx.doi.org/10.1007/s13546-011-0218-2.

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Szurhaj, William. « Pourquoi s’intéresser au système nerveux autonome dans l’épilepsie ». Neurophysiologie Clinique 48, no 4 (septembre 2018) : 245. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2018.06.067.

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Raibaut, P., K. Hubeaux, F. Lebreton, D. Verolet, S. Sheikh Ismaël et G. Amarenco. « Les explorations non invasives du système nerveux autonome ». Pelvi-périnéologie 4, no 1 (mars 2009) : 83–86. http://dx.doi.org/10.1007/s11608-009-0220-6.

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Levy, Bernard. « Système nerveux sympathique et hypertension artérielle. Où en est-on ? » Sang thrombose vaisseaux 25, no 1 (janvier 2013) : 5–9. http://dx.doi.org/10.1684/stv.2013.0768.

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Le Rolle, V., A. Hernandez, P. Y. Richard, J. Buisson et G. Carrault. « Modélisation Bond Graph du système cardiovasculaire pour l'étude du système nerveux autonome ». ITBM-RBM 26, no 5-6 (octobre 2005) : 333–43. http://dx.doi.org/10.1016/j.rbmret.2005.07.004.

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Derbel, Khansa, Sana Sellami, Soumaya Khaldi et Chaieb Faten. « Hypotension orthostatique et variabilité tensionnelle : implication du système nerveux autonome ». Revue Neurologique 178 (avril 2022) : S92. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2022.02.334.

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Boukhris, S., L. Magy, Y. Li, C. Debras et J. M. Vallat. « Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique et atteinte du système nerveux autonome ». Revue Neurologique 161, no 12 (décembre 2005) : 1228–31. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(05)85198-7.

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Hubeaux, K., M. Jousse et G. Amarenco. « Hyperactivité vésicale idiopathique de la femme et système nerveux autonome ». Progrès en Urologie 22, no 4 (avril 2012) : 199–206. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.01.003.

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Grilliat, J. P. « Rôle du système nerveux autonome dans la modulation de l'anaphylaxie ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 4, no 2 (janvier 1985) : 109–14. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(85)80183-0.

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Bousquet, P., et B. Ghaleh. « « Système nerveux autonome et cardio-vasculaire : implications physiopathologiques et pharmacologiques » ». Archives des Maladies du Coeur et des Vaisseaux - Pratique 2005, no 141 (septembre 2005) : 36–37. http://dx.doi.org/10.1016/s1261-694x(05)88118-0.

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Lafontan, M. « Dysfonctions du système nerveux sympathique et de la signalisation catécholaminergique chez l’obèse ». Obésité 9, no 1 (19 novembre 2013) : 14–30. http://dx.doi.org/10.1007/s11690-013-0409-2.

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Alamartine, E., A. Sury, F. Roche, V. Pichot et J. C. Barthelemy. « Activité du système nerveux autonome lors de la maladie de Fabry ». Néphrologie & ; Thérapeutique 7, no 5 (septembre 2011) : 345–46. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2011.07.186.

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Hubeaux, K., P. Raibaut, F. Le Breton, M. Jousse, D. Verollet et G. Amarenco. « Intérêt de l’exploration du système nerveux autonome dans les troubles vésicosphinctériens ». La Lettre de médecine physique et de réadaptation 26, no 2 (7 mai 2010) : 74–80. http://dx.doi.org/10.1007/s11659-010-0224-1.

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Derbel, Khansa, Sana Sellami et Chaieb Faten. « Insomnie chronique et système nerveux autonome : impact sur la fréquence cardiaque ». Revue Neurologique 179 (avril 2023) : S177. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2023.01.721.

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Derbel, K., B. Barkous, S. Khaldi, S. Sallemi et F. Chaieb. « Impact de l’obésité centrale sur le fonctionnement du système nerveux autonome ». Annales d'Endocrinologie 84, no 1 (février 2023) : 228. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2022.12.405.

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Soriot, V., S. Soriot-Thomas, F. Clere et E. Serra. « TO04 - Céphalée du lésé médullaire par hyperréflexie du système nerveux autonome ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 6 (novembre 2005) : 68. http://dx.doi.org/10.1016/s1624-5687(05)80360-9.

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Bestel, J., J. Clairambault, C. Médigue, A. Monti et M. Sorine. « Le système cardio-vasculaire et sa régulation par le système nerveux autonome : modélisation et mesures ». ESAIM : Proceedings 9 (2000) : 65–92. http://dx.doi.org/10.1051/proc:2000013.

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Gain, M., A. Kettaneh, J. Weissenburger, K. P. Tiev, C. Toledano, L. Josselin, P. Cherin et J. Cabane. « Neuropathie périphérique avec atteinte du système nerveux autonome au cours d’une dermatomyosite ». La Revue de Médecine Interne 31, no 8 (août 2010) : e13-e15. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2009.08.012.

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Pouclet, Hélène, Thibaud Lebouvier, Mathurin Flamant, Emmanuel Coron, Michel Neunlist, Pascal Derkinderen et Tiphaine Rouaud. « Système nerveux autonome : une source de biomarqueurs dans la maladie de Parkinson ». La Presse Médicale 41, no 7-8 (juillet 2012) : 695–701. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpm.2011.11.018.

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Guerboub, A. A., H. El Jadi, A. Meftah, A. Moumen, S. Moussaoui et G. Belmejdoub. « L’efficacité du phénobarbital dans le traitement des dysrégulations du système nerveux autonome ». Annales d'Endocrinologie 75, no 5-6 (octobre 2014) : 424. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2014.07.515.

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Cinotti, E., J. L. Perrot, B. Labeille, C. Heusèle, C. Nizard, S. Schnebert, J. C. Barthélémy et F. Cambazard. « Rapport entre le vieillissement cutané et la fonction du système nerveux autonome ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 143, no 12 (décembre 2016) : S266. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2016.09.378.

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Jurdi, H. El, B. Plamen, D. Isabelle, P. Claudine, M. Noria, H. Laurent, B. Malika et D. Christophe. « La dysfonction du système nerveux autonome et l’atteinte respiratoire des enfants drépanocytaires ». Revue des Maladies Respiratoires Actualités 12, no 1 (janvier 2020) : 247–48. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmra.2019.11.554.

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Bounader, K., V. Galand, M. L. Gervais, N. Nesseler, J. P. Verhoye et E. Flécher. « Stimulation électrique du système nerveux autonome cardiaque EpiCANS : étude clinique chez l’homme ». Archives of Cardiovascular Diseases Supplements 15, no 1 (janvier 2023) : 104. http://dx.doi.org/10.1016/j.acvdsp.2022.10.200.

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Levasseur, Régis, Jean-Pierre Sabatier, Céline Potrel-Burgot, Bertrand Lecoq, Christian Creveuil et Christian Marcelli. « Le système nerveux sympathique est un médiateur des contraintes mécaniques dans le tissu osseux ». Revue du Rhumatisme 70, no 12 (décembre 2003) : 1100–1104. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2003.07.004.

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Gerard, P., et S. Dollfus. « La cohérence cardiaque : état des connaissances actuelles et bénéfices en psychiatrie ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 547. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.333.

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Résumé :
Le stress joue un rôle prépondérant dans un grand nombre d’affections psychiatriques. L’institut HeartMath® a développé une technique de gestion du stress appelée cohérence cardiaque. Cette technique se fonde sur une rééducation du système nerveux autonome en améliorant l’équilibre de la balance sympatho-vagale par augmentation de la Variabilité de la Fréquence Cardiaque (VFC). Par cela, on obtient une augmentation de la flexibilité de ce système nerveux autonome et ainsi une meilleure tolérance au stress.À ce jour, la VFC peut se mesurer à l’aide d’un photopléthysmographe relié à un ordinateur permettant de visualiser le résultat (biofeedback). L’intérêt du biofeedback est la visualisation en direct de la VFC au cours de manœuvres respiratoires et techniques issues des thérapies cognitivo-comportementales Le lien entre une altération de la VFC et différentes pathologies organiques (telles que l’hypertension artérielle et l’infarctus du myocarde) mais aussi psychiatriques (telles que les troubles anxieux et thymiques) a été établi depuis plusieurs années. De même, l’administration de certaines molécules comme les bêta-bloquants et les antidépresseurs sont associés à l’augmentation de la VFC lors de l’amélioration des symptômes. Enfin, la cohérence cardiaque a déjà prouvé ses bénéfices dans le traitement de plusieurs troubles psychiatriques tels que les troubles anxieux et les troubles thymiques. Notre but est de réaliser une synthèse des connaissances actuelles sur la VFC et la cohérence cardiaque, de présenter cette thérapie, puis d’exposer ses bénéfices dans le traitement des pathologies psychiatriques allant des troubles anxieux jusqu’aux syndromes schizophréniques.
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Gain, M., A. Kettaneh, P. Cherin et J. Cabane. « Neuropathie périphérique avec atteinte du système nerveux autonome au cours d’une dermatomyosite : neuromyosite ? » La Revue de Médecine Interne 29 (juin 2008) : S174. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2008.03.323.

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Derbel, Khansa, Sana Sellami et Chaieb Faten. « L’hypotension postprandiale : marqueur du dérèglement du système nerveux autonome chez des patients hypertendus ». Revue Neurologique 179 (avril 2023) : S82. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2023.01.437.

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Mellouli, Safa, Nadia Bouattour, Mariem Jabeur, Amine Bahloul, Khadija Sonda Moalla, Leila Abid et Mariem Dammak. « Association entre le système nerveux autonome et le post-accident vasculaire cérébral ischémique ». Revue Neurologique 181 (avril 2025) : S150. https://doi.org/10.1016/j.neurol.2025.01.292.

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Vily-Petit, J., M. Soty, A. Gautier-Stein, F. Rajas, M. Silva, M. Micoud et G. Mithieux. « La néoglucogenèse intestinale active la thermogenèse du tissu adipeux brun en mobilisant le système nerveux sympathique ». Annales d'Endocrinologie 82, no 5 (octobre 2021) : 270. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2021.08.046.

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Albagli, Olivier, et Hélène Pelczar. « Le stress provoque le grisonnement précoce des souris via l’activation du système nerveux sympathique ». médecine/sciences 37, no 11 (novembre 2021) : 977–80. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021136.

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Rigaud, J., D. Delavierre, L. Sibert et J. J. Labat. « Les infiltrations du système nerveux sympathique dans la prise en charge thérapeutiques des douleurs pelvipérinéales chroniques ». Progrès en Urologie 20, no 12 (novembre 2010) : 1124–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2010.08.047.

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Dupond, J. L., H. Gil, B. de Wazières, J. Regnard, M. Bouhaddi, S. Berthier, N. Magy et D. A. Vuitton. « Neuropathies aiguës du système nerveux autonome : efficacité des immunoglobulines intraveineuses. À propos de deux cas ». La Revue de Médecine Interne 20 (juin 1999) : s45. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(99)80155-6.

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Guyon, A., M. Balbo, L. Morselli, E. Tasali, R. Leproult, E. Van Cauter et K. Spiegel. « Effets d’un déficit de sommeil sur le système nerveux autonome et l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ». Médecine du Sommeil 9, no 2 (avril 2012) : 55–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.msom.2012.04.043.

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