Letteratura scientifica selezionata sul tema "Cartographie – Italie – 18e siècle"

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Articoli di riviste sul tema "Cartographie – Italie – 18e siècle"

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Pepe, Luigi. "Les milieux savants en Italie dans la deuxième moitié du 18e siècle". Dix-huitième siècle 40, n. 1 (2008): 211. http://dx.doi.org/10.3917/dhs.040.0211.

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Palsky, Gilles. "La cartographie Française des côtes Cochinchinoises à la fin du 18e siècle: Jean‐marie dayot et lepilote de cochinchine". Imago Mundi 41, n. 1 (gennaio 1989): 59–69. http://dx.doi.org/10.1080/03085698908592668.

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Reinhardt, Chanelle. "Des caisses à Paris. L’entrée triomphale des objets recueillis en Italie (1798) comme lieu de l’art au tournant du 18e siècle". Dix-huitième siècle 50, n. 1 (2018): 113. http://dx.doi.org/10.3917/dhs.050.0113.

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Lagarde, Lucie. "Le Passage du Nord‐Ouest et la Mer de l'Ouest dans la Cartographie française du 18e Siècle, Contribution à l'Etude de l'Oeuvre des Delisle et Buache". Imago Mundi 41, n. 1 (gennaio 1989): 19–43. http://dx.doi.org/10.1080/03085698908592666.

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Tesi sul tema "Cartographie – Italie – 18e siècle"

1

Cagnasso, Richard. "L’apport des écoles italiennes dans les premières cartes de l’Océanie". Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0059.

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Abstract (sommario):
Notre recherche porte sur la cartographie italienne de l’Océanie entre 1790 et 1850, mais en suivant son développement au travers des dialogues (et des conflits) entretenus avec les autres pays européens, et en particulier la France, et en liant intimement les discussions sur les premiers toponymes posés sur les cartes (les inventions de Oceania, Micronesia, Meganesia, Mondo Marittimo, etc.) avec les premières classifications des peuples énoncées par ces mêmes géographes qui voulaient ajouter aux noms géographiques des classifications permettant de distinguer les peuples, les variétés humaines, les « races » : Pinkerton, Malte-Brun, Walckenaer, Dumont d’Urville, Galanti, Balbi, Borghi, de Luca et Marmocchi. Trois parties se succèdent. Dans la première, nous observons le travail des géographes de cabinet en Angleterre et en France avant d’observer en détail les écoles italiennes. En contrepoint, nous observons les géographes qui furent navigateurs-explorateurs, en commençant avec l’Italie du 16e siècle, puis une revue rapide des tentatives qui furent faites pour nommer l’Océanie entière (la « cinquième partie du monde ») et ses régions. L’étude des écoles italiennes nous conduit dans les villes : Milan, Venise, Rome, Florence et Naples, leurs lieux d’échanges (académie, cabinet littéraires), en regardant aussi qui furent les grands éditeurs ou géographes-éditeurs. Nous terminerons cette première partie par une comparaison des théories proposées en France, Angleterre et Italie pour la classification des peuples, en général et en Océanie en particulier, selon que le type de discrimination choisi était les langues, les « nations » ou encore les « races ». La deuxième partie est consacrée aux relations entre géographes au niveau européen : les relations entretenues par les Italiens avec leurs voisins, surtout français et anglais, et parfois allemands, et nous observons la manière dont les savoirs se diffusent et sont discutés, avec Adriano Balbi comme fil d’Ariane : chronologie des publications, des dénominations, les cas particuliers des inventions d’Ulimaroa, Terres Océaniques, Notasie, puis les échanges sur les termes Océanique-Océanie, Mondo Marittimo et les choix de Balbi, la création italienne de Meganesia et de Micronesia, les discussions sur la classification des peuples, de Balbi à Dumont d’Urville, et la manière dont la plupart des écoles italiennes restent à l’écart du modèle de Dumont d’Urville pendant une vingtaine d’années. La troisième partie revient en détail sur les inventions et les appropriations des géographes italiens : la Meganesia, la Micronesia, le Mondo Marittimo. Cette observation montre l’imbrication extrême des dialogues, ou des conflits, entre nos géographes italiens et avec leurs voisins français et anglais. Elle nous conduit aussi, à propos de l’appropriation du terme « Micronésie », à regarder de bien plus près le rôle de Dumont d’Urville à cette époque, sa manière bien particulière d’imposer ses points de vue et d’écarter ceux des autres géographes, et l’on pourra mesurer, sans aucun doute quant aux motivations, à quel point sa fameuse carte de l’Océanie fut entièrement le produit d’une théorie sur les « races » et non une simple proposition cartographique. Cette clarification sera singulièrement renforcée par l’étude que nous ajoutons d’un long texte de Dumont d’Urville, un manuscrit qu’il avait rédigé en 1825-1826, resté inachevé et inédit, et que nous avons analysé et transcrit. Notre conclusion nous fait rester dans l’univers cartographique italien, et dans la manière dont une carte peut imposer un point de vue, mais en passant de l’Océanie à l’Italie. En effet, trois des principaux géographes italiens qui nous auront accompagnés durant l’examen des cartes de l’Océanie furent aussi des acteurs de premier plan dans une cartographie au service de la construction politique d’une Italie unitaire (le Risorgimento) et l’on commentera cette autorité que la carte peut imposer à l’occasion
Our research deals with the Italian cartography of Oceania, between 1790 and 1850. Its development is followed through dialogues and conflicts with the other European countries, mainly with France, intimately binding them with discussions over first place names on maps (the invention of Oceania, Micronesia, Melanesia, Mondo Marittimo), including the very first classifications of peoples stated by the same geographers who wanted to add classifications to geographical names, thus allowing to distinguish between peoples, human diversities, races: Pinkerton, Malte-Brun, Dumont d’Urville, Galanti, Balbi, Borghi, de Luca and Marmocchi. There’s a succession of three sections. In the first section, we are studying the works of the cabinet geographers in England and France before examining in detail the Italian schools. Conversely, we are watching these geographers who were navigator-explorers, starting first with sixteenth-century Italy then having a short overview of the attempts made to name the whole of Oceania (“The fifth part of the globe”, etc.) and its regions. The study of the Italian schools is taking us into the cities of Milan, Venice, Rome, Florence and Naples, as well as into these navigator-explorers’ places of exchange (academies, literary societies), taking into account who the major publishers or geographer publishers were. The second section is dedicated to the links between the geographers on a European level: the relationship between the Italians and their neighbors, mostly French and English, sometimes German. We are also looking at the way knowledge spreads and is debated upon with Adriano Balbi shaping a sort of breadcrumbs trail: first, chronology of publications and new names, with the special cases of the inventions of Ulimaroa, Ocean Lands, Notasia, and the withdrawal of Magellania, next the discussions on the names Oceanica-Oceania, Maritime World-Mondo Marittimo then, Balbi’s choices, the Italian inventions of « Meganesia, Micronesia », the discussions on the classification of the peoples, from Balbi to Dumont d’Urville and the way most of the Italian schools kept away from Dumont d’Urville’s pattern for a good 20 years. The third section documents and details the Italian geographers’ appropriations: Meganesia, Micronesia, Mondo Marittimo. This study shows the extreme interlocking of dialogues and conflicts among the Italian geographers themselves but also with their French and English counterparts. Regarding the appropriation of the word « Micronesia », it also leads us to observe closely the part played by Dumont d’Urville at the time, his very specific way to impose his views, excluding the other geographers’ opinions. We shall see that there is no doubt whatsoever about the motives leading to his famous 1832 map of Oceania so often considered as a map-based suggestion while we can doubtlessly show that it was the product of a theory on races. This clarification will be notably enhanced by the added study of a long text written by Dumont d’Urville, a manuscript drafted in 1825-1826, which remained incomplete and unpublished but reviewed and transcribed in this research. Our conclusion allows us to stay in the Italian cartographic world, to grasp the way a map may well impose a point of view, leading us from Oceania to Italy. Indeed, three of the four main Italian geographers we followed were also prominent protagonists in a cartography serving the political building up of a united Italy (Risorgimento) and we shall comment upon the power that a map may occasionally play
La nostra ricerca si concentra sulla cartografia italiana dell'Oceania tra il 1790 e il 1850, ma segue il suo sviluppo attraverso dialoghi (e conflitti) con altri paesi europei, e in particolare con la Francia, e collegando intimamente le discussioni sui primi toponimi collocati sulle carte geografiche (le invenzioni di Oceania, Micronesia, Meganesia, Mondo Marittimo, ecc.) con le prime classificazioni dei popoli formulate dai questi stessi geografi che volevano aggiungere ai nomi geografici delle classificazioni che consentissero di distinguere i popoli, le varietà umane, le “razze”: Pinkerton, Malte-Brun, Dumont d’Urville, Galanti, Balbi, Borghi, de Luca and Marmocchi. Tra parti si succedono. Nella prima, osserviamo il lavoro dei geografi di gabinetto in Inghilterra e in Francia prima di osservare nei minimi particolari le scuole italiane. In contrappunto, osserviamo i geografi che furono navigatore-esploratori, a partire dall'Italia del XVI secolo, poi una rapida rassegna dei tentativi di dare un nome all'intera Oceania (la "quinta parte del mondo" ecc.) e le sue regioni. Il studio delle scuole italiane ci porta elle città: Milano, Venezia, Roma, Roma, Firenze e Napoli, nonché ai loro luoghi di scambio (accademia, gabinetto letterario), guardando pure chi furono i grandi editori o geografi-editori. Finiremo questa prima parte con in confronto alle teorie proposte in Francia, Inghilterra e Italia per la classificazione dei popoli, in generale e in Oceania in particolare, a seconda che il tipo di discriminazione scelto fosse la lingua, le "nazioni" od ancora le "razze". La seconda parte è dedicata ai rapporti tra geografi a livello europeo: i rapporti che gli italiani intrattengono con i loro vicini, soprattutto francesi e inglesi, e talvolta tedeschi, ed si osserviamo la maniera in cui la conoscenza è diffusa e discussa, con Adriano Balbi come filo conduttore: cronologia delle pubblicazioni, delle denominazione, i casi particolari delle invenzioni di Ulimaroa, Terres Océaniques, Notasie, e l'abbandono di Magellania, poi gli scambi sui termini Oceanic-Oceania, il Mondo Marittimo e le scelte di Balbi, la creazione italiana di Meganesia e Micronesia, le discussioni sulla classificazione dei popoli da Balbi a Dumont d'Urville, e su come la maggior parte delle scuole italiane rimane al di fuori del modello di Dumont d'Urville per venti anni. La terza parte ritorna minutamente sulle invenzioni e l’accaparamento dei geografi italiani: Meganesia, Micronesia, Mondo Marittimo. Questa osservazione mostra l'estremo intreccio di dialoghi, o di conflitti, tra i nostri geografi italiani, tra loro e con i loro vicini francesi e inglesi. Essa ci conduce anche, per quanto riguarda l'appropriazione del termine "Micronesia", a guardare da più vicino il ruolo di Dumont d'Urville a questa epoca, il suo modo bene particolare di imporre i suoi punti di vista e di allontanare quelli degli altri geografi, e vedremo che ormai non c'è nessun dubbio per quanto riguarda alle motivazioni che l’hanno condotto alla sua famosa mappa dell'Oceania del 1832, così considerata spesso come una semplice proposta cartografica, mentre ora possiamo misurare fino a che punto fosse interamente il prodotto di una teoria sulle "razze". Questa chiarificazione sarà soprattutto rinforzata par lo studio che aggiungiano a un lungo testo di Dumont d'Urville, un manoscritto che aveva redatto nel 1825-1826, rimasto incompiuto e inedito, che abbiamo analizzato e trascritto.La nostra conclusione ci fa rimanere nell'universo cartografico italiano, e nella maniera in cui una mappa può imporre un punto di vista, ma passando dall'Oceania all'Italia. Infatti, tre dei principali geografi italiani che ci avranno accompagnati durante l'esame delle mappe dell'Oceania furono anche degli attori di primissimo piano nel una cartografia al servizio della costruzione politica di un'Italia unitaria (il Risorgimento) e ci commenteremo questa autorità che la carta può imporre a volte
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Carnino, Cecilia. "Dal lusso al consumo". Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010602.

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Abstract (sommario):
La thèse présente a pour objet de reconstruire les implications intellectuelles de la réflexion sur le luxe et sur la consommation qui fut effectuée dans l'Italie de la seconde moitié du dix-huitième siècle, et ce notamment durant le passage de l'ancien régime à la période révolutionnaire. Il s'agit ici de mettre en évidence l'importance que cette réflexion assuma en Italie durant la seconde moitié du dix-huitième siècle, tant du point de vue économique que politique. Notre recherche met notamment en lumière la forte dimension politique que la réflexion économique sur le luxe et la consommation revêtit à cette époque en Italie. Elle a permis en effet de véhiculer une critique radicale du système hiérarchique de l'ancien régime et de proposer un nouveau modèle de société fondé sur des bases plus égalitaires et capables d'harmoniser intérêts privés, justice sociale et prospérité publique. Ce travail a permis également de voire la culture politique italienne durant le passage de l'ancien régime à la phase révolutionnaire. La réflexion sur le luxe et la consommation permet de comprendre combien les patriotes ont adhéré amplement aux principes du libéralisme économique: ils avaient en effet la conviction que c'était précisément sur ce terrain que l'on pourrait conserver les transformations sociales réalisées grâce à la chute de l'ancien régime. Suivant le sillon de la réflexion économique qui avait caractérisé l'Italie à partir des années 1760, mais en même temps pleinement conscients de la nécessité d'une fracture politique radicale, les patriotes ont misé sur la garantie de l'égalité des opportunités. Ceci constituait à la fois un moyen privilégié pour assurer prospérité publique et amélioration générale du bien-être matériel, ainsi qu'un instrument visant à l'égalité des conditions sociales.
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Chapron, Emmanuelle. "Des bibliothèques "A Publica Utilita" : publicité, politique culturelle et pratiques du livre à Florence au XVIIIe siècle". Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0047.

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Abstract (sommario):
Sous les règnes des Habsbourg-Lorraine (1737-1970), la trame des bibliothèques publiques, privées ou ecclésiastiques du grand-duché de Toscane se transforme. L'étude de ces mutations croise la perspective d'une histoire des pratiques du livre et celle d'une histoire des politiques culturelles. Elle s'organise en trois temps. Le premier est celui de la genèse de la bibliothèque publique florentine, saisie dans un double cadre urbain et italien. Le second volet pose la question des enjeux politiques dont sont investies les bibliothèques gouvernées par l'autorité souveraines, face à l'Eglise d'abord, face à l'émergence d'une opinion publique (contrôlée ou non par le prince) ensuite, dans le cadre enfin de la "politique de la science". Une dernière partie éclaire le fonctionnement concret de ces espaces publics de la lecture, à travers leur organisation spatiale et bibliothéconomique, les politiques d'achat, les usages du livre et les formes du travail intellectuel qu'elles permettent.
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Perrin, Khelissa Anne. "Décor et décorum dans les palais de l’aristocratie génoise au XVIIIe siècle : l’exemple des objets mobiliers et de l’ameublement du palais Spinola à Pellicceria". Paris 10, 2007. http://www.theses.fr/2007PA100091.

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Abstract (sommario):
Ce travail concerne les comportements de la noblesse génoise à l’égard des objets mobiliers présents dans leur palais citadin. Il fonde sa réflexion sur l’exemple de l’ameublement du palais Spinola à Pellicceria au XVIIIe siècle, aujourd’hui Galleria Nazionale di Palazzo Spinola, ex-domus magna de familles d’ancienne lignée : les Grimaldi, les Pallavicini, les Doria, les Spinola. Sans poser de distinction hiérarchique a priori, les peintures, les sculptures, les meubles, les garnitures textiles, la vaisselle, les bijoux sont étudiés dans une triple perspective : en tant qu’objets patrimoniaux, en tant qu’objets de luxe, lorsqu’ils participent aux dépenses somptuaires, et en tant qu’objets du décor. L’examen des testaments, des livres de comptes et des inventaires, associé à l’observation d’œuvres actuellement conservées dans les collections génoises et étrangères, permet d’abord de dégager les logiques qui président à l’héritage, ensuite les modalités et la fonction des acquisitions et des commandes et, enfin, la structure et les formes artistiques de l’habitat. Expression du décorum, c’est-à-dire des conventions et des pratiques sociales, les intérieurs de l’aristocratie génoise conjuguent au XVIIIe siècle la mise en valeur nécessaire du patrimoine familial avec les exigences de commodité propres à la période. L’enjeu patrimonial et social primordial conféré au décor settecentesco génois, à l’origine de sa permanence et de sa conservation sur plusieurs générations, corrige l’idée d’un développement évolutif des formes artistiques, où celles anciennes feraient place aux nouvelles, invitant ainsi à dépasser une approche stylistique de l’art
The study relates to the behaviours of the Genoese nobility with regard to the objects of their city palace. It bases its thoughts on the example of the furnishings of the Palazzo Spinola a Pellicceria in the 18th century, ex-domus magna of old line families : the Grimaldi, Pallavicini, Doria, Spinola. Without posing hierarchical distinctions a priori, the paintings, the sculptures, the furniture, the textiles ornaments, the crochery, the jewels are studied in a triple prospect : as patrimonial objects, as luxury objects when they take part in the sumptuary expenditure, and as objects of the decoration. The examination of the wills, the account books and the inventories, associated with the observation of works of art currently preserved in the Genoese and foreign collections, initially makes it possible to determine the logics wich govern inheritances, then the ways and the function of acquisitions and commissions and, finally, the structure and the artistic forms of the domestic interior. Expression of the decorum, namely social conventions and customs, the interiors of the Genoese aristocracy combine in the 18th century the necessary highlighting of the family inheritance with the requirements for comfort specific of the period. The essential patrimonial and social goal conferred on the Genoese settecentesca decoration, at the origin of its permanence and its conservation over several generations, corrects the idea of an evolutionary development of the artistic forms where those ancient would make place for the modern, thus inviting to go beyond a stylistic approach of art
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Alex, Barbara. "Présences étrangères à Rome à la fin du XVIIIe siècle (1779-1793). Les artistes dans les paroisses du centre historique d’après les "Stati d’Anime"". Montpellier 3, 2009. http://www.theses.fr/2009MON30005.

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Abstract (sommario):
Considérée comme l'Académie de l'Europe à la fin du XVIIIe siècle, Rome, capitale des Arts, a attiré aussi bien les voyageurs européens faisant leur Grand Tour, que les artistes italiens et étrangers souhaitant parachever leur formation. Berceau du « vrai style », la ville est le témoin d'un épisode privilégié dans l'histoire de l'art : un moment intense d'échanges et d'influences, au niveau international. Cette étude propose de le redécouvrir en s'appuyant sur une source passionnante : les Stati delle Anime, registres paroissiaux recensant tous les habitants de Rome. L'examen de plusieurs paroisses du centre historique de la Ville Éternelle a permis de retracer tout un réseau de cohabitations et de voisinages artistiques, illustrant le rôle capital de cette Rome cosmopolite et de son milieu artistique, dans la diffusion du Néoclassicisme
Regarded as the Academy of Europe at the end of the Eighteenth Century, Rome, the capital of arts has attracted European travellers on their Grand Tour as well as Italian and foreign artists wishing to complete their training. Cradle of the « genuine style », the city witnessed a privileged episode in the history of art : an intense moment of exchanges and influences at international level. The aim of this study is to rediscover it by grounding itself on a exciting source : the Stati delle Anime, which were parish registers containing the names of all the inhabitants of Rome. The examination of several parishes of the historical centre of the Eternal City made it possible to trace back a whole network of cohabitations and artistic neighbourhoods illustrating the major part played by that cosmopolitan Rome and by her artistic milieu in the spreading of neoclassicism
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Montègre, Gilles. "Rome capitale culturelle au siècle des Lumières : présence française et construction des savoirs dans la Ville éternelle au temps de l'ambassade du Cardinal de Bernis (1769-1791)". Grenoble 2, 2006. http://www.theses.fr/2006GRE29023.

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Abstract (sommario):
Située au croisement de l'histoire sociale, de l'histoire urbaine et de l'histoire des pratiques savantes, cette recherche s'inscrit dans un cadre géographique précis, la ville de Rome, tout en embrassant une multiplicité d'acteurs, à savoir les hommes de culture français qui y ont résidé ou séjourné au cours de l'ambassade du cardinal de Bernis, entre 1769 et 1791. Etroitement corrélé avec le renouveau des études menées sur la Rome pontificale et sur les capitales culturelles européennes du XVIe au XIXe siècle, le projet se structure autour de trois objectifs. D'une part, il rend compte de l'activité des médiateurs culturels français présents durablement dans la cité sainte, afin de comprendre en quoi le fait de résider à Rome influençait les pratiques et les échanges intellectuels. D'autre part, il explore les modes de territorialisation des savoirs dans la ville, à travers l'étude des formes institutionnalisées (académies), privatisées (salons) et clandestines (loges maçonniques) de la vie culturelle franco-romaine. Enfin, il s'intéresse aux recherches savantes menées par les Français dans la ville, de l'étude des antiquités à l'histoire naturelle en passant par la médecine ou la théologie. La thèse démontre ainsi en quoi la ville de Rome s'est imposée au cours des années 1770-1780 comme une capitale culturelle de première importance à l'échelle de l’Europe des Lumières, créant les conditions propices à un dialogue entre disciplines et compétences savantes. L'analyse est servie par la mobilisation d'un corpus de sources diversifiées : correspondances et récits de voyageurs, dépêches diplomatiques, archives des paroisses et des institutions culturelles romaines
Located at the crossing of the social history, the urban history and the history of the erudite practices, this research lies within a precise geographical scope, the town of Rome, while embracing a multiplicity of actors, namely the men of French culture who resided or remained in it during the embassy of the cardinal of Bernis, between 1769 and 1791. Closely correlated with the revival of the studies led on pontifical Rome and the European cultural capitals of XVIe to the XIXe century, the project is structured around three objectives. On the one hand, it accounts for the activity of the French cultural mediators durably present in the holy city, in order to understand how the fact of residing in Rome influenced the intellectual practices and exchanges. In the other hand, it explores the modes of territorialisation of the knowledges in the city, through the study of the institutionalized (academies), privatized (salons) and clandestine (maconic lodges) forms of the Franco-Roman cultural life. Lastly, it is interested in the erudite research undertaken by the French in the city, of the study of antiquities to the natural history while passing through medicine or theology. The thesis shows thus in what the town of Rome was essential during years 1770-1780 as a cultural capital of first importance on the scale of Europe of the Lights, creating the conditions favourable to a dialogue between erudite disciplines and competences. The analysis is served by the mobilization of a corpus of diversified sources : correspondences and accounts of travellers, diplomatic dispatches, files of the parishes and the Roman cultural institutions
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Pellae-Bougnol, Florence. "Le Carnaval de Venise au 18e siècle : solennités, fêtes et divertissements de la place publique". Paris 13, 1989. http://www.theses.fr/1989PA130410.

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Abstract (sommario):
Le carnaval de venise, au dix-huitieme siecle, est etroitement lie a l'image de la cite galante que les ecrivains et les peintres de l'epoque nous ont transmise. Or, l'evolution de la fete, au cours des siecles, montre qu'il existe un autre type de rapport entre le carnaval et la ville. Au treizieme siecle, le carnaval est spontane et violent. Des le seizieme siecle, il entre dans les institutions de la cite et evolue alors considerablement jusqu'a la fin du dix-huitieme. Les jeux s'organisent en spectacles bien ordonnes et le carnaval, devenu le champ clos des affrontements populaires, se transforme en terrain d'election du politique. L'utilisation qui est faite du mythe de venise, tout particulierement lors de la reception d'hotes illustres, indique que le carnaval est desormais une affaire d'etat, une entreprise de propagande qui tend a magnifier le pouvoir en place. C'est ce rapport entre le pouvoir et la fete que l'on a essaye de definir sous ses differents aspects : integration du carnaval au sein du calendrier officiel venitien, description des manifestations et organisation de la fete. Sur le plan administratif, l'analyse des documents officiels - avis et affiches - permet d'evaluer le role joue par l'etat dans la gestion financiere de la fete, son fonctionnement, le controle de l'ordre et de la morale. Il a ainsi ete possible de poser le probleme du statut du carnaval dans la societe et de voir dans quelle mesure la fete, tout en gagnant les faveurs du peuple, a pu servir les dessins d'une aristocratie detentrice des pouvoirs spirituel et temporel en entretenant le sentiment de l'etat venitien
The carnival of venice, in the eighteenth century, is closely linked to the image of the gallant city conveyed by the writers and painters of the time. But the evolution of the feast, as centuries went by, shows that there is another type of relation between the carnival and the city. In the thirteenth century, the carnival is spontaneous and violent. As early as the sixteenth century, it is part of the institutions of the town and progresses a lot until the end of the eighteenth century. The games are arranged in well-ordered spectacles and the carnival, which becomes the lists of popular struggles, turns into the favourite field of politics. The use of the myth of venice, more particularly when receiving famous guests, indicates that the carnival is henceforth an affair of the state, a propaganda concern which tends to glorify the powers that be. It is this relation between the power and the feast that we have tried to define in all its bearings : the integration of the carnival to the official venitian calendar, the description of the events and the organization of the feast. In the administrative field, the analysis of official documents, allows to estimate the part played by the state in the financial care of the feast, the way it works, the supervision of order and morals. It has been possible to set the problem of the statute of the carnival in the society and to see to what extent, the feast, while obtaining the masses' favours, was able to serve the purposes of an aristocracy who withheld the spiritual and temporal
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Marchi, Lara. "La Reggenza et les autorisations : l'application des lois sur les fidéicommis et sur la mainmorte dans la Toscane des Lorraines (1737-1765)". Paris, EHESS, 2009. http://www.theses.fr/2009EHES0039.

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Abstract (sommario):
L'étude s'insère dans le contexte politique et institutionnel du Grand-Duché de Toscane gouverné à partir de 1737, après l'extinction des Médicis, par la famille des Lorraines. Il s'intéresse tout particulièrement à l'analyse de l'application de deux lois publiées par ce nouveau gouvernement au milieu du XVIII ème siècle, celle sur les fidéicommis (1747) et celle sur la mainmorte (1751). La recherche a été menée à partir de la réalisation de deux bases de données dont les informations proviennent des centaines de suppliques, envoyées au Consiglio di Reggenza après la publication des lois, car leur application était centrée sur un mécanisme de contrôle exercé à travers l'autorisation souveraine aux requêtes des sujets. L'objectif de ce travail a été de saisir ce qui nous apparaît être, par rapport au passé, une nouvelle forme de contrôle politique sur la société, celle d'un État de police. A conclusion de notre recherche, on a relevé que le nouveau gouvernement a été plus enclin au recueil des informations que à la réalisation des reformes. Cependant la Reggenza a finis pour constituer un important passage et point de départ pour l'époque de Pietro Léopoldo
This study places itself in the political and institutional context of Tuscany's Grand Duchy, governed by Lorrrain's sovereigns, after the extinction of Medici's dynasty in 1737. It is mostly focalized on the application of two laws issued by the new government at the half of eighteenth century, the first about fideicommissum (I747) and the other regarding the ecclesiastical mortmain (1751). The research work begins with the realisation of two databases; taking advantage of the informations contained in hundreds of appeals to the Consigho dl Reggenza after the publication of the laws. Their application was indeed founded upon a system of control exercited through the sovereign authorisation. Aim of this study is to understand what we can define a new -in comparison with Medici’s age -form of political control over the society, the one of a police State. At the end of the research, we have noticed that the new government was more inclined to gather information than to realize reforms. This was however an important passage and the starting point for Peter Leopold's age
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Loriga, Sabina. "L'Institution militaire : expérience biographique et identité sociale en Piémont au XVIIIe siècle". Paris, EHESS, 1990. http://www.theses.fr/1990EHES0064.

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Mamy, Sylvie. "Les manuscrits musicaux vénitiens en France au siècle des Lumières : copie et réception". Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040072.

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Abstract (sommario):
Naissance, essor et déclin de l’édition musicale vénitienne entre les XVe et XVIIe siècles. Tentatives de relance vers 1770. Essor de la copie musicale dans les théâtres et les ospedales de Venise ; immigration en France des musiciens italiens composant des opéras bouffons pour Paris et gravant leurs œuvres et leurs traités dès notre pays. Importation de manuscrits musicaux vénitiens à Paris pour la pratique musicale individuelle et en concert, ainsi que par esprit de collection. Etude de la correspondance inédite entre A. Conti à Venise et la comtesse de Caylus à Paris : envoi de manuscrits musicaux vénitiens. L'expérience vénitienne de J. -J. Rousseau; de retour à Paris, celui-ci devient éditeur, copiste et défenseur du chant italien et vénitien. Les confiscations des français à Venise en 1797 pour enrichir la bibliothèque du Conservatoire de Paris
Birth, development and decline of music publishing in Venice from the XVth to the XVIIth centuries. Revival attempts c. 1770. Expansion of music transcription in the Venetian theatres and ospedali immigration to France of Italian opera buffa composers whose works and treatises were published in this country. Importation of Venetian music manuscripts to Paris for individual correspondence between A. Conti in Venice and the comtesse de Caylus in Paris: sending of Venetian music manuscripts. Venetian sojourn of J. -J. Rousseau; in Paris he becomes publisher, copyist and champion of Italian and particularly Venetian singing. Confiscations by the French in Venice in 1797 to enrich the Paris Conservatory library
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