Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Élevage – Cameroun“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Élevage – Cameroun"

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Gaullier, P. „Elevage bovin en plantation industrielle de palmiers à huile au Cameroun. I. Etude de la flore et mesure des biomasses“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, Nr. 3 (01.03.1990): 401–8. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8826.

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Un élevage bovin de race trypanotolérante (N'Dama) a été créé à partir de 1979 dans une palmeraie industrielle de la province du littoral au Cameroun. Une étude des pâturages a été entreprise, dont la première phase était une enquête agrostologique dans les différentes tranches d'âge de la palmeraie. Elle a permis de faire une évaluation globale de la productivité fourragère par mesure des biomasses totales et utiles. L'influence des travaux d'entretien de la palmeraie ainsi que les caractéristiques originales de ces pâturages sont examinées; l'étude de leur dynamique et l'analyse de leur évolution sous exploitation sont amorcées.
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Kouamo, Justin, und Paul Pa-ana. „Typology of cattle farms in the northern regions of Cameroon“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, Nr. 3 (15.03.2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31520.

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La présente étude, menée dans les élevages bovins des régions du nord du Cameroun, a eu pour objectif d’établir la typologie des exploitations afin de révéler les caractéristiques structurelles et fonctionnelles pouvant être sélectionnées dans un programme d’insémination artificielle. Une enquête a été réalisée auprès de 54 éleveurs. Les résultats ont montré qu’ils étaient majoritairement de l’ethnie peuhle (81,5 %) avec une prédominance d’hommes (92,6 %). Leur niveau d’éducation était le primaire (31,5 %), le secondaire (18,5 %) et le supérieur (25,9 %). Ils avaient une activité de production agricole à temps plein (42,6 %), élevage bovin et agropastoralisme. Les fonctionnaires représentaient plus du tiers de l’échantillon. La structure génétique des troupeaux était dominée par des races locales : 53,7 % de zébus Gudali, 44,4 % de Djafoun et 5,6 % d’Akou. De plus, 44,4 % élevaient des races croisées et 16,7 % des Holstein. Une analyse des correspondances multiples a été effectuée pour déterminer la typologie des exploitations étudiées. En fonction des caractéristiques structurelles (taille du troupeau, superficie fourragère, productivité laitière par vache et par jour, et infrastructure connexe) et fonctionnelles (alimentation, gestion du troupeau, choix technologique) des fermes, trois types ont été identifiés. Les éleveurs de type I (37 %) pratiquaient le système extensif et ceux de type II (18,5 %) le système semi-intensif. Ils étaient présents dans la région d’Adamawa et préféraient, respectivement, la saillie naturelle (56 %) et l’insémination artificielle (100 %) comme moyen de reproduction. Les éleveurs de type III (44,5 %) pratiquaient le système semi-extensif. Ils n’étaient présents que dans les régions du Nord et de l’Extrême-Nord et ils préféraient la saillie naturelle (98 %) comme moyen de reproduction. Les agriculteurs de type II étaient localisés dans la division de Vina (Adamawa) et présentaient les meilleures potentialités avec la pratique de l’insémination artificielle. Ces éleveurs peuvent être considérés comme des pilotes pour la relance de la filière laitière dans cette partie du Cameroun.
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Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo, Oumarou Abakar und Christian Meyer. „La traction animale dans le nouveau contexte des savanes cotonnières du Tchad, du Cameroun et de la République centrafricaine I. Diffusion de la traction animale et sa place dans les exploitations“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, Nr. 2 (01.02.2002): 117. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9832.

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La traction animale est exploitée depuis très longtemps en Afrique subsaharienne, mais elle a beaucoup évolué. La zone des savanes d’Afrique centrale compte environ 260 000 attelages (40 p. 100 d’exploitations équipées au Tchad, contre 25 p. 100 au Cameroun et moins de 10 p. 100 en République centrafricaine). La traction bibovine domine. Dans les systèmes de production, l’énergie animale est utilisée surtout pour le labour à la charrue et d’une manière secondaire pour les opérations d’entretien et le transport. La traction animale a des fonctions agronomiques (mécanisation, intégration agriculture-élevage) et des fonctions socio-économiques importantes. La phase d’équipement est un moment stratégique pour l’exploitation. Depuis 1950, les crédits équipements et l’encadrement technique proposés par les sociétés cotonnières ont fortement contribué au développement de la traction animale. Les paysans ont investi une part importante des revenus du coton dans cette technique.
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Havard, Michel, A. Fall und Aboubakar Njoya. „La traction animale au coeur des stratégies des exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, Nr. 3-4 (01.03.2004): 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9889.

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Cet article fait une analyse comparative de trois situations contrastées d’utilisation de la traction animale : le bassin arachidier du Sénégal, le Nord-Cameroun et l’est du Burkina Faso. L’objectif est de caractériser les dynamiques de la traction animale dans les exploitations agricoles. Dans chaque situation, les données, collectées selon des méthodes et outils spécifiques et avec la collaboration de partenaires différents, n’ont pas permis de faire systématiquement des comparaisons entre les trois pays. Dans tous les cas, cette analyse montre que l’appropriation de la traction animale dans l’exploitation est un processus souvent difficile et progressif. La première étape est l’acquisition d’un attelage pouvant demander des années d’efforts. Elle engendre d’importantes transformations dans le fonctionnement du système de production de l’agriculteur qui doit chercher à équilibrer le disponible en force de traction, en surface agricole et en main-d’oeuvre. La traction animale favorise l’extension des superficies cultivées et renforce l’intégration agriculture élevage. Elle modifie l’organisation et la répartition du travail, et elle est source d’augmentation et de diversification des revenus. Enfin, elle créée de nouvelles tâches, comme l’élevage d’animaux de trait qui engendre des dépenses supplémentaires. A l’échelle des exploitations agricoles, les analyses font ressortir la variété des trajectoires d’équipements et donc la diversité des stratégies des agriculteurs pour accéder à la traction animale, puis la conserver. Elles confirment aussi le rôle pivot de la traction animale dans leur cycle de vie. A l’échelle du village, elles montrent le rôle déterminant des échanges de travail et de terre entre les exploitations dans le processus d’appropriation de la traction animale. Ce processus, qui doit encore être accompagné, est avancé dans le bassin arachidier, et il est en cours dans l’est du Burkina Faso et au Nord-Cameroun. Les priorités sont l’acquisition des attelages pour les exploitations non équipées à l’est du Burkina Faso et au Cameroun, et la reproductibilité des exploitations équipées (diversification des activités, maîtrise de la technique, innovations endogènes) dans toutes les situations étudiées, et particulièrement au Sénégal.
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Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo, Oumarou Abakar und Christian Meyer. „La traction animale dans le nouveau contexte des savanes cotonnières du Tchad, du Cameroun et de la République centrafricaine. II. Quelles priorités pour la recherche et le développement ?“ Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, Nr. 2 (01.02.2002): 129. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9833.

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La traction animale joue un rôle très important dans la zone de savanes d’Afrique centrale (Tchad, Cameroun et République centrafricaine). Depuis quelques années, l’environnement institutionnel se modifie fortement. L’Etat se désengage du secteur agricole. De nouveaux acteurs se positionnent sur le « marché » de la traction animale : organisations paysannes, vétérinaires, forgerons, encadrement technico-économique, etc. Certains ont des difficultés à répondre à la demande des producteurs, à dégager une rentabilité suffisante, et sont demandeurs d’un appui pour pérenniser leur activité. Les producteurs aussi rencontrent des difficultés pour s’équiper et pour tirer tous les partis de l’attelage faute de connaissances et de moyens financiers suffisants. Ainsi de nouveaux enjeux émergent. L’augmentation de la pression foncière et la diffusion des herbicides modifient aussi la place de la traction animale dans les exploitations. Cette nouvelle donne pose de nouvelles questions à la recherche et au développement. Auparavant, il s’agissait pour la recherche d’apporter des réponses techniques aux questions soulevées par le développement. Désormais, il faut comprendre les recompositions institutionnelles, saisir l’évolution des besoins, susciter l’innovation et renforcer les processus de coopération au sein des nouvelles configurations d’acteurs. Les objectifs de développement doivent être réorientés vers le financement de la traction animale, la mécanisation des systèmes de culture, l’appui au transport attelé, l’intégration agriculture-élevage et l’appui aux secteurs émergents.
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Dugué, Patrick, und Aimé Landry Dongmo Ngoutsop. „Traction animale et association agriculture élevage dans les savanes d’Afrique de l’Ouest et du Centre. D’un modèle techniciste à une démarche d’intégration raisonnée à différentes échelles“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, Nr. 3-4 (01.03.2004): 157. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9886.

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En Afrique subsaharienne, les agronomes ont longtemps considéré que l’amélioration des performances des exploitations agricoles reposait sur l’intégration de l’élevage à l’agriculture. Ce modèle de production s’appuyait sur la traction animale, les cultures fourragères et l’élevage bovin viande et lait, base de la production de fumure organique. Mais, ce modèle n’a pas été adopté comme prévu. Dans le bassin arachidier au Sénégal, dans un contexte de fort aléa climatique, la priorité des paysans est de travailler rapidement pour implanter et entretenir les cultures, ce qui explique leur préférence pour la traction équine. Au Nord-Cameroun la stratégie d’accroissement des surfaces cultivées s’appuyant sur la traction bovine a été préférée à celle d’augmentation des rendements ; la fumure animale a longtemps été délaissée. Cette stratégie reste encore possible dans les zones peu ou moyennement peuplées. Dans les zones les plus peuplées, les évolutions des systèmes de production sont comparables à celles observées dans le bassin arachidier : développement de la traction asine et de l’embouche bovine, difficulté à associer élevage bovin extensif et agriculture. A l’échelle de vastes régions, il sera toujours nécessaire de valoriser par l’élevage des espaces difficiles à cultiver. L’accès à ces espaces pour des troupeaux transhumants doit être préservé. Il est aussi envisageable de développer des complémentarités entre des systèmes d’élevage périurbains et des zones agricoles proches qui développeraient des filières d’approvisionnement en fourrages et en aliments du bétail. Au niveau des terroirs villageois et des exploitations agricoles, l’intensification de l’élevage est indispensable mais nécessite de revoir les conduites des troupeaux et surtout d’accroître la production et les règles de gestion de la biomasse végétale. Pour cela la traction animale devrait être plus mobilisée pour assurer les transports (fumier, fourrage, etc.), accroître les revenus (vache de trait, embouche des animaux de trait en fin de carrière) et contribuer à développer des systèmes de culture plus productifs et accordant plus de place à la production fourragère.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia und Eric Vall. „Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ?“ Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, Nr. 1-4 (01.01.2011): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10116.

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Alors que l’invention peut se définir comme la découverte d’un principe, l’innovation peut être définie comme l’adoption de ce principe par une population (1, 2, 3, 17). En Afrique de l’Ouest, la grande majorité des inventions et leur traduction fréquente en propositions techniques de la recherche pour intensifier les systèmes mixtes agriculture-élevage ont été peu ou n’ont pas été intégrées dans les systèmes de production (11, 13, 14, 18, 21, 23). Ce constat d’échec a amené la recherche à s’interroger sur ses démarches de conception et d’évaluation de ses propositions et à impliquer davantage les acteurs de terrain dans la formulation des problèmes et l’élaboration des solutions dans le cadre de recherches participatives (5, 8, 10, 12, 15, 16). L’analyse des facteurs d’adoption des inventions constitue un premier champ au sein des méthodes d’évaluation existantes. L’objectif est d’identifier les facteurs économiques, institutionnels, structurels ou sociotechniques qui favorisent le passage de l’invention à l’innovation (4, 20). Des outils de modélisation peuvent aussi être utilisés pour analyser le profil des populations susceptibles d’adopter telle ou telle technologie (7, 24). Les méthodes de diagnostic des impacts de la recherche constituent un deuxième champ d’évaluation. Il s’agit d’analyser les effets, prévus ou non, des propositions de la recherche quand elles sont expérimentées sur le terrain ou adoptées (19). La modélisation peut là encore s’avérer un outil puissant pour explorer les impacts potentiels des propositions de la recherche avant leur mise en oeuvre effective au sein des systèmes de production (6, 9, 22). L’objectif de ce numéro thématique est de passer en revue différents travaux sur l’évaluation des propositions de la recherche, récemment réalisés en zone agropastorale d’Afrique de l’Ouest, afin de définir comment concevoir et évaluer des innovations dans cette région. Les contributions se basent sur différentes études menées non seulement dans le domaine de la production et de la santé animales mais aussi dans celui des productions végétales intimement liées à l’élevage dans les systèmes mixtes étudiés. Elles abordent également la gestion socio-économique des exploitations et, en particulier, intègrent les projets des producteurs. Cette diversité de terrains et d’approches permet d’enrichir la réflexion sur les méthodes d’évaluation des innovations dans les systèmes d’élevage et dans les systèmes agro-sylvo-pastoraux de cette région. Les trois premiers articles s’intéressent aux facteurs d’adoption des produits de la recherche. Bouyer et coll. analysent les facteurs ayant joué sur l’adoption d’une nouvelle méthode de lutte sanitaire acaricide en milieu paysan au Burkina Faso. Ngondjeb et coll. étudient les facteurs d’adoption de techniques de lutte contre l’érosion hydrique des sols en zone cotonnière du Cameroun. Dans des contextes de changements socio-économiques induisant des stratégies adaptatives de producteurs camerounais, Pedelahore et coll. s’interrogent sur la place de processus d’intensification promus par la recherche. Ces méthodes fournissent des pistes pour mieux caractériser la diversité des besoins et des contraintes des populations cibles. Les autres travaux concernent surtout les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche. Ces évaluations sont prospectives pour deux articles : les travaux de Dabire et coll. explorent les impacts potentiels de la prévision saisonnière des pluies sur les performances économiques des exploitations familiales burkinabés ; ceux de Deffo et coll. évaluent les effets de différents systèmes de culture sur la durabilité des exploitations. L’article de Sempore et coll. combine évaluation prospective et évaluation ex post, respectivement avant et après l’expérimentation d’ateliers d’embouche chez des agroéleveurs. Trois articles analysent a posteriori les impacts de propositions expérimentées ou adoptées par les producteurs : Blanchard et coll. mesurent l’impact de l’utilisation raisonnée de la fumure organique au champ sur les rendements et les revenus de producteurs burkinabés ; Fokou et coll. explorent les liens entre, d’une part, les innovations technologiques et organisationnelles et, d’autre part, les relations de pouvoir dans des systèmes de production laitiers du Mali. Enfin, en s’inspirant d’une méthode expérimentée à la Réunion (France), Vayssières et coll. cherchent à mieux prendre en compte les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre dans les exploitations d’élevage d’Afrique de l’Ouest dans la conception de systèmes agropastoraux plus respectueux de l’environnement. L’objectif global de ces travaux est de consolider les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche pour sélectionner les propositions qui contribuent le mieux au développement durable des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest.
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Durojaiye, O. A., und P. Kwenkam. „Note préliminaire sur la prévalence de la maladie de Gumboro chez les volailles au Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, Nr. 4 (01.04.1990): 439–40. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8749.

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L'existence de la bursite infectieuse (ou maladie de Gumboro) dans les élevages industriels de volailles au Cameroun a été recherchée à l'aide des techniques sérologique et virologique. L'anticorps viral a été trouvé dans 118 sérums (33,9 p. 100) sur les 348 prélévements examinés à partir de sept lieux choisis au hasard. D'autre part une recherche virologique a été réalisée sur des prélévements de bourse de Fabricius obtenus par autopsie à partir d'élevages dans lesquels on avait noté un degré élevé de mortalité chez les jeunes. Cet examen a révélé la présence de l'antigène viral de la bursite infectieuse. Ces observations confirment l'existence de la maladie dans les élevages industriels de volailles camerounais.
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Kouam Simo, Alain, Félicité Flore Djuikwo-Teukeng, Christian Kombou Fangye, Guy-Pierre Martineau, Mohamed Gharbi und Philippe Dorchies. „Prévalence de la gale sarcoptique chez le porc dans le département de la Mifi (Ouest Cameroun)“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, Nr. 4 (25.11.2020): 269–71. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31943.

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La gale du porc, due à Sarcoptes scabiei var. suis, est l’une des principales dermatoses porcines, présente dans de nombreux élevages. Elle provoque d’importantes pertes économiques dans plusieurs pays et son éradication passe par une amélioration des conditions d’hygiène. En l’absence de données récentes sur la prévalence de cette infestation au Cameroun, la recherche des parasites par raclages cutanés a été réalisée dans 52 élevages de la région de l’Ouest (département de la Mifi). En avril-août 2015, puis en avril-août 2016, 359 raclages cutanés sur 103 truies, 39 verrats et 217 porcelets sevrés ont permis d’identifier S. scabiei var. suis dans 23,1 % des élevages (12/52 ; soit 40 porcheries exemptes de gale) avec une prévalence moyenne de 19,5 % (70/359), sans différence de sexe ni d’âge. Les porcheries les plus infestées étaient celles où l’hygiène était la plus défectueuse. Des programmes d’éducation sanitaire doivent être mis en place pour sensibiliser les éleveurs à l’importance du respect des règles d’hygiène dans la lutte contre la gale porcine.
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AGBEDE, G., F. DEMEY, A. VERHULST und J. G. BELL. „Prévalence de la maladie de Newcastle dans les élevages traditionnels de poulets au Cameroun“. Revue Scientifique et Technique de l'OIE 11, Nr. 3 (01.09.1992): 805–11. http://dx.doi.org/10.20506/rst.11.3.616.

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Mehr Quellen

Dissertationen zum Thema "Élevage – Cameroun"

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Djamen, Nana Patrice. „Territoire, filière et temps : modalités et enjeux de l’insertion marchande des systemes d’élevage bovins au Nord-Cameroun“. Paris, AgroParisTech, 2008. http://pastel.paristech.org/5163/01/Thèse_Patrice_Djamen_Rv.pdf.

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Au Nord-Cameroun, les systèmes d'élevage bovins sont remis en cause par la pression sur l’espace. Parallèlement, la croissance démographique stimule les marchés de la viande bovine. Cette recherche visait à vérifier l’existence d’interactions entre le développement des marchés, et la dynamique des systèmes d’élevage et de la filière bovine. La démarche méthodologique était articulée autour de trois axes : territoire, filière et temps. Des enquêtes et un suivi annuel ont été réalisés au niveau des troupeaux, exploitations, marchés de bestiaux, abattoirs et consommateurs, à propos de l’approvisionnement de la ville de Garoua en viande bovine. Les pratiques des éleveurs sont contraintes par les caractéristiques du territoire, mais davantage par la manière dont ils réagissent aux opportunités et contraintes du milieu. La demande finale, et les stratégies des acteurs qui y concourent, sont analysées. La productivité des élevages est incompatible avec le rythme de croissance démographique. Les éleveurs sont sensibles au développement des marchés, mais leur insertion marchande est prudente et progressive. Ils préfèrent la minimisation des risques à l’optimisation des revenus. L’influence des marchés se traduit plus par la spéculation que par la modification des pratiques d’élevage. L’amélioration des performances techniques n’est rentable que lorsqu’elle est accompagnée de pratiques de commercialisation efficaces. Il est nécessaire de développer les services d’appui à l’élevage : conseil, appui à l’organisation, accès aux intrants et crédit. Des mesures politiques appropriées s’imposent, pour sécuriser la base productive et, rendre le fonctionnement de la filière bovine plus équitable, et incitatif aux éleveurs. Un modèle d’approvisionnement de la ville de Garoua est proposé. Des scénarios en sont dérivés, qui permettent de saisir l’ampleur des enjeux en termes de sécurité alimentaire des populations et de devenir des élevages.
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Boutrais, Jean. „Hautes terres d'élevage au Cameroun“. Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100138.

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Les hautes terres du Cameroun, "cabbal" en langue peule, sont des régions pastorales exceptionnelles. Pourtant, les pasteurs peuls ne sont arrivés aux grassfields qu'au début de ce siècle. Soumis à un régime fiscal contraignant, ils ont bénéficié de conditions naturelles favorables à l'élevage bovin, permettant de fortes charges en bétail. Les mbororo se sont installés aux grassfields en fonction du relief, les lignages prestigieux se réservant les plus hautes prairies. Bien que les populations locales adoptent l'élevage bovin, les relations entre éleveurs et cultivateurs sont surtout conflictuelles. L'administration a tenté de résoudre ce problème aux grassfields par diverses politiques mais sans y parvenir vraiment. Malgré ce handicap, les mbororo se sont sédentarisés ou simplement fixes sur les hauts plateaux, ce qui a provoqué des profonds changements dans la société pastorale. Le système d'élevage est caractérisé par la transhumance mais les éleveurs d'en haut perdent régulièrement des pâturages de saison sèches, ce qui les contraint à chercher de nouveaux secteurs de transhumance a des altitudes plus basses. Ce modèle de "cabbal" se retrouve ailleurs mais, en adamaous, le contexte pastoral est diffèrent : présence de foulbé, difficultés de ravitaillement, menaces des glossines. Les "cabbe" de l'adamaous deviennent des refuges pastoraux
Highlands of Cameroon, "cabbal" in the Fulani language, are very good pastoral areas. However, the Fulani pastoralists arrived in the grass fields only at the beginning of this century. They had to pay heavy cattle-taxes but the environment was good enough for high stocking rates of grazing. When settling in the grass fields, the Fulani pastoralists are aware of the environment, the powerful lineages grabbling the highest grasslands. Though local people buy some cattle, the grazer-farmer relations are mainly conflict ones. The government tried many policies but didn't really solve this problem in the grass fields. In spite of this, Fulani pastoralists sedentarized or simply settled on the highlands and the pastoral society is no more the traditional one. Most of the cattle move down for transhumance but many dry season areas are lost for grazing, so graziers have always to seek new pasturelands at lower altitudes. The "cabbal" model of the grass fields is working elsewhere. But in adamaous, the graziers are also sedentary or villager Fulani, getting food is difficult and tsetse flies are so dangerous that "cabbe" of this area re pastoral refuges
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Lieugomg, Médard. „Les plantations industrielles et les plantations villageoises de palmiers à huile sélectionnées dans les zones d'intervention de la société camerounaise des palmeraies (So. Ca. Palm) : le cas des régions d'Eseka et de Dibombari“. Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100191.

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Dans le cadre de l'exécution du plan palmier à huile au Cameroun oriental, une société de développement, la société camerounaise des palmeraies (so. Ca. Palm) est créée en 1968. Aujourd'hui elle intervient dans 5 régions (mbongo, dibombari, eseka, kienke et edea) et contrôle dans les seules plantations d'eseka et de dibombari, 8. 421 ha de palmiers sélectionnés et plus de 1. 700 employés en plantation industrielle, 5. 154 ha et 1. 348 planteurs en plantation villageoise. Dans la mission de développement de ses zones d'intervention la so. Ca. Palm fait des progrès au niveau de la production, mais connait des problèmes dans la gestion de son personnel et de ses planteurs, problèmes aggraves par le vieillissement de son verger et les difficultés de commercialisation de ses produits sur les marches national et international. Si l'Etat ne peut gérer avec efficacité, compétence et rentabilité une entreprise de la taille de la so. Ca. Palm, la solution c'est la privatisation ou la création des entreprises de taille humaine, c'est-à-dire la mise en place de petites structures qui permettent aux paysans de comprendre comment et pour qui ils doivent produire
In order to implement a palm-tree scheme in eastern Cameroon, a development enterprise, the societe camerounaise des palmeraies (so. Ca. Palm), was set up in 1968. Today, its action is extended to 5 areas (mbongo, dibombari, eseka, kienke and edea). Eseka and dibombari areas alone it controls 8 421 ha of improved palm-trees and more than 1 700 employees in industrial palm-groves and 5 154 ha for 1 348 small holders. So. Ca. Palm has achieved a noticeable progress as far as production is concerned but is confronted with problems due to personnel and small holders’ management. These problems are aggravated by the aging of plantations and difficulties in commercializing its products both on national and international markets. If the state cannot efficiently and competently manage with profitability a firm with so. Ca. Palm dimensions, the solution is either privatization or the creation of smaller enterprise, setting up of small structures by which peasants can understand why and for whom they should produce
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Picard, Jérôme. „Espaces et pratiques paysannes : les relations élevage-agriculture dans deux terroirs cotonniers du Nord Cameroun“. Paris 10, 1999. http://www.theses.fr/1999PA100063.

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Les relations elevage-agriculture representent un theme d'etude important pour le developpement dans le nord cameroun. Les eleveurs et les cultivateurs dans une meme region ou un meme terroir entretiennent souvent des rapports conflictuels parce que les uns comme les autres veulent exploiter une ressource identique : les brousses. Nous avons traite cet aspect dans une premiere partie contextuelleavant d'exposer notre methodologie. Les relations elevage-agriculture peuvent aussi etre etudiees au niveau de l'exploitation agricole. Nous avons favorise ce niveau d'analyse dans l'etude de deux terroirs agro-pastoraux cotonniers contrastes. L'alimentation du betail en saison des pluies et en saison seche, la traction animale et l'utilisation de la matiere organique sont les trois aspects de ces relations que nous avons analyses finement dans nos deuxieme et troisieme parties. Quand ces trois aspects agissent en synergie, ils sont le gage d'un maintien de la fertilite des sols et du developpement du cheptel dans un terroir. Les relations elevage-agriculture renvoient a des pratiques qui different selon les types de proprietaires de betail et se realisent dans des espaces agro-pastoraux particuliers. Ces espaces et ces pratiques ont ete mis en evidence apres analyse de plusieurs flux qui traversent le terroir : flux d'animaux (a partir de l'examen de nombreux suivis de troupeaux), flux de residus de recolte, flux d'attelage et flux de matiere organique. A l'issue de l'analyse, on aboutit dans une quatrieme partie synthetique, a une modelisation graphique des espaces agro-pastoraux annuels pour chaque type de proprietaire de betail. Des "regles" individuelles et communautaires de gestion des espaces agro-pastoraux sont rappelees. Des scenarios d'evolution sont proposes dans chaque terroir ainsi que des propositions d'amelioration du fonctionnement (niveau terroir et exploitation).
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Fotsa, Jean-Claude. „Caractérisation des populations de poules locales (Gallus gallus) au Cameroun“. Paris, AgroParisTech, 2008. http://pastel.paristech.org/4904/01/THESE_FOTSA_[18_DEC_2008]_Agro_Paris_Tech.pdf.

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La caractérisation zootechnique, phénotypique et moléculaire des populations de poules locales des hauts plateaux et des forêts a été menée pour une meilleure connaissance de la variabilité génétique disponible et de leurs potentialités, afin de développer des stratégies d’amélioration et de conservation. Il ressort en milieu paysan que les poules locales représentent 69,4% des espèces élevées sous la responsabilité des femmes (57%). Leur élevage est motivé par leur adaptation au milieu (56%), la qualité des produits locaux (27%) et les traditions culturelles (15%). Les sujets du Sud et de l’Est étudiés sur le terrain ont des poids comparables (1400g chez les mâles et 1160g chez les femelles), mais inférieurs à ceux des animaux du Centre (1665g chez les mâles et 1259g chez les femelles). La ponte annuelle déclarée est en moyenne de 54 œufs au Sud, 51 au Centre et 49 à l’Est et le taux d’éclosion est supérieur à 80%. La diversité phénotypique montre la faible fréquence (1 à 10%) de plusieurs mutations (tarse emplumé, huppe, cou nu, barbe et favoris, frisé, nanisme) alors que la fréquence est plus élevée pour le plumage de couleur noire étendue (locus E) et argenté (locus S). En milieu contrôlé en station, les mâles labels normaux (FR) sont 48,75%, 49,55% et 41,98% plus lourds à 16 semaines d’âge que respectivement ceux du Centre, du Sud et du Nord-Ouest/Ouest (NO/OU). L'indice de consommation entre 12 et 16 semaines d’âge est de 3,16 pour le FR et varie de 3,92 à 4,16 chez les écotypes locaux. Les femelles FR (1550g) et les labels naines FR1 (1260g) sont plus lourdes que la femelle locale (NO/OU) la plus lourde (889g). Les indices de consommation sont de 4,62 (témoins FR et FR1), de 4,94 (Centre), de 4,31 (NO/OU) et de 4,35 (Sud). L’abattage des mâles à 16 semaines montre un taux de gras extrêmement faible chez le label comme chez les écotypes locaux. Le test sensoriel sur les morceaux cuisinés ne montre pas de différence entre label et écotypes locaux pour la tendreté, la jutosité et la flaveur. La mortalité en station a été élevée chez les jeunes mais elle est inférieure à 8% de 18 à 52 semaines d’âges. Chez les femelles adultes, la FR (2604 g) a un poids corporel supérieur à celui de la FR1 (2083 g) tandis que les femelles du NO/OU (1481g), du Centre (1362g) et du Sud (1404g) sont plus légères dans leur ensemble. La masse d’œufs entre 32 et 36 semaines d’âge montre un avantage de la FR1 (875g) et de l’écotype du Sud (803g) par rapport aux autres types génétiques avec toutefois des valeurs comparables entre celles du NO/OU (687g) et de la FR (671g), celle du Centre (722g) étant intermédiaire. Tous ces génotypes montrent de faibles valeurs de consommation résiduelle (–4,70g (Sud), 17,32g (Centre), -50,26g (FR), 11,12g (FR1)) par rapport aux besoins d’entretien et de production. L’emploi de 22 marqueurs microsatellites chez 4 populations locales et 3 lignées commerciales a produit un total de 156 allèles pour une moyenne de 7,09 allèles par locus ; les populations locales présentent une bien plus grande richesse allélique que les commerciales. Chez les populations locales, l’hétérozygotie attendue (He) et observée (Ho) varient respectivement de 0,617 à 0,634 et de 0,628 à 0,664. La population du NO/OU semble plus homogène que celles du Centre et du Sud, qui semblent génétiquement plus proches des lignées commerciales. Un programme d’amélioration génétique d’un troupeau pépinière de poules locales est proposé, en combinaison avec un protocole de croisement à court terme avec le poulet label.
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Requier-Desjardins, Mélanie. „Elevages et transhumances à l'extrême-nord du Cameroun : une étude des contrats d'accès aux pâturages communs : enquêtes en milieu pastoral et essai de modélisation contractuelle)“. Versailles-St Quentin en Yvelines, 2001. http://www.theses.fr/2001VERS0013.

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En région soudanienne, les activités rurales principales sont agricoles et pastorales. Il existe une compétition entre éleveurs sédentaires, transhumants et agriculteurs pour l'usage des terres de parcours. La progression des zones désertiques et la décentralisation actuelle des Etats auxquels ces espaces appartiennent généralement à titre privé nécessitent l'examen des modes d'accès à ces ressources. Pour caractériser les conditions d'accès aux pâturages, nous prívilégions une recherche en termes de coûts et de contrats d'accès. Selon nos hypothèses de travail, la forme de ces échanges a une incidence sur l'usage et la dynamique de la ressource pastorale. La méthodologie élaborée combine une étude empirique localisée réalisée à l'extrême-nord du Cameroun et la construction d'un modèle de simulation multi-agens. Le modèle s'inspire de l'économie des coûts de transaction et des travaux concernant les ressources renouvelables communes. Des échanges pour l'accès aux pâturages et à l'eau ont lieu entre des agents transhumants dotés de troupeaux et des agents sédentaires responsables d'espaces pastoraux. Nous étudions l'impact différencié de deux formes de contractualisation, au moindre coût versus confiance, sur l'évolution des pâturages déterminée selon le principe de la capacité de charge. Ce modèle explore et teste les hypothèses émises, il fonctionne comme un outil de dialogue entre la théorie et le terrain. Les enquêtes menées le long du parcours principal de la transhumance font un inventaire historique des prélèvements organisés par les autorités auprès des éleveurs. Les montants relevés sont analysés du point de vue de la rente foncière, puis sous l'angle anthropologique de la réciprocité. Les résultats obtenus sont complétés par une étude des contrats de main d'oeuvre pastorale, dont l'analyse en terme de confiance nous ramène aux résultats du modèle
In the Soudanian area, the main rural activities are those of farming and breeding. There is a competition between sedentary, transhumant breeders, and peasants for the use of the grazing land. Desertification threats and the decentralization of the States whose lands have traditionnally been managed autonomously require a reexamination of the way the users manage to have access to these resources. In order to characterise the states of access to pasture land, we have carried out an analysis of costs and contracts of access. We assume the contracts pattern has an incidence on the resource use dynamics. The methodology combines a field study carried out in northern Cameroon, and the building of a multi-agent simulation model. The model is inspired by the transaction costs analyses and by the observed trends of common resources management. Exchanges take place between transhumant agents owning herds, and sedentary agents who are responsible for the access to the grazing land. They negociate contracts so that the herds can have access to the water and the pasture land. We observe the impacts of two different kinds of contracts, smallest cost versus trust, on the pasture land evolutions characterised by a limited carrying capacity. This models is a way of exploring and testing the internal consistancy of our assumptions and works as a tool of communication between the theory and the field study. Empirical investigations conducted on a single transhumancy line dealt mainly with the breeders'taxes. We draw up an historical inventory of the amounts collected by local authorities for the use of pasture land. An interpretation is given in terms of the land point of view. Then, we develop interpretations in terms of social reciprocity. These results are complemented by the study of pastoral labour force contracts, whose analysis in term of trust brings us back to the model
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Beauvilain, Alain. „Nord Cameroun : Crises et peuplement“. Notre-Dame-de-Gravenchon (Bois d'Harcourt, 76330) : A. Beauvilain, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40572970x.

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Dongmo, Aimé Landry. „Territoires, troupeaux et biomasses : enjeux de gestion pour un usage durable des ressources au Nord-Cameroun“. Paris, AgroParisTech, 2009. https://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00005304/document.

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Au Nord-Cameroun à l’instar de l’Afrique soudano sahélienne, les sécheresses et la forte pression démographique, ont favorisé l’afflux des agriculteurs et la sédentarisation des éleveurs sur des zones plus humides et moins saturées. Les agriculteurs y font face aujourd’hui à la baisse continue des rendements agricoles et les éleveurs, aux difficultés d’alimentation du bétail. Le suivi de leurs systèmes de culture et d’élevage, et l’analyse des interactions qui existent entre eux, ont montré la nécessité de mieux gérer les biomasses. La fumure organique est très limitée sur le sol des agriculteurs, alors qu’elle est nettement très élevée sur celui des éleveurs du fait de l’important cheptel bovin qu’ils y parquent. Les rendements en biomasse de ces derniers sont plus importants que ceux des agriculteurs, mais sur des superficies plus réduites. Grâce au droit de vaine pâture ces éleveurs alimentent leur bétail en saison sèche à partir des résidus de cultures produits par les agriculteurs. Le reste de l’année, une partie du cheptel transhume, tandis que l’autre, reste sédentaire sur le terroir et s’alimente difficilement. L’offre locale de la biomasse cultivée est influencée à la fois par les pratiques des agriculteurs (fumure organique, fertilisation minérale) et par celles des éleveurs (vaine pâture). Différents modes de gestion des biomasses sont proposés pour améliorer à court terme (compost produit en bordure du champ, fumier produit à l’étable, en fosse ou sur parc fixe, association des cultures) ou à moyen terme (systèmes de culture sur couverture végétale), la production. Pour raisonner et accompagner leur diffusion, différents modèles conceptuels sont développés
In North Cameroon like in similar areas of Sudano-sahelian Africa, severe drought and high demographic pressure has resulted in an influx of migrant farmers and the settlement of pastoralists in the more humid and less saturated zones. Today, farmers are face with a continuous drop in crop yields, Pastoralists have difficulties in feeding their herds. Studies of crop and livestock farming systems and the analysis of their interactions have highlighted the need for better management of biomass. Results show that the use of organic manure by primary crop farmers is low compared to livestock owners who use copious quantities on their crop farms. As a consequence, they obtain much higher biomass yields on much smaller land areas. In the dry season, they use their ancestral right of free ranging to feed their animals on crop residues produced by farmers. During the rest of the year, part of their herd goes on transhumance towards favourable areas while the other part is maintained in the village near the family. Feeding the latter entails walking long distances each day through narrow passages in cultivated fields. Finally, the important part of biomass production in the village depends both on the practices of farmers (mineral and organic fertilisation) and those of herd owners (free ranging). Systems of better biomass management are suggested to improve the soil fertility and production in the short term through organic matter produced near the farm, manure produced in stables or on a fix parking lot, or in the medium term by zero-till and planting under mulch system. Conceptual modelling systems are then developed for sustainable management of biomass
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Bücher zum Thema "Élevage – Cameroun"

1

Les éleveurs mbororo du Nord-Cameroun: Une vie et un élevage en mutation. Paris: L'Harmattan, 2012.

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