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Zeitschriftenartikel zum Thema „Élevage – Cameroun“

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Gaullier, P. „Elevage bovin en plantation industrielle de palmiers à huile au Cameroun. I. Etude de la flore et mesure des biomasses“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, Nr. 3 (01.03.1990): 401–8. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8826.

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Un élevage bovin de race trypanotolérante (N'Dama) a été créé à partir de 1979 dans une palmeraie industrielle de la province du littoral au Cameroun. Une étude des pâturages a été entreprise, dont la première phase était une enquête agrostologique dans les différentes tranches d'âge de la palmeraie. Elle a permis de faire une évaluation globale de la productivité fourragère par mesure des biomasses totales et utiles. L'influence des travaux d'entretien de la palmeraie ainsi que les caractéristiques originales de ces pâturages sont examinées; l'étude de leur dynamique et l'analyse de leur évolution sous exploitation sont amorcées.
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Kouamo, Justin, und Paul Pa-ana. „Typology of cattle farms in the northern regions of Cameroon“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, Nr. 3 (15.03.2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31520.

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La présente étude, menée dans les élevages bovins des régions du nord du Cameroun, a eu pour objectif d’établir la typologie des exploitations afin de révéler les caractéristiques structurelles et fonctionnelles pouvant être sélectionnées dans un programme d’insémination artificielle. Une enquête a été réalisée auprès de 54 éleveurs. Les résultats ont montré qu’ils étaient majoritairement de l’ethnie peuhle (81,5 %) avec une prédominance d’hommes (92,6 %). Leur niveau d’éducation était le primaire (31,5 %), le secondaire (18,5 %) et le supérieur (25,9 %). Ils avaient une activité de production agricole à temps plein (42,6 %), élevage bovin et agropastoralisme. Les fonctionnaires représentaient plus du tiers de l’échantillon. La structure génétique des troupeaux était dominée par des races locales : 53,7 % de zébus Gudali, 44,4 % de Djafoun et 5,6 % d’Akou. De plus, 44,4 % élevaient des races croisées et 16,7 % des Holstein. Une analyse des correspondances multiples a été effectuée pour déterminer la typologie des exploitations étudiées. En fonction des caractéristiques structurelles (taille du troupeau, superficie fourragère, productivité laitière par vache et par jour, et infrastructure connexe) et fonctionnelles (alimentation, gestion du troupeau, choix technologique) des fermes, trois types ont été identifiés. Les éleveurs de type I (37 %) pratiquaient le système extensif et ceux de type II (18,5 %) le système semi-intensif. Ils étaient présents dans la région d’Adamawa et préféraient, respectivement, la saillie naturelle (56 %) et l’insémination artificielle (100 %) comme moyen de reproduction. Les éleveurs de type III (44,5 %) pratiquaient le système semi-extensif. Ils n’étaient présents que dans les régions du Nord et de l’Extrême-Nord et ils préféraient la saillie naturelle (98 %) comme moyen de reproduction. Les agriculteurs de type II étaient localisés dans la division de Vina (Adamawa) et présentaient les meilleures potentialités avec la pratique de l’insémination artificielle. Ces éleveurs peuvent être considérés comme des pilotes pour la relance de la filière laitière dans cette partie du Cameroun.
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Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo, Oumarou Abakar und Christian Meyer. „La traction animale dans le nouveau contexte des savanes cotonnières du Tchad, du Cameroun et de la République centrafricaine I. Diffusion de la traction animale et sa place dans les exploitations“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, Nr. 2 (01.02.2002): 117. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9832.

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La traction animale est exploitée depuis très longtemps en Afrique subsaharienne, mais elle a beaucoup évolué. La zone des savanes d’Afrique centrale compte environ 260 000 attelages (40 p. 100 d’exploitations équipées au Tchad, contre 25 p. 100 au Cameroun et moins de 10 p. 100 en République centrafricaine). La traction bibovine domine. Dans les systèmes de production, l’énergie animale est utilisée surtout pour le labour à la charrue et d’une manière secondaire pour les opérations d’entretien et le transport. La traction animale a des fonctions agronomiques (mécanisation, intégration agriculture-élevage) et des fonctions socio-économiques importantes. La phase d’équipement est un moment stratégique pour l’exploitation. Depuis 1950, les crédits équipements et l’encadrement technique proposés par les sociétés cotonnières ont fortement contribué au développement de la traction animale. Les paysans ont investi une part importante des revenus du coton dans cette technique.
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Havard, Michel, A. Fall und Aboubakar Njoya. „La traction animale au coeur des stratégies des exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, Nr. 3-4 (01.03.2004): 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9889.

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Cet article fait une analyse comparative de trois situations contrastées d’utilisation de la traction animale : le bassin arachidier du Sénégal, le Nord-Cameroun et l’est du Burkina Faso. L’objectif est de caractériser les dynamiques de la traction animale dans les exploitations agricoles. Dans chaque situation, les données, collectées selon des méthodes et outils spécifiques et avec la collaboration de partenaires différents, n’ont pas permis de faire systématiquement des comparaisons entre les trois pays. Dans tous les cas, cette analyse montre que l’appropriation de la traction animale dans l’exploitation est un processus souvent difficile et progressif. La première étape est l’acquisition d’un attelage pouvant demander des années d’efforts. Elle engendre d’importantes transformations dans le fonctionnement du système de production de l’agriculteur qui doit chercher à équilibrer le disponible en force de traction, en surface agricole et en main-d’oeuvre. La traction animale favorise l’extension des superficies cultivées et renforce l’intégration agriculture élevage. Elle modifie l’organisation et la répartition du travail, et elle est source d’augmentation et de diversification des revenus. Enfin, elle créée de nouvelles tâches, comme l’élevage d’animaux de trait qui engendre des dépenses supplémentaires. A l’échelle des exploitations agricoles, les analyses font ressortir la variété des trajectoires d’équipements et donc la diversité des stratégies des agriculteurs pour accéder à la traction animale, puis la conserver. Elles confirment aussi le rôle pivot de la traction animale dans leur cycle de vie. A l’échelle du village, elles montrent le rôle déterminant des échanges de travail et de terre entre les exploitations dans le processus d’appropriation de la traction animale. Ce processus, qui doit encore être accompagné, est avancé dans le bassin arachidier, et il est en cours dans l’est du Burkina Faso et au Nord-Cameroun. Les priorités sont l’acquisition des attelages pour les exploitations non équipées à l’est du Burkina Faso et au Cameroun, et la reproductibilité des exploitations équipées (diversification des activités, maîtrise de la technique, innovations endogènes) dans toutes les situations étudiées, et particulièrement au Sénégal.
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Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo, Oumarou Abakar und Christian Meyer. „La traction animale dans le nouveau contexte des savanes cotonnières du Tchad, du Cameroun et de la République centrafricaine. II. Quelles priorités pour la recherche et le développement ?“ Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, Nr. 2 (01.02.2002): 129. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9833.

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La traction animale joue un rôle très important dans la zone de savanes d’Afrique centrale (Tchad, Cameroun et République centrafricaine). Depuis quelques années, l’environnement institutionnel se modifie fortement. L’Etat se désengage du secteur agricole. De nouveaux acteurs se positionnent sur le « marché » de la traction animale : organisations paysannes, vétérinaires, forgerons, encadrement technico-économique, etc. Certains ont des difficultés à répondre à la demande des producteurs, à dégager une rentabilité suffisante, et sont demandeurs d’un appui pour pérenniser leur activité. Les producteurs aussi rencontrent des difficultés pour s’équiper et pour tirer tous les partis de l’attelage faute de connaissances et de moyens financiers suffisants. Ainsi de nouveaux enjeux émergent. L’augmentation de la pression foncière et la diffusion des herbicides modifient aussi la place de la traction animale dans les exploitations. Cette nouvelle donne pose de nouvelles questions à la recherche et au développement. Auparavant, il s’agissait pour la recherche d’apporter des réponses techniques aux questions soulevées par le développement. Désormais, il faut comprendre les recompositions institutionnelles, saisir l’évolution des besoins, susciter l’innovation et renforcer les processus de coopération au sein des nouvelles configurations d’acteurs. Les objectifs de développement doivent être réorientés vers le financement de la traction animale, la mécanisation des systèmes de culture, l’appui au transport attelé, l’intégration agriculture-élevage et l’appui aux secteurs émergents.
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Dugué, Patrick, und Aimé Landry Dongmo Ngoutsop. „Traction animale et association agriculture élevage dans les savanes d’Afrique de l’Ouest et du Centre. D’un modèle techniciste à une démarche d’intégration raisonnée à différentes échelles“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, Nr. 3-4 (01.03.2004): 157. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9886.

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En Afrique subsaharienne, les agronomes ont longtemps considéré que l’amélioration des performances des exploitations agricoles reposait sur l’intégration de l’élevage à l’agriculture. Ce modèle de production s’appuyait sur la traction animale, les cultures fourragères et l’élevage bovin viande et lait, base de la production de fumure organique. Mais, ce modèle n’a pas été adopté comme prévu. Dans le bassin arachidier au Sénégal, dans un contexte de fort aléa climatique, la priorité des paysans est de travailler rapidement pour implanter et entretenir les cultures, ce qui explique leur préférence pour la traction équine. Au Nord-Cameroun la stratégie d’accroissement des surfaces cultivées s’appuyant sur la traction bovine a été préférée à celle d’augmentation des rendements ; la fumure animale a longtemps été délaissée. Cette stratégie reste encore possible dans les zones peu ou moyennement peuplées. Dans les zones les plus peuplées, les évolutions des systèmes de production sont comparables à celles observées dans le bassin arachidier : développement de la traction asine et de l’embouche bovine, difficulté à associer élevage bovin extensif et agriculture. A l’échelle de vastes régions, il sera toujours nécessaire de valoriser par l’élevage des espaces difficiles à cultiver. L’accès à ces espaces pour des troupeaux transhumants doit être préservé. Il est aussi envisageable de développer des complémentarités entre des systèmes d’élevage périurbains et des zones agricoles proches qui développeraient des filières d’approvisionnement en fourrages et en aliments du bétail. Au niveau des terroirs villageois et des exploitations agricoles, l’intensification de l’élevage est indispensable mais nécessite de revoir les conduites des troupeaux et surtout d’accroître la production et les règles de gestion de la biomasse végétale. Pour cela la traction animale devrait être plus mobilisée pour assurer les transports (fumier, fourrage, etc.), accroître les revenus (vache de trait, embouche des animaux de trait en fin de carrière) et contribuer à développer des systèmes de culture plus productifs et accordant plus de place à la production fourragère.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia und Eric Vall. „Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ?“ Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, Nr. 1-4 (01.01.2011): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10116.

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Alors que l’invention peut se définir comme la découverte d’un principe, l’innovation peut être définie comme l’adoption de ce principe par une population (1, 2, 3, 17). En Afrique de l’Ouest, la grande majorité des inventions et leur traduction fréquente en propositions techniques de la recherche pour intensifier les systèmes mixtes agriculture-élevage ont été peu ou n’ont pas été intégrées dans les systèmes de production (11, 13, 14, 18, 21, 23). Ce constat d’échec a amené la recherche à s’interroger sur ses démarches de conception et d’évaluation de ses propositions et à impliquer davantage les acteurs de terrain dans la formulation des problèmes et l’élaboration des solutions dans le cadre de recherches participatives (5, 8, 10, 12, 15, 16). L’analyse des facteurs d’adoption des inventions constitue un premier champ au sein des méthodes d’évaluation existantes. L’objectif est d’identifier les facteurs économiques, institutionnels, structurels ou sociotechniques qui favorisent le passage de l’invention à l’innovation (4, 20). Des outils de modélisation peuvent aussi être utilisés pour analyser le profil des populations susceptibles d’adopter telle ou telle technologie (7, 24). Les méthodes de diagnostic des impacts de la recherche constituent un deuxième champ d’évaluation. Il s’agit d’analyser les effets, prévus ou non, des propositions de la recherche quand elles sont expérimentées sur le terrain ou adoptées (19). La modélisation peut là encore s’avérer un outil puissant pour explorer les impacts potentiels des propositions de la recherche avant leur mise en oeuvre effective au sein des systèmes de production (6, 9, 22). L’objectif de ce numéro thématique est de passer en revue différents travaux sur l’évaluation des propositions de la recherche, récemment réalisés en zone agropastorale d’Afrique de l’Ouest, afin de définir comment concevoir et évaluer des innovations dans cette région. Les contributions se basent sur différentes études menées non seulement dans le domaine de la production et de la santé animales mais aussi dans celui des productions végétales intimement liées à l’élevage dans les systèmes mixtes étudiés. Elles abordent également la gestion socio-économique des exploitations et, en particulier, intègrent les projets des producteurs. Cette diversité de terrains et d’approches permet d’enrichir la réflexion sur les méthodes d’évaluation des innovations dans les systèmes d’élevage et dans les systèmes agro-sylvo-pastoraux de cette région. Les trois premiers articles s’intéressent aux facteurs d’adoption des produits de la recherche. Bouyer et coll. analysent les facteurs ayant joué sur l’adoption d’une nouvelle méthode de lutte sanitaire acaricide en milieu paysan au Burkina Faso. Ngondjeb et coll. étudient les facteurs d’adoption de techniques de lutte contre l’érosion hydrique des sols en zone cotonnière du Cameroun. Dans des contextes de changements socio-économiques induisant des stratégies adaptatives de producteurs camerounais, Pedelahore et coll. s’interrogent sur la place de processus d’intensification promus par la recherche. Ces méthodes fournissent des pistes pour mieux caractériser la diversité des besoins et des contraintes des populations cibles. Les autres travaux concernent surtout les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche. Ces évaluations sont prospectives pour deux articles : les travaux de Dabire et coll. explorent les impacts potentiels de la prévision saisonnière des pluies sur les performances économiques des exploitations familiales burkinabés ; ceux de Deffo et coll. évaluent les effets de différents systèmes de culture sur la durabilité des exploitations. L’article de Sempore et coll. combine évaluation prospective et évaluation ex post, respectivement avant et après l’expérimentation d’ateliers d’embouche chez des agroéleveurs. Trois articles analysent a posteriori les impacts de propositions expérimentées ou adoptées par les producteurs : Blanchard et coll. mesurent l’impact de l’utilisation raisonnée de la fumure organique au champ sur les rendements et les revenus de producteurs burkinabés ; Fokou et coll. explorent les liens entre, d’une part, les innovations technologiques et organisationnelles et, d’autre part, les relations de pouvoir dans des systèmes de production laitiers du Mali. Enfin, en s’inspirant d’une méthode expérimentée à la Réunion (France), Vayssières et coll. cherchent à mieux prendre en compte les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre dans les exploitations d’élevage d’Afrique de l’Ouest dans la conception de systèmes agropastoraux plus respectueux de l’environnement. L’objectif global de ces travaux est de consolider les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche pour sélectionner les propositions qui contribuent le mieux au développement durable des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest.
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Durojaiye, O. A., und P. Kwenkam. „Note préliminaire sur la prévalence de la maladie de Gumboro chez les volailles au Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, Nr. 4 (01.04.1990): 439–40. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8749.

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L'existence de la bursite infectieuse (ou maladie de Gumboro) dans les élevages industriels de volailles au Cameroun a été recherchée à l'aide des techniques sérologique et virologique. L'anticorps viral a été trouvé dans 118 sérums (33,9 p. 100) sur les 348 prélévements examinés à partir de sept lieux choisis au hasard. D'autre part une recherche virologique a été réalisée sur des prélévements de bourse de Fabricius obtenus par autopsie à partir d'élevages dans lesquels on avait noté un degré élevé de mortalité chez les jeunes. Cet examen a révélé la présence de l'antigène viral de la bursite infectieuse. Ces observations confirment l'existence de la maladie dans les élevages industriels de volailles camerounais.
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Kouam Simo, Alain, Félicité Flore Djuikwo-Teukeng, Christian Kombou Fangye, Guy-Pierre Martineau, Mohamed Gharbi und Philippe Dorchies. „Prévalence de la gale sarcoptique chez le porc dans le département de la Mifi (Ouest Cameroun)“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, Nr. 4 (25.11.2020): 269–71. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31943.

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La gale du porc, due à Sarcoptes scabiei var. suis, est l’une des principales dermatoses porcines, présente dans de nombreux élevages. Elle provoque d’importantes pertes économiques dans plusieurs pays et son éradication passe par une amélioration des conditions d’hygiène. En l’absence de données récentes sur la prévalence de cette infestation au Cameroun, la recherche des parasites par raclages cutanés a été réalisée dans 52 élevages de la région de l’Ouest (département de la Mifi). En avril-août 2015, puis en avril-août 2016, 359 raclages cutanés sur 103 truies, 39 verrats et 217 porcelets sevrés ont permis d’identifier S. scabiei var. suis dans 23,1 % des élevages (12/52 ; soit 40 porcheries exemptes de gale) avec une prévalence moyenne de 19,5 % (70/359), sans différence de sexe ni d’âge. Les porcheries les plus infestées étaient celles où l’hygiène était la plus défectueuse. Des programmes d’éducation sanitaire doivent être mis en place pour sensibiliser les éleveurs à l’importance du respect des règles d’hygiène dans la lutte contre la gale porcine.
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AGBEDE, G., F. DEMEY, A. VERHULST und J. G. BELL. „Prévalence de la maladie de Newcastle dans les élevages traditionnels de poulets au Cameroun“. Revue Scientifique et Technique de l'OIE 11, Nr. 3 (01.09.1992): 805–11. http://dx.doi.org/10.20506/rst.11.3.616.

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Tiogué, Claudine Tekounegning, Armand Bibou, Augustave Kenfack und Joseph Tchoumboué. „Caractéristiques Socio-économiques et techniques des élevages piscicoles du Département du Mbam et Inoubou“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, Nr. 3 (19.06.2020): 983–1000. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.26.

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Le but principal de cette étude dans le Département du Mbam et Inoubou de février à juin 2019 était de fournir des connaissances générales des élevages piscicoles pour l’amélioration de leurs rendements. Un questionnaire a donc été soumis à 40 pisciculteurs dans 7 des 9 Arrondissements du Département. Les résultats obtenus révèlent que : seulement 26,39% des 144 étangs dénombrés sont actifs. Les pisciculteurs sont à 95% des hommes de tranche d’âge majoritaire comprise entre 50 et 59 ans (40%) ; de profession dominante l’agriculture (37,50%). Bafia est l’ethnie majoritaire (47,50%) et le christianisme est le plus rependue (77,50%). Le niveau d’études est dominé par le supérieur (52,50%). La main d’oeuvre la plus utilisée est salariale. Les structures sont à 85% individuelles, et sont construites sur fonds personnels. Les structures sont à 95% à moins de 20 ans d’existence. La polyculture (Tilapia, silure, carpe, Kanga et Parachana) est pratiquée à 70% au sein des étangs en déblais (82,50%) de nappes phréatiques. Les silures sont les espèces les plus élevées (36,14%). Les alevins proviennent à 52,50% des projets et des centres d’alevinage. La fertilisation est pratiquée à 50%, l’aliment composé rentre à 35% dans l’alimentation et les producteurs sont tous orientés vers le grossissement. Le vol (60%) et les causes zootechniques (25%) constituent les contraintes classiques majeures que connait la pisciculture dans cette zone. Dans ce Département l’activité piscicole est encore pratiquée de manière artisanale. A l’avenir, l’état devrait accompagner les acteurs de cette activité par de multiples formations.Mots clés : Pisciculture, caractérisation, contraintes, Région du Centre, Cameroun. English Title: Socio-economic and technical characteristics of fish farming in the Department of Mbam and InoubouThe main objective of this study in the Department of Mbam and Inoubou from February to June 2019 was to provide general knowledge of fish farms for the improvement of their yields. A questionnaire was therefore submitted to 40 fish farmers in 7 of the 9 Arrondissements of the Department. The results show that: only 26.39% of the 144 ponds counted are active. The fish farmers are 95% of men of majority age group between 50 and 59 years (40%); predominantly in agriculture (37.50%). Bafia is the majority ethnic group (47.50%) and Christianity is the most widespread (77.50%). The level of education is dominated by the superior (52.50%). The most used workforce is salary. The structures are 85% individual, and are built on personal funds. 95% of structures are less than 20 years old. Polyculture (Tilapia, catfish, common carp, kanga and viper fish) is practiced at 70% in excavated ponds (82.50%) of groundwater. Catfish are the most raised species (36.14%). 52.50% of the fingerlings come from projects and nursery centers. Fertilization is carried out at 50%, the compound feed returns to 35% in the feed and the producers are all oriented towards fattening. The flight (60%) and zootechnical causes (25%) constitute the major classic constraints experienced by fish farming in this area. It was concluded that the fish farming activity in this area is still artisanal. In the future, the state should support the players in this activity through multiple training.Keywords: Fish farming, characterization, constraints, Center Region, Cameroon.
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Njoya, Aboubakar, Daniel Nzingu Awa, Anne Clarisse Ngo Tama, Eric Cardinale und A. Mamoudou. „Evaluation d’une stratégie de réduction de la mortalité des petits ruminants en zone soudano-sahélienne du Nord-Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, Nr. 1-2 (01.01.2005): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9946.

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Cette étude a eu pour objectif principal d’évaluer l’impact d’un plan de prophylaxie sur la réduction de la mortalité des petits ruminants en milieu paysan. Elle a été menée dans 60 villages du Nord-Cameroun (provinces du Nord et de l’Extrême-Nord). Les troupeaux de petits ruminants de trente villages ont été déparasités contre les helminthoses gastro-intestinales avec du BolumisolND (levamisole) et vaccinés contre la peste des petits ruminants avec du BovipestovaxND ; les trente autres ont servi de témoin. Au total 18 469 petits ruminants dont 10 179 traités ont été suivis mensuellement d’août 1995 à juillet 1996. Au bout d’un an, cette prophylaxie a permis une réduction significative de la mortalité (p < 0,0001) dont le quotient annuel est passé de 22,21 p. 100 à 10,92 p. 100 et de 25,06 p. 100 à 13,15 p. 100, respectivement chez les caprins et les ovins. L’adoption de ce plan de prophylaxie devrait être encouragée en vue de maîtriser les fortes mortalités qui ravagent actuellement les élevages des petits ruminants du Nord-Cameroun. Son intérêt économique est évident et le serait probablement davantage si les performances de reproduction et de croissance étaient prises en compte.
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Njongmeta, N. L., V. N. Tanya und A. Keng. „Enquête sur les sérotypes de Pasteurella multocida dans les zones de savane du Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, Nr. 3-4 (01.03.2001): 187. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9770.

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Une étude a été menée sur l’occurrence des sérotypes de Pasteurella multocida dans trois grandes zones d’élevage bovin du Cameroun. Au total, 362 échantillons de sérum bovin ont été collectés dans les provinces de l’Extrême-Nord, de l’Adamaoua et du Nord-Ouest, et testés afin de détecter la présence d’anticorps vis-à-vis de cinq sérotypes de P. multocida (A5, A7, B1, B6 et E6) par le test d’hémagglutination. Le sérotype B6 a été présent dans toutes les régions, avec la fréquence la plus élevée (84,4 p. 100) dans la région de Mora et la plus faible (43,6 p. 100) dans celle de Meiganga. Les autres sérotypes ont aussi été présents mais à des niveaux différents. Les résultats montrent la nécessité d’incorporer le sérotype B6 dans le vaccin contre la septicémie hémorragique actuellement utilisé au Cameroun.
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Ngambia Funkeu, R., V. S. Pandey, P. Dorny und S. Killanga. „Etude épidémiologique des nématodes gastro-intestinaux chez les ovins en milieux urbain et périurbain à Maroua, Extrême Nord du Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, Nr. 1 (01.01.2000): 17. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9760.

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Une étude épidémiologique a été réalisée sur les nématodes gastro-intestinaux des ovins en milieux urbain et périurbain à Maroua dans la province de l'Extrême Nord du Cameroun où le climat est de type soudano-sahélien avec une saison des pluies et une longue saison sèche. Quatre systèmes d'élevage ont été identifiés et 111 ovins répartis dans 21 troupeaux ont été suivis sur le plan coprologique et hématologique tous les mois, de novembre 1996 à octobre 1997. Les résultats ont montré la présence des larves infestantes (L3) de cinq genres ou espèces de nématodes : Haemonchus, Cooperia, Oesophagostomum, Trichostrongylus et Strongyloides papillosus. La saison et le type d'élevage ont eu une influence significative (P < 0,05) sur l'excrétion d'oeufs par gramme de matières fécales (opg). En saison de pluies, les opg ont augmenté dans tous les types d'élevage mais à des degrés plus élevés dans les élevages d'ovins conduits au pâturage en périphérie de la ville et dans ceux d'ovins en claustration permanente. L'hématocrite a été corrélé négativement avec les opg et a diminué significativement en saison de pluies. Des schémas prophylactiques ont été proposés en fonction des systèmes d'élevage et de la saisonnalité du parasitisme.
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Sawadogo, Gerrmain J., A. Abouna, H. Hamadama und A. Maikano. „Principaux minéraux, protéines totales et leurs fractions dans le sérum du zébu Choa du Cameroun septentrional“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, Nr. 4 (01.04.1991): 459–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9153.

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Les concentrations sériques des minéraux (Na, K, Ca, P) et celles des protéines totales et leurs fractions ont été mesurées chez 112 zébus Choa de la station zootechnique de Louguéré, à 115 km de Garoua, dans la province du Nord Cameroun. Les animaux étaient âgés d'un jour à plus de 2 ans et comprenaient des jeunes non sevrés, des jeunes sevrés et des animaux adultes. La natrémie et la kaliémie sont significativement plus basses chez les adultes. En revanche, la calcémie est significativement plus élevée chez les adultes et la valeur la plus basse est observée chez les jeunes sevrés. La phosphatémie n'est pas significativement différente dans les trois groupes. Les concentrations sériques de protéines totales et leurs fractions ne sont pas significativement différentes d'un groupe à l'autre, hormis les alpha-globulines qui sont plus élevées (P < 0,05) chez les jeunes sevrés.
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Logténé, Y. Mopaté, M. O. Koussou und C. Y. Kaboré-Zoungrana. „L'élevage porcin au Tchad: Bilan de l'introduction, de l'amélioration et de la diffusion des races exotiques“. Animal Genetic Resources Information 38 (April 2006): 87–98. http://dx.doi.org/10.1017/s101423390000208x.

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RésuméLe porc local d'origine ibérique a été introduit au Tchad en 1918, par des missionnaires en provenance du Cameroun. Ensuite en 1951, le porc limousin originaire de France fut importé par le service de l'élevage afin d'améliorer le format et le rendement du porc local. Après quatre années d'essais, ce programme a été abandonné au Nord, essentiellement pour des raisons religieuses. En revanche, dans la partie sud majoritairement non musulmane, la diffusion a enregistré un succès relatif jusqu'en 1958. Par la suite, des géniteurs de la race Yorkshire et Berkshire furent importés du Moyen Congo. Quelques élevages “semi-industriels”, installés dans les années 1950 et aux mains des expatriés, ont adopté ces races et ont contribué à l'exportation de viande dans la sous-région de l'Afrique Equatoriale française (AEF). Les traditions d'élevage des populations locales, l'appui des services agricoles et des sociétés de développement (Paysannats et Communautés villageoises) de la région ont contribué au succès relatif de cette diffusion. En outre, l'absence des relevés zootechniques précis, n'a pas permis d'apprécier les performances de ces races et des métis. L'alimentation, le gardiennage défectueux et le manque de déboucher pour la production paysanne ont été des obstacles majeurs au développement et à la vulgarisation de l'élevage porcin en milieu paysan.
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Njoya, Aboubakar, N. D. Awa und D. Bouchet. „Influence de la complémentation et de la prophylaxie sur la viabilité des ovins Foulbé au Nord-Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, Nr. 3 (01.03.1997): 227–33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9575.

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Quatre lots de 60 agnelles âgées de 3 à 5 mois (lot CP : complémentation, vaccination contre la peste des petits ruminants, vermifugation et déparasitage externe; lot C : complémentation sans prophylaxie ni traitement; lot P : prophylaxie et traitement sans complémentation; lot T : témoin) ont été constitués en avril 1993 en vue d'étudier l'effet de la complémentation alimentaire et des traitements sanitaires sur leur viabilité. La complémentation consistait en 200 g de tourteau de coton par tête et par jour et un complément minéral sous forme de pierre à lécher. Les traitements sanitaires consistaient en deux déparasitages internes en début et en fin des pluies et un déparasitage externe chaque fois que l'on notait la présence des tiques sur les agnelles. Les animaux ont fait l'objet d'un suivi clinique et de notation d'état corporel sur une année. Le jetage, les boiteries et les diarrhées ont représenté les principaux signes cliniques observés (respectivement 50,9, 15,2 et 13,0 %). Les quotients annuels de mortalité ont été de 16,7, 37,3, 31,7 et 52,5 % respectivement pour les lots CP, C, P et T. La complémentation et la prophylaxie ont permis une réduction très sensible de la mortalité (p < 0,05). La mortalité a considérablement augmenté avec le retour des pluies. Les infestations par des parasites gastro-intestinaux et la sous-alimentation ont été les principaux facteurs favorisant la mortalité. Cette stratégie de complémentation protéique et de prophylaxie peut être encouragée pour réduire les fortes mortalités, principal facteur limitant lé productivité des élevages ovins au Nord-Cameroun.
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Mamoudou, A., A. Zoli, P. Van den Bossche, V. Delespaux, D. Cuisance und S. Geerts. „Half a Century of Tsetse and Animal Trypanosomosis Control on the Adamawa Plateau in Cameroon“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 62, Nr. 1 (01.01.2009): 33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31190.

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L’invasion des glossines sur le plateau de l’Adamaoua se situe dans les années 1950 et a entrainé une mortalité élevée des bovins à cause de la trypanosomose et des émigrations massives des éleveurs de la zone infestée. Trois espèces de mouches tsé-tsé ont été relevées : Glossina morsitans submorsitans, G. fuscipes fuscipes et G. tachinoides. Entre 1960 et 1975, le Gouvernement camerounais a organisé des campagnes de traitement aux trypanocides de masse du bétail. Des activités de lutte contre les glossines ont ensuite été initiées. Entre 1976 et 1994, plusieurs campagnes régulières de pulvérisation aérienne ont été réalisées aboutissant à l’assainissement de 3 200 000 hectares de pâturage. Malheureusement des réinvasions ponctuelles de la mouche tsé-tsé dans la zone assainie n’ont pas pu être évitées. Afin de prévenir la réinvasion des glossines à partir de la plaine de Koutine (au niveau du plateau de l’Adamaoua), des barrières constituées de pièges et d’écrans ont été créées. Cependant des feux de brousse ont détruit la plupart des piètes et de écrans peu après leur mise en place en 1994. Ils ont alors été remplacés par un programme de traitements insecticides du bétail. Des enquêtes transversales et longitudinales parasitologiques et entomologiques en 2004 et 2005 ont montré que la barrière constituée de bétail traité aux insecticides avait réussi à maintenir le plateau relativement indemne de glossines. L’incidence de la trypanosomose enregistrée chez le bétail du plateau variait entre 0 et 2,1 p. 100. Cependant une prévalence élevée inquiétante de résistance aux produits trypanocides a été rapportée récemment dans le département du Faro et Déo. Dans le cadre de la campagne panafricaine d’éradication des mouches tsétsé et des trypanosomoses (Pattec), le Cameroun est actuellement en train de préparer un projet commun avec le Tchad, la République d’Afrique centrale et le Nigeria pour éradiquer les mouches tsé-tsé et les trypanosomoses.
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Kouamo, Justin, Iliassou Iliassou, Souley Hayatou, Victor Ngu Ngwa und Camille Teitsa Zangue. „Efficacité d’un traitement intravaginal à base de progestérone chez des vaches croisées Bos indicus x Bos taurus “. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, Nr. 4 (25.11.2020): 263–68. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31947.

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L’étude a eu pour objectif d’évaluer l’efficacité d’un traitement combiné à base de progestérone intravaginale sur l’induction de l’oestrus de femelles croisées au Cameroun. Un total de 116 vaches Goudali (Bos indicus) x Charolaises (Bos taurus) ayant mis bas au moins une fois, sans antécédent pathologique, avec une note d’état corporel supérieure à 2, ont été sélectionnées dans des élevages du département de la Vina (arrondissement de Nyambaka). Elles ont été rassemblées dans un ranch et réparties en lots de 10 animaux. Le protocole d’induction et de synchronisation des chaleurs a consisté en la pose d’un dispositif intravaginal à base de progestérone (Prid Delta) pendant huit à neuf jours. Vingt-quatre heures avant son retrait, une injection de cinq millilitres de prostaglandine F2alpha (Dinoprost, Enzaprost) a été administrée. Au moment du retrait, 500 UI de gonadotropine chorionique équine ont été injectées. Cinquante-six heures après le retrait, l’insémination a été effectuée à heure fixe avec de la semence de taureaux Gyr et Brahman. Les taux d’induction de l’oestrus et de synchronisation, de rétention du dispositif intravaginal, de gravidité en première insémination, de fécondité, et d’avortement ont été respectivement de 100 %, 100 %, 56,0 %, 51,7 %, et 4,3 % (en % des vaches traitées). Le Prid Delta s’est révélé efficace pour l’induction des chaleurs et l’obtention de gravidités chez les vaches Goudali x Charolaises.
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Ajeagah, Gideon A., Ellénita Ngoko Kamguep, Moïse Nola, Samuel Foto Menbohan und Thomas Njine. „Isolement et mise en évidence des oocystes de Cyclospora cayetanensis dans un hydrosystème polysaprobe en zone équatoriale, Afrique Centrale“. Revue des sciences de l’eau 27, Nr. 2 (13.06.2014): 115–24. http://dx.doi.org/10.7202/1025562ar.

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Peu de données sont disponibles sur la distribution des Apicomplexa parasites du tube digestif de l’homme. Ils causent pourtant des maladies diarrhéiques de très grande envergure. Une étude menée de janvier à août 2011, dans le cours d’eau Olézoa à Yaoundé (Cameroun), a visé à rechercher et caractériser les oocystes de Cyclospora cayetanensis. Les échantillonnages ont été effectués en amont et en aval du cours d’eau, sur deux stations localisées en zone fortement anthropisées. L’identification des oocystes de C. cayetanensis isolés à l’aide de l’observation directe après coloration au Lugol et selon la technique de Ziehl-Neelsen, a montré qu’ils sont constitués de deux sporocystes contenant chacun deux sporozoïtes. La dynamique d’abondance de ce microorganisme est significativement corrélée à la turbidité, à la température et au pH de l’eau (p < 0,01). Par ailleurs, les formes non sporulées sont plus abondantes que les formes sporulées dans l’environnement et sont fortement corrélées aux teneurs en oxygène dissous qui est un paramètre très important pour leur sporogénèse. En amont du cours d’eau, l’abondance la plus élevée de C. cayetanensis a été de 407 oocystes•L-1 et la valeur enregistrées en aval été de 250 oocystes•L-1. La population de C. cayetanensis observée a été largement dominée par les formes non sporulées de taille 8 µm. La concentration des oocystes la plus élevée en utilisant la technique directe et celle de Ziehl-Neelsen a été enregistrée respectivement au cours des mois de juin et juillet; ces périodes se situent respectivement à la fin de la petite saison des pluies et au début de la saison sèche.
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Mebanga, A. Sassa, L. Salman Beloko und Abdoulmoumini Mamoudou. „Prévalence et facteurs de risque de la fièvre aphteuse dans le marché à bétail de Garoua-Boulai et dans la zone de transhumance du Lom et Djerem à l’Est du Cameroun“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, Nr. 8 (09.12.2020): 2799–806. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i8.12.

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La fièvre aphteuse (FA) est une maladie transfrontalière qui affecte les ongulés domestiques et sauvages. Elle joue un rôle très important en économie du fait de sa morbidité élevée et de sa restriction du commerce international. En vue de déterminer la prévalence de la FA bovine et les facteurs de risque de transmission de la maladie au marché à bétail de Garoua-Boulaï et dans la zone de transhumance du département du Lom et Djerem à l’Est-Cameroun, une étude rétrospective et transversale a été menée de juin à décembre 2018. Au marché à bétail, l’étude a porté sur l’observation des signes cliniques caractéristiques sur des animaux suspects. Ainsi, 58 bovins atteints de FA ont été identifiés parmi les 614 bovins suspects, soit une prévalence clinique globale de 9,44% (IC95% : 7,13% - 11,76%). Les facteurs internes tels que le sexe n’ont pas influencé la prévalence de la FA. Dans la zone de transhumance, la prévalence rapportée au niveau individuel était de 26,77%. Tous les éleveurs connaissent la FA et ont cité plus de 3 signes cliniques caractéristiques de la maladie. Le fait de considérer la FA comme une maladie mineure, la faible connaissance des sources, des réservoirs et du mode de contamination du virus aphteux par toute la chaine de valeur bovine, expliquent l’endémicité de la maladie dans ces zones.Mots clés : Prévalence, facteurs de risque, fièvre aphteuse bovine, Garoua-Boulai, Lom et Djerem.
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Kamga, P., J. N. Mbanya, N. R. Awah, Y. Mbohou, Y. Manjeli, A. Nguemdjom, B. Kamba Pamela et al. „Effets de la saison de vêlage et de quelques paramètres zootechniques sur la production laitière dans les hauts plateaux de l’ouest du Cameroun“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, Nr. 1 (01.01.2001): 55. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9807.

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Des données sur 275 lactations collectées entre 1981 et 1991 ont été analysées. Le but de ce projet a été d’étudier l’effet de la saison de vêlage, de quelques paramètres zootechniques, de l’intervalle entre vêlages des races Holstein et Jersiaise et de leurs croisements avec le zébu Goudali et le zébu Peul blanc (White Fulani) sur la production laitière dans les hauts plateaux de l’ouest du Cameroun. Les résultats suivants ont été obtenus : - la production laitière des races pures Holstein (n = 73) et Jersiaise (n = 32), sans être comparable à celle de leur pays d’origine, a été significativement supérieure à celle des autres types génétiques étudiés, la Holstein ayant été plus performante que la Jersiaise (2 508 ± 105 l en 291 ± 10 jours, contre 1 818 ± 137 l en 251 ± 13 jours) ; - en croisement de première génération avec le zébu local, la Holstein (n = 52) a produit significativement plus de lait que la Jersiaise (n = 57). La Holstein x le zébu Goudali a produit plus de lait que la Jersiaise x le zébu Peul blanc (1 940 ± 109 l en 270 ± 10 jours, contre 1 550 ± 106 l en 257 ± 10 jours). La production laitière des races croisées trois quarts Jersiaises (n = 61) a été plus élevée (1 774 ± 117 en 250 ± 11 jours) ; - l’année et le numéro de lactation ont influencé significativement la production laitière et la durée de lactation, alors que la saison de vêlage n’a pas eu d’effet significatif sur ces deux paramètres. L’analyse financière et les recherches sur la composition du lait devraient se poursuivre pour des recommandations plus concrètes.
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Mamoudou, A., A. Zoli, C. Tanenbe, J. P. Andrikaye, Mr Bourdanne, Tanguy Marcotty, V. Delespaux, Peter-Henning Clausen und S. Geerts. „Evaluation sur le terrain et sur souris de la résistance des trypanosomes des bovins du plateau de l’Adamaoua au Cameroun à l’acéturate de diminazène et au chlorure d’isométamidium“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 59, Nr. 1-4 (01.01.2006): 11. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9948.

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Suite à une enquête dans quelques villages du département de Faro et Déo, le village de Kontcha, qui a présenté la prévalence de la trypanosomose la plus élevée (32,5 p. 100), a été sélectionné afin d’évaluer la résistance des trypanosomes au diminazène et à l’isométamidium. Deux lots de 40 bovins ont été traités au jour 0, l’un au diminazène, l’autre à l’isométamidium. Le statut parasitologique de ces deux lots a été évalué toutes les deux semaines en utilisant la technique du buffy coat pendant une période de deux mois. Chaque animal diagnostiqué positif a été traité au diminazène. Le pourcentage d’animaux infectés par des trypanosomes a été de 32,5 p. 100 dans le lot traité au diminazène et de 27,5 p. 100 dans le lot traité à l’isométamidium. L’analyse de survie ainsi que l’estimation du risque relatif (1,38) ont suggéré une résistance à l’isométamidium et une diminution de l’activité prophylactique de ce produit. Plusieurs animaux traités au diminazène à 7 mg/kg ont été diagnostiqués positifs deux semaines après le traitement, ce qui indiquait également une forte suspicion de résistance à ce trypanocide. Ces résultats du terrain ont été confirmés par le test standardisé sur souris en utilisant six isolats de Trypanosoma congolense provenant des animaux traités. Ces isolats ont été testés au chlorure d’isométamidium (1 mg/kg) et à l’acéturate de diminazène (20 mg/kg) pour établir leur sensibilité. Tous les isolats ont été résistants à au moins un des produits testés, tandis que quatre isolats ont été résistants aux deux produits. Cette étude montre pour la première fois la présence au Cameroun de souches de trypanosomes résistantes aux trypanocides.
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Ngoula, F., F. Meutchieye, A. Kenfack, H. F. Defang, J. Awah-Ndukum, Z. Manfouo und J. Tchoumboué. „Performances zootechniques de Tryonomys Swinderianus en captivité en zone d"altitude“. Archivos de Zootecnia 58, Nr. 223 (01.10.2007): 441–49. http://dx.doi.org/10.21071/az.v58i223.5185.

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Dans le but de contribuer à l"amélioration des performances de reproduction des aulacodes (Tryonomys swinderianus) en captivité, une étude a été menée en 2004 à la station de diffusion des aulacodes du CIPCRE1 à Bafoussam (ouest-Cameroun). Un total de 53 mises bas (37 en première et 16 en seconde) a été suivi pour les performances de reproduction. Les principaux résultats ont été les suivants : la durée de gestation a été de 158 ± 6 jours. La taille de la portée, de 4,44 ± 1,41 petits en moyenne, a été plus élevée à la seconde mise-bas. Le taux de mortinatalité, de près de 7 % à la première, était significativement plus élevé (11%) à la seconde mise-bas. Le nombre de petits nés vivants par portée (4,12 ± 1,68) est resté relativement inchangé pour les deux mise-bas. Le sex-ratio, de 0,92/1 à la première, a été plus élevé à la seconde mise-bas (1,06/1). Le taux de mortalité post natal (30%) a baissée avec le numéro de mise-bas, variant inversement au poids à la mise en reproduction des femelles. Le poids à la naissance et au sevrage (138 ± 21 et 633 ± 84 g respectivement) ont été plus élevé à la seconde mise bas, le taux de sevrage étant de 97%. Les principales causes de morbidité et de mortalité ont été: les affections respiratoires, gastro-intestinales et les accidents, dont 70% des mortalités totales. Les maladies liées à l"alimentation ont été plus fréquentes chez les mâles que chez les femelles. Par contre, les reproductrices mouraient pratiquement deux fois plus que les reproducteurs.
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Nguemté, Pulchérie Matsodoum, Guy Valérie Djumyom Wafo, Pierre François Djocgoue, Ives Magloire Kengne Noumsi und Adrien Wanko Ngnien. „Phytoremédiation de sols pollués par les hydrocarbures – évaluation des potentialités de six espèces végétales tropicales“. Revue des sciences de l’eau 30, Nr. 1 (08.06.2017): 13–19. http://dx.doi.org/10.7202/1040058ar.

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Les écoulements et les transferts de matières à travers les sols et sous-sols sont des processus qui impactent les ressources en eau. Ainsi, la restauration des milieux dégradés participe à la préservation de la qualité de la ressource. Afin de contribuer à la décontamination des sols pollués par phytoremédiation - technique de dépollution basée sur l’action des plantes en association avec les micro-organismes du sol - des inventaires floristiques de sites potentiellement pollués et non pollués (témoins) par les hydrocarbures ont été réalisés dans quatre villes du Cameroun. Sur la base d'indicateurs floristiques, six espèces ont été sélectionnées, et leurs capacités phytoremédiatrices testées dans un sol pollué par du fioul à 82,5 mL∙kg‑1 de sol pendant 150 jours en présence de trois modalités : Tn - sols non pollués plantés (6), To - sols pollués non plantés (3) et Tp - sols pollués plantés (18). La biodiversité des sites pollués (106 espèces, 76 genres et 30 familles) est moins élevée que celle des témoins (166 espèces, 125 genres et 50 familles). Les espèces les plus fréquentes (Fri &gt; 10 %) et abondantes (7 % &lt; A &lt; 10 %) sur les sites potentiellement pollués sont dominées par 15 espèces tropicales; parmi lesquelles, Eleusine indica (L.) Gaertn., Cynodon dactylon (L.) Pers., Alternanthera sessilis (L.) R. Br. ex DC†, Commelinpa benghalensis L., Cleome ciliata Schum. et Thonn., et Asystasia gangetica (L.) T. Anderson, sont utilisées dans des essais de phytoremédiation des sols contaminés au fioul domestique. Seules trois de ces espèces, notamment E. indica, C. dactylon et A. sessilis ont pu survivre et se développer. Contrairement à A. sessilis, E. indica et C. dactylon ne présentent pas de différence significative pour les paramètres de croissance considérés entre les modalités Tn et Tp. Les espèces E. indica et C. dactylon seraient donc plus tolérantes au fioul domestique que l’espèce A. sessilis.
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Tedonkeng Pamo, E., F. Tendonkeng, J. R. Kana, P. K. Loyem, E. Tchapga und F. K. Fotie. „Effet de différents niveaux de supplémentation avec Leucaena leucocephala sur la croissance pondérale de la chèvre Naine de Guinée“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, Nr. 1-2 (01.01.2004): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9898.

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La valeur nutritive et l’effet de trois niveaux de supplémentation avec Leucaena leucocephala sur l’évolution pondérale et l’efficacité d’utilisation digestive des matières azotées totales (MAT) ont été évaluées chez la chèvre Naine de Guinée à l’université de Dschang dans l’Ouest Cameroun. Vingt-quatre chèvres réparties en quatre lots de six animaux âgés d’environ deux ans et pesant en moyenne 9,9 ± 2,1 kg ont été utilisées. Les animaux des lots supplémentés ont reçu 390 g (lot 2), 780 g (lot 3) et 1 170 g (lot 4) de feuilles fraîches de L. leucocephala, correspondant respectivement à 7,1 g, 14,2 g et 21,3 g de MAT par animal et par jour, alors que ceux du lot témoin (lot 1) n’ont reçu aucun supplément. Les pesées ont été réalisées tous les 14 jours pour l’évaluation de la croissance pondérale. Les échantillons de L. leucocephala et de Trypsacum laxum distribués aux animaux en cage de digestibilité, et les fèces prélevées de ces animaux ont été utilisés pour la détermination de l’efficacité d’utilisation digestive de la MAT. Les résultats ont montré que L. leucocephala avait une teneur élevée en nutriments. Les poids moyens des animaux des lots 2 et 3 ont été statistiquement comparables (P > 0,05) et significativement supérieurs (P < 0,05) à ceux des animaux des lots 1 et 4. Les gains moyens quotidiens des animaux des lots 1, 2, 3 et 4 ont été respectivement de 18 g, 46,7 g, 48,6 g et 10,5 g. Le coefficient de digestibilité apparente de la matière sèche a été de 68,8 ± 2,2 p. 100, 70,7 ± 1,6 p. 100 et 72,2 ± 1,1 p. 100, celui de la MAT de 79,2 ± 1,3 p. 100, 72,7 ± 2,4 p. 100 et 72,1 ± 3,1 p. 100, respectivement pour les animaux ayant reçu 390 g/j, 780 g/j et 1 170 g/j de feuilles fraîches de L. leucocephala. Enfin, 390 g de feuilles fraîches, soit 157,6 g de matière sèche de L. leucocephala, ont semblé être la quantité optimale à inclure dans la ration de la chèvre Naine de Guinée sans risque d’effet adverse.
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Georges, Tagang, Rwenge Mburano Jean-Robert und Agogue Dimitri Steve. „Facteurs Explicatifs de la Fécondité des Femmes en union dans les Régions Septentrionales du Cameroun“. European Scientific Journal ESJ 17, Nr. 6 (28.02.2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n6p150.

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A en croire les données des recensements, parmi les dix régions du Cameroun, celles septentrionales y représentent seules 34,4 % de sa population et ceci est dû au fait que la fécondité demeure très élevée dans ces régions. La présente étude s’est alors fixée comme objectif de chercher les déterminants de ce phénomène dans ces régions et de caractériser les femmes qui, toutes choses égales par ailleurs, y sont les plus concernées par le problème de forte fécondité. Pour atteindre ces objectifs, les données de l’Enquête Démographique et de Santé (EDS) réalisée au Cameroun en 2011 ont été utilisées. Leurs analyses ont été effectuées en recourant aux méthodes d’analyse de la variance, au niveau bivarié, et aux modèles de régression linéaire, au niveau multivarié explicatif. La valeur sociale de l’enfant étant élevée dans les milieux étudiés, il est ressorti des résultats de l’étude que la fécondité n’y varie pas significativement dans les ethnies autochtones et, contrairement à l’attente, elle est davantage élevée dans celles étrangères. Il en est aussi ressorti que la fécondité désirée est négativement associée aux religions chrétiennes, au degré élevé de modernité culturelle, au niveau de vie élevé, à l’exercice des activités dans le secteur moderne de l’économie et aux rapports égalitaires de genre, dans les régions où la relation entre chacun de ces facteurs et ce phénomène s’est avérée significative. En revanche, dans le cas de la fécondité effective, les effets inattendus de ces facteurs ont été davantage observés. Quant aux comportements de nuptialité, à savoir l’entrée tardive en union et les ruptures d’unions, ils ont tous été très négativement associés à la fécondité effective dans les milieux étudiés. En conclusion, la remise en question des valeurs sociales favorables à une forte fécondité est en cours dans ces milieux sous les effets des facteurs socioéconomiques mais elle devrait être renforcée par des actions de sensibilisation sur les conséquences néfastes d’une forte fécondité et accompagnée par celles d’amélioration de l’offre de Planification Familiale.
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Maïworé, Justine, Martin-Paul Baane, Daouda Youssouf, Jean Bole und Felicien Yvelin Nympeye Nango. „Portage Digestif des Bêta-Lactamases à Spectre Élargi Chez Quelques Patients de l’hôpital de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale de Maroua (Cameroun)“. European Scientific Journal ESJ 17, Nr. 10 (31.03.2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n10p107.

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La prise d’antibiotiques mal conservés et le non-respect de leur posologie et diverses contaminations peuvent être à l’origine de la résistance bactérienne. L’objectif de cette étude est d’évaluer le portage digestif des bêtalactamases à spectre élargi chez les patients de l’hôpital de la CNPS (Caisse Nationale de Prévoyance Sociale) de Maroua au Cameroun. Les bactéries du tube digestif ont été cultivées sur gélose Müller Hinton contenant des disques de céphalosporine de 3ème génération (céftriaxone) et incubés à 37°C pendant 18 à 24 heures. Les bactéries résistantes ont ensuite été retenues, caractérisées et identifiées par utilisation des galeries API 20E. Les souches productrices de bêta-lactamases à spectre élargi ont ensuite été détectées par la technique de double synergie. Les résultats ont révélé que parmi les patients reçus, la tranche d’âge de 20-30 ans était la plus représentée et 93% des patients avaient déjà pris des antibiotiques. Les bactéries telles que : Erwingella americana, Pantoea ssp, Serratia fumitica; Providenécia stuartii, Salmonella spp, Kluyvera spp, Cedecea spp, Klebsiella ozaenae, Vibrio cholerae et Pseudomonas spp ont été identifiées. Une forte résistance des souches identifiées a été observée vis-à-vis des antibiotiques suivants : l’amoxicilline (88,22%), le céftriaxone (88,22%), l’amoxicilline/acide clavulanique (82,35%), le céftaxidime (76,47%) et le céfotaxime (70,59%). Dans l’ensemble, la prévalence des Bêta-lactamases à spectre élargi est très élevée parmi les malades fréquentant l’hôpital de la CNPS de Maroua (Cameroun).
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Biwolé, Achille Bernard, Dakis-Yaoba Ouédraogo, Jean Lagarde Betti, Nicolas Picard, Vivien Rossi, Sébastien Delion, Paul Lagoute, Sylvie Gourlet-Fleury, Philippe Lejeune und Jean-Louis Doucet. „Dynamique des populations d'azobé, Lophira alata Banks ex C. F. Gaertn., et implications pour sa gestion durable au Cameroun“. BOIS & FORETS DES TROPIQUES 342 (30.10.2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.342.a31670.

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L'impact de l'exploitation forestière sur le renouvellement du stock de bois d'œuvre reste largement méconnu en Afrique centrale du fait du manque de données sur la dynamique des populations d’arbres exploités. C’est en particulier le cas pour l’azobé, Lophira alata, un bois d’œuvre de grande valeur commerciale. L'objectif de cette étude était double : quantifier l'effet du type forestier et de l’exploitation sur la croissance de l’azobé et simuler l'évolution du stock exploitable et du taux de reconstitution après exploitation. Nous avons effectué pendant trois ans un suivi annuel de la croissance et de la mortalité dans trois types forestiers au Cameroun : en forêt sempervirente, en forêt mixte et en forêt semi-caducifoliée. Le recrutement a été étudié uniquement en forêt mixte, sous deux conditions : en milieu exploité et non exploité. Nous avons calibré, avec ces données, un modèle matriciel de Usher. Douze scénarios d’exploitation ont été simulés en faisant varier le diamètre minimum d’exploitation de 60, 70 et 80 cm, et l’intensité de prélèvement des arbres de 100, 80, 60 et 40 %. La croissance de l’azobé est influencée à la fois par le type forestier et l'exploitation. Les arbres de forêt sempervirente ont une croissance plus faible jusqu’à 50 cm de diamètre, alors que la croissance maximale prédite pour ce type forestier est la plus élevée. L'exploitation a par ailleurs stimulé la croissance. Enfin, l’exploitation de l'azobé ne respecte pas le principe du rendement soutenu : ses taux de croissance à long terme varient entre 0,54 et 0,83. Pour garantir la durabilité de son exploitation au Cameroun, une sylviculture dynamisant la croissance des futurs arbres exploitables, ainsi que leur régénération, s’avère indispensable.
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