Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Homme souverain“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Homme souverain"

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Diouf, Ibrahima. "Lucumon et Mansa Waly: deux hommes un destin." Heródoto: Revista do Grupo de Estudos e Pesquisas sobre a Antiguidade Clássica e suas Conexões Afro-asiáticas 3, no. 2 (2019): 176–93. http://dx.doi.org/10.31669/herodoto.v3n2.15.

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Lucumon avait quitté Tarquinies pour Rome afin d’accéder au pouvoir royaltout comme l’exil de Mansa Waly avait commencé au Gabou jusqu’en milieusérère où l’attendait un trône. Lucumon fut le premier roi d’origine étrangèreà régner à Rome où il installa la dynastie étrusque au pouvoir de même queMansa Waly, premier souverain étranger, avait introduit la royauté en milieusérère où régna la dynastie des Gelwaar.L’un comme l’autre ont pu s’imposer, chacun dans son milieu, grâce à unestratégie savamment calculée. En plus des bonnes relations avec les populationslocales, chacun des deux rois avait réussi à organiser des mariages entresa famille et les autochtones afin de renforcer son pouvoir.
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Houdaille, Jacques. "La mortalité des souverains et des hommes d'état de l'antiquité à nos jours." Population (French Edition) 45, no. 2 (1990): 421. http://dx.doi.org/10.2307/1533380.

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Souriac, Pierre-Jean. "Les chemins de l’intransigeance radicalité catholique et engagement politique à Toulouse lors des guerres de religion." Moreana 43 (Number 166-, no. 2-3 (2006): 82–114. http://dx.doi.org/10.3366/more.2006.43.2-3.8.

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Résumé Toulouse est connue dans l’histoire des guerres de Religion pour son catholicisme militant qui lui fit choisir la violence antiprotestante et les options ligueuses les plus enflammées. Exemple d’une ville confrontée à l’émergence de l’altérité confessionnelle au siècle des Réformes, elle vit se développer en son sein un milieu catholique pour lequel la seule voie de salut passait par l’exclusivisme confessionnel, au prix d’une guerre civile et d’une menace de chaos. C’est ce milieu, de son affirmation à sa prise de contrôle de la cité, qu’il s’agit ici d’appréhender. Hommes du roi, bourgeoisie marchande, artisans ou petit peuple, toute une partie de la societé toulousaine imposa à l’ensemble de la ville une destinée de citadelle catholique dans une province traversée de frontières confessionnelles. Alliant le choix religieux aux pratiques politiques d’autodéfense propre aux bonnes villes de la France du temps, ces hommes donnèrent à Toulouse une identité partisane dans laquelle elle chercha à apaiser les tensions nées de la division religieuse. Des débats sur l’unité civique à l’opposition résolue au souverain qu’était Henri IV, se révèle l’histoire d’une radicalité politique légitimée par les ambitions de sainteté revendiquées par ces méridionaux en armes.
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EYENGA ONANA, Pierre Suzanne. "DEVOIR DE MÉMOIRE ET ETHIQUE DE L’ÊTRE-ENSEMBLE DANS SOUVERAINE MAGNIFIQUE D’EUGÈNE EBODÉ ET MÂ DE GASTON PAUL EFFA." FRANCISOLA 2, no. 1 (2017): 21. http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v2i1.7524.

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RÉSUMÉ. Un décryptage de l’imaginaire de Gaston Paul Effa et d’Eugène Ebodé révèle leurs œuvres comme la métaphore de la cruauté gratuite contre laquelle bute l’homme moderne. Ces œuvres procèdent à l’exorcisation des malheurs de la jeune fille dont le passé se trouve empuanti à cause des idées nihilistes. Dès lors, les deux romanciers ne s’imposent-ils pas un devoir de mémoire qui participe de leur volonté à susciter un homme neuf dans la cité nouvelle qu’ils dessinent à grands traits ? En s’adossant à la sociocritique d’Edmond Cros, dans une dynamique comparatiste, la présente contribution scrute les chemins de l’errance arpentés par des personnages hantés jusque dans leur mémoire. Il s’agit alors de postuler l’éthique de l’être-ensemble comme baromètre de la vie bonne, dans la perspective de voir éclore un monde alternatif mû par les vertus opérantes telles que la paix et la fraternité humaniste. Mots-clés : comparatisme, devoir, éthique, homme africain, mémoire, sociocritique.ABSTRACT. A deciphering of the imagination of Gaston Paul Effa and Eugène Ebodé reveals their works as the metaphor of gratuitous cruelty against modern man. These works proceed to exorcise the misfortunes of the girl whose past is emptied because of nihilistic ideas. Henceforth, the two novelists did not impose a duty of memory which participated in their will to arouse a new man in the new city that they outline in broad strokes by taking advantage of the sociocriticism of Edmond Cros, In a comparative dynamics, this contribution examines the paths of wandering surveyed by characters haunted even in their memory. It is then a question of postulating the ethics of being-together as a barometer of good life, with the prospect of seeing the emergence of an alternative world driven by operative virtues such as peace and humanistic brotherhood.Keywords : african man, comparatism, duty, ethics, memory, sociocriticism.
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Pistarino, Geo. "Tra la «Mappa per i Sette Mari» ed il «Libro della Marina.» di Piri Reis." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (2020): 297. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1151.

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Saisissant l'occasion de la publication des deux premiers volumes du Kitabi Bahriye, (Livre de la marine) de Piri Reis, le grand homme de la mer, géographe et cartographe turc, qui vécut à cheval sur le 15eme et 16eme siècle, Geo Pistarino trace une biographie sommaire de l’auteur. Il analyse sa carte du 1513 et en donne la tradition éditoriale. Il insiste sur l’importance qu'elle a eu pour l'histoire des découvertes géographiques et tout particulièrement pour celles de Christophe Colomb, et souligne quelques problèmes encore en discussion de nos jours. La carte de la partie du Nouveau Monde, tracée par Piri Reis, dérive, indirectement, de celle dessinée par Colomb en 1498, durant son troisième voyage, qu'il avait lui-même envoyée aux Souverains d'Espagne, et que fut à la base des successifs «Voyages Andalous». Dans le Kitab, rédigé en 1521 et en 1525-26 en ce que concerne sa deuxième version, Piri informe le lecteur sur le continent qu'il appelle «Antilles»; il affirme que Gênes est la patrie de Christophe Colomb et fait allusion à la situation politique de Gênes à son époque.
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Lapointe, Mélissa. "Henri III, prince dévot?" Rhetorica 33, no. 3 (2015): 305–16. http://dx.doi.org/10.1525/rh.2015.33.3.305.

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Depuis quelques années, les études sur Henri III tentent de rétablir l'image du dernier Valois. On oublie souvent que Henri III a tenté de redorer le blason de la France, notamment par le mécénat des arts, des sciences et des lettres. Mais malgré des efforts soutenus pour rétablir la paix, Henri le «bien disant», dont l'éloquence est remarquée autant par ses contemporains que par ses adversaires, est pourtant incapable de réconcilier les parties et de rassembler ses sujets sous son autorité. Cette étude aborde les stratégies éthiques et pathétiques dans les lettres de Henri III jusqu'en 1582 où il vit une véritable crise intérieure qui se traduit par une conversion religieuse et un goût prononcé pour la dévotion. Qu'elles soient diplomatiques ou destinées à des familiers, les lettres du dernier Valois manifestent dorénavant son repentir et son besoin de pénitence. Homme de contrastes, pour ne pas dire de contradictions, Henri III épistolier présente au monde l'image de l'autorité souveraine aussi bien que celle du prince dévot. Les lettres du roi révèlent un épistolier conscient de l'importance de présenter l'image d'une autorité royale préoccupée par le bien-être de son peuple et soucieux de calmer les dissensions religieuses au sein de son royaume.
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Campangne, Hervé-Thomas. "« Si je ne suis pas sans reproches, du moins suis-je sans peur »: la passion dévorante de Pierre de Boscosel de Chastelard." Renaissance and Reformation 38, no. 3 (2015): 103–18. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v38i3.26150.

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Descendant du chevalier Bayard, Pierre de Boscosel de Chastelard faisait partie de la compagnie de gentilshommes qui accompagnèrent Marie Stuart en Écosse après la mort de François II. Épris de la reine, il se cacha sous son lit en espérant peut-être séduire sa bien-aimée ; la souveraine lui pardonna cette audace, mais le jeune homme ne put s’empêcher d’oser une seconde tentative. Surpris par une servante de Marie, l’amant éperdu fut livré aux tribunaux et décapité. À partir des récits de John Knox et de Brantôme, je propose d’étudier les enjeux et les modalités de la représentation des passions dans les œuvres que les historiens, les romanciers, et les peintres ont consacrées à la tragique destinée de Chastelard. Métamorphosé en personnage de fiction historique, le gentilhomme amoureux joue un rôle important dans l’intrigue de La Princesse de Clèves ; son histoire fit aussi l’objet d’une étonnante supercherie littéraire : William Henry Ireland publie en 1808 ses Effusions of Love from Chatelar to the queen of Scotland, ensemble de fragments et de poèmes soi-disant composés par le jeune homme peu avant son exécution. Dans les Crimes célèbres d’Alexandre Dumas, puis dans Chastelard: a Tragedy de Charles Swinburne, le chevalier infortuné se métamorphose en personnage Shakespearien atteint d’une mélancolie qui risque de l’entraîner « dans la folie ou dans la tombe ».
 This paper focuses on the life of Pierre de Boscosel de Chastelard, a French gentleman and aspiring poet who was beheaded on the order of Mary Stuart after he entered the queen’s appartments without permission. I have studied various historical accounts (notably those of John Knox and Pierre de Brantôme), that provide very different versions of the events that led to Chastelard’s execution: he is sometimes presented as a spy in the service of the French crown, sometimes as a paramour whose presence at court had become too inconveniencing for the queen of Scots. From these historical accounts, I follow Boscosel’s transformation into a fictional character in Madame de Lafayette’s La Princesse de Clèves (1678), William Henry Ireland’s forged Effusions of love from Chatelard to Mary, queen of Scots (1808), and Swinburne’s Chastelard, a tragedy (1866). My goal is to unveil and analyze the nationalistic and political motivations that underlie successive historical and fictional accounts of the French court poet’s life and death.
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Zivojinovic, Mirjana. "Les Dragas et le mont Athos." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 43 (2006): 41–57. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0643041z.

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(francuski) L'auteur de ce travail consid?re les rapports des Dragas avec certains monast?res athonites: Saint-Pant?l??m?n, Chilandar, Iviron, Kutlumus et Vatop?di. En l'occurrence, on sait qu'outre la confirmation d'anciens privil?ges fonciers, ils ont octroy? de nouveaux droits ? ces ?tablissements ? travers la donation de nombre de villages et d'?glises sis sur le territoire de leur Etat, tr?s agrandi apr?s la bataille de la Maritsa (26 septembre 1371), et, le cas ?ch?ant, ont r?solu les litiges fonciers les opposant entre eux. Cette activit? est attest?e par plusieurs documents d?livr?s ? ces monast?res, dont les indications chronologiques subsistant sur les originaux endommag?s ne sont pas toujours fiables, alors qu'elles font totalement d?faut sur les copies. L'auteur estime que Chilandar et Saint Pant?l??m?n sont les premiers monast?res athonites ? avoir sollicit? l'intervention des nouveaux ma?tres de la r?gion de la Strumica, tout d'abord pour r?soudre un litige concernant le village de Breznica, qui opposait ces deux ?tablissements depuis approximativement 1364. On sait que ce village est vraisemblablement ?chu au monast?re russe un peu apr?s juin 1374. A cette ?poque, d'apr?s des copies conserv?es, les fr?res Dragas ? le despote Jovan et gospodin Konstantin ? ont offert ? Saint-Pant?l??m?n une dizaine de villages sis dans la r?gion de la Strumica, dont la majorit? existent encore aujourd'hui, ainsi qu'un ou deux hameaux; la donation de ces villages incluait celle de neuf ?glises patrimoniales, auxquelles ils ont ?galement ajout? une ?glise situ?e ? Strumica et deux respectivement ? P?trie et dans les environs de cette ville. Pour sa part, le gospodin Konstantin semble avoir rattach? ? Saint-Pant?l??m?n jusqu'? 18 villages, 3 hameaux et 6 ?glises sis dans la r?gion de Tikves. En fait, nous poss?dons uniquement une seule copie faisant ?tat de la donation ? cet ?tablissement de l'?glise Saint-Georges sise ? Polosko avec les villages de Polosko, Kosane et Dragozelj. Cependant cette donation pourrait justement ?tre mise en doute compte tenu que nous savons que l'empereur Dusan a rattach? cette ?glise avec les trois villages mentionn?s au monast?re de Chilandar en f?vrier 1340. L'auteur attire toutefois l'attention sur le fait que l'?glise Saint-Georges avec ces villages, dans ce cas, se serait retrouv? comme une possession isol?e de Chilandar, entour?e de possessions de Saint-Pant?l??m?n de sorte qu'il n'exclut non plus la possibilit? qu'il soit question d'une donn?e digne de foi. Par cons?quent, une solution serait que Chilandar s'est peut-?tre vu d?dommag?e la perte de ces villages et de cette ?glise sis ? Polosko par la cession de villages sis dans une autre r?gion. Finalement, Konstantin a ?galement offert au monast?re athonite russe deux autres ?glises ? une sise ? Stip et la seconde ? Zletovo avec les droits leur appartenant. Les litiges apparus entre les moines de Chilandar et ceux de Saint-Pant?l??m?n au sujet de leur possessions limitrophes, sises sur la rive droite de la Strumica ont ?t? r?solus, sur ordre du gospodin Konstantin et du conseil de ses seigneurs par les ?v?ques de Strumica et de Vodoca en 1375/76. Puis, vers 1376/77, les fr?res Dragas avec leur m?re, l'imp?ratrice Evdokija, ont confirm? ? Saint-Pant?l??m?n la possession de villages sur la seule rive droite de la Strumica, ce faisant leur acte consigne de fa?on pr?cise les droits de ces villages tr?s probablement aux fins de pr?venir tout nouveau litige avec les voisins de ces biens dans la jouissance de ceux-ci. Les donations des fr?res Dragas en faveur de Chilandar s'av?rent ?galement tr?s nombreuses. Par un acte dat? du 1er juin 1377 le despote Jovan et le gospodin Konstantin ont confirm? ? Chilandar la possession durable et inali?nable de l'?glise Saint-Biaise ? Stip et de trois villages sis dans les environs de cette ville. Ensuite, vers 1379 ou en 1380/81, l'imp?ratrice Evdokija et le gospodin Konstantin ont donn? ? Chilandar leur ?glise patrimoniale d?di?e ? la Vierge sise au lieu dit Arhiljevica et 19 villages avec leurs droits; au printemps 1380, Konstantin, ? la demande des moines de Chilandar, a rattach? ? leur monast?re quelques villages sis dans la r?gion de Vranje; une seconde importante possession de Chilandar sise ? Lesnovo, en l'occurrence l'?glise du Saint-Archange (Michel), a ?t? restitu?e par Konstantin ? ce monast?re le 15 ao?t 1381, ? la demande de ses moines et par l'interm?diaire du milosnik vo?vode Dmitar. L'?glise du Saint-Archange a ?t? remise avec 10 villages, 5 hameaux, 4 villages abandonn?s, ainsi qu'avec tous leurs droits dans la r?gion de Lesnovo, de Bregalnica et de Stip; parall?lement, Konstantin a confirm? ? l'?glise du Saint-Archange une donation de Dusan, en l'occurrence un revenu annuel de 100 hyperpres provenant du march? de Zletovo. Enfin vraisemblablement vers la fin de la neuvi?me d?cennie du XIV?me si?cle satisfaisant une requ?te du vo?vode Dmitar alors entr?e en religion Konstantin a rattach? ? Chilandar trois autres villages sis dans les environs de Stip. En plus des villages offerts par les fr?res Dragas ou par Konstantin seul, les monast?res se sont vu attribuer tous les imp?ts et corv?es rattach?s ? ces biens. Pour tout ce qu'il a fait pour leur monast?re les moines de Chilandar reconnaissants ont rang? gospodin Konstantin au nombres des fondateurs de leur ?tablissement. Les fr?res Dragas ?taient en relation avec le monast?re d'Iviron par le biais de son m?toque d?di? ? la Vierge El?oussa, situ? non loin de Strumica, auquel ils ont c?d? (le 13 janvier 1380) deux importants privil?ges, exemptant pour toujours ses hommes de l'obligation de la bigla (bigliatikori) et de la moisson de froment (zetva zitna) ? corv?es au profit de l'Etat, dont les souverains serbes exemptent d'habitude les habitants des villages appartenant ? des monast?res. Une donn?e (juin 1393) nous apprenant que le gospodin Konstantin ?tait un bienfaiteur de Kutlumus appara?t toute ? fait digne de foi; ce seigneur y est mentionn? comme son 'protecteur et fondateur'. Toutefois, nous ne poss?dons aucune information sur les donations, assur?ment importantes pour justifier ces titres honorifiques, faites par Kontantin ? cet ?tablissement. A la diff?rence des actes par lesquels les Dragas ont proc?d? ? des donations ? Saint-Pant?l??m?n, Chilandar et Iviron, et qui, par leur formulation, sont tr?s proches des actes imp?riaux, ce qui pourrait attester qu'ils sont issus de la chancellerie de souverains ind?pendants, l'acte par lequel Konstantin a confirm? ? Vatop?di, en octobre 1393, le monast?re de la Sainte-Vierge Pantanassa sis ? Melnik, petit ?tablissement gravement d?labr?, montre clairement que le donateur a une position de vassal par rapport au sultan ottoman, qu'il mentionne comme. Pour cette raison l'auteur en conclut que le despote Jovan, jusqu'? son entr?e en religion un peu apr?s 1377, et le gospodin Konstantin, vraisemblablement jusqu'? la bataille de Kosovo (13 juin 1389) ont prot?g? les int?r?ts des moines hagiorites, ? ce qu'il semble en qualit? de souverains ind?pendants satisfaisant ? leur requ?tes. Si le gospodin Konstantin s'est trouv? dans quelque position d?pendante par rapport au sultan ottoman, il est toutefois certain que celle-ci n'atteignait pas le degr? que sugg?re notre acte d'octobre 1393. .
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Repertório, Teatro &. Dança. "DU ROYAUME D'ABOMEY VERS LES RIVES DES AMERIQUES: APERÇU DES MEMOIRES CULTURELLES DE TROIS SIECLES DE CONTACTS [Cossi Zéphirin Daavo]." REPERTÓRIO, no. 15 (July 7, 2010): 187. http://dx.doi.org/10.9771/r.v0i15.5224.

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<div>Pour satisfaire leurs ambitions de grandeur, les rois d’Abomey, du fondateur Houégbadja au dernier souverain Agoli-Agbo, ont étendu leur terriroir le plus loin que possible. Pour y parvenir, ils ont dû mené de fréquentes guerres au cour desquelles leurs soldats ramenaient des nombreux prisonniers. Une bonne partie de ces hommes, femmes et enfants capturés dans les villages et les hameaux des peuples mahi, nago et autres, ont été vendus comme esclaves aux négriers européens qui les vendront à leur tour au-delà des mers où ils seront condamnés aux travaux les plus durs. De même, un mécanisme des plus répressifs était mis en place par les maîtres pour amener ces esclaves à oublier leurs origines et leurs cultures. Mais cette entreprise d’aliénation culturelle a eu un impact limité sur les victimes qui ont su astucieusement conservé une bonne partie des héritages religieux et artistiques d’Afrique. La traite négrière a complètement cessé à la fi n du XIXème siècle, suite à ladestruction de la royauté d’Abomey par le colonisateur français. Mais les souvenirs sont encore présents aussi bien en Afrique que dans les amériques car, les descendants des paisibles villageois qui ont été capturés et vendus s’en souviennent, de la même manière que les arrières petits-fi ls des esclaves vendus dans les Amériques. Chez ces derniers, les pratiques culturelles actuelles portent toujours les marques des origines africaines. Ainsi, le devoir de mémoire est une nécessité pour les divers acteurs du sytème esclavagiste. Mais celui-ci devrait se muer en devoir de solidarité car, devenus des égaux, tous sont confrontés aux problèmes du monde contemporain qu’ils ne pourront surmonter qu’à travers un partenariat basé sur des actions concrètes.</div><div><br /></div><div><div><br />To satisfy their ambitions of grandeur, the kings of Abomey, through the founder Houégbadja the last ruler Agoli-Agbo, have extended their lands as far as possible. To achieve this, they had led to frequent wars in which their soldiers brought back many prisoners. Much of these men, women and children captured in the villages and hamlets, peoples Mahi, Nago, and others were sold as slaves to European slave traders who in turn sell them beyond the seas. Similarly, one of the most repressive mechanism was set up by the masters to bring the slaves to forget their origins and cultures. But this business of cultural alienation has had a limited impact on victims who have cleverly preserved a lot of religious and artistic heritage of Africa. The slave trade has completely ceased in the late nineteenth century, following the destruction of the kingdom of Abomey by the colonial French. But the memories are still present both in Africa and the Americas as the descendants of the peaceful villagers who were caught and sold recall, in the same manner as their great grand-sons sold as slaves sold in the Americas. Among these, the current cultural practices are always marks the african origins. Thus, the duty of memory is a necessity for the various actors of the slavery system. But it should be transformed into solidarity duty because of their becoming equal, make all of them face problems of the contemporary world that they can overcome only through a partnership based on concrete actions.</div></div>
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Guille-Escuret, Georges. "Cannibalisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.119.

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Le terme cannibalisme, issu de la découverte par Christophe Colomb des Canibs antillais (les Caraïbes), cristallise la réunion de deux phobies millénaires au sein de la civilisation occidentale : d’une part, le refus politique par la Grèce antique de l’allélophagie (se manger les uns les autres), incompatible avec la cité au même titre que la société féminine des Amazones, et, d’autre part, la répulsion mystique que l’anthropophagie inspire au monothéisme, par la rémanence trouble d’un caractère sacré de la chair humaine. Dès lors, la notion unit deux « bestialités » en une dépréciation ultime de l’exotisme que, malgré un essai rebelle et lumineux de Montaigne, la science de l’homme subira en pensant a priori le cannibalisme sous forme de crime contre l’humanisme, à travers trois phases : l’accusation, tant que l’ethnologie s’associe au colonialisme, puis le silence, après la Première Guerre mondiale, et enfin la disculpation, voire une dénégation « faute de preuves », depuis le dernier quart du XXe siècle. Cela posé, au-delà du défi permanent lancé à une sérénité scientifique que l’anthropologie se devrait d’acquérir face à tout objet de réflexion, le thème du cannibalisme contient une multitude de questions d’autant plus intéressantes qu’elles sont demeurées en friche pendant que « le reste de l’ethnologie » affinait son élaboration. Toutes les sociétés pensent spontanément l’hypothèse d’un cannibalisme, ne serait-ce que pour en commenter l’indécence : par exemple, en tant qu’inceste alimentaire (Polynésie, Micronésie). Certaines ont pratiqué une anthropophagie médicale non cannibale, en ce sens que le traitement des organes destinés à une absorption n’entretient aucun rapport avec l’identité de leur porteur (Europe, Chine), ou bien que le prélèvement partiel sur un parent n’implique pas sa mort (Chine). Il arrive, cependant, que l’existence d’une sorcellerie utilisant régulièrement le corps humain s’étende par moments à une fébrilité guerrière (Afrique centrale et occidentale), intégrant ainsi un constat général : la pratique culturellement assumée du cannibalisme « clignote » le plus souvent sur la planète comme un phénomène inconstant, ou selon le mot de Claude Lévi-Strauss, « labile ». Plus précisément, le sentiment d’une fréquence à long terme dans de grandes aires (Mélanésie, Amazonie), ou certains types d’environnements (la forêt tropicale en tête), voile une instabilité de la pratique chez les peuples. Les exceptions éventuelles correspondent non à des modes de vie présumés « sauvages » ou « primitifs », mais à des peuples marqués au contraire par des hiérarchies instituées : en Amazonie et en Amérique centrale, la consommation de l’ennemi imprégna si nettement certaines cosmogonies (Tupi-Guaranis, Caraïbes, Nahuas) qu’elle s’y fixa sur une longue durée. Le rapport prédateur/proie y était ressenti à travers une circularité où les groupes échangent continuellement les rôles : l’affirmation de la parité chez les guerriers s’accorde à la stratification sociale, dans un schéma analogue à la conjonction du chevaleresque et de l'aristocratique chez les Occidentaux. Les Bataks de Sumatra, dont l’anthropophagie fut signalée sur sept siècles, constituent un cas limite différent : punitive, elle s’applique aussi bien aux membres de la communauté (cannibalisme dit « juridique ») qu'aux ennemis. Autre point remarquable : si l'on considère les grandes zones culturelles de la planète, l'exocannibalisme (c'est-à-dire, la consommation alimentaire de l'ennemi) ne couvre jamais, fut-ce provisoirement, la totalité de l'espace habité, loin s'en faut. D'une part, il existe toujours des groupes qui la rejettent parmi des voisins qui s'y adonnent. D'autre part, on trouve régulièrement la présence de deux usages assortis : l'endocannibalisme funéraire sur le corps du parent défunt, voire spécialisé sur les os (Amazonie), et la chasse aux têtes où le trophée se rapporte systématiquement à un seuil décisif du cycle vital (naissance, mariage, cérémonie agraire de fécondité). Les trois orientations surgissent dans les mêmes régions, mais s'assemblent rarement. La conjonction sur la chair humaine des anthropophagies guerrière et funéraire émerge ponctuellement en Amazonie et en Nouvelle-Guinée, où elle singularise une population par rapport aux autres. L'incompatibilité se révèle, certes, moins tranchée entre exocannibalisme et chasse aux têtes (Océanie), d'autant que le rituel d'adoption sur le trophée prévoit habituellement une absorption infime à un instant déterminé de son déroulement. Cela dit, chaque fois que ces deux opérations se combinent, la prépondérance de l'une d'elles s'affirme clairement aux dépens de l'autre. Enfin, entre endocannibalisme et chasse aux têtes, aucun compromis n'affleure. Sous le foisonnement des enregistrements d'une « prédation » à l'encontre du congénère, les interprétations globales ont confirmé le contrecoup d'une hantise idéologique par un antagonisme grossier des positions défendues : un matérialisme ultra-rudimentaire soutient la cause nutritive, malgré d'innombrables objections, en miroir d'aperçus psychologiques qui se contentaient jadis de rétorquer un désir de vengeance, ou de s'approprier la force de l'ennemi, et qui, aujourd'hui, défendent les impératifs de la faculté symbolique. Chacune de ces tendances persiste uniquement en exploitant les insuffisances de la vision adverse, ce qui masque une inaptitude à décrypter la logique des rapports sociaux inférés. Une troisième attitude souligne depuis le XVIIIe siècle la difficulté de protéger la rationalité devant l'aversion : le déni du fait, suivi d'une disculpation « faute de preuves », au nom de la malveillance des témoins (colons, soldats, etc.), opération qui élude la pertinence de « l'acte d'accusation » occidental. Là encore, cette vision rencontre un négatif : le panachage débridé de tous les cas enregistrés, y compris des anecdotes « modernes », en vue de ramener le problème à une pulsion abjecte. L'analogie entre un acte individuel d'anthropophagie dans une société qui la maudit et une coutume exotique est évidemment aussi absurde qu'odieuse. Pourtant, sur un mode moins spectaculaire, des récurrences sociologiques existent. Elles sont particulièrement prononcées dans des sociétés guerrières mais acéphales, qui reposent sur une économie horticole, forestière (Amazonie, Afrique, Asie du Sud-Est) ou insulaire (Océanie). Sous couvert d'une loi du talion d'où ressort un statut d'égalité jusque dans la relation prédateur/proie, et qui réclame que tout meurtre et toute consommation soit compensée, le cannibalisme habite les combats et participe souvent à une limitation de leurs dévastations en dissuadant les vainqueurs de pousser leur avantage. Des paix ont ainsi été conclues par le cadeau d'un membre du groupe avantagé aux adversaires pénalisés par l'affrontement (Nouvelles-Hébrides) : le repas consécutif scelle la fin des hostilités. Il arrive, cependant, que le cannibalisme se débride : il témoigne alors d'une crise grave et les Européens ont rarement compris que leur arrivée « tambour battant » avait décuplé par divers biais les violences auxquelles ils assistaient. La bestialité alimentaire qui les scandalisait, dans laquelle ils devinaient une pré-histoire, était en réalité toujours imprégnée par une lourde crise historique. En contraste, il s'avère plus aisé de cerner la prohibition intransigeante de l'anthropophagie guerrière qui s'étend continuellement en tache d'huile. D'abord, parmi les sociétés centrées sur le traitement d'un bétail, la domestication des animaux entraînant peu à peu une modification parallèle des rapports entre les hommes, à commencer par les étrangers, en y insinuant la perspective d'un assujettissement durable. L'ennemi quitte la scène de la chasse et les proies se transforment en troupeau. Chez les cannibales, le scénario majoritaire place le captif devant une alternative : être assimilé physiquement (repas), ou socialement (adoption). Chez les éleveurs, le choix tend à disparaître, et une gradation de l'asservissement semble s'y substituer. À un autre étage, l'interdit alimentaire se cristallise sous l'autorité centralisée de sociétés étatiques qui revendiquent une supériorité politique et culturelle, en dénigrant l'infériorité des modes de vie différents : en Europe et en Orient, mais aussi chez les Incas, ou à Hawaï, le refus de l'anthropophagie se soude à la sensation d'un rôle souverain qui rejette un principe de contigüité essentielle entre les peuples. En somme, il existe une multitude de motifs susceptibles de valider la consommation du congénère, alors qu'il n’y en a qu’un pour asseoir durablement la proscription de cette pratique : la domination. Un préjugé occidental tenace discerne une humiliation indubitable dans le fait de se repaître du combattant terrassé ou capturé, alors que, justement, elle n'effleure pas la plupart des cannibales. Montaigne a superbement démenti l'intuition et conclut par cette formule : « il est tué, non pas vaincu ». Inversement, celui qui se proclame civilisé, tout en accablant et opprimant « pour leur bien » les arriérés, primitifs ou barbares, ne tolère pas l'idée de les manger : ne subodore-t-il pas dans cette fusion un dédit de ses prétentions à rompre avec un passé qui perdure en l'autre? Pour leur part, lorsque les Fidjiens souhaitaient insulter la mémoire d'un homme singulièrement détesté, ils laissaient sa dépouille sur place après l'avoir terrassé, signifiant par là qu'ils ne daigneraient pas s'en nourrir.
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Dissertationen zum Thema "Homme souverain"

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Aly, Mohamed Aly Rania. "Stratégies d'écriture du mémorialiste homme de pouvoir : l'exemple des Mémoires de Nubar Pacha et des Mémoires d'un souverain par Abbas Hilmi II, Khédive d'Égypte (1892 - 1914)." Thesis, Lyon 2, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO20017/document.

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Loin de la scène politique, Abbas II en exil, Nubar en retraite, chacun enregistre ses Mémoires pour offrir à la postérité leur précieux témoignage, en français non seulement sur leur vie publique mais aussi sur l’Égypte des vice-rois et sur les faits de leurs temps. Nubar, ce pacha d’origine arménienne qui a servi tous les vice-rois de l’Égypte depuis Mohamed Ali jusqu’à Abbas II, insiste dans ses Mémoires sur les projets qu’il a le plus défendus et les défis qu’il a relevés au fil des années : la réforme de la justice, la défense des droits du fellah, son refus du projet du canal de Suez, ainsi que son opposition aux caprices de Saïd et surtout à ceux d’Ismaïl qui ont conduit progressivement l’Égypte à la faillite.Abbas II se défend dans ses Mémoires devant l’Histoire et surtout contre les accusations de son rival Cromer, le consul général britannique, publiées dans Modern Egypt et dans Abbas II. Le Khédive met en avant la lutte nationaliste qu’il a menée aux niveaux politique, éducatif, culturel, entre autres, afin de faire face à l’occupation anglaise. Il explique l’évolution de sa relation avec les généraux britanniques de la politique de rupture sous Cromer à celle de l’entente qui a commencé en 1907 après l’incident de Denchaway (1906).Cette forme d’écriture de soi se distingue de ses formes voisines (le journal, l’autobiographie, le récit de voyage) par son identité mixte (historique, juridique, politique et esthétique). Cela explique la variété des stratégies suivies par le pacha et le Khédive dans leurs Mémoires : stratégie de dénégation, de disqualification de l’adversaire, de l’interprétation, de prudence, etc. Nous étudions ces deux textes en insistant sur le côté littéraire des Mémoires, qui est d’habitude marginalisé au profit de leur dimension historique.Les Mémoires constituent une arme de l’homme politique qui lui permettent de bénéficier d’une grande liberté grâce à leur identité mixte. Le mémorialiste homme de pouvoir multiplie les stratégies d’écriture pour prouver sa crédibilité. Il se défend et fait de son ouvrage un monument capable de traverser les siècles aussi bien par sa valeur historique qu’esthétique. Malgré le débat sur la subjectivité du mémorialiste et sa relation avec l’écriture de l’Histoire, la valeur historique des Mémoires est indéniable. Au terme de notre travail, nous revendiquons l’insertion des Mémoires dans l’enseignement : un moyen parmi d’autres pour tirer ce patrimoine précieux de l’oubli et lui octroyer la place qu’il mérite dans la mémoire collective<br>Away from the political scene, Abbas II in exile, Nubar retired, each one has written his Memoirs to offer to the posterity their precious testimony in french, not only about their public life but also about Egypt’s vice-kings and about their time.Nubar, this pacha of armenian origin, and who served all the vice-kings of Egypt since Mohamed Ali to Abbas II, insists in his Memoirs on the projects which he defended the most and his won challenges over the years: the justice reform, the defense of the fellah’s rights, the rejection of the canal of Suez project, his opposition to the whims of Saïd and especially those of Ismaïl which have led Egypt to the bankruptcy.Abbas II defends himself in front of the history, especially against his rival’s charges: Cromer, the general British consul published in Modern Egypt and in Abbas II. The Khedive highlighted his nationalist struggle that he led in several fields: political, educational, cultural fields in order to face the British occupation. He explains the evolution of his relation with the British generals from the discord policy under Cromer leadership to the agreement that began in 1907 after the Denchaway incident (1906).This form of personnal writing differs from its related forms (the diaries, the autobiography, the travel novels) by its mixed identity (historical, legal, political and aesthetic). This explains the variety of the strategies followed by the pacha and the Khedive in their memoirs: strategie of denial, of disqualification of the opponent, of the interpretation, of the caution, etc. We study these texts focussing on the lirerary side which is usually marginalized in the benefit of their historical side.The Memoirs are weapons of the politician which give him free style due to their hybrid identity. The political memoirist multiplies his writing strategies to prove his credibility. He defends himself and makes his book a monument able to cross the centuries by both historical and aesthetic value. Despite the debate about the subjectivity of the memoirist and its relationship with writing the history, the historical value of Memoirs is undeniable. At the end of our study, we reclam to insert the Memoirs in the education programs: a way among others to save this precious heritage from oblivion and give it its rightful place in the collective memory
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Bernal, Cécile. "Dans le secret du roi : hommes et espaces confidentiels en Égypte ancienne, des origines à la fin du Nouvel Empire." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040211.

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Cette étude porte sur la notion de « secret » dans le cadre spécifique de la royauté en Égypte ancienne, ses modalités, ses formes et ses implications structurelles, entre le début de l'Ancien Empire et la fin du Nouvel Empire. Une recherche linguistique des termes égyptiens se traduisant par « secret » et « privé » ainsi que leurs synonymes  les plus usités étant (s)StA, waaw, Dsrw, jmn et HAp  complétée par une étude prosopographique a permis de déterminer quelles catégories d'individus avaient accès aux « secrets » et aux affaires privées de la royauté et dans quelles situations la préservation de ces « secrets » était exigée. Ce privilège se discerne alors au travers des services effectués auprès du monarque, que ce soit l’accomplissement de certains rites ou une affaire qui requiert simplement de la discrétion. Les titres et épithètes mentionnant un ou plusieurs de ces termes à connotation confidentielle, et notamment ceux qui sont introduits par Hry-sStA « le préposé aux secrets », témoignent du rôle de leurs titulaires auprès du roi, son culte et sa politique. Certains individus avaient également accès aux parties les plus secrètes du palais, que ce soit pour une consultation privée concernant une affaire d'État ou l'accomplissement de rites spécifiques associés à la personne royale. Chacune de ces situations révèle la volonté des dignitaires proches du souverain de préserver le caractère sacré de la fonction royale. L'étude de ces espaces confidentiels permettent ainsi de mieux comprendre l'organisation de la vie ritualisée du souverain afin d'obtenir une meilleure perception du fonctionnement du pouvoir dans l'Égypte ancienne<br>This study deals with the concept of « secret », in the specific context of kingship in Ancient Egypt, focusing on its requirements, its forms and its structural implications, from the beginning of the Old Kingdom until the end of the New Kingdom. A linguistic research on the Egyptian terms translating as « secret » and « private » and their synonyms  (s)StA, waaw, Dsrw, jmn et HAp being the most common , which is complemented by a prosopographic study, enabled us to pinpoint the different categories of individuals who had access to the « secrets » and private affairs of the Egyptian kingship and what conditions were required to maintain secrecy. Then this privilege must have implied a real participation in the personal tasks performed for the king, whether these were rituals or affairs calling for discretion. The officials’ titles involving secrecy and knowledge of specific private rules, in particular the Hry-sStA title « he who is in charge of secrets », indicate the field of responsabilities and of activities of their holders in the king's entourage, in the king’s cult and in state administration. Some individuals could access to the restricted areas of the royal apartments, for a private consultation related to state affairs or in order to perform rites or ceremonies associated with the king. Each of these situations displays the determination of these officials, close to the king, to preserve the sanctity of the royal office. Studying these areas of confidentiality allows a better understanding of the pharaoh’s personal and ritualized life, in order to improve our perception of the functioning of royal power in Ancient Egypt
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Lavoie, Vincent. "La foi en l’obscur : le sacré sale et le mysticisme du jeu chez Georges Bataille." Thesis, 2020. http://hdl.handle.net/1866/25078.

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C’est durant la première moitié du vingtième siècle, c’est en étant contemporain des deux guerres mondiales, dans une France qui se sécularise, que Georges Bataille (1897 – 1962) construit une pensée – profondément nietzschéenne – scandaleuse. Conceptuellement, le corps n’est pas seulement au centre des préoccupations de Bataille, il se pense maintenant dans sa réalité outrancière : l’érotisme, l’ivresse et la souillure. On assiste à une sacralisation des débauches de toutes sortes. Et c’est ainsi que s’opère la singularité philosophique de Bataille puisque ce qui est sacré ne loge plus, selon lui, dans un sublime céleste, dans une divinité ou, en d’autres mots, dans les hauteurs, mais bien dans son exact contraire, c’est-à-dire dans le bas, dans l’excès, dans l’érotisme et dans le sale. Devant cette inversion de l’ordre du monde, ce qui est sacré, c’est la profanation même. C’est pourquoi, à partir de Mary Douglas, j’ai pu relier deux idées qui paraissent contraires : la souillure et le sacré. Ainsi, étant donné que Bataille est aussi écrivain (Sade fut l’une de ses influences majeures), j’ai pu inclure des récits de l’auteur qui illustrent parfaitement ces deux antinomies. C’est d’ailleurs l’un des traits les plus fondamentaux de son œuvre que j’ai aussi soulevé : toute l’œuvre de Bataille est paradoxale et antinomique. C’est justement à partir de ce même constat que j’aborde la question du mysticisme chez Bataille. Mais comme avec la question du sacré, la conception du mysticisme implique une critique implicite du christianisme (opposition du ciel contre la terre, par exemple). Nécessairement, c’est l’instant et son hasard – l’absence de but – qui ouvrent la voie à l’expérience, alors que l’écriture communique son essence tout en la rendant davantage intelligible. De là provient justement, par le caractère arbitraire de l’expérience, l’idée de chance que Bataille établit en diapason avec Nietzsche. À ce sujet, Nietzsche devient très présent dans le mysticisme bataillien, pensons à la figure du surhumain qu’on peut associer à celle de l’homme souverain ou encore à la volonté de puissance qu’on peut relier à celle de la volonté de chance. Dès lors, Bataille met de l’avant une mystique du jeu, celle-ci étant une mise en jeu radicale de soi-même d’où émerge la chance que Bataille évoque et qui n’est rien d’autre que la possibilité de l’expérience même. Somme toute, force est de constater que la fragilisation mentale et physique du mysticisme bataillien cache également un sacrifice de soi au nom de la jouissance, certes, mais aussi au nom du texte.<br>It was in the first half of contemporary 20th century when France was well secularized that Georges Bataille (1897 - 1962) constructed a scandalous - deeply Nietzschean - thought. The body is then conceptually not only at the center of Bataille's preoccupations, it now thinks of itself through its scandalous reality: eroticism, exhilarating and dirty. We are witnessing a sacralization of debauchery of all kinds and this is how Bataille's philosophical singularity operates. Indeed, a sacred thing does not exist in the sublime sky, in any deity or, in other words, in the heights, but in its exact opposite wich his the low, the excess, the eroticism and the dirty. This inversion in the order of the world is the desecration itself. This is why, with Mary Douglas, I was able to link two ideas that seemed contradictory to me: the dirty and the sacred. Knowing that Bataille is also a writer (Sade is a major influence), I can include a few stories to perfectly illustrate these two opposites. This is one of the most fundamental characteristics of the work I have mentioned: all of Bataille's works are paradoxical and antinomic. It is precisely from this same observation that I approach the question of mysticism in Bataille works. With the question of the sacred, the conception of mysticism involves an implicit critique of Christianity (opposition of sky and earth, for example). It is the instant and its hazard - the absence of purpose - that opens necessarily the way to experience as writing communicates its essence while making it more intelligible. From there precisely, Bataille developed the idea of chance in agreement with Nietzsche. Nietzsche becomes at the same time very present in the conception of the mysticism of Bataille. We can just think about the figure of the superhuman that we can associate with the sovereign man or even the will of power that we can compare to the will of chance. From then on, Bataille puts forward a mystic game, by placing himself in this radical game, from which the luck evoked by Bataille can emerge and which is nothing else than the possibility of experience itself. Finally, it is clear that the mental and physical fragility that are triggered in Bataille mystical experience also hide a form of self-sacrifice in the name of enjoyment but also in the name of the text.
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Bücher zum Thema "Homme souverain"

1

Valeureuse Pologne: Ses souverains, ses hommes d'état et ses personnalités remarquables. Atlantica, 2005.

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2

Bergeron, Alain M. L'attaque des hommes ailés. Éditions M. Quintin, 2012.

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3

Paul, John. Lettre encyclique, Sollicitudo rei socialis, du souverain pontife Jean-Paul II aux évêques, aux prêtres, aux familles religieuses, aux fils et filles de l'Eglise et à tous les hommes de bonne volonté à l'occasion du vingtième anniversaire de l'encyclique Populorum progressio. Editions Saint Paul Afrique, 1988.

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4

1920-2005, Jean-Paul II pape, ed. La question sociale: Lettre encyclique Sollicitudo rei socialis du Souverain Pontife Jean-Paul II aux évêques, aux prêtres, aux familles religieuses, aux fils et aux filles de l'Église et à tous les hommes de bonne volonté à l'occasion du vingtième anniversaire de l'encyclique Populorum progressio. Éditions Paulines, 1988.

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5

Dieter, Zeller, ed. Menschwerdung Gottes-- Vergöttlichung von Menschen. Universitätsverlag, 1988.

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6

Anne, Commire, and Klezmer Deborah, eds. Historic world leaders. Gale Research Inc., 1994.

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