Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Latin (langue) – Linguistique“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Latin (langue) – Linguistique"

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Lusignan, Serge. „Le français et le latin aux XIIIe-XIVe siècles : pratique des langues et pensée linguistique“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, Nr. 4 (August 1987): 955–67. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283427.

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Il n'est plus à démontrer que le domaine linguistique fut, dans tous les sens du terme, l'un de ceux où se manifesta magistralement la fécondité de la culture médiévale. Lorsqu'on arrive à cette période où les historiens choisissent habituellement de clore le Moyen Age, les langues vernaculaires occidentales ont atteint un niveau avancé de développement. Outre le fait qu'elles occupent presque tout le champ de la communication orale, la plupart ont déjà accédé à l'écrit et ont fourni à l'histoire leurs premiers grands monuments littéraires. Elles ont aussi envahi les champs scripturaires de l'administration publique et, parfois, se sont essayées à l'expession du savoir. Des langues vernaculaires commencent à étendre leur domination qui les fera occulter lentement certaines autres. En même temps, ces langues servent dans quelques cas de ferment de définition d'États-nations en train de naître, et de façon générale de symbole d'appartenance à une collectivité plus large que la ville ou le pagus. Non moins créatrice fut la performance du latin médiéval. Langue de poésie à certaines époques privilégiées, ce latin se forme comme un instrument remarquable de l'expression savante et religieuse. Bien longtemps encore, il demeurera la langue de l'École et de l'Église. Bref, à la fin du Moyen Age, la civilisation occidentale a déjà acquis bon nombre de traits de sa physionomie linguistique
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Čop, Bojan. „A Pavao Tekavčič pour ses soixante ans“. Linguistica 31, Nr. 1 (01.12.1991): 7–8. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.31.1.7-8.

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Il y a soixante ans que Pavao Tekavčić est né. De mère croate et de père slovène, il a fait toute sa scolarité à Zagreb, sa ville natale, avant d'étudier les langues romanes (français et italien) a l'Université de Zagreb. Après avoir brillamment terminé ces études en 1954, il y a ajouté celles des langues classiques, latin et grec. Assistant d'italien dans cette même Université à partir de 1957, il a fait des recherches lingui­ stiques en Istrie dont le fruit immédiat fut sa thèse de doctorat sur le parler de Vodnjan/Dignano, soutenue sous la direction de Mirko Deanović en 1963, et qui signale déjà une direction importante de ses intérêts linguistiques: la romanité en Istrie et la situation ancienne et actuelle de l'istroroman, c'est-à-dire de l'ancienne couche du latin en Istrie. Professeur de langue italienne à la Faculté des Lettres de l'Université de Zagreb entre 1965 et 1980, il a décidé, pour des raisons d'ordre strictement personnel, de quitter son Université et de passer à Ia Faculté pédagogique de Pola (Université de Rijeka), où il peut être considéré comme le vrai fondateur des études de linguistique italienne. Malheureusement, Ia détérioration de son état de santé l'a obligé de se retirer et de cesser, en 1983, sa fructueuse activité pédagogique.
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Cottier, Jean-François. „Le latin comme outil de grammatisation des langues « sauvages » en Nouvelle-France : à propos des notes du P. Louis André sur la langue algonquine outaouoise (introduction, édition du texte latin et traduction)“. Tangence, Nr. 99 (12.04.2013): 99–122. http://dx.doi.org/10.7202/1015114ar.

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Dès les débuts de l’installation des Français en Nouvelle-France, on voit les missionnaires se mettre à l’étude des langues autochtones et fabriquer presque simultanément différents outils d’apprentissage dans un effort manifeste de grammatisation. Ce processus de description des langues amérindiennes s’inscrit dans un mouvement plus général de linguistique missionnaire, dont les fondements théoriques reposent sur la croyance de l’époque en un langage mental originel. Le latin étant utilisé comme modèle de référence pour décrire les langues « sauvages », la perspective s’en trouve forcément faussée. Cet article propose une première réflexion sur ce phénomène en se fondant en particulier sur l’édition et l’analyse des « Notes sur l’algonquin » du P. Louis André, missionnaire auprès des Montagnais entre 1693 et 1709.
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Jacquesson, François. „L’affixe, la racine, et la linguistique analytique“. Histoire Epistémologie Langage 40, Nr. 1 (2018): 133–54. http://dx.doi.org/10.1051/hel/e2018-80008-0.

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Les termes de ‘racine’, ‘affixe’, puis ‘suffixe’ et ‘préfixe’ n’appartiennent pas au matériel lexical créé pendant l’Antiquité, mais comme celui de ‘scheva’ ou ‘shewa’, résultent de la découverte de la grammaire hébraïque par les grammairiens de langue latine, à la Renaissance. Ces mots nouveaux, dont on examine ici la naissance et le développement, nous semblent caractéristiques d’un nouveau type d’approche des langues. Pour la première fois, les grammairiens de langue latine sont confrontés à une tradition étrangère, vivante et prestigieuse. La tradition grammaticale hébraïque, qu’ils découvrent, leur fournit aussi un champ de réflexion et des outils d’analyse. De cette rencontre avec une langue et avec sa tradition critique, qui offre vaste matière à comparaisons, vont sortir des termes nouveaux et une perspective renouvelée sur l’analyse morphologique des langues.
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König, Daniel G. „The Unkempt Heritage: On the Role of Latin in the Arabic-Islamic Sphere“. Arabica 63, Nr. 5 (10.08.2016): 419–93. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341414.

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As linguistic systems, Latin and Arabic have interacted for centuries. The article at hand aims at analysing the status of the Latin language in the Arab and Arabic-Islamic sphere. Starting out from the observation that Latin-Christian and Arabic-Islamic scholarship dedicated a very different degree of attention to the study of the respective ‘other’ language in the course of the centuries, the article traces the impact of Latin on an emerging Arabic language in Antiquity, provides an overview on the various references to Latin found in works of Arabic-Islamic scholarship produced in the medieval and modern periods, and provides an exhaustive list of Arabic translations of Latin texts. A description of the role played by Latin in the Arabic-speaking world of our times is followed by a discussion of several hypotheses that try to explain why Latin was rarely studied systematically in the Arabic-Islamic sphere before the twentieth century. Le latin et l’arabe, en tant que systèmes linguistiques, furent en interaction pendant des siècles. Le présent article a pour objectif d’analyser le statut de la langue latine dans le monde arabe et arabo-musulman. Partant de l’observation que les érudits latins chrétiens et arabo-musulmans se consacrèrent à différents degrés à l’étude de la langue de « l’Autre », l’article retrace l’impact du latin sur une langue arabe émergeant dans l’Antiquité, donne un aperçu des références à la langue latine dans les œuvres des érudits arabo-musulmans produites aux époques médiévale et moderne, et fournit une liste exhaustive des traductions des textes latins en arabe. Après avoir esquissé le statut actuel de la langue latine dans le monde arabophone de nos jours, l’article aborde plusieurs hypothèses qui essaient d’expliquer pourquoi le latin n’a guère été un objet d’études systématiques dans le monde arabo-musulman avant le xxe siècle. This article is in English.
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Urueña, Rafaela. „El problema de la interpretación de tratados redactados en diversos idiomas, según el derecho internacional“. Language Problems and Language Planning 14, Nr. 3 (01.01.1990): 209–23. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.14.3.02uru.

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SOMMAIRE Problème de l'interprétation des traités rédigés en plusieurs langues Quand il existe dans un état une pluralité linguistique, le problème linguistique ne se pose pas seulement sur le plan national, mais aussi à l'échelle internationale. Sur ce dernier point, il faut prendre en considération le rôle du traducteur, car les négociateurs d'un traité utilisent parfois des langues diverses, une fois ce traité conclu et soumis aux parlements nationaux pour sa ratification, les parlementaires devront se méfier des traducteurs. S'il existe une contradiction, le traité devra être interprété. La négociation aboutit normalement à la rédaction d'un texte écrit. En ce qui concerne les traités bilatéraux, le latin au XVIIIe siècle ayant disparu, en excluant le fait que les états puissent employer la même langue, les modalités sont variables. Ou bien on utilise la langue officielle commune à toutes les parties ou la langue officielle de l'une des parties ou une troisième langue, étrangère à celles-ci. Mais quand les traités sont rédigés en plusieurs langues, ou bien on considère la prééminence d'une seule version ou on considère que tous les textes font également foi, c'est le traité lui-même qui doit spécifier quelle version linguistique fait foi mais, s'il ne le fait pas, tous les traités sont considérés comme des textes faisant foi, d'après la Convention de Vienne sur le droit des traités du 23 mai 1969. C'est pour cela qu'il est important de voir la différence entre "texte authentique" et "texte faisant foi." Le texte d'un traité est rendu authentique par la signature des plénipotentiaires des états soit sur le traité soit sur l'Acte Final de la Conférence qui conclut le texte. Par contre, seule la langue du texte mentionnée dans le traité fait foi, et les traductions officielles servent uniquement à faciliter l'application du traité. Les traités multilatéraux authentifiés en plusieurs langues peuvent présenter des problèmes d'interprétation, bien qu'ils soient aujourd'hui les plus fréquents. L'article 33 de la Convention de Vienne, qui est consacré à l'interprétation des traités authentifiés en deux ou plusieurs langues, est ainsi conçu: les termes d'un traité sont présumés avoir le même sens dans les divers textes authentiques. Dans le cas où la comparaison des textes authentiques d'un même traité ferait apparaître une différence de sens que l'application des articles 31 et 32 ne permettrait pas d'élimer, on adoptera le sens qui, compte tenu de l'objet et du but du traité, concilie le mieux ces textes. Selon les articles 31 et 32, un traité doit être interprété de bonne foi, suivant le sens ordinaire à attribuer aux termes de traité, compte tenu de son objet et du but visé. Mais on peut aussi considérer comme des moyens complémentaires d'interprétation, les circonstances ou les règles en vigueur à l'époque de la conclusion du traité, ou les travaux préparatoires. Finalement, quand on ne peut pas surmonter les difficultés d'interprétation, l'article 33-4 fixe qu'on adoptera le sens qui "compte tenu de l'objet et du but du traité, concilie le mieux les textes." Chercher le sens qui concilie le mieux les textes du traité implique donc une notion relative, une conciliation qui soit le meilleure possible, et aujourd'hui, cela se révèle difficile. C'est l'organe appelé à résoudre les conflits d'interprétation à ce moment-là qui devra préciser et déterminer la teneur du traité. RESUMO La problème* pri la interpretado de multlingvaj traktatoj, laŭ la internacia juro En la jura interpretado, la lingva problemo aperas ne nur naciskale, kiam en ŝtato ekzistas pluraj oficialaj lingvoj, sed en la internacia kampo. En ĉi tiu lasta, ni devas konsideri la gravan rolon kiun ludas la tradukistoj, ĉar la intertraktantoj uzas ofte malsimilajn lingvojn kaj poste la naciaj parlamentanoj devas labori per traduko por ratifi la tekston. Se aperas problemo pri la signifo de la vortoj, la traktato devas esti interpretata. De kiam malaperis en la 18-a jarcento la latina lingvo, kiam oni redaktas du ŝtatajn traktatojn kaj se la ŝtatoj ne havas la saman lingvon, kutime oni uzas la komunan lingvon de ambaŭ partioj, la oficialan lingvon de unu el ili, aŭ trian lingvon ne apartenantan al iu intertraktanto. Sed kiam la traktatoj estas redaktataj en pluraj lingvoj, aŭ oni konsentas ke estu décida unu lingvo, aŭ oni konsideras ke ĉiuj el ili estas egale aŭtoritataj. Devas esti la traktato mem kiu klarigas kiu lingvo estas decida. Sed se tio ne okazas, oni devas supozi, laŭ la Konvencio de Vieno de 1969, ke ĉiu teksto estas egale aŭtoritata. Jen la graveco konstati la diferencon inter "aŭtentika teksto" kaj "aŭtoritata teksto." La teksto de traktato aŭtentikiĝas per la subskribo de la reprezentanto de la ŝtato, ĉu en la traktato mem, ĉu en la Fina Akto de internacia konferenco. Sed estos fidinda nur tiu lingvo kiun en la traktato oni konsideros kiel decidan, kaj la diversaj oficialaj tradukoj taŭgas nur por faciligi la aplikadon de la traktato. Multlingvaj traktatoj redaktitaj en pluraj lingvoj egale aŭtoritataj povas okazigi mis-komprenojn, malgraŭ la fakto ke tio estas la nuna praktiko en internaciaj konferencoj. En tiu kazo oni devas submeti la traktaton al interpretado. La 33-a artikolo de la Konvencio de Vieno supozas ke la terminoj de la traktatoj havas en ĉiu teksto la saman signifon. Nur se aperas miskompreno, oni devas interpreti ĝin laŭ la reguloj de la 31-a kaj 32-a artikoloj de la Konvencio. Laŭ tiuj artikoloj, oni devas interpreti per la bona fido, laǔ la normala senco de la vortoj de la traktato kaj konsiderante ĝian celon. Sed oni ankaǔ povas uzi aliajn interpretajn metodojn, konsiderante la antaŭlaborojn kaj la cirkonstancojn en la intertraktado. Kiam la malfacilaĵoj estas nesupereblaj, la 33-a artikolo antaŭvidas ke oni akceptas la signifon kiu kiom eble plej akordigas la diversajn tekstojn, ĉiam konsiderante la celon de la traktato. Sed tio prezentiĝas hodiaǔ kiel malfacila tasko. Pro tio la organo kiu devas interpreti décidas en tiu momento laǔ sia bona juĝo, ĉar la Konvencio ne permesas alian solvon por klarigi la situacion.
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Breitenstein, Renée-Claude. „Traduction, transferts culturels et construction des publics dans deux éloges collectifs de femmes de la première moitié du xvie siècle“. Études françaises 47, Nr. 3 (29.11.2011): 91–107. http://dx.doi.org/10.7202/1006448ar.

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Cet article s’intéresse à la construction des publics dans deux éloges collectifs de femmes traduits du traité latin De nobilitate et praecellentia foeminei sexus d’Henri Corneille Agrippa : Le Jardin de foelicite avec la louenge & haultesse du sexe feminin en ryme françoyse, divisee par chapitres […] (1541) de François Habert et Le Fort inexpugnable de l’honneur du sexe féminin (1555) de François de Billon. Le passage d’une langue à une autre et celui d’une forme littéraire à une autre sont des facteurs de poids dans la réorientation du texte source vers de nouveaux lecteurs et lectrices ; ils enclenchent un important travail d’adaptation, tant discursif que matériel. Le premier objectif de cet article est de mesurer les modalités d’inscription, les fonctions et les enjeux de ces transferts linguistique et culturel, afin d’en apprécier l’influence dans la construction des publics. Le deuxième objectif consiste à identifier les stratégies de publication de l’auteur, lesquelles comprennent aussi bien l’opération de construction d’un nouveau public par le texte que ce que ce texte, et les livres dans lesquels celui-ci se cristallise, mettent en vedette. Au-delà des objectifs encomiastiques de célébration des femmes énoncés dans les paratextes, l’éloge abrite des finalités dissimulées, qui constituent autant d’appels à l’adhésion par des lectorats différents et indiquent des publics secondaires implicites. Les configurations identifiées — juxtaposition et superposition — fournissent la base d’une réflexion méthodologique plus large sur les publics et la publication dans les éloges collectifs de femmes du xvie siècle.
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Joseph, John E. „Structure, mentalité, société, civilisation : les quatre linguistiques d’Antoine Meillet“. SHS Web of Conferences 78 (2020): 15002. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207815002.

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Aujourd’hui le nom d’Antoine Meillet (1866-1936) rappelle surtout ses manuels de linguistique comparée des langues indo-européennes, ses études slaves et arméniennes, et sa présidence d’une « école de Paris » où seraient formés les grands linguistes de la génération suivante. Pourtant il ne faut pas oublier l’importance de ses contributions à la linguistique synchronique, y compris l’analyse de la langue française. Sa conception originale de la « grammaticalisation » dans un article de 1912, où il tire ses exemples clés du français, a démontré l’impossibilité d’une stricte séparation entre les catégories analytiques, et plus généralement entre la synchronie et la diachronie. Dans d’autres ouvrages il prétend qu’un Français conçoit un objet différemment de la façon dont un ancien Romain le concevait, à cause de la structure des grammaires latine et française ; que le passage de vocables d’un genre spécifique (tel l’argot des marins) à l’usage général est le principal moteur de l’évolution sociale d’une langue, et qu’il y a une hiérarchie quasi-féodale entre les mots selon leur origine ; qu’il n’existe en Europe que quatre « langues de civilisations », face auxquelles les autres langues seraient destinées à disparaître. Bien que Meillet ait joué un rôle cardinal dans le développement du structuralisme linguistique de la première moitié du XXe siècle, il a gardé ses distances avec le mouvement, et cette réserve, léguée à ses étudiants (à quelques exceptions près), clarifie certains aspects du caractère particulier de la linguistique française.
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WÜLFING, Peter. „La linguistique latine et l'enseignement du latin“. Cahiers de l'Institut de Linguistique de Louvain 15, Nr. 1 (01.01.1989): 469–79. http://dx.doi.org/10.2143/cill.15.1.2016765.

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Avenas, Pierre, und Henriette Walter. „Noms d’animaux et difficultés de traduction“. Meta 55, Nr. 4 (22.02.2011): 769–78. http://dx.doi.org/10.7202/045690ar.

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La traduction des noms d’animaux doit tenir compte des taxonomies scientifiques, lesquelles évoluent parallèlement aux connaissances des sciences naturelles. On attribue un nom latin scientifique à chaque espèce, mais les noms vernaculaires de la langue commune suivent des dynamiques complexes. Tout d’abord, les noms vernaculaires ne sont pas aussi nombreux que les noms d’espèces. Par ailleurs, les espèces sont parfois confondues, les équivalences dénominatives entre langues peuvent présenter de sérieux problèmes, les faux amis ne sont pas rares, et il faut compter avec les expressions idiomatiques et les variantes régionales. Enfin, l’emploi des noms d’animaux dans les mythes et les oeuvres littéraires ou artistiques s’écarte de la rigueur imposée par la zoologie, en raison de la prédominance de la fonction connotative sur la fonction dénotative. La traduction d’un nom d’animal la mieux adaptée au contexte nécessite donc une approche diversifiée, associant des connaissances de sciences naturelles à des considérations linguistiques.
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Mehr Quellen

Dissertationen zum Thema "Latin (langue) – Linguistique"

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Gayraud, Marie-Françoise. „Les recueils de "differentiae" de Varron à Isidore de Séville : étude linguistique, historique et comparative“. Montpellier 3, 2003. http://www.theses.fr/2003MON30067.

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On dispose, dans le domaine latin, d'une quinzaine de recueils de differentiae, objets de cette étude. On s'attachera d'abord à présenter, caractériser et comparer ces différents textes, parfois étroitement apparentés, d'époque(s) et d'attributions très incertaines, qui consistent en des listes de deux mots, ou plus, suivis d'une notice dont l'objet est d'éviter entre eux toutes sortes de confusions d'emploi, par le biais d'une differentia (" différence "). Ce concept de differentia, originellement issu de la dialectique et de la rhétorique grecque, y est utilisé pour distinguer entre des synonymes partiels. On a voulu montrer comment son application, ponctuelle, ou systématique — sous la forme de recueils —, élargit considérablement ce cercle originel : au-delà des questions de synonymie, en matière de rhétorique, de droit romain, et de commentaire de textes, les listes de differentiae traitent aussi de confusions possibles sur le plan phonétique (paronymie et homonymie), morphologique (hésitations relatives au genre, à la déclinaison, à la diathèse), voire, rarement, syntaxique, toutes questions relevant de la grammaire, au sens étendu qu'a le terme dans l'Antiquité. Il s'agit toujours de distinguer, selon des critères variables, entre des formes également reconnues comme valides, mais dans des contextes différents. L'enjeu de cette étude est aussi d'évaluer l'influence respective des domaines de pensée divers qui ont alimenté les recueils de differentiae, de préciser quelques repères chronologiques, qui montrent que ces listes constituent bien, du moins pour une part d'entre elles, des œuvres de la latinité, et non du Moyen Age, et de faire apparaître la complexité et la richesse d'un pan quelque peu sous-estimé de l'activité linguistique antique
This study deals with fifteen collections of differentiae available in the Latin corpus. We will first attempt to present; characterize and compare these different texts which are connected to each other at times, and whose age and origins are uncertain. They consist of lists of two words or more, followed by a note whose purpose is to avoid all types of confusion between them by means of a differentia (“difference”). This concept of differentia, which originally stems from Greek dialectics and rhetoric, is used there to differentiate between partial synonyms. Our purpose will be to show how its selective or systematic application, such as it is rendered in these collections, considerably expands the original circle. Indeed beyond the issues raised by synonymy as far as rhetoric, Roman law and text commentaries are concerned, the differentiae lists also deal with possible confusions regarding phonetics (paronyms and homonyms), morphology (problems of gender, declension, diathesis) and more rarely syntactics, all these matters falling within the province of grammar in the broad meaning ascribed to this term in Antiquity. It is once again the aim, according to various criteria, to differentiate between forms all recognised as being valid, in different contexts. The point of this study is also to assess the respective influence of the approaches involved in the collections of differentiae, and to specify a few chronological landmarks showing that these lists, at least as far as some of them are concerned, do represent works that are steeped in the Latin world and not in Medieval Times, and finally, to bring out the complexity and richness of a somewhat underestimated part of the linguistic activity in Antiquity
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Brachet, Jean-Paul. „Les préverbes ab-, dê-, ex- du latin : étude linguistique“. Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1996PA040203.

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Notre thèse, entièrement fondée sur l'examen des textes, est une recherche de grammaire historique qui s'attache à quelques aspects méconnus des préverbes ab-, de-, ex-. Dans la première partie, nous reconstituons l'histoire complexe de de-, depuis ses origines indo-européennes. Nous tentons de concilier le sens ablatif vivant de de- avec le sens directif de la particule *de do, en décelant, dans les emplois concrets de de-, de nombreuses traces d'une valeur directive ancienne. Nous voyons ensuite plusieurs séries de préverbes en de- dans lesquels on retrouve la valeur directive ancienne du préverbe, non sa valeur ablative synchroniquement productive. La deuxième partie traite de préverbes en ex- qui gardent la trace, dans leur préverbe, de la préposition ex qui introduisait un complément circonstanciel de provenance. Nous analysons ainsi efficere, de même que les dénominatifs factitifs en ex- (effeminare, efferare, exacerbare,. . . ) et les inchoatifs en -esco préverbes en ex- (exarescere, exalbescere, euanescere, extimescere,. . . ). Le préverbe ex- forme un véritable signifiant discontinu avec les morphèmes de dérivation verbale -a- ou -esc-. Paradoxalement, ex-sert à former des verbes dénotant l'entrée dans un état. L'étude de ex- se poursuit par l'examen de sa prétendue valeur aspectuelle d'"achèvement". Nous étudions d'abord comment la préservation en ex-, en entrainant une transformation des actants, produit exhaurire "vider" à partir de haurire "puiser". Exhaurire conduit à un groupe de verbes de parole préverbes en ex-, eloqui, enarrare enumerare, edocere, edisserere, dont le complément d'objet est généralement accompagné d'un quantificateur de la totalité. Ces verbes dénotent un procès exhaustif, qui parvient à son terme parce que toute la matière à laquelle il s'appliquait a été épuisée. La troisième partie traite des parasynthétiques, ceux qui reposent sur des hypostases verbales (delirare, degenerare, eliminare, expectorare), et ceux qui ont un sens privatif (exossare, excorticare, deartuare, decapitare)
Our thesis, entirely based on the examination of the texts, is a historical linguistics work. In the first part, we retrace the complicated history of de-, from its pie origin. We try to reconcile the living meaning of de-, which is ablative, with the directive meaning of the particle *de do, by showing, in the concrete uses of de-, many traces of its former directive meaning. Then we look at some verbs prefixed with de-in which the former directive meaning, not the productive ablative one, is to be found. The second part deals with verbs prefixed with ex- whose preverb is the reflex of the preposition ex that used to introduce a provenance complement. We analyze like that the verb efficere, as well as the denominative factitive in ex(effeminare, efferare, exacerbare,. . . ) and the -esco inchoative prefixed with ex- (exarescere, exalbescere, euanescere, extimescere,. . . ). The preverb ex forms a real "discontinuous signifier" with the verbal derivation morpheme -a- or -esc-. Paradoxically, ex- contributes to form some verbs which mean getting into a new state. The study of ex- goes on with the examination of the so-called "achievement value" of ex-. First we study how, owing to a transformation of the "actants" due to the preverb ex-, we obtain a verb exhaurire "to exhaust" from haurire "to draw". Exhaurire leads us to a group of speech verbs prefixed with ex-, eloqui, enarrare, enumerare, edocere, edisserere, whose object is usually accompanied with a quantifier expressing totality. These verbs denote an exhaustive process, which reaches its term because all the material it was applied to has been exhausted. The third part deals with the so-called parasynthetic verbs, those which are hypostatic derivatives (delirare, degenerare, eliminare, expectorare) as well as those which have privative value (exossare, excorticare, deartuare, decapitare)
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Fleck, Frédérique. „Le latin quīn : syntaxe, sémantique et pragmatique : place dans le système des interrogatifs, connecteurs et subordonnants“. Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040149.

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Le latin quīn est étudié, d’un point de vue à la fois syntaxique, sémantique et pragmatique, dans ses différents emplois : comme adverbe interro-négatif de cause, comme particule énonciative, comme connecteur additif et coordonnant copulatif, comme subordonnant complétif (négatif et positif), comme subordonnant négatif consécutif, causal, pseudo-relatif et comme subordonnant comparatif positif. Une attention particulière est portée au fonctionnement de la négation, en rapport avec l’interrogation et avec la subordination, et aux processus à l’œuvre dans l’évolution diachronique de quīn. L’analyse porte sur un corpus regroupant la plupart des occurrences de quīn (près de 3000) chez les écrivains latins du IIIe s. Av. J. -C. Au IVe s. Après. L’emploi de quīn est comparé à celui des lexèmes proches, notamment quidnī, cūr nōn, quārē nōn, quōmŏdŏ nōn, immō, ăt, sĕd, uērum, ĕt, atquĕ, -quĕ, quōmĭnus, nē, ŭt nōn, quī
The Latin quīn is studied here from a syntactic, semantic and pragmatic point of view, in its various functions : as an interro-negative adverb of cause, as an enunciative particle, as an additive connector and copulative coordinating conjunction, and as a negative or positive subordinating conjunction introducing completive, consecutive, causal, comparative and pseudo-relative clauses. Particular attention is paid to the cases where a negation appears at the same time as an interrogation or a subordination, and to the diachronic evolution of quīn. The analysis is based on a corpus including most of the occurrences of quīn (circa 3000) in the works of the Latin writers from the third century B. C. To the fourth century A. D. The use of quīn is compared with the use of other lexems which have a similar meaning and function, such as quidnī, cūr nōn, quārē nōn, quōmŏdŏ nōn, immō, ăt, sĕd, uērum, ĕt, atquĕ, -quĕ, quōmĭnus, nē, ŭt nōn, quī
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Spevak, Olga. „La concession en latin tardif“. Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040054.

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La distinction entre valeurs actualisées et valeurs inférées permet de déterminer la concession explicite et la concession implicite et de distinguer les marqueurs spécifiquement concessifs des autres marqueurs susceptibles de produire un effet de sens. Ce travail établit un répertoire de ces mots introducteurs ; il examine leurs valeurs d'origine et leur grammaticalisation - aspects qui servent de point de départ pour la synchronie du latin tardif. Fondé sur un large corpus (oeuvres des IVe et Ve siècles), l'examen des expressions concessives s'ouvre sur le type largement représenté : la concessive. Son analyse se développe à partir de huit critères syntaxiques (position, mode et temps verbaux. . . ), auxquels se superpose un classement sémantique (concessive simple, hypothétique, scalaire et "confrontative"). La concession explicite, signalée par des marqueurs concessifs, trouve de riches expressions au niveau des constituants propositionnels (micro-syntaxe). Si "tamen" continue d'être l'adverbe d'énoncé intraphrastique par excellence ; d'autres mots introducteurs peuvent désormais assurer des fonctions similaires. L'analyse des propriétés syntaxiques et sémantiques des marqueurs concessifs concurrentiels conduit à une synthèse ayant pour objet d'établir leur synonymie. Cette dernière est vérifiée par un examen statistique (méthode des écarts réduits). Les marqueurs concessifs sont sujets à un renouvellement des signifiants, dû à l'estompement de leur signification. Tous ces chapitres sont accompagnés d'une présentation statistique des données sous forme de tableaux et de graphiques. Enfin, la concession non explicite se caractérise par des constitutions variées - les subordonnées en "cum", "dum", "qui", locutions concessives, subjonctif concessif, impératif ou constructions coordonnantes.
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Morin, Jacqueline. „Latinas : permanence et transformations d'une formule de norme linguistique latine“. Paris 5, 1998. http://www.theses.fr/1998PA05H038.

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La latinitas "la latinité" désigne le latin, et spécialement le latin correct. Les grammairiens latin (du ive au IXe s) la définissent dans la formule : latinitas constat natura ratione auctoritate consuetudine "la latinité repose sur la nature, la règle, l'autorité, l'usage" l'étude de cette formule de norme linguistique comporte: tome l:un examen des 4 entités qui la constituent, leur spécificité (natura fournissant les principes 1ers immobiles a partir desquels ratio crée le mouvement qui fait fonctionner la langue en système ; auctoritas et consuetudo présentant les écarts, prestigieux ou fautifs),et leur fonctionnement. Tome II : une approche des contextes et situations (mythes sociaux et schéma de communication particulier) qui font que la latinitas, porteuse des valeurs du monde païen, est difficilement acceptable pour les chrétiens qui veulent étendre leur message aux indocti (jusque-là assimiles aux animaux par la théorie de la vox). Le libelle de la latinitas sera finalement conserve: enseigne dans un autre but, immerge dans un autre contexte, il voit son sens réoriente : il y a réemploi de signifiant au service d'un sens nouveau, ce qui infirme l'opinion souvent exprimée que la latinitas est reconduite sans changement
What is exactly the meaning of this normative formula used in the latin grammars from varro to alcuin,is to be found by paying attention to each principle there quoted (natura furnishes linguistic laws analogical to the laws of the world, and primi, tive, never changing forms, from which ratio creates systems by generation and movement ; auctoritas and consuetudo present every outlaw form issued from poetic beauty or ugly mistake),and also to the teaching situation and psychological circumstances in account of barbarian invasions and christian time. Christian first refused latinitas as an elitist formula loaded with pagan values and refusing the indocti (the vox theory considered them as animals); but finally latinitas is accepted with double auctoritas, some new commentaries, and pertinent reading. Nothing apparently is changed in the formula, but every, thing now is new, for it becomes a formula for religious salute and human dig, nity. Here we find reemployment of the same words with a new meaning : it is an economical technique frequently used by christians, mainly in art. Consequently, the assertion that latinitas is the same from varro to alcuin must be revised. It seams to be the same, but it is not
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Gallego, Julie. „Les subordonnées conjonctives de conséquence dans la prose historique latine“. Clermont-Ferrand 2, 2007. http://www.theses.fr/2007CLF20008.

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La subordonnée conjonctive consécutive en ut est étudiée d'un point de vue à la fois syntaxique, sémantique et pragmatique. Dans les chapitres I et II, cette proposition est analysée, en synchronie et en diachronie, en fonction des différents traits morphématiques qui la constituent : subordonnants, corrélatifs, négations (en principale, en subordonnée), morphologie et sémantisme des verbes (de la principale, de la subordonnée). Une attention particulière est portée, dans le chapitre II, au fonctionnement des temps (présent, imparfait, parfait, plus -que-parfait et périphrases verbales) et des modes (et plus précisement du subjonctif comme mode attendu en consécutive jusqu'en latin tardif). Du fait de l'influence possible de l'historiographie grecque sur l'historiographie latine et de l'évolution de la langue en latin chrétien, une réflexion est menée sur des modifications du subordonnant et des modes, attribuables parfois au bilinguisme grec-latin. Le chapitre III porte sur les changements du discours consécutif subordonné en ancien français, avec le renouvellement de son matériel lexical et l'entérinement de l'opposition modale entre conséquences virtuelle et réelle en germe en latin tardif. Le corpus de base, correspondant aux textes dépouillés, est constitué de textes d'historiens latins (s'étendant du Ie s. A. C. Au VIe s. P. C. ) : Salluste, César, Cornelius Nepos,Tite-Live, Quinte-Curce, Velleius Paterculus, Tacite, Suétone, Florus Justin, Ammien Marcellin, Grégoire de Tours. Le corpus médiéval comporte de nombreux extraits d'ancien et moyen français, notamment des traductions ou des adaptations de textes latins, comme la compilation historique "Li Fet des Romains"
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Julia, Marie-Ange. „Le supplétisme verbal en latin“. Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040219.

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Le supplétisme, processus universel dans l'évolution des langues, concerne peu de verbes en latin mais ceux-ci sont particulièrement fréquents. Les sujets parlants opèrent une extension de certaines formes, qui préexistaient dans un paradigme verbal donné, et leur confèrent une nouvelle fonction : elles entrent dans un autre paradigme verbal, soit pour remplacer certains formes défectueuses, dont les défauts gênaient le caractère opérationnel et fonctionnel, soit pour remplir des positions restées inoccupées dans le second paradigme. Le but de la communauté linguistique est d'avoir à sa disposition un paradigme verbal complet, où toutes les formes soient opérationnelles et capables de remplir leur fonction. Le remplacement peut concerner en latin un thème dans son ensemble – un thème d'infectum ou de perfectum -, ou bien seulement un temps – très souvent le présent de l'indicatif -, ou un mode - généralement l'impératif et le participe -, ou seulement une forme personnelle précise – le plus souvent les première et deuxième personnes du singulier. Le phénomène est bien illustré en latin par les lexèmes “aller” (īre, uādere, ambulāre, etc. ), “porter” (ferre, portāre, tollere, etc. ), “guérir” (medērī, sānāre, cūrāre, medicāre/-ī) et “manger” (ēsse, comedere, mandūcāre, etc. ). Nous proposons une progression en quatre phases. A côté de l'ancien verbe non marqué et usuel, apparaît une variante marquée, sémantiquement plus spécifique et plus “forte”, qui tend à se généraliser dans l'usage de la langue jusqu'à ce qu'elle soit véritablement grammaticalisée à l'intérieur du paradigme. A ce stade final, quand le supplétisme est acquis, on observe une inversion de fréquence entre l'ancienne et la nouvelle forme (la forme installée par supplétisme, devenant la forme orthonymique, a la plus haute fréquence, tandis que la forme plus ancienne, qui n'est plus orthonymique désormais, n'a plus qu'une fréquence inférieure) et une inversion pour ce qui est du caractère marqué ou non marqué (la forme antérieurement marquée devient non marquée et la forme antérieurement non marquée devient marquée )
Suppletion, a universal process in linguistic evolution, concerns a few Latin verbs with a very high frequency. The speakers extend some pre-existing forms from an existing paradigm to a new function : they enter another verbal paradigm, either as a replacement for some forms which have strong defects that impede them from being fully functional, or in order to fulfill positions which have been left unoccupied. The aim of the speakers is to have at their disposal a complete verbal paradigm, where each form is able to be fully functional. The replacement in Latin may concern a whole stem (either an infectum or a perfectum stem), or only a tense (often the present indicative) or a mood (mainly the imperative and the participle), or just one personal form (often the 1st and 2nd person sg. ). The development of the phenomenon, clearly illustrated in Latin by the various verbs meaning “go” (īre, uādere, ambulāre, etc. ), “bear, carry” (ferre, portāre, tollere, etc. ), “cure” (medērī, sānāre, cūrāre, medicāre/-ī) and “eat” (ēsse, comedere, mandūcāre, etc. ), can be analysed in four phases. Next to the old, unmarked and most common verb, appears a marked variant, semantically more specific and stronger, which tends then to be generalised until it is fully grammaticalized inside the paradigm. At that final point, there is an inversion of frequency between the old and the new form (the new suppletive form, becoming the “normal” form, is found with the highest frequency, while the old form, which is not the “normal” form any more, has a lower frequency), and, by another inversion, the previously marked form becomes unmarked and the previously unmarked form becomes a marked one
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Escriva, Jean-Pierre. „L'alternance thématique ±-i- dans la "3e déclinaison" latine : accusatif pluriel -ĒS ̃-ĪS et faits connexes“. Bordeaux 3, 2002. http://www.theses.fr/2002BOR30037.

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Le latin connaît des phénomènes d'alternance dans la flexion nominale, tout particulièrement dans ce que l'on appelle la "troisième déclinaison" (ciue ̃ciui, parentum ̃parentium, tres ̃tris). Quelques-unes d'entre elles sont grammaticalisées (substantif / adjectif, animé/inanimé, adjectif / participe à l'ablatif absolu). Les autres sont considérées comme aléatoires. Nous voulons montrer qu'elles ont un fondement syntactico-sémantique : elles répondent à une visée locutive actualisante / désactualisante, particularisante / départicularisante et à un mouvement de focalistion
Résumé : In Latin, there are variations in the nominal flexion, particulary in the so-called "3rd declension" (ciue ̃ciui, parentum ̃parentium, tre ̃tris). Some of them have been grammaticalized (noun / adjective, animate / inanimate, adjective / "absolute" ablative). The others are considered to be used by the speakers at random. We shall try to show that they have a syntactical-semantical ground : they express a focalization and an actualizing / unactualizing look of the state of facts
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Uría, Varela Javier. „Tabú y eufemismo en latín /“. Amsterdam : A. M. Hakkert, 1997. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37027611r.

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Legras-Vincent, Colette. „Évolution du pronom personnel sujet de troisième personne du latin à l'italien contemporain“. Paris 3, 1994. http://www.theses.fr/1994PA030179.

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Le but de cette these est d'etudier le pronom personnel sujet de troisieme personne et de definir les grandes etapes de l'evolution qui, partant du latin ont conduit le systeme pronominal italien a son etat actuel. Cette recherche a la fois synchronique et diachronique met en evidence le caractere un peu particulier de l'italien qui possede un nombre importan t de pronoms (egli, ella, lui, lei loro, esso, essa, essi, esse). Les deux premiers chapitres presentent une etude contrastive entre le francais et l'italien et montrent le fonctionnement du pronom en latin et en ancien toscan. Les cha pitres iii a vi sont consacres a l'etude des pronoms de troisieme personne dans la litterature italienne des origines a nos jours. Des pourcentages effectues a la fin de chaque periode font ressortir les grandes tendances de l'italien et etablissent l'affirmation de lui, iei, loro. La conclusion fait apparaitre que l'italien est une langue qui se situe a m i-chemin entre le latin et le francais. C'est aussi une langue en pleine evolution et les pronoms personnels sujets de t roisieme personne sont un temoignage de cette evolution
The aim of this thesis is to study the subject third person personal pronoun and to define the main steps that lead from latin to the current italian pronominal system. This research, both diachronic and synchronic, brings to the fore the caracteristics of the italian language that has a large number of pronouns (egli, ella, lui, lei, loro, esso, essa, essi, esse). The first two chapters present a comparative study between french and italian and show how the pronoun work s in latin and in old toscan. Chapters iii to vi cover a study of the third person personal pronoun in italian litteratu re from its origin to noadays. Percentages given at the end of each period, show the main tendencies of italian and the prominence of lui, lei, loro. The conclusion show that italian that stands between latin and french is a language that keep evolving and the personal pronouns are an evidence of this evolution
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Bücher zum Thema "Latin (langue) – Linguistique"

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Serbat, Guy. Opera disiecta: Travaux de linguistique générale, de langue et littérature latines. Louvain: Peeters, 2001.

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Herman, József. Du latin aux langues romanes: Études de linguistique historique. Tübingen: M. Niemeyer Verlag, 1990.

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3

Väänänen, Veikko. Le journal-épître d'Egérie (Itinerarium Egeriae): Étude linguistique. Helsinki: Suomalainen Tiedeakatemia, 1987.

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4

L, Moralejo José, Hrsg. Catégories grammaticales, systèmes grammaticaux et autres questions de linguistique latine. Hildesheim: Georg Olms Verlag, 2012.

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5

Christian, Touratier, Hrsg. Syntaxe et latin: Actes du IIème Congrès international de linguistique latine, Aix-en-Provence, 28-31 mars 1983. Aix-en-Provence: Université de Provence, 1985.

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6

Marthe, Mensah, und Toupin Fabienne, Hrsg. La Grammaire d'Ælfric: Traduction et commentaire linguistique. Paris: AMAES, 2005.

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7

Serbat, Guy. Linguistique latine et linguistique générale: Huit conférences faites d'octobre à décembre 1987 à la Faculté de philosophie et lettres de l'Université catholique de Louvain. Louvain-la-Neuve: Peeters, 1988.

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8

Sándor, Kiss, und Varvaro Alberto, Hrsg. Du latin aux langues romanes II: Nouvelles études de linguistique historique réunies par Sándor Kiss avec une préface de Alberto Varvaro. Tübingen: Niemeyer, M, 2005.

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9

Jerusalem), International Colloquium on Latin Linguistics (7th 1993. Structures lexicales du latin: Actes de la table ronde du VIIe colloque international de linguistique latine, Jérusalem, 20 avril 1993. Paris: Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, 1996.

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10

Centre national de la recherche scientifique (France), Hrsg. Approches du bilinguisme latin-français au Moyen Age: Linguistique, codicologie, esthétique. Turnhout: Brepols, 2010.

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Wüest, Jakob. „Linguistique historique et linguistique de la langue“. In Latin et langues romanes, herausgegeben von Sándor Kiss, Luca Mondin und Giampaolo Salvi, 499–506. Berlin, Boston: DE GRUYTER, 2005. http://dx.doi.org/10.1515/9783110944532.499.

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2

Ruby, Christine. „Les psautiers bilingues latin / français dans l’Angleterre du xiie siècle. Affirmation d’une langue et d’une écriture“. In Approches du bilinguisme latin-français au Moyen Âge: linguistique, codicologie, esthétique, 167–90. Turnhout: Brepols Publishers, 2010. http://dx.doi.org/10.1484/m.cem-eb.3.4437.

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Le Briz, Stéphanie, und Géraldine Veysseyre. „Les rapports entre latin et langue d’oïl en France septentrionale (xiie-xve s.): hiérarchie, concurrence ou complémentarité? Pour le repérage et l’analyse de textes médiévaux bilingues“. In Approches du bilinguisme latin-français au Moyen Âge: linguistique, codicologie, esthétique, 13–34. Turnhout: Brepols Publishers, 2010. http://dx.doi.org/10.1484/m.cem-eb.3.4432.

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Kiss, Sándor. „Grammaticalisation du verbe pronominal à sens non-actif – du latin aux langues romanes“. In XXVe CILPR Congrès International de Linguistique et de Philologie Romanes, herausgegeben von Maria Iliescu, Heidi Siller-Runggaldier und Paul Danler, 2–361. Berlin, New York: De Gruyter, 2010. http://dx.doi.org/10.1515/9783110231922.2-361.

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Bériou, Nicole. „Latin et langues vernaculaires dans les traces écrites de la parole vive des prédicateurs (xiiie-xive siècles)“. In Approches du bilinguisme latin-français au Moyen Âge: linguistique, codicologie, esthétique, 191–206. Turnhout: Brepols Publishers, 2010. http://dx.doi.org/10.1484/m.cem-eb.3.4438.

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6

„III. SITUATION LINGUISTIQUE ET CONSCIENCE LINGUISTIQUE“. In Du latin aux langues romanes II, 113–214. Berlin, Boston: DE GRUYTER, 2006. http://dx.doi.org/10.1515/9783110945898.113.

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„Délimitation temporelle entre le latin et les langues romanes Zeitliche Abgrenzung Latein / Romanisch“. In Romanische Sprachgeschichte / Histoire linguistique de la Romania, Part 1, herausgegeben von Gerhard Ernst, Martin-Dietrich Gleßgen, Christian Schmitt und Wolfgang Schweickard. Berlin • New York: Walter de Gruyter, 2003. http://dx.doi.org/10.1515/9783110146943.1.5.544.

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Audisio, Gabriel. „Entre latin, français et langue d’oc : le notaire et son client (Provence, xve-xvie siècles)“. In Contacts, conflits et créations linguistiques, 74–84. Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/books.cths.1254.

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„Fonctions et structures du subjonctif : leur évolution du latin tardif aux langues romanes“. In Les nouvelles ambitions de la linguistique diachronique, 235–40. Max Niemeyer Verlag, 2000. http://dx.doi.org/10.1515/9783110933116.235.

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„Die lateinische Basis der romanischen Sprachen Le fonds latin des langues romanes“. In Romanische Sprachgeschichte / Histoire linguistique de la Romania, Part 1, herausgegeben von Gerhard Ernst, Martin-Dietrich Gleßgen, Christian Schmitt und Wolfgang Schweickard. Berlin • New York: Walter de Gruyter, 2003. http://dx.doi.org/10.1515/9783110146943.1.5.530.

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