Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Productivité des émissions“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Productivité des émissions"

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Trotignon, Jérôme. „La Restriction des émissions de CO2 pénalise-t-elle les exportations? Un modèle de gravité avec données de panel et variables muettes régionales“. Articles 86, Nr. 1 (03.02.2011): 5–33. http://dx.doi.org/10.7202/045553ar.

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À partir d’un modèle de gravité en données de panel, nous estimons les effets sur les exportations du contrôle des émissions de CO2 d’un pays relativement à ses partenaires. Pour la première fois dans une étude sur la restriction environnementale, le modèle introduit des variables muettes correspondant aux flux commerciaux internes et externes aux groupes régionaux. Loin de pénaliser les exportations, la diminution des émissions de CO2 s’avère bénéfique aux performances extérieures des entreprises (1986-2003). Cet effet est renforcé dans un contexte d’intégration régionale. Cela vient conforter l’hypothèse de Porter, selon laquelle la politique environnementale stimule l’innovation et in fine la productivité moyenne d’une économie. Les accords internationaux sur le climat apparaissent ainsi comme une occasion de réorienter favorablement les économies nationales vers les technologies et les produits économes en énergie fossile.
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Gaudel, Audrey, Owen R. Cooper, Kai-Lan Chang, Claire Granier, Valérie Thouret, Philippe Nédélec, Romain Blot et al. „Augmentation d'ozone troposphérique dans l'hémisphère Nord observée grâce aux mesures Iagos“. La Météorologie, Nr. 116 (2022): 017. http://dx.doi.org/10.37053/lameteorologie-2022-0010.

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L'ozone troposphérique est un gaz à effet de serre, nocif pour la santé humaine, les cultures et la productivité des écosystèmes. Il contrôle la capacité oxydante de la troposphère. Du fait de sa grande variabilité spatiale et temporelle et d'observations en nombre limité, il n'avait pas encore été possible de quantifier les tendances de l'ozone troposphérique dans l'hémisphère Nord sur des échelles de temps de deux décennies. Cette étude montre, grâce à l'infrastructure de recherche Iagos installée à bord d'avions commerciaux, que l'ozone troposphérique a augmenté au-dessus de onze régions de l'hémisphère Nord depuis le milieu des années 1990. Ces observations sont cohérentes avec les observations effectuées par l'instrument OMI/MLS embarqué sur satellite. La modification de la répartition spatiale des émissions anthropiques de précurseurs d'ozone, comme les oxydes d'azote (NOx), a conduit à une augmentation de l'ozone et du forçage radiatif associé au-dessus des 11 régions d'étude, malgré les réductions des émissions de NOx aux latitudes moyennes. Tropospheric ozone is an important greenhouse gas, is detrimental to human health and crop and ecosystem productivity, and controls the oxidizing capacity of the troposphere. Because of its high spatial and temporal variability and limited observations, quantifying net tropospheric ozone changes across the Northern Hemisphere on time scales of two decades had not been possible. Here, we show, using 2 decades of observations from the IAGOS Research Infrastructure using commercial aircraft, that tropospheric ozone has increased above 11 regions of the Northern Hemisphere since the mid-1990s, consistent with the OMI/MLS satellite product. The net result of shifting anthropogenic ozone precursor emissions has led to an increase of ozone and its radiative forcing above all 11 study regions of the Northern Hemisphere, despite nitrogen oxides emission reductions at midlatitudes.
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Saka, A. A., O. O. Awodola-Peters, T. A. Olaniyi, O. Y. Adedeji, M. O. Bolarinwa, M. O. Yahaya, G. L. Adebisi und M. A. Popoola. „Climate change and its impact on livestock: A review“. Nigerian Journal of Animal Production 48, Nr. 4 (08.03.2021): 185–93. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2993.

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As the demand for livestock products is on the increase due to improved standard of living, the fear of its negative effect of climate is also on the increase. The impact of climate change on livestock production was reviewed in this study. Livestock through contributes to the emissions which in turn has negative impact on livestock production. Humans, animals and mixed farming, produce emissions which contribute so much to the change in climate. Heat stress associated with climate change has an enormous effect on poultry production as it affects chicken growth and productivity as poultry meat and eggs play an important food security role across Africa and world at large. Understanding how farmers deal with the realities of poultry production due to climate change is critical. In pig production the influence of climate change may differ slightly depending on the breed types and locality but common problems are lack of water, pests and diseases, death of the animal at extreme heat stress and possible alteration in grazing behavior which will lead ultimately to decrease in feed intake and feed digestibility and efficiency of feed utilization which can be seen in terms of growth, pork yield and milk production. Ruminants which are the primary producers of methane (CH4) has many factors influencing these emissions such as level of feed intake, type of carbohydrate in the diet and feed processing. Manipulation of these factors can reduce methane emissions from cattle. La demande de produits de bétail étant en agrandissement en raison de l'amélioration du niveau de vie, la crainte de son effet négatif sur le climat est également en augmentation. L'impact du changement climatique sur la production animale a été examiné dans cette étude. L'élevage contribue aux émissions qui à leur tour ont un impact négatif sur la production animale. Les humains, les animaux et l'agriculture mixte, produisent des émissions qui contribuent beaucoup au changement climatique. Le stress thermique associé au changement climatique a un effet énorme sur la production de volaille car il affecte la croissance et la productivité des poulets, car la viande et les œufs de volaille jouent un rôle important dans la sécurité alimentaire en Afrique et dans le monde en général. Il est essentiel de comprendre comment les agriculteurs gèrent les réalités de la production de volaille en raison du changement climatique. Dans la production porcine, l'influence du changement climatique peut différer légèrement selon le type de race et la localité, mais les problèmes courants sont le manque d'eau, les ravageurs et les maladies, la mort de l'animal en cas de stress thermique extrême et une éventuelle modification du comportement de pâturage qui entraînera finalement une diminution dans l'ingestion et la digestibilité des aliments et l'efficacité de l'utilisation des aliments qui peuvent être vus en termes de croissance, de rendement de porc et de production de lait. Les ruminants qui sont les principaux producteurs de méthane (CH4) ont de nombreux facteurs influençant ces émissions tels que le niveau de consommation alimentaire, le type de glucides dans l'alimentation et la transformation des aliments. La manipulation de ces facteurs peut réduire les émissions de méthane des bovins.
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Hessa, Célestin Cokou, Yaya Idrissou, Alassan Seidou Assani, Hilaire Sorébou Sanni Worogo und Ibrahim Alkoiret Traoré. „Emissions de Gaz à Effet de Serre des Systèmes AgroSylvopastoraux et Sylvopastoraux de deux Zones Agroécologiques du Bénin“. European Scientific Journal, ESJ 20, Nr. 12 (29.04.2024): 221. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n12p221.

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Au Bénin, une typologie de quatre groupes d’éleveurs a été établie sur la base des deux pratiques agroforestières (agrosylvopastoralisme et sylvopastoralisme) en lien avec l'adaptation au changement climatique. Il s’agit : des petits agrosylvopasteurs (Groupe 1 : PAS), des petits sylvopasteurs (Groupe 2 : PSV), des grands sylvopasteurs (Groupe 3 : GSV), et enfin des grands agrosylvopasteurs (Groupe 4 : GAS). Les effets de ces pratiques sur la productivité du bétail ont été évalués et connus. Cependant, des informations sur les effets de ces pratiques sur l’émission de gaz à effet de serre (GES) font défaut. Ainsi, la présente étude permet de combler cette lacune. Pour l’atteinte de cet objectif, 180 éleveurs ont été enquêtés. Des données sur l'alimentation animale, la gestion du fumier et la composition des troupeaux ont été collectées, et l’outil GLEAM-i (Global Livestock Environmental Assessment Model interactive) de la FAO a été utilisé pour estimer les émissions de GES au sein de chaque type d’élevage. Les résultats ont révélé que les émissions de GES de tous les types d'élevage bovin étaient de 34,24 Gg CO2-eq/an dont les élevages GAS, GSV, PSV et PAS contribuaient respectivement pour 37,57 % ; 35,89% ; 13,87% et 12,67%. Dans tous les types d'élevage, le CH4 issu de la fermentation entérique était le principal contributeur aux émissions de GES. Les intensités d'émission du lait et de la viande étaient plus faibles dans les élevages GAS (60,21 kg CO2/kg de protéines du lait ; 178,68 kg CO2/kg de protéines de la viande) et PAS (61,61 kg de CO2/kg de protéines du lait ; 180,61 kg CO2/kg de protéines de la viande). Cette étude servira d'outil d'appui à l'élaboration de lignes directrices pour les systèmes de production animale à faibles émissions au Bénin et ailleurs en Afrique subsaharienne. In Benin, a typology of four groups of herders was established on the basis of two agroforestry practices (agrosilvopastoralism and silvopastoralism) related to adaptation to climate change. These are small agro-silvopastoral (Group 1: PAS), small silvopastoral (Group 2: PSV), large silvopastoral (Group 3: GSV), and finally large agro-silvopastors (Group 4: GAS). The effects of these practices on livestock productivity have been assessed and known. However, information on the effects of these practices on greenhouse gas (GHG) emissions is lacking. Thus, the present study fills this gap. To achieve this objective, 180 farmers were surveyed. Data on animal feed, manure management, and herd composition were collected, and the Global Livestock Environmental Assessment Model interactive (GLEAM-i) tool was used to estimate GHG emissions within each farming type. The results revealed that the GHG emissions of all cattle farming types were 34.24 Gg CO2-eq/year, of which GAS, GSV, PAS, and PSV breeding contributed respectively for 37.57 %; 35.89%; 13.87% and 12.67%. In all farming types, CH4 from enteric fermentation was the main contributor to GHG emissions. The emission intensities of milk and meat were lower in GAS (60,21 kg CO2/kg milk protein; 178.68 kg CO2/kg meat protein) and PAS (61.61 kg CO2/kg milk protein; 180.61 kg CO2/kg meat protein). This study will serve as a support tool for the development of guidelines for low-emission animal production systems in Benin and elsewhere in sub-Saharan Africa.
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Ducos, Alain, Hugo Brun, Olivia Candau, Maëlle Deiber, Léa Florsheimer, Léa Larribeau und Baptiste Portet-Tixidor. „Des systèmes alimentaires non soutenables qu’il faut réformer en profondeur“. Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 15, Nr. 53 (2023): 8–17. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/2024001.

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Les systèmes agricoles et alimentaires ont connu de profondes transformations durant les dernières décennies dans l’ensemble des pays industrialisés. Les territoires et exploitations agricoles se sont fortement spécialisés. L’usage d’intrants de différentes natures s’est intensifié. La part des produits animaux et des produits ultra-transformés dans nos assiettes a fortement augmenté. Cette dynamique de « modernisation » a induit une augmentation de la productivité des systèmes agricoles, permettant de réduire, puis de maintenir, la part de l’alimentation dans le budget des ménages. Mais les coûts associés à ces systèmes alimentaires sont très importants. L’alimentation représente aujourd’hui le quart des émissions de gaz à effet de serre dans notre pays. Le modèle de développement agricole « productiviste » adopté depuis plus d’un demi-siècle est à l’origine de perturbations majeures des cycles de l’azote, du phosphore, de l’eau. Il a fortement contribué à l’effondrement massif et brutal de la biodiversité, à la dégradation importante de la santé des sols. Par ailleurs, la part de valeur ajoutée captée par les agriculteurs n’a cessé de s’éroder au cours du temps. La durabilité sociale et économique d’un nombre important d’exploitations agricoles est aujourd’hui menacée. Face à ce constat, une transformation importante de nos systèmes agricoles et alimentaires doit être envisagée. L’agroécologie offre un cadre pertinent pour penser et mettre en œuvre cette transformation.
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Iyiola-Tunji, A. O. „Climate-smart livestock production: options for Nigerian farmers“. Nigerian Journal of Animal Production 48, Nr. 4 (08.03.2021): 136–48. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.3005.

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This paper is focused on reviewing the three key pillars of climate-smart agriculture (CSA) in relation to livestock production (i.e., increased productivity, mitigation of greenhouse gases emissions and adaptation to climate change) while exploring the development intervention options for Nigerian livestock farmers. The most serious impacts of climate change are anticipated in grazing systems because of their dependence on climatic conditions and the natural resource base, and their limited adaptation opportunities. Impacts are expected to be most severe in arid and semi-arid grazing systems at low latitudes, where higher temperatures and lower rainfall are expected to reduce yields on range lands and increase land degradation. The dual pathways of responses between climate change and livestock production activities were depicted in this review. It is of note that climate change as a natural phenomenon works on the principle of causes and effect. The actions and in-actions of man will dictate the type of results obtainable in his immediate environment. Means by which livestock farmers can mitigate the GHGs and adapt to the effect of climate changes were discussed in this paper. Concerted efforts at ameliorating the effect of climate change on livestock production are needed. The smart options for rearing livestock are capable of mitigating the attendant effect of production activities of the stocks, reducing the stress obtainable from altered environment and ensuring food security. Nigeria as a country will need to evolve policies that will ensure promotion and subsequent adoptions of technologies that are smart in terms of increasing productivity of farm animals, reducing emissions of GHG and positively altering the effect of climate change. Cet article se concentre sur l'examen des trois piliers clés de l'agriculture intelligente face au climat (ASC) en relation avec la production animale (c.-à-d. Augmentation de la productivité, atténuation des émissions de gaz à effet de serre et adaptation au changement climatique) tout en explorant les options d'intervention de développement pour les éleveurs nigérians. Les impacts les plus graves du changement climatique sont anticipés dans les systèmes de pâturage en raison de leur dépendance aux conditions climatiques et de la base de ressources naturelles, et de leurs possibilités d'adaptation limitées. Les impacts devraient être les plus graves dans les systèmes de pâturage arides et semi-arides à basses latitudes, où des températures plus élevées et des précipitations plus faibles devraient réduire les rendements sur les pâturages et augmenter la dégradation des terres. Les doubles voies de réponses entre le changement climatique et les activités de production animale ont été décrites dans cette revue. Il est à noter que le changement climatique en tant que phénomène naturel fonctionne sur le principe des causes et des effets. Les actions et les in-actions de l'homme dicteront le type de résultats pouvant être obtenus dans son environnement immédiat. Les moyens par lesquels les éleveurs peuvent atténuer les GES et s'adapter aux effets des changements climatiques ont été discutés dans ce document. Des efforts concertés pour atténuer les effets du changement climatique sur la production animale sont nécessaires. Les options intelligentes pour l'élevage du bétail sont capables d'atténuer l'effet connexe des activités de production des stocks, de réduire le stress résultant de l'altération de l'environnement et d'assurer la sécurité alimentaire. Le Nigéria, en tant que pays, devra élaborer des politiques qui assureront la promotion et l'adoption ultérieure de technologies intelligentes en termes d'augmentation de la productivité des animaux d'élevage, de réduction des émissions de GES et de modification positive des effets du changement climatique.
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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim und Enrique Murgueitio Restrepo. „Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine“. BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, Nr. 316 (01.06.2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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de Callataÿ, François. „Les taux de survie des émissions monétaires antiques médiévales et modernes. Essai de mise en perspective et conséquences quant à la productivité des coins dans l'Antiquité“. Revue numismatique 6, Nr. 155 (2000): 87–109. http://dx.doi.org/10.3406/numi.2000.2277.

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BLANFORT, V., M. DOREAU, J. HUGUENIN, J. LAZARD, V. PORPHYRE, J. F. SOUSSANA und B. TOUTAIN. „Impacts et services environnementaux de l’élevage en régions chaudes“. INRAE Productions Animales 24, Nr. 1 (04.03.2011): 89–112. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3239.

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Les interactions entre l’élevage et l’environnement sont l’objet d’un débat médiatique, sociétal et scientifique depuis les années 70. Ce débat, focalisé sur les impacts négatifs de l’élevage sur l’environnement et jusqu’ici limité aux pays développés, concerne dorénavant les pays émergents et en développement où se fera l’essentiel de l’accroissement de la production animale. Toutefois, il est désormais admis que l’élevage peut aussi produire des services écosystémiques en plus de sa fonction productive. Cette synthèse propose un bilan des impacts et des services environnementaux liés aux productions animales dans les pays du Sud et trace des pistes d’amélioration pour les élevages de ruminants, les porcs et volailles ainsi que l’aquaculture. Les changements historiques d’utilisation des terres et de certains habitats aquatiques en cours dans le monde tropical nécessitent une réflexion pour des systèmes de production plus durables. Les émissions de gaz à effet de serre concernent en grande partie les zones tropicales où les systèmes à faible productivité sont forts émetteurs par kg de lait ou de viande produite. Elles sont compensées en partie par un stockage de carbone dans les pâturages, mais les références en zone tropicale restent à préciser. L’augmentation rapide des productions animales au cours des dernières décennies est essentiellement issue de l’industrialisation de l’élevage dans de nombreux pays du Sud où les questions sur la pollution des sols, des eaux, de l’air et le traitement des effluents deviennent incontournables. Les systèmes extensifs moins productifs mais moins polluants conduisent aussi à des services environnementaux. L’élevage est fort consommateur d’eau, mais principalement d’eau «verte» liée à la production végétale. La consommation de ressources fossiles (énergie, phosphates...) s’avère fortement dépendante de l’intensification des systèmes d’élevage. Le risque d’érosion de la biodiversité animale et végétale est une menace avérée, en lien avec la déforestation et les pratiques d’élevage. Dans une discussion globale, les principaux systèmes d’élevage des pays du Sud sont évalués à l’aune de leurs performances environnementales. Des perspectives d’évolution vers des systèmes de production à plus faible impacts et intégrant des services écologiques existent notamment par la mise en place de mécanismes financiers incitatifs. Mais les priorités de lutte contre la faim et la pauvreté constituent des obstacles de taille dans de nombreux pays du sud. Elles conditionnent l’amélioration des performances environnementales à la mise en place de systèmes d’élevage assurant la réponse aux besoins alimentaires des populations et la durabilité économique et sociale indispensable aux sociétés en développement.
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Omoruyi, G. O., I. O. Busari und O. J. Babayemi. „In-vitro assessment of the nutritive value of vegetable wastes as feed supplement for ruminants“. Nigerian Journal of Animal Production 49, Nr. 5 (26.05.2023): 138–46. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i5.3772.

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The need to optimize livestock production to meet the growing demand for animal products has necessitated the efficient use of available resources, including crop wastes to enhance livestock productivity. Fifteen vegetable waste samples were analyzed to determine their nutritive value as ruminant feed. The chemical composition was determined using standard methods, and a 24-hour in-vitro fermentation was done to determine the dry matter degradability (DMD), short chain fatty acid (SCFA), and enteric methane (CH4) emission of each sample. Talinum triangulare leaf had the highest (p<0.05) crude protein value (31.50%) and Cucumis sativa had the lowest value (11.51%). A significant difference (p<0.05) was observed among the values of the proximate composition of the samples. Cucumis sativa had the highest CH4 percentage (36.75%) while the lowest CH4 percentage (10.00%) was observed in Cochorus olitorius stem. There was no significant difference (p<0.05) observed among the DMD values of the samples. The value of SCFA was highest for Daucus carota (0.33) and lowest for Talinum triangulare stem (0.07). The results of the proximate composition, CH4 percentage, and dry matter degradability of the samples observed in this study revealed that they could be further investigated through in-vivo trials to establish their suitability as alternative feedstuffs in ruminant diets. La nécessité d’optimiser la production animale pour répondre à la demande croissante de produits animaux a nécessité l’utilisation efficace des ressources disponibles, y compris les déchets de récolte pour améliorer la productivité de l’élevage. Quinze échantillons de déchets végétaux ont été analysés pour déterminer leur valeur nutritive en tant qu’aliments pour ruminants. La composition chimique a été déterminée à l’aide de méthodes standard et une fermentation in vitro de 24 heures a été effectuée pour déterminer la dégradabilité de la matière sèche (DMS), les émissions d’acides gras à chaîne courte (AGCC) et de méthane entérique (CH4) de chaque échantillon. La feuille de Talinum triangulare avait la valeur de protéines brutes la plus élevée (p < 0,05) (31,50 %) et Cucumis sativa avait la valeur la plus faible (11,51 %). Une différence significative (p<0,05) a été observée entre les valeurs de la composition approximative des échantillons. Cucumis sativa avait le pourcentage de CH4 le plus élevé (36,75%) tandis que le pourcentage de CH4 le plus bas (10,00%) a été observé dans la tige de Cochorus olitorius. Aucune différence significative (p < 0,05) n’a été observée entre les valeurs DMS des échantillons. La valeur de AGCC était la plus élevée pour Daucus carota (0,33) et la plus faible pour la tige de Talinum triangulare (0,07). Les résultats de la composition approximative, du pourcentage de CH4 et de la dégradabilité de la matière sèche des échantillons observés dans cette étude ont révélé qu’ils pourraient être étudiés plus avant par des essais in vivo pour établir leur pertinence comme aliments alternatifs dans l’alimentation des ruminants.
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Dissertationen zum Thema "Productivité des émissions"

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Nitschke, Jakob. „Hétérogénéité intra-industrielle de la productivité des émissions et des portefeuilles de produits“. Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2025. http://www.theses.fr/2025COAZ0002.

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Cette thèse examine comment les portefeuilles de produits influencent la productivité des émissions dans le secteur manufacturier, en remettant en question les cadres politiques qui visent à atteindre la décarbonation principalement par des gains d'efficacité. En exploitant des données d'entreprises du secteur manufacturier portugais (2004-2021), elle analyse l'hétérogénéité des intensités d'émission au sein des industries et évalue l'impact de la composition des produits sur la productivité des émissions à l'échelle des entreprises. En combinant des données administratives sur la consommation d'énergie, des bilans comptables et des ventes de produits, l'étude quantifie la mesure dans laquelle la diversité des portefeuilles de produits contribue aux écarts d'intensité d'émission.Les résultats montrent que les entreprises d'un même secteur présentent des écarts significatifs en matière de productivité des émissions, souvent plus marqués que ceux observés entre industries. L'analyse de décomposition de la variance confirme que cette hétérogénéité est largement expliquée par des facteurs propres aux entreprises plutôt que par des tendances sectorielles générales. La classification des produits en catégories à fortes et faibles émissions suggère que les entreprises dont la production est davantage orientée vers des biens à faibles émissions affichent une productivité des émissions plus élevée. Grâce à l'analyse de décomposition des indices et aux régressions sur données de panel, la thèse explore également l'évolution des intensités d'émission à l'échelle des entreprises. Les résultats indiquent que les réductions globales des émissions sont principalement associées à des gains d'efficacité, tandis que les entreprises qui ajustent leur portefeuille vers des produits à faibles émissions enregistrent des améliorations durables en matière de productivité des émissions.Ces résultats s'inscrivent dans le débat plus large sur les stratégies de décarbonation en soulignant l'importance des portefeuilles de produits en complément des améliorations d'efficacité. Si les avancées technologiques jouent un rôle clé, cette étude souligne que les stratégies de décarbonation axées uniquement sur l'amélioration de l'efficience risquent de négliger l'impact structurel de la composition de la production. Les conclusions soulèvent également des questions sur les cadres réglementaires actuels et la manière dont ils favorisent ou limitent l'orientation vers des produits à faibles émissions. En s'appuyant sur les perspectives de l'économie écologique et de la planification démocratique, cette thèse éclaire la question de savoir si les ajustements impulsés par le marché suffisent ou si des interventions réglementaires supplémentaires sont nécessaires pour faciliter des changements structurels dans la production industrielle
This thesis examines how product portfolios shape emission productivity within the manufacturing sector, questioning policy frameworks that aim to achieve decarbonization primarily through efficiency increases. Using firm-level data from the Portuguese manufacturing sector (2004-2021), it explores heterogeneity in emission intensities within narrowly defined industries and assesses the impact of product composition on firm-level emission productivity. By integrating administrative records on energy consumption, financial data, and product-level sales, the study quantifies the extent to which variations in product portfolios contribute to differences in emission intensity.The findings reveal that firms within the same industry exhibit substantial variation in emission productivity, often exceeding inter-industry differences. Variance decomposition analysis confirms that a significant share of this heterogeneity is explained by firm-level factors rather than sector-wide characteristics. A classification of products into high- and low-emission categories indicates that firms producing a greater share of low-emission goods tend to have systematically higher emission productivity. Through index decomposition analysis and firm-level panel regressions, the study further examines whether adjustments in product portfolios influence firm-level emission intensities over time. The results suggest that aggregate emission reductions have been largely driven by efficiency gains, yet firms that transition toward lower-emission products show sustained improvements in emission productivity.These findings contribute to debates on industrial decarbonization by emphasizing the role of product portfolios alongside efficiency improvements. While technological advancements play a key role, the study highlights how decarbonization strategies that focus solely on efficiency gains may overlook the structural impact of production composition. The results also raise policy questions regarding the extent to which regulatory frameworks encourage or constrain shifts toward lower-emission products. By engaging with perspectives from ecological economics and democratic planning, this thesis offers insights into whether market-driven adjustments alone are sufficient or whether additional regulatory measures are needed to facilitate structural changes in industrial production
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Michel, Klaus-Bernhard. „Economic and environmental causes and consequences of offshoring: an empirical assessment“. Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2014. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209302.

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Over the last few decades, production processes have become increasingly fragmented: they are divided into ever smaller parts considered as separate activities, which are then spread over various locations in different countries. In other words, value chains for many products are becoming global. This implies that inputs into the production process are sourced from both local and foreign suppliers. The latter mode of sourcing is commonly referred to as offshoring. Expressed as the share of imported in total intermediates, offshoring has grown relatively fast in the recent past. Moreover, its scope has been extended as it increasingly encompasses not only manufacturing but also service activities. A typical example for the former is the sourcing from abroad of parts and components for car assembly. While offshoring of manufacturing activities has been occurring since long and has been largely facilitated by trade liberalisation, the offshoring of service activities such as the provision of accounting or call centre services is a more recent phenomenon that has been fostered by the increased tradability of such services.

With the increasing scale and scope of offshoring, it becomes crucial to get a grasp of its drivers as well as the gains and threats associated with it. The latter are the focal point of the public and academic discussion around offshoring, in particular the potential threats for workers in developed economies. Typical questions that are being raised are whether offshoring leads to job losses in developed countries and whether it favours certain categories of workers and is to the disadvantage of others. These threats are directly linked to the motivations for engaging into offshoring. In this respect, wage costs play a prominent role. But other factors may also influence offshoring decisions, e.g. regulations, in particular those regarding the environment. Last but not least, offshoring may also entail gains for developed economies through the improvements in the efficiency of production. In this PhD thesis, several causes and consequences of offshoring are examined empirically for Belgium.

The first issue that is investigated is whether offshoring of materials and business services affects industry-level employment. An improved offshoring intensity measure is introduced. It is a volume measure of the share of imported intermediates in output split into materials and business services and according to the country of origin of imports, i.e. high-wage and low-wage countries. Estimations of static and dynamic industry-level labour demand equations augmented by offshoring intensities do not reveal a significant impact of either materials or business services offshoring on total employment for Belgium. This result holds for both the manufacturing sector and the service sector and it proves robust to splitting the manufacturing sector into high-technology and low-technology industries.

These results raise the question whether there are actually productivity gains from offshoring. Therefore, estimates of the impact of materials and business services offshoring on industry-level productivity in Belgium are presented. Two features of the analysis are new compared to the existing literature on this subject: the issue is examined separately for manufacturing and market services industries and the possibility of forward and backward spillovers from offshoring, i.e. that productivity gains from offshoring feed through to upstream and downstream industries, is investigated. Results show that materials offshoring has no effect on productivity, while business services offshoring leads to productivity gains in manufacturing. Furthermore, there is no evidence of either forward or backward spillovers from offshoring.

Despite the absence of an industry-level total employment effect, offshoring may alter the within-industry composition of employment. In this respect, a major concern is the worsening of the labour market position of low-skilled workers. This issue is addressed by providing evidence on the impact of offshoring on the skill structure of manufacturing employment in Belgium between 1995 and 2007. Offshoring is found to significantly lower the employment share of low-skilled workers. Its contribution to the fall in the employment share of low-skilled workers amounts to 35%. This is mainly driven by offshoring to Central and Eastern European countries. Business services offshoring also contributes significantly to the fall in the low-skilled employment share. As a complement to the existing literature, the widely used current price measure of offshoring is compared with a constant price measure that is based on a deflation with separate price indices for domestic output and imports. This reveals that the former underestimate the extent of offshoring and its impact on low-skilled employment. Finally, further results show that the impact of offshoring on low-skilled employment is significantly smaller in industries with a higher ICT capital intensity.

Furthermore, attention is drawn to environmental effects of offshoring by asking whether offshoring contributes to reducing air emissions from manufacturing. Indeed, since the mid-90’s, production-related air emissions in Belgian manufacturing have been reduced substantially. It can be shown that the pace of the reduction has been fastest for domestic intermediates. The issue of whether offshoring has played a role in this reduction by replacing domestic intermediates by imported intermediates is widely debated. Here, a decomposition analysis is developed to measure the contribution of offshoring – the share of imported intermediates in total intermediates – to the fall in air emissions for domestic intermediates. Based on the results from this decomposition analysis, it is possible to calculate that 17% of the fall in greenhouse gas emissions, 6% of the fall in acidifying emissions and 7% of the fall in tropospheric precursor emissions in Belgian manufacturing between 1995 and 2007 can be attributed to offshoring.

Finally, emission intensities are also considered as a potential determinant of offshoring. An econometric approach for testing the pollution haven effect for imported intermediate materials is developed. The approach is new with respect to the existing literature on pollution havens through its specific focus on imports of intermediates. The test is embedded in a cost function framework from which a system of cost share equations for variable input factors is derived. The set of potential determinants of the demand for imported intermediate materials includes emission intensities for three types of air pollutants. Their impact constitutes a test of the pollution haven effect. The system of cost share equations is estimated by a within ISUR using data for the Belgian manufacturing sector. Results show some albeit relatively weak evidence of a pollution haven effect for imported intermediate materials.


Doctorat en Sciences économiques et de gestion
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Elkadhi, Hayfa. „Trois essais sur les investissements dans les energies renouvelables“. Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2019. http://theses.bu.uca.fr/nondiff/2019CLFAD013_ELKADHI.pdf.

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Au cours de ces dernières années, la croissance des investissements mondiaux dans les énergies renouvelables a été rapide. En effet, les énergies renouvelables (ER) sont considérées comme une alternative pour faire face au réchauffement climatique, à la raréfaction des ressources naturelles, à l’augmentation de la demande énergétique, à la volatilité des prix de l’énergie fossile et à la répartition inégale des sources énergétiques. Nous nous proposons dans cette thèse de mener une analyse visant à approfondir les réflexions sur l’investissement dans les ER (IER). Le premier objectif consiste à évaluer le retour sur l’IER. Nous avons choisi d’évaluer théoriquement et empiriquement l’impact de l’IER sur les émissions des Gaz à Effet de Serre (GES) et sur la Productivité Totale des Facteurs (PTF). Le deuxième objectif de cette thèse vise à évaluer l’impact des instruments de soutien au développement des ER (ISER) sur l’IER. Dans le premier chapitre, nous avons montré comment la relation entre les IER et les émissions de CO2 n’est pas linéaire, mais qu’elle prend la forme d’une courbe en U inversé. En d’autres termes, les IER ont un effet positif sur les émissions de CO2 jusqu'à ce que ces investissements atteignent un niveau donné, ou un certain seuil, au-delà duquel, les IER auront un impact négatif sur les émissions de CO2. Cette relation a été testé empiriquement en utilisant la régression en panel à transition brutale (PTR : Panel Threshold Regression model). Le deuxième chapitre de la thèse explore la relation entre l’investissement en énergie renouvelable (IER) et la productivité. En nous référant à la théorie de la croissance endogène, nous avons testé empiriquement notre hypothèse principale qui stipule que l’IER affecte positivement la croissance de la Productivité Totale des Facteurs. L’étude empirique a été réalisée sur un panel de 43 pays développés et en développement, à l’aide de la méthodologie de GMM-système. Au regard des résultats obtenus, cette étude a permis de confirmer notre hypothèse. En effet l’impact positif des IER sur la croissance de la PTF s’explique par le fait que l’IER encourage le transfert technologique et occasionne d'importantes retombées de connaissances (« knowledge spillover »). L’objectif du troisième chapitre consiste à discuter le rôle et l’impact des Instruments de Soutien au développement des ER (ISER) sur l’IER. Nous nous intéressons précisément à l’efficacité des ISER pour attirer les investissements en nouvelles capacité de production d’électricité à partir de sources d’énergie renouvelable. Nous pouvons déduire de notre étude que l’amélioration des IER passe généralement par les instruments de marché, et non pas par les instruments de commande et de contrôle, à l’exception des pays à faible revenu. D’ailleurs, une combinaison entre les instruments du « Market-pull » et du « Market-push » permet de soutenir les IER. Nous remarquons aussi que le soutien des IER passe par les instruments qui affectent indirectement ces investissements. En effet, pour encourager les IER, il vaut mieux agir en amont, en incitant la recherche, de développement et de déploiement (RDD) dans le secteur des ER, et en aval, en stimulant la production d’électricité renouvelable, à travers les tarifs d’achat garanti (les « Feed-in-Tariffs» )
Recently, growth in global investments in renewable energy (IRE) has been so rapid. In fact, renewable energy (RE) is considered as an alternative to deal with global warming, with the scarcity of natural resources, with the increase in energy demand, with the volatility of fossil fuel prices and with the unequal distribution of energy sources. This study attempts to shed more light on the IRE. The study’s prime goal is to evaluate the return on the IRE. It analyses theoretically and empirically the impact of the IRE on the greenhouse gas (GHG) emissions and on Total Factor Productivity (TFP). The study’s second goal is to evaluate the effectiveness of the policies that support the development of RE. The first chapter showed how the relationship between IREs and CO2 emissions is not linear, but, rather, it follows an inverted U-shaped curve. In other words, IREs have a positive impact on CO2 emissions until the investments reach a certain level, beyond which the IREs impact on CO2 emissions becomes negative. The current study has analyzed this relationship empirically by means of the panel threshold regression (PTR) model. The second chapter explores the relationship between IRE and productivity. Referring to the theory of endogenous growth, the study empirically tested the main hypothesis, that IRE positively affects the TFP growth. The empirical study was conducted on a panel of 43 developed and developing countries, using the GMM-system methodology. Study’s findings confirm that IRE have a positive affect on the Total Factor Productivity growth. Indeed, this positive impact is theoretically explained by the fact that the IRE encourages technology transfer and it generates significant knowledge spillovers. The third chapter of the thesis discusses the role and the impact of the policies that encourage the development of RE on IRE. Specifically, in this chapter we evaluate the effectiveness of these policies to attract renewable energy investments in electricity-generating capacity. The results show that the market instruments increase the IREs, although command or control instruments have no or a negative effect, with the exception of low-income countries. Moreover, a combination of "market-pull" and "market-push" instruments can supports the IREs. We also note that IRE support goes through the instruments that indirectly affect these investments. Indeed, to encourage IREs, it is better to act upstream, by spurring research, development and deployment (RDD) in the RE sector, and downstream, by stimulating the production of renewable electricity, through Guaranteed Purchase Rates or Feed-in-Tariffs (FIT)
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Veloso, Amanda Gabriela Maia. „Modélisation spatialisée de la production, des flux et des bilans de carbone et d'eau des cultures de blé à l'aide de données de télédétection : application au sud-ouest de la France“. Toulouse 3, 2014. http://thesesups.ups-tlse.fr/2695/.

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Les terres agricoles, qui occupent plus d'un tiers de la surface continentale de la Terre, contribuent au changement climatique et sont aussi affectées par ces changements puisque leur production est contrainte par les conditions climatiques et les ressources en eau. L'objectif principal de cette thèse est donc de quantifier et d'analyser la production et aussi les principales composantes des cycles biogéochimiques du carbone et de l'eau des agrosystèmes, pour des années climatiques contrastées, afin d'identifier les meilleures stratégies pour maintenir la production et réduire les impacts environnementaux. Ce travail a été focalisé sur les cultures de blé du sud-ouest de la France. Pour répondre à cet objectif nous proposons une approche de modélisation spatialisée qui combine : i) des données de télédétection optique à hautes résolutions spatiale et temporelle, ii) des modèles de culture semi-empiriques et iii) un ample dispositif de mesures in-situ pour la calibration et la validation des modèles. L'utilisation combinée de ces trois outils offre de nouvelles perspectives pour la modélisation et le suivi des agrosystèmes à l'échelle régionale et globale
The agricultural lands that occupy more than one third of Earth's terrestrial surface contribute to climate change and are also impacted by those changes, since their production is conditioned by climatic conditions and water resources. The main objective of this thesis is therefore to quantify and analyze the production and also the main components of the carbon and water biogeochemical cycles for crop ecosystems in contrasted climatic years, focusing specifically on the winter wheat crop, in order to identify the best strategies for maintaining crop production and reducing environmental impacts. The study area is located in southwest France. We propose a regional modeling approach that combines: i) high spatial and temporal resolutions optical remote sensing data, ii) simple crop models and iii) an extensive set of in-situ measurements for models' calibration and validation. The combined use of these three 'tools' opens new perspectives for advanced agro-ecosystems modeling and monitoring at regional or global scales
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Bücher zum Thema "Productivité des émissions"

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Harchaoui, Tarek M. Prise en compte des émissions de gaz à effet de serre dans le cadre conventionnel d'estimation de la productivité. Ottawa: Direction des études analytiques, Statistique Canada, 2002.

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Rob, Smith, Kabrelyan Dmitry, Statistique Canada. Division de l'analyse micro-économique. und Statistique Canada. Direction des études analytiques., Hrsg. Prise en compte des émissions de gaz à effet de serre dans le cadre conventionnel d'estimation de la productivité. Ottawa, Ont: Division de l'analyse micro-économique, Statistique Canada, 2002.

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Harchaoui, Tarek M. L' impact des émissions de gaz à effet de serre sur la croissance de la productivité au Canada, 1981-1996: Une approche expérimentale. Ottawa: Direction des études analytiques, Statistique Canada, 2002.

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4

Pierre, Lasserre, Statistique Canada. Division de l'analyse micro-économique. und Statistique Canada. Direction des études analytiques., Hrsg. L' impact des émissions de gaz à effet de serre sur la croissance de la productivité au Canada, 1981-1996: Une approche expérimentale. Ottawa, Ont: Division de l'analyse micro-économique, Statistique Canada, 2002.

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Berichte der Organisationen zum Thema "Productivité des émissions"

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de Marcellis-Warin, Nathalie, François Vaillancourt, Ingrid Peignier, Molivann Panot, Thomas Gleize und Simon Losier. Obstacles et incitatifs à l’adoption des technologies innovantes dans le secteur minier québécois. CIRANO, Mai 2024. http://dx.doi.org/10.54932/dlxt6536.

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Le présent rapport de recherche vise à identifier et à mieux comprendre les obstacles et les incitatifs à l'adoption de technologies innovantes dans le secteur minier québécois en phase d'exploitation, tout en examinant l'impact potentiel des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) sur cette adoption. Le constat initial, en se basant sur les plus récentes données publiées par Statistique Canada (période 2017-2019), soulignait un certain retard du secteur minier québécois en matière d'innovation par rapport à d'autres secteurs industriels ainsi qu’un certain retard en termes d’innovations organisationnelles par rapport aux compagnies minières ontariennes. Ce projet vise à mettre à jour ces constats, en particulier à la lumière des changements économiques des cinq dernières années. L'investissement minier au Québec a d’ailleurs connu une augmentation en 2022 par rapport aux cinq années précédentes. Le premier volet du projet repose sur une revue approfondie de la littérature concernant l'innovation minière et la finance durable, établissant ainsi une base solide de connaissances. Le deuxième volet du projet vise à actualiser les constats émanant de la littérature et à les valider, infirmer ou nuancer en les appliquant spécifiquement au contexte québécois. Cette phase a impliqué des entretiens avec 30 acteurs clés du secteur, complétés par plus de 50 rencontres informelles lors d'événements sectoriels. L'innovation au sein du secteur minier est considérée comme un levier créateur d'avantages compétitifs, engendrant des économies de coûts, une amélioration de l'efficacité et de la productivité, tout en offrant des avantages plus difficilement quantifiables, tels que la réduction des risques en matière de santé/sécurité, d'environnement, et de réputation. Toutefois, l'adoption des innovations dans le secteur minier est influencée par trois catégories de facteurs : les caractéristiques économiques inhérentes au secteur, notamment l’intensité en capital et l’aspect cyclique de l’industrie minière ; le contexte organisationnel complexe du secteur, axé sur la gestion des risques et marqué par une aversion aux pertes ; l'écosystème spécifique du secteur au Québec, caractérisé par des acteurs aux intérêts parfois divergents, qui rend parfois complexe la gouvernance des données, surtout dans un contexte d'intensification de la transformation numérique de l'industrie. L’essor des critères ESG dans le secteur minier crée de nouveaux défis. La demande croissante de transparence de la part des investisseurs peut impacter les entreprises, en particulier les sociétés minières, où le maintien de la licence sociale d'exploitation demeure crucial. Au-delà des émissions de gaz à effet de serre, une transparence accrue concernant les impacts sociaux et environnementaux devient essentielle. Bien que le lien entre la performance ESG et financière ne fasse pas l'objet d'un consensus actuellement, des pratiques ESG déficientes sont perçues comme préjudiciables. Le suivi précis des données ESG et une transparence reposant sur des cadres communs seront utiles pour anticiper d'éventuelles réglementations à venir. En conclusion, il est essentiel d'orienter les investissements vers des technologies durables, de promouvoir la collaboration avec tous les intervenants de l'industrie et de se préparer à une transparence accrue sur les critères ESG, harmonisée à l'échelle industrielle.
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Les forêts françaises face au changement climatique. Académie des sciences, Juni 2023. http://dx.doi.org/10.62686/6.

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Les forêts françaises couvrent 31% du territoire métropolitain. Elles contribuent de multiples façons au bien-être humain (production de bois, purification de l’air et de l’eau, maintien des sols, habitat pour la biodiversité, alimentation, santé, activités récréatives, etc.) et participent aux Objectifs de Développement Durable fixés par l’ONU. En particulier, la France s’étant engagée à atteindre la neutralité carbone dès 2050, le rôle de puits et de stockage de carbone des forêts est considéré comme un élément majeur de sa Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC). Depuis quelques années, les forêts françaises, dont la surface n’avait cessé de croître depuis plus d’un siècle, connaissent, de façon inquiétante, une diminution de productivité, des dépérissements massifs et un risque incendie accru. Le changement climatique en cours met ainsi en péril les ressources forestières et leur contribution attendue pour préserver la biodiversité, favoriser le développement rural et la bioéconomie, renforcer la production de bois, assurer le bien-être sociétal et équilibrer le bilan carbone de la France. Les enjeux sont considérables et l’orchestration des mesures à prendre s’avère extrêmement délicate en raison de la diversité des attentes de la société. L’Académie des sciences dresse ici un état des lieux des connaissances actuelles sur les diverses contributions des forêts à la société, puis identifie les défis à relever au regard des menaces actuelles et à venir. Finalement, elle présente un ensemble de recommandations pour assurer simultanément la résilience des forêts, leur rôle de puits de carbone, la production de bois, la préservation de la biodiversité, et la qualité des autres contributions du milieu forestier au bien-être humain. Les recherches scientifiques devront porter sur les connaissances nécessaires à la compréhension du bilan carbone des forêts, l’adaptation du milieu forestier au changement climatique et l’efficience d’utilisation du bois. Des modèles capables de simuler l’évolution des forêts en réponse aux perturbations naturelles et anthropiques ainsi que les pratiques sylvicoles doivent être développés. Les données nécessaires à leur validation (composition des peuplements, biomasse aérienne et souterraine, flux de carbone) doivent être acquises et diffusées largement. La prise en compte des facteurs physico-chimiques, biologiques, économiques et sociaux dans l’évaluation des enjeux liés aux forêts nécessite des études interdisciplinaires. Enfin, une méthodologie vérifiable et transparente de calcul des émissions évitées grâce aux usages du bois est nécessaire pour évaluer la contribution des produits bois aux objectifs de la SNBC. Un effort majeur de gestion forestière est nécessaire pour optimiser à l’échelle nationale l’adaptation des forêts au changement climatique, la production de bois et la préservation de la biodiversité. Ces pratiques doivent être flexibles, évolutives et adaptées au contexte socio-écologique local. Pour gérer les effets du changement climatique par une stratégie sans regrets, la structure des peuplements devra être ajustée en favorisant la sylviculture à couvert continu, en ajustant les densités de peuplement aux conditions hydriques, en augmentant la diversité des essences, en évitant autant que possible les coupes rases dont les impacts écologiques et climatiques sont trop importants, et en conservant des vieux arbres qui sont des refuges pour la biodiversité et représentent un patrimoine génétique à préserver. Le rôle de la filière bois sera crucial pour la réussite de la transition énergétique. La filière devra optimiser son bilan carbone depuis le prélèvement en forêt jusqu’au recyclage des produits bois et des connexes de scierie. Sa réindustrialisation doit être soutenue afin de permettre la transformation du bois français en France, le développement des produits bois à longue durée de vie, la valorisation des bois de feuillus, et une maîtrise à court terme des volumes de produits à courte durée de vie. Les politiques publiques devront accompagner la filière forêt-bois de manière cohérente pour assurer le succès de la transition énergétique. La récente diminution du puits net de carbone des forêts appelle à une révision urgente de la SNBC dont les objectifs ne seront pas tenus. D’autres scénarios doivent être évalués sur un temps long et en s’inscrivant dans une approche écosystémique et multifonctionnelle de la forêt. Enfin la gouvernance forestière devra mieux prendre en compte les intérêts et souhaits des différents acteurs.
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