Literatura académica sobre el tema "Distractibilité"
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Artículos de revistas sobre el tema "Distractibilité"
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Pêcheux, Marie-Germaine, F. Findji y J. Ruel. "Attention visuelle et distractibilité chez des bébés de 3 à 5 mois". L'année psychologique 101, n.º 2 (2001): 201–19. http://dx.doi.org/10.3406/psy.2001.29553.
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Babin, Claudia, Carole-Anne Boulet, Alex Pépin, Charlélie Bénard y François Vachon. "Impulsivité et distractibilité : les conversations téléphoniques en arrière-plan sont-elles particulièrement dérangeantes ?" Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 10, n.º 2 (20 de noviembre de 2020): 11–13. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v10i2.40769.
Texto completoResumen
Les différentes théories de l’impulsivité suggèrent que la présence plus prononcée de ce trait de personnalité est liée à une plus grande susceptibilité à la distraction. Une distractibilité accrue pourrait être particulièrement problématique dans les environnements caractérisés par la présence de bruits ambiants comme les bureaux à aire ouverte. La recherche montre notamment que les conversations en arrière-plan sont dérangeantes, plus spécifiquement les demilogues, ces conversations téléphoniques où un seul interlocuteur est entendu. Ainsi, la présente étude vise à vérifier si les individus plus impulsifs sont plus sensibles à l’effet de demilogue que ceux moins impulsifs. Pour ce faire, 60 adultes effectuent une tâche de bureau informatisée écologique en présence d’un demilogue, d’un dialogue (où les deux interlocuteurs peuvent être entendus) ou en silence. À l’aide de deux mesures auto-rapportées de l’impulsivité, les participants sont groupés selon leur niveau d’impulsivité : faible ou élevé. Les résultats montrent une diminution de la performance en présence de dialogue et de demilogue, sans égard au niveau d’impulsivité. La sensibilité à l’effet de demilogue n’est donc pas influencée par le niveau d’impulsivité. Ces résultats vont à l’encontre des théories existantes, remettant ainsi en question l’association entre impulsivité et distractibilité.
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Piat, N., A. Amestoy, K. Etcheghoyen, J. R. Cazalets y M. Bouvard. "Observation des fonctions attentionnelles et de l’inhibition dans l’autisme au travers de différents outils d’évaluation incluant la réalité virtuelle". European Psychiatry 28, S2 (noviembre de 2013): 68–69. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.180.
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Contexte scientifique et objectifLes troubles attentionnels ne font pas partie des critères diagnostiques actuels de l’autisme. Pourtant, son intégration au sein du trouble du spectre autistique (TSA) ou sa considération en tant qu’élément comorbide est encore à ce jour débattue. Cette étude a pour objectif l’observation des fonctions attentionnelles d’enfants avec un TSA au moyen de trois situations d’évaluation différentes : test papier crayon, informatique et pour la première fois à notre connaissance un outil de réalité virtuelle.Matériels et méthodesÉvaluation des performances attentionnelles et de l’inhibition de 17 enfants avec un TSA sans retard mental comparés à une population contrôle de 17 enfants appariés en âge et sexe, au travers d’une épreuve écrite d’attention soutenue (R. Zazzo & al., 1969), de trois épreuves informatisées évaluant l’inhibition, la distractibilité et l’attention soutenue (KITAP, P. Zimmermann & al., 2002) ainsi qu’une épreuve de type CPT évaluant l’attention soutenue grâce à un paradigme go/no go mis en présence de distracteurs au sein d’un environnement de classe virtuelle (A. Rizzo & al., 2006).RésultatsAu travers des trois situations d’évaluation, les enfants avec un TSA font plus d’erreurs et d’omissions que les enfants contrôles (p < 0,05). Leurs capacités d’inhibition tendent à être altérées mais de manière non significative dans l’évaluation informatisée (p = 0,1). Nous retrouvons des corrélations positives significatives entre chaque évaluation fonctionnelle réalisée (p < 0,05) hormis entre l’épreuve écrite et de réalité virtuelle (p = 0,09).Conclusions et perspectivesCes résultats sont en faveur de l’hypothèse d’un profil attentionnel commun au sein du TSA incluant altération de l’attention soutenue et distractibilité. Concernant l’inhibition, nos résultats s’avèrent moins concluant, en accord avec les données actuelles de la littérature. Les corrélations positives retrouvées entre nos trois situations d’évaluations suggèrent l’existence de bénéfices potentiels que pourraient apporter les outils de réalité virtuelle dans l’évaluation fonctionnelle des enfants présentant un TSA.
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Weibel, S. y G. Bertschy. "Dépression mixte dans le DSM 5 : y a-t-il du nouveau ?" European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 565. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.242.
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La dépression mixte correspond à un état dépressif où coexistent des éléments d’excitation de la lignée hypomaniaque. Si le tableau a déjà été décrit par les auteurs classiques, il a été remis à jour depuis les années 1990 et notamment par Koukopoulos. Cependant, jusqu’alors, les classifications internationales ignoraient totalement ce tableau puisque les critères du DSM-IV pour un état mixte étaient particulièrement étroits, requérant la présence d’un plein syndrome maniaque associé à un plein syndrome dépressif. La conséquence est une carence d’études sur la question et des incertitudes sur les principes de prise en charge. Le DSM 5 a annoncé et mis en œuvre un changement dans l’approche des états mixtes, et permettant notamment un diagnostic de dépression mixte : à un diagnostic d’épisode dépressif peut être associé un « spécificateur de caractéristiques mixtes ». Il requiert la présence de trois symptômes maniaques en plus de critères pour un épisode dépressif majeur. Mais sont exclus de la liste des symptômes maniaques l’agitation, l’irritabilité et la distractibilité : ils sont considérés pouvant être à part entière des symptômes de dépression. Nous passons en revue les arguments issus de la littérature suggérant que cette définition des dépressions mixtes est encore probablement trop restrictive, inadaptée par rapport à la réalité clinique, et présentant un certain nombre de contradictions. Ainsi, nous argumentons que ces nouveaux critères n’apportent pas plus de clarté dans le diagnostic de dépression mixte, et ne permettent pas d’améliorer ce diagnostic souvent méconnu. Cela pourrait avoir des incidences sur l’avancée des connaissances sur la caractérisation clinique, la thérapeutique et le pronostic des dépressions mixtes.
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Bertschy, G. "La dépression mixte". European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.022.
Texto completoResumen
La dépression mixte correspond à un syndrome dépressif avec des éléments d’activation psychomotrice de la lignée hypomaniaque. Cette situation pathologique reste mal connue des cliniciens alors qu’elle est présente chez 10 à 20 % des patients dépressifs. Sa faible reconnaissance a été probablement liée à l’absence de ce concept dans les classifications internationales. Le DSM-5 a proposé une refonte de la définition des états mixtes, dépassant une conception particulièrement restrictive dans le DSM-IV. Des « caractéristiques mixtes » peuvent servir de spécificateur pour un épisode de trouble de l’humeur, dépressif ou maniaque. La dépression avec caractéristique mixte est définie par la présence de trois symptômes de la lignée maniaque associée à la dépression, hors agitation, distractibilité ou irritabilité. L’approche proposée par le DSM-5 manque de cohérence clinique et est finalement assez difficile à appliquer. Surtout elle ne permet pas d’identifier la majorité des dépressions mixtes. En effet les formes les plus fréquentes bien décrites dans les travaux de Koukopoulos ou Bennazzi se caractérisent par des symptômes hypomanes peu spécifiques comme l’irritabilité et l’agitation psychomotrice (ou parfois surtout l’absence de ralentissement psychomoteur) et des symptômes hypomanes limités à l’activation psychique qui s’exprime notamment à travers la tachypsychie subjective (avec des caractéristiques phénoménologiques différentes de celle de l’hypomanie) et la pression du discours. Les patients avec une dépression mixte sont particulièrement à risque de conduites suicidaires, d’abus de substances mais surtout de résistance thérapeutique car, même si on manque d’essais cliniques à leur sujet, ces patients non seulement nécessitent la prescription de thymorégulateurs mais aussi le plus souvent un arrêt des antidépresseurs qui ont souvent induit le caractère mixte de la dépression.
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Burkett, Lee N., Megan A. Todd y Troy Adams. "Yoga and distractibility". Journal of Bodywork and Movement Therapies 10, n.º 4 (octubre de 2006): 276–86. http://dx.doi.org/10.1016/j.jbmt.2005.08.007.
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Bergman, Andrea, John O'Brien, Gregory Osgood y Barbara Cornblatt. "Distractibility in schizophrenia". Psychiatry Research 57, n.º 2 (julio de 1995): 131–40. http://dx.doi.org/10.1016/0165-1781(95)02590-s.
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Clark, Chagit E., Edward G. Conture, Tedra A. Walden y Warren E. Lambert. "Speech-Language Dissociations, Distractibility, and Childhood Stuttering". American Journal of Speech-Language Pathology 24, n.º 3 (agosto de 2015): 480–503. http://dx.doi.org/10.1044/2015_ajslp-14-0198.
Texto completoResumen
Purpose This study investigated the relation among speech-language dissociations, attentional distractibility, and childhood stuttering. Method Participants were 82 preschool-age children who stutter (CWS) and 120 who do not stutter (CWNS). Correlation-based statistics (Bates, Appelbaum, Salcedo, Saygin, & Pizzamiglio, 2003) identified dissociations across 5 norm-based speech-language subtests. The Behavioral Style Questionnaire Distractibility subscale measured attentional distractibility. Analyses addressed (a) between-groups differences in the number of children exhibiting speech-language dissociations; (b) between-groups distractibility differences; (c) the relation between distractibility and speech-language dissociations; and (d) whether interactions between distractibility and dissociations predicted the frequency of total, stuttered, and nonstuttered disfluencies. Results More preschool-age CWS exhibited speech-language dissociations compared with CWNS, and more boys exhibited dissociations compared with girls. In addition, male CWS were less distractible than female CWS and female CWNS. For CWS, but not CWNS, less distractibility (i.e., greater attention) was associated with more speech-language dissociations. Last, interactions between distractibility and dissociations did not predict speech disfluencies in CWS or CWNS. Conclusions The present findings suggest that for preschool-age CWS, attentional processes are associated with speech-language dissociations. Future investigations are warranted to better understand the directionality of effect of this association (e.g., inefficient attentional processes → speech-language dissociations vs. inefficient attentional processes ← speech-language dissociations).
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Carey, William B. "Distractibility as an Asset". Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics 25, n.º 6 (diciembre de 2004): 434. http://dx.doi.org/10.1097/00004703-200412000-00008.
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Alting, Therese y Roslyn Markham. "Test Anxiety and Distractibility". Journal of Research in Personality 27, n.º 2 (junio de 1993): 134–37. http://dx.doi.org/10.1006/jrpe.1993.1009.
Texto completoTesis sobre el tema "Distractibilité"
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Condy, Carine. "La distractibilité : bases neurales, pharmacologie et modèles expérimentaux". Paris 6, 2007. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00808982.
Texto completoResumen
La distractibilité est un syndrome qui se caractérise par une réactivité exagérée d’un individu vis-à-vis de son environnement. Il a été démontré que des atteintes limitées au cortex préfrontal dorsolatéral (CPFDL) sont responsables d’un tel syndrome chez l’homme. Ce trouble peut être quantifié par un test spécifique et sensible appelé « test des antisaccades ». Ce syndrome se rencontre dans de nombreuses pathologies neurodégénératives telles que la Paralysie supranucléaire progressive (PSP) ou encore psychiatriques telles que la schizophrénie. L’objectif de cette recherche est de tenter de mieux comprendre ce syndrome de distractibilité à la fois sur le plan anatomique et pharmacologique. Le projet anatomique débute par une étude chez l’homme de lésions au niveau sous cortical pour déterminer l’implication réelle du sous cortex dans ce syndrome. Afin d’apporter des données indiscutables sur le rôle du CPFDL dans la distractibilité, nous avons réalisé une étude chez le primate de microinjections intracérébrales de muscimol au niveau de cette aire cérébrale. L’approche pharmacologique a consisté à réaliser un modèle animal de distractibilité en reproduisant chez le primate ce syndrome par administration de kétamine à dose subanesthésique. Celle-ci est connue pour induire des symptômes « shizophréniques like » avec des troubles liés à un dysfonctionnement du cortex préfrontal. La seconde étude a pour but d’évaluer l’effet d’un inhibiteur de l’acétylcholine estérase sur le syndrome de distractibilité chez des patients atteints de PSP. Cette recherche, en particulier les études chez le primate devraient permettre à terme de développer une thérapeutique pour enrayer ce trouble.
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Marcastel, Agathe. "Impulsivité et distractibilité chez des adultes TDAH : évaluation, potentiels évoqués et remédiation". Thesis, Lyon, 2019. http://www.theses.fr/2019LYSE2019/document.
Texto completoResumen
My objectives are twofold: 1/ investigating the cognitive and electrophysiological mechanisms of response inhibition in healthy or ADHD adults, 2/ providing a training program to reduce impulsivity. According to Braver (2012), action regulation permits to control impulsivity in two ways: proactive inhibition, effected before motive commands and reflected in an event related potential (ERP) in the N2 wave, and reactive inhibition, a rapid correction mechanism interrupting a motor process already well underway, reflected by the P3 waveMy objectives are twofold: 1/ investigating the cognitive and electrophysiological mechanisms of response inhibition in healthy or ADHD adults, 2/ providing a training program to reduce impulsivity. According to Braver (2012), action regulation permits to control impulsivity in two ways: proactive inhibition, effected before motive commands and reflected in an event related potential (ERP) in the N2 wave, and reactive inhibition, a rapid correction mechanism interrupting a motor process already well underway, reflected by the P3 wave
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Rochais, Céline. "L'attention chez le cheval domestique (Equus caballus) : caractéristiques individuelles et facteurs de modulation". Thesis, Rennes 1, 2015. http://www.theses.fr/2015REN1S031/document.
Texto completoResumen
Ce travail porte sur l'attention chez le cheval domestique. Il vise, dans un premier temps, à évaluer les capacités d'attention des chevaux grâce au développement d'outils de mesure. Nous avons ainsi développé deux tests comportementaux permettant d'évaluer respectivement l'attention visuelle (e.g. test d'attention visuelle, VAT) et auditive (e.g. test de diffusion de sons inhabituels, AAT). Les résultats montrent que ces tests comportementaux permettent la mesure de caractéristiques attentionnelles stables au cours du temps et prédictives de l'attention (i.e. VAT) et de la distractibilité (i.e. AAT) du cheval dans d'autres contextes, à savoir lors d'un test d'attention communément utilisé chez d'autres espèces (the ''5-choice serial reaction time task''), mais aussi en contexte non expérimental comme lors du travail (e.g. exercice à la longe, en reprise). Nos résultats montrent, par ailleurs, des variations individuelles d'attention d'ordre qualitatif (structuration et niveau de l'attention) et quantitatif (durée d'attention). Dans un second temps, nous avons examiné certains facteurs de modulation (intrinsèques et extrinsèques) de l'attention du cheval. Les tests développés ont alors été appliqués dans différents sites équestres. Les résultats montrent que l'attention des chevaux est modulée : i) par des facteurs intrinsèques tels que la race, le sexe des individus ou encore leur état de bien-être; et ii) par des facteurs extrinsèques tels que les conditions de vie offertes aux chevaux, le travail et particulièrement la discipline d'équitation. Enfin, nous nous sommes interrogés sur la possibilité de promouvoir l'attention du cheval au travail via des actions humaines spécifiques. Nous avons ainsi montré que l'utilisation d'une récompense alimentaire augmente rapidement l'attention du cheval sur la tâche à réaliser, et en conséquence améliore ses performances d'apprentissage, tandis que de tels effets n'ont pas été obtenus avec une « récompense » tactile. L'ensemble de ce travail permet des avancées méthodologiques novatrices pour appréhender les capacités cognitives du cheval et ses facteurs de variation. Ces résultats permettront de conseiller les utilisateurs de chevaux en termes de choix d'animaux, de gestion des séances de travail et des conditions de vieThis study investigated attention in domestic horse. It aims, firstly, to evaluate horses’ attentional abilities by developing experimental tests. To this end, we developed behavioural visual attention (VAT) and auditory attention (AAT) tests. The results show that these behavioural tests give accurate measures of horses’ attentional characteristics. These measures are stable over time and can predict an individual’s attention (VAT) and distractibility (AAT) during another attention-testing paradigm frequently used in other species (the ‘5-choice serial reaction time task’) and in a non-experimental context: work (e.g. lunge or riding lessons). Furthermore, our results show qualitative (structure and level of attention) and quantitative (duration of attention) variations of attention between individuals. Secondly, we studied both intrinsic and extrinsic factors modulating attention in horses. The tests developed have been used across several equestrian sites. Horses’ attention appears to be modulated by: i) intrinsic factors such as an individual’s breed, gender or welfare state and ii) by extrinsic factors such as an individual’s living condition, work and especially the riding discipline. We finally investigated the possibility of promoting horses’ attention while working via dedicated human actions. We showed that using food rewards rapidly increases horses’ attention on the task and, as a consequence, improves their learning performances. These effects were not found with tactile ‘reward’. In summary, this work has led to innovative methodological improvements to assess horses’ cognitive abilities and the factors influencing them. These results have useful applications to guide horse-handlers through animal selection, work session management and choosing optimised living conditions
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Condy, Carine. "LA DISTRACTIBILITE : BASES NEURALES, PHARMACOLOGIE ET MODELES EXPERIMENTAUX". Phd thesis, Université Pierre et Marie Curie - Paris VI, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00808982.
Texto completoResumen
La distractibilité est un syndrome qui se caractérise par une réactivité exagérée d'un individu vis-à-vis de son environnement. Il a été démontré que des atteintes limitées au cortex préfrontal dorsolatéral (CPFDL) sont responsables d'un tel syndrome chez l'homme. Ce trouble peut être quantifié par un test spécifique et sensible appelé " test des antisaccades ". Ce syndrome se rencontre dans de nombreuses pathologies neurodégénératives telles que la Paralysie supranucléaire progressive (PSP) ou encore psychiatriques telles que la schizophrénie. L'objectif de cette recherche est de tenter de mieux comprendre ce syndrome de distractibilité à la fois sur le plan anatomique et pharmacologique. Le projet anatomique débute par une étude chez l'homme de lésions au niveau sous cortical pour déterminer l'implication réelle du sous cortex dans ce syndrome. Afin d'apporter des données indiscutables sur le rôle du CPFDL dans la distractibilité, nous avons réalisé une étude chez le primate de microinjections intracérébrales de muscimol au niveau de cette aire cérébrale. L'approche pharmacologique a consisté à réaliser un modèle animal de distractibilité en reproduisant chez le primate ce syndrome par administration de kétamine à dose subanesthésique. Celle-ci est connue pour induire des symptômes " shizophréniques like " avec des troubles liés à un dysfonctionnement du cortex préfrontal. La seconde étude a pour but d'évaluer l'effet d'un inhibiteur de l'acétylcholine estérase sur le syndrome de distractibilité chez des patients atteints de PSP. Cette recherche, en particulier les études chez le primate devraient permettre à terme de développer une thérapeutique pour enrayer ce trouble.
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Clery, Helen. "Etude physiopathologique en électrophysiologie et en IRM fonctionnelle des processus de perception automatique du changement visuel dans l'autisme". Thesis, Tours, 2012. http://www.theses.fr/2012TOUR3316/document.
Texto completoResumen
L’intolérance au changement est fréquemment observée dans l'autisme et s'exprime dans toutes les modalités sensorielles. L’objectif de ce travail était d’étudier la perception automatique du changement visuel chez des enfants et adultes avec autisme via un paradigme oddball passif. En utilisant l’électrophysiologie, des réponses atypiques aux changements visuels mêmes mineurs, ont été mises en évidence dans l’autisme, quel que soit l'âge, suggérant une hyperdistractibilité des patients. De plus, l’utilisation de l’IRMf a permis de révéler, lors de la présentation d’un changement visuel, une hyperactivation du cortex sensoriel associée à une hyperactivation du cortex cingulaire antérieur, d’autant plus élevée que les patients avaient des traits autistiques marqués. Cette étude suggère donc qu’une hyper-réactivité sensorielle associée à des troubles de l’attention visuelle sélective contribueraient aux troubles de perception du changement et aux difficultés d'adaptation dans l’autismeResistance to change is often reported in autism spectrum disorders (ASD) and may occur in all sensory modalities. The aim of the present work was to investigate automatic visual change detection in children and adults with ASD using a passive oddball paradigm. Whatever the age, electrophysiological results showed atypical responses to, even minor, changes, suggesting an hyper distractibility in the patients. Besides, fMRI results revealed hyperactivation of the sensory cortex associated with hyperactivation of the anterior cingulate cortex in adults with ASD, the latest being correlated with the degree of autistics symptoms. These studies thus suggest that a sensory hyper-reactivity associated with visual selective attention deficits might contribute to atypical change perception and adaptation in ASD
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Brand, Sarah Louise. "Task switching and distractibility". Thesis, University College London (University of London), 2008. http://discovery.ucl.ac.uk/1444120/.
Texto completoResumen
In this thesis I examined the effects of task switching on people's ability to ignore irrelevant distractors. Load theory proposes that distractor interference critically depends on the availability of executive control to minimise the effects of irrelevant stimuli (e.g. Lavie, 2000). Much work on task switching suggests that task switching demands executive control in order to prepare for and implement a switch between tasks (e.g. Monsell, 2003 Rubinstein, Meyer, & Evans, 2001). I therefore hypothesised that the executive demand of a task switch will result in reduced ability to reject irrelevant distractors in selective attention tasks. The research reported provided support for this hypothesis by showing that task switching results in greater distractor interference as measured with the "flanker task" (e.g. Eriksen & Eriksen, 1974) and with the attentional capture task (e.g. Theeuwes, 1990), even when there was no overlap between the stimuli and responses for the two tasks, and when task-repeated and switch trials were presented within the same block (in AAABBB designs). This research also showed that dissociable executive demands were involved in switching tasks (AAABBB), compared with mixing tasks (ABAB versus AAA), and these executive demands were found to control rejection of distractors in the flanker task and attentional capture task, respectively. In addition, task switching reduced internal distraction by task-unrelated thoughts. The contrast between the effects of task switching on internal versus external sources of distraction further supported the involvement of executive control in task switching. Finally, individual differences in operational span capacity predicted the magnitude of task switching costs and flanker interference effects, suggesting the involvement of executive control in both abilities. Overall, this research highlights a new consequence of task switching on selective attention and distractibility, supporting predictions derived from prevalent views on the role of executive control in task switching and selective attention.
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Aks, Deborah June. "Predicting individual differences in distractibility". Thesis, University of British Columbia, 1988. http://hdl.handle.net/2429/28146.
Texto completoResumen
Little is known about what makes one individual distractible while another is not. This study approaches this problem by assessing the effectiveness of various personality, arousal, intelligence and subjective report variables as predictors of how one will respond to the presence of distractors during a speeded visual search task. The inability to screen out stimuli which are independent of the targeted task defines distractibility. The search task used here, involving item matching under speeded conditions, was administered to 308 subjects under visual and auditory distractor conditions. Each predictor of distractibility is treated as a separate subexperiment for purposes of clarity.
Measures of state and trait arousal as well as subjective reports of distractibility were ineffective predictors of susceptibility to distractibility. The results were more encouraging for specific personality and intelligence variables which turned out to be effective predictors of distractibility. These findings indicate that the prototype of a distractible individual is one who tends to be higher in obsessive/compulsive and Type A behavior patterns and lower in intelligence.Arts, Faculty of
Psychology, Department of
Graduate
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Boyd, Lee-Ann Michelle. "Selective attention and distractibility in children with Down syndrome". Thesis, McGill University, 1992. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=61282.
Texto completoResumen
The goal of this study was to examine selective attention and distractibility within the visual modality in children with Down syndrome as compared to children of normal intelligence matched for mental age. Selective attention was defined as the children's abilities to identify and respond to a target stimulus on a forced choice reaction time task. Distractibility was considered to be the extent to which the children's performances on the task were interfered with by extraneous stimuli in the visual field. Conditions on the task varied with regard to the presence or absence and location (close and far) of distracting stimuli and the presence or absence and size (small, medium and large) of boundary cues. Participants included 10 children with Down syndrome and 10 children of normal intelligence matched for mental age. The primary finding of this study was that the performance of children with Down syndrome was more adversely affected by the presence of distractors than that of the children of normal intelligence. This finding indicates that children with Down syndrome suffer from selective attention deficits and increased distractibility. The selective attention of children with Down syndrome is characterized as distractor-controlled as a result of a defective attentional (zoom) lens that "wanders" in visual space.
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Skogsholm, Lauren. "Distractibility, Impulsivity, and Activation of Top-down Control Resources". Thesis, Boston College, 2011. http://hdl.handle.net/2345/1977.
Texto completoResumen
Thesis advisor: Elizabeth KensingerThesis advisor: Katherine Mickley Steinmetz
Distractibility and impulsivity have long been thought of as two separate psychological processes; however, there is currently evidence that suggests otherwise. The aim of this study was to gain a better understanding on the behavioral level of the interaction between these two traits. I proposed a model in which some individuals have a higher than average threshold for activation of the top-down cognitive control resources that are important for directing and maintaining attention as well as for regulating impulsive behaviors. To test the strength of this model I used an experimental paradigm that combined two different types of tasks—a spatial working memory task and a delay discounting of a primary reward (juice) task. Participants were administered the Conners’ Adult ADHD Rating Scale in order to be classified in terms of their trait distractibility and trait impulsivity subscale scores. The results suggest that there is indeed an association between the traits of distractibility and impulsivity, and that they may be linked by a common mechanism involving a variable threshold of activation of top-down control resources to regulate these behaviors
Thesis (BS) — Boston College, 2011
Submitted to: Boston College. College of Arts and Sciences
Discipline: College Honors Program
Discipline: Psychology
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Wu, Qiong. "Does Infants' Socially-guided Attention Uniquely Predict Language Development?" Diss., Virginia Tech, 2014. http://hdl.handle.net/10919/54571.
Texto completoResumen
The purpose of this study was to examine whether infants' social attention, as well as their joint attention behaviors uniquely predicted emerging language abilities. This longitudinal study examined attention regulation skills, joint attention behaviors, infants' expressive/receptive language (current), emerging communication abilities at 16- and 17-month-old (time 1); expressive/receptive language (subsequent) at 18- 19-month-old (time 2). Infants' sustained attention was measured by their attention control to a central stimulus in the presence of a distracter competing for their attention. Dynamic human face (upright, inverted) and abstract display with their matched voice tracks were used to separately measure infants' attention regulation to different types of events. Infants' sustained attention was estimated by their latencies away from central stimuli to distracters, as well as their fixation duration and gaze count on central events and distracters. It was found that infants' latency away from the abstract figure toward the distracter was the only variable that significantly negatively predicted current expressive vocabulary.
Initiating joint attention was observed to significantly predict infants' abilities in current receptive vocabulary. The emerging language communication ability predicted expressive vocabulary at two times. In addition, infants' fixation and count to the upright speaker's face and eyes contributed significant amount of variance in initiating joint attestation. The fixation and gaze count on the distracter in the upright condition significantly predicted infants' emerging language skills.Ph. D.
Libros sobre el tema "Distractibilité"
1
Matte, Lise. Distractibility and anxiety effects in a working memory task. Sudbury, Ont: Laurentian University, Department of Psychology, 1989.
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2
That memory book: Distractibility, forgetfulness and other unnerving high jinks of the middle-aged brain. London: Virago, 2007.
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Safren, Steven A., Susan E. Sprich, Carol A. Perlman y Michael W. Otto. Mastering Your Adult ADHD. Oxford University Press, 2017. http://dx.doi.org/10.1093/med:psych/9780190235581.001.0001.
Texto completoResumen
The treatment program outlined in this book is designed for use by a therapist who is familiar with cognitive-behavioral therapy (CBT). The program helps adult clients with ADHD learn skills to help them cope with their symptoms. Core modules on organizing and planning, reducing distractibility, and adaptive thinking are included, as is an optional module on reducing procrastination. An informational meeting can also be included with a spouse, partner, or family member. The guide concludes with a discussion of how to help the client handle slips and maintain the gains made in treatment. This revised version of the therapist guide incorporates many changes from the first edition, including an enhanced discussion of how to incorporate technology into the treatment and new “signposts of change” sections in each chapter.
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Safren, Steven A., Susan E. Sprich, Carol A. Perlman y Michael W. Otto. Mastering Your Adult ADHD. Oxford University Press, 2017. http://dx.doi.org/10.1093/med:psych/9780190235567.001.0001.
Texto completoResumen
This client workbook is an accompaniment to the therapist guide for the second edition of Mastering Your Adult ADHD. The treatment and manuals are designed for clients to complete with the help of a therapist who is familiar with cognitive-behavioral therapy. The program helps adult clients with ADHD learn skills to help them cope with their ADHD symptoms. Core modules on organizing and planning, reducing distractibility, and adaptive thinking are included, as is an optional session on reducing procrastination. The book also provides information regarding holding an informational meeting with a spouse, partner, or family member. The workbook concludes with a discussion of how the client can maintain the gains made in treatment. This revised version of the client workbook incorporates many changes from the first edition, including an enhanced discussion of how to incorporate technology into the treatment and revised worksheets.
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Sprich, Susan y Steven A. Safren. Overcoming ADHD in Adolescence. Oxford University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/med-psych/9780190854485.001.0001.
Texto completoResumen
This Client Workbook is an accompaniment to the Therapist Guide, Overcoming ADHD in Adolescence: A Cognitive Behavioral Approach. The treatment and manuals are designed for clients to complete with the help of a therapist who is familiar with cognitive behavioral therapy (CBT) and/or other structured therapeutic approaches. The program is designed to help adolescent clients with attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD) learn skills to help them cope with their ADHD symptoms. Core modules on organizing and planning, reducing distractibility, and adaptive thinking are included, as is an optional module on reducing procrastination. The emphasis is primarily on teaching the adolescent how to learn skills to combat ADHD and function independently. Information is provided regarding how to include parents in the treatment: inviting a parent or parents in at the end of sessions, including parents in goal setting in joint sessions with the adolescent, and optional coaching sessions without the adolescent present. The guide concludes with a discussion of how to help clients maintain the gains that they have made in treatment. The client workbook and therapist guide include a discussion of how to incorporate technology into the treatment and a “signposts of change” section in each chapter. The manuals include many worksheets and forms, as well as a link to an assessment measure that can be used repeatedly to gauge progress in treatment.
7
Sprich, Susan y Steven A. Safren. Overcoming ADHD in Adolescence. Oxford University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/med-psych/9780190854522.001.0001.
Texto completoResumen
This Therapist Guide is accompanied by a Client Workbook entitled, Overcoming ADHD in Adolescence: A Cognitive Behavioral Approach. The treatment and manuals are designed for clients to complete with the help of a therapist who is familiar with cognitive behavioral therapy (CBT) and/or structured therapeutic approaches. The program is designed to help adolescent clients with attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD) learn skills to help them cope with their ADHD symptoms. Core modules on organizing and planning, reducing distractibility, and adaptive thinking are included, as is an optional module on reducing procrastination. The emphasis is primarily on teaching the adolescent how to learn skills to combat ADHD and function independently. Information is provided regarding how to include parents in the treatment: inviting a parent or parents in at the end of sessions, including parents in goal setting in joint sessions with the adolescent, and optional coaching sessions without the adolescent present. The guide concludes with a discussion of how to help the client maintain the gains that they have made in treatment. The Client Workbook and Therapist Guide include a discussion of how to incorporate technology into the treatment and “signposts of change” sections in each chapter. The manuals include many worksheets and forms as well as a link to an assessment measure that can be used repeatedly to gauge progress in treatment.
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Eyre, Janet. Clinical approach to developmental neurology. Oxford University Press, 2011. http://dx.doi.org/10.1093/med/9780198569381.003.0171.
Texto completoResumen
The objectives and principles of neurological history and examination in children are the same as those in adults. This chapter therefore, will not provide an all-encompassing description of the neurological assessment of children, but highlights where the approach must differ substantially from that used in adults. Further it aims to provide a practical and useful approach to the examination of children, who may be preverbal and certainly will show less stamina for cooperation than adults. Of course as children get older, the examination can become more conventional and systematized. By adolescence the examination can be the same as the adult examination.The first and overriding factor for success is to be flexible and to make observations when the opportunity arises rather than to wait for abnormalities to arise during the course of a more systematic approach. Nonetheless a systematic approach to recording these results is essential, so as to bring together related observations made disparately in time. The history is of paramount importance in guiding the examination. Since it is unlikely that you will be able to complete a full examination, it is important to prioritize the observations needed in light of a differential diagnosis before you begin examining. Rather than rushing straight into the examination it is rewarding to gain a young child’s confidence by playing briefly with them. Also, instead of insisting on examining the child on a couch, it helps to become adept at examining young children on their parent’s or caretaker’s knee. Finally, no matter how cooperative a child is, potentially disturbing investigations should be left until last, including tendon reflexes or examination of the tongue, fundi, and ears. Otherwise all subsequent cooperation from the child may be lost after these examinations.The examination room environment is the key to a successful neurological examination and requires careful thought. There should be sufficient space to accommodate families and for the children to play. The room needs to be friendly and conducive to encouraging play. It needs to be equipped with carefully selected toys, pictures, pencils and paper, and books of interest to children over a wide age range. Observation of the child’s play whilst you are taking a history from the parents or caregivers will allow assessment of the child’s motor skills and developmental stage. Their use of play material can yield important clues to the nature of a deficit, by revealing ataxia, weakness, involuntary movements, tics, or spasticity. Play also provides an opportunity to assess the child’s behaviour, for instance their impulsivity, distractibility, and attention span. Interaction of the child with parents or caregivers can be observed also. If the child participates actively in the history taking, their understanding and contribution to the session allows you to make assessments of their language and intellectual skills.
Capítulos de libros sobre el tema "Distractibilité"
1
Flaada, Julie Testa y Benjamin Grover-Manthey. "Distractibility". En Encyclopedia of Clinical Neuropsychology, 1202–4. Cham: Springer International Publishing, 2018. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-57111-9_235.
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2
Courage, Mary L. "Distractibility". En Encyclopedia of Personality and Individual Differences, 1167–71. Cham: Springer International Publishing, 2020. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-24612-3_1066.
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3
Courage, Mary L. "Distractibility". En Encyclopedia of Personality and Individual Differences, 1–5. Cham: Springer International Publishing, 2016. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-28099-8_1066-1.
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4
Flaada, Julie Testa. "Distractibility". En Encyclopedia of Clinical Neuropsychology, 877–78. New York, NY: Springer New York, 2011. http://dx.doi.org/10.1007/978-0-387-79948-3_235.
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5
Stavrinos, Despina y Benjamin K. Barton. "Distractibility". En Encyclopedia of Child Behavior and Development, 516–17. Boston, MA: Springer US, 2011. http://dx.doi.org/10.1007/978-0-387-79061-9_875.
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6
Flaada, Julie Testa y Benjamin Grover-Manthey. "Distractibility". En Encyclopedia of Clinical Neuropsychology, 1–3. Cham: Springer International Publishing, 2017. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-56782-2_235-2.
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7
Ritvo, Ariella Riva, Fred R. Volkmar, Karen M. Lionello-Denolf, Trina D. Spencer, James Todd, Nurit Yirmiya, Maya Yaari et al. "Racing Thoughts, Distractibility, and Psychomotor Agitation". En Encyclopedia of Autism Spectrum Disorders, 2490. New York, NY: Springer New York, 2013. http://dx.doi.org/10.1007/978-1-4419-1698-3_101132.
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8
Barry, Tammy D., Karin Fisher, Kristy M. DiSabatino y Theodore S. Tomeny. "Distractibility: Interrupted by an inability to ignore." En The dark side of personality: Science and practice in social, personality, and clinical psychology., 189–207. Washington: American Psychological Association, 2016. http://dx.doi.org/10.1037/14854-010.
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9
Chong, Isis y Thomas Z. Strybel. "Differences in Driver Distractibility Between Monolingual and Bilingual Drivers". En Lecture Notes in Computer Science, 180–89. Cham: Springer International Publishing, 2015. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-20618-9_18.
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10
Chen, Shanshan, Yiqian Zhao, Tianyu Wu y Yajun Li. "Exploring Relationships Between Distractibility and Eye Tracking During Online Learning". En Advances in Neuroergonomics and Cognitive Engineering, 254–66. Cham: Springer International Publishing, 2021. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-030-80285-1_31.
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