Articles de revues sur le sujet « Féminisme dans la littérature »

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Rangira, Béatrice Gallimore. « Écriture féministe ? écriture féminine ? » Études françaises 37, no 2 (9 septembre 2004) : 79–98. http://dx.doi.org/10.7202/009009ar.

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Résumé :
Résumé Consacré aux auteures et aux critiques de la littérature « féministe » de l’Afrique francophone subsaharienne, cet article revient sur les controverses dont cette littérature a fait l’objet. Le féminisme, originaire de l’Occident, a une connotation négative en Afrique parce qu’il s’accorde mal avec les réalités de ce continent. Les écrivaines africaines qui adoptent le féminisme comme une voie possible de libération de la femme africaine, de son écriture et de son corps doivent faire face à la censure du lecteur/critique qui lui-même conditionne leurs écrits et les force à s’engager dans un processus perpétuel de négociations discursives. Malgré la controverse qui entoure cette écriture, les écrivaines et les critiques féministes africaines s’entendent pour dire que le mouvement féministe est porteur de valeurs socioculturelles proprement occidentales. Aussi faut-il faire preuve de beaucoup de circonspection lorsqu’on applique les théories féministes aux textes de la littérature africaine.
2

Corbeil, Christine, et Isabelle Marchand1. « Penser l’intervention féministe à l’aune de l’approche intersectionnelle ». Le dossier : Les pratiques pour contrer la violence : entre l’intervention, la prévention et la répression 19, no 1 (5 avril 2007) : 40–57. http://dx.doi.org/10.7202/014784ar.

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Résumé :
Depuis la fin des années 1980, l’efficacité théorique et mobilisatrice de la pensée féministe, fréquemment dépeinte comme « blanche » et occidentale, a été remise en cause notamment par des féministes afro-américaines, hispano-américaines et indiennes. À l’intérieur même des études féministes et du mouvement des femmes émerge donc un questionnement sur la capacité du féminisme à prendre en compte l’hétérogénéité des statuts sociaux et des expériences des femmes. En d’autres termes, le féminisme est remis en question quant à sa capacité à élaborer une analyse de l’oppression des femmes qui reconnaît les effets conjugués du sexisme, du racisme, du « classisme » ou encore de l’homophobie. Dans le présent article, nous exposons dans un premier temps les principales critiques émises par des féministes noires et d’autres issues de groupes minoritaires à l’endroit du mouvement des femmes. Dans un deuxième temps, nous mettons en perspective le point de vue de chercheures et de thérapeutes féministes américaines ayant renouvelé leur vision et leurs pratiques d’intervention à la lumière de ces critiques. Dans un troisième temps sera précisée la signification du concept d’intersectionnalité, tel qu’il émerge dans la littérature féministe et, dans un quatrième temps, nous examinons l’apport de ce nouveau paradigme à l’intervention féministe appliquée auprès des femmes victimes de violence conjugale. En conclusion, nous signalerons quelques-uns des enjeux et des défis que pose l’intégration de l’approche intersectionnelle à l’intervention féministe.
3

Nnadi, Joseph. « Représentations des identités masculine et féminine en littérature jeunesse d’Afrique et du Canada : Quelques exemples ». Jeunesse : Young People, Texts, Cultures 1, no 1 (juin 2009) : 52–66. http://dx.doi.org/10.3138/jeunesse.1.1.52.

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Selon la Guinéenne, Hadja Sarang Seck, l’imaginaire n’a pas de frontières. Cet article se veut une étude comparative de la littérature jeunesse des deux côtés de l’Atlantique—du Canada et de l’Afrique. Les ressemblances se trouvent surtout au niveau de la représentation des identités masculines et féminines. Malgré les bagages culturels différents qui les inspirent, les œuvres évoquées ici tendent non seulement à sanctionner l’inconscient collectif de leurs auteurs adultes, mais à conserver les préjugés collectifs de leur milieu respectifs. Pourtant, une différence importante se remarque: la littérature jeunesse de Sarang Seck prend un accent décidemment plus féministe que celle des écrivains canadiens. Ses œuvres respirent un « féminisme africain », nourri du principe de la relativité du féminisme peu connu en Occident. Si le mouvement féministe atteint son apogée en Occident dans les années 1960, il est encore d’actualité dans plusieurs pays d’Afrique occidentale.
4

Vonarburg, Élisabeth. « La science-fiction et les héroïnes de la modernité ». Philosophiques 21, no 2 (8 août 2007) : 453–57. http://dx.doi.org/10.7202/027286ar.

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RÉSUMÉ Il y a une convergence obligée entre SF et féminisme. D'abord la SF a 'pour ancêtre l'utopie, et imagine donc des modèles de société autres, tout comme le féminisme est obligé de le faire; ensuite, la SF permet d'aborder les problèmes des femmes d'un point de vue créatif et non réactif comme la littérature normative; enfin la distance mythique retrouvée dans la SF permet aux auteures et lectrices d'accéder pleinement au registre héroïque, qui leur est souvent dénié par la littérature normative.
5

Saint-Jacques, Denis, et Marie-José des Rivières. « Le féminisme problématique d’un roman d’amour, Anne Mérival ». Articles 24, no 1 (14 septembre 2011) : 61–76. http://dx.doi.org/10.7202/1006077ar.

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Résumé :
L’article s’intéresse à un roman de Madeleine, Anne Mérival, publié dans le magazine canadien-français La Revue moderne, en octobre, novembre et décembre 1927. Après une présentation de Madeleine et de son milieu, suit un résumé de la trame du roman. Puis l’article esquisse une brève histoire du roman d’amour et de ses rapports avec la littérature légitime et indique sa variante dominante dans les magazines canadiens-français de la première partie du XXe siècle. Cela permet de voir par quels traits Anne Mérival relève de la littérature de grande consommation et quels sont ses rapports avec la littérature légitime de l’époque. L’article s’interroge enfin sur le caractère féministe du roman. Se pourrait-il qu’Anne Mérival, roman écrit par une femme, inédit en livre, raconte une histoire inattendue?
6

Théry, Chantal, et Claudia Raby. « Jeanne Lapointe : un art et une éthique du dialogue ». Articles 21, no 1 (26 juin 2008) : 59–78. http://dx.doi.org/10.7202/018309ar.

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Cet article veut mieux faire connaître Jeanne Lapointe (1915-2006), première professeure de littérature à l’Université Laval (1940-1987), intellectuelle, artisane de la Révolution tranquille et féministe québécoise de premier plan. Jeanne Lapointe est surtout connue pour son exceptionnelle participation à deux commissions royales d’enquête décisives : la commission Parent (1961-1966) sur l’enseignement dans la province de Québec et la commission Bird (1967-1970) sur la situation de la femme au Canada. Le premier prix Elsie-Gregory-MacGill a d’ailleurs été décerné à Jeanne Lapointe, en 1986, pour son engagement et ses activités féministes et multidisciplinaires. Les auteures insistent surtout, dans leur article, sur des aspects méconnus de la carrière de Jeanne Lapointe, révélés, après son décès, grâce à la création du fonds Jeanne-Lapointe (aux archives de l’Université Laval) et aux recherches effectuées par Claudia Raby pour son mémoire de maîtrise (2007). La collaboration de Jeanne Lapointe à la revue Cité libre, à la critique et à la vie littéraires québécoises, l’audace et la clairvoyance, à l’égard de l’institution universitaire, de son mémoire « Humanisme et humanités » présenté en mai 1958, permettent de mieux mesurer son apport à la société québécoise et canadienne, à la modernité littéraire et à la pensée postmoderne. Sa passion pour la littérature et le monde de l’éducation, son constant souci du dialogue, son fervent féminisme et son sens de l’éthique s’en trouvent enrichis.
7

Žakelj, Špela. « La subjectivité littéraire dans _La cité des dames_ ». Voix Plurielles 8, no 2 (26 novembre 2011) : 160–71. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v8i2.451.

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L’expression du féminisme dans la littérature médiévale est liée à l’expression de la subjectivité. En refusant d’être une femme incompétente ou un objet sexuel Christine de Pizan décide de répondre à la misogynie médiévale à travers ses oeuvres littéraires, surtout dans la Cité des Dames, ville imaginaire construite selon le goût des femmes.
8

Current, Emily. « refus de se taire : L’écriture de la maladie comme travail féministe ». Voix Plurielles 19, no 2.2 (5 décembre 2022) : 631–52. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v19i2.3663.

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À travers l’étude de deux autopathographies, Petite de Geneviève Brisac et Hors de moi de Claire Marin, cet article propose de réfléchir à une écriture féministe de la maladie. Dans un premier temps, nous examinons les façons dont Brisac et Marin dévoilent et dénoncent une médecine hostile aux femmes. Nous réfléchissons ensuite aux contraintes éthiques que les auteures doivent affronter lorsqu’elles relatent leur souffrance. Ancrée dans le féminisme « rabat-joie » (concept articulé par Sara Ahmed et revisité par Erin Wunker), cette réflexion soutient la littérature fournit un lieu essentiel où les écrivaines malades ou guéries peuvent refuser un silence qui leur est imposé à la fois par l’établissement médical et par la société en général. En refusant une pression vers le bonheur et vers le silence, des auteures telles que Brisac et Marin peuvent entreprendre le devoir féministe de dévoiler et dénoncer les oppressions qui les font souffrir.
9

Detering, Heinrich. « Les Vagabondes. Le Retour des héroïnes picaresques dans le roman allemand ». Études littéraires 26, no 3 (12 avril 2005) : 29–43. http://dx.doi.org/10.7202/501053ar.

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Alors que les héroïnes picaresques traditionnelles n'apparaissent que dans des récits écrits par des hommes, des écrivaines du XXe siècle ont développé une littérature picaresque résolument «féminine». L'article montre cette transformation du schéma narratif traditionnel par l'analyse d'un récit picaresque populaire du XVIIIe siècle en regard des romans de Irmgard Keun dans la République de Weimar et de Barbara Frischmuth dans l'Autriche contemporaine. Ainsi se fait voir, dans le tissu de la littérature «féministe», un fil à la fois émancipateur et amusant.
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Dagenais, Huguette. « Recherches féministes de la fin des années 1980 : des voix/voies multiples et convergentes ». Introduction 2, no 2 (12 avril 2005) : 1–13. http://dx.doi.org/10.7202/057557ar.

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Dans cette introduction, l'auteure présente, en soulignant les convergences, les sept articles et notes de recherche consacrés respectivement au pouvoir dans les petits groupes mixtes (S. Landry), aux itinéraires familiaux et professionnels des femmes gestionnaires (C. Andrew, C. Coderre, A. Daviau et A. Denis) et des fermières (A.-M. Rieu), au féminisme chrétien du début du XXe siècle (M.-A. Cliche), à la théorisation de l'existence lesbienne (L. Chamberland), au développement d'une sémiotique féministe (M. Beauregard) et aux femmes dans le monde de la littérature (M.-J. des Rivières; P. Dionne et C. Théry). Malgré cette diversité de thèmes, de cadres théoriques et de méthodes, l'auteure note, en effet, des convergences dans l'attention portée à la dimension politique des rapports sociaux de sexe, tant au niveau micro que macrosocial, et dans la prise en compte par les chercheuses de la complexité des vies de femmes, du changement social et des résistances au changement. Elle termine en insistant sur la nécessité de préciser davantage les définitions et la terminologie désignant les divers niveaux, lieux et manifestations de pouvoir si l'on veut éviter la confusion dans l'évaluation du changement social.
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Fitriana, Vina, Sunahrowi Sunahrowi et Ahmad Yulianto. « Le Genre et la Sexualité dans le Roman l’Amant de Marguerite Duras : Une Étude Selon Le Féminisme de Stevi Jackson ». Lingua Litteratia Journal 7, no 1 (29 mai 2020) : 6–9. http://dx.doi.org/10.15294/ll.v7i1.38817.

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Résumé :
La littérature est divisée en deux, celle imaginative et celle non-imaginative. La littérature nonimaginative se compose de l’essais, des critiques, des notes biographiques et des lettres, tandis que la littérature imaginative se compose de la poésie, de la prose et du drame. Un exemple de la littérature imaginative est le roman. Marguerite Duras est une femme écrivaine qui est née à GiaDinh (L’Indochine-Française/ Viêt nam) en 1914. Ses œuvres sont beaucoup inspirés par sa propre histoire de vie et son amour pour la littérature. Son roman intitulé L’Amant est publié par les Éditions de Minuit en 1948, a reçu le prix Goncourt en 1986. Le roman français de Marguerite Duras est un roman du style autobiographique. Ce roman raconte le voyage de l’amour de l’écrivaine est très belle, très intime et plein de mystère. Le roman d’autobiogaphique est une histoire d’amour intéressante. Ce type de roman est populaire dans cette époque. Ce roman a été également traduit en Anglais. C’est pourqoui le chercheur a choisi ce roman comme object matériel. Pour découvrir les faits de l’historique dans le roman L’Amant, le chercheur l’a examiné en utilisant la théorie du féminisme de Stevi Jackson, sur le genre et la sexualité du personnage. Cette recherce se concentre sur les faits historiques dans l’œuvre elle-même, donc cette étude utilise une approche objective, afin d’exploiter autant que possible ces éléments, et en utilisant les techniques de bibliographie pour l’acquisition de données comme source écrite. Le chercheur a utilisé la methode analytique descriptive dans cette recherche. Le chercheur décrit les faits qui sont suivi par analyse en utilisant des mots ordinaires, et non sous forme de nombres, de graphique, ou de tableaux. Le chercheur a analysé comment le rôle du genre de personnage principale, la mère,le frère et l’influence du genre sur le personnage principale ou le jeune fille, ensuite la sexsualité de jeune fille et d’homme chinois. Le résultat d’analyse montre que le jeune fille a été influencé sur la discussion du genre et de la sexualité.
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Mansbridge, Jane, et Shauna L. Shames. « Vers une théorie du backlash : la résistance dynamique et le rôle fondamental du pouvoir1 ». Articles 25, no 1 (12 juillet 2012) : 151–62. http://dx.doi.org/10.7202/1011121ar.

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Pour comprendre théoriquement la notion de backlash, il faut, en règle générale, dégager une terminologie analytiquement utile de l’ensemble de ses associations politiques usuelles. Dans l’usage courant, le backlash est associé à une réaction conservatrice à un changement social et politique progressiste (ou libéral) et l’ouvrage de Faludi (1991) est un classique du genre. Dans cet article, toutefois, les auteures visent une définition non idéologique du backlash qui s’inscrit dans une approche un peu plus neutre de son étude. Dans l’usage courant, le backlash comprend autant des actes de persuasion véritable que des actes de pouvoir. Pour leur part, les auteures soutiennent qu’il serait plus utile, sur le plan analytique, d’employer ce terme uniquement pour les actes de pouvoir coercitif. Elles se basent en ce sens sur la littérature sociologique sur les mouvements sociaux et les contre-mouvements de même que sur la littérature de science politique sur le pouvoir, les préférences et les intérêts. Les exemples apportés par les auteures sont tirés principalement du contexte étatsunien et des débats sur le genre et le féminisme. Elles commencent donc là où le processus de backlash lui-même commence, avec le pouvoir et la remise en question du statu quo.
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Bergeron, Danielle. « Le féminin, un espace autre pour le désir ». Dossier : Les Québécoises : dix ans plus tard 15, no 1 (19 octobre 2006) : 145–64. http://dx.doi.org/10.7202/031547ar.

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Résumé La littérature psychanalytique s'est développée autour du concept d'un espace pour le désir structuré selon le modèle des rapports du garçon à sa mère. La clinique de la féminité, concurremment avec l'apport historique du féminisme, découvre-t-elle un espace autre pour le désir féminin ? La psychotique pour qui la place du père est restée vide dans la parole de la mère, refuse la Loi comme représentant de l'autorité sociale. Quant à l'hystérique, elle ne se fie pas au Père comme rempart contre le vide qui se profile derrière les Lois et les croyances des hommes. À sa façon, le féminisme reprend, en les projetant sur la scène sociale, ces positions de refus psychotique et de contestation hystérique et requiert de nouvelles formes de vie sociale qui s'articulent à l'espace esthétique dont les femmes ont besoin pour vivre comme citoyennes à part entière.
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Perron, Dominique. « Denise Bombardier, pamphlétaire ». Études 20, no 3 (29 août 2006) : 630–48. http://dx.doi.org/10.7202/201193ar.

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Résumé Cette étude vise à l'identification des traits génériques du pamphlet tels qu 'ils se présentent dans l'essai polémique de Denise Bombardier, La Déroute des sexes, publié en 1993- L'ouvrage de Marc Angenot, La Parole pamphlétaire (1982), est le modèle théorique auquel on a eu recours pour l'analyse des particularités rhétoriques et argumentatives de ce type de littérature d'idées; il en ressort que la trame discursive est truffée de paradoxes et de contradictions ne pouvant trouver leur résolution que dans une mystique finale ne visant rien de moins que la dénonciation des acquis du féminisme contemporain. Ainsi est démontré, sur la base d'une analyse serrée de son discours, que ce court essai correspond avec une exactitude idéologique remarquable au mouvement de la revanche antiféministe tel que l'a articulé en 1991 Susan Faludi dans son étude Backlash.
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Pagé, Geneviève. « La lente intégration du queer au féminisme québécois francophone : douze ans de résistance et le rôle de passeur des Panthères roses ». Canadian Journal of Political Science 50, no 2 (juin 2017) : 535–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423917000506.

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RésuméLe voyage et l'appropriation des théories queer dans les milieux féministes francophones du Québec ont été particulièrement longs et ardus, appelant un questionnement non seulement sur les raisons de ce retard, mais aussi sur les dimensions qui ont permis, ultimement, l'intégration des théories queer chez les féministes francophones. Combinant des outils analytiques en provenance de la littérature sur la diffusion des mouvements sociaux (passeurs ou brokers, cadres interprétatifs, répertoires d'action collective, etc.) et une approche en idées politiques, nous analysons l'insertion des théories queer chez les féministes en deux temps. Dans un premier temps, les intellectuelles féministes critiquent de manière assez généralisée les théories queer, critiques regroupées en 3 axes : 1) la déconstruction des femmes et des lesbiennes en tant que sujet politique ; 2) l'investissement dans l'univers symbolique du politique comme espace de subversion, au détriment des relations matérielles et des structures de pouvoir ; et 3) la disparition de la spécificité lesbienne et l'absence de remise en question des privilèges masculins dans les mouvements queer. Dans un deuxième temps, le travail de passeur des Panthères roses–groupes queer radical–permet la traduction des cadres (frame bridging) et leur inscription dans un répertoire d'action reconnaissable des féministes, répondant ainsi à deux des trois axes de critiques. Nous avançons donc que ce rôle de passeur permettra d'ouvrir une brèche qui, rapidement, permettra l'inscription et l'intégration, même si conflictuelles, du queer dans les milieux féministes francophones.
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Godard, Barbara. « La traduction comme réception : les écrivaines québécoises au Canada anglais ». TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, no 1 (29 juillet 2003) : 65–101. http://dx.doi.org/10.7202/006801ar.

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Résumé :
Résumé S'inspirant de la théorie de Pierre Bourdieu de la stratification violente du « champ de production culturelle » et de la théorie d'André Lefevere de la médiation hégémonique du patronage dans la survivance des oeuvres littéraires, cet essai analyse la ré-écriture de la littérature québécoise au Canada anglais par le biais des pratiques de traduction. Toronto (et New York) contribuent à la légitimation de la littérature québécoise : les maisons d'éditions anglophones choisissent ce que l'on traduit et qui le traduit — des processus de séléction qui ont féminisé la culture québécoise comme alternative au matérialisme américain. Les romans de Gabrielle Roy, Anne Hébert, et Marie-Claire Blais ont été intégrés pleinement au système littéraire anglo-Canadien où, ré-écrits comme « réalistes » et présentant une image d'un Québec unilingue anglais, ils ne circulent que dans le champ de grande production ou le champ de la production restreinte, addressés à la bourgeoisie. En dépit de l'hypothèse de Carolyn Perkes, cependant, l'écriture d'une génération féministe plus jeune (Nicole Brossard, France Théoret, etc.) n'a pas transformé les normes du champ littéraire cannadien-anglais. Un nouveau genre de « fiction/théorie» s'est développé au Canada anglais, mais il ne circule que dans le champ de production marginale (les presses féministe et d'avant-garde) sans la reconnaissance d'autres positions dans le champ culturel. En effet, dans cette fiction/théorie, la thématique du langage, qui met en relief l'asymétrie du pouvoir entre l'anglais et le français, a été fortement critiquée parce qu'elle enfreint les normes de la purété linguistique et du sens transparent qui structurent le champ de la production restreinte. Un dialogue entre féministes à travers les langues a influencé l'écriture des écrivaines québécoises pour qui le motif de la traduction informe quelques romans récents. Répondant par un jeux de variations à la violence d'une subordination symbolique, ces romans entreprennent le travail du deuil pour l'objet perdu (la mère absente, la langue unique) en employant la traduction comme une figure de perlaboration. La traduction n'implique pas la tragédie d'une perte de la langue, mais un excès carnavalesque de la répétition dans beaucoup de langues potentielles. La traduction constitue alors un accès privilégié à une créativité autre.
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Guyot, Adrien. « Carrière, Marie. Médée protéiforme. Ottawa : Les Presses de l’Université d’Ottawa, 2012. » TranscUlturAl : A Journal of Translation and Cultural Studies 5, no 1-2 (28 mars 2014) : 216. http://dx.doi.org/10.21992/t9v336.

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Médée, figure féminine incontournable de la mythologie grecque, mère coupable de fratricide et d’infanticide, a longtemps fasciné lecteurs, écrivains et chercheurs. Si le personnage de Médée constitue par son acte un être unique dans la mythologie, force est de constater que l’infanticide est un sujet prisé de la littérature féminine actuelle. Comparatiste de formation, Marie Carrière, professeure de littérature à l’Université de l’Alberta où elle dirige également le Centre de littérature canadienne (CLC), propose à ce titre de se pencher sur huit œuvres : La Médée d’Euripide (1986) de Marie Cardinal, Flowers & No More Medea (1994) de Deborah Porter, Médée, Récits de femmes et autres histoires (1986) de Franca Ramee et Dario Fo, The Hungry Woman : A Mexican Medea (2001) de Cherrie Moraga, New Medea (1974) de Monique Bosco, Médée : voix (2004) de Christa Wolf, Petroleum (2004) de Bessora et Le livre d’Emma (2002) de Marie-Célie Agnant). Ces œuvres, aussi différentes soient-elles par leur contexte, revisitent, à travers des procédés d’écriture et de réécriture variés, le mythe de Médée (l’infanticide apparaissant comme source de différend) et façonnent de manière ou d’autre, le discours féministe actuel.
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Amboulé Abath, Anastasie, Marie-Ève Campbell et Geneviève Pagé. « La pédagogie féministe : sens et mise en action pédagogique ». Articles 31, no 1 (25 juillet 2018) : 23–43. http://dx.doi.org/10.7202/1050652ar.

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Les auteures abordent la pédagogie féministe du point de vue des membres du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). Elles s’appuient sur une démarche inductive pour circonscrire et comprendre leurs conceptions de la pédagogie féministe, leurs pratiques pédagogiques féministes, examiner les facteurs qu’elles désignent comme des obstacles ou des catalyseurs par rapport à sa mise en action et connaître les stratégies qu’elles utilisent afin de contourner ces obstacles. Pour ce faire, les auteures ont revisité les différentes définitions de cette pédagogie dans la littérature féministe. Ainsi, 25 ans après la parution des premiers textes en français sur la pédagogie féministe, les données issues du sondage interne et d’une demi-journée de discussion avec des membres du RéQEF révèlent que peu de choses ont changé : les définitions, les stratégies et les obstacles d’une pédagogie féministe sont sensiblement les mêmes. Les auteures se penchent également sur les quatre débats qui ont émergé des discussions : 1) l’importance de révéler la position située de la personne enseignante peu importe le contexte; 2) la distinction entre bonnes pratiques pédagogiques et pratiques pédagogiques féministes; 3) la distinction entre une pédagogie anti-oppression et une pédagogie féministe; et 4) la place relative donnée aux savoirs expérientiels comparativement aux savoirs savants.
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Papillon, Joëlle. « Les lignes du désir de Chloé Savoie-Bernard et de Marilou Craft : féministe rabat-joie et de travail de la diversité dans la littérature québécoise ». @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise 14, no 1 (2 juillet 2019) : 126–47. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v14i1.4311.

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Gallichan, Gilles. « Jeanne d’Arc au Nouveau Monde ». Les Cahiers des Dix, no 72 (28 février 2019) : 1–66. http://dx.doi.org/10.7202/1056412ar.

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Résumé :
Jeanne d’Arc, la célèbre Pucelle d’Orléans, a connu un destin historique peu commun. Elle rejoint au panthéon les plus grandes figures de l’histoire française. Qui plus est, l’Église catholique, qui l’avait jadis condamnée, en a fait une sainte en 1920. Le Canada français a découvert Jeanne d’Arc au tournant du siècle par la presse, par une abondante littérature, par le théâtre et par les chansons. Le clergé catholique a fait d’elle un idéal patriotique. Dès lors, son image a été annexée au nationalisme et à la défense des droits linguistiques et religieux des Canadiens français. Le féminisme s’en est aussi emparé, le prénom « Jeanne-d’Arc » s’est popularisé et on lui a érigé des monuments et, dans les églises, on a offert ses statues à la dévotion populaire. Cet article évoque le passage de la figure johannique de la France vers l’Amérique francophone au XIXe et dans la première moitié du XXe siècle.
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Brabant, Carole, Donna Mergler et Karen Messing. « Va te faire soigner, ton usine est malade : la place de l’hystérie de masse dans la problématique de la santé des femmes au travail ». Dossier : Les Québécoises : dix ans plus tard 15, no 1 (19 octobre 2006) : 181–204. http://dx.doi.org/10.7202/031549ar.

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Résumé :
Résumé L'hystérie de masse se déduit comme l'occurrence épidémique d'une série de symptômes physiques en l'absence de désordre organique et d'agent pathogène identifiables. En dépit de larges variations individuelles et contextuelles, une étonnante similarité unit les différents épisodes rapportés dans la littérature : présence d'un événement déclencheur, progression et régression rapide de symptômes diffus et prédominance de femmes parmi les cas. Nous résumons les recherches dans ce domaine et discutons de la surreprésentation des femmes à travers les hypothèses rattachées à : 1- la biologie et le poids de la socialisation différentielle des hommes et des femmes ; 2- la mauvaise évaluation des risques environnementaux, organisationnels et ergonomiques dans les milieux où l'on assiste à l'hystérie de masse. L'interprétation féministe, en filigrane, s'attaque au préjugé de la vulnérabilité féminine pour mettre en lumière la sous-estimation de la pénibilité des conditions de travail des femmes.
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Demeule, Fanie. « Rousseur fatale dans La peau blanche de Joël Champetier ». Voix Plurielles 17, no 1 (27 avril 2020) : 34–47. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v17i1.2469.

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Résumé :
L’article s’intéresse à la figure de la femme fatale rousse dans le roman d’horreur québécois La peau blanche (2003) de Joël Champetier. Si les criminelles de Champetier reprennent des traits stéréotypiques liés à la rousseur genrée au féminin, tels que la sexualité perverse et la criminalité, nous observons comment ces personnages offrent aussi un potentiel féministe progressiste, entre autres parce qu’ils constituent un groupe féminin non repentant et victorieux. C’est cette tension entre persistance et subversion de la figure de la femme fatale rousse que nous proposons d’analyser chez Champetier. Mots-clés : Femme fatale ; figure rousse ; succube ; littérature populaire ; littérature de l’imaginaire ; littérature québécoise ; Joël Champetier ; La peau blanche
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Carandina, Elisa. « Stratégies littéraires dans la littérature féminine israélienne ». Yod, no 14 (1 octobre 2009) : 233–46. http://dx.doi.org/10.4000/yod.393.

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Siyan, Jin. « La littérature féminine dans la Chine d'aujourd'hui ». Perspectives chinoises 74, no 1 (2002) : 44–54. http://dx.doi.org/10.3406/perch.2002.2808.

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Bashevkin, Sylvia. « Party Talk : Assessing the Feminist Rhetoric of Women Leadership Candidates in Canada ». Canadian Journal of Political Science 42, no 2 (juin 2009) : 345–62. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423909090325.

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Résumé :
Abstract.This study examines public statements by female candidates for the leadership of major federal parties in the period 1975–2006, with reference to the conceptual literature on political representation. Was the willingness of women politicians to voice feminist rhetoric more closely related to extra-parliamentary dynamics, notably the changing fortunes of feminist and antifeminist movements, or to parliamentary factors, including the ideological as well as competitive circumstances of their parties? The empirical discussion suggests feminist content was particularly strong in the language of Rosemary Brown for the NDP in 1975, Kim Campbell for the PCs in 1993 and Martha Hall Findlay for the Liberals in 2006. Overall results point toward the utility of a two-pronged perspective that merges a parliamentary view that centre-left through centre-right parties, as well as those in an opposition or weak governing position, were more likely sites of feminist discourse than hard right and firmly competitive parties, with a movement-focused approach that explains the diminished use of representational rhetoric during this period, even in relatively hospitable parties, with reference to the declining legitimacy of organized feminism. Unlike in the US, women candidates in right parties in Canada did not use their campaigns as vehicles for voicing strong antifeminist positions.Résumé.Cette étude survole la littérature conceptuelle sur la représentation politique et examine ainsi les déclarations publiques faites par les candidates lors des courses à la direction des principaux partis politiques fédéraux pendant la période allant de 1975 à 2006. La volonté des politiciennes d'exprimer la rhétorique féministe était-elle davantage apparentée à la dynamique extra-parlementaire, notamment la force des mouvements féministes et antiféministes, ou plutôt aux facteurs parlementaires comme l'idéologie et la compétitivité de leur parti? La discussion empirique suggère que le contenu féministe était particulièrement important dans le vocabulaire utilisé par Rosemary Brown pour le NPD en 1975, par Kim Campbell pour le PPC en 1993 et par Martha Hall Findlay pour le PLC en 2006. Les résultats indiquent qu'il est utile, pour ce type d'étude, de considérer une fusion des deux approches. La première est une perspective parlementaire, qui suggère que les partis se situant sur le spectre politique entre le centre-gauche et le centre-droit, de même que ceux qui se trouvent dans une position d'opposition ou de gouvernement faible ou minoritaire, sont les plus réceptifs aux discours féministes. La deuxième approche (movement-focused) porte son attention sur les mouvements sociaux pour expliquer la diminution de l'utilisation de la rhétorique représentationnelle pendant cette période, et ce, même dans les partis relativement réceptifs au féminisme organisé. Contrairement à la situation aux États-Unis, les candidates à la direction des partis de droite au Canada n'ont pas utilisé la course à l'investiture de leur parti comme tremplin pour exprimer de fortes positions antiféministes.
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Cusset, François. « Lecture et lecteurs : l’impensé politique de la littérature française ». Tangence, no 107 (6 novembre 2015) : 109–28. http://dx.doi.org/10.7202/1033953ar.

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Résumé :
Cet article met en lumière l’écart institutionnel et culturel qui sépare les politiques de la littérature aux États-Unis et en France. Dans le monde universitaire américain, et particulièrement dans les départements de littérature, prévaut une politique de relativisme textuel qui mène à une pratique de suspicion généralisée à l’égard du texte dans les études féministes, culturelles et postcoloniales ; à l’inverse, dans le monde universitaire français, persiste une éthique protectionniste, fondée sur un canon littéraire incontesté et sur un fort isolationnisme disciplinaire. Cet article suggère que le malentendu transatlantique autour des théories critiques de la littérature qui dure depuis plusieurs décennies s’explique par le fait que les théoriciens américains s’intéressent à la lecture et à ses effets politiques, alors que les Français se préoccupent presque exclusivement de l’écriture et de l’écrivain.
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Charnley, Joy. « La remise en question de la grossesse et de la maternité chez Anne Cuneo, Marie-Claire Dewarrat et Anne-Lise Grobéty ». Études françaises 41, no 2 (28 septembre 2005) : 135–47. http://dx.doi.org/10.7202/011383ar.

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Résumé :
Cet article étudie la représentation de la grossesse, de la fausse couche et de la maternité chez trois écrivaines romandes, Anne Cuneo, Marie-Claire Dewarrat et Anne-Lise Grobéty. La position de chacune par rapport à la littérature féministe ou féminine est différente, mais chacune à sa manière critique les stéréotypes auxquels les femmes doivent faire face à ce sujet. Dans Mortelle maladie (1969), Zéro positif (1975), La fiancée d’hiver (1984) et L’âme obscure des femmes : des nouvelles de la maternité… (1997), elles remettent en question l’instinct maternel et l’idéalisation de la maternité et revendiquent une autre façon de représenter la relation mère/enfant.
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Arambasin, Nella. « Une fiction de l'art au féminin : Artemisia et sa servante ». Nottingham French Studies 51, no 3 (décembre 2012) : 314–29. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2012.0030.

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Résumé :
Artemisia Gentileschi n'est pas seulement une artiste femme reconnue parmi les plus grands peintres du dix-septième siècle, mais aussi le personnage récurrent d'œuvres littéraires et cinématographique de femmes auteures françaises contemporaines (Agnès Merlet, Alexandra Lapierre, Catherine Weinzaepflen, Michèle Desbordes). Ces fictions de l'art poursuivent un questionnement théorique du « gender » dans l'écriture et le cinéma, infléchissant la manière de mettre en récit une vie de femme artiste d'exception. En faire l'analyse permet de comprendre comment cette figure se joue, déjoue ou tombe dans le piège des stéréotypes identitaires, mais aussi de penser la création au féminin à la croisée d'une recherche transdisciplinaire en littérature, histoire de l'art et théories féministes. Le comparatisme ici engagé permet de dégager certains mythes, mais aussi une valeur anthropologique de la création féminine, dont l'indice dans les textes est la servante qui accompagne l'artiste. Car cette servante témoigne d'une culture du labeur, d'un savoir-faire et d'un mode d'existence domestique, qui met en abyme l'activité artistique féminine et ses propres procédures de création.
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des Rivières, Marie-José. « La Vie en rose (1980-1987) : un magazine féministe haut en couleur ». Note de recherche 8, no 2 (12 avril 2005) : 127–36. http://dx.doi.org/10.7202/057849ar.

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Résumé :
De 1980 à 1987, au coeur de la culture médiatique féministe du Québec, se trouve le magazine original La Vie en rose,tiré à près de 20 000 exemplaires par numéro. Dans sa note de recherche, l'auteure s'interroge sur l'évolution et la disparition de cette presse trimestrielle, puis mensuelle. Elle retrace les objectifs et le public du magazine, ce qu'il contenait et quelle part il faisait à la littérature, en particulier aux récits. Une presse féministe d'opinion, de combat est-elle viable dans le champ médiatique?
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des Rivières, Marie-Josée. « Châtelaine et la littérature 1960-1975 ». Articles 2, no 2 (12 avril 2005) : 121–33. http://dx.doi.org/10.7202/057562ar.

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Résumé :
Cet article présente les transformations de la littérature publiée dans un grand magazine québécois destiné aux femmes. Une analyse socio-critique à perspective féministe montre que ces textes de fiction développent majoritairement, une double problématique : les rapports de couple et le rôle social des femmes; le modèle qui s'en dégage peut être intitulé « l'heure des choix ». Les récits d'auteures se démarquent de l'ensemble, surtout à partir de la fin des années soixante, car on y observe des ruptures.
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Langevin, Louise, et Valérie Bouchard. « Les grands arrêts sur les droits des femmes : projet et réflexions théoriques féministes ». Les Cahiers de droit 52, no 3-4 (1 décembre 2011) : 551–79. http://dx.doi.org/10.7202/1006697ar.

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Résumé :
Quels sont les grands arrêts des tribunaux canadiens ayant façonné les droits des femmes ? Cette question soulève d’importants défis d’ordre théorique et méthodologique. Il n’est pas facile de définir un « grand » arrêt pour les femmes et les critères pour déterminer les arrêts qui ont fait « avancer » la condition des femmes au Québec. De plus, il est difficile de travailler avec des banques de données structurées en dehors des réalités des femmes. Dans le texte qui suit, les auteures abordent plus particulièrement ces deux défis méthodologiques. D’abord, elles définissent leur cadre théorique féministe. Ensuite, elles se penchent sur l’invisibilité de la catégorie « femme » dans les banques de données jurisprudentielles. Comme elles l’ont constaté, la littérature est silencieuse à ce sujet. Pourtant, cette invisibilité ne doit pas surprendre : le savoir est produit par et pour des hommes occidentaux, et il en est de même des outils de repérage. Les auteures visent à faire avancer les réflexions sur les théories féministes du droit et à mieux comprendre le rôle de ce dernier dans la reproduction de la subordination des femmes.
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Mouloungui, Merveilles. « œuvre condéenne pour la jeunesse : entre échec littéraire et mises en scène de l’échec ». ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no 10 (5 janvier 2022) : 65–78. http://dx.doi.org/10.29173/af29434.

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Résumé :
Le présent article s’interroge sur la place de la littérature de jeunesse de Maryse Condé au sein de sa bibliographie générale, et dans la réception critique. La relative marginalisation de ces œuvres semble due à des facteurs spécifiques au secteur éditorial dans son ensemble –, et à d’autres facteurs propres à littérature francophone féminine, comme le manque de spécialistes dans le domaine et le manque d’instances de légitimation. Dans ce même corpus destiné, Maryse Condé déploie le plus souvent une écriture de l’échec, ce qui pourrait être interprété comme un écho de la faible visibilité institutionnelle des œuvres concernées. Quoi qu’il en soit, ces échecs dans la fiction sont certainement à mettre sur le compte des intentions réalistes d’un auteur qui ne cesse de renvoyer à la dureté d’un monde post-colonial auquel ses lecteurs seront ainsi préparés.
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Campbell, Angela. « Wives' Tales : Reflecting on Research in Bountiful. » Canadian journal of law and society 23, no 1-2 (avril 2008) : 121–41. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100009601.

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Résumé :
RésuméCet article développe des stratégies de recherche pour obtenir et consigner les récits de femmes qui vivent dans des sociétés pratiquant le mariage plural, et ceci, dans le but d'approfondir les connaissances légales et populaires sur la polygamie au Canada. Pour parvenir à cet objectif, l'article fait appel à la littérature qui explore les méthodes utilisées pour mener des recherches introspectives d'un point de vue féministe. Deux stratégies de recherche étudiées dans la littérature féministe sont considérées, notamment en référence à Bountiful, Colombie-Britannique, une communauté où le mariage plural est ouvertement pratiqué. Ces stratégies exigent de la chercheuse : (1) qu'elle écoute et ajoute foi aux récits des femmes relatant leurs expériences en tant qu'épouses polygames; et (2) qu'elle procède à une autoréflexion critique de ses propres références et a priori culturels et normatifs. Ces stratégies sont utilisées ici pour formuler une enquête proprementjuridique, qui rejette toute préférence présumée du droit étatique par rapport au « droit » culturel, tout en examinant de façon rigoureuse les arguments à propos du genre et des traditions fondées dans les normes culturelles. La mise en application de cette enquête dans l'étude de la polygamie à Bountiful devrait enrichir notre compréhension de la manière dont les femmes sont affectées par le mariage plural, ainsi que par la réponse du droit envers cette pratique, à cet endroit précis.
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Lévesque, Sylvie, Manon Bergeron, Lorraine Fontaine et Catherine Rousseau. « La violence obstétricale dans les soins de santé : une analyse conceptuelle1 ». Articles hors thème 31, no 1 (25 juillet 2018) : 219–38. http://dx.doi.org/10.7202/1050662ar.

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Résumé :
La littérature empirique et militante de même que certaines lois dans le domaine de la périnatalité démontrent des faits éloquents : plusieurs femmes vivent des expériences de violence lorsqu’elles accouchent dans des établissements de soins de santé. Cependant, un survol de la littérature permet de constater l’emploi de termes différents pour désigner ces violences. Dans le but de définir les attributs liés au concept de la violence obstétricale, d’en améliorer la compréhension et de contribuer à son opérationnalisation dans les domaines de la recherche et de la pratique clinique, les auteures ont réalisé une analyse conceptuelle inspirée par la démarche méthodologique de Lorraine Olszewski Walker et Kay Coalson Avant et éclairée par l’approche féministe proposée par Judith Wuest. Leur démarche d’analyse permet d’abord d’exposer les différentes utilisations du concept de la violence obstétricale, les attributs qui le définissent, ses antécédents et ses conséquences. Les auteures proposent, par la suite, un cas modèle pour l’illustration de ce concept et une définition s’appuyant sur les éléments centraux qui le composent.
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Contreras Pérez, Marta. « Une littérature transnationale, interculturelle et féminine en Europe ». Çédille, no 22 (2022) : 475–79. http://dx.doi.org/10.25145/j.cedille.2022.22.22.

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Résumé :
Review: Margarita Alfaro, Stéphane Sawas et Ana Belén Soto, Xénographies féminines dans l’Europe d’aujourd’hui (Bruxelles, Éditions Peter Lang, collection « Littératures de langue fran-çaise », 2020, 194 p. ISBN : 978-2-8076-0329-5)
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Boucher, Kathleen. « « Faites la prévention, mais pas l’amour ! » : des regards féministes sur la recherche et l’intervention en éducation sexuelle ». Articles 16, no 1 (6 janvier 2004) : 121–58. http://dx.doi.org/10.7202/007345ar.

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Résumé :
Résumé Cet article théorique pose un regard critique féministe sur la recherche et l’intervention récentes en matière d’éducation sexuelle au Québec et ailleurs. Deux courants de recherche se dégagent de la littérature scientifique : l’un concerne la prévention des problèmes sociaux liés à la sexualité et l’autre, la compréhension de la construction sociale de ces problèmes. L’attention accordée à des populations dites « à risque » appuie et renforce la thèse voulant que l’éducation sexuelle soit un phénomène marqué socialement, par le sexe et l’âge notamment, la sexualité des jeunes femmes faisant l’objet d’un plus grand contrôle social. Cette tendance s’observe dans plusieurs interventions d’éducation sexuelle : l’essentialisme, le naturalisme, l’hétérosexisme, l’âgisme, ainsi que les limites du discours préventif, sont abordés. L’auteure conclut en proposant l’adoption d’un modèle d’éducation sexuelle basé sur des principes féministes.
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Hamrouni, Naïma, et Pierre-Yves Néron. « Justice, genre et entreprise ». Articles 35, no 2-3 (7 juillet 2016) : 65–93. http://dx.doi.org/10.7202/1037010ar.

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Résumé :
Jusqu’ici, ni les égalitaristes ni les philosophes politiques féministes ne se sont sérieusement attardés à l’entreprise à titre d’institution où se produisent et se reproduisent les injustices de genre. Dans la mesure où les inégalités entre les sexes dans la famille, sur le marché et sur le plan de la participation démocratique se renforcent les unes les autres, faire l’examen critique d’institutions comme l’entreprise du point de vue de la justice représente pourtant une des étapes importantes de la marche vers la réalisation de la justice de genre. C’est l’objectif que nous nous donnons dans cet article. Dans la première partie, nous nous intéressons à la place prépondérante qu’occupe l’éthique ducaredans la littérature féministe sur l’entreprise. Parce qu’elle s’attache essentiellement à la promotion de dirigeants d’entreprise vertueux, nous concluons que cette éthique ducarese trouve en partie démunie lorsque vient le temps de penser la transformation organisationnelle de l’entreprise et des rapports en son sein dans la visée d’atteindre une plus grande justice de genre. Dans une deuxième partie, nous nous attardons à justifier, suivant une perspective normative, l’analyse de l’entreprise du point de vue de la justice de genre. Enfin, ayant déterminé que les approches distributives de la justice de genre sont insuffisantes pour penser la justice dans l’entreprise, nous terminons en esquissant une approche multidimensionnelle de la justice de genredansetdel’entreprise, alliant justice distributive, participative et égalité relationnelle.
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Paque, Jeannine. « Le geste autobiographique dans la littérature féminine : une esthétique ». Textyles, no 9 (15 novembre 1992) : 273–86. http://dx.doi.org/10.4000/textyles.2036.

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De Souza, Pascale. « Femmes fatales dans la littérature féminine des Antilles françaises ». Women in French Studies 5, no 1 (1997) : 59–68. http://dx.doi.org/10.1353/wfs.1997.0011.

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Afonso, Maria Fernanda. « Cartographie feminine d’affections et de plaintes dans le roman africain : des complicites aux questions des identites postcoloniales ». Pontos de Interrogação — Revista de Crítica Cultural 1, no 1 (7 novembre 2015) : 65. http://dx.doi.org/10.30620/p.i..v1i1.1430.

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Résumé :
RÉSUMÉSurgit dans le continent noir one écriture féminine, attentive aux relations de powvoir dans un monde fracturé et en transformactions. Les femmes veulent participer à la dé construction et à la (re)construction d’identités post coloniales. Les écrivaines Mariana Bô et Paulina Chiziane brigent les formes canoniques et inaugurent une littérature qui illustre de toute évidence leur façon de considéres le mariage, les traditions, l’identité féminine et l’identité de la Nation. Cet article a commu but réflechir sen l’ocuvre de les deux romanciéres africaines et le rôle qu’ elles developpent au sein des questions des identités postcoloniales. MOTS-CLÉS: écriture féminine; identités postcoloniales; roman africain.Palavras-chaveécriture féminine; identités postcoloniales; roman africain.
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HADEFI, Ourida Nawel. « Regards des écrivains sur la femme dans la littérature maghrébine ». ALTRALANG Journal 3, no 01 (31 juillet 2021) : 108–17. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v3i01.106.

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Résumé :
ABSTRACT: In the literary production of the Maghreb men writers, their view of women and the feminine condition is characteristic. The writers highlight in their texts a devaluing look focused on the woman in the patriarchal society. In this study we will try through different perspectives of male authors to question the situation that women live in a traditional society because it is often reduced to the lower rank and therefore it is perceived as an object. RÉSUMÉ : Dans la production littéraire des écrivains maghrébins hommes, le regard porté par eux sur la femme, sur la condition féminine est caractéristique. Les écrivains mettent en exergue dans leurs textes un regard dévalorisant porté sur la femme dans la société patriarcale. Dans cette étude nous tenterons à travers différents regards d’auteurs masculins d’interroger la situation que vit la femme dans une société traditionnelle car elle est souvent réduite au rang inférieur et donc elle est perçue comme objet.
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Schwerdtner, Karin. « Errances interdites : la criminalité au féminin dans L’astragale d’Albertine Sarrazin ». Études françaises 40, no 3 (20 décembre 2004) : 111–27. http://dx.doi.org/10.7202/009739ar.

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Résumé :
Résumé Selon les traditions sociales et religieuses de l’Europe, l’errance féminine sur des lieux publics est conçue comme étant très contraire au génie de la femme, qui est de son élément naturel casanière et conservatrice. Face à la conception historique de la mobilité féminine, en littérature comme en société, nous nous proposons ici de saisir l’impact que la femme errante du genre « truande » peut avoir dans le roman français contemporain. Nous étudierons la construction et la signification de l’errance dans L’astragale d’Albertine Sarrazin, en faisant appel aux considérations de l’espace, du déplacement, des relations sociales et de la causalité, et puis aux théories de l’énonciation.
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Le Petitcorps, Colette. « Le service domestique comme rapport social. Subjectivités au travail, emplois à domicile et migrations féminines en France ». Articles hors thème 31, no 2 (12 février 2019) : 197–214. http://dx.doi.org/10.7202/1056249ar.

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Résumé :
À partir d’une relecture critique de l’analyse du travail des domestiques dans la littérature féministe matérialiste et en mobilisant une démarche compréhensive, l’auteure propose d’ajouter le concept de rapport de service domestique au rapport social de sexe pour comprendre l’exploitation des femmes migrantes dans les emplois à domicile en France. Trois aspects du matériau empirique collecté sont présentés pour saisir les enjeux de ce rapport social : l’organisation des migrations féminines sur le marché des emplois à domicile dans la continuité de l’histoire des bonnes; la spécificité du travail de service dans la hiérarchie sociale (re)produite au quotidien entre femmes; et les tensions et les subjectivités politiques qui émergent des pratiques sociales d’employées à domicile migrantes.
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Mailhot, Laurent. « Sur les deux joues ». Dossier 29, no 1 (28 janvier 2004) : 47–64. http://dx.doi.org/10.7202/007538ar.

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Résumé :
Résumé Dans un gant de fer et La joue droite n’ont rien perdu de leur force, au contraire, depuis le mouvement féministe et le développement de la littérature personnelle. Néo-classique dans ses romans et nouvelles (langue, psychologie, mondanité, ironie), Claire Martin le demeure dans ces récits autobiographiques. Mais, par sa critique sociale et sa valeur historique, ce diptyque de mémoires sur l’Entre-deux-guerres en banlieue de Québec s’inscrit dans le droit fil des essais et manifestes de la Révolution tranquille. La mise au jeu et en jeu — en joue— se fait entre lui, le Père autoritaire sans autorité, et « je », la petite fille révoltée, armée par les livres, les mots, une écriture limpide, un sens du théâtre remarquable.
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Damant, Dominique, Judith Paquet et Jo Bélanger. « Recension critique des écrits sur l’empowerment ou quand l’expérience de femmes victimes de violence conjugale fertilise des constructions conceptuelles ». Articles 14, no 2 (12 avril 2005) : 133–54. http://dx.doi.org/10.7202/058146ar.

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Résumé :
Cet article a pour objet de présenter différentes données conceptuelles disponibles dans la littérature portant sur l’ empowerment et d'en dégager quelques repères utiles pour observer l'expérience de femmes victimes de violence. Dans un premier temps, quatre éléments de définition récurrents dans les documents consultés sont exposés : Yempowerment est principalement l'appropriation d'un pouvoir sur sa vie ; l'instauration de ce processus est autodéterminé; Yempowerment est intrinsèquement associée à l'action ; et cette notion comporte plusieurs dimensions. De plus, trois paradigmes implicites, qui influent sur la définition de ['empowerment, peuvent être dégagés de la littérature sur le concept : les paradigmes technocratique, écologique et structurel. Les auteures présentent ensuite des données portant sur Yempowerment au féminin. Ces dernières tendent à démontrer que la perspective structurelle de Yempowerment est celle qui s'avère la plus cohérente avec une analyse féministe de la violence. Les auteures proposent enfin un schéma multidimensionnel du processus d' empowerment, utilisé dans l'analyse du discours de femmes victimes de violence conjugale rencontrées dans le contexte de leur étude portant sur l'expérience de celles-ci dans le processus judiciaire. Les dimensions retenues pour construire ce schéma incluent les sentiments, les aspects cognitifs et les comportements, elles tiennent compte des niveaux personnel et collectif et elles sont articulées autour de trois axes : le déficit de pouvoir, la prise de conscience par rapport à la violence et le gain de pouvoir.
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Ringuet, Chantal. « Structurations particulières du temps et de l’espace chez quatre écrivaines québécoises d’origine est-européenne ». Globe 6, no 2 (14 février 2011) : 51–72. http://dx.doi.org/10.7202/1000816ar.

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Résumé :
Depuis quelques décennies, la littérature québécoise a fait l’objet d’une importante redéfinition. L’écriture migrante et l’écriture des femmes, qui ont connu un développement majeur durant les années 1980, ont toutes deux largement contribué à celle-ci. Dans cette optique, le dépouillement d’un corpus récent de la littérature d’origine est-européenne au féminin comporte les avantages suivants: faire découvrir de nouveaux textes et de nouvelles auteures, en plus de révéler l’apport significatif de ces voix migrantes au corpus québécois. En retraçant les débuts d’une littérature d’origine est-européenne à Montréal, qu’elle met en perspective avec une postérité féminine actuelle, l’auteure propose ici d’examiner les spécificités de quelques textes signés par quatre écrivaines de provenance ex-yougoslave, roumaine, polonaise et géorgienne (Apostolska, Comnène, Werbowski et Botchorichvili), à partir des structurations du temps et de l’espace.
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Ramière, Nathalie. « Stratégies de traduction et non-traduction1 dans The Widows de Suzette Mayr ». TTR : traduction, terminologie, rédaction 16, no 2 (15 avril 2005) : 175–96. http://dx.doi.org/10.7202/010720ar.

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Résumé :
Résumé Dans le cadre d’une écriture féministe issue de l’immigration et de la nouvelle littérature canadienne, je me propose d’analyser les moyens linguistiques et les stratégies narratives utilisées par l’auteure albertaine Suzette Mayr, dans son roman The Widows (1998), pour traduire/transcrire le processus de négociation identitaire que subissent ses personnages d’origine allemande au Canada, et pour créer une nouvelle forme d’écriture qui puisse rendre compte de ce phénomène de rencontre des langues et des cultures. Dans ce texte, la traduction (au sens propre et métaphorique) joue un rôle fondamental et devient « un élément de dynamique textuelle », comme le souligne Sherry Simon dans Le Trafic des langues (1994). Ma propre traduction (en français) de The Widows me permettra en outre d’analyser les problèmes de traduction spécifiques soulevés par une perspective immigrante.
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Hasenohr, Geneviève. « Modèles de vie féminine dans la littérature morale et religieuse d’oc ». Cahiers de Fanjeaux 23, no 1 (1988) : 153–70. http://dx.doi.org/10.3406/cafan.1988.2003.

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Nabil Ali, Nancy. « Life as Fiction : the Autofictional Turn in Women’s Writing of the Maghreb ». Lublin Studies in Modern Languages and Literature 40, no 2 (18 janvier 2017) : 57. http://dx.doi.org/10.17951/lsmll.2016.40.2.57.

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Sauzon, Virginie. « Le rire comme enjeu féministe : une lecture de l’humour dans Les mouflettes d’Atropos de Chloé Delaume et Baise-moi de Virginie Despentes ». Articles 25, no 2 (16 janvier 2013) : 65–81. http://dx.doi.org/10.7202/1013523ar.

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Résumé :
Virginie Despentes et Chloé Delaume, deux figures importantes de la littérature française contemporaine, ont placé l’humour – fût-il noir – au coeur de leur oeuvre. On montrera que ce rire grinçant, réel enjeu féministe, a deux fonctions principales : dénoncer avec force ironie le système de la domination masculine et court-circuiter par la parodie l’exercice conventionnel du pouvoir. Ce rire féministe, impliquant des connivences particulières, ne se réduit pas à une simple provocation ou à un amer constat. Il figure le lieu ludique et décomplexé de la résistance, pouvant encore être perçu comme trop menaçant pour une certaine réception critique.

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