Kliknij ten link, aby zobaczyć inne rodzaje publikacji na ten temat: Comportement d'épargne.

Artykuły w czasopismach na temat „Comportement d'épargne”

Utwórz poprawne odniesienie w stylach APA, MLA, Chicago, Harvard i wielu innych

Wybierz rodzaj źródła:

Sprawdź 33 najlepszych artykułów w czasopismach naukowych na temat „Comportement d'épargne”.

Przycisk „Dodaj do bibliografii” jest dostępny obok każdej pracy w bibliografii. Użyj go – a my automatycznie utworzymy odniesienie bibliograficzne do wybranej pracy w stylu cytowania, którego potrzebujesz: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver itp.

Możesz również pobrać pełny tekst publikacji naukowej w formacie „.pdf” i przeczytać adnotację do pracy online, jeśli odpowiednie parametry są dostępne w metadanych.

Przeglądaj artykuły w czasopismach z różnych dziedzin i twórz odpowiednie bibliografie.

1

Babeau, André. "Indicateurs de comportement d'épargne". Revue d'économie financière 1, nr 1 (1987): 101–7. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1987.1489.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
2

Cadiou, Loïc. "Le mystère de la consommation perdue". Revue de l'OFCE 53, nr 2 (1.06.1995): 147–64. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.53n1.0147.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé En France, l'évolution procyclique du taux d'épargne des ménages de 1990 à 1993 a été aussi marquée qu'inattendue, renforçant le ralentissement de l'activité économique observé durant cette période. En général, le comportement des ménages contribue, au contraire, à amortir les variations de la demande intérieure. En phase de ralentissement, les ménages puisent sur une épargne qu'ils reconstituent une fois la croissance retrouvée. Cette étude montre que la modification de l'arbitrage entre consommation et épargne est en partie expliquée par les variations du taux de chômage à l'origine du comportement d'épargne de précaution des ménages. Par ailleurs, l'importance des revenus financiers sur cette période a vraisemblablement influencé le taux d'épargne par le biais d'une propension à consommer ce type de revenus inférieure à celle des revenus non financiers. Enfin, il est possible que la déréglementation financière, en accroissant la concurrence dans le secteur de la distribution de crédits, explique une partie de la baisse du taux d'épargne dans les années quatre-vingt. Ce résultat est toutefois fragile car il repose sur l'introduction d'une variable « ad hoc » représentant la dérégle- mentation. Cette dernière aurait par ailleurs rendu significative l'impact des taux d'intérêt sur le comportement d'épargne des ménages.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
3

CREP. "Indicateurs de comportement d'épargne. Commentaire". Revue d'économie financière 3, nr 3 (1987): 114–20. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1987.1534.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
4

Allard, Patrick. "Le comportement d'épargne des ménages". Revue française d'économie 6, nr 2 (1991): 177–232. http://dx.doi.org/10.3406/rfeco.1991.1285.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
5

Artus. "Change réel du dollar, déficit extérieur américain et comportement d'épargne". Annales d'Économie et de Statistique, nr 39 (1995): 123. http://dx.doi.org/10.2307/20076006.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
6

Artus, Patrick. "Le comportement des banques face à des fortes modifications des flux d'épargne et de financement." Revue économique 47, nr 3 (1.05.1996): 719–29. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1996.47n3.0719.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Les banques françaises ont été confrontées à de fortes modifications de leur environnement financier : chute de la demande de crédit, changements dans la structure des ressources. Nous examinons ces modifications et nous demandons, en utilisant quelques modèles théoriques, ce qui peuvent être leurs effets sur le comportement des banques (attitude vis-à-vis du risque, concurrence).
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
7

Artus, Patrick. "Le comportement des banques face à des fortes modifications des flux d'épargne et de financement." Revue économique 47, nr 3 (1996): 719–29. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1996.409810.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
8

Artus, Patrick. "Le comportement des banques face à des fortes modifications des flux d'épargne et de financement". Revue économique 47, nr 3 (maj 1996): 719. http://dx.doi.org/10.2307/3502574.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
9

Rey, Bernard, i U. Jacob. "Modalités d'exploitation des caprins dans la province de Ngozi, Burundi". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, nr 4 (1.04.1993): 637–44. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9420.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Cet article présente les modalités d'exploitation des caprins dans la province de Ngozi au Burundi. Les données ont été recueillies sur deux ans par un suivi zootechnique de 251 éleveurs. Parmi ceux-ci, 158 avaient des caprins croisés Alpine et étaient encadrés par le projet caprin de Ngozi. L'évolution de la taille et de la composition génétique des troupeaux d'une part, les pratiques de vente, d'autoconsommation et traite d'autre part, sont analysées. Les variations de comportement des différents types d'éleveurs sont soulignées. La fonction d'épargne que jouent les caprins dans ce système agraire a eu comme resultat une forte fluctuation de cette population au sein des troupeaux et la permutation des éleveurs avec abandon de l'élevage caprin par 6,3 % d'entre eux chaque année. L'adoption des caprins croisés par une fraction des éleveurs s'est accompagnée de modifications des pratiques d'exploitation : traite et vente du lait; vente des chèvres à un âge moyen plus élevé, alors que les chevreaux l'ont été au même âge. Les chevreaux les plus lourds de la race locale ont néanmoins fait l'objet d'une sélection, au contraire des chevreaux croisés.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
10

Dauriol, Julie. "Comportements d'épargne". Gérontologie et société 29 / n° 117, nr 2 (2006): 119. http://dx.doi.org/10.3917/gs.117.0119.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
11

Le, Patricia, i Johanna Etner. "L'impact du taux d'intérêt sur l'évolution simultanée du chômage et de l'épargne". Revue économique 50, nr 5 (1.09.1999): 917–35. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1999.50n5.0917.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Cet article propose d'expliquer la hausse concomitante du chômage et de l'épargne par la hausse des taux d'intérêt dans une perspective néo-classique. Or, dans une situation de montée des incertitudes, notamment face à un risque de chômage, les comportements d'épargne se sont modifiés. Afin de prendre en compte ce phénomène, nous développons un modèle à partir de fondements microéconomiques, qui exhibe des comportements d'épargne de précaution (Leland [1968]). Dans un modèle à générations imbriquées d'agents en petite économie ouverte, nous montrons que, sous certaines conditions, la hausse des taux d'intérêt peut non seulement accentuer le chômage, mais également augmenter la demande d'épargne.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
12

Babeau, André. "Indicateurs de comportements d'épargne. Commentaire". Revue d'économie financière 2, nr 2 (1987): 127–34. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1987.1508.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
13

Coudert, Virginie. "Les disparités internationales de comportements d'épargne". Economie et statistique 232, nr 1 (1990): 49–67. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1990.5452.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
14

Adda, Jacques, i Philippe Sigogne. "Eléments pour une approche endogène des retournements conjoncturels". Revue de l'OFCE 45, nr 3 (1.06.1993): 95–158. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.45n1.0095.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Aujourd'hui l'hypothèse fréquemment retenue est que les cycles sont le résultat de la propagation dans le système économique de chocs de nature exogène. L 'hypothèse alternative retenue ici est que les cycles sont avant tout le produit de l'instabilité naturelle des économies de marché. N'étant pas à l'origine des fluctuations cycliques, les chocs exogènes auraient plutôt tendance à altérer leur régularité. L 'objet de ce travail est de cerner les mécanismes à l'œuvre dans les phases de retournement conjoncturel : entrée en récession et reprise d'activité. L'étude est menée en deux temps. D'abord les principales variables non exogènes sont situées par rapport aux cycles de référence des deux économies analysées sur la période 1972-1991 : les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Ensuite on propose une interprétation de la dynamique endogène du cycle conjoncturel centrée sur l'articulation entre tensions physiques, conflit de répartition et tensions financières. Il ressort de la phase d'analyse que, si l'investissement productif est bien le principal vecteur de l'ampleur des fluctuations, il n 'est pas pour autant le déclencheur habituel des retournements conjoncturels. Les agents économiques se comportent sans connaître a priori le meilleur sentier de croissance, lequel est donc testé par tâtonnements successifs. Les projets d'accumulation revêtent un aspect auto- entretenu tant que les pénuries ne sont pas vivement ressenties. Le blocage intervient lorsque certains acteurs ne peuvent plus surenchérir pour s'approprier les rares facteurs de production physiques ou financiers, encore disponibles. De même la chute d'activité s'amortit en resolvabilisant les acheteurs les uns après les autres. Les retournements macro-économiques se construisent ainsi sur les disparités de situations micro-économiques. Le comportement d'épargne des ménages apparaît essentiel pour initier ces retournements. La montée de l'épargne en valeur dans la période de blocage prérécessionniste s'accompagne d'une baisse de volume de l'investissement logement, ce qui souligne le rôle joué par les distorsions de prix relatifs entre capital et travail aux extrémités du cycle. Plus généralement l'excès de valeur immobilisée dans les biens capitaux en haut du cycle précipite le retournement. Symétriquement la dévalorisation des actifs peu reproductibles est la condition de reprise de l'activité courante.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
15

Passet, Olivier. "Allemagne : la nouvelle frontière". Revue de l'OFCE 32, nr 3 (1.06.1990): 27–71. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.32n1.0027.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé En 1988 et 1989 la RFA a connu une croissance d'une vigueur inattendue. Portée par une forte demande étrangère, celle-ci a été favorisée par une politique économique devenue moins contraignante. Le redressement de l'épargne, engagé plus vigoureusement qu'à l'étranger depuis bientôt sept ans, a permis à l'Allemagne de dégager un excédent croissant des paiements courants, culminant l'an passé. La faiblesse des progrès de la demande intérieure, en comparaison de ceux des autres pays développés, vient avant tout de la consommation des ménages. Ceux-ci se singularisent, au sein de l'OCDE, par la constance de leur effort d'épargne au cours des années quatre-vingt, et ce en dépit d'un partage des revenus relativement défavorable. Cependant, la consommation individuelle allemande reste la plus élevée des grands pays après celle des Etats-Unis. Les entreprises affichent un comportement d'investissement plus dynamique en accord avec une situation financière en progrès régulier. Alors que de nombreux indicateurs suggéreraient une certaine inertie des capacités de production celles-ci sont peut- être plus adaptables qu'il n'y paraît. Ce constat n'est pas neutre à l'heure de la réunification économique et monétaire des deux Allemagnes. Celle-ci renforcera d'autant plus la demande de produits ouest-allemands que le potentiel productif de la RDA se trouvera affaibli. Si la poussée des biens de consommation est en partie transitoire, celle de biens d'équipement s'avère devoir être permanente. D'autres éléments nourriront une demande accrue dans les deux années à venir : réforme fiscale et fort courant d'immigration cumulent ainsi leurs effets. Le maintien d'une demande supérieure au potentiel de production peut créer un réel risque de surchauffe. L'incertitude réside au moins autant dans la plus ou moins grande flexibilité des capacités de production que dans l'ampleur du surcroît de demande. L'extension des facteurs de production qui est en cours incite à penser que l'appareil productif allemand peut capter en grande partie ce surplus de demande. Toutefois, une réduction de l'excédent courant et une reprise de l'inflation paraissent inévitables pour 1991 . A plus long terme les efforts entrepris pour reconstruire la RDA ouvrent d'importants débouchés aux entreprises ouest-allemandes, ce qui ne manquera pas de réorienter leurs décisions d'investissement. Cependant, les pressions sociales pour une réduction des inégalités entre l'Ouest et l'Est, se heurtant à une rareté durable du capital productif à l'Est, pourraient rendre plus délicat le partage des revenus à l'Ouest et porter atteinte à l'efficacité économique.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
16

Fayolle, Jacky, i Françoise Milewski. "L'Europe crée et exporte sa monnaie". Revue de l'OFCE 59, nr 4 (1.11.1996): 5–100. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1996.59n1.0005.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Au tournant des années 1995-1996, le repli conjoncturel s'est diffusé, via les interdépendances commerciales, à l'ensemble des pays européens. Les révisions à la baisse de la croissance prévue affectent notamment les pays du Nord et du Sud européens qui avaient impulsé la reprise continentale de 1994 en profitant des dépréciations de leurs monnaies. Ce repli européen a-t-il atteint, au cours de 1996, son point bas ? Des signes de redémarrage, encore ténus, apparaissent dans certains pays, surtout en Allemagne et dans les pays adjacents. Après un mauvais début d'année 1996, les signaux de reprise se multiplient en Allemagne depuis le printemps. La consommation a bénéficié des exonérations fiscales et les commandes à l'exportation se sont redressées. Mais le retournement positif de certains postes de demande n'a pas encore pleinement convaincu les producteurs de sa durabilité. L'intensité de la reprise restera limitée par les contraintes durables affectant l'économie allemande, même si elle est soutenue par une attitude accommodante des autorités monétaires. La croissance allemande retrouverait une performance moyenne en 1997 (2,2 % après 1,3% en 1996). La reprise se diffusera en Europe dans les mois à venir si, dans les pays auparavant contraints par la restriction monétaire, le relâchement est assez incitatif pour libérer un comportement de stockage plus offensif et contrer l'impact des ajustements budgétaires en cours. La dépression européenne a laissé libre, pour s'investir à l'extérieur du continent, un excédent d'épargne nourri par le désendettement des agents privés. De pair avec une politique japonaise active de placement à l'étranger, cet apport a amorti les tensions que pouvait engendrer la croissance rapide d'autres régions du monde. La reprise qui se dessine en Europe ne serait pas d'une intensité telle qu'elle modifie radicalement cette situation. Elle reste compatible avec une détente progressive des taux d'intérêt à long terme, même si celle-ci est freinée, courant 1997, par la vigilance des marchés face aux risques inflationnistes américains. Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, la croissance est de nouveau au rendez-vous, après le ralentissement de 1995. Dans les deux cas, la demande intérieure y contribue fortement. Les limites à la croissance paraissent cependant plus rapprochées dans le cas américain que dans le cas britannique. La croissance de l'économie américaine, encore élevée en moyenne annuelle (2,6 % en 1997 après 2,4 % en 1996), reviendrait à hauteur de 2% l'an sur la seconde partie de 1997. Le Royaume-Uni devrait réaliser en 1997 l'une des meilleures performances européennes de croissance (2,7 % après 1,8 % en 1996). Au Japon, les hésitations de la consommation des ménages et le reflux de la demande publique font douter de la solidité de la reprise. Elevée en 1996 (3 %), la croissance resterait médiocre en 1997 (+ 1,6 %), même si son rythme tendanciel est plutôt de l'ordre de 2% l'an. Les corrections intervenues dans nombre de pays émergents consolident les perspectives de croissance dans ces pays, qui se traduiront cependant par des rythmes plus soutenables de progression de leurs importations. Au total, le commerce mondial, qui aura considérablement ralenti de la mi- 1995 à la mi- 1996, retrouverait un rythme honorable à partir du second semestre 1996, approchant les 7 % l'an. La progression modérée du dollar attendue sur cette même période favorisera aussi une meilleure répartition de la croissance mondiale. En France, les informations conjoncturelles restent contradictoires. Les carnets de commandes dans l'industrie sont toujours très dégradés, notamment dans les biens intermédiaires, mais un redressement s'est opéré à partir de l'été. Les stocks sont encore jugés excessifs, mais davantage au stade de la production qu'à celui de la distribution. Les perspectives personnelles de production, habituellement en avance sur le cycle, sont désormais plutôt orientées à la hausse. Toutefois, l'attentisme des entreprises traduit une défiance vis-à-vis de la reprise, en contrepartie de l'optimisme excessif formulé à la charnière de 1994 et de 1995. La conséquence de ces désillusions demeure un comportement de dépense restrictif : réduction des effectifs dans l'industrie, faibles hausses des salaires individuels, révision en baisse des investissements. Les enchaînements prévisionnels reposent d'abord sur l'arrêt du déstockage, qui a été important au premier semestre pour les produits manufacturés. Mais le prolongement de cette reprise technique en une phase ascendante du cycle, dépendra crucialement de la demande finale hors stocks. La consommation des ménages aura connu une forte croissance en 1996, sans rapport avec la progression du revenu. Elle croîtrait moins vite que ce dernier en 1997, et le taux d'épargne augmenterait par rapport à son bas niveau de 1996. La reprise de l'investissement en 1994 s'est rapidement interrompue. Depuis lors, l'effort de renouvellement des matériels issus de la vague d'accumulation initiée il y a dix ans, a été stoppé. Mais les besoins de remplacement subsistent et leur satisfaction devrait fonder la reprise des achats ; elle serait favorisée, dans un premier temps, par les dispositions relatives à l'amortissement des biens nouvellement acquis et par la poursuite de la détente monétaire. L'investissement total, quant à lui, pâtirait du recul des dépenses des administrations. La demande intérieure finale (hors stocks) freinerait légèrement, passant de 1,8% en 1996à 1,5 % en 1997. Grâce à une contribution modérée du commerce extérieur et à une forte impulsion des stocks, la croissance du Pib serait de 2,1 % l'an prochain, après 1,2 % cette année, si la rigueur budgétaire ne s'intensifie pas outre mesure. L'inflation ralentira à nouveau et l'excédent extérieur progressera encore. Mais le chômage poursuivra sa hausse.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
17

Aubier, Maud, Frédéric Cherbonnier i Daniel Turquety. "Influence de la fiscalité sur les comportements d'épargne". Économie & prévision 169-170-171, nr 3 (2005): 321. http://dx.doi.org/10.3917/ecop.169.0321.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
18

Echevin, Damien. "Nouvelles approches des comportements d'épargne et de consommation". Economie et statistique 324, nr 1 (1999): 9–18. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1999.6208.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
19

Babeau, André. "Les comportements d'épargne et d'endettement des ménages en 1987". Revue d'économie financière 7, nr 3 (1988): 130–42. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1988.1558.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
20

Augory, Catherine, i Sylvette Vernet. "Comportements d'épargne dans les cinq grands pays en 1995". Revue d'économie financière 37, nr 2 (1996): 241–49. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1996.2277.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
21

Quéron, Agnès, Bruno Séjourné i Sylvette Vernet. "Comportements d'épargne dans les six grands pays en 1996". Revue d'économie financière 43, nr 5 (1997): 233–44. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1997.2382.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
22

Vernet, Sylvette, i François Lecointe. "Comportements d'épargne dans les cinq grands pays en 1993 et 1994". Revue d'économie financière 32, nr 1 (1995): 261–69. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1995.2176.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
23

Cazes, Sandrine, Thierry Chauveau, Jacques Le i Rahim Loufir. "Retraites et évolutions démographiques en France. Première partie : Le long terme". Revue de l'OFCE 39, nr 1 (1.01.1992): 93–149. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1992.39n1.0093.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Face au vieillissement probable de la population française au cours des prochaines décennies, les perspectives de financement de l'actuel régime public de retraite par répartition sont relativement sombres. Si la tendance à la stagnation de la population française se confirme, des choix devront être faits entre le maintien du système actuel, qui implique une augmentation — à terme assez substantielle — des taux de cotisations, et une modification de ses règles. Cet article propose un cadre d'évaluation des conséquences économiques à long terme de différents scénarios : il s'agit d'un modèle d'équilibre général calculable à générations imbriquées de l'économie française, qui, à partir d'hypothèses sur les préférences des ménages et sur l'environnement économique et institutionnel dans lequel ils prennent leurs décisions, permet de déterminer leurs comportements individuels d'offre de travail, de dépenses de consommation, d'épargne et d'accumulation au cours de leur cycle de vie. Les principales grandeurs macroéconomiques sont alors déduites par agrégation exacte des comportements individuels. Grâce à la détermination endogène de l'ensemble des décisions des ménages et des entreprises, un tel modèle permet de tenir compte des conséquences sur les choix d'activité, de consommation et d'épargne, de modifications institutionnelles telles que des réformes du régime de retraite. Après avoir présenté les résultats de quelques variantes démographiques, qui confirment que le système actuel ne serait véritablement viable à long terme que si la croissance de la population était positive, nous analysons les effets micro- et macroéconomiques de long terme de diverses options envisageables en matière de retraite. Tant la comparaison des conséquences macroéconomiques que l'analyse en termes de bien-être — individuel et social — nous incitent à conclure que, parmi les mesures étudiées et à supposer que la stagnation de la population française se confirme, le recul de l'âge légal de départ à la retraite apparaît comme nettement plus favorable que des alternatives telles que la réduction des prestations ou l'instauration d'un système pur de capitalisation.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
24

Cheung, Diana, i Ysaline Padieu. "Hétérogénéité de l'impact de l'assurance santé sur les comportements d'épargne en Chine rurale". Revue d'économie politique 123, nr 4 (2013): 641. http://dx.doi.org/10.3917/redp.234.0641.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
25

Passet, Olivier. "Le rôle des déficits publics dans la formation des taux d'intérêt". Revue de l'OFCE 62, nr 3 (1.09.1997): 29–74. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.62n1.0029.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Les déficits publics ont-ils une forte influence sur les taux d'intérêt réels ? Ce point de vue a largement imprégné le discours politique et est étayé par un certain nombre de démonstrations empiriques. Il s'appuie sur des représentations théoriques selon lesquelles le niveau des taux d'intérêt réel est représentatif des déséquilibres entre épargne et investissement (ou de manière équivalente des déséquilibres sur le marché des biens). Mais cette interprétation suppose en outre que l'état, par son action discrétionnaire, modifie fortement l'équilibre du marché des capitaux et donc le taux d'intérêt. L'article qui suit n'a pas V ambition d'offrir une contradiction d'ordre théorique à cette thèse. Il cherche plutôt à inventorier un certain nombre d'anomalies factuelles qui contredisent la version selon laquelle la hausse puis la persistance d'un niveau élevé des taux d'intérêt seraient surtout imputables aux modifications exogènes des comportements d'épargne, en particulier publics. Trois types ď arguments sont avancés qui peuvent faire l'objet d'une lecture séparée : La première partie, souligne d'abord les limites de certaines démonstrations empiriques du lien entre déficit public et taux d'intérêt. Le simple examen des enchaînements financiers depuis 1960 permet de constater que les principales variations de taux d'intérêt {en premier lieu celle de 1979) précèdent en général de plusieurs années les inflexions les plus notables des comportements d'épargne. Cette chronologie ne facilite donc pas les interprétations qui partent de l'épargne, en tant que variable exogène, pour expliquer les taux. La seconde partie rappelle ensuite qu 'à court terme, dans le cas américain, la volatilité des taux longs réels au cours du cycle est relativement faible et peu corrélée avec les tensions sur le marché des biens ou l'évolution du déficit public. Enfin, dans le cas américain, une représentation alternative, certes aussi partielle que la précédente, peut être validée empiriquement : selon cette dernière, la formation des taux, relève (directement pour les taux courts, indirectement pour les taux longs) de la fonction de réaction de la Banque centrale. Les taux ne sont plus alors la résultante d'un mécanisme ď ajustement de marché, mais le fruit de la mise en œuvre d'une règle monétaire, qui à partir de la fin de 1979 incorpore notamment une cible d'inflation. Sous cette hypothèse, les déséquilibres entre épargne et investissement que certains interprètent comme exogènes au taux d'intérêt apparaissent avant tout liés au changement de priorité que se sont fixées les autorités monétaires en matière d'inflation.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
26

Passet, Olivier. "Le Japon : les doutes d'un créancier". Revue de l'OFCE 54, nr 3 (1.09.1995): 5–55. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.54n1.0005.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé La dégradation de l'activité industrielle depuis le mois d'avril, souligne la fragilité de la reprise japonaise. Ce mouvement ne fait que confirmer les doutes que l'on pouvait avoir sur les moteurs de la croissance. Il accompagne le repli de la politique de soutien à l'activité menée par le gouvernement depuis la fin de l'année der- nière. Ce dernier, ayant misé trop tôt sur la dynamique autonome de la demande privée, doit donc se résoudre à de nouvelles interventions. C'est moins la perte de compétitivité des entreprises nippones qui constitue à court terme le principal obstacle à la croissance, que l'effort déployé par ces dernières pour contenir leurs coûts unitaires. Leur rapide adaptation à la parité du yen a pesé en dernier ressort sur le revenu des ménages, qui voient, au gré des aléas du marché des changes, varier la partie la plus instable de leurs revenus, que sont les primes et la rémunération des heures supplémentaires. Simultanément les hausses négociées de salaire s'érodent d'année en année. Ceci explique en partie la prudence des comportements d'épargne des ménages. La vitalité de la demande de biens durables, qui constituait un des éléments les plus prometteurs et solides de la reprise, apparaît se substituer à d'autres achats, en raison de le baisse des prix relatifs de ce type de biens. Ce que l'on appelle au Japon le « Kakaku Hakai », phénomène de « destruction des prix » (qui touche particulièrement les biens durables et l'habillement), lié à l'ouverture du système de distribution et à la hausse du yen, a pu fausser la perception de la reprise. On peut douter, de plus, de la capacité du secteur privé à prendre la relève de l'Etat, dans le contexte actuel de délabrement des bilans des organismes financiers. Compte tenu du poids des mauvaises créances, un risque de crise systémique pèse sur le système de financement nippon, dont /'epicentre se situe au niveau des intermédiaires non bancaires, spécialisés dans le financement de l'immobilier. On pouvait croire jusque là que le premier créancier du monde pouvait compter sur ses réserves pour sortir son écono- mie de l'impasse. Mais ce matelas de créances, en se dépréciant, se transforme en fardeau : le Japon réalise tardivement qu'il a prêté au dessus de ses moyens et hésite aujourd'hui à liquider un actif déprécié. Cet attentisme participe à la faiblesse de l'activité et exacerbe un peu plus le problème des créances douteuses. Mais la crise que traverse aujourd'hui le Japon dépasse les conséquences de /'après bulle et de la hausse du yen. Cette dernière est d'ailleurs probablement partiellement réversible. On trouve difficilement les fondamentaux qui justifieraient le niveau actuel de parité de la devise nippone. L'internationalisation du yen est bien trop lente pour justifier une déviation d'une telle ampleur de la monnaie par rapport à sa parité de pouvoir d'achat, au cours des dernières années. Son niveau actuel serait plutôt un handicap à la diffusion du yen comme monnaie de réserve et de facturation, tant il accroît le risque de change. Il semble davantage lié aux arbitrages qu'opèrent les banques nippones en faveur du yen, compte tenu de la dégradation de leurs bilans et de leur volonté de diminuer les risques. Si l'on admet que l'appréciation du yen n'a pas d'autre fondement structurel, il faut alors envisager les consé- quences qu'engendrerait la mise en jeu de forces de rappel. Le ralentissement du potentiel de croissance nippon s'inscrit dans le long terme. Après une phase de rattrapage de productivité, l'économie japonaise devra composer dorénavant avec un sentier de croissance de moyen et long terme proche des performances moyennes de l'OCDE. Elle peut s'en écarter un temps, grâce à la dynamique régionale, par le truchement de l'investissement direct. Mais ce jeu n'a qu'un temps, compte tenu de la perméabilité croissante de son marché intérieur (liée à la rationalisation et à la déréglementation de son système de distribution), et du processus de rattrapage et d'auto- nomie grandissante de ses voisins asiatiques. La surévaluation de la devise nippone a surtout rompu la cohérence de la politique de délocalisation. Le risque le plus sensible à long terme, est celui d'un boomerang asiatique, lié à une délocalisation désordonnée des activités intermédiaires, guidée par l'urgence, et d'une diffusion incontrôlée du progrès technique.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
27

Chagny, Odile, Jacky Fayolle, Olivier Passet, Christine Rifflart, Françoise Milewski, Bruno Coquet i Hervé Péléraux. "Un horizon conjoncturel dégagé". Revue de l'OFCE 51, nr 4 (1.11.1994): 5–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.51n1.0005.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Les économies occidentales connaissent pour la plupart des rythmes de croissance soutenus, mais les écarts de conjoncture sont très accusés. L'optimisme réel s'accompagne d'une grande confusion financière : les changes sont perturbés par les déséquilibres commerciaux ; les taux d'intérêt à long terme ont partout monté fortement, d'abord par crainte de l'inflation aux Etats-Unis, puis par révision des perspectives de croissance en Europe. Le niveau actuel des taux longs reflète la difficulté des appareils de production existants à financer des projets d'investissement mondialement plus nombreux. Cependant les taux réels s'avèrent moins élevés que lors de la reprise précédente, et les capacités financières actuelles des firmes européennes les rendent peu sensibles au coût du capital à l'horizon de la fin 1995. Les interrogations portent donc sur la maîtrise des endettements publics, et sur la capacité des sociétés européennes à supporter les ponctions exercées sur les revenus du travail du fait des taux d'intérêt élevés. Aux Etats-Unis, l'activité est à présent renforcée par la demande étrangère, ce qui implique un nouveau durcissement de la politique monétaire en vue d'interrompre la dérive inflationniste. Un ralentissement est attendu au cours de 1995, initié par la consommation. Le Japon est en reprise, tiré à présent par la consommation. Il tend à renforcer la croissance mondiale. Au Royaume-Uni, investissement et exportations ont accéléré la production et réduit le chômage ; la consommation a surtout bénéficié d'une moindre propension à épargner. Les risques inflationnistes vont continuer à durcir la politique économique, et la croissance se modérera l'an prochain. L'Allemagne se redresse à l'Ouest, grâce aux exportations et au restockage. Le logement et la consommation résistent en dépit des prélèvements fiscaux. Les capacités de production manufacturières retrouveront un niveau normal d'utilisation dès la fin 1994, ce qui stimule l'investissement et fait craindre l'inflation. Cependant le chômage reste élevé et les prix au détail devraient rester calmes. A l'Est, la croissance s'annonce vigoureuse. Les capitaux ont délaissé l'Europe pour privilégier le Japon puis les pays émergents. Les investisseurs japonais reviennent sporadiquement et seraient plus présents en 1995, cependant que les besoins de financement américains se modéreront. Le commerce mondial est entré dans une phase de forte croissance qui se poursuivra l'an prochain. Les pays d'Europe continentale regagneront des parts de marché au détriment du Japon. En France, la reprise de l'activité a été significative au premier semestre 1994. L'optimisme se confirme dans les enquêtes de conjoncture. La reprise est d'autant plus nette qu'elle découle de l'interruption de comportements privés très dépressifs. La croissance du PIB serait de 2,2 % en 1994, le ralentissement puis l'arrêt du déstockage y contribuant pour près d'un point. La reprise de la demande intérieure finale, qui s'opère depuis le deuxième trimestre, s'amplifierait. La consommation des ménages continuerait de progresser. Mais la hausse de l'investissement des entreprises serait encore faible en moyenne annuelle, car surtout marquée au second semestre. La croissance des importations dépasserait celle des exportations, à cause d'un début d'année nettement divergent. En 1995 la croissance atteindrait 3,5 % ; cette consolidation de la reprise est usuelle, mais avec une ampleur plus faible que lors du cycle précédent: les objectifs de désendettement n'ont pas disparu, d'autant que les taux d'intérêt à court terme ont cessé de baisser et que les taux d'intérêt à long terme s'élèvent. Ces mouvements ne sont pas de nature à interrompre la reprise en cours, mais vont en limiter l'accélération. L'investissement des entreprises croîtrait aussi fortement qu'il avait reculé en 1993 ; ce ne sera qu'un rattrapage partiel après trois années de recul. Du fait de l'amélioration rapide de leur situation patrimoniale, les entreprises peuvent à présent satisfaire des besoins d'investissement longtemps différés ; la remontée récente des taux d'utilisation des capacités de production constitue une forte incitation à investir. La consommation des ménages s'amplifierait, portée par davantage de revenus et par une baisse du taux d'épargne. Un restockage interviendrait progressivement, supportant la croissance. Importations et exportations iraient de pair, signe d'une évolution plus synchrone des demandes intérieure et extérieure. En 1994 et 1995, les soldes extérieurs se tasseraient un peu à cause des mouvements de prix, mais l'excédent resterait confortable. Le chômage serait un peu réduit et l'inflation ne s'accélérerait guère. Le déficit public pourra être contenu sans coupe importante dans les dépenses grâce aux recettes de privatisation, mais les déficits sociaux ne pourront l'être sans prélèvements supplémentaires.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
28

Fayolle, Jacky, i Françoise Milewski. "Un compromis monétaire favorable à l'Europe". Revue de l'OFCE 61, nr 2 (1.06.1997): 5–92. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.61n1.0005.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé Une fenêtre s'ouvre aujourd'hui pour que les pays européens puissent s'échapper de la « prison » de la déflation, si leurs politiques économiques s'avèrent suffisamment accommodantes. L'appréciation récente du dollar n'est pas une simple bulle destinée à se dégonfler à brève échéance. Elle traduit fondamentalement la prise en compte par les opérateurs internationaux de la continuité des performances de croissance américaines et leur confiance accrue dans le caractère soutenable de la position extérieure américaine. Si les politiques monétaires, en Europe et au Japon, maintiennent suffisamment longtemps de bas taux d'intérêt à court terme, la correction des changes pourrait être menée à terme et le dollar se stabiliser, fin 1997, au voisinage de 1,9 DM et 130 yens. Avec la normalisation des changes intra-européens, c'est un changement d'environnement significatif pour les entreprises européennes. Dans les dernières années, en effet, la contrainte de monnaie forte a constitué, pour nombre d'entre elles, un vecteur privilégié des influences déflationnistes, en poussant à la guerre des prix et à l'abaissement prioritaire des charges d'exploitation et d'investissement. Il résultera de ce changement des gains de parts de marché substantiels pour les entreprises européennes, mais aussi et surtout des signaux de prix plus favorables, qui devraient lever l'inhibition à produire et investir. Les politiques budgétaires européennes auront aussi leur rôle à jouer jians la consolidation de cet environnement, en évitant un durcissement exagéré au voisinage des prochaines échéances institutionnelles. La croissance internationale, qui bénéficiera en 1997 et 1998 d'une accélération du commerce international, pourrait être ainsi mieux partagée au sein de l'OCDE. La croissance américaine, toujours forte, bénéficie des effets du fort courant d'investissements sur le potentiel productif, si bien que les tensions inflationnistes sur les marchés de biens restent limitées. Les autorités monétaires ont les moyens de maîtriser la vitesse de l'expansion, sans avoir à verser dans un durcissement d'une sévérité telle qu'il s'avérerait déstabilisant. Les conditions de liquidité de l'économie américaine se sont en effet progressivement resserrées depuis 1994 et rendent efficace une nouvelle action marginale de la Réserve fédérale. La croissance américaine, encore vive en 1997 (2,8 %), ralentirait sans drame en 1998 (2 %). Le Japon bénéficie désormais de la décrue du yen mais s'apprête à subir un assainissement budgétaire qui amputera lourdement les ressources des ménages et fragilisera davantage une demande privée déjà versatile. C'est donc le maintien d'une politique monétaire accommodante, qui, à travers son impact sur le taux de change, aura la charge principale de placer le Japon sur un sentier d'expansion honorable. La contribution du commerce extérieur jouera un rôle essentiel pour permettre au Japon d'atteindre une croissance supérieure à 3 % en 1998. Le regain d'exportations n'a encore eu jusqu'à présent qu'un effet d'entraînement limité sur l'économie allemande. La consommation des ménages allemands pâtit de l'ajustement des emplois et des restructurations en cours. Ces restructurations améliorent progressivement la rentabilité des entreprises mais la confirmation de la détente concurrentielle est décisive pour que leur incitation à investir soit enfin libérée. En 1997, le programme d'économies sociales exercera une ponction contraignante sur les ressources des ménages. Mais si l'effort actuel parvient à ramener le déficit public au voisinage du critère de Maastricht, la politique budgétaire pourrait relâcher la pression sur les ménages en 1998 et devenir modérément expansionniste : ce serait bénéfique à l'expansion sans constituer un danger pour la maîtrise acquise du déficit. Une impulsion pourrait ainsi être donnée à la consommation des ménages et la demande interne relaierait enfin la reprise des exportations. C'est dans ces conditions que L'Allemagne pourrait renouer, après une année 1997 encore modeste (2,2 %), avec une expansion significative en 1998 (3,5 %). La croissance décrite pour la France (2,5 % cette année, 3,1 % l'an prochain) s'appuie sur l'hypothèse d'un changement de configuration monétaire et financière : la montée du dollar, passée et prévue, permettrait de conforter le regain des exportations, grâce au redressement du commerce mondial et aux gains de parts de marché. En même temps, les profits à l'exportation pourraient se redresser ; leur compression passée, pour limiter les pertes de compétitivité, pesait sur les salaires, les emplois, les investissements etc. Le rééquilibrage anticipé dans cette prévision modifierait les comportements. D'autant que la montée du dollar s'accompagne d'un rééquilibrage à l'intérieur même du SME. La détente des taux d'intérêt se maintiendrait et permettrait aussi que le contexte d'incertitudes soit en partie levé. La dynamique d'une reprise par l'extérieur pourrait ainsi se concrétiser : la fin des comportements restrictifs de dépenses des entreprises impliquerait l'arrêt du déstockage, la stabilisation des effectifs puis la reprise des embauches et enfin le redémarrage de l'investissement. Ainsi, la demande intérieure s'accélérerait : demande intérieure totale dès 1997 (du fait des stocks), demande intérieure finale en 1998 grâce à l'investissement. La politique économique reste contrainte par la satisfaction des critères de Maastricht : investissement et consommation des administrations sont limités et le seront d'autant plus si des risques de creusement du déficit apparaissent. L'investissement productif sera l'élément dynamique de la demande intérieure, tout particulièrement en 1998. Mais la consommation a peu de chance de s'intensifier car elle a été dopée en 1996 par les mesures de soutien à l'automobile : la baisse du taux d'épargne a déjà eu lieu. La croissance sera compatible avec un nouveau ralentissement de l'inflation (malgré la hausse du prix de l'énergie importée), une nouvelle extension de l'excédent commercial (grâce à l'industrie) et elle permettrait une inflexion à la baisse du chômage. Les créations d'emplois s'accentueraient progressivement et atteindraient en 1998 un rythme proche de celui de 1988-89, bien que la croissance du PIB soit plus faible : le ralentissement des gains de productivité, avec le développement du temps partiel, et le contrecoup des faibles créations d'emplois de 1994 dans l'industrie permettraient une reprise franche à court terme. Le revenu des ménages en sera peu affecté ; mais le chômage pourrait cesser de croître et même diminuer en 1998, sous l'hypothèse d'une neutralité de la politique de l'emploi. Enfin, les critères de Maastricht seraient respectés, les dépenses étant modérées (et, au besoin, gelées) et les recettes accrues si nécessaire.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
29

Fouet, Monique, i Françoise Milewski. "Vents contraires". Revue de l'OFCE 38, nr 4 (1.11.1991): 5–64. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1991.38n1.0005.

Pełny tekst źródła
Streszczenie:
Résumé En dépit de causes similaires, les retournements à la baisse de l'activité dans les pays industrialisés n'ont pas été simultanés. Ces pays suivent des cheminements cycliques et la plupart d'entre eux s'étaient engagés dans la phase descendante bien avant l'invasion du Koweït. Le petit choc d'offre constitué par la guerre du Golfe a un peu amplifié la baisse de l'activité par les comportements attentistes qu'il a engendrés, mais à l'inverse le choc de demande issu de la réunification allemande a amoindri ou retardé cette baisse dans bon nombre de pays européens. Aux Etats-Unis, la récession aura été brève et de faible ampleur. Les déséquilibres qui l'avaient suscitée n'ont pas été pleinement apurés. Une rechute comparable à celle de 1981 est peu vraisemblable car la politique monétaire peut demeurer accommodante. Mais la reprise sera lente parce que la restauration de la situation financière des agents économiques privés sera longue et que les finances publiques sont dans l'incapacité de soutenir davantage l'activité. Les importations recommenceront à augmenter et le déficit courant à se creuser. Au Japon aussi la croissance sera lente jusqu'à l'été 1992, mais parce que ce pays sera engagé dans la phase descendante du cycle. L'infléchissement conjoncturel, voulu par les autorités monétaires pour dégonfler les bulles spéculatives et désamorcer les tensions inflationnistes, risque d'être d'autant plus prononcé que les investissements récents vont prochainement s'avérer excessifs. L'excédent courant augmentera. Comme les marchés des pays en voie de développement et d'Europe de l'Est manqueront de dynamisme, les débouchés extra-européens ne vont au total s'accélérer que modestement. Cela sera par ailleurs compensé par le freinage brutal des importations de l'Allemagne. Au cours des prochains mois, comme depuis la mi-1991, la croissance de l'Allemagne va fortement décélérer alors même que les taux d'intérêt demeureront élevés. Il est à craindre que cette situation perdure jusqu'au printemps 1992. Il faudra sans doute attendre cette échéance pour que la Bundesbank, au vu de l'élévation du chômage en Allemagne et surtout de la modération des tensions inflationnistes (ce second point étant à ses yeux plus important que le premier) commence à abaisser les taux courts. Pour les autres pays européens, les chances de reprise se concrétiseront d'autant mieux à partir du 2e trimestre 1992 que le verrou constitué par les taux d'intérêt allemands aura partiellement sauté. Ces chances se joueront sur la rapidité de l'assainissement interne, sur la reconstitution de liquidités disponibles pour accroître à nouveau les dépenses. Il semble qu'une certaine croissance puisse être retrouvée dès l'hiver au Royaume-Uni, mais qu'elle ne se produira guère avant le printemps dans les pays très dépendants de l'Allemagne (Pays-Bas, Belgique) ainsi qu'en Italie et en Espagne. Cela signifie pour la France, jusqu'au milieu de l'année prochaine, une augmentation de ses débouchés extérieurs aussi lente qu'au premier semestre 1991 dans un contexte de taux d'intérêt allemands aussi élevés qu'à l'été 1991. En France la rentrée 1991 est pour le moins morose. Le nombre de chômeurs s'est fortement accru ; le climat des affaires est plutôt pessimiste : les carnets de commandes ne se sont pas redressés ; tout au plus ont-ils cessé de se dégrader. Les perspectives de production se sont améliorées dans l'industrie, mais trop peu pour inverser les anticipations de réductions d'effectifs. Le pessimisme actuel des prévisions reflète l'attentisme présent des entreprises (la reprise tant annoncée aux lendemains de la guerre du Golfe n'est guère venue) et la faible crédibilité d'une accélération de la croissance européenne en raison du ralentissement Outre-Rhin. La croissance tirée uniquement par l'extérieur n'est effectivement pas la plus probable; des ressorts internes sont nécessaires afin que survienne la reprise. Pour que les dépenses d'investissement augmentent à nouveau, il faudra d'abord que les entreprises perçoivent clairement un rebond de la demande finale et que s'améliorent les conditions de financement. Le redémarrage de l'économie française ne devrait ainsi se produire que vers le milieu de l'année 1992. Pour redresser leurs profits, les entreprises peuvent difficilement élever leurs prix de vente ; reste la restriction des salaires individuels — mais les marges de manœuvre sont réduites en ce domaine — et le repli des effectifs. Celui que nous avons anticipé joue un rôle-clé dans la présente prévision. Il assure le redressement des comptes des entreprises, préalable à la reprise des dépenses d'équipement, alors que les taux d'intérêt français restent contraints par une politique monétaire allemande restrictive jusqu'au milieu de 1992. En contrepartie, le repli des effectifs implique la poursuite de la montée du chômage et limite la croissance de la masse salariale, donc celle du revenu disponible des ménages. La reprise de l'activité sera fondée sur celle des exportations grâce au regain de la demande extérieure, de la consommation des ménages grâce à la baisse du taux d'épargne, de l'investissement des entreprises grâce à la phase d'accumulation préalable d'actifs financiers. Mais la consommation des administrations sera nettement ralentie, l'investissement public et l'investissement en logements des ménages régresseront. Même si la formation de stocks s'intensifie dans la phase de reprise, la progression de la demande intérieure restera modérée. Exportations et importations s'élevant de pair, la croissance du produit intérieur brut serait de 2,4 % seulement, après 1,3 % en 1991.
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
30

"Comportement d'épargne dans les cinq grands pays en 1991". Revue d'économie financière 20, nr 1 (1992): 199–208. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1992.1831.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
31

"Les comportements en matière d'épargne et de patrimoine". Economie et statistique 202, nr 1 (1987): 65–77. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1987.5117.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
32

"Les comportements d'épargne dans les cinq grands pays". Revue d'économie financière 16, nr 1 (1991): 144–53. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1991.2415.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
33

"Comportements d'épargne dans les cinq grands pays en 1992". Revue d'économie financière 26, nr 3 (1993): 287–95. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1993.2018.

Pełny tekst źródła
Style APA, Harvard, Vancouver, ISO itp.
Oferujemy zniżki na wszystkie plany premium dla autorów, których prace zostały uwzględnione w tematycznych zestawieniach literatury. Skontaktuj się z nami, aby uzyskać unikalny kod promocyjny!

Do bibliografii