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Poncet, Olivier. "Archives et histoire : dépasser les tournants". Annales. Histoire, Sciences Sociales 74, nr 3-4 (wrzesień 2019): 713–43. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2020.50.

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RésumésLes publications et les programmes de recherche qui portent sur l’histoire des archives, de leurs acteurs, de leurs méthodes et de leur signification sociale, politique et culturelle se sont beaucoup multipliés ces dernières années. Ces préoccupations posent à nouveau la question de la pertinence du couple formé par les archives et l’histoire depuis au moins l’époque moderne. Deux mouvements, qualifiés de « tournants » semblent en réalité se développer sans toujours se rencontrer : le « tournant archivistique », qui serait plutôt le fait du monde des archivistes (et des anthropologues), et le « tournant documentaire » des chercheurs historiens qui ne considèrent plus seulement les pièces et les fonds d’archives comme des matériaux, mais comme des objets historiques à part entière, producteurs de sens social, politique ou culturel. L’archivistique, entendue au sens très large, revendique parfois une rupture avec la science historique pour gagner une véritable reconnaissance académique dans le paysage contemporain des sciences sociales, tandis que le « tournant documentaire », essentiellement européen, porte plus volontiers sur les époques médiévales et modernes. L’analyse de la production récente développée dans ces deux directions conduit à souhaiter leur mutuelle hybridation et, plus spécialement pour les historiens, à approfondir une contextualisation et une historicisation des fondements archivistiques sur lesquels repose une partie de nos connaissances historiques.
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Verry, Élisabeth, i Christophe Gandon. "Politique archivistique et évolutions territoriales : les années décisives 2010-2018". La Gazette des archives 252, nr 4 (2018): 49–70. http://dx.doi.org/10.3406/gazar.2018.5646.

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Désiré dit Gosset, Gilles. "Les archives de la Manche au péril de la guerre". Ethnologies 39, nr 1 (30.08.2018): 85–101. http://dx.doi.org/10.7202/1051052ar.

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Les archives départementales de la Manche ont subi, au soir du 6 juin 1944, une destruction complète de leurs collections dans les combats de la Libération. Ce texte évoque les raisons de cette catastrophe archivistique, dans le contexte des mesures prises pour la protection du patrimoine pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s’attache ensuite à décrire les multiples axes de la politique de reconstitution des collections conduite par les archivistes départementaux successifs depuis ce désastre.
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Fouéré, Marie-Aude. "L’« effet Derrida » en Afrique du Sud: Jacques Derrida, Verne Harris et la notion d’archive(s) dans l’horizon post-apartheid". Annales. Histoire, Sciences Sociales 74, nr 3-4 (wrzesień 2019): 745–78. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2020.49.

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RésumésCet article interroge la rencontre entre le monde des archives de l’État sud-africain et la philosophie de Jacques Derrida par l’intermédiaire de l’archiviste Verne Harris. Il apporte plus largement un éclairage original sur la fortune de l’ouvrage Mal d’archive et de la notion derridienne d’« archive », au singulier, au sein du tournant archivistique et dans l’espace intellectuel internationalisé contemporain. Son objectif est d’élucider les conditions de possibilité du transfert et de la réinterprétation de la notion d’« archive », telle qu’exposée dans Mal d’archive, afin d’élaborer un outil épistémologique de refondation des archives sud-africaines. Au-delà, il s’est agi, pour les passeurs d’« archive », de tenter de réinventer la nation sud-africaine au moment historique de la sortie de l’apartheid dans les années 1990. Dans un pays aux prises avec des archives qui documentent avant tout les politiques d’un État raciste, « sinistre boursouflure sur le corps du monde » selon Derrida, l’« archive » paraissait à même de raccorder des champs habituellement dissociés – l’archivistique, la politique et l’éthique. Les liens que Derrida tisse entre archive(s), savoir, pouvoir et mémoire et l’engagement politique précoce du philosophe contre l’apartheid expliquent l’attention portée à Mal d’archive à l’horizon des enjeux de mémoire, de réconciliation et de pardon, mais aussi d’oubli, auxquels l’Afrique du Sud était alors confrontée.
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Duclert, Vincent. "Le secret en politique au risque des archives? Les archives au risque du secret en politique. Une histoire archivistique française". Matériaux pour l'histoire de notre temps 58, nr 1 (2000): 9–27. http://dx.doi.org/10.3406/mat.2000.404245.

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Ballester, Patrice. "La mémoire des méga-événements comme instrument de la planification urbaine ?" Méga-événements sportifs 33, nr 1 (14.06.2016): 8–19. http://dx.doi.org/10.7202/1036715ar.

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À partir d’une géographie de la mémoire, j’aborde les stratégies de planification urbaine en relation avec l’organisation, la tenue et le bilan des méga-événements. Leur souvenir, remémoration et manipulation par les élites locales rentrent dans une politique urbaine sur le long terme pour justifier parfois des choix hasardeux ou judicieux. J’aboutis à trois résultats corollaires de la forme, du fond et de la fonction des méga-événements à partir d’une recherche archivistique, d’une enquête de terrain sur les sites olympiques à Barcelone et d’une revue de littérature renouvelée sur le sujet : une complémentarité entre les Jeux olympiques et les Expositions universelles s’observe avec l’importance du palimpseste urbain fonctionnant comme un système intégrateur, une mémoire collective des méga-événements reste prégnante grâce au tourisme de masse et de niche, les qualités de l’éphémère de la manifestation se font ressentir dans la production matérielle et immatérielle forgeant une mémoire collective.
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Pelchat, Marc. "Mémoire présenté dans le cadre de la consultation publique sur le renouvellement de la politique culturelle du Québec". Dossier spécial – Mémoires sur le renouvellement de la politique culturelle du Québec (2016) 47, nr 2 (2.05.2018): 77–89. http://dx.doi.org/10.7202/1045170ar.

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S’appuyant sur une brève rétrospective, le mémoire de l’Église catholique de Québec insiste d’abord, dans la première de ses neuf recommandations, sur la nécessité de l’intégration explicite du patrimoine religieux à la politique culturelle. Il aborde ensuite le rôle de l’état et des collectivités dans la protection, la conservation et la mise en valeur de ce patrimoine archivistique, mobilier et immobilier aussi bien qu’immatériel, insistant sur la faiblesse des moyens et des ressources qu’on y consacre. Après un bref chapitre sur le développement des programmes de sensibilisation et de formation au patrimoine religieux, le mémoire revient sur l’épineuse question des mesures financières à développer ou à créer, tout en reconnaissant les apports financiers de source gouvernementale déjà affectés à la conservation du patrimoine immobilier paroissial. Le mémoire se conclue en rappelant que le patrimoine religieux est un précieux héritage pour le futur, que les églises sont des lieux porteurs d’histoire aussi bien que symboles identitaires et que l’Église catholique de Québec ne peut conserver et valoriser ce riche patrimoine seule, sans aide.
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Joukovskaia, Anna, i Evgenii Akelev. "L’historien entre aux archives: Comment l’historiographie russe d’avant 1917 a découvert l’État moscovite". Annales. Histoire, Sciences Sociales 74, nr 3-4 (wrzesień 2019): 591–621. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2020.53.

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RésumésL’article analyse les biais que l’archivage a introduits dans l’historiographie russe sur l’État de Moscou avant la révolution de 1917. Il commence par présenter les principales étapes de l’organisation des dépôts d’archives historiques depuis l’époque de Pierre le Grand. Pendant longtemps, la politique archivistique de l’État vis-à-vis des dépôts historiques se révèle à la fois passive et défiante : peu d’investissements sont faits dans la conservation et la description des fonds, qui demeurent d’un accès difficile pour les chercheurs. Marquée par les réformes libérales du règne d’Alexandre II, la seconde moitié du xixe siècle voit une nouvelle étape avec la création d’un important dépôt d’archives historiques, les archives du ministère de la Justice à Moscou (Mamju), et la naissance d’une république des lettres russe. C’est alors qu’émergent les hypothèses historiques fondamentales qui continuent, aujourd’hui encore, à façonner l’idée que nous nous faisons de l’État de Moscou des xvie-xviie siècles. Deux études de cas sont présentées : l’utilisation des cadastres anciens (piscovye knigi) en tant que source pour l’histoire économique et sociale, et la théorie des groupes sociaux (soslovija) de Vasilij Ključevskij. Ces exemples montrent comment la segmentation des fonds d’archives, l’état inégal de leur conservation, les ambitions de l’archivistique ainsi que la nature et le rythme de mise à disposition de nouveaux outils d’investigation produits par les archivistes influencent les programmes et les résultats de la recherche historique.
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Belin, Antony, i Jean-Marc Rietsch. "Archivage électronique et analyse de risque : les nouveaux défis de l’archiviste". Note et bilan d’expérience 46, nr 1 (22.03.2016): 47–60. http://dx.doi.org/10.7202/1035722ar.

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L’ère du numérique a causé de profondes transformations à la discipline archivistique. De nouveaux enjeux font ainsi surface. C’est notamment le cas de la notion de risque, qui doit invariablement être prise en compte lors de la définition des besoins dans un organisme. Dans leur article, Belin et Rietsch font d’abord référence à l’évolution du numérique. Depuis quinze ans, l’arrivée du numérique apporte, certes, beaucoup d’avantages au travail des archivistes, mais aussi tout un lot de nouvelles problématiques. En effet, réussir à assurer l’intégrité d’un document numérique, sa provenance, sa confidentialité, son accès ou sa préservation à long terme, sont tous des défis qui nous rappellent que cette nouvelle ère est parfois fondée sur des mécanismes de fonctionnement complexes et exigeant des coûts monétaires importants. La seconde partie de l’article est dédiée à la présentation d’un cas concret : le succès de la mise en place d’un système d’archivage électronique (SAE) régional mutualisé au sein du syndicat mixte de coopération territoriale Mégalis Bretagne, en France. Le succès de cette opération repose principalement sur l’aspect de mutualisation des moyens, c’est-à-dire la mise commun d’un système détenant plusieurs infrastructures techniques. Ce type de système permet d’assurer l’optimisation des ressources disponibles et les risques sont ainsi partagés. Une politique d’archivage bien réfléchie est absolument nécessaire avant la mise en place d’un tel système. L’exemple du système de Mégalis Bretagne illustre bien l’association d’un projet d’archivage numérique et l’analyse du risque.
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Ingrao, Christian. "Conquérir, aménager, exterminer: Recherches récentes sur la Shoah". Annales. Histoire, Sciences Sociales 58, nr 2 (kwiecień 2003): 415–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900004558.

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RésumésDécrivant les grandes tendances de la recherche allemande récente sur la Shoah, cet article montre l’intérêt nouveau pour les acteurs du meurtre et la mise en place d’une histoire sociale et culturelle des bourreaux. L’historiographie du nazisme a en outre pour ambition de prendre en compte toutes les dimensions de la politique de répression nazie. Elle s’intéresse ainsi tant aux criminels qu’aux Tziganes, aux politiques de mise à mort qu’à celles de déportation. Cette nouvelle historiographie trouve sa véritable spécificité dans une série d’études locales sur les politiques d’occupation et des processus d’extermination intervenus en Europe de l’Est occupée. Fondées sur des explorations archivistiques très complètes, un empirisme déclaré et une reconstruction très minutieuse des événements, ces études posent le problème de l’échelle des processus de décision, de la marge de manoeuvre des acteurs sur le terrain et de l’hypothèse d’un consentement européen à la Shoah.
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Kisin, Eugenia. "Archival Predecessors and Indigenous Modernisms: Archives in Contemporary Curatorial Practice on the Northwest Coast". RACAR : Revue d'art canadienne 42, nr 2 (25.01.2018): 72–86. http://dx.doi.org/10.7202/1042947ar.

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Les projets d’expositions archivistiques — et leur documentation — sont des lieux de production de connaissances en histoire de l’art, ainsi que des interventions politiques, qui placent les documents dans un autre contexte afin d’interroger les canons et les façons de voir des colonialistes-colons. À partir de ces relations discursives, visuelles et archivistiques, cet article examine deux rétrospectives solos des oeuvres sculptées et peintes des artistes modernistes kwakwaka’wakws, Doug Cranmer (‘Namgis) et Henry Speck (Tlawit’sis), présentées à Vancouver en 2012. En considérant comment les conservateurs ont fait appel aux archives familiales intimes et à des documents du domaine public, il traite de l’utilité des archives du modernisme pour activer des liens affectifs, ancestraux et familiaux au-delà des modes de compréhension canoniques et historiques des mouvements esthétiques et des contextes de production.
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CHABOCHE, José. "Du territoire de projets à l’anti-projet de territoire. Grand équipement sportif et construction de l’intercommunalité en agglomération intermédiaire". Cahiers de géographie du Québec 60, nr 171 (2.10.2017): 455–75. http://dx.doi.org/10.7202/1041217ar.

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Cet article s’inscrit dans la problématique des mutations contemporaines des politiques urbaines à travers, notamment, une tendance mondiale à leur conférer un caractère spectaculaire (Bélanger, 2000). Dans ce contexte, L’Odyssée, le plus imposant complexe aquatique-patinoire de France, financé par Chartres Métropole (« l’Agglo »), contribue-t-il efficacement à la construction intercommunale ? Observation directe, enquête archivistique et littérature scientifique charpentent cette recherche en géographie sociale. Outre la démonstration des effets contrastés de L’Odyssée sur la construction intercommunale, nos résultats montrent qu’il synthétise des évolutions plus globales par ses modes de conception, de réalisation et d’exploitation : omniprésence de l’intercommunalité dans le développement territorial, sans mandat démocratique direct ; concurrence interurbaine généralisée et multiscalaire ; accentuation de la marchandisation et de la rétraction de l’espace public urbain ; pilotage autoritaire de grandes opérations d’aménagement par des élites politiques attentives aux intérêts privés, lesquels sapent le maillage territorial d’équipements sportifs et réduisent les bénéfices collectifs au détriment des catégories sociales les moins bien positionnées. Stratégies individuelles et gouvernance conflictuelle liées à ce modèle amoindrissent les effets géographiques de l’intercommunalité et contribuent à l’essor de la figure de l’anti-projet de territoire.
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Gizzi, Chiara. "Open Licensing et patrimoine." Informationswissenschaft: Theorie, Methode und Praxis 6, nr 1 (9.07.2020): 150–81. http://dx.doi.org/10.18755/iw.2020.8.

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Openness ‘ouverture’ est l’un des mots clé de l’époque numérique. Issu du milieu informatique, où l’utilisation massive peut être associée à des monopoles distorsifs du marché, ce concept façonne l’action des institutions culturelles en train de mettre en place des politiques adaptées au partage et à l’accès au patrimoine tout en prenant en compte les possibilités offertes par les moyens techniques, leur durabilité et le respect des droits. En effet, si la démocratisation et la transparence sont mises en avant, ne sont pourtant pas caduques les obligations de tutelle des droits des personnes (droit d’auteur, protection des données personnelles – y inclus le droit à l’image) ; bien au contraire : le contexte numérique a poussé à une adaptation encore en cours du cadre légal. Dans la pratique, on peut facilement constater que souvent les documents nés-numériques, qui seraient déjà adaptés à une diffusion massive, sont consultables seulement sur place et avec des ordinateurs ne permettant aucune forme de téléchargement. Les institutions patrimoniales sont appelées à se positionner et à élaborer une politique qui concilie la mise à disposition, la tutelle des droits et une gestion avisée. Dans ce travail nous faisons état des questions légales et des pratiques de mise à disposition numérique sous le profil des droits d’utilisation et de réutilisation. Notre perspective d’enquête porte sur un champ limité aux collections spéciales (y compris les archives) en bibliothèque et dans ce domaine aux documents textuels et iconographiques publiés ainsi qu’aux inédits. Nous examinons les problématiques posées par le droit d’auteur (et par son évolution récente dans la culture juridique et en général dans la société) et par la protection des droits de la personnalité à la croisée des pratiques bibliothécaires et archivistiques ainsi que les propositions de réforme à l’étude. Une attention particulière comporte l’accessibilité aux reproductions des documents (spécialement des documents uniques) tombés dans le domaine public. Les retours d’expérience et les réflexions actuelles – surtout au niveau européen – dans les institutions patrimoniales montrent les enjeux et les opportunités du changement en cours. En l’absence de contraintes légales externes aux institutions, les choix sont encore plus déterminés par des politiques de numérisation en voie de définition ou de redéfinition. Nous examinons enfin brièvement les projets et la perspective de quelques institutions suisses : l’Universitätsbibliothek Basel, la Zentralbibliothek Zürich (en particulier le projet DigiTUR), les Archives cantonales vaudoises et la Bibliothèque cantonale et universitaire – Lausanne.
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Pelletier, Jean-Guy. "COUTURE, Carol et LAJEUNESSE, Marcel. Législations et politiques archivistiques dans le monde. Québec, Documentor, 1993. 417 p." Documentation et bibliothèques 40, nr 2 (1994): 108. http://dx.doi.org/10.7202/1033464ar.

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Harrisson, Sandra. "Les notes « Observations de l’infirmière » du Département de psychiatrie de l’Hôpital Montfort : une source archivistique incontournable en santé mentale". Santé mentale au Québec 41, nr 2 (10.11.2016): 69–82. http://dx.doi.org/10.7202/1037956ar.

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Les notes des infirmières sont utilisées essentiellement comme outil de communication entre les infirmières, les médecins et les membres de l’équipe professionnelle pour assurer la continuité des soins des patients. Elles contiennent des parcelles d’histoire de vie des individus atteints de troubles de santé mentale. Cet outil de communication des infirmières décrit les épisodes de soins et les nombreuses hospitalisations des patients admis au département de psychiatrie de courte durée. En fait, ces notes d’observations représentent plus que le simple portrait de la maladie mentale. Elles racontent toujours un récit construit selon certaines normes socioculturelles. Leurs données narratives documentent l’intersection entre les expériences personnelles et les structures sociale, institutionnelle et professionnelle. Elles laissent des traces sur l’influence des politiques et des réformes gouvernementales en matière de santé mentale sur le réseau de la santé. L’étude de ces sources archivistiques permet d’élucider la relation entre les hôpitaux généraux et la société en général et ouvre une fenêtre sur l’ensemble des conditions de vie sociale de ces individus. Le but de cet article est de démontrer que ces données narratives sont une source complète d’information pour comprendre l’expérience de la santé mentale suite au projet de désinstitutionnalisation. Elles offrent une multitude de possibilités de recherche en santé mentale et peuvent être examinées sous différents angles d’analyse.
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Palmieri, Walter. "Natura, uomini e dissesti: le alluvioni di Nola agli inizi dell'ottocento". SOCIETÀ E STORIA, nr 126 (marzec 2010): 615–33. http://dx.doi.org/10.3280/ss2009-126002.

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Nonostante l'importanza dei dati storici per le odierne politiche di prevenzione e di mitigazione del rischio idrogeologico, la storiografia raramente si č occupata di questi argomenti; anche se, dopo la catastrofe di Sarno del 1998, si č assistito ad una breve stagione di studi storici su frane e alluvioni verificatisi in quell'area nei secoli precedenti. Partendo da queste considerazioni, l'autore, dopo essersi soffermato sulle cause naturali che rendevano (e rendono) la pianura campana particolarmente esposta a fenomeni franosi ed alluvionali, ricostruisce ciň che avvenne nella pianura di Nola, negli anni Venti dell'Ottocento. La violenta eruzione del Vesuvio del 1822, infatti, aggravň enormemente i precari equilibri idrogeologici dell'area generando, negli anni seguenti, numerosi eventi catastrofici. Particolare attenzione viene dedicata all'individuazione delle attivitÀ antropiche - generate a loro volta da spinte di natura economica - che, sommandosi agli agenti naturali, contribuivano ad aggravare l'instabilitÀ dei versanti. Attraverso l'ausilio di fonti archivistiche, vengono inoltre analizzate le modalitÀ con cui le istituzioni dell'epoca intervennero per tentare di arginare questi fenomeni.
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Dalberto, Séverine Awenengo. "La première carte d’identité d’Afrique occidentale française (1946-1960): Identifier et s’identifier au Sénégal au temps de la citoyenneté impériale". Annales. Histoire, Sciences Sociales 75, nr 1 (marzec 2020): 113–51. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2020.114.

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La première carte d’identité d’Afrique occidentale française (1946-1960) : Identifier et s’identifier au Sénégal au temps de la citoyenneté impérialeCet article explore le projet et la mise en œuvre au Sénégal de l’arrêté général du 17 octobre 1949 qui institua en Afrique occidentale française (AOF) le port d’une carte d’identité fédérale. Ce projet correspondait à la volonté de généralisation et d’uniformisation de l’identification légale personnelle consécutive à la réforme de l’Empire après-guerre. La fin du régime de l’indigénat et l’octroi de la citoyenneté impériale requéraient en effet que s’établisse un rapport nouveau entre l’État et des individus singuliers, en rupture avec l’approche catégorielle qui avait jusqu’alors été au fondement du gouvernement impérial. Si, à travers l’analyse de l’extension de l’état civil dans les années 1950, l’historiographie a pu récemment éclairer les limites de la nouvelle gouvernementalité coloniale et l’ambivalence de la citoyenneté impériale, l’histoire de cette première carte d’identité est restée un angle mort de la recherche sur les dispositifs d’identification mis en place après-guerre. En mobilisant de nouveaux matériaux archivistiques et empiriques et par un changement d’échelle d’observation, cet article invite à poursuivre la réflexion entamée et à en nuancer certaines conclusions. Il s’attache non seulement à explorer la fabrique bureaucratique, sociale et politique de la carte d’identité, à questionner les régimes de véridiction de l’identité légale, mais aussi à éclairer la manière dont des Africains et des Africaines envisagèrent ces documents, qui furent aussi des supports d’expériences du monde social et, parfois, intime.
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Tobing, Fredy B. L., i Asra Virgianita. "Functional multi-track and multilevel economic diplomacy to strengthen trade relations between Indonesia, Chile, and Peru". Regions and Cohesion 10, nr 1 (1.03.2020): 88–107. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2020.100106.

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English abstract: This article analyzes the causes of low trade relations between Indonesia and Latin American states, arguing that dynamics of international political economy have opened opportunities to increase trade relations between those countries. Having good diplomatic and political relations with similar emerging economies, like Peru and Chile, should drive closer economic relations among them. A qualitative study was conducted using literature reviews, archival analysis, and in-depth interviews. Political will and lack of knowledge pertaining to the business character of each country hamper external relations. Thus, a functional multi-track diplomacy that incorporates state and non-state actors from various fields is crucial for enhancing economic relations among these countries. Trade relations can be particularly strengthened by maximizing cooperation among actors at various levels.Spanish abstract: Este artículo analiza las débiles relaciones comerciales entre Indonesia y América Latina, argumentando que la dinámica de la economía política abre oportunidades para mejorar estas relaciones. Las buenas relaciones diplomáticas y políticas entre Perú y Chile, debería estrechar sus relaciones económicas. Pero la escasa voluntad política y falta de conocimiento del carácter empresarial de cada país, obstaculizan sus relaciones externas. La investigación incluyó revisión de literatura, análisis de archivos y entrevistas en profundidad. Los resultados subrayan la necesidad de una diplomacia funcional de múltiples rutas que incorpore instituciones estatales y no estatales de diversos campos para mejorar las relaciones económicas. Las relaciones comerciales particularmente pueden fortalecerse entre países maximizando su recíproca cooperación en cada nivel (diplomacia multinivel).French abstract: Cet article analyse les causes de la faiblesse des relations commerciales entre l’Indonésie et les pays d’Amérique latine en faisant valoir que la dynamique de l’économie politique internationale a ouvert des opportunités pour stimuler les relations commerciales entre ces pays. Cette étude qualitative a été menée sur la base d’une étude de la littérature existante, d’analyses archivistiques et d’entretiens approfondis. Le manque de volonté politique et surtout de connaissances réciproques des atouts commerciaux de ces pays entravent leurs relations extérieures. Ainsi, une diplomatie fonctionnelle à plusieurs voies qui intègre des diplomaties étatiques et non-étatiques dans divers domaines est-elle cruciale pour améliorer leurs relations économiques. Les relations commerciales peuvent notamment être renforcées en maximisant la coopération entre ces pays à chaque niveau (diplomatie multi-niveaux).
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Baillargeon, Diane. "COUTURE, Carol et LAJEUNESSE, Marcel. Législations archivistiques et politiques nationales d’archives : étude comparative d’impact. Montréal, École de bibliothéconomie et des sciences de l’information. Université de Montréal, 1991. 426 p." Documentation et bibliothèques 39, nr 1 (1993): 45. http://dx.doi.org/10.7202/1028605ar.

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Levinson, Chad. "Partners in Persuasion: Extra-Governmental Organizations in the Vietnam War". Foreign Policy Analysis 17, nr 3 (24.06.2021). http://dx.doi.org/10.1093/fpa/orab021.

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Abstract Why do US presidents form collaborative relationships with private organizations in matters of national security? This paper argues that these symbiotic relationships are initiated by ambitious presidents facing public resistance and congressional opposition. They enlist extra-governmental organizations (EGOs) to help mobilize public support to pressure Congress to grant its consent. EGOs are able to launder information because of their ostensible political independence and their freedom of expression, which permits them to circumvent anti-propaganda laws that constrain the executive branch. The paper further argues that the ecosystem of extra-governmental influence reflects a bias in the structure of US national security politics that favors presidential collaboration with interventionist organizations. Original archival research into the politics of the Vietnam War covering three phases of the conflict, Americanization, disenchantment, and Vietnamization, supports the paper's claims. The broader historical context shows that EGO collaborations have shaped the political development of the US national security establishment. ¿Por qué los presidentes estadounidenses establecen relaciones de colaboración con organizaciones privadas en materia de seguridad nacional? En este artículo, se sostiene que estas relaciones simbióticas son iniciadas por presidentes ambiciosos que se enfrentan a la resistencia pública y a la oposición del Congreso. Consiguen que las organizaciones extragubernamentales (Extra-Governmental Organizations, EGO) ayuden a movilizar el apoyo público para presionar al Congreso a fin de que otorgue su consentimiento. Las EGO pueden blanquear información debido a su ostensible independencia política y a su libertad de expresión, lo que les permite eludir las leyes antipropaganda que limitan al poder ejecutivo. El artículo sostiene, además, que el ecosistema de influencia extragubernamental refleja un sesgo en la estructura de la política de seguridad nacional estadounidense que favorece la colaboración presidencial con las organizaciones intervencionistas. Una investigación de archivos originales sobre la política de la guerra de Vietnam que abarca tres fases del conflicto (la americanización, el desencanto y la vietnamización) respalda las afirmaciones del artículo. El contexto histórico más amplio muestra que las colaboraciones de las EGO dieron forma al desarrollo político del establishment de la seguridad nacional estadounidense. Pourquoi les présidents américains établissent-ils des relations de collaboration avec des sociétés privées pour des questions de sécurité nationale? Cet article soutient que ces relations symbiotiques sont initiées par des présidents ambitieux confrontés à une résistance publique et à une opposition du Congrès. Ils font appel à des organisations extra-gouvernementales pour les aider à mobiliser le soutien du public et ainsi faire pression sur le Congrès pour qu'il leur donne son consentement. Ces organisations sont capables de blanchir des informations du fait de leur indépendance politique ostensible et de leur liberté d'expression qui leur permettent de contourner les lois anti-propagande contraignantes pour le pouvoir exécutif. Cet article affirme en outre que l’écosystème de l'influence extra-gouvernementale reflète un biais structurel des politiques de sécurité nationale américaines qui favorise la collaboration présidentielle avec des organisations interventionnistes. Une recherche archivistique originale sur les politiques de la guerre du Viêtnam couvrant trois phases du conflit, l'américanisation, le désenchantement et la vietnamisation, soutient les affirmations de cet article. Le contexte historique plus large montre que les collaborations avec des organisations non gouvernementales ont façonné le développement politique de l'appareil de sécurité nationale américain.
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Vernier, Melissa. "Réappropriation du patrimoine autochtone : défis et nouvelles pratiques muséales et archivistiques". Partnership: The Canadian Journal of Library and Information Practice and Research 11, nr 2 (20.12.2016). http://dx.doi.org/10.21083/partnership.v11i2.3586.

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Le rapport de la Commission de vérité et réconciliation du Canada (2015) fait le point sur la colonisation et les politiques du gouvernement fédéral ayant porté atteinte à l’identité culturelle des peuples autochtones du pays. Que cela ait été intentionnel ou non, les institutions de la mémoire – musées, centres d’archives et bibliothèques – ont contribué à cet héritage colonial par l’imposition d’un régime d’historicité de conservation et d’interprétation occidental. Le mouvement pour la réappropriation du patrimoine culturel autochtone, mené tant par les groupes autochtones que par les institutions de la mémoire elles-mêmes, cherche à corriger cette situation par des mesures aussi variées que le rapatriement, la restitution, la gestion partagée et l’autogestion des collections autochtones ainsi que la création de partenariats et de projets collaboratifs. Cette étude analyse d’abord le contexte sociohistorique dans lequel évolue le mouvement pour la réappropriation du patrimoine culturel autochtone pour ensuite présenter les réformes et les pratiques exemplaires des institutions de la mémoire issues de ce mouvement. Ces réformes témoignent de deux tendances distinctes, soit des stratégies d’autonomisation ou de collaboration. L’étude conclut sur quelques recommandations quant aux mesures institutionnelles à privilégier pour les prochaines décennies. The Truth and Reconciliation Commission of Canada’s Report (2015) takes stock of colonization and federal government policies that adversely affect the cultural identity of the country’s Indigenous People. Intentionally or not, memory institutions – museums, archives and libraries – have contributed this to the colonial heritage by imposing a regime of conservation historicity and Western interpretation. The movement to reclaim Indigenous People’s cultural heritage, led by both indigenous groups and memory institutions, seeks to correct this situation by various means including repatriation, restitution, shared management and self-management of indigenous collections as well as the creation of partnerships and collaborative projects. This study first analyzes the socio-historic context in which the movement to reclaim Indigenous People’s cultural heritage operates, and then presents memory institutions’ reforms and exemplary practices within this movement. These reforms speak to two distinct trends: strategies of empowerment and collaboration. The study concludes with a few recommendations regarding institutional measures to value in the coming decades.
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Gagné, Natacha. "Anthropologie et histoire". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.060.

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On a longtemps vu l’histoire et l’anthropologie comme deux disciplines très distinctes n’ayant pas grand-chose en partage. Jusqu’au début du XXe siècle, l’histoire fut essentiellement celle des « civilisés », des Européens et donc des colonisateurs. Si les colonisés n’étaient pas complètement absents du tableau, ils étaient, au mieux, des participants mineurs. L’anthropologie, pour sa part, s’est instituée en ayant pour objet la compréhension des populations lointaines, les « petites sociétés », autochtones et colonisées, ces populations vues comme hors du temps et de l’histoire. Cette situation était le produit d’une division traditionnelle (Harkin 2010 : 114) – et coloniale (Naepels 2010 : 878) – du travail entre histoire et anthropologie. Celle-ci se prolongeait dans le choix des méthodes : les historiens travaillaient en archives alors que les anthropologues s’intéressaient aux témoignages oraux et donc, s’adonnaient à l’enquête de terrain. Les deux disciplines divergeaient également quant à la temporalité : « Pour l’histoire, (…) le temps est une sorte de matière première. Les actes s’inscrivent dans le temps, modifient les choses tout autant qu’ils les répètent. (…) Pour l’anthropologue, s’il n’y prend garde, le temps passe en arrière-plan, au profit d’une saisie des phénomènes en synchronie » (Bensa 2010 : 42). Ces distinctions ne sont plus aujourd’hui essentielles, en particulier pour « l’anthropologie historique », champ de recherche dont se revendiquent tant les historiens que les anthropologues, mais il n’en fut pas de tout temps ainsi. Après s’être d’abord intéressés à l’histoire des civilisations dans une perspective évolutionniste et spéculative, au tournant du siècle dernier, les pères de l’anthropologie, tant en France (Émile Durkheim, Marcel Mauss), aux États-Unis (Franz Boas), qu’en Angleterre (Bronislaw Malinowski, Alfred Radcliffe-Brown), prendront fermement leur distance avec cette histoire. Les questions de méthode, comme le développement de l’observation participante, et l’essor de concepts qui devinrent centraux à la discipline tels que « culture » et « fonction » furent déterminants pour sortir de l’idéologie évolutionniste en privilégiant la synchronie plutôt que la diachronie et les généalogies. On se détourna alors des faits uniques pour se concentrer sur ceux qui se répètent (Bensa 2010 : 43). On s’intéressa moins à l’accidentel, à l’individuel pour s’attacher au régulier, au social et au culturel. Sans être nécessairement antihistoriques, ces précepteurs furent largement ahistoriques (Evans-Pritchard 1962 : 172), une exception ayant été Franz Boas – et certains de ses étudiants, tels Robert Lowie ou Melville J. Herskovits – avec son intérêt pour les contacts culturels et les particularismes historiques. Du côté de l’histoire, on priorisait la politique, l’événement et les grands hommes, ce qui donnait lieu à des récits plutôt factuels et athéoriques (Krech 1991 : 349) basés sur les événements « vrais » et uniques qui se démarquaient de la vie « ordinaire ». Les premiers essais pour réformer l’histoire eurent lieu en France, du côté des historiens qui seront associés aux « Annales », un nom qui réfère à la fois à une revue scientifique fondée en 1929 par Marc Bloch et Lucien Febvre et à une École d’historiens français qui renouvela la façon de penser et d’écrire l’histoire, en particulier après la Seconde Guerre mondiale (Krech 1991; Schöttler 2010). L’anthropologie et la sociologie naissantes suscitèrent alors l’intérêt chez ce groupe d’historiens à cause de la variété de leurs domaines d’enquête, mais également par leur capacité à enrichir une histoire qui n’est plus conçue comme un tableau ou un simple inventaire. Les fondateurs de la nouvelle École française des Annales décrivent leur approche comme une « histoire totale », expression qui renvoie à l’idée de totalité développée par les durkheimiens, mais également à l’idée de synthèse du philosophe et historien Henry Berr (Schöttler 2010: 34-37). L’histoire fut dès lors envisagée comme une science sociale à part entière, s’intéressant aux tendances sociales qui orientent les singularités. L’ouvrage fondateur de Marc Bloch, Les rois thaumaturges (1983 [1924]), pose les jalons de ce dépassement du conjoncturel. Il utilise notamment la comparaison avec d’autres formes d’expériences humaines décrites notamment dans Le Rameau d’Or (1998 [1924; 1890 pour l’édition originale en anglais]) de James G. Frazer et explore le folklore européen pour dévoiler les arcanes religieux du pouvoir royal en France et en Angleterre (Bensa 2010; Goody 1997). Il s’agit alors de faire l’histoire des « mentalités », notion qui se rapproche de celle de « représentation collective » chère à Durkheim et Mauss (sur ce rapprochement entre les deux notions et la critique qui en a été faite, voir Lloyd 1994). Les travaux de la deuxième génération des historiens des Annales, marqués par la publication de l’ouvrage de Fernand Braudel La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II en 1949 et de son arrivée en 1956 à la direction de la revue, peuvent encore une fois mieux se comprendre dans l’horizon du dialogue avec l’anthropologie, d’une part, et avec les area studiesqui se développèrent aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre (Braudel 1958). Le projet est de rapporter « la spécificité des acteurs singuliers, des dates et des événements à des considérations plus vastes sur la transformation lente des mœurs et des représentations. Le travail ne consiste pas seulement à capter au projet de l’histoire des rubriques chères à l’anthropologie, mais aussi à caractériser une époque [et une région] par sa façon de percevoir et de penser le monde » (Bensa 2010 : 46). Il s’agit alors de faire l’histoire des structures, des conjonctures et des mentalités (Schöttler 2010 : 38). Les travaux de cette deuxième génération des Annales s’inscrivent dans un vif débat avec l’anthropologie structuraliste de Claude Lévi-Strauss. Si tant Braudel que Lévi-Strauss voulaient considérer les choses de façon globale, Lévi-Strauss situait la globalité dans un temps des sociétés des origines, comme si tout s’était joué au départ et comme si l’histoire n’en serait qu’un développement insignifiant. Pour sa part, Braudel, qui s’intéressait à l’histoire sérielle et à la longue durée, situait plutôt la globalité dans un passé qui sert à comprendre le présent et, jusqu’à un certain point, à prévoir ce qui peut se passer dans le futur. Ce qui constitue le fond de leur opposition est que l’un s’intéresse à l’histoire immobile alors que l’autre s’intéresse à l’histoire de longue durée, soit l’histoire quasi immobile selon laquelle, derrière les apparences de la reproduction à l’identique, se produisent toujours des changements, même très minimes. Dans les deux cas, l’ « événementiel » ou ce qui se passe à la « surface » sont à l’opposé de leur intérêt pour la structure et la profondeur, même si ces dernières ne sont pas saisies de la même façon. Pour Braudel, la structure est pleinement dans l’histoire ; elle est réalité concrète et observable qui se décèle notamment dans les réseaux de relations, de marchandises et de capitaux qui se déploient dans l’espace et qui commandent les autres faits dans la longue durée (Dosse 1986 : 89). Les travaux de Braudel et son concept d’ « économie-monde » inspireront plusieurs anthropologues dont un Marshall Sahlins et un Jonathan Friedman à partir du tournant des années 1980. Pour Lévi-Strauss, la structure profonde, celle qui correspond aux enceintes mentales humaines, « ne s’assimile pas à la structure empirique, mais aux modèles construits à partir de celle-ci » (Dosse 1986 : 85). Elle est donc hors de l’histoire. Comme le rappelait François Hartog (2014 [2004] : 287), Lévi-Strauss a souvent dit « rien ne m’intéresse plus que l’histoire. Et depuis fort longtemps! » (1988 : 168; voir d’ailleurs notamment Lévi-Strauss 1958, 1983), tout en ajoutant « l’histoire mène à tout, mais à condition d’en sortir » (Lévi-Strauss 1962 : 348) ! Parallèlement à l’entreprise déhistoricisante de Lévi-Strauss, d’autres anthropologues insistent au contraire à la même époque sur l’importance de réinsérer les institutions étudiées dans le mouvement du temps. Ainsi, Edward E. Evans-Pritchard, dans sa célèbre conférence Marett de 1950 qui sera publiée en 1962 sous le titre « Anthropology and history », dénonce le fait que les généralisations en anthropologie autour des structures sociales, de la religion, de la parenté soient devenues tellement généralisées qu’elles perdent toute valeur. Il insiste sur la nécessité de faire ressortir le caractère unique de toute formation sociale. C’est pour cette raison qu’il souligne l’importance de l’histoire pour l’anthropologie, non pas comme succession d’événements, mais comme liens entre eux dans un contexte où on s’intéresse aux mouvements de masse et aux grands changements sociaux. En invitant notamment les anthropologues à faire un usage critique des sources documentaires et à une prise en considération des traditions orales pour comprendre le passé et donc la nature des institutions étudiées, Evans-Pritchard (1962 : 189) en appelle à une combinaison des points de vue historique et fonctionnaliste. Il faut s’intéresser à l’histoire pour éclairer le présent et comment les institutions en sont venues à être ce qu’elles sont. Les deux disciplines auraient donc été pour lui indissociables (Evans-Pritchard 1962 : 191). Au milieu du XXe siècle, d’autres anthropologues s’intéressaient aux changements sociaux et à une conception dynamique des situations sociales étudiées, ce qui entraîna un intérêt pour l’histoire, tels que ceux de l’École de Manchester, Max Gluckman (1940) en tête. En France, inspiré notamment par ce dernier, Georges Balandier (1951) insista sur la nécessité de penser dans une perspective historique les situations sociales rencontrées par les anthropologues, ce qui inaugura l’étude des situations coloniales puis postcoloniales, mais aussi de l’urbanisation et du développement. Cette importance accordée à l’histoire se retrouva chez les anthropologues africanistes de la génération suivante tels que Jean Bazin, Michel Izard et Emmanuel Terray (Naepels 2010 : 876). Le dialogue entre anthropologie et histoire s’est développé vers la même époque aux États-Unis. Après le passage de l’Indian Claims Commission Act en 1946, qui établit une commission chargée d’examiner les revendications à l’encontre de l’État américain en vue de compensations financières pour des territoires perdus par les nations autochtones à la suite de la violation de traités fédéraux, on assista au développement d’un nouveau champ de recherche, l’ethnohistoire, qui se dota d’une revue en 1954, Ethnohistory. Ce nouveau champ fut surtout investi par des anthropologues qui se familiarisèrent avec les techniques de l’historiographie. La recherche, du moins à ses débuts, avait une orientation empirique et pragmatique puisque les chercheurs étaient amenés à témoigner au tribunal pour ou contre les revendications autochtones (Harkin 2010). Les ethnohistoriens apprirent d’ailleurs à ce moment à travailler pour et avec les autochtones. Les recherches visaient une compréhension plus juste et plus holiste de l’histoire des peuples autochtones et des changements dont ils firent l’expérience. Elles ne manquèrent cependant pas de provoquer un certain scepticisme parmi les anthropologues « de terrain » pour qui rien ne valait la réalité du contact et les sources orales et pour qui les archives, parce qu’étant celles du colonisateur, étaient truffées de mensonges et d’incompréhensions (Trigger 1982 : 5). Ce scepticisme s’estompa à mesure que l’on prit conscience de l’importance d’une compréhension du contexte historique et de l’histoire coloniale plus générale pour pouvoir faire sens des données ethnologiques et archéologiques. L’ethnohistoire a particulièrement fleuri en Amérique du Nord, mais très peu en Europe (Harkin 2010; Trigger 1982). On retrouve une tradition importante d’ethnohistoriens au Québec, qu’on pense aux Bruce Trigger, Toby Morantz, Rémi Savard, François Trudel, Sylvie Vincent. L’idée est de combiner des données d’archives et des données archéologiques avec l’abondante ethnographie. Il s’agit également de prendre au sérieux l’histoire ou la tradition orale et de confronter les analyses historiques à l’interprétation qu’ont les acteurs de l’histoire coloniale et de son impact sur leurs vies. La perspective se fit de plus en plus émique au fil du temps, une attention de plus en plus grande étant portée aux sujets. Le champ de recherche attira graduellement plus d’historiens. La fin des années 1960 fut le moment de la grande rencontre entre l’anthropologie et l’histoire avec la naissance, en France, de l’« anthropologie historique » ou « nouvelle histoire » et, aux États-Unis, de la « New Cutural History ». L’attention passa des structures et des processus aux cultures et aux expériences de vie des gens ordinaires. La troisième génération des Annales fut au cœur de ce rapprochement : tout en prenant ses distances avec la « religion structuraliste » (Burguière 1999), la fascination pour l’anthropologie était toujours présente, produisant un déplacement d’une histoire économique et démographique vers une histoire culturelle et ethnographique. Burguière (1999) décrivait cette histoire comme celle des comportements et des habitudes, marquant un retour au concept de « mentalité » de Bloch. Les inspirations pour élargir le champ des problèmes posés furent multiples, en particulier dans les champs de l’anthropologie de l’imaginaire et de l’idéologique, de la parenté et des mythes (pensons aux travaux de Louis Dumont et de Maurice Godelier, de Claude Lévi-Strauss et de Françoise Héritier). Quant à la méthode, la description dense mise en avant par Clifford Geertz (1973), la microhistoire dans les traces de Carlo Ginzburg (1983) et l’histoire comparée des cultures sous l’influence de Jack Goody (1979 [1977]) permirent un retour de l’événement et du sujet, une attention aux détails qui rejoignit celle qu’y accordait l’ethnographie, une conception plus dynamique des rapports sociaux et une réinterrogation des généralisations sur le long terme (Bensa 2010 : 49 ; Schmitt 2008). Aux États-Unis, la « New Culturel History » qui s’inscrit dans les mêmes tendances inclut les travaux d’historiens comme Robert Darnon, Natalie Zemon Davis, Dominick La Capra (Iggers 1997; Krech 1991; Harkin 2010). L’association de l’histoire et de l’anthropologie est souvent vue comme ayant été pratiquée de manière exemplaire par Nathan Wachtel, historien au sens plein du terme, mais également formé à l’anthropologie, ayant suivi les séminaires de Claude Lévi-Strauss et de Maurice Godelier (Poloni-Simard et Bernand 2014 : 7). Son ouvrage La Vision des vaincus : les Indiens du Pérou devant la Conquête espagnole 1530-1570 qui parut en 1971 est le résultat d’un va-et-vient entre passé et présent, la combinaison d’un travail en archives avec des matériaux peu exploités jusque-là, comme les archives des juges de l’Inquisition et les archives administratives coloniales, et de l’enquête de terrain ethnographique. Cet ouvrage met particulièrement en valeur la capacité d’agir des Autochtones dans leur rapport avec les institutions et la culture du colonisateur. Pour se faire, il appliqua la méthode régressive mise en avant par Marc Bloch, laquelle consiste à « lire l’histoire à rebours », c’est-à-dire à « aller du mieux au moins bien connu » (Bloch 1931 : XII). Du côté des anthropologues, l’anthropologie historique est un champ de recherche en effervescence depuis les années 1980 (voir Goody 1997 et Naepels 2010 pour une recension des principaux travaux). Ce renouveau prit son essor notamment en réponse aux critiques à propos de l’essentialisme, du culturalisme, du primitivisme et de l’ahistoricisme (voir Fabian 2006 [1983]; Thomas 1989; Douglas 1998) de la discipline anthropologique aux prises avec une « crise de la représentation » (Said 1989) dans un contexte plus large de décolonisation qui l’engagea dans un « tournant réflexif » (Geertz 1973; Clifford et Marcus 1986; Fisher et Marcus 1986). Certains se tournèrent vers l’histoire en quête de nouvelles avenues de recherche pour renouveler la connaissance acquise par l’ethnographie en s’intéressant, d’un point de vue historique, aux dynamiques sociales internes, aux régimes d’historicité et aux formes sociales de la mémoire propres aux groupes auprès desquels ils travaillaient (Naepels 2010 : 877). Les anthropologues océanistes participèrent grandement à ce renouveau en discutant de la nécessité et des possibilités d’une anthropologie historiquement située (Biersack 1991; Barofsky 2000; Merle et Naepels 2003) et par la publication de plusieurs monographies portant en particulier sur la période des premiers contacts entre sociétés autochtones et Européens et les débuts de la période coloniale (entre autres, Dening 1980; Sahlins 1981, 1985; Valeri 1985; Thomas 1990). L’ouvrage maintenant classique de Marshall Sahlins, Islands of History (1985), suscita des débats vigoureux qui marquèrent l’histoire de la discipline anthropologique à propos du relativisme en anthropologie, de l’anthropologie comme acteur historique, de l’autorité ethnographique, de la critique des sources archivistiques, des conflits d’interprétation et du traitement de la capacité d’agir des populations autochtones au moment des premiers contacts avec les Européens et, plus largement, dans l’histoire (pour une synthèse, voir Kuper 2000). Pour ce qui est de la situation coloniale, le 50e anniversaire de la publication du texte fondateur de Balandier de 1951, au début des années 2000, fut l’occasion de rétablir, approfondir et, dans certains cas, renouveler le dialogue non seulement entre anthropologues et historiens, mais également, entre chercheurs français et américains. Les nouvelles études coloniales qui sont en plein essor invitent à une analyse méticuleuse des situations coloniales d’un point de vue local de façon à en révéler les complexités concrètes. On y insiste aussi sur l’importance de questionner les dichotomies strictes et souvent artificielles entre colonisateur et colonisé, Occident et Orient, Nord et Sud. Une attention est aussi portée aux convergences d’un théâtre colonial à un autre, ce qui donne une nouvelle impulsion aux analyses comparatives des colonisations (Sibeud 2004: 94) ainsi qu’au besoin de varier les échelles d’analyse en établissant des distinctions entre les dimensions coloniale et impériale (Bayart et Bertrand 2006; Cooper et Stoler 1997; Singaravélou 2013; Stoler, McGranahn et Perdue 2007) et en insérant les histoires locales dans les processus de globalisation, notamment économique et financière, comme l’ont par exemple pratiqué les anthropologues Jean et John Comaroff (2010) sur leur terrain sud-africain. Ce « jeu d’échelles », représente un défi important puisqu’il force les analystes à constamment franchir les divisions persistantes entre aires culturelles (Sibeud 2004: 95). Ce renouveau a également stimulé une réflexion déjà amorcée sur l’usage des archives coloniales ainsi que sur le contexte de production et de conservation d’une archive (Naepels 2011; Stoler 2009), mais également sur les legs coloniaux dans les mondes actuels (Bayart et Bertrand 2006; De l’Estoile 2008; Stoler 2016)
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