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Artykuły w czasopismach na temat "Rôle parental – Bénin (sud)"

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Monnier, G. "SMAO – La schizophrénie en Afrique : une conséquence de la globalisation ?" European Psychiatry 30, S2 (2015): S92—S93. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.396.

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Streszczenie:
La schizophrénie est une maladie mentale grave, dont la prévalence mondiale est estimée à 1 %. Malgré un manque d’études et de statistiques officielles, son existence en Afrique sub-saharienne est toutefois incontestable sur le terrain. De Devereux et al. [1] à Nathan et Stengers [2], nous verrons d’abord comment l’ethnopsychiatrie a conceptualisé différents modèles explicatifs de la pathologie mentale. Certains courants voient dans la schizophrénie une forme d’adaptation à la modernité en cours dans les pays occidentaux, alimentant ainsi la thèse d’une construction sociale de cette pathologie. Ces théories entendent analyser le rôle joué par la globalisation économique et culturelle dans l’émergence supposée de la schizophrénie en Afrique. Dans un deuxième temps, nous passerons en revue les statistiques épidémiologiques sur la santé mentale en Afrique de l’Ouest. La littérature internationale retrouve des disparités dans la répartition géographique de la schizophrénie (gradient Nord-Sud, urbanisation et migration [3] présentées comme facteurs de risque significatifs de développer la maladie, etc.). Nous confronterons ces données à celles que nous avons récoltées sur le terrain en Afrique de l’Ouest, plus particulièrement au Bénin [4]. Enfin, il sera présenté quelques vignettes cliniques de malades schizophrènes rencontrés au Bénin, au cours du partenariat entre Smao et l’ONG Saint-Camille de Lellis. Leurs profils sont variés : de tous âges, issus de différents milieux socioéconomiques, urbains ou ruraux ; la symptomatologie présentée par les schizophrènes africains diffère-t-elle de celle observée en Europe ? Du désenchaînement à la réadaptation sociale, en passant par l’utilisation de médicaments psychotropes, nous verrons quelle prise en charge pourrait leur est proposée. Notre pratique clinique nous permet ainsi de questionner cette pathologie et sa prise en charge, et de reconsidérer les résultats des recherches menées dans le domaine médical, comme dans celui des sciences humaines et sociales.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Streszczenie:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Rozprawy doktorskie na temat "Rôle parental – Bénin (sud)"

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Houetchenou, Gbétonhoun Bernard. "Le soutien des parents dans la scolarisation des enfants au sud du Bénin : cas de la commune de Sô-Ava." Thesis, Besançon, 2013. http://www.theses.fr/2013BESA1019.

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Streszczenie:
L’objectif de cette recherche est d’expliciter et de comprendre les mécanismes sous-jacents à certains aspects de l’adaptation scolaire des enfants de 5-6 ans en lien avec le soutien parental scolaire en conditions de vie défavorisée. Pour y arriver, nous avons soumis, à l’épreuve des faits, notre modèle de soutien scolaire parental qui articule pauvreté, perceptions des difficultés d’adaptation scolaire, soutien socio-familial, modèles de socialisation familiale et engagement parental scolaire. La première étape a consisté à l’évaluation de l’adaptation scolaire de 146 enfants du Cours d’Initiation (CI) à l’aide d’un questionnaire rempli par les enseignants (Florin, Guimard et Nocus, 2002). La seconde étape a été consacrée au recueil d’informations par entretien directif auprès de 48 parents (24 parents d’enfants ayant une adaptation scolaire adéquate et 24 parents d’enfants présentant des difficultés d’adaptation scolaire) sur les dimensions du soutien scolaire parental. Les résultats obtenus mettent en évidence d’importants liens entre la plupart des variables de notre modèle et l’adaptation scolaire des enfants. Sur la base de ces liens, trois profils types de parents qui favorisent ou, au contraire, rendent problématique l’adaptation scolaire des enfants ont été établis :(i) Profil de parents qui favorise moyennement l’adaptation scolaire chez les enfants ;(ii) Profil de parents qui favorise fortement l’adaptation scolaire chez les enfants ;(iii) Profil de parents qui produit les difficultés d’adaptation scolaire chez les enfants.Ces profils types varient, notamment, en fonction des perceptions et représentations que les parents ont des difficultés scolaires de leurs enfants, du soutien familial et social qu’ils reçoivent ou non, du modèle de socialisation familial qu’ils promeuvent et de leur engagement scolaire. Les résultats de la présente recherche gagneraient à être vulgarisés auprès des parents et des enseignants. Mieux, leur prise en compte dans les stratégies de prévention précoce des difficultés d’adaptation scolaire des jeunes enfants à travers des actions des professionnels de l’éducation avec les familles sont autant de pistes de travail que nous poursuivrons comme suite à notre présent travail de recherche
The main purpose of this research work is to make explicit, and understand the mechanisms underlying aspects of the relation between children of 5 to 6 years adaption to school and parental support in unprivileged life conditions. To succeed in doing this, we submitted to the facts proof our model of parental school support which deals with poverty and/or insecurity, perceptions and representations of difficulties related to adaptation to school, socio-family support, models of family socialization and parental commitment in school. The first step dealt with evaluation of how 146 children in Primary One adapt to school through a questionnaire filled by teachers (Florin, Guimard & Nocus, 2002). The second step is devoted to collection of information through directed talk with 48 parents (24 parents whose children adaptation to school is suitable and 24 parents whose children have difficulties in adaptation to school) upon dimensions of parental support in school. The results obtained give proof of important links between most of the variables of our model of parents’ support and children adaptation to school. On the basis of those links, three types of parents’ profiles who either promote or make problematic children adaptation to school are established:(i) Parents who promote on some average children adaptation to school(ii) Parents who strongly promote children adaptation to school(iii) Parents who produce difficulties to children adaptation to schoolThose type profiles vary in particular according to the perceptions and representations parents have of their life conditions, their children difficulties at school, of family and social support they have or not, of the family socialization model they promote and of their commitment in school. The result of this research work will be better off being popularized to parents and teachers. Better, their being taken into account in strategies of early prevention of children’ difficulties in adaptation to school through professionals of education’s actions with families are so much paths of work that we will carry on with as a continuation of this research work
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Savassi, A. E. Sègnito Boris. "Interactions entre Schistosoma haematobium et Schistosoma bovis chez l’Homme dans les zones lacustres du sud-Bénin : rôle du bétail domestique et des rongeurs dans la transmission Cattle as natural host for Schistosoma haematobium (Bilharz, 1852) Weinland, 1858 x Schistosoma bovis Sonsino, 1876 interactions, with new cercarial emergence and genetic patterns Mastomys natalensis (Smith, 1834) as a natural host for Schistosoma haematobium (Bilharz, 1852) Weinland, 1858 x Schistosoma bovis Sonsino, 1876 introgressive hybrids Human Schistosomiasis in Benin : Countrywide evidence of Schistosoma haematobium predominance Results of the first mapping of soil-transmitted helminths in Benin : Evidence of countrywide hookworm predominance." Thesis, Perpignan, 2020. https://theses-public.univ-perp.fr/2020PERP0043.pdf.

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Cette thèse présente une étude épidémiologique sur l’interaction des schistosomes du groupe haematobium et leur dynamique de transmission à travers l’Homme, la vache et les rongeurs R. rattus et M. natalensis au Bénin. Au plan épidémiologique, une synthèse bibliographique de la distribution des espèces de schistosome du groupe haematobium en Afrique de l’Ouest et des interactions s’effectuant entre ces espèces a été menée. Au Bénin, nos études épidémiologiques ont montré pour la première fois l’infestation des bovins et des rongeurs par S. bovis et les hybrides S. haematobium x S. bovis. Elles ont permis également de confirmer, grâce à l’utilisation des approches morphologique, moléculaire et phylogénétique l’existence d’un profil d’interaction, entre S. haematobium et S. bovis sur les quatre signalées en Afrique de l’Ouest : entre S. haematobium et S. guineensis, entre S. haematobium et S. mansoni, entre S. haematobium et S. bovis, entre S. haematobium et S. curassoni et entre S. bovis et S. curassoni. La prévalence d’infestation montre une absence d’infestation de S. haematobium contre 17,19 % (N= 960) d’hybrides S. haematobium x S. bovis chez les humains et 55,41% (N= 157) chez les vaches et 40% (N= 5) chez M. natalensis. Les prospections malacologiques ont révélé la présence d’au moins deux espèces de mollusques potentiellement vectrices : B. forskalii, B. globosus, vectrices des hybrides S. haematobium x S. bovis tandis que B. forskalii serait potentiellement la seule espèce de mollusque vectrice de S. bovis dans la zone d’étude. Sur le plan de l’écologie de la transmission, notre étude a montré la viabilité des œufs éliminés par les hydrides provenant de l’Homme, de la vache et de M. natalensis et met en évidence une synchronisation du temps de sortie de la larve infestante du parasite (cercaires) avec le temps de fréquentation de ces hôtes : profil d’émission cercarienne diurne matinal pour les vaches, diurne tardif (dans l’après-midi) pour l’Homme et nocturne pour M. natalensis. Ces profils chronobiologiques pourraient être interprétés comme une adaptation développée par le parasite pour maintenir ses rendez-vous avec ses hôtes naturel vertébrés qui cohabitent dans nos zones d’études
The present study presents the interaction of haematobium group schistosomes and their dynamics of transmission using humans, cattle and rodents R. rattus and M. natalensis in Benin. Epidemiologically, a review on the distribution of the schistosome species within haematobium groups in West Africa and the interactions between these species was carried out. Furthermore, in Benin, we showed for the first time outbreak transmission of S. bovis and S. haematobium x S. bovis hybrids infecting cattle and rodents. We also confirmed in this study the existence in human the interaction profil S. haematobium x S. bovis using molecular, morphological and phylogenetic approaches on the four existing in West Africa space in which Benin is located (S. haematobium x S. guineensis S. haematobium x S. mansoni, S. haematobium x S. bovis, S. haematobium x S. curassoni, and S. bovis x S. curassoni). The infestation prevalence showed an absence of S. haematobium compared to hybrid S. haematobium x S. bovis which was 17.19% (n= 960) for human infection, 55.41% (N= 157) for cattle an 40% (N= 5) for M. natalensis. We could find in Benin at least two snails potentially vector species: B. forskalii, B. globosus, vectors of S. haematobium x S. bovis and B. forskalii would be the only snail species vector of S. bovis. In ecological transmission, we showed the viability of hybrid schistosome eggs from humans, cattle and M. natalensis rodent and demonstrated the synchronization of the periods of cercarial shedding with the water frequentation periods of hosts: diurnal early cercarial emission pattern for cattle, late diurnal pattern for humans and nocturnal pattern for M. natalensis rodents. These different chronotypes were interpreted as an adaptive strategy developed by the parasite to favor the parasite transmission to these natural vertebrate hosts which cohabit in our study areas
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Książki na temat "Rôle parental – Bénin (sud)"

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Ree, Jeong Mi, ed. Expériences de formation parentale et familiale: France, Allemagne, Belgique, Amérique du Nord, Corée du Sud. Editions L'Harmattan, 1996.

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