Добірка наукової літератури з теми "Aliments – Texture – Mesure"

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Статті в журналах з теми "Aliments – Texture – Mesure":

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Daniel, Christine, and Alain-Claude Roudot. "La terminologie de la texture des aliments." Meta 52, no. 2 (August 2, 2007): 342–51. http://dx.doi.org/10.7202/016075ar.

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Анотація:
Résumé En sciences alimentaires, la normalisation terminologique se heurte à un obstacle difficilement surmontable lié au caractère sensoriel des mesures. On utilise des termes qui, bien que paraissant très bien définis, recouvrent des concepts flous. À ce problème s’ajoute celui créé par l’existence d’une seconde méthode de mesure à base instrumentale. Les termes traditionnels usités sont très fortement chargés culturellement, difficilement utilisables avec la méthode instrumentale, et constituent un verrou important à tout développement scientifique. Nous proposons donc une terminologie à deux niveaux dont le premier est largement basé sur la terminologie sensorielle actuelle et le second précise chaque terme du premier niveau en fonction des phénomènes physiques concernés, ce qui permettrait de lever certaines ambiguïtés conceptuelles souvent gênantes.
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ASSIS, Y., A. NAFI, X. NI, A. SAMET, and G. GUARINO. "Analyse textuelle des RPQS pour la constitution de bases de connaissances." 3, no. 3 (March 22, 2021): 31–36. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202103031.

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Анотація:
Le rapport annuel sur le prix et la qualité du service de l’eau (RPQS) constitue une source potentielle pour accéder à des informations indisponibles dans le système d’information des services publics d’eau et d’assainissement (Sispea). Cependant, le format textuel des rapports rend difficile leur exploitation sur plusieurs années ou à grande échelle dans une optique d’analyse de données massives. Notre travail s’intéresse à l’utilisation d’approches de traitement automatique du langage pour puiser de l’information dans ces rapports afin de constituer une base de connaissances à l’échelle soit d’un service, soit de plusieurs services. Cette base peut servir pour valider/compléter en partie les données contenues dans la base Sispea sujette à des erreurs ou à des oublis, mais elle peut également constituer une source qui alimente des modèles prédictifs à des fins d’aide à la décision. Dans cet article, nous développons un programme informatique fondé sur notre solution Ro-CamemBERT (Recurrence over CamemBERT) qui est un modèle de traitement automatique de la langue française basé sur l’apprentissage profond ou « deep learning », ce dernier consiste à faire apprendre à un modèle ou à une machine à partir d’un réseau neuronal artificiel, qui est une architecture spécifique formée de couches qui structurent des fonctions explicatives entre des extrants (variables expliquées) et une masse de données (variables explicatives). Le programme ainsi développé permet de répondre automatiquement à des questions dont les réponses se trouvent potentiellement dans les RPQS. Le décideur peut formuler des questions dont la réponse constitue une donnée recherchée. Il est alors possible de compléter une base de données existante ou d’en créer une nouvelle. Le processus d’analyse des rapports est ainsi automatisé, une évaluation de l’erreur des réponses automatiques est également effectuée pour mesurer l’écart possible entre les réponses obtenues et celles attendues. Le modèle développé apparaît comme fiable à hauteur de 80 %. Il a été testé sur des RPQS de service d’eau en Alsace.
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Rougeon, Marina. "Photographie." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.053.

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Анотація:
Depuis les débuts de l’ethnographie, nombreux sont les anthropologues à avoir eu recours à la photographie pour leurs recherches, de Bronislaw Malinowski à Margaret Mead en passant par Claude Lévi-Strauss, Alfred Métraux et Pierre Verger. Il faut dire que la photographie a connu son essor à la même époque que celui des sciences sociales, et toutes deux présentent une affinité non négligeable : elles montrent « quelque chose de l’homme » tout en révélant « comment l’homme s’informe sur l’homme » (Garrigues 1991 : 11). Toutefois, malgré quelques travaux emblématiques (Bateson et Mead 1942 ; Collier 1967), peu se sont aventurés à rendre compte des apports théoriques et méthodologiques d’un tel outil pour l’anthropologie. Il demeure marginalisé, notamment du fait de la méfiance dont les images sont encore l’objet. Par ailleurs, bien qu’elle s’inscrive dans le champ de l’anthropologie visuelle, la photographie est loin d’avoir acquis la même légitimité que l’image animée. À partir des années 1990, plusieurs auteurs tentent pourtant de remédier à cette « méconnaissance ethnologique de la photographie », signalant qu’il existe « une certaine harmonie épistémologique » (Piette 1992 : §. 2) avec l’anthropologie. Toutes deux partageraient une « dimension autobiographique obligée » (Garrigues 1991 : 30), du fait que l’observateur, étant de même nature que l’observé, est lui-même pris dans l’observation. La photographie constitue alors un objet de recherche pour l’anthropologie car elle est « au cœur de cette problématique de la compréhension de soi obtenue par le détour de la compréhension de l’autre », comme le rappelle Emmanuel Garrigues en citant Paul Rabinow (Garrigues 1991 : 42). L’ensemble de ces travaux va dans le sens d’un usage scientifique de la photographie comme moyen d’expression, pour faire de l’anthropologie et de l’ethnographie en photographie. Ils soulignent en premier lieu sa pertinence comme pratique de terrain. La photographie prend part au dispositif ethnographique comme un instrument de recherche qui met en exergue le visuel au cœur de la relation à l’autre. C’est le cas lors des entretiens, quand les photographies confrontées au regard des interlocuteurs constituent un support de restitution, qu’elles servent à confirmer des analyses ou encore à soulever de nouveaux éléments et pistes de recherche. En outre, l’appareil photographique constitue un outil transitionnel entre le chercheur et ses interlocuteurs, ce qui lui confère une valeur heuristique pour comprendre ce qui se joue dans la relation ethnographique. Cette particularité a amené plusieurs anthropologues à expliciter des techniques d’enquête pour ce recours méthodologique suite à John Collier (1967), le premier à avoir souligné l’importance d’établir des protocoles systématiques de prises de vue. Plus récemment, Luiz Eduardo Achutti (2004) a préconisé la méthode de la photoethnographie, indiquant un ensemble de lignes de conduite à suivre, du premier contact sur le terrain jusqu’au développement des photographies. Un autre point commun entre photographie et ethnographie réside dans l’impossible neutralité de l’observateur sur le terrain, tel que l’ont remarqué plusieurs chercheurs. Tout comme le cinéaste, l’ethnographe photographe opère des choix de point de vue, de distance à l’objet, de cadrage, entre autres. De même, bien qu’elle demeure hors champ de l’image, sa présence dans la scène observée invite à mesurer son « degré d’influence » sur les personnes photographiées, comme le souligne Albert Piette (1992 : 6 ; § 14). Cette implication soulève la question de la mise en scène et plus précisément, de l’articulation entre la manière dont les personnes se donnent à voir et celle par laquelle l’anthropologue relaie cette visibilité (Conord 2007). En outre, la photographie relève d’une expérience sensible du terrain par le regard, le sens le plus mis en évidence dans la discipline quand il est question d’ethnographie (Laplantine 2007). Les prises de vues sur le terrain renvoient les interlocuteurs à d’autres situations impliquant des regards échangés et la circulation d’images. Cela invite alors à analyser le sens et les effets du regard et des images dans un contexte socio-culturel donné, et à prendre en compte la dimension vécue et affective de ces expériences (Rougeon 2015). En plus d’être un formidable instrument de recherche pour comprendre les logiques à l’œuvre dans la relation ethnographique, la photographie est d’une grande richesse pour interroger des thématiques telles que « les relations au semblable, au semblant, au dissemblant » (Laplantine 2007 : 48), la dimension spirituelle de la vie sociale, la mémoire, la généalogie et les liens de parenté, sans parler des esthétiques et des détails de la vie quotidienne. Comme pratique d’observation et de visualisation sur le terrain, elle permet de capter une réalité donnée pour ensuite la révéler, transformant le négatif d’une image en positif, pour reprendre l’analogie de Sylvain Maresca (1996). Le second aspect majeur du recours à la photographie en anthropologie apparaît alors : elle peut constituer une forme d’écriture pour la recherche. Les images ont une force narrative, employée au moment d’établir un récit ethnographique. Œuvrant à la description détaillée du social, les photographies permettent une « prise de note de ce qui se trouve dans le monde sous tous les angles possibles » (Piette 1992 : 4 – § 6), par le rapport qu’elles entretiennent au réel. La dimension indiciaire de ces images, leur puissance de désignation d’un objet provoque « un effet extrêmement fort de vérité et d’authenticité » (Garrigues 1991 : 18). Leur rapport à la réalité alimente des débats, et l’image fixe est tout à tour considérée comme une trace, une reproduction ou encore une transformation du réel (Maresca 1996). Par ailleurs, la photographie pose la question des rapports entre image et langage, objet de nombreuses réflexions dans la discipline. Si Barthes cherchait à déterminer si la photographie était un message codé ou non, un langage ou un signe (1980), des chercheurs en anthropologie y voient un moyen d’expression « peut-être infiniment plus complexe que le langage » (Garrigues 1991 : 50). D’autres mettent l’accent sur sa capacité à organiser la pensée de manière non discursive, participant à l’élaboration d’une pensée du sensible (Laplantine 2007). Ils signalent que la lecture des images se produit sur le mode de l’évocation et suscite des émotions particulières, mais aussi qu’elle permet de penser le terrain notamment à partir de ses non-dits et de ce qui excède le langage (Rougeon 2017). Dans ce sens, la photographie constituerait « un médiateur possible entre science et sensibilité » (Attané et al. 2008 : 10). Les critères déterminant le choix des images pour composer une narration ethnographique sont divers. La dimension plastique, le cadre et la composition des éléments graphiques comptent, mais l’attention porte surtout sur le potentiel à délivrer du sens par rapport à la thématique analysée. On distingue une diversité de démarches pour écrire le terrain, en agençant des photographies entre elles, et avec du texte. Certains chercheurs opposent les images et les mots comme régimes de narrativité et en soulignent la différence, afin de conserver le potentiel de chacun (Achutti 2004). D’autres explorent leurs complémentarités, proposant une « collaboration sémantique (…) au service de la narration anthropologique » (Attané et al. 2008 : 7). D’autres encore défendent l’idée selon laquelle une photographie ne saurait se suffire à elle-même (Conord 2002). Le texte qui peut accompagner une image ne relève pas de la pure information ni de quelque chose qui ramènerait forcément les images à une dimension illustrative, à condition que la démarche ait été explicitée auparavant et que l’articulation entre textes et images fasse sens. Dans cette perspective, il convient de situer le cadre de la prise de vue mais aussi de l’interaction, comme qui prend la photographie, où elle est réalisée et qui sont les personnes photographiées, l’image photographique étant indissociable de l’acte qui la fait advenir. Ce rapport entre le textuel et le visuel relève alors non pas d’une opposition mais d’un tissage, d’un dialogue qui tient compte de leur écart (Rougeon 2017). Avec cet engouement renouvelé pour la photographie en anthropologie, différents enjeux contemporains se dessinent. L’un d’entre eux concerne le rapport entre démarche scientifique et artistique, et pose la question de la créativité dans le processus de recherche. L’exploration des rapports entre régimes de narrativité par des photographes à la croisée des genres artistiques offre des pistes qui peuvent s’avérer fructueuses pour l’anthropologie, afin d’élaborer un récit ethnographique qui ne soit pas uniquement textuel (Rougeon 2017). Une telle discussion s’inscrit dans le débat actuel concernant les nouvelles écritures du terrain et de la recherche, pour renouveler le mode de connaissance produit dans la discipline. Dans une autre perspective, le rapport entre démarche scientifique et artistique peut donner jour à une lecture ethno-photographique des œuvres des photographes (Garrigues 1991). Enfin, la question de savoir si le photographe sur le terrain est l’ethnographe ou pas pèse fortement sur la méthode adoptée. Les chercheurs ont le choix entre de nombreux dispositifs, y compris sous la forme de collaborations avec des artistes. Cette pluralité est porteuse là aussi d’un potentiel de créativité important, qui invite l’anthropologie à prendre en compte d’autres manières d’envisager ce qu’est le terrain. Les horizons de recherche s’annoncent stimulants, la discipline ayant déjà montré, par le passé, la nécessité et la pertinence d’un décloisonnement des approches.

Дисертації з теми "Aliments – Texture – Mesure":

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Camargo, Do Amarante Alvaro César. "Application de la mesure de densité de flux de chaleur à la caractérisation du procédé de surgélation des denrées alimentaires." Compiègne, 2004. http://www.theses.fr/2004COMP1537.

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Анотація:
La mesure de flux thermique a été appliquée au procédé de congélation. Des protocoles expérimentaux ont été développés pour l'étalonnage, en froid négatif" des fluxmètres en régime permanent et transitoire. Ces capteurs ont ensuite été utilisés lors de la surgélation de végétaux pour mesurer les coefficients d'échange de chaleur locaux. Ensuite, des transducteurs plastiques ont été conçus pour mesurer les coefficients d'échange par fluxmétrie dans différents types de surgélateurs industriels. Les mesures réalisées sont parfaitement corrélées avec les valeurs obtenues par l'utilisation d'autres méthodes plus classiques. En dernier, une analyse des effets conjugués du blanchiment et de la congélation sur la qualité texturale, de couleur et d'exsudation d'eau chez le haricot vert a été réalisée. Les barèmes de blanchiment HTST limitent la dégradation des qualités des produits après décongélation. Les vitesses de congélation rapide favorisent le maintien de la structure du produit
This work deals with heat flux measurement in food freezing processes. First, protocols were developed to calibrate the sensors, at subzero temperatures, submitted to steady and unsteady state heat transfer. Following this, the sens ors were applied directly to vegetables undergoing freezing to measure the local heat transfer coefficients. Ln a second application, plastic transducers were conceived to map the variability of the heat transfer coefficients in different industrial freezers. The results are in good agreement with values calculated by classical methods. The final part of this work focused on the conjugated effects of the blanching and the freezing processes on the textural, color and drip loss quality parameters of a vegetable product (green beans). The HTST blanching protocols reduced firmness and color degradation and minimized drip loss after thawing. High freezing rates avoided severe degradation of vegetable tissues
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Goullieux, Adeline. "Définition et analyse d'une nouvelle méthode de mesure instrumentale de la texture des produits biscuitiers : application à la maîtrise du procédé de production biscuitière." Compiègne, 1994. http://www.theses.fr/1994COMPD727.

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L'objectif de ce travail était de mettre au point une méthode de mesure instrumentale de la texture des produits alimentaires solides, fragiles, granulaires de type biscuits secs, pour mesurer les propriétés texturales du produit fini en relation avec les paramètres du procédé de fabrication. A cet effet, un test de pénétrométrie conique a été utilisé et étudié. Il permet de calculer des paramètres reflétant l'état de surface, l'aspect sablé et la cohésion des biscuits. Par ailleurs, l'aspect visuel de la texture est étudié par analyse informatique d'image. Deux algorithmes sont employés : un algorithme structurel procurant des paramètres géométriques des interstices entre grains ; un algorithme statistique renseignant sur l'arrangement spatial des niveaux de gris. Une étude paramétrique a été menée afin de déterminer les valeurs optimales de la vitesse d'acquisition des données, de la vitesse de pénétration et de l'angle du cône. Considérant à la fois les produits extrudés et biscuitiers, des corrélations entre paramètres mécaniques et structurels ont été déterminées. Elles doivent permettre d'avancer vers la compréhension des relations propriétés physiques/structure. Enfin, les méthodes pénétrométrique et informatique d'image, appliquées aux biscuits montrent leur pertinence dans la maîtrise de la qualité du procédé biscuitier à travers diverses applications : la cartographie du domaine biscuitier, la mesure de l'effet d'ingrédients et la mise en relation avec l'analyse sensorielle.
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Hanaei, Farnaz. "De la caractérisation sensorielle vers la caractérisation instrumentale de la texture. Une étude de cas sur les produits modèles à base de lait." Electronic Thesis or Diss., Paris, AgroParisTech, 2015. http://www.theses.fr/2015AGPT0018.

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Notre travail a porté sur la caractérisation instrumentale et sensorielle de la texture d'une gamme de produits modèles de types fromages fondus. Trois objectifs ont guidé cette thèse. Le premier objectif était d’utiliser une approche individuelle qui prenne en compte la diversité de perception, de manipulation et de description des panélistes pour la caractérisation sensorielle. De plus, pour étudier l'effet d’expertise préalable, deux panels ont évalué les produits : des consommateurs et des experts. Une approche combinée de deux méthodologies différentes avec deux différents types de verbalisation (Description libre suivi par un Profil Flash) a permis d’identifier des spécificités dans la façon de répondre des deux panels. La description libre a montré les similitudes et les différences entre les terminologies des deux panels. Elle a montré que les experts produisent en moyenne plus de termes que les consommateurs. Cependant, certains de leurs termes sont spécifiques et n'ont jamais été cités par les consommateurs. Le Profil Flash a montré qu'il y a quelques caractéristiques qui deviennent importantes lorsque les panélistes évaluent l’ensemble des produits simultanément. Le résultat a montré des différences importantes entre les cartes produites des consommateurs et des experts issues de la méthode de Description libre. Cependant, les cartes sensorielles obtenues après le Profil Flash étaient très semblables pour les deux panels et proche de la carte obtenue pour le jury de consommateurs avec la méthode de Description libre. Quelques attributs spécifiques ont été fréquemment cités pour des évaluations de produits par les deux méthodes appliquées, comme le terme "Collant".Le deuxième objectif était d'établir une évaluation instrumentale des produits sur la base des résultats sensoriels pour ainsi mieux déterminer des méthodes et conditions pertinentes de caractérisation en regard des perceptions identifiées. Nous avons donc utilisé les descriptions et observations de mesures sensorielles pour choisir des méthodes instrumentales appropriées. Sur cette base, des méthodes rhéologiques classiques (mesures de propriétés viscoélastiques et pénétrométrie) et une mesure de tack adaptée ont été utilisées pour la caractérisation des produits. De plus, les produits ont été caractérisés dans deux états physiques (sans ou après un traitement mécanique important). La méthode de tack adaptée et la rhéologie aux petites déformations avec une géométrie à ailette ont permis de caractériser l'ensemble des produits présentant pourtant une diversité importante de texture (solide, semi-solide, liquide). Les résultats ont montré que la combinaison des deux méthodes améliore la représentation de l’espace produits et qu’elle apporte de nouveaux axes de description. La caractérisation instrumentale sur des produits traités mécaniquement n'a pas amené à une configuration sensiblement différente des produits.Le troisième objectif était de prévoir le positionnement sensoriel de produits (la carte de produit) et plus particulièrement la perception spécifique de certains attributs comme "Collant", à partir des mesures instrumentales. Une prédiction plutôt satisfaisante de la perception des produits par le jury de consommateurs est obtenue à partir des mesures de propriétés viscoélastiques en dynamique (module conservatif et seuil de contrainte) et des paramètres issus du test de tack (énergie totale et distance à la force maximale). De plus, la perception sensorielle du terme «collant » est bien prédite par le paramètre instrumental seuil de contrainte pour la majorité de consommateurs qui ont utilisé ce terme dans leurs évaluations
In our study the texture of a set of model processed cheeses is characterized through both sensory and instrumental approaches. Three objectives guided our work. The first was using an individual approach that takes the diversity in terms of perception, manipulation and description into account for sensory characterization of products. Furthermore, to study the effect of prior expertise, two panels evaluated the products: consumer and expert panel. A combined approach with two different methodologies and verbalization (Free comment followed by Flash Profile) made it possible to identify specificities in the answer behavior between the two panels. Free comment showed the similarity and differences between the terminologies of two panels. It showed that experts generate more terms in average than consumers. However, some of their terms are specific and never was cited to consumers. Flash profile showed that there are some characteristics that become important once the assessors evaluate the products simultaneously. The result showed important differences between the resulted product maps from consumers and experts after free comment method. However, the resulted sensory maps after the Flash Profile were very similar for both panels and were close to the sensory map obtained for consumer panel after free comment. Some specific attributes were frequently cited for products evaluations in two applied methods, such as “Collant (Stickiness)”.The second objective was to establish the instrumental characterization on the basis of sensory results in order to better determine some efficient methodologies and conditions to characterize the identified perceptions. We thus used sensory descriptions and observations to choose appropriate instrumental methods. On this basis, classic rheological methods (measurement of the viscoelastic properties and penetrometry) and adapted tack method were used for product characterization. Furthermore, the products were characterized at two physical states (without or after a mechanical treatment). The adapted tack method and the rheology at small deformation with vane geometry permitted to characterize the products set with important texture diversity (solid, semi-solid, liquid). The results showed that the combination of two methods improves the product map and brings new axes of description. The instrumental characterization of mechanically treated products did not lead to a rather different products configuration.The third objective was to predict the sensory positioning of products (product map) as well as the specific multidimensional perception “Collant (Stickiness)”, by instrumental measurements. A rather satisfactory prediction of consumer perception of texture was obtained through viscoelastic measurements (storage module and yield stress) and parameters stemming from tack measurement (total energy and distance at maximum tensile force). Furthermore, the sensory perceptions relative to “Collant (Stickiness)” is well predicted by the instrumental parameter “yield stress” for the majority of the consumers who applied this term in their evaluations

Звіти організацій з теми "Aliments – Texture – Mesure":

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Rousseau, Henri-Paul. Gutenberg, L’université et le défi numérique. CIRANO, December 2022. http://dx.doi.org/10.54932/wodt6646.

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Introduction u cours des deux derniers millénaires, il y a eu plusieurs façons de conserver, transmettre et même créer la connaissance ; la tradition orale, l’écrit manuscrit, l’écrit imprimé et l’écrit numérisé. La tradition orale et le manuscrit ont dominé pendant plus de 1400 ans, et ce, jusqu’à l’apparition du livre imprimé en 1451, résultant de l’invention mécanique de Gutenberg. Il faudra attendre un peu plus de 550 ans, avant que l’invention du support électronique déloge à son tour le livre imprimé, prenant une ampleur sans précédent grâce à la révolution numérique contemporaine, résultat du maillage des technologies de l’informatique, de la robotique et de la science des données. Les premières universités qui sont nées en Occident, au Moyen Âge, ont développé cette tradition orale de la connaissance tout en multipliant l’usage du manuscrit créant ainsi de véritables communautés de maîtres et d’étudiants ; la venue de l’imprimerie permettra la multiplication des universités où l’oral et l’écrit continueront de jouer un rôle déterminant dans la création et la transmission des connaissances même si le « support » a évolué du manuscrit à l’imprimé puis vers le numérique. Au cours de toutes ces années, le modèle de l’université s’est raffiné et perfectionné sur une trajectoire somme toute assez linéaire en élargissant son rôle dans l’éducation à celui-ci de la recherche et de l’innovation, en multipliant les disciplines offertes et les clientèles desservies. L’université de chaque ville universitaire est devenue une institution florissante et indispensable à son rayonnement international, à un point tel que l’on mesure souvent sa contribution par la taille de sa clientèle étudiante, l’empreinte de ses campus, la grandeur de ses bibliothèques spécialisées ; c’est toutefois la renommée de ses chercheurs qui consacre la réputation de chaque université au cours de cette longue trajectoire pendant laquelle a pu s’établir la liberté universitaire. « Les libertés universitaires empruntèrent beaucoup aux libertés ecclésiastiques » : Étudiants et maîtres, qu'ils furent, ou non, hommes d'Église, furent assimilés à des clercs relevant de la seule justice ecclésiastique, réputée plus équitable. Mais ils échappèrent aussi largement à la justice ecclésiastique locale, n'étant justiciables que devant leur propre institution les professeurs et le recteur, chef élu de l’université - ou devant le pape ou ses délégués. Les libertés académiques marquèrent donc l’émergence d'un droit propre, qui ménageait aux maîtres et aux étudiants une place à part dans la société. Ce droit était le même, à travers l'Occident, pour tous ceux qui appartenaient à ces institutions supranationales que furent, par essence, les premières universités. À la fin du Moyen Âge, l'affirmation des États nationaux obligea les libertés académiques à s'inscrire dans ce nouveau cadre politique, comme de simples pratiques dérogatoires au droit commun et toujours sujettes à révision. Vestige vénérable de l’antique indépendance et privilège octroyé par le prince, elles eurent donc désormais un statut ambigu » . La révolution numérique viendra fragiliser ce statut. En effet, la révolution numérique vient bouleverser cette longue trajectoire linéaire de l’université en lui enlevant son quasi monopole dans la conservation et le partage du savoir parce qu’elle rend plus facile et somme toute, moins coûteux l’accès à l’information, au savoir et aux données. Le numérique est révolutionnaire comme l’était l’imprimé et son influence sur l’université, sera tout aussi considérable, car cette révolution impacte radicalement tous les secteurs de l’économie en accélérant la robotisation et la numérisation des processus de création, de fabrication et de distribution des biens et des services. Ces innovations utilisent la radio-identification (RFID) qui permet de mémoriser et de récupérer à distance des données sur les objets et l’Internet des objets qui permet aux objets d’être reliés automatiquement à des réseaux de communications .Ces innovations s’entrecroisent aux technologies de la réalité virtuelle, à celles des algorithmiques intelligentes et de l’intelligence artificielle et viennent littéralement inonder de données les institutions et les organisations qui doivent alors les analyser, les gérer et les protéger. Le monde numérique est né et avec lui, a surgi toute une série de compétences radicalement nouvelles que les étudiants, les enseignants et les chercheurs de nos universités doivent rapidement maîtriser pour évoluer dans ce Nouveau Monde, y travailler et contribuer à la rendre plus humain et plus équitable. En effet, tous les secteurs de l’activité commerciale, économique, culturelle ou sociale exigent déjà clairement des connaissances et des compétences numériques et technologiques de tous les participants au marché du travail. Dans cette nouvelle logique industrielle du monde numérique, les gagnants sont déjà bien identifiés. Ce sont les fameux GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) suivis de près par les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla et Uber) et par les géants chinois du numérique, les BATX (Baidu, Alibaba, Tenant et Xiaomi). Ces géants sont alimentés par les recherches, les innovations et les applications mobiles (APPs) créées par les partenaires de leurs écosystèmes regroupant, sur différents campus d’entreprises, plusieurs des cerveaux qui sont au cœur de cette révolution numérique. L’université voit donc remise en question sa capacité traditionnelle d’attirer, de retenir et de promouvoir les artisans du monde de demain. Son aptitude à former des esprits critiques et à contribuer à la transmission des valeurs universelles est également ébranlée par ce tsunami de changements. Il faut cependant reconnaître que les facultés de médecine, d’ingénierie et de sciences naturelles aux États-Unis qui ont développé des contacts étroits, abondants et suivis avec les hôpitaux, les grandes entreprises et l’administration publique et cela dès la fin du 19e siècle ont été plus en mesure que bien d’autres, de recruter et retenir les gens de talent. Elle ont énormément contribué à faire avancer les connaissances scientifiques et la scolarisation en sciences appliquées ..La concentration inouïe des Prix Nobel scientifiques aux États-Unis est à cet égard très convaincante . La révolution numérique contemporaine survient également au moment même où de grands bouleversements frappent la planète : l’urgence climatique, le vieillissement des populations, la « déglobalisation », les déplacements des populations, les guerres, les pandémies, la crise des inégalités, de l’éthique et des démocraties. Ces bouleversements interpellent les universitaires et c’est pourquoi leur communauté doit adopter une raison d’être et ainsi renouveler leur mission afin des mieux répondre à ces enjeux de la civilisation. Cette communauté doit non seulement se doter d’une vision et des modes de fonctionnement adaptés aux nouvelles réalités liées aux technologies numériques, mais elle doit aussi tenir compte de ces grands bouleversements. Tout ceci l’oblige à s’intégrer à des écosystèmes où les connaissances sont partagées et où de nouvelles compétences doivent être rapidement acquises. Le but de ce texte est de mieux cerner l’ampleur du défi que pose le monde numérique au milieu universitaire et de proposer quelques idées pouvant alimenter la réflexion des universitaires dans cette démarche d’adaptation au monde numérique. Or, ma conviction la plus profonde c’est que la révolution numérique aura des impacts sur nos sociétés et notre civilisation aussi grands que ceux provoqués par la découverte de l’imprimerie et son industrialisation au 15e siècle. C’est pourquoi la première section de ce document est consacrée à un rappel historique de la révolution de l’imprimerie par Gutenberg alors que la deuxième section illustrera comment les caractéristiques de la révolution numérique viennent soutenir cette conviction si profonde. Une troisième section fournira plus de détails sur le défi d’adaptation que le monde numérique pose aux universités alors que la quatrième section évoquera les contours du changement de paradigme que cette adaptation va imposer. La cinquième section servira à illustrer un scénario de rêves qui permettra de mieux illustrer l’ampleur de la gestion du changement qui guette les universitaires. La conclusion permettra de revenir sur quelques concepts et principes clefs pour guider la démarche vers l’action. L’université ne peut plus « être en haut et seule », elle doit être « au centre et avec » des écosystèmes de partenariats multiples, dans un modèle hybride physique/virtuel. C’est ainsi qu’elle pourra conserver son leadership historique de vigie du savoir et des connaissances d’un monde complexe, continuer d’établir l’authenticité des faits et imposer la nécessaire rigueur de la science et de l’objectivité.

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