Добірка наукової літератури з теми "Armée postcoloniale"

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Статті в журналах з теми "Armée postcoloniale":

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O'Malley, Alanna. "The Simba Rebellion, the Cold War, and the Stanleyville Hostages in the Congo." Journal of Cold War Studies 23, no. 2 (2021): 75–99. http://dx.doi.org/10.1162/jcws_a_00985.

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Анотація:
Abstract In late October 1964, nearly 1,000 European and U.S. citizens were taken hostage by rebel forces in Stanleyville in northern Congo as part of an attempt to create the “People’s Republic of Congo,” an opposition regime designed to rival the pro-Western government in the capital Léopoldville (now Kinshasa). The hostages were captured to use as leverage against the advancing Armée Nationale Congolaise (ANC), led by white mercenaries as part of a Western-backed military effort to crush the rebellion. In response, Belgium and the United States launched a military intervention to rescue their citizens on 24 November 1964, publicly justifying the incursion on humanitarian grounds. In reality, the main purpose was to crush the rebellion and secure Western interests in Congo. The intervention reflected a cavalier attitude toward sovereignty, international law, and the use of force in postcolonial Africa and had the adverse effect of discrediting humanitarian reasoning as a basis for military intervention until the end of the Cold War. The massacre of tens of thousands of Congolese in Stanleyville was a unique moment in which African countries united in their criticism of Western policies and demanded firmer sovereignty in the postcolonial world.
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Evrard, Camille. "Les forces armées et de sécurité dans les États postcoloniaux du Sahara ouest-africain." Revue Défense Nationale N° 792, no. 7 (July 1, 2016): 59–64. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.792.0059.

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D'adesky, Jacques. "Subalternité." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.056.

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Анотація:
Forgée au départ par Antonio Gramsci (Liguori 2016) la notion de « subalterne », définie comme relation de subordination, renvoie au départ de l’année 1988, aux subaltern studies qui proposent sous l’instigation de l’historien Ranajit Guha (1997) d’analyser la place et les groupes subalternes dans l’histoire moderne de l’Inde. Ces études accorderont une place importante à l’analyse des discours pour y appréhender les voix bâillonnées des individus appartenant aux groupes se situant à la base de la pyramide sociale, considérés comme les agents du changement social et politique. Elles développeront une critique de l’historiographie nationaliste et anti-coloniale dans le même temps qu’elles essaieront de restituer la capacité des « sans-voix » marginalisés comme les paysans pauvres, les femmes, les intouchables, et d'autres voix. De nos jours, les subaltern studies sont englobées par les théories postcoloniales qui émergent dans les années 1990 en Asie du Sud. Celles-ci questionnent la perspective du colonisateur sur les colonisés et accusent la pensée occidentale d’imposer, aux élites intellectuelles et aux classes populaires des pays du Sud, une conception éloignée des réalités locales. Cette hégémonie intellectuelle tend donc à limiter l’expression des subalternes et à en réduire la diversité issue d’un grand nombre de communautés locales, ce qui a des conséquences désastreuses sur la communication Nord-Sud. Les subaltern studies, portées à l’origine par des intellectuels d’Asie du Sud (Guha et Spivak 1988), se déploient notamment vers le Nord, nommément dans l’espace anglo-saxon, mais également dans les pays de l’Amérique latine. Dans ce dernier champ, elles ont contribué, entre autres, à mettre en exergue, les effets négatifs de la mondialisation. Les travaux critiques d’Edgardo Lander et d’Aníbal Quijano (2005) se concentrent sur l’analyse de la colonialité du pouvoir et du savoir, ainsi que sur la critique de l’eurocentrisme, compris comme une perspective binaire et dualiste de la connaissance qui est venue à s’imposer mondialement de manière hégémonique au fur et à mesure de l’expansion européenne sur la planète. Au Brésil, à travers le prisme de la critique postcoloniale, Claudia Miranda (2006), se penche, sur les discours des intellectuels afrodescendants, jugés en situation de subalternité, qui se mettront en évidence à l’occasion de la lutte pour la démocratisation et de la mise en œuvre des politiques publiques d’action positive en faveur de l’accès des Noirs à l’enseignement supérieur. La production d’études subalternes dans le monde francophone est, quant à elle, récente et moins abondante. Néanmoins, il faut mentionner l’existence dans ce champ de courants de pensée antérieurs qui participent bien avant les années 1980 à la critique de la situation des colonisés en Afrique et dans les départements d’outre-mer. Citons à ce titre, les critiques effectuées par les chantres de la négritude que sont Léopold Sédar Senghor (1964, 1977), Aimé Césaire (2004[2004]) ou encore Frantz Fanon (2001[1952]) même si celles-ci ne viennent pas à s’appuyer expressément sur la notion de « subalternité ». C’est dans cette large perspective que la « subalternité » découle de deux phénomènes historiques : la décolonisation et la mondialisation. Même s’ils ne sont pas concomitants, leurs effets politiques, économiques et sociaux impliquent différents groupes subalternes au Nord comme au Sud, notamment les réfugiés, les émigrés, les minorités ethniques ou sexuelles opprimées, voire les femmes soumises aux diktats de cultures machistes. Après avoir été adopté et enrichi par des penseurs du Sud, le terme est aujourd’hui devenu un concept adapté aux deux hémisphères. Outre la restriction au droit à la parole — donc au pouvoir d’énonciation —, ce qui rapproche les subalternes du Nord et du Sud, c’est leur bas niveau de revenu, qui les prive d’aisance matérielle; leur qualité de vie, leur bien-être et leurs libertés qui sont donc moindres que ceux des autres groupes nationaux. Ces restrictions les enferment dans la spirale décrite par Amartya Sen (2010) : la limitation de la liberté économique réduit les libertés sociales, ce qui entraîne une nouvelle perte de liberté économique. Ce cercle vicieux affaiblit les subalternes, les opprime et les maintient dans un silence qui réduit leur capacité d’action. La liberté de parole libère une énergie et une puissance singulières pour dénoncer et abolir les servitudes. Participer aux débats et aux décisions collectives suppose l’existence d’une reconnaissance mutuelle fondée sur la liberté d’expression et la perception d’une égale dignité. L’égalité de parole découle précisément de l’expérience de l’égale dignité, comme, par exemple, dans la reconnaissance d’une même qualité d’honneur chez les anciens Spartiates ou d’une même valeur chez les citoyens athéniens, et dans l’usage de la palabre chez les sages et chefs de villages africains. Pour les groups subalternes, la liberté de parole est donc une arme de libération contre les discours qui les ignorent et contre les pratiques et les dispositifs qui les réduisent au silence. Face à l’immédiatisme du journalisme et de l’économie, l’anthropologie a, sur ce thème, l’avantage du temps de la réflexion, de l’enquête approfondie et de la comparaison. L’étude ethnographique, la reconstruction des récits de vie et l’analyse de discours permettent une nouvelle approche des relations politiques, sociales et culturelles Nord-Sud. Habitués à la prise de distance face à leur propre culture, les anthropologues sont particulièrement bien outillés pour porter un regard neuf sur les pratiques de discrimination et d’exclusion et le sentiment d’abandon vécu par les groupes subalternes (difficultés de se faire entendre et voir leurs problèmes pris en charge par les pouvoirs publics) dans les pays du Nord comme du Sud. Rien d’extraordinaire donc à ce que les anthropologues, d’où qu’ils soient, viennent à s’emprunter concepts et arguments et à communiquer davantage.
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Meudec, Marie. "Résistance." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.063.

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Анотація:
La notion de résistance est utilisée dans des domaines comme la physique ou la mécanique, mais l’emploi qui nous intéresse ici est la résistance comme pratique sociale et comme concept, utilisé en sciences sociales pour décrire des mouvements sociaux et des pratiques individuelles de rébellion. D’abord souvent restreinte au monde politique (entendons par là les partis et les institutions politiques), la compréhension de la notion de résistance s’est élargie à toutes les sphères de la société. Résister, c’est ainsi mettre en pratique une forme d’opposition au pouvoir en place, au pouvoir dominant ou hégémonique. C’est ainsi par exemple que la sociologie politique (Neumann 2012) ou la philosophie politique (Rancière 1995) peuvent concevoir les révoltes, les rébellions ou les mouvements d’opposition au pouvoir d’État. Pensons aussi aux travaux de Wa Thiong’o (1987 : 2) qui étudie « les réalités africaines en tant qu’elles sont affectées par la grande lutte entre les deux forces mutuellement opposées en Afrique aujourd'hui: une tradition impérialiste d'une part et une tradition de résistance de l'autre ». Parler de résistance passe donc nécessairement par une analyse des formes d’oppression et d’impérialisme existantes, là où la résistance est conçue une forme de ‘réaction à’ une forme de contre-pouvoir. Comment les personnes qui ne sont pas du côté du pouvoir en place résistent-elles aux puissants ? L’analyse des pratiques de résistance vise dès lors à rendre compte de la participation sociale ou des actions des personnes dominées par le système politique et économique. Toutefois, la binarité domination / résistance doit être questionnée et réfléchie, entre autres pour mieux saisir les manifestations de pouvoir et de domination à l’œuvre (Ortner 1995 ; Foucault 1978). Dans sa célèbre ethnographie menée en Malaisie, le politologue James C. Scott (1985) étudie les relations de pouvoir au sein de mouvements de résistance paysanne. Scott montre notamment que les mouvements de résistance sont le fruit d’une réflexion éthique qui se base entre autres sur des notions d’injustice, et non – comme les intellectuels avaient plutôt tendance à penser les formes de résistance populaire – comme le résultat d’un attrait inné pour la violence ou d’une forme spontanée de rébellion. Cette perspective admet ainsi la possibilité généralisée d’actions contestatrices auparavant cantonnées aux sphères politiques formelles. Il évoque notamment les ‘formes quotidiennes de résistance’ pour rendre compte de ces pratiques de résistance qui paraissent moins organisées. Le concept de ‘résistance infrapolitique’ (Scott 1990) permet de penser le caractère privé de pratiques de résistance, autrement recherchées uniquement sur la scène publique. Le changement social et la lutte politique sont pensés comme des phénomènes ‘discrets’ et non plus seulement visibles dans la sphère publique. Il s’agit donc de comprendre les dimensions ordinaires ou quotidiennes de la résistance, et d’élargir les perspectives qui conçoivent la résistance comme des moments de crises, des pratiques transgressives au caractère exceptionnel, des émeutes et des soulèvements (Bertho 2010, 2013) ou des normes qui s’érodent (Neumann, 2012). Ainsi, concevoir les formes de résistance du point de vue de la vie quotidienne ou de la sphère culturelle constitue en partie une traduction ou une conséquence des perspectives critiques, féministes et postcoloniales en sciences sociales. En effet, alors que la résistance n’était conçue comme un phénomène possible qu'essentiellement du point de vue des institutions et du pouvoir officiel, valorisant ou rendant visibles certaines formes de résistance au détriment d’autres, ce sont les formes invisibilisées de la résistance qui sont aussi à ce jour étudiées. Prenons pour exemple le développement d’une historiographie féministe dans le champ des études caribéennes. Mimi Sheller (2012) y a par exemple montré comment, auparavant, les recherches sur la révolution haïtienne avaient essentiellement mis de l’avant des guerriers héroïques comme Dessalines ou Louverture alors que cette révolution a aussi été rendue possible par les efforts quotidiens des femmes, notamment pour éduquer, nourrir, soigner et ainsi contribuer à faire en sorte que ces guerriers puissent combattre, en plus d’avoir été totalement impliquées dans des combats armés et des mouvements publics de protestation. Cette historiographie de l’émancipation a aussi le mérite d’aller au-delà d’une simple dialectique oppression / résistance, subordination / résistance ou esclavage / liberté pour concevoir les continuités possibles entre ces deux pôles (Sheller 2012). La résistance devient un phénomène à la mode pour les études en sciences sociales et il faut se garder de voir de la résistance partout, en même temps qu’il faut continuer à remettre en question les façons de la penser, notamment en cherchant des formes de résistance dans des comportements apparemment passifs, des silences ou des inactions. Retenons ainsi que la façon dont les chercheur.e.s conçoivent la résistance a des conséquences sur leurs capacités à reconnaître (ou non) certaines pratiques et à les associer (ou non) à de la résistance. À l’instar de Patricia Hill Collins (citée par Wane, 2013), il faut aussi se demander si on serait capable de reconnaitre la résistance en la voyant. En effet, en quoi notre façon de définir la résistance ne réduit-elle pas nos capacités à l’observer, à la concevoir et à en rendre compte ? On pourrait par exemple penser à des formes de projection qui consistent à (vouloir) voir de la résistance là où les personnes concernées n’en voient pas. Dans le cas des études féministes intéressées aux formes de résistance, évoquons les riches travaux de Mahmood (2001) sur la capacité d’agir des femmes. Comment les femmes contribuent à leur propre domination et comment elles y résistent ou elles la subvertissent ? Elle y définit l’agencéité comme ‘une capacité pour l’action que des relations spécifiques et historiquement constituées de subordination permettent et créent’ (Mahmood 2001 : 203). Dans cette perspective, la résistance et le pouvoir sont intimement liés aux conditions de leur possibilité, ce qui signifie que dans différents systèmes de pouvoir, il y aura différentes possibilités de ‘résister’ ou de vivre dans ce système (Mahmood 2005). Cela signifie également que l’agencéité ne doit pas être réduite à de la résistance, dans le sens où elle ne constitue qu’une des formes que l’agencéité peut prendre (Bilge 2010). Les approches orientées vers la résistance sont biaisées par du romantisme et leurs analyses des modes de fonctionnement du pouvoir en sont de ce fait appauvries (Abu-Lughod 1990). Ces approches témoignent de critiques du féminisme mainstream / occidental / blanc, et notamment d’une forme d’exoticisation des femmes du Tiers-Monde en définissant leurs cultures et leurs modes de vie en termes de ‘résistance’, révélant du même coup leurs propres façons de concevoir ce qu’est la résistance et la tendance « chic et en vogue de formuler les actions des gens comme des formes de résistance puissantes » (Villenas 2000 : 80). Dans une analyse des formes de résistance – comme plus largement des pratiques sociales – la décolonisation du féminisme passe par une remise en question du fait de parler ‘au nom de’ (Mohanty 2003 ; Martin Alcoff 1991-1992). Les études postcoloniales et décoloniales se sont construites en parallèle aux mouvements de décolonisation politique des années 1950-1960. Résistance politique et résistance intellectuelle allant donc de pair, des auteurs comme Fanon, Césaire ou Sédar Senghor ont fourni des outils intellectuels pour penser les ‘cultures de résistance’ (Fanon 1952), pour réfléchir aux soulèvements et aux prises de parole des damnés de la terre (Fanon 1961) ou des subalternes (Spivak 1988). Dans son célèbre Discours sur le colonialisme, Césaire (1973) explique comment le concept de Négritude est apparu comme forme de résistance aux politiques françaises d’assimilation. Le champ des études décoloniales et autochtones (en anglais indigenous) se développe grandement ces dernières années, induisant un changement de perspective pour penser les relations de pouvoir et les mouvements de contre-pouvoir. Comme l’écrivent si justement Tuck et Wayne Yang (2012 : 23) à propos du mouvement Occupy de 2011, « pour de nombreuses personnes économiquement marginalisées (le mouvement Occupy) a été une expression bienvenue de la résistance aux disparités massives dans la répartition des richesses; pour de nombreux peuples autochtones, Occupy est une autre réinstallation de colons sur des terres volées ». Le champ des études décoloniales a aussi initié des concepts très importants autour de la décolonisation des savoirs (Smith 1999-2002 ; Harrison 1991, Luste Boulbina 2012 ; Todd 2016 ; Uddin 2011) et de l’esprit (Wa Thiong'o 1987). Il s’agit alors de questionner l’eurocentrisme des sciences sociales et de les retravailler pour une profonde transformation de ses théories et méthodologies (Meudec 2017). La résistance épistémique met alors de l’avant les savoirs indigènes comme forme de résistance au sein de l’université occidentale (Wane 2013) ou est plus largement constituée par toutes les formes de « résistance intellectuelle à la domination épistémique Occidentale », leurs buts étant de « donner de l’agencéité aux Africains à qui une histoire a été déniée en fournissant une historiographie alternative pour combattre l’hégémonie et l’impérialisme Occidentaux » (Ogot 2013 : 18). Mignolo (2013) suggère quant à lui une désobéissance épistémique comme « déprise » par rapport aux modèles politiques et économiques dominants. Encore là, la résistance à des formes d’impérialisme de la pensée, lesquelles ont longtemps mis sous silence les revendications – et tout simplement les voix – des personnes colonisées ou dominées, se fait par la prise de parole et la re-connection des personnes avec leurs propres histoires, paysages, langages et organisations sociales (Smith 1999/2002). Au sein des milieux académiques, plusieurs autres mouvements de résistance sont initiés depuis quelques années, en faveur du slow scholarship notamment (Shahjahan 2014 ; Hartman and Darab 2012 ; Mountz 2015) ou des autoethnographies pour réfléchir et survivre à la précarisation et à la privatisation du travail au sein des universités néolibérales (Reyes Cruz 2012).</description>

Дисертації з теми "Armée postcoloniale":

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Lozano, Thierry. "Général GOUPIL : aléas, contingences et opportunités d’un parcours d’officier dans la deuxième moitié du XXe siècle." Thesis, Rennes 2, 2022. http://www.theses.fr/2022REN20025.

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Анотація:
Cette thèse poursuit deux objectifs. Le premier est de présenter la biographie de Bernard Goupil, Saint-Cyrien de la promotion « Leclerc » 1946-1948. A titre d’exemplarité, elle participe au développement d’une prosopographie du groupe des officiers de la seconde moitié du XXe siècle. Le deuxième objectif est d’étudier la singularité d’un parcours de ses continuités, de ses ruptures et bifurcations. Entre idéaltype et exceptionnalité, l’observation de ce parcours révèle les processus et logique de sélection à l’œuvre au sein de l’institution militaire pour récompenser les meilleurs éléments. Cependant cette sélection n’est pas toujours rationnelle et dépend fortement des contextes politico-militaires
This thesis has two objectives. The first is to present the biography of Bernard Goupil, Saint-Cyrien of the "Leclerc" class 1946-1948. As an example, it will be a question of participating in the development of a prosopography of the group of officers of the second half of the 20th century. The second objective is to study the singularity of a journey of its continuities, its ruptures and bifurcations. Between ideal-type and exceptionality, the observation of this pathway reveals the processes and logic of selection in action within the military institution to reward the best elements. However, this selection is not always rational and highly depends on politico-military contexts
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Zafrane, Farid. "Les avatars de la présence militaire française en Afrique : de la tutelle postcoloniale aux missions internationales du maintien de la paix." Thesis, Lille 2, 2015. http://www.theses.fr/2015LIL20018/document.

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Анотація:
Les autorités politiques françaises après la décolonisation des années 60, ont voulu mettre en place un système de coopération, pensé par le général de Gaulle. En effet plus de cinq décennies après les indépendances octroyées par la France dans le cadre d’une coopération bilatérale multiforme, tant sur un plan politique, culturel, économique, financier et militaire, la France maintient toujours des relations étroites avec ses anciennes colonies. L’hypothèse généralement admise est celle d’une continuité de ces relations entre Paris et l’Afrique. On note en revanche depuis la fin de la guerre froide des signes de changements subtils mais réels dans plusieurs domaines. Beaucoup d’indices mettent en exergue la fin d’une époque et un changement de stratégie inévitable qui s’opère par une remise en cause totale de la politique traditionnelle de la France vis-à-vis de l’Afrique. Parmi ces changements, notons la réforme institutionnelle et politique de lacoopération, le désengagement économique et financier progressif de la France.La politique africaine française est donc entrée dans une période de transition où les signes de changements interfèrent avec la continuité. En fait, il ne s’agit pas d’une nouvelle politique africaine, mais seulement de l’adoption d’un certain nombre de mesures nouvelles engendrées par la géopolitique du monde actuel.Cette attitude répond à la volonté de la France de s’adapter à l’évolution du monde et en particulier du continent africain. La France passe donc d’une politique de présence à une stratégie de projection. Cette évolution implique une présence humaine moindre sur le terrain et la mise en place de relais aériens pour projeter les forces militaires à partir de bases situées en France. Paris s’est maintenu sur le continent africain après la décolonisation en mettant en place un dispositif juridique approprié.Cinquante ans après les décolonisations, il lui est encore reproché d’être à l’origine des problèmes qui gangrènent le continent africain avec l’envie de chercher dans l’histoire coloniale la cause des maux actuels rencontrés par l’Afrique. Le double langage des autorités françaises montre que la France a eu bien des raisons politiques ou militaires de s’engager en Afrique et à affirmer sa présence dans cette région du monde. Mais si par moments la politique suivie par l’ex-puissance coloniale est contestable et a connu des dérives certaines lors de ces dernières années notamment avec l’affaire rwandaise, l’Afrique sans conteste est demandeuse d’une certaine présence militaire française sur son territoire comme le montre aujourd’hui les différentes opérations au Mali ou en République Centrafricaine. Mais dans un cadre géopolitique rénové multilatéral, sous la bannière de l’O.N.U et avec l’Union Européenne pour assurer en Afrique la lutte contre le terrorisme et l’émergence d’un nouvel ordre humanitaire international
The French political authorities after decolonization 60s, wanted to set up a system of cooperation, thought by General de Gaulle. Indeed more than five decades after independence granted by France as part of a multifaceted bilateral operation, both on a political, cultural, economic, financial and military. France still maintains close ties with its former colonies. Although the generally accepted hypothesis is that a continuity of the relationship between Paris and Africa. We note however since the end of the Cold War but subtle signs of real changes in several areas. Many indicators highlight the end of an era and a change of strategy inevitably occurs with a throw in total due to the traditional policy of France vis-à-vis Africa. These changes include the institutional and political reform cooperation, progressive economic and financial disengagement of France.The French African policy is entering a period of transition or signs of changes interfere with continuity. In fact, it is not a new Africa policy, but only the adoption of a number of new measures resulting from the geopolitical world today.This attitude reflects the determination of France to adapt to the changing world and particularly in Africa. France therefore goes from a political presence to a screening strategy. This change means less human presence on the ground and setting up air relays to project military forces from bases in France. Paris remained in Africa after decolonization by setting up an appropriate legal framework. Fifty years after decolonization, it is still accused of being behind the problems that plague the African continent with the desire to look inthe colonial history the cause of present evils faced by Africa. This double talk from the French authorities shows that France has had many political or military reasons to engage in Africa and its presence in this region. Because even if at times the policy of the former colonial power is questionable and has seen some excesses in recent years, particularly with the Rwandan case, Africa is unquestionably requesting a certain French military presence its territory as today shows the various operations in Mali and Central African Republic

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