Статті в журналах з теми "Base de connaissance semi-Sémantique"

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Wang, Xinli. "Presuppositional Languages and the Failure of Cross-Language Understanding." Dialogue 42, no. 1 (2003): 53–78. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300004200.

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Анотація:
RésuméPourquoi la compréhension mutuelle entre deux vastes communautés linguistiques substantiellement différentes est-elle souvent problématique et même inaccessible? Pour répondre à cette question, j'introduis d'abord une notion de langages présuppositionnels. Sur la base de la structure sémantique d'un langage présuppositionnel, j'identifie une importante condition nécessaire pour la compréhension effective d'un langage : l'interprète est capable de comprendre effectivement un langage seulement si il ou elle est capable d'en reconnoitre et d'en comprendre les présuppositions métaphysiques. Ce rôle essentiel de la connaissance des présuppositions métaphysiques dans la compréhension est encore renforcé par le développement d'une théorie vériconditionnelle de la compréhension. Je conclus que si l'interprète aborde un langage étranger incompatible en adoptant le point de vue du langage de l'interprète lui-même et enprojetant les présuppositions métaphysiques de son proper langage sur le langage étranger, alors la compréhension mutuelle entre les deux communautés linguistiques est vouée à l'échec.
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Retinskaya, Tatiana. "L’appellatif hypocoristique régional comme marqueur de l’attachement." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 16 (May 19, 2021): 119–27. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.11.

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Анотація:
Cette contribution vise à présenter les appellatifs affectifs construits à la base de fonds lexicaux régionaux et à montrer que ces « formules amicales par lesquelles on adresse la parole » (Tamine, 2006) sont un moyen notable de sauvegarder le parler spécifique à telle ou telle localité. Comme pour tout autre parler, il en est ainsi en champenois et en ardennais, où une partie considérable des dénominations destinées à s’adresser à une personne de sa connaissance est représentée par des vocatifs expressifs. L’étude de ces éléments importants du vocabulaire régional comprend la description des différents types de transpositions affectueuses utilisées dans l’interlocution, et l’analyse des variétés morphosémantiques de ces unités lexicales. Une attention particulière est prêtée aux spécificités régiolectales en tant que marqueurs de l’attachement, telles que les sobriquets collectifs ou individuels employés en tant qu’appellatifs, les prénoms dont la modification morphologique est une trace sémantique hypocoristique ou encore les « dénominations régionales de divers membres d’une famille » (Bourcelot, 2012).
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Cortivo-Lebler, Cristiane Dall. "O resumo como atividade de significação (Le résumé comme activité de signification)." Estudos da Língua(gem) 13, no. 1 (June 30, 2015): 11. http://dx.doi.org/10.22481/el.v13i1.5455.

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Анотація:
A produção de textos acadêmicos, especialmente resumos, é uma das atividades a que os docentes recorrem com muita frequência para avaliar o entendimento que um aluno teve de determinado texto cuja leitura lhe foi solicitada. Essa atividade, entretanto, requer, além da habilidade de leitura e escrita – especialmente da escrita acadêmica –, também o conhecimento a respeito do modo como se constroem resumos. Neste trabalho, propomos algumas reflexões a respeito da escrita do gênero resumo, especialmente com relação a um dos mais importantes aspectos envolvidos nessa atividade de escrita: a seleção do conteúdo semântico do texto base que deverá constar no resumo. Como suporte teórico, para o desenvolvimento desta pesquisa, escolhemos a Teoria da Argumentação na Língua, desenvolvida por Marion Carel e Oswald Ducrot.PALAVRAS-CHAVE: Argumentação. Sentido. Resumo acadêmico. RÉSUMÉLa production de textes académiques, spécialement les résumés, est une des activités que les professeures utilisent avec fréquence pour évaluer la compréhension que un élève a eu à propos d’un texte dont la lecture lui a été demandé. Cette activité nécessite la capacité de lire et d’écrire – spécialement la capacité d’écrire des textes académiques – et aussi la connaissance de la façon comment les résumés doivent être construits. Dans cette travail, nous nous proposons à faire quelques réflexions à propos de l’écriture de textes du genre discursif résumé, spécialement en relation a un des plus importants aspects impliqués dans cette activité d’écriture : la sélection du contenu sémantique du texte de base qui aura lieu dans le résumé. Pour réaliser cette réflexion, nous adopterons la Théorie de L’argumentation dans la Langue, développée par Marion Carel et Oswald Ducrot.MOTS-CLÉS: Argumentation. Sens. Résumé Académique.
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Araújo-Oliveira, Anderson. "Finalités éducatives sous-jacentes aux pratiques des futurs enseignants du primaire : le cas de l’enseignement des sciences humaines et sociales au Québec." Phronesis 1, no. 4 (December 5, 2012): 84–97. http://dx.doi.org/10.7202/1013239ar.

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Анотація:
Sur la base des données issues des entrevues semi-dirigées réalisées auprès de neuf futurs enseignants du primaire en contexte de formation en milieu de pratique au Québec, l’article met en exergue les finalités sous-jacentes à l’enseignement des sciences humaines et sociales, la place que cette discipline occupe dans leurs pratiques ainsi que ses contributions au développement de la triple mission octroyée à l’école québécoise (instruire, socialiser, qualifier). Bien que les sciences humaines et sociales soient considérées par les participants à l’étude comme étant une discipline secondaire, elles restent somme toute importantes. Cependant, cette importance serait axée principalement sur la contribution des sciences humaines et sociales au développement chez les élèves d’attitudes socialement acceptables ainsi que sur le développement d’une connaissance et d’une compréhension qu’ils se font de l’histoire et du fonctionnement de leur société dans le but de s’y adapter.
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Bilic, Josip Bruno. "« Oui, je parle un peu, hago lo que puedo » : les caractéristiques de l’alternance codique chez les Franco-Argentins de Buenos Aires." SHS Web of Conferences 138 (2022): 12009. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213812009.

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Un Franco-Argentin est un citoyen argentin d’ascendance complète, partielle, ou majoritairement française. A notre connaissance, il n’existe pas de données exactes sur le nombre de locuteurs francophones héréditaires en Amérique du Sud. La langue s’est perdue plus fréquemment avec la deuxième génération d’émigrés qui, pour mieux s’intégrer dans le nouveau pays où la langue dominante est l’espagnol et, dans une moindre mesure, l’italien, renonçaient progressivement à leur héritage linguistique. L’alternance codique entre l’espagnol et le français est une pratique répandue et pertinente qui remplit à la fois des fonctions communicatives et identitaires. Dans cet article, nous avons l’intention d’analyser l’évolution de l’alternance codique français-espagnol, sur la base du discours des Franco-Argentins à Buenos Aires (Argentine) lors d’entretiens semi-directifs menés par l’auteur en juillet/août 2021 (cf. Bilic 2021). En particulier, nous observerons les caractéristiques formelles de l’alternance codique qui se produisent à différents niveaux structuraux.
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Dionne, Sophie, and Ann Rhéaume. "L’ambiguïté et le conflit de rôle chez les infirmières* dans le contexte des réformes de la santé au Nouveau-Brunswick." Revue de l'Université de Moncton 39, no. 1-2 (June 2, 2010): 199–223. http://dx.doi.org/10.7202/039847ar.

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Résumé La province du Nouveau-Brunswick restructure actuellement son système de santé. Un des objectifs de la réorganisation des soins est l’optimisation du rôle des intervenants, et plus précisément, l’élargissement du champ de pratique des infirmières et des infirmières auxiliaires. Le but de la présente étude qualitative est d’explorer l’expérience des infirmières en ce qui concerne les concepts d’ambiguïté et de conflit de rôle dans le contexte des réformes de la santé. Le cadre conceptuel choisi est la théorie des rôles. Les données ont été recueillies auprès de dix infirmières par entrevues semi-structurées. L’analyse du contenu des entrevues montre que les infirmières vivent de l’ambiguïté dans leur rôle, particulièrement en ce qui concerne le transfert des tâches, le modèle de prestation des soins et le manque de connaissance des rôles de chacun. Le conflit de rôle, d’autre part, découle de l’excès de responsabilités engendré par les soins de base, la gestion des soins et le travail d’équipe avec les infirmières auxiliaires.
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Ouédraogo, Rayangnéwendé Adèle, Fabèkourè Cédric Kambiré, Marie-Paule Kestemont, and Charles L. Bielders. "Caractériser la diversité des exploitations maraîchères de la région de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso pour faciliter leur transition agroécologique." Cahiers Agricultures 28 (2019): 20. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019021.

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Une typologie basée sur les pratiques maraîchères a été réalisée à partir d’enquêtes auprès de 300 producteurs de dix périmètres maraîchers en milieu urbain, semi-urbain et rural de la région de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, afin d’évaluer le potentiel d’évolution des exploitations vers des systèmes de culture plus écologiques. Aucun agriculteur ne pratique actuellement une production exclusivement biologique ou agroécologique. La typologie a permis de définir quatre types d’exploitations sur base de leur localisation, de leur superficie, de l’intensité d’utilisation des pesticides et des engrais minéraux et organiques. Ces exploitations présentent des atouts en commun, comme la pratique généralisée de la rotation et de l’association des cultures et de la fertilisation organique, mais aussi des défis spécifiques à relever en termes d’usage des pesticides de synthèse et de fertilisation raisonnée pour une transition agroécologique. Les producteurs ont généralement une connaissance faible et imprécise des effets de leurs pratiques sur l’environnement, tout particulièrement en milieu urbain où la sensibilisation aux impacts sanitaires et environnementaux des pratiques maraîchères doit être renforcée.
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Kabouya, M., and C. Michel. "Estimation des ressources en eau superficielle aux pas de temps mensuel et annuel, application à un pays semi-aride." Revue des sciences de l'eau 4, no. 4 (April 12, 2005): 569–87. http://dx.doi.org/10.7202/705116ar.

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On connait l'extrême variabilité des ressources en eau superficielle et les problèmes que cela pose en aménagement du territoire. En conséquence, générer de longues séries de débits annuels (ou mensuels) est une nécessité pour l'étude de la disponibilité des ressources en eau (BURGES et LETTENMAIER, 1977). Cette génération de longues séries peut se faire à partir de la connaissance des pluies si l'on dispose d'un modèle fiable de transformation pluie-débit. Un premier modèle linéaire visant à l'estimation du seul débit annuel, déjà utile pour un premier dégrossissage de la ressource, est bâti à partir de la pluie annuelle et de sa répartition entre les mois. Il constitue un outil de base que l'on a jugé néanmoins un peu trop rudimentaire. La recherche d'un modèle conceptuel simple nous a semblé une voie plus prometteuse. Exploitant une recherche déjà entreprise sur ce type de modèle au pas de temps journalier, on a construit un modèle mensuel à trois paramètres dont l'élaboration a été justifiée point par point par une meilleure efficacité des résultats fournis sur une soixantaine de bassins versants appartenant à la partie septentrionale de l'Algérie. Nous avons analysé les paramètres du modèle et obtenu une estimation approchée de la matrice des variances-covariances de ces paramètres afin de disposer d'un outil similaire à celui existant pour le modèle linéaire général.
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Thaivalappill, Abhinand, Mariola Mascarenhas, Lisa A. Waddell, and Ian Young. "Une évaluation qualitative du programme de la Base de données publique internationale sur les éclosions des maladies d’origine alimentaire." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 1 (January 29, 2021): 68–74. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i01a09f.

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Contexte : La Base de données publique internationale sur les éclosions des maladies d’origine alimentaire (Publicly Available International Foodborne Outbreak Database (PAIFOD)) est un répertoire régulièrement mis à jour qui contient des données internationales sur les éclosions recueillies auprès de multiples systèmes de surveillance et de sources. En date de février 2020, la base de données contenait plus de 13 000 entrées couvrant plus de 20 ans. La PAIFOD est la seule base de données connue qui saisit les données internationales sur les éclosions de maladies d’origine alimentaire. Objectif : Explorer les perceptions des utilisateurs et déterminer les orientations possibles pour la PAIFOD et faire des recommandations pour les bases de données contenant des informations sur la sécurité alimentaire. Méthodes : Entre janvier et mars 2020, 16 entretiens téléphoniques semi-directifs ont été menés avec 24 anciens utilisateurs, actuels et potentiels de la PAIFOD. Les répondants ont été interrogés sur leur connaissance et leur expérience de l’utilisation de la PAIFOD ainsi que sur ses forces et ses faiblesses, et sur les recommandations concernant la base de données. Une approche d’analyse thématique inductive a été utilisée pour analyser les données qualitatives et générer des thèmes. Résultats : Quatre thèmes principaux ont été dégagés à partir des témoignages des 24 répondants sur leur expérience et leurs recommandations concernant la PAIFOD : les participants ont considéré que la PAIFOD était un outil utile; ils ne connaissaient pas bien son contenu ni son objectif; ils ont déclaré qu’elle devrait devenir une plateforme en libre accès ou être liée à une autre initiative de partage d’informations; et ils ont estimé que la PAIFOD avait le potentiel pour améliorer la réputation de l’Agence en devenant largement reconnue et utilisée. Conclusion : Ce travail, ainsi que le contexte en constante évolution de la surveillance alimentaire, soutient la nécessité de garantir que la PAIFOD soit mise à jour pour répondre aux exigences actuelles des experts en salubrité alimentaire.
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Sina, Abdoul Kader Soumaila, Abdou Amani, Amadou Garba, Laouali Abdou, and Ali Mahamane. "Perceptions communautaires, usages socio-économiques et importance agroécologique des peuplements de Acacia senegal (L.) Willd. dans le Sud-Ouest du Niger: Cas du site gommier de la grappe de Lido dans la commune de Guéchémé." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 12, 2019): 3087–102. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.10.

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La présente étude conduite dans la commune rurale de Guéchémé a pour objectif de déterminer les perceptions et les usages socioéconomiques des peuplements de Acacia senegal. La collecte des données s’est basée sur des enquêtes ethnobotaniques semi-structurées par interviews individuels dans cinq villages qui constituent la grappe dont relève le site gommier du village de Lido. Au total, 88 personnes constituées d’hommes et de femmes ont été enquêtées. L’évaluation de la connaissance des populations sur les usages socioéconomiques de l’espèce a été faite sur la base des indices des valeurs d’usages. Les usages fourragers (PPV = 42,89%), alimentaires (PPV = 20,26%) et thérapeutiques (PPV =13,94%), sont les plus rapportés par les enquêtés. Les parties de la plante les plus utilisées sont le bois (PPV= 21,56%), la gomme (PPV=18,06%), les feuilles (PPV =17,25) et les fruits (PPV = 12,40%). La connaissance sur l’usage de l’espèce ne varie pas selon le sexe, l’âge et la religion, mais varie selon la profession des enquêtés. Cet arbuste revêt un intérêt économique capital du fait de l’excellente qualité de sa gomme arabique, un produit forestier non ligneux (PFNL). Il regorge non seulement un intérêt économique mais aussi écologique, car elle est aujourd’hui l’espèce qui est utilisée dans le processus de la lutte contre la désertification au sahel. Dans les soucis du bien être des générations futures, cette espèce doit être prise en compte dans les programmes de conservation et de valorisation durable des ressources phytogénétiques d’intérêt socioéconomique au Niger.Mots clés: Acacia senegal, peuplement, Guéchémé, Niger, gomme, socioéconomie. English Title: Community Perceptions, Socio-Economic Uses and Agroecological Importance of Acacia senegal (L.) Willd. in South-West Niger: Case of the gum-tree site of the Lido cluster in the commune of GuechéméThis study conducted in the rural commune of Guéchémé aims to determine the perceptions and socio-economic usages of Acacia senegal trees. The data collection is based on semi-structured ethnobotanical surveys through individual interviews in five villages that make up the cluster to which the Lido village gum production site belongs. A total of 88 men and women were surveyed. The assessment of populations’ knowledge on the socio-economic usages of the species was made, based on the values of usages’ indices. Fodder (PPV = 42.89%), food (PPV = 20.26%) and therapeutic (PPV = 13.94%) usages were the most reported by the respondents. The parts most used of the plant, are wood (PPV = 21.56%), gum (PPV = 18.06%), leaves (PPV = 17.25) and fruits (PPV = 12.40%). Knowledge about the usage of the species does not vary with consideration to sex, age and religion, but varies with respondents professional occupations. This shrub is of vital interest as it is by excellence the species for the production of gum arabic, a non-timber forest product (NTFP) with high economic value. It is bursting with economic as well as ecological interest, as it is currently the species mostly used in the process of combating desertification in the Sahel. In the interests of the welfare of future generations, this species must be taken into account in programs for the conservation and sustainable development of plant genetic resources of socio-economic value in Niger.Keywords: Acacia senegal, settlement, Guechémé, Niger, gum, socioeconomy.
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Yannick-Mathieu, Y. "Une base de connaissances lexicale et sémantique des verbes psychologiques." Linx 34, no. 1 (1996): 307–13. http://dx.doi.org/10.3406/linx.1996.1438.

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Prudhomme, Claire, Ana Roxin, Christophe Cruz, and Frank Boochs. "Modélisation sémantique et programmation générative pour une simulation multi-agent dans le contexte de gestion de catastrophe." Revue Internationale de Géomatique 30, no. 1-2 (January 2020): 37–65. http://dx.doi.org/10.3166/rig.2020.00102.

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La gestion de catastrophe nécessite une préparation collaborative entre les divers intervenants. Les exercices collaboratifs visent à entraîner les intervenants à appliquer les plans préparés ainsi qu’à identifier les problèmes et points d’améliorations potentiels. Ces exercices étant coûteux, la simulation informatique est un outil permettant d’optimiser la préparation à l’aide d’une plus grande diversité de cas. Cependant, les travaux de recherche centrés sur la simulation et la gestion de catastrophe sont spécialisés sur un problème spécifique plutôt que sur l’optimisation globale des plans préparés. Cette limite s’explique par le défi que constitue la réalisation d’un modèle de simulation capable de représenter et de s’adapter à une large diversité de plans provenant de diverses disciplines. Les travaux présentés dans cet article répondent à ce défi en adaptant le modèle de simulation en fonction des informations et des plans de gestion de catastrophes intégrés dans une base de connaissances. Le modèle de simulation généré est ensuite programmé automatiquement afin d’exécuter des expériences de simulation. Les résultats sont ensuite analysés afin de générer de nouvelles connaissances et d’enrichir les plans de gestion de catastrophe dans un cycle vertueux. Cet article présente une preuve de concept sur le plan national français NOVI (NOmbreuses VIctimes), pour lequel les expériences de simulation ont permis de savoir quel est l’impact de la répartition des médecins sur l’application du plan et d’identifier la meilleure répartition.
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Dayer, Caroline. "Quel genre de savoirs? Epistémologies féministes et (dé)construction des connaissances." Atlánticas. Revista Internacional de Estudios Feministas 2, no. 1 (January 12, 2018): 60–88. http://dx.doi.org/10.17979/arief.2017.2.1.1948.

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L’objectif de cette contribution vise à interroger la construction des savoirs et leurs conditions de production au prisme des épistémologies féministes. Autrement dit, elle se penche sur le genre de savoirs et le genre des savoirs. L’explicitation des ancrages théoriques et de la démarche méthodologique débouche sur l’analyse empirique qui se base sur des entretiens de recherche semi-directifs. Les résultats mettent en évidence la façon dont les savoirs peuvent être neutralisés, désincarnés, éclipsés et soldés. L’articulation entre le caractère androcentré du travail scientifique et les injonctions néolibérales a des répercussions non seulement sur la façon dont les savoirs sont conçus (concevoir au sens d’envisager et au sens d’élaborer) mais également sur les personnes qui les fabriquent, sur l’amenuisement de la pensée critique et sur le renforcement des inégalités. En guise de perspective, la fonction émancipatoire des connaissances est inscrite dans un cadre plus général de justice sociale.
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LIMA RESQUE, Antonio Gabriel. "Le concept de services écosystémiques peut-il faciliter la transition agroécologique dans l’Amazonie brésilienne ? Résultats d’une approche de recherche par méthodes mixtes à Irituia et Paragominas, dans l’État du Pará." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 350 (January 4, 2022): 83–84. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.350.a36832.

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La transition agroécologique est indispensable pour concilier le développement socio-économique et la conservation de l’environnement dans les territoires ruraux du monde entier et plus particulièrement en Amazonie Brésilienne. Le concept de coproduction de services écosystémiques (SE) a été proposé pour penser et discuter cette transition, mais on connaît mal comment les acteurs perçoivent et échangent en pratique sur ce concept. La question principale de cette thèse est : Comment le cadre conceptuel des SE peut-il servir de base cognitive et opérationnelle pour soutenir la transition agroécologique ? Nous examinons deux municipalités aux modèles de production contrastés, situées dans la partie orientale de l'Amazonie brésilienne : Irituia et Paragominas. Nous avons adopté une perspective multi-acteurs et une approche de méthodes mixtes, combinant des méthodologies qualitatives, telles que des entretiens semi-directifs et l'observation participante, avec des méthodologies semi-quantitatives telles que des questionnaires et un jeu de rôles. Nous avons d'abord cherché à comprendre comment les acteurs qui appuient l’agriculture perçoivent la coproduction des SE. Les perceptions diffèrent sensiblement selon le type d'activité exercée par les acteurs, notamment en fonction de la nature de leurs connaissances (plus scientifique ou empirique). Nous avons ensuite examiné comment ces perceptions influençaient le processus de décision de pratiques de gestion de l’agroécosystème. Nous avons constaté l'importance de marchés institutionnels pour valoriser l'agrobiodiversité. Des facteurs internes à l'exploitation, tels que le travail, les revenus, les valeurs de l’agriculteur, influencent également ce processus de prise de décision. Enfin, le jeu de rôles construit a permis aux parties prenantes de synthétiser et de discuter de différents types de connaissances sur ce processus. Finalement, nous avons démontré comment les connaissances générées lors des étapes précédentes pouvaient contribuer à rendre la transition agroécologique plus opérationnelle. En révélant les attentes et les facteurs qui motivent des acteurs locaux, ces connaissances permettent de comprendre ce qui influence les pratiques de gestion de l’agroécosystème. Nous en concluons que le cadre conceptuel de la coproduction des SE permet d’aller au-delà de l'explicitation simple des éléments corrélés à la gestion des agroécosystèmes. Il constitue également un outil pertinent pour stimuler la communication entre les différents acteurs.
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Bergeron, Cindy, Alex Dumas, and Mathieu Savage. "La réadaptation cardiaque en contexte de défavorisation matérielle et sociale1." Articles 43, no. 1-2 (March 20, 2014): 5–26. http://dx.doi.org/10.7202/1023976ar.

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Les effets bénéfiques des programmes de réadaptation cardiaque ont été largement documentés. Par contre, peu d’études se sont penchées sur la faible participation des populations moins bien nanties. En employant l’approche socioculturelle de Pierre Bourdieu, cette étude qualitative contribue à élargir la base des connaissances à l’égard des pratiques de réadaptation cardiaque d’hommes de milieux socio-économiquement défavorisés. Des entrevues semi-structurées ont été effectuées auprès de 22 hommes francophones (âge moyen : 51,7 ans) de l’Outaouais urbain et ayant subi un accident cardiovasculaire. Les résultats suggèrent que les conditions de défavorisation façonnent un rapport au corps incompatible avec les normes de santé publique. Deux thèmes principaux sont développés : (a) les faibles dispositions à adopter des pratiques préventives en santé et (b) les faibles dispositions à participer à un programme de réadaptation cardiaque.
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Benimmas, Aïcha. "Le statut de la carte géographique dans la pratique enseignante à l’école francophone en milieu minoritaire." Articles / Les articles 50, no. 2-3 (May 19, 2016): 269–91. http://dx.doi.org/10.7202/1036433ar.

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Cet article vise à décrire le statut de la carte géographique dans le cours de sciences humaines au primaire et dans celui d’histoire et de géographie au secondaire à l’école francophone en situation minoritaire. Dix-neuf entrevues semi-dirigées ont été enregistrées auprès d’enseignants. L’analyse thématique et interprétative montre que la plupart des activités d’apprentissage proposées aux élèves se concentrent sur la localisation des lieux et la reproduction de cartes existantes, tandis que peu d’enseignants parlent d’analyse, d’interprétation et de construction de cartes. Les enseignants soulignent, parmi les défis rencontrés dans l’utilisation des cartes, leur manque de formation spécifique en didactique de la carte, l’absence de matériel adéquat, la diversité des styles d’apprentissage des apprenants et le manque de connaissances de base chez les élèves. Ces défis ne permettent pas aux enseignants d’aider les élèves à développer les résultats d’apprentissage visés dans les programmes d’études.
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PERROT, C. "Typologie d’exploitations construite par agrégation autour de pôles définis à dires d’experts. Proposition méthodologique et premiers résultats obtenus en Haute-Marne." INRAE Productions Animales 3, no. 1 (February 3, 1990): 51–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4360.

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La typologie d’exploitations agricoles est, pour les organismes départementaux de développement agricole, un investissement qui tient une place centrale dans l’organisation du conseil individuel aux agriculteurs. La typologie constitue un modèle de la diversité des exploitations qui permet d’orienter la recherche de références technico-économiques en s’appuyant sur l’étude de la complexité du fonctionnement des systèmes de production, puis de bâtir un dispositif pertinent pour comparer les performances des exploitations au référentiel ainsi structuré, afin de faciliter la formulation d’un diagnostic et d’un conseil adapté. La méthode typologique présentée dans cet article a été mise au point et testée dans le département de la Haute-Marne. Elle est basée sur la mobilisation des connaissances des experts de terrain. Ces connaissances sont recueillies au cours d’entretiens semi-directifs individuels, puis formalisées en pôles d’agrégation qui résument, à l’aide de quelques indicateurs discriminants, les caractéristiques essentielles des différents groupes d’exploitations identifiés par les experts. Cette formalisation est réalisée de manière itérative et interactive avec ceux-ci jusqu’à l’établissement d’un consensus sur la définition des pôles d’agrégation. Une clé typologique, étalonnée avec les experts sur des fichiers-tests, calcule un coefficient de ressemblance entre une exploitation à classer et chacun des pôles. L’exploitation est ensuite rattachée au pôle auquel elle ressemble le plus. L’ensemble des exploitations agrégées autour d’un pôle constitue un type. La procédure de classement se déroule donc de façon maîtrisée, transparente et explicite aux yeux des utilisateurs grâce à l’évaluation quantitative, donc nuancée, de la ressemblance entre exploitations et pôles, sur la base de quelques indicateurs familiers pour les experts. Chaque pôle peut être défini à l’aide d’indicateurs spécifiques, indépendamment des autres pôles, ce qui confère à la typologie la capacité à évoluer avec les systèmes de production : on pourra en effet modifier la définition d’un pôle pour un type qui évolue, ou créer de nouveaux pôles. Cette dernière propriété est particulièrement importante lorsque l’on considère la typologie non pas comme une image instantanée de la diversité des exploitations, mais comme un outil méthodologique pérenne au service du conseil individuel aux agriculteurs.
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Rakotonandrasana, Stéphan, Andriamalala Rakotondrafara, Roland Rakotondrajaona, Vincent Rasamison, and Michel Ratsimbason. "PLANTES MÉDICINALES DES FORMATIONS VÉGÉTALES DE LA BAIE DE RIGNY-ANTSIRANANA À MADAGASCAR." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 331 (July 21, 2017): 55–65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.331.a31326.

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Des enquêtes ethnobotaniques ont été menées dans les formations forestières de la baie de Rigny-Antsiranana à Madagas- car. Ces formations forestières sont des zones clés de la biodiversité malgache et constituent la principale source d’appro- visionnement des populations locales en plantes utiles. Trente-huit informateurs d’âge compris entre 15 et 80 ans, tradipra- ticiens, mères et pères de famille et connaissant bien les plantes médicinales, ont été enquêtés en les amenant en forêt ou bien en leur montrant des spécimens d’herbier. La méthode d’enquête indivi- duelle retenue était l’entretien semi-struc- turé. Cinquante-trois espèces de plantes médicinales réparties dans 50 genres et 28 familles ont été recensées. Trente-huit espèces (68,6 %) sont endémiques de Madagascar. Les dix premières espèces les plus utilisées ont des indices de fidéli- té élevés pour les maladies indiquées. Dix-neuf espèces ont des indices de fidéli- té élevés (> 60 %) pour diverses maladies. Les maladies auxquelles les informateurs rattachent le plus grand nombre de plantes médicinales sont les affections du système digestif (maux de ventre et diarrhée), les maladies générales (les plaies et la fatigue), les infections et infestations (le paludisme), tout comme la grossesse, la naissance et la puerpéralité. Les indices de fidélité de Adansonia madagascariensis et Senna alata destinées respectivement à la lutte contre la perte de poids et l’hyperten- sion artérielle sont également élevés. Toutes ces maladies sont fréquentes à Madagascar. Les formations végétales de la baie de Rigny-Antsiranana constituent un réservoir de plantes médicinales pour la région Nord de Madagascar. Les connais- sances locales relatives à ces plantes n’ont pas été transcrites mais restent orales et risquent d’être perdues. La végétation naturelle y est menacée par la pression anthropique et l’absence de plan de conservation. Des recherches chimiques et pharmacologiques sur les espèces endémiques, et des mesures de conser- vation de la végétation, sont nécessaires pour leur valorisation et leur protection.
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SEPCHAT, B., P. D'HOUR, and J. AGABRIEL. "Production laitière des vaches allaitantes : caractérisation et étude des principaux facteurs de variation." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 139–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2240.

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Les mesures de Production Laitière (PL) des vaches allaitantes consistent à évaluer la quantité de lait bu par le veau grâce à deux pesées répétées avant et après tétée, mais elles restent difficilement réalisables et limitées aux unités expérimentales. Une base de données expérimentales regroupant 12 000 mesures de lait bu, réalisées depuis 15 ans dans les troupeaux charolais, limousins et salers de l’Herbipôle (plus de 1 000 vaches contrôlées et 7 mesures au moins par vache et par lactation) a été constituée pour actualiser nos connaissances quantitatives sur la production de ces vaches et en étudier les principaux facteurs de variation. La race influence la production laitière (1 600 ± 313 kg lait/lactation en race limousine, 1840 ± 355 kg en race charolaise et 2250 ± 470 kg en race salers) et on observe toujours environ 11% d’écart entre primipares et multipares soit environ 1 kg/j de plus pour les multipares. Dans un système « classique » de production de broutards, avec vêlage d’hiver et conduite semi-extensive au pâturage, deux pics de production laitière sont observés. Le premier a lieu un mois après le vêlage et le second, plus important, peu après la mise à l’herbe. Ces pics traduisent une augmentation de production + 0,8 à + 2,3 kg selon la race, la parité et la période de vêlage. L’analyse de la base de données a permis de quantifier la persistance de la lactation et sa variabilité (diminution de la production de lait de 17 à 27 g de lait bu par jour). La persistance est meilleure pour les vaches faiblement productrices (- 0,5 kg contre - 0,9 kg/j de lait mesuré sur un mois). Une meilleure production laitière amène un meilleur gain de poids des veaux. Au cours de la lactation entière, le surplus de gain de poids moyen quotidien des veaux est de 60 g/litre de lait bu en plus, soit 70 kg de gain de poids vif pour une lactation de 2 300 kg par rapport à une lactation de 1 200 kg. Une sélection sur la production de la mère et sa persistance permettrait donc de réduire les aliments achetés pour les broutards. Cela conforte la nécessité de pouvoir mesurer la production laitière de façon plus systématique et sur toute la lactation. La production de lait de la vache allaitante est peu sensible à la diminution du niveau des apports énergétiques ou globaux si celle-ci est inférieure à 3 UFL. En effet la fonction de production laitière est priorisée quel que soit l’état d’engraissement au vêlage. Néanmoins, la production laitière peut être réduite significativement lorsqu’une durée de sous-alimentation même modérée se prolonge. Avec des vêlages d’hiver, la qualité de l’herbe ingérée au printemps couvre largement (110%) les besoins alimentaires élevés de lactation. Ceci permet à la vache de relancer sa lactation et de reconstituer les réserves mobilisées en période hivernale et ainsi à l’éleveur d’épargner sur l’alimentation distribuée.
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"Prise de conscience des erreurs de traduction." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, February 5, 2021, 126–44. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/paroles/erreurs-de-traduction.

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Le manque de connaissance de la langue maternelle et de la langue étrangère ainsi que le manque de maîtrise sur le sujet à traiter peuvent générer un désordre dans l’exercice de la traduction, produisant un résultat insatisfaisant. Il est donc nécessaire que le traducteur connaisse le lexique et toutes les propriétés des langues respectives afin de développer de manière satisfaisante le travail de traduction. Dans ce contexte, cet article vise à sensibiliser les professionnels de la traduction à la nécessité de la connaissance de la langue maternelle et de la langue étrangère en ce qui concerne le lexique, l’aspect socioculturel, la grammaire, l’orthographe, la sémantique, car les aspects linguistiques correctement interconnectés contribuent à la cohésion et à la cohérence textuelle comme produit final d’un résultat parfait de l’œuvre afin que tout son contenu soit intelligible. L’absence de cet engagement à la correction des langues en question implique une négligence qui ne correspond pas à la gravité avec laquelle le travail de traduction doit être développé. Si, peut-être, il y a un manque de formation ou d’information suffisante, la conscience de la responsabilité professionnelle doit se manifester afin de fournir toutes les connaissances nécessaires qui sont conformes à la pratique de la traduction. Afin d’atteindre cet objectif de sensibilisation, une recherche bibliographique qualitative sera effectuée sur la base des questions liées aux erreurs de la traduction sur « comment » elles se produisent et « d’où » elles viennent, quant à des sujets d’une grande pertinence qui seront axés sur des exemples de règles linguistiques, des illustrations d’erreurs courantes et des corrections appropriées pour mieux comprendre ce qui est destiné à être souligné. En conséquence, il sera possible de reconnaître les mesures nécessaires pour parvenir à une traduction fiable sous les thèmes pertinents dans le processus de traduction en tant que vocabulaire pertinent, adaptation entre les langues, révision textuelle, qui produisent à la fin un texte de bonne qualité qui présente un équilibre relationnel syntaxique et sémantique capable de communiquer clairement son message.
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Brodie, Patrick. "Hosting Cultures: Placing the Global Data Centre "Industry"." Canadian Journal of Communication 46, no. 2 (June 21, 2021). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2021v46n2a3773.

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Background: The article uses fieldwork conducted among data centre professionals in Ireland to theorize the relationship between “hosting” and local business culture at the heart of data supply chains. Analysis: There has been a growth in data centres in Ireland since the 2007–2008 financial crisis, and technology companies have overtaken finance in the country’s business cultures and strategies. Companies and semi-state institutions use conferences, promotional materials, and knowledge dissemination events to advertise Ireland as a place to host data and business. Conclusion and implications: This article concludes that the logics by which local culture and global business cooperate can be better understood by looking at middle managers and the facilitators of data supply chains in addition to macro-scale processes. Contexte : Cet article se base sur un travail de terrain effectué parmi les professionnels de centres de données en Irlande afin de théoriser la relation entre « hébergement » et la culture d’entreprise locale qui est au cœur des chaînes d’approvisionnement de données. Analyse : On a pu observer une croissance du nombre de centre de données en Irlande depuis la crise financière de 2007–2008. Au même moment, les sociétés technologiques ont pris le pas sur la finance dans les cultures d’entreprise et les stratégies nationales. Les sociétés et les institutions semi-étatiques utilisent les colloques, les matériaux publicitaires et les événements de diffusion de la connaissance dans le but de promouvoir l’Irlande comme lieu d’hébergement des données et des entreprises. Conclusion et implications : L’article conclut que les logiques de coopération entre la culture locale et les entreprises mondiales peuvent être mieux comprises si l’on s’attache aux gestionnaires intermédiaires et à ceux qui facilitent les chaînes d’approvisionnement de données en plus des processus à l’échelle macro.
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Borutti, Silvana. "Traduction." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.117.

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La traduction est l’activité linguistique qui nous met en contact avec d’autres langues et d’autres cultures : elle est « la vie même » de la différence (Blanchot 1971 : 71). En tant que telle, la traduction est une expérience qui ne peut qu’arriver dans un processus, parce que les significations, les concepts, les textes littéraires et culturels d’autrui (l’altérité en général) ne sont pas des entités, mais des formes dynamiques toujours en transformation. C’est pour cela que Barbara Cassin, en projetant un Vocabulaire européen des philosophies (2004), a choisi de privilégier ces « symptômes de différence » que sont « les intraduisibles »: c’est-à-dire, ces mots, ces expressions, ces textes qui, même s’ils sont déjà traduits, demandent toutefois qu’on recommence constamment à les traduire. Qu’on pense aux mots grecs, de phusis, skepsis ou psuché, qui sont tous des défis à notre capacité de comprendre à travers la traduction. Afin de comprendre le caractère complexe de l’opération de la traduction, il convient de se référer à un concept élargi de traduction comme transformation symbolique concernant non seulement les langues, mais aussi la connaissance et l’ontologie. En général, la traduction est l’opération qui arrive à rompre le lien du sens avec son corps – lien constituant tout système symbolique – et à le recomposer dans un autre système. En tant que telle, la traduction pose sur le terrain non seulement des problèmes sémantiques (concernant le rapport entre les significations), mais aussi des problèmes épistémologiques (concernant le rapport entre les concepts et les théories) et des problèmes philosophiques et ontologiques (concernant le rapport entre les sujets et les cultures). Dans le passage entre les langues (en tant qu’ensembles de significations historiques et sur-individuels), les problèmes sont surtout linguistiques (sémantiques et pragmatiques) et littéraires : on peut par exemple se demander s’il y a des composantes du sens qui restent constantes dans le passage entre les langues et qui peuvent constituer la base de la traduction; ou bien on peut se demander que signifie traduire un texte poétique ou littéraire. Dans le passage entre les théories, les problèmes sont méthodologiques et historiques : on se demande si l’on peut disposer d’une base de commensurabilité et de choix dans la comparaison entre les théories, ou bien si les révolutions scientifiques entraînent des changements conceptuels radicaux. Le niveau philosophico-ontologique des problèmes concerne tout ce qui dans la traduction touche aux sujets énonciateurs et aux aspects ontologiques et catégoriels consignés aux langues. Ainsi appartiennent à ce domaine les problèmes liés au passage entre des langues radicalement hétérogènes et entre des cultures éloignées en anthropologie, ou bien le passage entre différents niveaux psychiques, manifestes et cachés, en psychanalyse : à cet égard, le problème de la traduction est le problème de l’altérité et de sa distance, ou bien de la possibilité d’accéder aux significations de l’autre. Dans toute activité de traduction, ces niveaux sont mêlés entre eux : par exemple, le passage entre des cultures éloignées est en même temps sémantique, conceptuel et ontologique.
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Kolomitro, Klodiana, Cory Laverty, and Denise Stockley. "Sparking SoTL: Triggers and Stories from One Institution." Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning 9, no. 1 (April 16, 2018). http://dx.doi.org/10.5206/cjsotl-rcacea.2018.1.10.

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With the growing interest in educational research across post-secondary campuses, it is useful to identify the specific supports that best enable Scholarship of Teaching and Learning (SoTL) initiatives. This paper documents a picture of SoTL interests and supports at one institution through survey and semi-structured collaborative interview data. Both the survey data (289 respondents) and three semi-structured group interviews (8 participants total) provide a picture of participants who have completed or are interested in completing a SoTL study; the events and experiences that triggered an interest in SoTL; and their perceptions of the importance of SoTL in their own teaching, student learning, in their department, and within the institution as a whole. Based on these two datasets, we propose four lenses that are defined in terms of SoTL triggers and which we name a Scholarship Window. We conclude with a number of recommendations as a way to build capacity for SoTL at the institutional level. Suite à l’intérêt grandissant de la recherche dans le domaine de l’éducation sur tous les campus d’enseignement supérieur, il est utile d’identifier les soutiens spécifiques qui favorisent le mieux les initiatives de l’avancement des connaissances en enseignement et en apprentissage (ACEA). Cet article présente un tableau des intérêts et des soutiens en ACEA dans un établissement donné, établi par le biais d’une enquête et d’une série d’entrevues en collaboration semi-structurées. Les données obtenues suite à l’enquête (289 répondants) et celles de trois entrevues semi-structurées (8 participants au total) ont permis d’établir un tableau de participants qui ont complété ou qui s’intéressent à compléter une étude en ACEA, les événements et les expériences qui ont déclenché cet intérêt en ACEA ainsi que les perceptions des répondants de l’importance de l’ACEA pour leur propre enseignement, pour l’apprentissage des étudiants et pour leur département, ainsi qu’au sein de l’établissement dans son ensemble. Sur la base de ces deux groupes de données, nous proposons quatre lentilles qui sont définies en tant que déclencheurs d’ACEA, que nous avons nommées « fenêtre sur l’avancement des connaissances ». En conclusion, nous présentons un certain nombre de recommandations pour renforcer les capacités en ACEA au niveau institutionnel.
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Kilani, Mondher. "Culture." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.121.

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La culture, mot ancien, a une longue histoire et pour les anthropologues, qui n’ont pas envie de l’abandonner, elle garde tout son potentiel heuristique. Du verbe latin colere (cultiver, habiter, coloniser), la culture a immédiatement montré une remarquable versatilité sémantique. Comme Cicéron (106-43 av. J.-C.) l’avait dit, il n’y a pas seulement la culture des champs, il y a aussi la cultura animi : c’est-à-dire la philosophie. Cultura animi est une expression que l’on retrouve également au début de la modernité, chez le philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626). Elle devient ensuite « culture de la raison » chez René Descartes (1596-1650) et chez Emmanuel Kant (1724-1804). Mais au XVIIIe siècle, nous assistons à un autre passage, lorsque la culture, en plus des champs, de l’âme et de la raison humaine, commence à s’appliquer également aux coutumes, aux mœurs, aux usages sociaux, comme cela est parfaitement clair chez des auteurs tels que François-Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), et Johann Gottfried Herder (1744-1803). Nous pourrions nous demander pourquoi ces auteurs ne se sont pas contentés de continuer à utiliser les termes désormais testés de coutumes et de mœurs. Pourquoi ont-ils voulu ajouter la notion de culture? Qu’est-ce que cette notion offrait de plus? Autrement dit, quelle est la différence entre culture et coutume? Dans l’usage de Voltaire et de Herder, la culture est presque toujours singulière, alors que les coutumes sont très souvent plurielles. La culture a donc pour effet d’unifier les coutumes dans un concept unique, en surmontant leur pluralité désordonnée et désorientante : les coutumes sont nombreuses, variables, souvent divergentes et contradictoires (les coutumes d’une population ou d’une période historique s’opposent aux coutumes d’autres sociétés et d’autres périodes), alors que la culture désigne une capacité, une dimension, un niveau unificateur. Dans son Essai sur les mœurs (1756), Voltaire a clairement distingué le plan de la « nature », dont dépend l’unité du genre humain, de celui de la « culture », où les coutumes sont produites avec toute leur variété : « ainsi le fonds est partout le même », tandis que « la culture produit des fruits divers », et les fruits sont précisément les coutumes. Comme on peut le constater, il ne s’agit pas uniquement d’opposer l’uniformité d’une part (la nature) et l’hétérogénéité d’autre part (les coutumes). En regroupant les coutumes, Voltaire suggère également une relation selon laquelle le « fonds » est le terrain biologique, celui de la nature humaine, tandis que la culture indique le traitement de ce terrain et, en même temps, les fruits qui en découlent. Tant qu’on ne parle que de coutumes, on se contente de constater la pluralité et l’hétérogénéité des « fruits ». En introduisant le terme culture, ces fruits sont rassemblés dans une catégorie qui les inclut tous et qui contribue à leur donner un sens, bien au-delà de leur apparente étrangeté et bizarrerie : bien qu’étranges et bizarres, ils sont en réalité le produit d’une activité appliquée au terrain commun à toutes les sociétés humaines. Partout, les êtres humains travaillent et transforment l’environnement dans lequel ils vivent, mais ils travaillent, transforment et cultivent aussi la nature dont ils sont faits. Appliquée aux coutumes, la culture est donc à la fois ce travail continu et les produits qui en découlent. En d’autres termes, nous ne pouvons plus nous contenter d’être frappés par l’étrangeté des coutumes et les attribuer à une condition d’ignorance et aux superstitions : si les coutumes sont une culture, elles doivent être rapportées à un travail effectué partout, mais dont les résultats sont sans aucun doute étranges et hétérogènes. Il s’agit en tout cas d’un travail auquel chaque société est dédiée dans n’importe quel coin du monde. Nous ne voulons pas proposer ici une histoire du concept de culture. Mais après avoir mentionné l’innovation du concept de culture datant du XVIIIe siècle – c’est-à-dire le passage du sens philosophique (cultura animi ou culture de la raison) à un sens anthropologique (coutumes en tant que culture) –, on ne peut oublier que quelques décennies après l’Essai sur les mœurs (1756) de Voltaire, Johann Gottfried Herder, dans son Ideen zur Philosophie der Geschichte der Menschheit (1784-1791), fournit une définition de la culture digne d’être valorisée et soutenue par l’anthropologie deux siècles plus tard. Herder ne se limite pas à étendre la culture (Kultur) bien au-delà de l’Europe des Lumières, au-delà des sociétés de l’écriture (même les habitants de la Terre de Feu « ont des langages et des concepts, des techniques et des arts qu’ils ont appris, comme nous les avons appris nous-mêmes et, par conséquent, eux aussi sont vraiment inculturés »), mais il cherche le sens profond du travail incessant de la Kultur (1991). Pourquoi, partout, aux quatre coins du monde, les humains se consacrent-ils constamment à la formation de leur corps et de leur esprit (Bildung)? La réponse de Herder est dans le concept de l’homme en tant qu’être biologiquement défectueux (Mängelwesen), en tant qu’être qui a besoin de la culture pour se compléter : le but de la culture est précisément de fournir, selon différentes conditions historiques, géographiques et sociales, une quelque forme d’humanité. Selon Herder, la culture est « cette seconde genèse de l’homme qui dure toute sa vie » (1991). La culture est la somme des tentatives, des efforts et des moyens par lesquels les êtres humains « de toutes les conditions et de toutes les sociétés », s’efforcent d’imaginer et de construire leur propre humanité, de quelque manière qu’elle soit comprise (1991). La culture est l’activité anthropo-poïétique continue à laquelle les êtres humains ne peuvent échapper. Tel est, par exemple, le propre du rituel qui réalise la deuxième naissance, la véritable, celle de l’acteur/actrice social/e, comme dans les rites d’initiation ou la construction des rapports sociaux de sexe. La culture correspond aux formes d’humanité que les acteurs sociaux ne cessent de produire. Le but que Herder pensait poursuivre était de rassembler les différentes formes d’humanité en une seule connaissance généralisante, une « chaîne de cultures » qui, du coin du monde qu’est l’Europe des Lumières « s’étend jusqu’au bout de la terre » (1991). On peut soutenir que dans les quelques décennies de la seconde moitié du XVIIIe siècle, on avait déjà posé les bases d’un type de connaissance auquel on allait donner plus tard le nom d’anthropologie culturelle. Parmi ces prémisses, il y avait le nouveau sens du terme culture. Cependant, il faut attendre plus d’un siècle pour que ceux qui allaient être appelés anthropologues reprennent ce concept et en fassent le fondement d’une nouvelle science. La « science de la culture » est en fait le titre du chapitre I de Primitive Culture (1871) d’Edward Burnett Tylor, chapitre qui commence par la définition de la culture connue de tous les anthropologues : « Le mot culture ou civilisation, pris dans son sens ethnographique le plus étendu, désigne ce tout complexe comprenant à la fois les sciences, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes et les autres facultés et habitudes acquises par l’homme dans l’état social (Tylor1920). » Dans cette définition, les points suivants peuvent être soulignés : premièrement, la culture est un instrument qui s’applique de manière ethnographique à toute société humaine; deuxièmement, elle intègre une pluralité d’aspects, y compris les coutumes, de manière à former un « ensemble complexe »; troisièmement, les contenus de cet ensemble sont acquis non par des moyens naturels, mais par des relations sociales. Dans cette définition, la distinction – déjà présente chez Voltaire – entre le plan de la nature et le plan de la culture est implicite; mais à présent, le regard se porte avant tout sur la structure interne de la culture, sur les éléments qui la composent et sur la nécessité d’ancrer la culture, détachée de la nature, au niveau de la société. Il initie un processus de formation et de définition d’un savoir qui, grâce au nouveau concept de culture, revendique sa propre autonomie. La première fonction de la culture est en fait de faire voir le territoire réservé à la nouvelle science : un vaste espace qui coïncide avec tous les groupes humains, des communautés les plus restreintes et les plus secrètes aux sociétés qui ont dominé le monde au cours des derniers siècles. Mais jusqu’à quel point ce concept est-il fiable, solide et permanent, de sorte qu’il puisse servir de fondement au nouveau savoir anthropologique? On pourrait dire que les anthropologues se distinguent les uns des autres sur la base des stratégies qu’ils adoptent pour rendre le concept de culture plus fiable, pour le renforcer en le couplant avec d’autres concepts, ou, au contraire, pour s’en éloigner en se réfugiant derrière d’autres notions ou d’autres points de vue considérés plus sûrs. La culture a été un concept novateur et prometteur, mais elle s’est aussi révélée perfide et dérangeante. On doit réfléchir aux deux dimensions de la culture auxquelles nous avons déjà fait allusion: le travail continu et les produits qui en découlent. Les anthropologues ont longtemps privilégié les produits, à commencer par les objets matériels, artistiques ou artisanaux : les vitrines des musées, avec leur signification en matière de description et de classification, ont suggéré un moyen de représenter les cultures, et cela même lorsque les anthropologues se sont détachés des musées pour étudier les groupes humains en « plein air », directement sur le terrain. Quelles étaient, dans ce contexte, les coutumes, sinon les « produits » de la culture sur le plan comportemental et mental? Et lorsque la notion de coutume a commencé à décliner, entraînant avec elle le sens d’un savoir dépassé, la notion de modèle – les modèles de culture – a dominé la scène. Saisir des modèles dans n’importe quel domaine de la vie sociale – de la parenté à la politique, de la religion au droit, de l’économie à l’art, etc. – ne correspondait-il pas à une stratégie visant à construire, dans un but descriptif et analytique, quelque chose de solide, de répétitif et de socialement répandu, bref, un système capable de se reproduire dans le temps? Ce faisant, on continuait à privilégier les produits avec leur continuité et leur lisibilité au détriment du travail continu et obscur de la culture, de son flux presque insaisissable et imprévisible. Nous pensons par exemple à la quantité incroyable et chaotique de gestes, mots, idées, émotions qui se succèdent, se chevauchent, se croisent et se mélangent dans chaque moment de la vie individuelle et collective. Le sentiment que les produits toujours statiques et achevés de la culture priment sur sa partie la plus significative et la plus dynamique (une sorte de matière ou d’énergie obscure), devient un facteur de frustration et de perturbation pour l’entreprise anthropologique. À cet égard, les anthropologues ont adopté plusieurs voies de sortie, notamment : la tendance à réifier la culture, ce qui lui confère une solidité presque ontologique (c’est le cas d’Alfred L. Kroeber 1952); l’intention de réduire sa portée et de l’ancrer ainsi dans une réalité plus cohérente et permanente, telle que pourrait être la structure sociale dans ses diverses articulations (Alfred Radcliffe-Brown 1968 et plus largement l’anthropologie sociale); la tentative de capturer dans les manifestations apparemment plus libres et arbitraires de la culture, que peuvent être les mythes, l’action de structures mentales d’un ordre psycho-biologique (Claude Lévi-Strauss 1958 et 1973 et plus largement le structuralisme). Plus récemment, la méfiance envers la culture a pris la forme même de son refus, souvent motivé par une clef politique. Comment continuer à s’appuyer sur la culture, si elle assume désormais le rôle de discrimination autrefois confié à la race? Plus la culture devient un terme d’usage social et politique, identifié ou mélangé à celui d’identité et se substituant à celui de race, plus des anthropologues ont décrété son caractère fallacieux et ont pensé à libérer la pensée anthropologique de cet instrument devenu trop dangereux et encombrant. Lila Abu-Lughod écrit en 1991 un essai intitulé Against Culture et les critiques du concept de culture refont surface dans le texte d’Adam Kuper, Culture, 1998 et 1999. Mais si l’anthropologie doit se priver de ce concept, par quoi le remplacera-t-elle? Est-il suffisant de se contenter de « pratiques » et de « discours » qu’Abu-Lughod a puisés chez Michel Foucault (1966)? C’est une chose de critiquer certains usages de la notion de culture, tels que ceux qui tendent à la confondre avec l’identité, c’en est une autre d’accepter le défi que ce concept présente à la fois par son caractère fluide et manipulable, et par les expansions fertiles dont il est capable. Par « pratique » et « discours », réussirons-nous, par exemple, à suivre l’expansion de la culture vers l’étude du comportement animal et à réaliser que nous ne pouvons plus restreindre la « science de la culture » dans les limites de l’humanité (Lestel 2003)? Presque dans le sens opposé, la culture jette également les bases de la recherche ethnographique au sein des communautés scientifiques, une enquête absolument décisive pour une anthropologie qui veut se présenter comme une étude du monde contemporain (Latour et Woolgar 1979). Et quel autre concept que celui de culture pourrait indiquer de manière appropriée le « tout complexe » (complex whole) de la culture globale (Hamilton 2016)? Qu’est-ce que l’Anthropocène, sinon une vaste et immense culture qui, au lieu d’être circonscrite aux limites de l’humanité, est devenue une nouvelle ère géologique (Zalasiewicz et al. 2017)? Bref, la « science de la culture », formulée en 1871 par Edward Tylor, se développe énormément aujourd’hui : la culture est l’utilisation de la brindille comme outil de capture des termites par le chimpanzé, de même qu’elle correspond aux robots qui assistent les malades, aux satellites artificiels qui tournent autour de la Terre ou aux sondes envoyées dans le plus profond des espaces cosmiques. Ces expansions de la culture sont sans aucun doute des sources de désorientation. Au lieu de se retirer et de renoncer à la culture, les anthropologues culturels devraient accepter ce grand défi épistémologique, en poursuivant les ramifications de cette notion ancienne, mais encore vitale, dynamique et troublante.
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Gagnon, Éric. "Interprétation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.066.

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Clifford Geertz a résumé l’idée à la base de l’anthropologie interprétative dans une formule devenue célèbre : « Convaincu, comme Max Weber, que l'homme est un animal suspendu dans des réseaux de significations qu'il a lui-même tissés, je considère la culture comme étant ces réseaux; dès lors l'étude de la culture ne peut être menée par une science expérimentale à la recherche de lois, mais par une science interprétative à la recherche de significations » (1973 : 5; traduction personnelle). Comme nombre d’énoncés théoriques qui ont marqué la pensée anthropologique, la formule est imagée, suggestive et séduisante. Elle est cependant loin d’être claire et évidente. Ce que sont les significations et l’interprétation demande des éclaircissements et soulève de nombreuses questions. L’anthropologie interprétative part du principe que les faits étudiés ne peuvent être détachés de ce que les acteurs en pensent, de la signification qu’ils leur donnent. Mais les significations des conduites et des discours que l’anthropologie cherche à comprendre ne sont pas les motivations subjectives et personnelles des acteurs : ce sont les connaissances, les représentations, les règles et les attentes que la culture met à la disposition des individus pour leur permettre de donner sens à leurs actions, pour décrire et expliquer le monde (dimension sémantique) mais aussi pour agir, produire quelque chose, résoudre un problème (dimension pragmatique). Ces significations n’appartiennent pas en propre aux individus, même si elles sont largement intégrées et incorporées par ces derniers. Ce sont les références communes ou les présupposés fondamentaux d’un groupe sur le monde, la société, les personnes et la place qu’elles occupent, ce qu’il convient de faire dans une situation, etc., qui sont transmises par les institutions et dans les pratiques, et qui agissent comme médiateurs symboliques dans la communication, les échanges et les interactions. Interpréter une conduite ou un discours consiste à rendre clair ce qu’il sous-entend ou présuppose (Taylor 1985a), à rendre explicite les significations (connaissances, représentations, règles et attentes) implicites dans la conduites et le discours, que l’acteur prend pour acquis, mais que l’interprète a besoin d’apprendre pour comprendre ce qui se passe ou se dit. Interpréter, c’est dégager cet arrière-plan – les réseaux dont parle Geertz – en le traduisant dans une autre langue ou dans un autre langage (ceux de l’anthropologue). Pour reprendre les mots de Clastres, il s’agit de « déplier » le geste, le texte ou la parole, de le laisser parler « en libérant par l’analyse le riche faisceau de significations » (1972 : 41). C’est le premier cercle herméneutique : la partie (une conduite, une parole) s’éclaire par le tout (les significations partagées dans un groupe), et réciproquement. Cette posture soulève toute une série de questions et de difficultés. La première question tient au fait que l’acteur est lui-même un interprète. La conduite ou le discours que l’anthropologue doit interpréter est déjà une interprétation, un effort des individus et des collectivités pour comprendre une situation et y répondre, au moyen des significations mises à leur disposition par la culture ou la tradition. C’est déjà une forme de « commentaire » sur le monde, une manière d’en rendre compte et d’y réagir. La signification que lui donne l’anthropologue est une interprétation de second degré. Elle vise à élargir la signification, à rendre explicite un arrière-plan plus vaste, dont les acteurs n’ont pas conscience ou que masquent leurs idéologies (ex : des inégalités entre les sexes tenues pour naturelles et renforcées par des pratiques). Se pose alors la question de la possibilité d’atteindre les significations sous-jacentes à une pratique ou à un discours, étranges et obscures au premier abord, et possiblement mieux que les acteurs eux-mêmes. Pour l’anthropologie interprétative, la réponse réside dans le second cercle herméneutique, mis en lumière par Gadamer (1996) dans le prolongement des travaux de Heidegger, et qui relie cette fois l’interprète à son objet. L’interprète part de ses préjugés et de ses préconceptions (son sens commun), qu’il projette sur son objet pour s’en approcher, en anticiper le sens, y reconnaître quelque chose, pour ensuite les rectifier et s’ouvrir à l’objet. Il ne peut faire entièrement abstraction de lui-même ou s’affranchir de sa situation et de sa culture, mais il peut élargir sa vision et faire un retour critique sur son point de vue. La compréhension se fait par différenciation et contraste entre soi et l’autre, ses propres présupposées et les siens (Taylor 1985b), avec le risque, de faire violence à l’autre, de le ramener à soi, en projetant sur lui ses propres significations, ou à l’inverse, en exacerbant la différence et en le maintenant entièrement dans l’altérité. La seconde question est celle de l’unité de la culture. La compréhension présuppose dans un groupe ou une collectivité l’existence de significations partagées, qui permettent aux individus de s’entendre et de s’accorder, et que l’interprète peut saisir (Céfaï, 2008). Pour faire sens, la conduite ou le discours doit se rapporter à un horizon de sens commun, ne fut-ce que pour s’en démarquer. Mais cette unité n’est pas absolue, aucune collectivité n’est monolithique et ne parle d’une seule voix. Le sens commun n’est jamais bien délimité, univoque, net et immuable; il est traversé de contradictions et en constante création. L’idée d’un ordre n’exclut pas le désordre et la confusion. L’interprétation doit pouvoir rendre compte des incompréhensions, des conflits et des transformations. Elle doit être attentive à la pluralité des langages, des références et des significations au sein d’une collectivité, que les migrations et l’histoire ne manquent pas d’engendrer (Descombes 1998). Le problème se pose avec plus d’acuité dans les sociétés et cités cosmopolites contemporaines. La question n’est pas uniquement méthodologique, elle est également politique, car elle engage l’interprète dans les débats sur le pluralisme et multiculturalisme, l’identité culturelle et la tradition, l’immigration et le monde commun. La troisième question est celle de la validité des interprétations. Elle est étroitement liée à la précédente. Chez les tenants d’une approche interprétative ou herméneutique, on s’accorde généralement pour dire qu’une interprétation ne peut être démontrée ou falsifiée. Bien qu’elle puisse être plus ou moins bien argumentée et appuyée par des faits, une interprétation ne peut être rejetée qu’en en proposant une meilleure, qui rend mieux compte de la réalité ou d’un plus grand nombre d’aspects. Une conduite ou un discours est toujours passible de multiples interprétations en raison de la richesse des signes au moyen desquels il s’exprime, lesquels appellent toujours un commentaire ou une clarification, qui suscite de nouveaux signes à déchiffrer. Non seulement une interprétation est toujours incomplète et provisoire, mais toujours contestable et contestée (Rabinow et Sullivan 1979; Bibeau et Corin 1995). Il n’y a pas d’interprétation sans conflit d’interprétations. C’est ce que nous pourrions appeler le troisième cercle herméneutique, celui des échanges et de la confrontation entre les divers interprètes et interprétations, qui se répondent et développent leur point de vue en se démarquant des autres. À ce cercle participent les anthropologues, mais également des interprètes d’autres disciplines et de plus en plus les acteurs et les groupes « objet » du débat, entre lesquels les références et les intérêts divergent, mais diffèrent également les moyens et l’autorité pour faire valoir et imposer leur interprétation. Toute nouvelle interprétation d’un objet est inséparable de l’histoire des interprétations qui en ont été faites, parfois nombreuses, et qui transforment l’objet lui-même (Ricoeur, 1986). La quatrième question touche à la nature même de la compréhension. La réflexion sur l’interprétation s’est longuement interrogée sur le caractère ontologique de la compréhension, pour en faire un trait distinctif de la condition humaine (Grondin 1993). La vie humaine a une structure herméneutique, soutient Gadamer (1996), elle ne cesse de s’interpréter. Loin d’être une activité séparée ou un problème méthodologique, la compréhension est la manière pour les êtres humains d’interroger ce qui leur arrive et d’en faire l’expérience. Une telle proposition soulève toute une série de problèmes. D’abord celle de la diversité historique et culturelle des modes de compréhension, tant sur le plan des schèmes intellectuels d’interprétation que des institutions qui en régulent l’activité. Ensuite, la compréhension de l’autre conduit à une transformation de la compréhension de soi; elle oblige l’interprète – tout comme ses informateurs ou interlocuteurs – à se décrire et se penser autrement (Rabinow 1977). Conduit-elle obligatoirement à une remise en question, à une critique de ses propres savoirs, présupposés et épistémologies (Lock et Scheper-Hughes 1990)? Sinon à quelles conditions peut-elle y parvenir? Enfin, si la compréhension est une expérience humaine fondamentale, elle bute toujours sur l’incompréhension, les silences et les secrets des personnes et des groupes étudiés, plus fondamentalement encore sur une distance irréductible, comme celle à laquelle bute l’étude de la souffrance ou de la folie. Cette distance ou altérité est au cœur de la réflexion anthropologique.
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Flavia Irene, Santamaria,. "“Un estudio multimodal y dinámico de los conocimientos numéricos de estudiantes de primer grado”." RIDAA Tesis Unicen, September 27, 2021. http://dx.doi.org/10.52278/2850.

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En esta tesis profundizamos el estudio de la cognición y comunicación numérica de niños y niñas de primeros grados de la escuela primaria en la zona andina rionegrina. Desde un enfoque socio-constructivista de recursos, interesó visibilizar, documentar y comprender la variedad, articulación y dinamismo de conocimientos numéricos en los diferentes grados de apropiación que estos jóvenes estudiantes ponen en juego al producir y reflexionar sobre signos numéricos en situación de entrevista, en distintos modos semióticos. También prestamos atención a sus procesos de reflexión y regulación de la propia cognición numérica. Los participantes son cuarenta y cinco niñas y niños que cursaban primer grado en cuatro escuelas públicas de gestión estatal de jornada simple en Bariloche y El Bolsón. Dos de las escuelas son céntricas y dos se encuentran en la periferia de la ciudad. La selección de las escuelas respondió a obtener un relativamente amplio abanico sociocultural y socioeducativo en el marco de la escolaridad urbana regional. Metodológicamente, se entrevistó a los niños individualmente en base a un guión semi-estructurado, con tareas abiertas, creativas, convocantes, desafiantes y andamiadas. Se utilizaron dispositivos de registro multimodal de los procesos comunicativo-cognitivos implicados en los momentos de producción oral, gráfica y con objetos. Los análisis mixtos buscaron conjugar profundidad y sistematicidad en la atención a la singularidad y la regularidad, utilizando técnicas que permiten tal diversidad de acercamientos a los textos gráficos creados por los niños, así como a sus respuestas verbales y gestuales y sus acciones con objetos. Principalmente trabajamos con: sistemas de categorías para la construcción de repertorios con posterior aplicación de técnicas de la estadística no paramétrica y multivariada, análisis de trayectorias de aprendizaje y estudio de casos múltiples. El enfoque socio-constructivista de recursos impregnó las decisiones tomadas tanto al realizar la entrevista como al analizar la producción numérica de cada niña o niño. Dimos cuenta de la variedad de las formas de conocer y comunicar numéricamente de los y las participantes mediante cuatro repertorios: el primero visibiliza el arco de producción numérica convencional identificado en la población estudiada; el segundo distingue las aproximaciones parciales a la convención numérica; el tercero articula trayectorias de conservación e innovación cognitiva al pensar en y con cantidades “grandes”, y finalmente, el cuarto identifica formas de reflexión y regulación de la propia cognición numérica. Ilustramos todas las categorías incluidas en esos cuatro repertorios con producciones orales, gráficas y a veces gestuales originales de los niños y niñas participantes. Además, nos dedicamos a captar multimodalmente el dinamismo del pensamiento y la comunicación numérica de los niños en situación, tanto a nivel intra-tarea como inter-tarea. Así, identificamos cuatro patrones de producción convencional, que se extienden desde una producción convencional limitada (Patrón 1, 9 niños) a una producción avanzada (Patrón 4, 8 niños), pasando por configuraciones de producción convencional “incipiente”(Patrón 2, 13 niños) e “intermedia” (Patrón 3, 15 niños). Encontramos una asociación entre los patrones de producción convencional y el sector socioeducativo y sociocultural vinculado a la escuela. En las escuelas céntricas se concentró la mayor proporción de niños y niñas cuya producción convencional es más extendida, y en las escuelas periféricas sucedió lo inverso. Sin embargo, en tres de los primeros grados participantes convivían niños de los cuatro patrones de producción convencional, y en uno, de tres patrones. La heterogeneidad se incrementa notablemente si miramos a los chicos considerando sus respuestas no convencionales como una producción comunicativa cognitiva genuina. Esta situación coloca a la heterogeneidad cognitiva en el campo del número como una condición a considerar como esperable en el inicio de la escolarización matemática primaria en la región. Para ahondar en el estudio del dinamismo en la puesta en juego de los recursos cognitivo-comunicativos de los niños realizamos varias líneas de análisis. Una fue el estudio de sus avances en el curso de una misma tarea o a lo largo de tareas relacionadas. El hallazgo de que el 78% de los niños evidenciaron alguna forma de progreso resalta la importancia de disponer un espacio abierto y sin prisa para la comunicación y evaluación del conocimiento. El progreso según indicadores de mayor producción estrictamente convencional se evidenció en niños o niñas pertenecientes a todos los patrones de producción convencional, lo que muestra que ni tan siquiera el saber que se corresponde con el establecido culturalmente constituye un bagaje del que niños y niñas disponen de forma estable, pronto a ser demostrado ante la primera demanda. A su vez pudimos constatar que las tensiones entre lo establecido y lo posible, o entre convenciones e invenciones, resultaron ser fuentes de conflicto y transformación cognitiva para algunos niños entrevistados. En este proceso, los niños y las niñas mostraron cómo gradualmente se apropiaron del conocimiento cultural establecido, exploraron relaciones, revisaron y generaron innovaciones en sus ideas y procedimientos. La mayoría de las niñas y niños entrevistados mostraron que tales respuestas surgieron de procesos constructivos y exploratorios no lineales, que introdujeron ajustes y fomentaron nuevas percataciones de regularidades numéricas, e incluso nuevos matices de significado. En nuestra búsqueda por comprender la variedad y el dinamismo de los recursos de los niños, elegimos incluir también un estudio de casos múltiples. Seleccionamos dos niños y una niña que se inscriben en distintos patrones de producción convencional para reconstruir su construcción de sentidos a lo largo de la progresión de tareas numéricas en la entrevista. Esta fue una vía más para dimensionar el grado en que los saberes de los niños entrevistados acerca de las formas y funciones numéricas abordadas revisten una notable disparidad inter-sujeto, y también conexiones de sentido a nivel inter-tarea. Somos conscientes de los alcances y restricciones de un trabajo investigativo acotado no solo en el número de participantes sino también en el tiempo/espacio de interacción en el que recabamos la información (una única entrevista diádica fuera del aula). No obstante, consideramos que los análisis de grano fino y multimodal de la variedad de recursos numéricos en esta etapa, junto a la atención al dinamismo de su puesta en juego en situación, pueden contribuir a articular un panorama de los niños como aprendices que buscan agentivamente apropiarse de las formas y funciones numéricas como instrumento de participación cultural. En ese sentido las contribuciones recogidas en los comentarios finales de los capítulos de resultados y en las conclusiones pueden ofrecer información valiosa de primera mano para el diseño y la implementación de prácticas de enseñanza capaces de promover la agencia en el aprendizaje numérico básico en entornos socioeducativos diversos. Planteamos una vía para superar enfoques de estándares que conciben el aprendizaje preferentemente como proceso descontextualizado, reproductivo, monomodal y universal. Para ello, por supuesto, es clave el trabajo también agentivo, creativo, colaborativo, multimodal y andamiado de los equipos docentes en sus comunidades de práctica. In this thesis we go a step further in the study of numerical cognition and communication of first-grade children in the Andean region of Rio Negro. From a resource-based socio-constructivist framework, we were interested in making visible, documenting and understanding the variety, articulation and dynamism of children’s numerical knowledge at work when they produced and thought about and with numerical signs during interviews, in different semiotic modes. We also paid attention to the processes of reflexion and regulation of their own numerical cognition. The participants are forty-five students who attended first grade in four public schools in Bariloche and El Bolsón. Two of the schools are located down-townl and two are located in the periphery of the city. The selection of schools aimed at obtaining a relatively wide sociocultural and socio-educational range within regional urban schooling. Methodologically, the children were interviewed individually based on a semi-structured script, with open, creative, convoking, challenging and scaffolding tasks. Multimodal recording devices of the communicative-cognitive processes evidenced during oral, graphic and object production were used. The mixed methods analyses sought to combine depth and systematic attention to both singularity and regularity, by using techniques that allow such a diversity of approaches to the graphic texts created by children, as well as to their verbal and gestural responses and to their actions with objects. We mainly worked with: category systems for the construction of repertoires, with subsequent application of non-parametric and multivariate statistics techniques, analysis of learning trajectories and study of multiple cases. The resource-based socio-constructivist framework resource-based socio-constructivist framework permeated the decisions made both when conducting the interview and when analyzing the numerical production of each girl or boy. Four repertoires captured the variety in participants’ ways of knowing and communicating numerically: the first one makes visible the conventional numerical production identified in the studied population; the second distinguishes partial approaches to numerical convention; the third articulates trajectories of cognitive preservation and cognitive innovation when thinking about and with relatively large quantities, and finally, the fourth identifies forms of reflexion and regulation of numerical cognition. We illustrate all the categories included in those four repertoires with original productions of the participating children ─oral, graphic and sometimes gestural. In addition, we sought to capture the multimodal dynamism of children’s situated thinking and communication, both at an intra-task and an inter-task level. Thus, we identified four conventional production patterns, which range from Limited conventional production (Pattern 1; 9 children) to Advanced production (Pattern 4; 8 children). Incipient conventional production (Pattern 2; 13 children) and Intermediate (Pattern 3; 15 children) configurations are half-way. We found an association between conventional production patterns and the socio-educational / socio-cultural sector characteristic of the schools. In the down-town schools a greater proportion of children whose conventional production is more widespread was concentrated, and in the peripheral schools the opposite happened. However, in three of the participating first grades, children of the four conventional production patterns coexisted, and in the remaining one, children from three patterns did so. Intra-school-grade heterogeneity increases markedly if we look at students’ unconventional responses as genuine cognitive-communicative productions. This situation places cognitive-communicative heterogeneity as a condition to be considered at the beginning of primary mathematical schooling in the region. In order to deepen into the study of the dynamism of children’s cognitive-communicative resources we performed several lines of analysis. One was the study of their progress in the course of a same task or along related tasks. The finding that 78% of children showed some form of progress highlights the importance of having an open and unhurried space for communication and knowledge assessment. Progress according to indicators of conventional production was evidenced in children belonging to all conventional production patterns. The latter shows that children’s established cultural knowledge is not a stable ready-made possession, soon to be demonstrated at request. At the same time, tensions between the realms of the established and the possible, or between conventions and inventions, turned out to be sources of conflict and cognitive transformation for some of the children. In this process, students showed how they gradually appropriated established cultural knowledge, explored relationships, reviewed and generated innovations in their ideas and procedures. Most of the interviewed children showed that such answers arose from nonlinear constructive and exploratory processes, which introduced adjustments and encouraged new perceptions of numerical regularities, and even new nuances of meaning. In our quest to understand the variety and dynamism of children's resources, we also chose to include a multiple case study. We selected two boys and a girl who belonged in different patterns of conventional production, as a way to reconstruct their meaning-making processes throughout the progression of numerical tasks in the interview. This was one more way to measure the degree to which the knowledge of the interviewed children about the numerical forms and functions addressed is markedly heterogeneous across learners, and also to understand connections of meaning at the single learner, inter-task level. We are aware of the scope and restrictions of a limited research work as ours. Limitations are related to the number of participants as well as to the temporal-spatial frame of interaction in which we collected the information (a single dyadic interview outside the classroom). However, we consider that the fine-grained and multimodal analyses of the variety of numerical resources at this stage, together with the attention to the dynamism of their putting into play in situation, can contribute to articulate a panorama of children as apprentices who agentively seek to appropriate numerical forms and functions as an instrument for their cultural participation. In that sense, we expect that the contributions collected in the final comments of each chapter, together with the final conclusions chapter can offer valuable first-hand information for the design and implementation of teaching practices capable of promoting children’s agency in basic numerical learning, in diverse socio-educational environments. We propose a way to overcome standardized approaches that conceive learning preferably as a decontextualized, reproductive, monomodal and universal process. To that end, of course, the agentive, creative, collaborative, multimodal and scaffolded work of the teaching teams in their communities of practice is also a key factor. Dans cette thèse, on approfondit l'étude de la cognition et de la communication numérique des enfants des premières années d'école primaire dans la région des Andes, province de Rio Negro. À partir d’un optique socioconstructiviste des ressources, on a voulu visualiser, documenter et comprendre la variété, l'articulation et le dynamisme des connaissances numériques à des degrés divers d'appropriation que ces jeunes étudiants mettent en jeu pour produire et réfléchir sur des signes numériques lors d'un entretien, dans différents modes sémiotiques. On s'intéresse également à leurs processus de réflexionet de régulation de la propre cognition numérique. Les participants sont quarante-cinq enfants de la première année d'école primaire de quatre écoles publiques de demi-journée d'activité à Bariloche et El Bolsón. Deux des écoles sont dans la ville et deux sont situées en périphérie. La sélection des écoles est motivée par l'idée d'obtenir un éventail socioculturel et socio-éducatif relativement large dans le cadre de la scolarisation en milieu urbain régional.Du point de vue méthodologique, des entretiens individuels avec les enfants se sont déroulés sur la base d'un protocole semi-structuré avec des tâches ouvertes, créatives, attirantes, défiantes et didactiques. Dispositifs multimodaux on été employés pour saisir les processus cognitifs-communicatifs impliqués pendant les périodes de production orale, graphique et avec des objets. Les analyses mixtes ont cherché à combiner profondeur et systématisation dans l'attentionà la singularité et à la régularité, en utilisant des techniques qui permettent une telle diversité d'approches aux textes graphiques créés par les enfants, ainsi qu'à leurs réponses verbales et gestuelleset à leurs actions avec des objets. Principalement, on a travaillé avec: systèmes de catégories pour la construction de répertoires avec application ultérieure de techniques d'analyse statistique non paramétrique et multi-variée, analyse de trajectoires d'apprentissage et étude de cas multiples. L'approche socioconstructiviste des ressources a imprégnée les décisions tant lors de la conduite de l'entretien comme pendant l'analyse de la production numérique de chaque enfant. Nous avons remarqué la variété de manières de comprendre et communiquer numériquement des enfants à travers quatre répertoires: le premier met en évidence l'arc de production numérique conventionnel correspondant à la population étudiée; le second distingue les approches partielles à la convention numérique; le troisième articule trajectoires de conservation et d'innovation cognitive en pensant à et avec des quantités "grandes", et en fin, le quatrième identifie les manières de réflexionet de régulation de la propre cognition numérique. On illustre toutes les catégories comprises dans ces quatre répertoires avec des productions orales, graphiques et parfois gestuelles des enfants. En plus, on s'est engagé à capter d'un point de vue multimodal le dynamisme de la pensée et de la communication numériques des enfants en situation, soit intra-tâche que inter-tâche. Ainsi, on a identifié quatre modèles de production conventionnels, allant d'une production conventionnelle limitée (modèle 1, 9 enfants) à une production avancée (modèle 4, 8 enfants), en passant par des configurations de production conventionnelle "naissante" (modèle 2, 13 enfants) et "intermédiaire" (modèle 3, 15 enfants). On a trouvé une association entre les modèles de production conventionnelle et le secteur socio-éducatif et socioculturel lié à l'école. Dans les écoles du centreville, on a trouvé la plus forte proportion d'enfants dont la production conventionnelle est la plus répandue, tandis que l'inverse caractérise les écoles périphériques. Toutefois, dans trois des premiers niveaux participants coexistaient des enfants des quatre modèles de production conventionnelle, et dans un, des trois modèles. L’hétérogénéité est fortement augmentée si l'on regarde les enfants en ce qui concerne leurs réponses non conventionnelles comme une véritable production communicative et cognitive. Cette situation place l'hétérogénéité cognitive dans le domaine du nombre comme condition à considérer attendue au début de l'scolarisation mathématique primaire dans la région. Pour plonger dans l'étude de la dynamique des enjeux des ressources cognitives et de communication des enfants on a considéré plusieurs lignes d'analyse. L'un était l'étude de leurs progrès au cours de la même tâche ou tout au long des tâches connexes. Le constat que 78% des enfants ont démontré une certaine forme de progrès souligne l'importance d’avoir un espace ouvert et le temps pour la communication et l'évaluation des connaissances. Selon les indicateurs de production plus vaste et strictement conventionnelle, le progrès s’est fait évident pour les enfants de tous les modèles de production conventionnelle, ce qui démontre que même pas le savoir qui correspond au plan culturel établi constitue un bagage dont les enfants disposent d’une manière stable, ce qui est facilement vérifié à la première question.Aussi, on a pu constater que les tensions entre l'établi et le possible, ou entre conventions et inventions, se sont révélées comme sources de conflit et de transformation cognitive pour certains enfants interrogés. Dans ce processus, les enfants ont mis en évidence comment ils se sont appropriés graduellement des connaissances culturelles établies, ont exploré des relations, examiné et généré des innovations de leurs idées et procédures. La plupart des enfants interrogés ont montré que ces réponses provenaient de processus constructifs et exploratoires non linéaires, qu’ils ont introduit des ajustements et qu’ils ont aperçu des nouvelles régularités numériques, et même de nouvelles nuances de sens. Dans notre quête pour comprendre la diversité et le dynamisme des ressources des enfants, on a choisi également d’inclure une étude de cas multiples. On a sélectionné deux garçons et une fille qui appartiennent à des différents modèles de production conventionnelle pour reconstruire leur construction de sens tout au long de la progression des tâches numériques dans l'entretien. Ce fut une autre façon d'évaluer la mesure dans laquelle les connaissances des enfants interrogés sur les formes et les fonctions numériques abordées ont des disparités considérables entre les individus, et aussi des connexions de sens au niveau individuel et inter-tâche. On comprend l’ampleur et les contraintes d'un travail de recherche limitée non seulement dans le nombre de participants, mais aussi dans le temps/espace d’interaction dans lequel on a recueilli l’information (un seul entretien dyadique en dehors de la salle de classe). Cependant, on considère que les analyses multimodaux et à grains fins sur la variété des ressources numériques à ce stade, avec une attention au dynamisme de la mise en jeu dans des situations, peuvent contribuer à articuler un panorama des enfants en tant qu’apprentis qui cherchent à s’approprier des formes et fonctions numériques comme instrument de participation culturelle. En ce sens, les contributions recueillies dans les observations finales des chapitres des résultats et dans les conclusions peuvent fournir de précieuses informations de première main pour la conception et la mise en œuvre des pratiques d'enseignement capables de promouvoir l'apprentissage numérique de base en milieux socioéducatifs divers. On propose un moyen de surmonter les approches standardisés qui perçoivent de préférence l’apprentissage comme un processus sans contexte, reproductif, monomodal et universel. Pour ce faire, bien sûr, le travail créatif, collaboratif, multimodal et didactique des équipes d’enseignement est clé dans leurs communautés de référence.

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