Добірка наукової літератури з теми "Découpage en tranches"

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Статті в журналах з теми "Découpage en tranches":

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Thomas, Lionel. "Les marchés à tranches." Recherches économiques de Louvain 67, no. 4 (2001): 437–51. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800083962.

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Анотація:
RésuméCet article étudie les marchés publics à tranches. Ces procédures sont caractérisées par la présence d’une incertitude sur la réalisation complète d’une opération. Celle-ci est alors découpée en plusieurs travaux (tranches) qui doivent être réalisés successivement. La première tranche est effectuée juste après l’attribution du marché, tandis que l’affermissement des suivantes est soumis à la réalisation de certaines conditions prévues par le contrat. Les règles optimales d’approvisionnement sont déterminées pour deux tranches. On montre que la firme la plus efficace ex-ante gagne le marché. Mais l’incertitude fait qu’elle ne l’est plus nécessairement ex-post. Nous évaluons par la suite le coût de l’incertitude lié au risque d’une allocation inefficace ex-post.
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Charest, Paul. "Le peuplement permanent de la Basse-Côte-Nord du Saint-Laurent : 1820-1900." Articles 11, no. 1-2 (April 12, 2005): 59–89. http://dx.doi.org/10.7202/055480ar.

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Анотація:
Ce travail retrace l'histoire de la sédentarisation des communautés de la Basse-Côte-Nord du Saint-Laurent (ou Labrador québécois) qui s'échelonnent de Kégashka à Blanc-Sablon. Quelques auteurs (Huard, Rochette, Rouillard, Blanchard, Bussière) ont abordé cette question dans leurs écrits mais de façon incomplète et sans cette perspective globale qui est la nôtre. II convient d'abord de justifier la période retenue, soit 1820-1900. L'année 1820 marque la dissolution de la Labrador Company qui détenait le monopole des droits de pêche sur la majorité des postes de l'actuelle Basse-Côte-Nord, à l'exception de ceux de Saint-Paul - Bonne-Espérance et de Bradore (2: pp. 8, 52, 58).3 Avant cette date, du temps des Anglais comme du temps des Français, les postes de pêche de cette partie de la Côte furent exploités par une population plus ou moins nomade, même si certains d'entre eux, comme celui de Bradore (Fort Ponchartrain), furent exploités de façon continue par les mêmes concessionnaires pendant une cinquantaine d'années (entre 1706 et 1760). Il ne reste aujourd'hui aucun descendant de ces pionniers français. A partir de 1820 la Basse-Côte-Nord fut ouverte au peuplement. Par ailleurs, on peut considérer que le tournant du siècle représente la fin de la période de l'immigration, l'ensemble des familles colonisatrices étant déjà sur place dans les différentes communautés de la Côte. Ce sont ces éléments souches qui ont permis l'accroissement naturel de la région. Les données utilisées pour cette reconstruction historique sont relativement abondantes et se répartissent en trois types : des documents publiés, des données provenant du dépouillement des registres paroissiaux, et des données provenant d'entrevues dirigées. La plupart des sources écrites sont des récits de voyages effectués sur la Côte pour des motifs variés et qui représentent des documents de première main sur l'histoire et le peuplement de cette région à différentes périodes. Les rapports du capitaine Fortin sont tout à fait remarquables à ce sujet et ils constituent la documentation de base de l'exposé. Le dépouillement des registres paroissiaux fut effectué dans les plus anciennes missions de la Basse-Côte-Nord, soit Blanc-Sablon (registres depuis 1849) Natashquan (depuis 1861) et Harrington Harbour (depuis 1873). Les registres de ces trois missions contiennent les données complètes jusqu'en 1900 pour tous les postes du territoire qui nous intéresse. Ces données brutes servirent principalement à l'analyse démographique et à la constitution des généalogies, mais elles fournirent aussi des renseignements sur les lieux d'origine de certaines familles. Les entrevues portent principalement sur l'histoire et les généalogies et ont été conduites par l'auteur à l'occasion de deux séjours sur la Côte en 1965 et en 1967 et par les autres chercheurs qui ont travaillé sur le terrain depuis 1965. À partir de ces documents, on a pu découvrir les dates exactes ou approximatives de l'établissement des postes de pêche, les noms des pionniers qui les ont fondés ainsi que leurs lieux d'origine. Il a été possible aussi de reconstituer dans une certaine mesure l'évolution de ces premières populations, leurs migrations internes et externes, ainsi que leurs types d'activités économiques et leurs conditions de vie. Par ailleurs, il est tenu compte du contexte économique et social des sociétés québécoise et terre-neuvienne du temps de ces pionniers, de façon à déceler les circonstances qui ont amené ces populations à venir s'installer sur des côtes « inhospitalières». Lors de son premier voyage, Cartier n'a-t-il pas baptisé le littoral du Labrador du nom de « Terre de Caïn ». La période étudiée se découpe en trois tranches de temps qui semblent particulièrement significatives : A. 1820-1840: période des pionniers; B. 1840-1860: période de peuplement canadien-français; C. 1860-1900: période de peuplement terre-neuvien et de consolidation. Pour éviter les découpages arbitraires, les limites retenues sont des décennies et non des années précises. De cette façon la réalité historique est mieux respectée: les périodes A et B, B et C se chevauchent mutuellement, s'engendrent et se continuent.
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Vibert, Stephane. "Tradition et modernité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.081.

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Анотація:
« Tradition » et « modernité » sont longtemps apparues, pour les sciences sociales et le sens commun, non seulement comme des notions relatives, initialement définies l’une par rapport à l’autre dans un rapport d’exclusivité mutuelle, mais plus encore, comme des qualificatifs désignant de véritables régimes d’humanité – sociétés traditionnelles et modernes. Pourtant, de l’intérieur même du champ anthropologique, de nombreuses critiques se sont régulièrement élevées à l’encontre de ce découpage trop schématique, appelant à davantage de réflexivité quant à l’usage de ces catégories englobantes. En effet, durant une majeure partie de son existence, l’anthropologie a été associée à l’étude des sociétés « primitives », ou « traditionnelles », alors que la description des sociétés « civilisées », ou « modernes », était dévolue à la sociologie. Cette distinction épousait de fait l’auto-compréhension des sociétés occidentales, dont la reconstruction évolutionniste de l’histoire de l’humanité présentait celle-ci selon une succession linéaire et nécessaire de stades indiquant les progrès de l’esprit humain, manifestes tant au niveau de l’organisation sociale, de la connaissance des phénomènes, de la morale personnelle que des réalisations matérielles et techniques. Aussi, dès la rencontre effective avec des sociétés aux langues, mœurs, croyances ou activités dissemblables, l’intérêt pour l’altérité comme différence s’est trouvé en tension avec une volonté de classification abstraite, selon une philosophie de l’histoire élaborée à partir des catégories intellectuelles propres à la trajectoire occidentale. Cela passe notamment, à partir des 18éme-19èmes siècles, par une auto-identification à la Raison universelle, seule apte à circonscrire le savoir « vrai » sur la réalité physique ou sociale, à distance de tous les préjugés enfermant l’humain dans la coutume, l’ignorance et la superstition. De cette configuration culturelle particulière (dite « post-traditionnelle »), nouveau mode de représentation du monde et de l’Homme apparu à la Renaissance et aboutissant aux Lumières, découleront tant un ensemble de processus socio-politiques définissant la « modernité » (développement scientifique et technique, révolution industrielle, État de droit, capitalisme marchand, individualisation des comportements et des valeurs, etc.) qu’une opposition globale à la « tradition » (les « survivances », en termes évolutionnistes). Ce « désenchantement du monde » – pour reprendre l’expression célèbre de Max Weber –, sera perçu à travers une dichotomie généralisée et normativement orientée, déclinée sous de multiples aspects : religion / science, immobilisme / changement, hiérarchie / égalité, conformisme / liberté, archaïsme / progrès, communauté / société, etc. Si le « grand partage » entre Nous et les Autres, entre modernité et tradition, a pu constituer un soubassement fondamental à la prime ambition empirique et positiviste du savoir anthropologique, il n’en a pas moins dès l’origine de la discipline été contesté sur bien des points. En anthropologie, l’idée d’une tradition fixe et rigide s’avère critiquée dès Malinowski, l’un des premiers à souligner la rationalité contextuelle des « primitifs » en référence à leurs règles communes de coexistence, et à récuser l’assimilation indue de la tradition à une obéissance servile et spontanée, sorte d’inertie mentale ou d’instinct groupal. Chez les Trobriandais ou ailleurs, soulignait-il, « dans des conditions normales, l’obéissance aux lois est tout au plus partielle, conditionnelle et sujette à des défaillances et (…) ce qui impose cette obéissance, ce ne sont pas des motifs aussi grossiers que la perspective du châtiment ou le respect de la tradition en général, mais un ensemble fort complexe de facteurs psychologiques et sociaux » (Malinowski, 2001 : 20). L’anthropologie, par sa mise en valeur relativiste des multiples cultures du monde, insistera alors davantage sur l’importance de la tradition dans la constitution de toute société, comme ensemble de principes, de valeurs, de pratiques, de rituels transmis de génération en génération afin d’assurer la permanence d’un monde commun, fût-ce à travers d’essentielles dynamiques de réappropriation, d’altération et de transformation, trait fondamental de toute continuité historique. Selon Jean Pouillon, « la tradition se définit – traditionnellement – comme ce qui d’un passé persiste dans le présent où elle est transmise et demeure agissante et acceptée par ceux qui la reçoivent et qui, à leur tour, au fil des générations, la transmettent » (Pouillon, 1991 : 710). En ce sens, « toute culture est traditionnelle », même si elle se conçoit comme radicalement nouvelle et en rupture totale avec le passé : son inscription dans la durée vise implicitement un « devenir-tradition ». Dès les années 1950, le courant « dynamique » de l’anthropologie britannique (Gluckman, 1956 ; Leach, 1954 ; Turner, 1957), les analyses de l’acculturation aux États-Unis (Herskovits, 1955) ou les travaux pionniers de Balandier (1955) et Bastide (1960) en France avaient montré combien les « traditions », malgré les efforts conservateurs des pouvoirs religieux et politiques afin de légitimer leur position, recelaient de potentialités discordantes, voire contestataires. A partir des années 1980, certains courants postmodernes, post-coloniaux ou féministes en anthropologie (Clifford et Marcus, 1986 ; Appadurai, 1996 ; Bhabha, 1994 ; Abu-Lughod, 1993), souvent inspirés par la French Theory des Foucault, Deleuze ou Derrida (Cusset, 2003), se sont inscrits dans cette veine afin d’élaborer une critique radicale de la perspective moderne : partant du native point of view des populations subalternes, objectivées, dépréciées et opprimées, il s’agit de dénoncer le regard implicitement colonialiste et essentialiste, qui – au nom de la science objective – avait pu les rejeter unanimement du côté de l’archaïsme et de l’arriération.. Cette reconsidération féconde de la « tradition » rejaillit alors nécessairement sur son envers relatif, la « modernité ». A partir des années 1950, suite au cataclysme totalitaire et aux puissants mouvements de décolonisation, apparaît une critique anthropologique argumentée des principes de développement et de modernisation, encore approfondie dans les années 1990 avec la fin du communisme réel en Europe et l’avènement d’une crise écologique liée à l’hégémonie du capitalisme industriel. Sous l’effet d’une « mondialisation » aux dimensions hétérogènes voire contradictoires, l’Occident semble redécouvrir les vertus des approches dites « traditionnelles » en de nombreux domaines (spiritualité, médecine, artisanat, agriculture, patrimoine, etc.), à la faveur de réseaux d’information et de communication toujours plus denses. Sans trancher sur le fait de savoir si notre époque globalisée relève encore et toujours de la modernité (seconde, avancée ou tardive), ou alors de la postmodernité (Bonny, 2004) du fait des formes hybrides ainsi produites, la remise en cause de la rationalité progressiste entendue comme « métarécit » (Lyotard, 1979) semble favoriser une compréhension plus équilibrée des « traditions vivantes », notamment des mœurs des populations autochtones ou immigrées (pluralisme culturel, tolérance religieuse, éloge de la diversité et du cosmopolitisme), même si certaines contradictions n’en apparaissent pas moins toujours prégnantes entre les divers répertoires de sens disponibles. Dès lors, les deux termes du contraste classique tradition / modernité en ressortent désormais foncièrement relativisés, et surtout complexifiés. Les études historiques ont montré combien les sociétés apparemment les plus modernes contribuaient plus ou moins consciemment à une constante « invention de traditions » (Hobsbawm et Ranger, 1992), évidente dans la manifestation de certains nationalismes ou fondamentalismes religieux cherchant à légitimer leurs revendications politiques et culturelles les plus contemporaines par le recours à un passé idéalisé. D’une certaine manière, loin d’avoir strictement appliqué un programme rationaliste de séparation nature / culture, « nous n’avons jamais été modernes » (Latour, 1991), élaborant plutôt à notre insu un monde composite et hétéroclite, sous la domination d’un imaginaire social qui érige paradoxalement le progrès, la rationalité et la croissance en mythe de la maîtrise rationnelle. Et lorsqu’elle s’exporte, cette « ontologie naturaliste » (Descola, 2005) se voit réinterprétée, transformée, voire inversée, selon une « indigénisation de la modernité » (Sahlins, 2007 : 295) qui bouscule tant les univers locaux de signification que les principes globaux d’arraisonnement du monde. S’avère désormais entérinée l’existence de « modernités multiples », expression synonyme d’une évolution différenciée des trajectoires socio-culturelles à travers des cheminements à la fois interreliés, métissés, contingents et comparables. A l’inverse, nul ne semble pouvoir dorénavant se réclamer ingénument de la tradition sans être confronté à un paradoxe fondamental, déjà repéré par Hocart (1927) : puisqu’elle ne vit généralement qu’ignorée de ceux qui la suivent (selon un agir pratique incorporé dans les us et coutumes du quotidien), on fait appel à la tradition d’abord pour justifier ce qui justement ne va plus de soi, et se trouve en danger de disparaître. Ce passage de la tradition au « traditionalisme » peut prendre à la fois la forme légitime d’une sauvegarde de valeurs et coutumes ou de la résistance à la marchandisation globale, mais aussi le visage grimaçant d’une instrumentalisation idéologique, au service d’un ordre social chimérique, soi-disant pur et authentique, fût-il répandu par les moyens technologiques les plus modernes.

Дисертації з теми "Découpage en tranches":

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Liao, Chao-Yaug. "Création et Simulation de Modèles de Produits pour leur Micro-fabrication par Polymérisation à Deux-photons." Phd thesis, Grenoble 1, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00417799.

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Анотація:
Récemment, la technologie de micro-fabrication par polymérisation à Deux-Photons (TPP), dérivée de l'absorption à deux-photons, a attiré l'attention de chacun en raison de ses possibilités de fabrication de microstructures tridimensionnelles (3D) de formes très diverses et complexes. Selon mon analyse des recherches actuelles, les thématiques ont graduellement évoluées depuis la fabrication de dispositifs aussi petits que possible vers des thèmes relatifs à son opérationnalité tels que la qualité et/ou l'efficacité du procédé de fabrication. Cette thèse propose une démarche d'intégration pour la création et la simulation de fabrication de modèles de micro-produits pour leur micro-fabrication TPP, tant du point de vue de la Conception Assistée par Ordinateur que de la Fabrication Assistée par Ordinateur (CAO/FAO).
Une analyse des caractéristiques principales de la TPP est proposée pour mettre en évidence ses capacités de fabrication. Selon les résultats de cette analyse et l'incorporation des contraintes de forme des microstructures et de leurs contraintes fonctionnelles, on montre que le modèle numérique de tels objets doit pouvoir décrire des objets de type « non-variété ». Par la prise en considération de cette contrainte et en comblant les manques des approches en vigueur, on propose une démarche intégrée de préparation de modèles « non-variétés » pour un produit créé par un bureau d'études. Le modèle CAO importé à partir d'un fichier STEP est facettisé selon les variétés des sous-domaines polyédriques formant le polyèdre de type « non-variété ». De manière similaire, pour un produit existant, son modèle numérique peut être obtenu par une approche de type ingénierie inverse. Cependant, la plupart des approches existantes reconstruisent seulement les formes des objets sans tenir compte de leurs couleurs intrinsèques. Pour cette raison, un processus intégré de numérisation est développé dans cette thèse afin de produire des modèles 3D colorés.
Afin d'éviter la destruction de la microstructure causée par une « sur-polymérisation » et des tailles de voxels incohérentes provoqués par des différences de réflexion de la lumière, un processus de découpage en tranches bidimensionnelles et une planification adaptée des trajectoires sont développés en utilisant les possibilités 3D de l'équipement de fabrication. Ainsi, l'efficacité du procédé de fabrication peut être augmentée par la mise en œuvre des deux processus ci-dessus. De plus, pour améliorer la rigidité de la microstructure, deux méthodes ont été développées à partir des concepts de soudure et de double épaisseur pour renforcer les raccordements entre les domaines élémentaires de la microstructure et augmenter son épaisseur de paroi, respectivement.
En conclusion, pour démontrer l'efficacité de l'approche proposée, plusieurs modèles numériques de microstructures incluant des modèles « non-variétés » ont été fabriqués selon la démarche de préparation de modèles et le schéma d'intégration proposés.
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Schmidt, Robert. "Slicing in heterogeneous software-defined radio access networks." Thesis, Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUS525.

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Les réseaux 5G sont envisagés comme un changement de paradigme vers des réseaux orientés services. Dans cette thèse, nous étudions comment combiner efficacement le découpage en tranches et le SD-RAN afin de fournir le niveau requis de flexibilité et de programmabilité dans l'infrastructure RAN pour réaliser des réseaux multi-locataires orientés services. Premièrement, nous concevons une abstraction d'une station de base pour représenter les stations de base logiques et décrire un service de réseau virtualisé. Deuxièmement, nous proposons une nouvelle plateforme SD-RAN conforme aux normes, appelée FlexRIC, sous la forme d'un kit de développement logiciel (SDK). Troisièmement, nous fournissons une conception modulaire pour un cadre d'ordonnancement MAC tenant compte des tranches afin de gérer et de contrôler efficacement les ressources radio dans un environnement multiservice avec un support de qualité de service (QoS). Enfin, nous présentons une couche de virtualisation SD-RAN dynamique basée sur le SDK FlexRIC et le cadre d'ordonnancement MAC pour composer de manière flexible une infrastructure SD-RAN multiservice et fournir une programmabilité pour de multiples contrôleurs SD-RAN
5G networks are envisioned to be a paradigm shift towards service-oriented networks. In this thesis, we investigate how to efficiently combine slicing and SD-RAN to provide the required level of flexibility and programmability in the RAN infrastructure to realize service-oriented multi-tenant networks. First, we devise an abstraction of a base station to represent logical base stations and describe a virtualized network service. Second, we propose a novel standard-compliant SD-RAN platform, named FlexRIC, in the form of a software development kit (SDK). Third, we provide a modular design for a slice-aware MAC scheduling framework to efficiently manage and control the radio resources in a multi-service environment with quality-of-service (QoS) support. Finally, we present a dynamic SD-RAN virtualization layer based on the FlexRIC SDK and MAC scheduling framework to flexibly compose a multi-service SD-RAN infrastructure and provide programmability for multiple SD-RAN controllers
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Guénez-Vénérin, Christine. "Morceau, bout, fragment, tranche, etc : les noms de parties atypiques issues d'un processus de bris ou de découpe." Lille 3, 2006. http://www.theses.fr/2006LIL30008.

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Notre étude porte sur les noms généraux de parties issues d'un processus de bris ou de découpe d'un tout concret solide tels morceau, bout, fragment, tranche, etc. Ces noms possèdent un signifié originel commun constitué de quatre traits sémantiques : concrétude, tridimensionnalité, séparation réelle, limites aléatoires ou limites programmées. Cette conjonction de traits, plus ou moins saillants, les prédispose à la polyréférence à travers certaines structures sémantico-syntaxiques. Ces noms sont atypiques au regard de la méronymie car leurs référents originels impliquent une relation lexicale "fragment"/tout non définitionnelle. Les parties séparées peuvent être décrites par rapport au tout, et non l'inverse. Elles n'existent pas en effet avant le processus de séparation. Les traits sémantiques des noms généraux de parties les spécialisent toutefois particulièrement pour la quantification approximative sous la forme dét N1de N2. Ces noms peuvent répondre à la dénomination de borneurs tri (ou bi) dimensionnels polyréférentiels. Les noms généraux de parties entrent également comme argument verbal dans une construction du type transformer X en Y pour exprimer une reconfiguration dispersante, souvent radicale. Ils sont donc au cœur du phénomène discursif des référents évolutifs dans un prédicat verbal. Par exemple, la présence du syntagme en Nparties brisées est l'un des trois paramètres qui jouent, dans les prédicats succesifs, sur la possibilité de reprise pronominale du référent du tout initial. D'une manière générale, le syntagme en Nparties séparées traduit le point de vue du locuteur qui focalise ainsi la reconfiguration dispersante du tout initial
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Weber, Xavier. "Elaboration par dépôt électrolytique de revêtements composites métal/particules pour la réalisation de fils abrasifs." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017GREAI059.

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Le passage de la technologie au slurry à celle au fil diamanté sur les machines à fils de découpe des blocs de silicium en wafers est motivé par des enjeux économiques et environnementaux. Depuis peu, cette transition de technologie dans l’industrie photovoltaïque s’est accélérée avec la commercialisation d’une nouvelle génération de machines. Afin de profiter de cette transition et de son avenir prometteur, Thermocompact s’est engagé dans le développement de fils diamantés. Le procédé choisi pour le dépôt des particules et du liant métallique enchâssant les particules à la surface du fil est la voie électrochimique. Les premiers essais de fabrication de fils diamantés ont révélé un manque de maîtrise du procédé d’élaboration et un échec pour atteindre les caractéristiques techniques demandées pour la découpe du silicium. Les travaux de cette thèse se sont donc axés dans un premier temps sur la relation entre le bain électrolytique, les conditions de dépôt et ses propriétés, puis sur le comportement des particules à la fois dans le bain jusqu’à leur incorporation à la surface du fil. L’étude s’est poursuivie sur la relation complexe entre les caractéristiques du fil produit, la matière à découper et la machine de découpe utilisée (design, paramètres utilisés). Ce travail a abouti à produire un fil diamanté de diamètre 70µm conforme aux exigences des usineurs pour la découpe à l’échelle industrielle du silicium monocristallin sur des machines de nouvelle génération. Les résultats de découpe vont permettre désormais de démarcher des clients potentiels dans l’industrie photovoltaïque
The change of technology from slurry to diamond wires in the wafer slicing machines is motivated by economic and environmental issues. Only recently, this transition of technology in the photovoltaic industry has ramped up with the commercialization of a new generation of wafering machines. So as to take advantage of this situation, Thermocompact has launched the development of diamond wires. The selected process is an electrochemical codeposition of metal and diamond particles embedded on the wire surface.The first tests of diamond wire production have shown a lack of process control and a failure to reach the technical characteristics requested by its use. The studies in this thesis are based on the relationship between the electrolytic bath, the coating conditions and the coating properties, then on the behavior of particles both in the bath and up to their incorporation on the wire surface. The researches continued afterwards on the complex link between the characteristics of diamond wire, the material to slice and the machine used for slicing (design, recipe). This work has succeeded in defining a diamond wire with a diameter of 70µm in compliance with customer requirement for the industrial slicing of single crystalline silicon with the new generation of machines. These results will be now used for prospecting new customers in the photovoltaic industry

Частини книг з теми "Découpage en tranches":

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"Le découpage en tranches de l’énergie." In La théorie quantique en images, 39. EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/978-2-7598-1697-2-022.

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"Le découpage en tranches de l’énergie." In La théorie quantique en images, 39. EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/978-2-7598-1697-2.c022.

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