Добірка наукової літератури з теми "Données pluriannuelles"

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Статті в журналах з теми "Données pluriannuelles":

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Mosio, D., C. Betrancourt, F. Lefebvre, D. Boquet, P. Pronier, and H. Verhaeghe. "Le traitement automatisé des données d’autosurveillance des systèmes d’assainissement." Techniques Sciences Méthodes, no. 5 (May 2019): 101–10. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201905101.

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Анотація:
L’autosurveillance des systèmes d’assainissement est déployée sur le bassin Artois-Picardie, pour les stations de traitement des eaux usées et pour les réseaux d’assainissement. Les maîtres d’ouvrage et/ou leurs exploitants produisent des données de surveillance et les transmettent à l’agence via un site FTP. Des tests d’intégration des données ont été développés pour interdire l’intégration des fichiers de données incorrects ou incomplets et en informent le maître d’ouvrage par un message électronique. L’arrêté du 21 juillet 2015 précise le rôle exact des agences de l’eau dans les deux domaines de la qualification et de l’expertise de ces données. Pour faire face à ses obligations, l’agence de l’eau a développé une gamme d’applications informatiques qui automatisent en grande partie le traitement des données. L’analyse et l’expertise des données permettent de mettre rapidement en évidence les points forts et les points faibles du système global d’assainissement. Fiables, reproductibles, annuelles ou pluriannuelles et évolutives, les expertises produites permettent à l’agence d’orienter la discussion avec les maîtres d’ouvrage, et de planifier ses interventions en les priorisant dans son 11e programme. En présentant les résultats de ses expertises aux maîtres d’ouvrage, l’agence contribue à leur faire s’approprier les méthodes et pratiques qui concourent au traitement de leurs données.
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Hugonnet, Romain, Romain Millan, Jérémie Mouginot, Antoine Rabatel, and Étienne Berthier. "Un atlas mondial pour caractériser la réponse des glaciers au changement climatique." La Météorologie, no. 120 (2023): 037. http://dx.doi.org/10.37053/lameteorologie-2023-0015.

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Cet article présente notre capacité actuelle à élaborer, à partir de données satellitaires, des produits relatifs aux glaciers à l'échelle globale afin de documenter leur réponse au changement climatique. Notre atlas cartographie, d'une part, les vitesses d'écoulement en surface pour caractériser la dynamique glaciaire et quantifier la répartition des épaisseurs de glace et, d'autre part, les changements d'altitude de la surface à l'échelle pluriannuelle pour quantifier les variations de volume des glaciers des 20 dernières années. Ces produits, issus de chaînes de traitement en grande partie automatisées, sont mis à disposition de la communauté par le biais du pôle national de données Theia. This article presents our current ability to derive global-scale glacier products from satellite data to document their response to climate change. We map, on the one hand, surface flow velocities to characterize glacier dynamics and quantify ice thickness distribution and, on the other hand, surface elevation changes to quantify glacier volume variations over the last 20 years. These products, derived from largely automated processing chains, are made available to the community through the Theia national data center.
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Mouelhi, Safouane. "Existe-t-il une relation entre les modèles pluie-débit au pas de temps pluriannuel ?" Revue des sciences de l’eau 24, no. 3 (November 28, 2011): 193–206. http://dx.doi.org/10.7202/1006455ar.

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Au pas de temps pluriannuel, l’approche par bilan fournit des modèles pluie-débit sous forme de simples formulations mathématiques reliant le débit (Q) à la pluie (P) et l’évapotranspiration potentielle (E), le tout en millimètres par an (mm•an-1). Souvent, il s’agit de la différence entre la quantité de la pluie pluriannuelle et la quantité d’évapotranspiration réelle. Les autres termes du bilan sont supposés négligeables. Pour une meilleure utilisation et compréhension de ce type de modèles, cet article tente de répondre aux questions suivantes : quelles sont les relations entre ces modèles? Quelles sont leurs performances et leurs limites? Comment peut-on améliorer leurs performances? La réponse à ces interrogations a nécessité tout d’abord le choix des modèles les plus répandus à partir de la littérature portant sur l’hydrologie : il s’agit d’expressions employant des formes mathématiques usuelles comme la tangente hyperbolique ou exponentielle. Ensuite, grâce à une analyse adimensionnelle, une forme générale de ces modèles ainsi que leur domaine de définition ont été détectés. En adaptant une méthode de modélisation aux spécificités du pas du temps pluriannuel, et en utilisant un échantillon de données de 407 bassins versants de caractéristiques hydro-climatiques très variées, la performance de ces modèles a été améliorée : soit par affectation d’un paramètre lié à l’évapotranspiration, soit par l’introduction d’une nouvelle variable appelée Indice de Répartition de Pluie (IRP), selon la disponibilité des données.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Анотація:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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VERSANNE-JANODET, Sébastien, Esteban REMON, and Laure MOALLIC. "Suivi à moyen terme du peuplement piscicole sur le réseau hydrographique du Vianon (19) en conditions naturelles." Tome 29 | 2020, no. 29 (December 11, 2020). http://dx.doi.org/10.25965/asl.1084.

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Une étude pluriannuelle menée sur un cours d’eau corrézien avait pour objectif de suivre le peuplement piscicole par pêche électrique d’inventaire ‘De Lury’ à la suite de l’arrêt des repeuplements en 1997. Les données acquises mettent en exergue le rôle de l’hydrologie printanière (crues) sur la reproduction de la truite commune, et l’effet structurant du recrutement en juvéniles sur le peuplement en place. Les données acquises suggèrent que la dynamique des populations qui composent le peuplement s’exprime par les phénomènes de prédation et/ou de compétition entre la truite commune et les autres espèces. Les résultats obtenus permettent ainsi de souligner l’intérêt d’une démarche écosystémique dans la mise en œuvre d’études sur les milieux aquatiques. Ce suivi à long terme met en évidence une importante variabilité naturelle dans la composition quantitative du peuplement en place, et ce faisant, confirme la nécessité d’études pluriannuelles pour disposer d’une vision pertinente de l’état du milieu, s’affranchissant des particularités annuelles.
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Baltar, Ronaldo. "Desenvolvimento, globalização e Trabalho Decente nos setores público e privado." Caderno CRH 26, no. 67 (October 18, 2013). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v26i67.19205.

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O objetivo do artigo é discutir alguns desafios para o projeto brasileiro de desenvolvimento, baseado no consumo de massas dos três últimos Planos Plurianuais, que consiste na busca de equacionamento entre a ampliação da renda nacional através do trabalho, com aumento da empregabilidade e eliminação da precarização do trabalho. A pesquisa procura avaliar e comparar alguns indicadores sobre qualidade no emprego formal, tal como definido pela proposta da Organização Internacional do Trabalho (OIT) para a Agenda do Trabalho Decente, em conjunto com dados que mostram a trajetória de inserção do Brasil no comércio internacional. O estudo levanta questões sobre as possibilidades de se garantir uma política de maior inserção no processo de globalização e, ao mesmo tempo, rever as consequências diretas da internacionalização da produção e do comércio sobre a qualidade do trabalho e a geração de renda. O texto conclui apontando que a formação de uma política de desenvolvimento centrada na ampliação do mercado interno, com propostas de expansão do consumo de massas, requer a definição de metas, não apenas de empregabilidade, mas voltadas à formação de empregos que atendam aos direitos fundamentais dos trabalhadores, seguindo os parâmetros da Agenda do Trabalho Decente. PALAVRAS-CHAVES: Desenvolvimento. Trabalho Decente. Indicadores de Monitoramento.DEVELOPMENT, GLOBALIZATION AND DECENT WORK Ronaldo Baltar The aim of this article is to discuss challenges being faced by the Brazilian development project, which has been based on the mass consumption of the last three Multiyear Plans, which have sought to strike a balance between the increased income of Brazilian workers, greater employability, and the elimination of job instability. This study attempts to assess and compare indicators of formal job quality as defined by the proposal by the International Labour Organization (ILO) of a Decent Work Agenda, together with data which show the trajectory of Brazil’s entry into the foreign trade arena. The paper raises issues about the possibilities of guaranteeing a policy of a greater role in the globalization process while re-evaluating the direct consequences of the internationalization of production and trade on the quality of work and generation of income. The text concludes by pointing out that development policy formation centered on a larger domestic market, with proposals for expanding mass consumption, means the redefinition of goals, not only for employability, but also creating jobs that fulfill workers’ fundamental rights, in accordance with the parameters of the Decent Work Agenda. KEY WORDS: Development. Decent work. Monitoring indicators.DÉVELOPPEMENT, MONDIALISATION ET TRAVAIL DÉCENT Ronaldo Baltar Le but de cet article est de mener une discussion concernant certains défis du projet brésilien de développement, en nous basant sur la consommation de masse des trois derniers Plans Pluriannuels. Ce projet se veut de trouver l’équation entre l’expansion des revenus nationaux par le travail et l’augmentation des offres d’emploi ainsi que l’élimination de la précarisation du travail. La recherche a pour but d’évaluer et de comparer quelques indicateurs concernant la qualité des emplois formels, tels que définis par la proposition de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) pour un Agenda du Travail Décent, en les mettant en rapport avec les données qui indiquent la trajectoire d’insertion du Brésil au sein du commerce international. L’étude soulève des questions sur les possibilités de garantir une politique de meilleure insertion dans le processus de mondialisation et, en même temps, de revoir les conséquences directes de l’internationalisation de la production et du commerce sur la qualité du travail et la génération de revenus. En conclusion le texte fait remarquer que la formation d’une politique de développement centrée sur l’expansion du marché interne, avec des propositions d’augmentation de la consommation de masse, suppose la définition d’objectifs, non seulement pour l’emploi, mais axés sur la création d’emplois qui répondent aux droits fondamentaux des travailleurs, respectant les paramètres de l’Agenda pour le Travail Décent. MOTS-CLÉS: Développement. Travail décent. Indicateurs de surveillance. Publicação Online do Caderno CRH no Scielo: http://www.scielo.br/ccrh Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br

Дисертації з теми "Données pluriannuelles":

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Audoux, Thomas. "Approches expérimentales pour l’étude et la caractérisation des dépôts humides d’aérosols atmosphériques par les précipitations." Electronic Thesis or Diss., Université Paris Cité, 2022. http://www.theses.fr/2022UNIP7332.

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Анотація:
Dans le cadre de mon travail de thèse, je me suis intéressé aux aérosols atmosphériques et à leur transfert de l’atmosphère vers les surfaces terrestres par les précipitations. La stratégie générale que j’ai suivie repose sur l’observation des dépôts humides sur différentes échelles de temps, interannuelle d’une part et intraévènementielle de l’autre. Elle repose aussi sur leur observation dans des environnements marqués en termes de charge et de composition en aérosols, mais aussi de dynamiques atmosphériques et de précipitations. Le fait de combiner des mesures à la fois sur la composition de l’atmosphère et sur la composition des dépôts humides permet d’identifier la nature des dépôts (intensité, composition, source et provenance) et d’expliquer les phénomènes impliqués dans les dépôts. Cela passe par la documentation complète de différents paramètres (aérosols, dynamique, pluie, dépôt) sur les mêmes périodes de temps, ce qui est néanmoins complexe à mettre en oeuvre. Les deux axes de mon travail portent sur des questions distinctes et complémentaires de l’étude des dépôts humides.Le premier axe s’est porté sur les dépôts humides au Sahel, région semi-aride où le lessivage des poussières minérales de l’atmosphère est un processus clé pour contraindre le bilan atmosphérique en masse de ces composés. Dans cette région marquée par la présence de nombreux systèmes convectifs contrôlant les quantités de précipitations annuelles, la question sur les liens entre dynamiques atmosphériques et dépôts s’est alors posée. La stratégie d’observation long-terme mis en place sur les stations au Sahel dans le cadre du réseau INDAAF, avec une synergie autour de mesures météorologiques, de concentrations et de dépôts d’aérosols, a permis de constituer une base de données très complète. À partir de cette base de données pluriannuelle aux stations de Banizoumbou (Niger) et de Cinzana (Mali) de 2007 et 2015, l’identification de phénomène de cold pools (gouttes froides) à partir de données météorologiques de surface et leur lien avec les retombées de poussières minérales sont discutés. Les ratios de lessivage ont été calculés pour les évènements associés aux cold pools et varient sur plusieurs ordres de grandeur en fonction de l’effet de dilution qui diffère selon les régimes de concentrations atmosphériques en poussière minérale. Les évènements les plus convectifs associés à des concentrations élevées présentent une gamme de valeurs moins dispersée (319 – 766) qui ne dépend pas de la quantité de précipitation.Le second axe s’est focalisé sur l’étude intraévènementielle des dépôts en milieu urbain pour diverses situations de pluie, de concentration et composition en aérosols. Que peut nous apprendre le suivi des dépôts au cours d’un évènement de pluie ? Pour y répondre, j’ai tout d’abord participé au développement d’un collecteur me permettant de collecter les dépôts humides en fractions successives au cours de la pluie. Complétées par un ensemble de mesures colocalisées sur les aérosols et les dynamiques atmosphériques acquises sur le terrain pour 8 cas d’étude, les analyses chimiques des dépôts dissouts et particulaires m’ont permis de discuter à la fois la provenance des aérosols, mais aussi les processus mis en jeu. J’ai pu quantifier la décroissance des concentrations, même de composés traces, dans les dépôts au cours de la pluie. J’ai également pu documenter l’évolution de la solubilité pour les espèces chimiques des dépôts et discuter des poids relatifs des mécanismes de lessivage dans- (rainout) et sous- (washout) le nuage. La variabilité des dépôts observée au cours d’un évènement est au final aussi importante que celle observée entre évènements de pluie
In the work conducted for my thesis, I studied atmospheric aerosols and their transfer from the atmosphere to the surface by precipitation. The main strategy I followed is based on the observation of wet deposition on different time scales, interannual on one hand and intra-event on the other. It also relies on their observation in environments marked in terms of aerosol load and composition, but also in terms of atmospheric dynamics and precipitation. Combining measurements on both atmospheric and wet deposition compositions allows to identify the characteristics of the deposition (intensity, composition, source and origin) and to explain the phenomena involved in the deposition. This requires the complete documentation of different parameters (aerosols, dynamics, rainfall, deposition) over the same periods of time, which is nevertheless complex to implement. The two axes of my work deal with distinct and complementary issues in the study of wet deposition.The first focus has been on wet deposition in the Sahel, a semi-arid region where the scavenging of mineral dust from the atmosphere is a key process to constrain the atmospheric mass balance of these compounds. In this region marked by the presence of numerous convective systems controlling annual precipitation amounts, the question of the links between atmospheric dynamics and deposition was addressed. The long-term observation strategy implemented at stations in the Sahel as part of the INDAAF network, with a synergy of meteorological measurements, aerosol concentrations and deposition, has enabled the creation of a very complete database. From this multi-year dataset at Banizoumbou (Niger) and Cinzana (Mali) stations from 2007 and 2015, the identification of cold pools phenomena from surface meteorological data and their link with mineral dust deposition are discussed. Washout ratios have been calculated for cold pool events and vary over several orders of magnitude depending on the dilution effect which differs according to the levels of atmospheric aerosol concentrations. The most convective events associated with high concentrations have a less scattered range of values (319 – 766) that does not depend on the amount of precipitation.The second axis focused on the intra-event study of wet deposition in urban areas for various rainfall situations, aerosol concentration and composition. The question is: what can we learn from the monitoring of deposition during a rain event? To answer this, I first participated in the development of a collector allowing me to collect wet deposition in successive fractions during the rain event. Complemented by a set of co-located measurements on aerosols and atmospheric dynamics acquired in the field for 8 study cases, the chemical analyses of dissolved and particulate deposition allowed me to discuss both the origin of the aerosols and processes involved. I was able to quantify the decay of concentrations, even of trace compounds, in the deposits during rainfall. I was also able to document the evolution of solubility for chemical species in the deposition and discuss the relative contribution of the rainout and washout mechanisms. The variability of deposition observed during an event is actually as significant as that observed between rain events

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