Добірка наукової літератури з теми "Eau – Distribution – Auvergne-Rhône-Alpes (France)"

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Статті в журналах з теми "Eau – Distribution – Auvergne-Rhône-Alpes (France)":

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Jacquemin, Guillaume, and Etienne Iorio. "Une espèce inattendue dans les galeries souterraines de la ville de Lyon : Eupolybothrus imperialis (Meinert, 1872) (Chilopoda, Lithobiomorpha, Lithobiidae)." Bulletin de la Société entomologique de France 127, no. 4 (2022): 319–27. http://dx.doi.org/10.32475/bsef_2256.

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Анотація:
An unexpected species in the underground galleries of the city of Lyon: Eupolybothrus imperialis (Meinert, 1872) (Chilopoda, Lithobiomorpha, Lithobiidae). The troglophilous chilopod Eupolybothrus imperialis (Meinert, 1872), know from Italy and Corsica, is found in the underground networks of the city of Lyon, in two distinct galleries. This is the first observation of this centipede in continental France. The conditions of the discovery and the description of the specimens are provided. The distribution map of the species is updated and the hypothesis on the presence of this unexpected species in the French region Auvergne-Rhône-Alpes is discussed.
2

Lai, Giuseppina G., Luc Ector, Ingrid Jüttner, Bachisio M. Padedda, and Carlos E. Wetzel. "Cocconeis intermedia Peragallo & Héribaud (Bacillariophyta): new information on morphology, distribution and ecology of a poorly known diatom species." Nova Hedwigia 111, no. 3 (November 1, 2020): 245–69. http://dx.doi.org/10.1127/nova_hedwigia/2020/0605.

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Анотація:
Cocconeis intermedia was originally described by Peragallo & Héribaud in Héribaud (1893) as a fossil diatom species from samples collected in the Puy-de-Dôme department, Auvergne-Rhône-Alpes region (France). After the first brief description, the species was mostly mentioned as C. placentula var. intermedia in classic floristic books and, over time, it was reported living in a wide variety of aquatic environments. Despite this, the morphological features of C. intermedia remained poorly known: detailed information and micrographs are not available in the literature and the fine structure was never investigated. A Cocconeis species found in the thermomineral spring San Saturnino in Sardinia (Italy) was identified as Cocconeis intermedia Peragallo & Héribaud after an extensive literature search and a comparison with specimens from slides of Tempère & Peragallo collection housed in the Natural History Museum (London, United Kingdom). In this study we provide an amended description of the species with new morphological details as observed in light and scanning electron microscopy. We also provide additional information on the seasonal distribution and occurrence of the species on a variety of substrata in its habitat in Sardinia.
3

AGABRIEL, J., and R. BAUMONT. "Avant-propos." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 91–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2235.

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Анотація:
Il faut remonter loin dans les archives de l’INRA, et plus précisément au numéro spécial du « Bulletin du CRZV de Theix » datant de l’année 1974 pour trouver un ouvrage entièrement dédié aux « vaches allaitantes »1. Quarante-trois ans plus tard, c’est avec plaisir que nous présentons ce nouveau dossier dans la revue INRA Productions Animales qui leur est entièrement consacré. Un tel regroupement d’articles sur cet animal et ce système d’élevage est donc assez rare et nous remercions chaleureusement les animateurs de la revue de l’avoir initié. Le numéro de 1974 constatait le développement soutenu des troupeaux allaitants en France qui accompagnait la tendance à la spécialisation des systèmes de production tant vers le lait que vers la viande. Les travaux de recherches engagés mettaient en avant les spécificités de ce système peu étudié jusque-là : la productivité de la femelle, biologiquement limitée à un veau par an, impose une stratégie générale de réduction des charges et des coûts de production et par là une maximisation de l’utilisation de l’herbe dans le système fourrager. Ils se démarquaient alors des travaux réalisés sur les vaches laitières. Et pour produire efficacement de la viande, disposer d’animaux tardifs de grands formats est un atout important par la capacité qu’ils ont à déposer efficacement de la masse musculaire. Les objectifs de sélection proposés alors ont ciblé le potentiel de croissance des veaux tout en améliorant les facilités de vêlage des vaches et le format des carcasses des vaches de réforme. Ces connaissances, développées par des chercheurs de renommée2, ont porté leurs fruits et accompagné la transformation constante du cheptel Français : le nombre de vaches allaitantes a presque été multiplié par deux (4,2 millions actuellement en France). Il est supérieur à celui des vaches laitières depuis l’année 2005 et la production de viande qui en est issue avoisine désormais 65% de la production nationale. Les vaches ont grandi et grossi (+ 5kg /an en moyenne), mais les troupeaux également. La productivité par travailleur a plus que doublé (Veysset et al 20153) sans que la productivité numérique des vaches n’en pâtisse trop. Mais cette réussite quantitative flagrante marque le pas, et ne suffit plus pour aborder sereinement l’avenir de la production. Au niveau des exploitations de nombreux signaux défavorables se sont allumés. Les revenus des éleveurs stagnent et restent parmi les plus bas des professions agricoles. L’image de l’élevage se dégrade dans notre société urbanisée. Les bovins en général sont aussi interrogés sur leur bilan environnemental qui est sujet à controverses, et désormais c’est la finalité première de production de viande de ces troupeaux allaitants qui est en débat. Ces constats sont maintenant bien connus, et rappelés brièvement dans les introductions des articles de M. Lherm et al, et d’A. Cerles et al. Ils provoquent des inquiétudes grandissantes à tous les niveaux de la filière. Que peuvent apporter aux débats en cours les recherches récentes ciblées vers les vaches allaitantes ? C’estce qui a motivé la réalisation de ce dossier qui vise à rassembler et synthétiser les connaissances récentes acquises, d’une part, à l’échelle de l’animal, et, d’autre part à celle du système de production.Pour introduire ce dossier, l’article de M. Lherm et al met en perspective les évolutions des « élevages allaitants » dans les quatre principaux pays européens producteurs : France, Royaume-Uni, Irlande et Espagne. L’analyse des trajectoires technico-économiques des élevages allaitants au cours des dernières décennies dans ces quatre pays montre que les choix d’investissements, de mécanisation, et d’agrandissement des structures n’ont pas été partout semblables. Ensuite, ce dossier fait le point des avancées dans les disciplines et dans les onnaissances zootechniques de base pour la conduite des élevages bovins allaitants : l’amélioration génétique, la physiologie de lareproduction, les facteurs de variation de la production de lait des mères, la quantification de leurs besoins nutritionnels et de leur efficience alimentaire. L’article de L. Griffon et al discute de ce que l’on peut attendre des nouveaux outils génétique comme la génomique, et comment ils vont s’intégrer dans les nouveaux schémas d’amélioration. Les nouvelles connaissances physiologiques pour la maîtrise de la reproduction, pour la prévision de la courbe de lactation et pour la maîtrise de l’alimentation des vaches allaitantes sont détaillées successivement dans les articles de B. Grimard et al, de B. Sepchat et al et d’A. De La Torre et J. Agabriel. Ils fournissent de nouveaux indicateurs sur les aptitudes des animaux dont l’élevage du futur a besoin : robustesse, autonomie, efficience. Autant de propositions pour de nouvelles mesures de routine qui participeront à la détermination des nouveaux phénotypes. L’article de M. Doreau et al éclaire le débat sur l’empreinte environnementale de l’élevage allaitant en synthétisant les connaissances actuelles permettant d’établir le bilan de ses impacts positifs et négatifs. Les controverses sur le besoin en eau, les rejets de gaz à effet de serre ou d’azote pour produire un kg de boeuf par exemple, sont encore très fortes et nécessitent des apports scientifiques de fond pour les apaiser. Même s’il est acquis qu’élevage allaitant et prairie sont liés, et que ce lien conforterait une image favorable auprès des citoyens comme auprès des consommateurs, les interrogations sociétales demandent des réponses. Les travaux en cours permettent de les affiner. Enfin, l’article d’A. Cerles et al qui clôt ce dossier pose les fondements des futurs possibles pour l’élevage bovin allaitant à partir d’un travail de prospective pour les filières viandes réalisé sur le territoire du Massif central qui analyse les conséquences de cinq scénarios contrastés prenant en compte de puissants déterminants comme le changement climatique, l’évolution de la consommation de viande, les politiques agricoles et environnementales4. La bonne utilisation des surfaces herbagères, la maîtrise complète de la qualité des viandes sont de points incontournables à travailler dans les années à venir, et les acteurs devront faire émerger ensemble les opportunités de projets qui les aideront à avancer. Nous sommes persuadés que ces divers sujets par la manière exhaustive et synthétique dont ils ont été traités dans ce dossier, aideront les lecteurs dans leurs recherches personnelles et à se forger leur propre expertise. Nous remercions encore tous les auteurs, les relecteurs et le secrétariat de la revue pour leurs investissements qui ont permis de mener ce travail à son terme. J. Agabriel, R. BaumontInra, UMR Herbivores------------1 L’exploitation des troupeaux de vaches allaitantes. 6ème journées du Grenier de Theix. Supplément du Bulletin Technique du CRZV Theix. Numéro spécial 1974 : 398pp.2 On peut ainsi citer Claude Béranger, Michel Petit, Gilbert Liénard, François Ménissier et toutes leurs équipes d’alors.3 Veysset P., Lherm M., Roulenc M., Troquier C., Bebin D., 2015. Productivity and technical efficiency of suckler beef production systems: trends for the period 1990 to 2012. Animal 9, 2050-2059.4 Cerles A., Poux X., Lherm M., Agabriel J., 2016. Étude prospective des filières viandes de ruminants du Massif central, horizon 2050. INRA Centre Auvergne-Rhône-Alpes. http://www.ara.inra.fr/Le-centre-Les-recherches/projets-et-actualites/ProspectiveViande
4

Svanella-Dumas, Laurence, Cindy Vitry, Romain Valade, Nathalie Robin, Jean Baptiste Thibord, Armelle Marais, and Thierry Candresse. "First report of barley virus G infecting winter barley (Hordeum vulgare L.) in France." Plant Disease, June 30, 2022. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-06-22-1294-pdn.

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Анотація:
As part of a cereals virome project high throughput sequencing (HTS)-based viral indexing was performed on plants with symptoms of barley yellow dwarf disease collected in June (2017-2020) in the main French cereals production areas. Total RNAs from 32 individual plants were purified (RNeasy Plant Mini Kit, Qiagen, Courtaboeuf, France) and Illumina sequenced (2x150 nt) following ribodepletion (Genewiz-Azenta, Leipzig, Germany). Following quality trimming, reads for each sample were de novo assembled (CLC Genomics Workbench 21, Qiagen) [1] and contigs annotated by BlastX analysis. In four winter barley samples collected in 2018 (18-58, 18-325 and 18-326) and 2019 (19-30A), besides contigs representing diverse viruses such as barley yellow dwarf viruses-PAV and PAS, Hordeum vulgare endornavirus, cereal yellow dwarf virus-RPV (18-326), wheat dwarf virus (18-325 and 18-326) and a novel Polerovirus (18-58 and 18-326), large contigs with high identity to barley virus G (BVG) were identified. BVG, a tentative Polerovirus, was initially reported in barley in South Korea in 2016 [2] and has so far been identified in a few other hosts including wheat, oat, maize, proso and foxtail millets as well as switchgrass. It has been reported from the USA and Australia [3] and, in Europe, from the Netherlands, Germany, Hungary and Greece [4]. Large BVG scaffolds representing near complete genomes could be reconstructed for each sample, integrating a total of 128.339, 7.188, 8.078 and 20.073 reads, for samples 19-30A, 18-58, 18325 and 18-326 respectively. Given that between 17.2 and 20.5 million reads had been obtained per sample, these values translate into between 0.04% (18-58 and 18-325) and 0.6% (19-30A) of total reads, and to average coverages of between 158x (18-58) and 2866x (19-30A) for the genomic scaffolds. The four assembled sequences (5584-5610 nt) have been deposited in GenBank (ON419453-ON419456). They are nearly identical (98.4 to 99.5% nt identity) and share between 97.7% and 98.5% nt identity with a barley reference isolate from the South Korea (NC_029906). To confirm the presence of BVG, a primer pair was designed based on available BVG sequences. Primers BVG-F(5’-CTAGCCCAACGAGTTGCGGG-3’) and BVG-R(5’-GGTACAGAAGCTCTACGGTTC-3’) amplifying a 394 nt were used in a two-step RT-PCR on new RNA extracts obtained from the 18-325 and 18-326 infected plants. The amplicons were directly sequenced and showed respectively 99.2% (ON419457, 18-325) and 100% (18-326) nt identity with the corresponding de novo scaffolds. The four analyzed samples have been collected respectively in 2018 (18-58, 18-325, 18-326) and 2019 (19-30A) in three different regions of France (Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie and Centre-Val de Loire), indicating a wide distribution and a persistence over time of BVG in France. To our knowledge, this represents the first report of a natural infection of BVG in cultivated winter barley in France. Presence of BVG may have been overlooked in a range of situation, as indicated by its retrospective discovery in a 34 years old Australian sample [3], possibly explaining its broad distribution in France. While the mixed infection status of the analyzed plants precludes any conclusion on its pathogenicity in French cereals, BVG has been reported to be associated with a range of symptoms in various hosts so that further studies to evaluate its prevalence and impact in France and to begin to understand its epidemiology are clearly warranted by the present results.

Дисертації з теми "Eau – Distribution – Auvergne-Rhône-Alpes (France)":

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Collin, Jean-François. "Effets de la qualité bactériologique des eaux potables sur la sante : résultats de trois études épidémiologiques menées dans les départements de la Moselle, de l'Isère, de la Savoie et de la Haute-Savoie." Université de Nancy I. UFR Sciences pharmaceutiques et biologiques, 1986. http://www.theses.fr/1986NAN12003.

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2

Collin, Jean-François. "Effets de la qualité bactériologique des eaux potables sur la sante : résultats de trois études épidémiologiques menées dans les départements de la Moselle, de l'Isère, de la Savoie et de la Haute-Savoie." Nancy 1, 1986. http://www.theses.fr/1986NAN10430.

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