Добірка наукової літератури з теми "Enfants de la rue – Brésil – Bahia (Brésil ; État)"

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся зі списками актуальних статей, книг, дисертацій, тез та інших наукових джерел на тему "Enfants de la rue – Brésil – Bahia (Brésil ; État)".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Статті в журналах з теми "Enfants de la rue – Brésil – Bahia (Brésil ; État)":

1

Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.

Дисертації з теми "Enfants de la rue – Brésil – Bahia (Brésil ; État)":

1

Filho, Antonio Nery Alves. "La vie dans la marginalité ou la mort dans l'institution : étude sur quatre groupes d'enfants et d'adolescents vivant de la rue à Salvador de Bahia (Brésil)." Lyon 2, 1993. http://www.theses.fr/1993LYO2A001.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
2

Santos, Georgina Gonçalves dos. "Récits d'éducateurs : politique et pratique de prise en charge d'enfants des rues à Salvador de Bahia, Brésil." Paris 8, 2007. http://octaviana.fr/document/122057627#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Ce rapport de recherche présente l’étude de cas réalisée au sein de la Fondation Cidade Mãe, institution publique responsable de la politique de protection de l’enfance à Salvador de Bahia, au Brésil. Il décrit le quotidien des éducateurs intervenant dans des structures d’accueil destinées à des jeunes qui ont rompu les liens ou sont en processus de rupture des liens avec leur famille et vivent dans les rues de la ville. L’étude a pour cadre les approches phénoménologiques représentées par l’interactionnisme symbolique et l’ethnométhodologie et inclut dans sa méthodologie les techniques caractéristiques de la démarche ethnographique – observation participante, élaboration d’un journal de bord et entretiens individuels et collectifs. Les données ont été organisées et interprétées en quatre blocs thématiques : l’analyse des règles constitutives et des procédures construites dans la scène pédagogique (ethnométhodes), l’analyse des répertoires interprétatifs à l’œuvre dans le discours institutionnel, la relation des éducateurs avec le passé de l’institution et ses répercussions sur le présent de la prise en charge et, enfin, ce que signifie être éducateur dans ces espaces, avec une discussion portant sur l’implication de ce professionnel
This research report presents a case study performed at Fundação Cidade Mãe, a governmental institution in charge of the politics of childhood protection in Salvador, state of Bahia, Brazil. It describes the daily routine of educators who work at sheltering structures for young people who have broken or are in the process of breaking their family ties, and thus are currently living in the streets. The study is based on phenomenological approaches, represented here by symbolic interactionism and ethnomethodology, and its methodology has employed the techniques that characterize the ethnographic approach – participant observation, field diary, and individual and group interviews. The data were organized and interpreted in four thematic blocks: analyses of the constitutive rules and procedures constructed in the pedagogical scenery (ethnomethods), analyses of interpretive repertoires identified in the institutional discourse, the relationship of educators with the institution’s past history and its reflections on the present practices of sheltering, and finally, the meaning of being an educator in this sort of space, focusing on the discussion of discussion of this professional’s commitment
3

Macedo, Edison Ferreira de. "Une histoire d'enfances volées : enfance, adolescence des rues et prise en charge institutionnelle : le cas de João Pessoa, capitale du Paraiba au Nordeste du Brésil." Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070024.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cette recherche a pour sujet d'étude, la prise en charge institutionnelle ds enfants et des adolescentes des rues de Joao Pessoa au Paraiba, Nordeste du Brésil. Nous avons choisi cette période compte tenu du fait qu'elle est marquée par des changements forts dans les pratiques de l'Etat dans l'approche et le traitement de la problématique des enfants et des adolescents de rue. Il est évident qu'au long des siècles la condition sociale des enfants et des adolescent(e)s de rue a évolué en fonction des rapports socio-économiques. A ce sujet beaucoup de questions sont essentielles à poser, notamment quelles sont les constantes et les évolutions du rôle social de ces institutions & partir de leur création ? Quelles sont les formes de gestion qu'elles reproduisent, quelles règles elles cristallisent ? Et bien d'autres encore, la méthodologie sera centrée sur l'étude des pratiques gouvernementales face aux problèmes des enfants et des adolescent(e)s de rue au Brésil à partir de 1960 et concernera plus spécialement le cas de la FUNDAC de Joao Pessoa. Nous traiterons des conditions, des moyens et des limites autant que des contributions, des objectifs socio-éducatifs et des échecs de cette institution au service des enfants et des adolescentes de rue
The subject of this thesis focuses on governemental institutions m charge of children and adolescents Iiving in the streets. We will study especially the evolution and the perspectives, since I960 based on the case of PUHDAC "children and adolescents of streets development foundation in Joao Pessoa, capital of Paraiba. , northeast of Brazil. We choose this period of time because it shows changes in Authorities policies ans practices, concerrning the problem of children and adolescents being in the streets, based on socio-economical links. Many questions appears essential to be analyse and explain such as : what are constants and evolutions in FUNDAC social roles since it has been created? And what are management forms reproduced by fundac and what are the rule it crystallize. The methodology will fobcuse on study of goveraetnentaî practices to reduce presence in streets of so many children and adolescents and how it succeed or not to resolve one of the most important problem of Brasil as to day. Since I960, we will deal with conditions, limits but also contributions and socio-educationnal objectives of the Organisation in charge of this tremendous problem : FUNDAC, a global history since it has been designated and appointed institution to take care of children and adolescents poor, in the streets
4

Cerqueira, Barbosa Valéria. "L'image de l'enfant noir dans la littérature de jeunesse au Brésil : des politiques scolaires aux usages dans les écoles publiques de Salvador de Bahia." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCB210.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La littérature de jeunesse, l'un des supports les plus utilisés dans le contexte scolaire, est considérée comme un objet culturel de l'enfant. Cette thèse porte plus précisément sur les albums de jeunesse dont le personnage principal est un enfant noir. Ces livres sont envoyés aux écoles publiques brésiliennes par le ministère de l'Éducation en vue de « l'éducation aux relations ethnico-raciales » prévue dans les politiques scolaires promulguées en 2003 et 2004, rendant obligatoire « l'enseignement de l'histoire et de la culture afro-brésilienne et africaine » dans tous les établissements scolaires, ainsi que « l'inclusion de personnages noirs [...] dans les supports d'enseignement » (Brasil, 2005). Si, depuis les années 1950, de nombreux chercheurs brésiliens en sciences de l'éducation et en sociologie ont étudié la représentation de ces personnages, les différentes thématiques auxquelles ils sont actuellement associés et la manière dont les enseignant-e-s font usage de ces ouvrages en classe n'ont en revanche fait l'objet que de bien peu d'investigations. Nous étudierons donc ici l'image de l'enfant noir à travers l'analyse du contenu textuel et iconographique de 80 albums contemporains, mais aussi les usages que les enseignantes de huit écoles publiques de Salvador de Bahia font de ces ouvrages, par le bais de deux méthodologies complémentaires : des entretiens collectifs et des observations directes dans une classe de CE2. Nous nous appuierons tout particulièrement sur le concept de race qui, d'un côté, se trouve au cœur de ces politiques scolaires, de ces ouvrages et de leurs usages auprès des enfants et, de l'autre, constitue un outil d'analyse permettant de rendre compte des rapports sociaux. Ce sera alors l'occasion de mettre en lumière les enjeux et limites de ces politiques scolaires et des usages de ces livres en tant que supports de nouvelles modalités pédagogiques pour l'apprentissage de ladite diversité ethno-raciale à l'école
Children's literature, one of the most widely used aids in a school context, is also considered a child's cultural object. This dissertation focuses specifically on children's books in which the main character is a black child. The Brazilian public schools receive this material from the Department of Education in an aim to promote "education in ethnic-racial relationships" which is present in the school policies that were promulgated in 2003 and 2004, and that made mandatory "the teaching of history and of African-Brazilian and African cultures" in every educational institution as well as "the inclusion of black characters [...] in educational aids" (Brazil, 2005). Numerous Brazilian researchers in the fields of education and sociology have, since the 1950's, studied the representation of this character. Nonetheless, the different subjects to which it is today associated, and the way educators make use of these books inside the classroom, remain yet to be researched. We will therefore, study here, the image of the black child through the analysis of textual and iconographic contents of 80 contemporary children's books, but also the usage that educators of eight public schools of Salvador de Bahia make of these books, while using two complementary approaches: collective interviews and direct observation of a CE2 class. We will focus particularly on the concept of race, which on the one hand, is at the heart of these school policies, of these books and of their usage on children. On the other hand, it constitutes a category of analysis, allowing us to report on social relations. Consequently, this will be the opportunity to bring to light the interests and limitations that these school policies and books entail, as a way to support new educational approaches for the learning of the above mentioned ethnic-racial relationships at school
A literatura infantojuvenil, um dos suportes mais utilizados no contexto escolar, é considerada como um objeto cultural da criança. Esta tese se interessa especificamente sobre os livros ilustrados infantojuvenis cuja personagem principal é uma criança negra. Estes livros são enviados para as escolas públicas brasileiras pelo Ministério da Educação a fim de atender a "Educação das Relações Étnico-Raciais" prevista nas políticas educacionais promulgadas em 2003 e 2004, tornando obrigatório "o ensino da história e da cultura afro-brasileira e africana" em todos os estabelecimentos de ensino, assim como "a inclusão de personagens negros [...] nos materiais de ensino" (BRASIL, 2005). Se, desde 1950 alguns pesquisadores brasileiros em educação e em sociologia estudaram a representação desses personagens, as diferentes temáticas pelas quais eles são atualmente associados e a maneira como os professores-as fazem uso desses livros em sala de aula têm, porém, sido pouco investigada. Estudamos aqui a imagem da criança negra através da análise de conteúdo textual e iconográfica de 80 livros contemporâneos, mas também os usos que os professores de oito escolas públicas de Salvador - Bahia fazem desses livros através de duas metodologias complementares: entrevistas coletivas e observações diretas em uma turma do terceiro ano do ensino fundamental. Nos apoiaremos particularmente no conceito de raça que, de um lado, se encontra no interior dessas políticas educacionais, desses livros e nos seus usos com as crianças, e por outro lado, constitui uma categoria de análise permitindo observar as relações sociais. Esta será uma ocasião para destacar as perspectivas e limites dessas políticas educacionais e os usos desses livros como suportes de novas modalidades pedagógicas para a aprendizagem da dita diversidade étnico-racial na escola
La literatura infantil, uno de los recursos más utilizados en el contexto escolar, es considerada como un objeto cultural del niño. Esta tesis se enfoca más precisamente en los álbumes infantiles en los que el personaje principal es un niño negro. El Ministerio de Educación envía estos libros a las escuelas públicas brasileñas con el objetivo de promulgar "la educación para las relaciones étnico-raciales" prevista en las políticas escolares promulgadas en los años 2003 y 2004, haciendo obligatoria "la enseñanza de la historia y de la cultura afro-brasileña y africana" en todos los establecimientos escolares, así como "la inclusión de personajes negros [...] en los recursos de enseñanza" (Brasil, 2005). Si bien, desde los años cincuenta, algunos investigadores brasileños en ciencias de la educación y en sociología han estudiado la representación de este personaje, las diferentes temáticas a las que está actualmente ligado y la manera en que los educadores hacen uso de estos libros dentro de la clase han sido poco investigada. Estudiaremos así la imagen del niño negro a través del análisis del contenido textual e iconográfico de 80 álbumes contemporáneos, así como también los usos que los educadores de ocho escuelas públicas de Salvador de Bahía hacen de estos textos, utilizando dos metodologías complementarias: entrevistas colectivas y observaciones directas dentro de una clase de CE2. Nos apoyaremos particularmente en el concepto de raza la cual, por un lado, se encuentra en el núcleo de estas políticas escolares, de estas obras y de su uso con los niños; y, por otro lado, constituye una categoría de análisis, permitiendo informar sobre las relaciones sociales. De este modo, tendremos la oportunidad de poner de relieve los intereses y las limitaciones de estas políticas escolares, así como de los usos de estos libros, como recursos para nuevas modalidades pedagógicas que facilitan el aprendizaje de dicha diversidad étnico-racial en la escuela

До бібліографії