Статті в журналах з теми "Manuscrit(s)"

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Krotz, Elke. "Remigius von Auxerre und die Ars Prisciani." Archivum Latinitatis Medii Aevi 72, no. 1 (2014): 21–82. http://dx.doi.org/10.3406/alma.2014.1150.

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Анотація:
La présente étude s’intéresse à cinq gloses et deux exemples sur l’Ars Prisciani du manuscrit Oxford, Bodleian Library, Auctarium T. 1.26 citant un magister remigius. La comparaison avec les gloses de l’Ars Prisciani du VIIIe au Xe s. et avec les autres commentaires attribués à Remi d’Auxerre montre qu’il s’agit fort probablement de ce Remi. La plupart des gloses dans le manuscrit d’Oxford se laissent caractériser comme copie d’un manuscrit de Priscien de la région auxerroise. Nous avons ainsi pour la première fois des indications claires montrant que Remi a commenté ou au moins traité en classe aussi l’Ars de Priscien.
2

Wood, Sarah. "A scribal edition of Piers Plowman C in Cambridge, Corpus Christi College, 293." Scriptorium 72, no. 1 (2018): 93–106. http://dx.doi.org/10.3406/scrip.2018.4463.

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Анотація:
Cet essai examine la forme originale de la version finale, «C » , de Piers le laboureur, contenue dans le manuscrit Cambridge, Corpus Christi College, 293 (XVe s.). Ce manuscrit fait partie des nombreux manuscrits décrits par les éditeurs de l’édition critique standard de Piers le laboureur comme caractérisés par de graves lacunes textuelles, bien qu’aucune autre copie ne contienne les mêmes lacunes textuelles. La forme matérielle et la décoration du manuscrit donnent une présentation particulièrement modeste du poème, même selon les normes des manuscrits généralement peu décorés de l’oeuvre de Langland. Il y manque les qualités supérieures de la décoration et l’annotation extensive trouvée dans dans certaines copies plus connues de Piers. Malgré son humble forme materielle, le manuscrit est cependant d’un intérêt potentiellement important pour les quatre omissions majeures de texte qu’il présente. Deux de ces lacunes textuelles peuvent être attribuées à des accidents courants, qui se sont probablement produits pendant la réalisation de la présente copie. Les deux autres sont davantage susceptibles de provenir d’un exemplaire antérieur, et j’affirme qu’elles peuvent refléter une rédaction délibérée du poème, une forme de texte qui élimine certains aspects du travail de Langland afin d’en mettre d’autres en avant. Les lacunes (délibérées) du texte du Corpus en font un témoin important des différentes formes, parfois excentriques, que le poème a prises dans les années qui ont suivi sa composition originale.
3

Varela Rodríguez, Joel. "À propos du contenu et de l’histoire du manuscrit 26 de la cathédrale de Vic : un témoin inconnu des Chronica Muzarabica (chapitre 19) et du Provinciale Visigothicum." Cahiers de civilisation médiévale 262, no. 2 (October 16, 2023): 149–66. http://dx.doi.org/10.3917/ccm.262.0149.

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Анотація:
Le manuscrit Vic, Arxiu i Biblioteca Episcopal, 26 ( xi s.) transmet le chapitre 19 des Chronica Muzarabica (éd. Gil) et une liste des sièges épiscopaux wisigoths (généralement connus sous le nom de Provinciale Visigothicum ) comme une sorte d’appendice à la troisième partie des Moralia in Iob de Grégoire le Grand. Ce texte des Moralia présente des caractéristiques de plusieurs traditions textuelles différentes, probablement parce que des manuscrits ibériques et français contenant des parties de diverses de l’œuvre de Grégoire ont été utilisés comme modèles. Dans cet article, j’analyse la position du fragment des Chronica Muzarabica et la liste des sièges épiscopaux dans leurs traditions textuelles respectives. Le fragment des Chronica Muzarabica est manifestement indépendant des autres fragments du chapitre 19, dont l’existence est bien connue ( Visio Taionis ) et dérive d’un modèle commun à un autre exemplaire inconnu à Tortosa, Arxiu Capitular, 30 ( xii s.). D’autre part, la liste des sièges épiscopaux contient quelques indications qui permettent de penser que ce texte provient de Carthagène ou de ses environs, et certaines modifications qui y sont introduites répondent probablement aux intérêts politiques d’Oliba, évêque de Vic (1018-1046), sous les auspices duquel ce manuscrit a été composé.
4

Nahon, Peter, and Simon Gabay. "Modernités de Richard Simon : notes philologiques en vue d’une édition du Pentateuque traduit, avec des Remarques (Bibliothèque d’Aschaffenbourg, Ms. 48)." Dix-septième siècle 300, no. 3 (July 27, 2023): 481–500. http://dx.doi.org/10.3917/dss.233.0481.

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Анотація:
Richard Simon (1638-1712), le père de la critique biblique, a exécuté une traduction annotée des cinq premiers livres de la Bible, dont l’unique manuscrit, une copie d’imprimeur, est resté inédit. Ce texte est la première tentative d’application effective des méthodes de la critique biblique énoncées par Simon dans son Histoire critique du Vieux Testament (1678). La préparation, en cours, d’une édition scientifique de ce manuscrit est l’occasion de poser des principes d’édition, conjuguant innovation technique et tradition méthodologique : les possibilités aujourd’hui offertes par l’informatique enrichissent l’ecdotique traditionnelle. Après avoir présenté en détail ce document méconnu, son histoire et ses spécificités, on donne ici un protocole expérimental d’établissement du texte à partir de l’extraction automatique du texte de l’image, et de là une méthode philologique à valeur générale.
5

DOLBEAU, F. "Un second manuscrit complet du Sermo contra Pelagium d'Augustin (S. 348A augmenté)." Revue d'Etudes Augustiniennes et Patristiques 45, no. 2 (January 1999): 353–61. http://dx.doi.org/10.1484/j.rea.5.104807.

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6

Trifunovic, Djordje. "Areopagitova simvolika covecjeg tela u prevodu inoka Isaije." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 45 (2008): 243–51. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0845243t.

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Анотація:
(francuski) Isaija, moine serbe ?rudit, ermite et r?novateur de plusieurs monast?res du Mont Athos, a ach?ve, peu de temps ?pres la bataille de la Maritza (1371), la traduction du grec en ancien serbe, de tous les ?crits du Pseudo-Denys Ar?opagite (Corpus Areopagiticum). Outre le texte principal de l'Ar?opagite, il a ?galement traduit toutes les interpr?tations et scholies de Maxime le Confesseur. Ce travail d'Isaija a tr?s rapidement connu une forte diffusion parmi les Slaves orthodoxes. En attestent plus de soixante-dix copies, de r?daction serbe, russe ou bulgare, aujourd'hui conserv?es. Parmi celles-ci la plus ancienne est celle conserv?e dans la Biblioth?que nationale de Russie a Saint-P?tersbourg (collection A.F. Hilferding, n? 46), avec ses filigranes de 1370-1371. Un groupe de slavistes de Berlin et de Saint-P?tersbourg ont entrepris, il y a de cela d?j? une dizaine d'ann?es, la pr?paration en commun de la publication de ce manuscrit. Celle-ci devrait voir le jour sous forme de cinq tomes. Ce groupe de chercheurs consid?re, entre autre, que le manuscrit de la collection de Hilferding est un texte autographe du moine Isaija. Toutefois, d?j? en 1980 l'auteur de ce travail a montre dans son ouvrage consacre au moine Isaija que ce manuscrit ne saurait ?tre autographe, pour la raison qu'on y reconna?t deux ?critures. Il est bien sur toujours possible que l'une d'elles soit d'Isaija. En tout ?tat de cause, ce dilemme sera r?solu lorsque para?tront les photocopies de l'ensemble du manuscrit qui compte 329 feuilles. Le principe suivi par Isaija dans son activit? de traducteur ?tait qu'il fallait donner une traduction la plus fid?le possible, c'est-a-dire mot a mot, en rendant chaque morph?me, etc., raison expliquant la difficult? de comprendre aujourd'hui le texte d'Isaija. A titre d'exemple, nous reproduisons dans ce travail un article de l'essai intitule Sur la hi?rarchie c?leste (XV, ? 3). Cet essai est accompagne d'un lexique serbe-slave - grec, puis de sa traduction en serbe moderne.
7

Nezirovic, Muhamed. "La locution maunger ove luis dans le manuscrit S du Roman de Thèbes." Romania 108, no. 432 (1987): 520–23. http://dx.doi.org/10.3406/roma.1987.1849.

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8

DOLBEAU, François. "Sermons inédits de S. Augustin dans un manuscrit de Mayence (Stadtbibliothek I 9)." Revue d'Etudes Augustiniennes et Patristiques 36, no. 2 (January 1990): 355–59. http://dx.doi.org/10.1484/j.rea.5.104625.

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9

Lanéry, Cécile. "Un manuscrit de Saint-Mihiel conservé dans une collection privée (IRHT, Coll. privée, 346)." Scriptorium 68, no. 2 (2014): 187–251. http://dx.doi.org/10.3406/scrip.2014.4307.

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Анотація:
Le manuscrit décrit et analysé dans cette étude (IRHT, Coll. privée, 346) provient de la bibliothèque monastique de Saint-Mihiel, où il fut vraisemblablement copié au début du XIIe s. En dépit de l’apparente banalité de sa forme et de son contenu, ce volumineux recueil n’est pas dépourvu d’intérêt : les oeuvres qu’il contient (les Dialogues de Grégoire le Grand, le Liber ecclesiasticorum dogmatum de Gennade, une collection atypique de verba seniorum, une Vie de st Gilles, suivie d’une hymne inédite en son honneur et du Trinubium sanctae Annae), présentent des particularités textuelles assez rares. Celles-ci, ainsi que le choix et l’arrangement des textes, reflètent des intentions réformatrices et font de ce manuel de vie monastique un jalon intellectuel dans l’histoire de la controverse grégorienne qui divisait la Lorraine dans les années 1100.
10

Biondi, Laura. "Lat. ethimologista : notes pour une histoire du mot." Archivum Latinitatis Medii Aevi 59, no. 1 (2001): 161–79. http://dx.doi.org/10.3406/alma.2001.1901.

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Анотація:
Dans le De diphthongis attribué à un grammairien médiéval Apulée et conservé dans le manuscrit Reims B.M.432 (dernier quart ou fin du XIIe s.) on lit la plus ancienne attestation, jusqu’à aujourd’hui, du latin ethimologista. Dans cette étude on s’est proposé de suggérer un lien tant formel que culturel entre ethimologista et une autre création qui enrichit le vocabulaire de la linguistique médiévale, le verbe ethimologizo connu dans la Summa super Priscianum de Pierre Hélie. Ces néologismes peuvent refléter un moment de la pensée linguistique où l’étymologie, reconnue comme partie intégrante de la grammaire, acquiert un statut autonome comme procédure de recherche et comme objet, et on a cherché à montrer, dans l’ouvrage du grammairien Apulée, les traces non seulement des pratiques et des contenus étymologiques transmis au Moyen Âge par l’Antiquité latine, mais aussi celles de l’idée d'ethimologia comme expositio alicuius vocabuli per aliud vocabulum selon la définition donnée par Pierre Hélie.
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Crosio, Martina. "Au prisme du manuscrit. Regards sur la littérature française du Moyen Âge (1300-1550), éd. S. Hindman, E. Adam." Studi Francesi, no. 192 (LXIV | III) (December 1, 2020): 641–43. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.42078.

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Bernon, Olivier. "Note sur le manuscrit illustré S. 28 de l'EFEO : son rapport avec l'iconographie du Wat Suthat Dhepwararam de Bangkok." Arts asiatiques 56, no. 1 (2001): 140–46. http://dx.doi.org/10.3406/arasi.2001.1471.

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Modelski, Lukasz. "Les miniatures du manuscrit des Sermones super Cantica canticorum de saint Bernard (Leipzig, Bibliothèque de l'Université, ms. 374, XIIe s.)." Cahiers de civilisation médiévale 39, no. 155 (1996): 275–87. http://dx.doi.org/10.3406/ccmed.1996.2655.

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ΜΑΛΤΕΖΟΥ, Χρύσα Α. "Τιμὲς ἀγαθῶν καὶ ἀμοιβὲς ἐργασίας στὴ βενετοκρατούμενη Κρήτη (16ος αἰ.)". BYZANTINA SYMMEIKTA 6 (29 вересня 1985): 1. http://dx.doi.org/10.12681/byzsym.694.

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Анотація:
<p>Chryssa A. Maltézou</p><p>Prix de biens et salaires en Crète vénitienne (XVIe s.)<em> </em></p><p>Le registre n. 6 de la bibliothèque de Patmos appartient à la riche collection du monastère qui se rapporte au métoque de St. Jean de Stylos en Crète. C'est le livre de comptes de l'économe du dit métoque, cou­vrant les années de 1595 à 1601. Les renseignements fournis par ce manuscrit présentent un intérêt particulier, parce qu'ils nous permettent d'étudier les besoins et les obligations économiques du métoque et en même temps de tirer un aspect social de la vie quotidienne en Crète vénitienne à la fin du XVIe siècle.</p><p>Dans cette étude sont examinées les données du registre, concernant a) les métiers et les salaires des travailleurs, et b) les prix courants des biens du marché crétois. Les informations sont traitées réunies en ca­tégories. Suit un glossaire de termes et de mots idiomatiques.</p>
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‫الشرقاوي‬, ‫باسم سمير‬. "‫(دراسة تأريخية – إحصائية) ومعجمه للغة المصرية القديمة (م1851-1923) "أحمد باشا كمال: "صعود السلم‬ (Ahmed Kamal Pasha (1851-1923) Steps to his Ancient Egyptian Dictionary (Chronological-Statistical Study))". Abgadiyat 6, № 1 (2011): 44–70. http://dx.doi.org/10.1163/22138609-90000003.

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Анотація:
A few people wrote about Ahmed Kamal Pasha (1851-1923) or mentioned some of his works, but no one paid real attention to his huge effort, his dictionary Manuscrit Lexique de la langue Égyptienne Ancienne since 2002 when SCA started publishing its 23 volumes, except what is published by me separately, or together with the team of the ‘Studying, Indexing and Verifying the Ahmed Kamal Pasha ’s Ancient Egyptian Dictionary Project (KDP)’. The present study aims to record, in historical order, the total of Ancient Egyptian words in each study of Kamal’s works, since his first book on Ancient Egyptian History (1883) until his death in 1923, including his final (Ancient Egyptian Dictionary). The researcher records 504 words (Table 1) in Kamal’s second book on Hieroglyphic Grammar (1885/6); then his Arabic book with French title Vocabulaire hiéroglyphique comprenant les noms des plantes (1889/90) contains 790 words (Table 2), but in his book Ancient Egyptian Civilization Boghiyat al Talebeen… (1891/92 – 1894/95) includes ‘Four Dictionaries’ with a total of 1389 words (Tables 3 and 4), three of them (1021 words) are in Hieroglyphic and Demotic: the first concerns deities (578 words), the second deals with metals and stones (89 words), the third is related to animals and their parts (354), while the fourth Dictionary (Table 4) contains the Arabic names of Planets (368 words). He mentioned a few words in his book about ‘Heliopolis’ (1896): names of geographical sites and some deities relating to this great ancient city. Between 1914 and 1917, Kamal climbed towards the top, collecting extra specific words in various small studies, comparing with the ancient Egyptian words with the Arabic words. At the end, the researcher records 12.730 ± 994 words (Table 5) in Kamal’s biggest work Manuscrit Lexique de la langue Égyptienne Ancienne (since 2002 to present), also compares his results with the others, H. Brugsch, E.A.W. Budge, and the Berliner Wörterbuch (Tables 5 and 6). Finally, the author compiles all results together (Table 7) to evaluate Kamal’s efforts during his long lifetime, the total words of each sign or sound in each study. (Please note that this article is in Arabic)
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Nishimagi, Shin. "Le vocabulaire relatif à la portée musicale. À propos des lettres r et s dans un manuscrit de Saint-Claude (XIe siècle)." Gazette du livre médiéval 59, no. 2 (2012): 22–30. http://dx.doi.org/10.3406/galim.2012.2013.

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Contamine, Philippe. "Un préambule explicatif inédit dans un Manuscrit (milieu XVe s.) du Songe du Vieil Pèlerin (1389) de Philippe de Mézières : le texte et l’image." Comptes-rendus des séances de l année - Académie des inscriptions et belles-lettres 151, no. 4 (2007): 1901–23. http://dx.doi.org/10.3406/crai.2007.91593.

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Crémier, Loïs. "[ Sans Titre - No Title ]Swamy Vinay et Louisa Mackenzie (dir.), 2022, Devenir non-binaire en français contemporain. Paris, Éditions Le Manuscrit, coll. « Savoirs, Genre(s) et Création »." Anthropologie et Sociétés 47, no. 2 (2023): 271. http://dx.doi.org/10.7202/1108505ar.

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Gödel, Kurt. "Les mathématiques sont-elles une syntaxe du langage?" Dialogue 34, no. 1 (1995): 3–34. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300049271.

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Анотація:
Nous publions sous ce titre la traduction française de l'essai philosophique de Kurt Gödel intitulé: «Is Mathematics Syntax of Language?» Inédit jusqu'à présent, l'original paraîtra dans le 3e volume des Collected Works de Gödel, dont la publication est imminente. Nous savons par Hao Wang que, le 15 mai 1953, Paul Arthur Schilpp avait invité Gödel à apporter sa contribution au volume consacré à Carnap dans The Library of Living Philosophers. Le manuscrit de Gödel «Carnap and the Ontology of Mathematics», devait être remis au plus tard le 2 avril 1954. Dés le 2 juillet 1953, Gödel donnait son accord à Schilpp pour la rédaction d'un article intitulé «Some Observations on the Nominalistic View of the Nature of Mathematics.» Cependant, le volume consacré à Carnap paraîtra en 1963 sans qu'y figure la contribution de Gödel. En effet — toujours selon Wang — Gödel avait informé Schilpp, le 2 février 1959, qu'il renonçait à l'envoi de l'article, dont il avait composé, surtout en 1954–1955, plusieur s versions sous le titre «Is Mathematics Syntax of Language?» Pour expliquer cet abandon, Wang avance les raisons suivantes: En premier lieu, Gödel était bien convaincu d'avoir réfuté la thése syntaxique, mais il n'était pas satisfait de son argumentation en faveur du platonisme. Deuxiémement, les critiques de Gödel s'adressent aux théses soutenues par Carnap en 1934 plutôt qu'à celles que ce dernier défendra vingt ans aprés, et qui paraissent moins hostiles au platonisme de son interlocuteur. II pouvait paraître douteux, en troisieme lieu, que Carnap ait eu le temps de rédiger, en 1959, la réponse qu'il aurait du faire, conformément aux régies de la collection, à Gödel. Or, en 1943 déjà, Gödel avait voulu retirer sa contribution au volume consacré à Russell dans la même serie, parce que ce dernier n'avait pu répondre à l'article de Gödel dont la rédaction lui avait été communiquée trop tardivement.
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Kaitaro, Timo. "« Manuscrit de Mr Dangicourt » : système métaphysique néantiste d’un disciple de Leibniz." Sjuttonhundratal 6 (October 1, 2009): 40. http://dx.doi.org/10.7557/4.2759.

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Анотація:
<p>Dangicourt&rsquo;s Manuscript: The metaphysical system of nothingness from a disciple of Leibniz</p><p>The collection of clandestine philosophical manuscripts at the Helsinki University Library contains, among other typical seventeenth and early eighteenth century texts, an exchange of letters between Pierre Dangicourt and Alphonse Des Vignoles (1725&minus;1726). Both belong to the circle of thinkers close to the Academy of Sciences in Berlin. Starting from some mathematical conjectures concerning the incommensurability of the sides and the diagonal of a geometrical square, Dangicourt develops a metaphysical system according to which &lsquo;original material&rsquo; (la mati&egrave;re originale) of the universe is &lsquo;nothingness&rsquo; (n&eacute;ant) and criticises the view according to which the universe consists of extended and existing composite parts. Des Vignoles presents a criticism of Dangicourt&rsquo;s ideas. In a letter to Dangicourt, Leibniz also presents criticisms of Dangcourt&rsquo;s system by insisting on the fictional nature of mathematical abstractions.</p>
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Subotic, Gojko. "Natpis u Molivoklisiji." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 507–23. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441507s.

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(francuski) Parmi les nombreuses cellules du monast?re de Chilandar ? Kary?s et dans ses environs ? il en restait pr?s de trente au d?but du XX?me si?cle ? la cellule de la Dormition de la Vierge a conserv? la plus ancienne ?glise datant de l'?poque de la domination turque dont le toit en plomb est ? l'origine de l'appellation de cet ?tablissement. Ce petit ?difice trinconque a ?t? d?cor? de peintures murales de style cr?tois qui sont l'oeuvre de peintres appartenant au cercle du ma?tre Th?ophane. Nous sommes renseign?s sur l'?rection et la d?coration de cette ?glise par une inscription peinte appos?e au-dessus de l'entr?e sud, aujourd'hui mur?e, dont le texte, mutil? aux extr?mit?s, a ?galement perdu sa partie finale, qui comptait une, voir deux derni?res lignes. On peut n?anmoins y lire l'ann?e, 7045 (1536/7), une date, 22 octobre, et plusieurs indications chronologiques (indiction, cercle du Soleil, cercle de la Lune, epakt et autres). Ces ?l?ments chronologiques ne correspondent pas, toutefois, ? l'ann?e 7045, mais plut?t 7050. Ceci avait d?j? ?t? remarqu? par Lj. Stojanovic qui est le premier ? avoir publi? cette inscription, en proposant les deux ann?es; malgr? tout, c'est l'ann?e 1536 ou 1537 qui appara?t le plus souvent dans les textes sp?cialis?s pour la datation de l'?rection et de la d?coration de cette ?glise, et ce n'est que ces derniers temps que l'ann?e 1541 a de nouveau ?t? prise en ligne de compte. L'observation du contenu de cette inscription s'est en fait toujours limit?e ? la partie conserv?e du texte. L'incertitude concernant l'ann?e ne peut toutefois ?tre r?solue que si l'on prend ?galement en compte ses parties perdues. En ce sens, la reconstitution de l'inscription dans son int?gralit?, qui est ici propos?e sous forme de dessin, montre qu'?tait tout d'abord mentionn?e l'ann?e 7045 (1536/7), et ensuite la date de la fin des travaux de d?coration murale, le 22 octobre 1541. La partie conserv?e de l'inscription fait ?tat des deux personnages ayant veill? ? l'?rection et la d?coration de l'?glise ? le moine Makarije dont il ne subsiste du nom la?c que la premi?re lettre M..., et Dmitar Janje..., dont la fin du nom est d?truite. Dmitar, comme il appara?t, n'?tait pas un moine mais un la?c, dont Eponyme a ?t? avec raison compris comme un origo ? Janjevac. On a suppos? que Makarije pourrait ne faire qu'un avec l'imprimeur bien connu du m?me nom, qui a ?dit? sa premi?re oeuvre ? Cetinje en 1493, et a plus tard travaill? en Valachie et m?me, le suppose-t-on, ?t? dans les ann?es trente du XVI?me si?cle higoum?ne de Chilandar. L'identification de ce Makarije avec le moine du m?me nom de la Molybokkl?sia impliquerait que l'on peut suivre son activit? au cours de pr?s de six d?cennies. A rencontre de cette supposition on note toutefois l'absence dans l'inscription, comme cela ?t? l'usage, de toute mention de Makarije en tant qu'ancien higoum?ne (pro higoum?ne). D'autre part, on n'a pas relev? jusqu'? pr?sent la possibilit? de reconna?tre devant le nom de Makarije la fin du mot pisac, ce qui signifie qu'il ?tait scribe, copiste. De feit, si nous y ajoutons une note appos?e dans un livre recopi? par Dmitar Janjevac (Dmitar de Janjevo) (Giljferding n' 9) mentionnant ce dernier comme un ?bon scribe?, il est d?j? permis d'en conclure que la cellule de Molybokkl?sia dans laquelle vivaient Makarije et Dmitar ?tait un scriptorium. L'activit? de ces deux scribes ressort ?galement de l'aspect m?me de l'inscription. On y rel?ve en effet des formes pal?ographiques caract?ristiques des manuscrits ? en l'occurrence n'apparaissant pas sur les fresques et les ic?nes. De m?me, les ?l?ments chronologiques mentionn?s (cercle du Soleil, cercle de la Lune, etc.) figurent ? cette ?poque dans les inscriptions indiquant la fin d'un travail sur des manuscrits, mais non sur des fresques. Il va de soi que c'est l'un des deux kelli?tes, Makarije ou Dmitar, et peut-?tre tous les deux, qui ont r?dig? ce texte et d'autres accompagnant sur les fresques, compte tenu que celles-ci ont ?t? ex?cut?es par des ma?tres grecs, cr?tois, qui ignoraient le slave. S'agissant de Dmitar, il a acquis sa formation de scribe ? Janjevo, c?l?bre centre d'exploitation mini?re et march? o? ?tait perp?tu?e l'activit? de copiste. Les inscriptions en slave n'?taient une chose rare dans les cellules du monast?re de Chilandar sises ? Kary?s. Non loin du Pr?taton, dans la cellule Flaska sont conserv?s des restes de la peinture contenant une liste de donateurs, inscrite (cca 1526) dans une r?daction serbo-slave, o? ? c?t? des noms des moines, figurent d'autres noms, et ce non seulement d'hommes mais aussi de femmes, et ce tant monacaux que la?cs. On suppose que ces personnes, ? qui revenait le m?rite de la d?coration de l'ancien ?difice, ?taient originaires de Kratovo, alors le plus important centre d'exploitation mini?re dans les Balkans. A l'?poque o? ?tait ?rig?e et d?cor?e la Molybokkl?sia, nous savons que quelques personnages dot?s d'une remarquable ?rudition vivaient ? Kary?s. Parmi ceux-ci se distinguait tout particuli?rement l'hi?romoine Gavrilo de la cellule de Kaproul?, homme faisant montre d'un vaste champ d'int?r?t et entretenant de nombreux liens tant avec les milieux spirituels du monde orthodoxe qu'avec les cours des pays voisins. Nous sommes assez pr?cis?ment inform?s sur ses origines par une fresque ornant la chapelle de Saint-Jean le Pr?curseur am?nag?e au-dessus du narthex du Pr?taton, ? savoir la repr?sentation de quatre archev?ques li?s ? l'?glise d'Ochrid dans l'espace exigu du sanctuaire. Connu comme un excellent traducteur de textes grecs ?en lanque serbe?, Gavrilo ?tait donc assur?ment originaire du milieu slave. Parall?lement, durant quasiment toute la premi?re moiti? du XVI?me si?cle, l'administration du Pr?taton eut ?galement ? sa t?te l'hi?romoine Serafim. Lui-aussi r?sidait dans une des anciennes cellules, tou K?phou ? Kary?s, o? lui-m?me s'adonnait ? un travail d'?criture. Il a ?crit et recopi? les vies des personnalit?s de son milieu, qu'il connaissait personnellement, instaur? leur culte et fait don au Pr?taton d'ouvrages dans lesquels il a parfois appos? des notes parall?lement en grec et en slave. Quelque peu plus r?cente, la cellule des Trois-Saints, ?galement rattach?e ? Chilandar, vient confirmer l'existence d'un besoin non n?gligeable en traductions et copies r?dig?es en slave ? Kary?s. De son katastichon, conserv? dans un legs de 1575/6, nous apprenons que cet ?tablissement poss?dait quarante deux ouvrages en slave. Il va de soi qu'un r?le particulier en ce sens revenait ? l'ermitage de Saint-Sabbas o?, d?j? au XIII?me si?cle, avait ?t? r?alis?e une importante activit? d'?criture, et o? l'activit? de recopie de manuscrit se poursuivit encore par la suite durant des si?cles. Dans un tel milieu, il va de soi que la Molybokkl?sia se voyait tout naturellement conf?rer un prestige particulier en tant que scriptorium, avec le moine Makarije et Dmitar Janjevac. .
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Rossich, Albert. "Reconstrucció del cançoner Curiositat catalana (final del s. XVII)." Revista de Cancioneros Impresos y Manuscritos, no. 11 (January 7, 2022): 235. http://dx.doi.org/10.14198/rcim.2022.11.06.

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Анотація:
Un dels cançoners més importants de poesia catalana del segle XVII era un que portava per títol Curiositat Catalana. Malauradament, el llibre va ser mutilat per un posseïdor i només en van quedar els índexs i dues obres de teatre de Francesc Fontanella (i una d’aquestes, incompleta). Malgrat la pèrdua dels textos, el fet que els índexs fessin constar l’autoria de moltes de les composicions preservava l’interés del cançoner com a inventari de poetes del Barroc català i com a testimoni de la vitalitat de la poesia en llengua catalana, cosa especialment útil en tractar-se d’una època tradicionalment mal coneguda. Però després de la primera notícia que tenim d’aquest manuscrit, de 1859, el llibre va desaparèixer i no ha estat retrobat fins fa pocs anys. La troballa permet reconstruir de manera aproximada per primera vegada l’ordre i les característiques del còdex. En aquest treball, a més, examinem la pertinència de les atribucions que fa, que sovint no són exactes.
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Starodubcev, Tatjana. "Predstava starozavetnog Veseleila u oltaru Ravanice." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 39 (2001): 249–63. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0239249s.

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Анотація:
(francuski) Dans l'?glise de Ravanica les faces frontales des deux pilastres flanquant l'abside centrale et marquant la limite de la proth?se, respectivement du diaconicon, accueillent deux personnages v?t?rotestamentaires, chacun s?par? de la sc?ne de la Communion des ap?tres par la figure d'un archipr?tre. Sur le pilastre nord se tient Melchis?dek, et sur celui situ? au sud, un homme aux cheveux courts et ? la barbe arrondie, v?tu d'un chiton et d'un hymation, qui tient en mains un objet de forme ronde orn? d'une repr?sentation en buste de la Vierge ? l'Enfant, et ? c?t? duquel subsistent les traces d'une inscription (fig. 1)Selon l'Ancien Testament et l'Ep?tre aux H?breux, le juste Melchis?dek ?tait le sacrificateur du Dieu Tr?s-Haut et sup?rieur aux sacrificateurs l?vitiques. C'est lui qui offre en sacrifice le pain et le vin, et plus tard le Christ lui-m?me est devenu "sacrificateur pour toujours, selon l'ordre de Melchis?dek". Sur le pilastre sud, les restes d'inscription o? l'on reconna?t le d?but d'un nom montre que le personnage ici repr?sent? pourrait ?tre le juste Betsaleel qui est mentionn? ? plusieurs reprises dans l'Exode en tant que fils d'Uri de la tribu de Juda etque Dieu a choisi en lui accordant la sagesse, l'intelligence et le savoir pour toutes sortes d'ouvrages afin qu'il p?t construire l'Arche du t?moignage.Ce personnage biblique n'est pas c?l?br? par le Calendrier de l'Eglise constan-tinopolitaine et, pour autant qu'on le sache, n'est repr?sent? que dans quatre manuscrits: la Sacra parallela (Paris gr. 923), du IX?me si?cle; le psaultier n? 61 du monast?re athonite du Pantocrator, du IX?me si?cle; l'ochtateuque de la Biblioth?que du Vatican gr. 747, du Xl?me si?cle; et l'ochtateuque d'Istanbul Seraglio cod. 8, du Xll?me si?cle, o? il appara?t figur? de diff?rentes fa?ons. Dans le manuscrit la Sacra parallela il a les traits d'un vieillard, dans le psaultier d'un homme d'?ge moyen ? la barbe arrondie et aux cheveux longs, alors que dans les ochtateuques il porte les cheveux courts, lisses et drus, avec la raie sur le c?t?. De toute ?vidence, les peintres avaient toute libert? lors de la repr?sentation de ce juste, et il importe donc, en premier lieu, de rechercher les raisons de la pr?sence ici de ce saint si rarement figur?. En tant que constructeur du Tabernacle, sa place dans le sanctuaire d'une ?glise est tout ? fait justifi?e, puisque on rencontre aussi des repr?sentations du Tabernacle dans le narthex, et plus souvent encore dans l'espace du sanctuaire. Dans ce second espace la pr?sence du Tabernacle est notamment justifi?e par les diff?rents niveaux de sa symbolique puisque les plus anciennes interpr?tations et commentaires le per?oivent comme une pr?figuration du Tabernacle c?leste, comme le sanctuaire dans lequel le Christ se sacrifie et proc?de au sacrifice, puis il est ?galement devenu le symbole de la Vierge, alors que plus tard sont apparues des interpr?tations qui l'ont rattach? au contexte liturgique. Betsaleel n'a pas fait l'objet d'une attention particuli?re de la part de la science et l'on ne peut qu'indiquer la direction dans laquelle est all?e la pens?e th?ologique ? son sujet. A en juger par une observation sommaire des textes, et nonobstant, son ?vocation par les textes philosophiques pr?coces, il n'est que tr?s rarement mentionn? (Philon d'Alexandrie, premi?re moiti? du 1er si?cle, Orig?ne, vers 185-254, Cyrille de J?rusalem, vers 315-386, Basile le Grand, vers 330-379, Th?odoret de Cyr, vers 393 vers 458, Cosmas Indicopleust?s, milieu du Vl?me si?cle). Tous ces ?crits le montrent comme un mod?le d'artisan auquel Dieu, conform?ment au texte biblique de l'Exode, a donn? la sagesse, l'intelligence, le savoir pour toutes sortes d'ouvrages et qu'il a d?sign? pour ?tre le constructeur du Tabernacle, en soulignant toujours le fait que Dieu est celui dont viennent toutes ces vertus. Dans toutes ces interpr?tations il reste dans l'ombre de Dieu en tant que Cr?ateur supr?me. De m?me, Betsaleel est rarement mentionn? dans les autres sources ?crites et, lorsque cela est le cas, il y est d'ordinaire pr?sent? comme un constructeur, comme un mod?le pour les b?tisseurs d'?glises qui sont compar?s ? lui (Eus?be de C?sar?e, vers 260-339; l'hymne syriaque "Sogitha" consacr? ? la sanctification de l'?glise Sainte-Sophie ? Edesse apr?s sa reconstruction en 553/554; la Vie de saint Sim?on le Stylite le Jeune (?592) du diacre St?phane; la pri?re prononc?e par le patriarche lors de la cons?cration de l'?glise et de la sainte table, d'apr?s le plus ancien euchologion enti?rement conserv? de l'?glise Sainte-Sophie de Constantinople, Barb. gr. 336, milieu du VHI?me si?cle; la comm?moraison de la tr?s pieuse imp?ratrice Ir?ne, femmede Jean Comn?ne (1118-1143), dans le Synaxaire de l'Eglise constantinopolitaine; l'inscription m?trique de fondation de l'?glise saint-Nicolas pr?s du village de Place dans la p?ninsule de Mani au sud du P?lopon?se, de 1337/38). A Ravanica Betsaleel ne porte pas le mod?le du tabernacle, mais un objet de forme ronde orn? d'un buste de la Vierge ? l'Enfant (semblable ? l'image de la sainte table dans le sanctuaire de la Chapelle de Mo?se au Sina?). Betsaleel ?tant lou? comme le constructeur du Tabernacle et les cantiques eccl?siastiques c?l?brant la M?re de Dieu comme ?tant elle-m?me le Tabernacle; son image, tenant le Christ dans ses bras, sur l'objet que porte Betsaleel s'en trouve tout ? fait justifi?e, comme sur de nombreuses repr?sentations de la Tente d'assignation o? elle appara?t en m?daillon sur le voile recouvrant l'autel et sur les objets pos?s sur celui-ci. On doit se demander pourquoi le choix du d?corateur s'est ici port? pr?cis?ment sur Melchis?dek et Betsaleel. Le premier, en tant que sacrificateur v?t?rotesta-mentaire sur le mod?le duquel le Christ est lui-m?me devenu sacrificateur, avait d?j? ?t? figur? dans les sanctuaires des premi?res ?glises chr?tiennes, alors que l'image de Betsaleel, pour autant que nous sachions, constitue un exemple unique. Melchis?dek se tient ? proximit? de la partie septentrionale, et c?leste, de la composition de la Communion des ap?tres, o? la communion par le pain est donn?e par un ange-pr?tre, alors que Betsaleel, au sud, c?toie la partie terrestre, montrant un pr?tre, debout dans le sanctuaire, qui tend un calice. Le constructeur du Tabernacle se trouve ainsi ? c?t? d'un l'?v?nement qui se d?roule dans l'?glise, alors que le pr?tre v?t?rotestamentaire se tient ? c?t? de l'?glise c?leste et spirituelle. L'existence d'un fort lien avec la liturgie est ?galement confirm?e par les deux ?v?ques qui se tiennent aux c?t?s de ces justes et les d?signent de la main droite (fig. 2). Leurs inscriptions ont ?t? d?truites, mais leurs tenues, diff?rentes des tenues habituelles d'?v?ques, autorisent ? reconna?tre en eux les premiers ?v?ques de J?rusalem auxquels la haute dignit? d'archi-pr?tre a ?t? transmise, d'apr?s la tradition, par le Christ en personne. En observant les donn?es provenant de la Bible, les ?crits des P?res de l'Eglise et certaines mentions relatives aux constructeurs d'?glises, il est donc possible de supposer que ce juste repr?sent? ? Ravanica est Betsaleel, le constructeur v?t?rotestamentaire du Tabernacle. L'?troit lien le rattachant ? la liturgie justifie pleinement sa pr?sence dans l'espace du sanctuaire. L'hypoth?se ici avanc?e est ?galement confirm?e par l'existence de rapports avec la figure du juste Melchis?dek et celles des premiers ?v?ques de l'Eglise de Sion, ainsi qu'avec la repr?sentation, unique par son iconographique, de la Communion dans l'abside. .
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Crozet, Chantal. "Vinay Swamy et Louisa Mackenzie (dirs.), Devenir non-binaire en français contemporain. Genre(s) et création. Paris : Editions Le Manuscrit, 2022, xxvi + 254 pp., IBSN : 978 2 304 05242 8." Journal of French Language Studies, October 21, 2022, 1–3. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269522000278.

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Llorca Tonda, María Ángeles. "Représentation(s) et fonction(s) d’un dragon nommé Tarasque dans des réécritures médiévales de la Vie de sainte Marthe." IRIS, no. 41 (November 26, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/iris.2237.

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Анотація:
L’objectif de cette étude est, dans un premier temps, d’analyser les représentations du dragon dans différentes versions médiévales de la Vie de sainte Marthe. Ainsi, nous passerons en revue le texte latin de la Vie de sainte Marthe de la pseudo-Marcelle, celui de la Légende dorée de Jacques de Voragine, quatre versions catalanes de la Vie — manuscrit de la BnF (M. es. 44), manuscrit de El Escorial (N‑III‑5), manuscrit de Vic (c. 174L) et l’incunable Flos sanctorum romançat (i) — et le poème en anglo-normand de Nicole Bozon, La vie seint Martha. L’analyse comparative de la représentation du dragon dans les versions énumérées ci-dessus nous mènera, dans un deuxième temps, à nous questionner sur la fonction de la Tarasque dans les textes de la Vie de sainte Marthe analysés.
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"Recensions / Reviews." Canadian Journal of Political Science 36, no. 2 (June 2003): 439–87. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423903778615.

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Анотація:
HOBERG, GEORGE, sous la direction de. La capacité de choisir : Le Canada dans une nouvelle Amérique du Nord. Par Denis Michaud 441LACOMBE, SYLVIE. La rencontre de deux peuples élus : comparaison des ambitions nationale et impériale au Canada entre 1896 et 1920. Par François Charbonneau 442MCBRIDE, STEPHEN. Paradigm Shift: Globalization and the Canadian State. By Dennis Pilon 445MCANDREW, MARIE. L'immigration et diversité à l'école. Le débat québécois dans une perspective comparative. Par Phyllis Dalley 447HOWLETT, MICHAEL, ed. Canadian Forest Policy: Adapting to Change. By Wyn Grant 448ADAMS, DUANE, ed. Federalism, Democracy and Health Policy in Canada. By Daniel Cohn 449LEESON, HOWARD A., ed. Saskatchewan Politics: Into the Twenty-First Century. By Paul G. Thomas 451CAMERON, DAVID R. AND GRAHAM WHITE. Cycling into Saigon: The Conservative Transition in Ontario. By Steve Patten 452FEREJOHN, JOHN, JOHN N. RAKOVE AND JONATHAN RILEY, eds. Constitutional Culture and Democratic Rule. By Michael Lusztig 453HIBBING, JOHN R. AND ELIZABETH THIESS-MORSE, eds. What Is It about Government That Americans Dislike? By Gus diZerega 454WINOCK, MICHEL. La Belle Époque. La France de 1900 à 1914. Par Pierre Simonneau 456MENDELSOHN, MATTHEW AND ANDREW PARKIN, eds. Referendum Democracy: Citizens, Elites, and Deliberation in Referendum Campaigns. By David Stewart 458IGNATIEFF, MICHAEL. Human Rights as Politics and Idolatry. By Brian Orend 459RIOUX, JEAN-FRANÇOIS, sous la direction de. La sécurité humaine : une nouvelle conception des relations internationales. Par Miguel de Larrinaga 460BALME, RICHARD, DIDIER CHABANET ET VINCENT WRIGHT, sous la direction de. L'action collective en Europe. Par Bernard Jouve 463COHEN, LENARD J. Serpent in the Bosom. The Rise and Fall of Slobodan Miloševic«. By Stanislav Kirschbaum 466DUSSOUY, GÉRARD. Quelle géopolitique au XXIe siècle? Par Juan-Luis Klein 467RASHID, AHMED. L'ombre des taliban. Par Sami Aoun 468LÉGARÉ, FRANÇOIS. Terrorisme. Peurs et réalité. Par Dany Deschênes 470TAYLOR, CHARLES. Varieties of Religion Today: William James Revisited. By Robert Meynell 472BALIBAR, ETIENNE ET GÉRARD RAULET, sous la direction de. Marx démocrate: Le manuscrit de 1843. Par Étienne Cantin 473PANITCH, LEO. Renewing Socialism: Democracy, Strategy, and Imagination. By Claudio Katz 475BAUM, BRUCE. Rereading Power and Freedom in J. S. Mill. By Wendy Donner 476CARTER, APRIL AND GEOFFREY STOKES, eds. Democratic Theory Today. By Boris DeWiel 478BARNARD, FREDERICK M. Democratic Legitimacy: Plural Values and Political Power. By Greg Pyrcz 479ZUCKER, ROSS. Democratic Distributive Justice. By Colin M. Macleod 480TSEBELIS, GEORGE. Veto Players: How Political Institutions Work. By Csaba Nikolenyi 482MAY, CHRISTOPHER. The Information Society: A Sceptical View; and WEBSTER, FRANK, ed. Culture and Politics in the Information Age: A New Politics. By Darin Barney 483HAMPSON, FEN OLIVER, NORMAN HILLMER AND MAUREEN APPEL MOLOT, eds. Canada among Nations 2001: The Axworthy Legacy; and HILMER, NORMAN AND MAUREEN APPEL MOLOT, eds. Canada among Nations 2002: A Fading Power. By Tom Keating 485

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