Добірка наукової літератури з теми "Mouches plates"

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Статті в журналах з теми "Mouches plates":

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Pedro M. Alarcón-Elbal, Holly M. Garrod, Spencer C. Schubert, and Alonso Santos Murgas. "New host species records of a parasitic fly (Diptera: Hippoboscidae) in montane forests of Hispaniola." Journal of Caribbean Ornithology 34 (June 3, 2021): 53–56. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2021.34.53-56.

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Анотація:
Abstract Hippoboscids or louse flies (Diptera: Hippoboscidae) are obligate hematophages highly specialized for an ectoparasitic life in the feathers or fur of avian or mammalian hosts, respectively. As part of an existing avian monitoring program in the Dominican Republic, two cases of parasitism by louse flies in a Black-faced Grassquit (Melanospiza bicolor) and a Green Heron (Butorides virescens) were reported. In the laboratory, the flies were examined and identified as the species Ornithoctona erythrocephala. This is the first time this hippoboscid has been observed parasitizing these two bird species, and indeed the first record of it parasitizing a species of the family Thraupidae. Keywords Caribbean, Dominican Republic, ectoparasite, Hippoboscidae, Hispaniola, Ornithoctona erythrocephala Resumen Nuevos registros de especies hospederas de una mosca parásita (Diptera: Hippoboscidae) en bosques montanos de La Española • Los hipobóscidos o moscas piojo (Diptera: Hippoboscidae) son hematófagos obligados altamente especializados para una vida ectoparásita en las plumas de las aves o el pelaje de los mamíferos hospederos. Como parte de un programa de monitoreo de aves que existe en la República Dominicana, se reportaron dos casos de parasitismo por moscas piojos en Melanospiza bicolor y Butorides virescens. En el laboratorio, las moscas fueron examinadas e identificadas como la especie Ornithoctona erythrocephala. Esta es la primera vez que se observa que este hipobóscido parasita a estas dos especies de aves y, de hecho, el primer registro de que parasita una especie de la familia Thraupidae. Palabras clave Caribe, ectoparásito, Hippoboscidae, La Española, Ornithoctona erythrocephala, República Dominicana Résumé Nouvelles mentions d’espèces hôtes d’une mouche parasite (Diptera : Hippoboscidae) dans les forêts de montagne d’Hispaniola • Les hippobosques ou mouches plates (Diptera : Hippoboscidae) sont des espèces hématophages obligatoires hautement spécialisées pour une vie ectoparasitaire dans les plumes des oiseaux ou la fourrure des mammifères. Dans le cadre d’un programme de suivi de l’avifaune en République dominicaine, deux cas de parasitisme par des hippobosques ont été signalés sur un Sporophile cici (Melanospiza bicolor) et un Héron vert (Butorides virescens). En laboratoire, les mouches ont été examinées et identifiées comme appartenant à l’espèce Ornithoctona erythrocephala. C’est la première fois que cet hippobosque est observé comme parasite de ces deux espèces d’oiseaux et comme parasite d’une espèce de la famille des Thraupidae. Mots clés Caraïbes, ectoparasite, Hippoboscidae, Hispaniola, Ornithoctona erythrocephala, République dominicaine
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Breitenmoser, Stève. "In Memoriam: Dr. Jacques Derron – agronome et entomologiste (1945–2022)." Alpine Entomology 6 (December 6, 2022): 153–54. http://dx.doi.org/10.3897/alpento.6.98192.

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Анотація:
C’est un vendredi, le 29 juillet 2022, que Jacques nous a quitté subitement dans sa 77ème année. Jacques Derron, né le 16 septembre 1945 au Vully, a effectué la majorité de sa carrière à Agroscope, sur le site de Changins, dans le service d’entomologie dont il prit la tête jusqu’à sa retraite en 2008. Issu d’une famille d’agriculteurs, Jacques grandit dans le Vully au bord du Lac de Morat où tout petit il s’émerveille déjà devant les batraciens et autres insectes qu’il observe dans sa région. Il accomplit sa scolarité au Vully, à Fribourg et à Neuchâtel où il obtient la maturité scientifique. Il choisit ensuite d’étudier l’agronomie à l’EPFZ où il est très vite attiré par l’entomologie et séduit par la production intégrée. C’est ainsi qu’il consacre son travail de diplôme à la lutte biologique contre la Mouche de la cerise. Il part ensuite, avec son épouse Monique, également ingénieur agronome, pour l’île de São Tomé (Golfe de Guinée). Pendant trois ans, il y effectue des recherches sur l‘entomofaune dans les plantations de cacao et y découvre, entre autres, de nouvelles espèces dont toute une série de coccinelles, parmi lesquelles Nephus derroni et Thea moniqueae. Ces recherches aboutissent à sa thèse de doctorat défendue en 1977: «Approche écologique de l’entomofaune des cacaoyères de São Tomé», sous la direction du Prof. Dr. V. Delucchi, Institut d’Entomologie EPFZ. La même année, Jacques intègre le Service phytosanitaire du canton de Genève où il se consacre notamment à la jaunisse nanisante de l’orge et ses vecteurs, à savoir les pucerons. A cette époque, il s’intéresse déjà beaucoup à la thématique des seuils d’intervention contre les ravageurs des cultures. Ceci afin de pouvoir offrir aux agriculteurs un outil décisionnel permettant de savoir si une intervention phytosanitaire dans les cultures est justifiable et rentable. Après cette période genevoise, Jacques postule à Agroscope, appelé encore Station fédérale de recherches agronomiques de Changins. Il y est engagé en janvier 1980 dans le Service d’entomologie. Il travaille alors sur de nombreux thèmes, notamment les questions épidémiologiques liées aux vecteurs de virus dans les pommes de terre et les céréales, la recherche de solution aux dégâts d’insectes du colza et les premiers cas de résistances aux insecticides, l’élaboration de seuils d’intervention et la participation active à la lutte biologique à l’aide des Trichogrammes contre la pyrale du maïs. Cette dernière, s’avère plus que jamais d’actualité avec la recherche d’alternatives durables dans la gestion des bioagresseurs des plantes. De ces travaux découlent de nombreux échanges avec des collègues au niveau national, notamment avec les interlocuteurs cantonaux, l’interprofession, les firmes, les agriculteurs, tout comme à l’international avec notamment le projet Euraphid. Pendant plusieurs années il donne, avec des collègues de divers domaines comme la phytopathologie, des cours sur la production intégrée aux étudiants d’agronomie à l’EPFZ. Il est un des membres fondateurs de la Société suisse de Phytiatrie qui se charge de l’étude des facteurs contribuant à la conservation et à l‘amélioration de la santé des plantes. Parallèlement à cette thématique «d’insectes ravageurs des cultures», Jacques avait bien compris que pour trouver des solutions phytosanitaires, il fallait comprendre le système dans son ensemble, c’est-à-dire l’étude synécologique dans l’espace agroenvironnemental. Il a donc étudié les échanges entre espèces, notamment les relations entre auxiliaires et ravageurs, ainsi que la biodiversité dans la zone agricole. Il prit part aux projets de mise en place et d’évaluation des premières surfaces de promotion de la biodiversité (appelée jadis surfaces de compensation écologique) avec ses collègues de Reckenholz et de nombreux partenaires dont l’OFAG, Agridea (SRVA), le Fibl, le WSL, la Station ornithologique suisse, les Universités de Bâle et Berne. Cela l’a conduit à étudier la faune carabique des surfaces cultivées ainsi que des milieux semi-naturels. Il participa d’ailleurs au récent travail de terrain pour la réactualisation de la Liste rouge des carabes sous l’égide d’Info Fauna/CSCF. Arrivé à la retraite, il se passionne pour les champignons, encore un monde … sans fin, qu’il va étudier sans relâche. Mais comme tous les chemins mènent à l’entomologie, Jacques faisait de belles découvertes de coléoptères mycétophages ou fongicoles trouvés dans des champignons qu’il me faisait partager. Pour l’anecdote, je me souviens, il y a peu, qu’il m’avait envoyé le plus petit coléoptère existant en Europe, à savoir Baranowskiella ehnstromi, trouvé dans un champignon lignicole sur saule. Jacques a publié de nombreux articles scientifiques sur la thématique de la protection des plantes et de l’entomologie. Il a aussi formé de nombreux apprentis laborantins et suivis des travaux de diplômes et thèses de doctorat. Il était membre de la Société suisse de Phytiatrie, de la Société suisse d’entomologie, des Sociétés de mycologie de Fribourg et de La Côte. Au moment de son décès, il était impliqué dans le projet «Inventaire des Champignons de la Grande Cariçaie». Jacques était un grand scientifique, toujours intéressé à comprendre le monde qui nous entoure. Il était également un amoureux des voyages, tout particulièrement des îles volcaniques (en souvenir de São Tomé), qu’il visitait avec son épouse et leurs deux filles. Il appréciait aussi grandement la lecture, notamment les traités historiques et géopolitiques, ainsi que la musique classique. Pour moi, Jacques était avant tout un homme généreux avec qui il faisait bon discuter et partager de bons moments d’amitié. Jacques, mon ami, tu vas nous manquer.

Дисертації з теми "Mouches plates":

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Defaye, Baptiste. "Etude des agents pathogènes dans les populations animales de zones humides en Corse et implications en termes de santé animale et humaine." Electronic Thesis or Diss., Corte, 2022. http://www.theses.fr/2022CORT0009.

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Анотація:
La Corse est une île méditerranéenne française marquée par de fortes activités humaines et animales au sein de différents biotopes. Parmi ces biotopes, les plus marquants sont les zones humides. Au sein du territoire Corse, sept catégories de zones humides ont été dénombrées, allant de zones humides temporaires, telles les mares et les estuaires temporaires, à des zones permanentes de grande taille, telles les lagunes littorales. Ces zones sont des zones clef des activités humaines (agricoles, touristiques, récréatives), animales (agriculture, abreuvages, repos, migration) et favorables à la prolifération et à la circulation d’agents pathogènes et de leurs vecteurs. C’est dans ce contexte que nous avons mis en place cette étude, basée sur la recherche d’agents pathogènes dans différents groupes d’animaux et leurs vecteurs dans les zones humides de Corse. Elle s’est focalisée sur trois groupes d’animaux. Le premier est celui des mammifères sauvages, ayant pour modèle le sanglier. Le deuxième groupe est celui des animaux d’élevages Corse. Le troisième est celui de l’avifaune. Lors de notre étude, 601 tiques ont été collectées, réparties dans 4 genres différents : Dermacentor spp. (D. marginatus), Hyalomma spp. (Hy. marginatum et Hy. scupense), Ixodes spp. (I. acuminatus/ventalloi, I. arboricola/lividus, I. frontalis et I. ricinus) et Rhipicephalus spp. (Rh (Bo). annulatus, Rh. bursa et Rh sanguineus s.l.). Parmi ces genres, des préférences d’infestations ont été observées, comme cela a été le cas pour le genre Dermacentor pour le sanglier, le genre Rhipicephalus pour les bovins et le genre Ixodes pour l’avifaune. En complément des tiques collectées, 37 mouches plates de l’espèce Ornithomya biloba ont été collectées sur l’avifaune migratrice. Il s’agit de leur première identification sur le territoire Corse. Par le biais d’un outil de PCR micro-fluidique en temps réel à haut débit (BioMarkTM dynamic arrays, Fluidigm Corporation, USA), 34 espèces et 11 genres de bactéries, parasites et virus ont été recherchés dans les trois groupes d’animaux cibles. En complément, les virus Usutu et West Nile virus l’ont été dans les échantillons de l’avifaune. Six genres d’agents pathogènes ont été détectés dans les ectoparasites et dans les animaux : trois genres bactériens (Anaplasma, Ehrlichia, Rickettsia), deux genres de parasites (Babesia, Trypanosoma) et un genre viral (Flavivirus). Parmi ces différents genres, certaines espèces ont été identifiées pour la première fois en Corse comme c’est le cas pour : Rickettsia helvetica dans les tiques de l’avifaune, Ehrlichia chaffeensis dans les tiques et oiseaux échantillonnés et Anaplasma capra dans des élevages d’ovins. La présence de certains agents pathogènes a également été confirmée dans des zones humides telles que des bactéries des genres Rickettsia dans des tiques de sangliers et bovins, Anaplasma dans des élevages d’ovins et bovins, Babesia dans les tiques de sangliers et bovins ainsi que dans les populations de sangliers, Trypanosoma dans les populations de bovins et le West Nile virus dans l’avifaune
Corsica is a French Mediterranean island marked by strong human and animal activities within different biotopes. Among these biotopes, the most outstanding are the wetlands. Within the Corsican territory, seven categories of wetlands have been counted, ranging from temporary wetlands such as ponds and temporary estuaries to large permanent areas such as coastal lagoons. These areas are key areas for human (agricultural, tourist, recreational) and animal (agriculture, watering, resting) activities. Due to their characteristics, these habitats are important in public health by their role in the proliferation and circulation of pathogens and their vectors. In the context of Corsica, the sanitary importance of wetlands is all the more important due to the insular context in the Mediterranean, which makes these areas points of resting for animal migrations such as avifauna. This favorable context for the research of pathogens in groups of animals and their vectors in Corsica wetlands was the target in our study. It focused on three groups of animals. The first one is the wild mammals where we focused on the wild boar. The second group is that of the animals of the corsican breeding. The third and last group is the avifauna. During our study, a total of 601 ticks were collected. They are composed of 4 different genera: Dermacentor spp. (D. marginatus), Hyalomma spp. (Hy. marginatum and Hy. scupense), Ixodes spp. (I. acuminatus/ventalloi, I. arboricola/lividus, I. frontalis, and I. ricinus), and Rhipicephalus spp. (Rh(Bo). annulatus, Rh. bursa, and Rh sanguineus s.l.). Among these genera, infestation preferences were observed, as for the genus Dermacentor for wild boar, the genus Rhipicephalus for cattle and the genus Ixodes for avifauna. In addition to the ticks collected, 37 loose flies of the species Ornithomya biloba were collected from migratory avifauna. This is their first identification on the Corsican territory. Using a high throughput real-time micro-fluidic PCR tool (BioMarkTM dynamic arrays, Fluidigm Corporation, USA), a total of 34 species and 11 genera of bacteria, parasites and viruses were searched for in the three target animal groups. In addition, Usutu and West Nile viruses were tested in avian samples. A total of six pathogen genera were detected in ectoparasites and animals: three bacterial genera (Anaplasma, Ehrlichia, Rickettsia), two parasite genera (Babesia, Trypanosoma) and one viral genus (Flavivirus). Among these different genera, some species have been identified for the first time in Corsica as it is the case for: Rickettsia helvetica in avifauna ticks, Ehrlichia chaffeensis in sampled ticks and birds and Anaplasma capra in sheep farms. The presence of some pathogens was also confirmed in wetlands such as bacteria of the genera Rickettsia in wild boar and cattle ticks, Anaplasma in sheep and cattle farms, Babesia in wild boar and cattle ticks as well as in wild boar populations, Trypanosoma in cattle populations and West Nile virus in avifauna
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Issa, Mze Hassani. "Études écologiques des mouches des fruits (diptera tephritidae) nuisibles aux cultures fruitières aux Comores." Thesis, La Réunion, 2017. http://www.theses.fr/2017LARE0001/document.

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Анотація:
De nombreuses invasions par les mouches des fruits de la famille des Tephritidae sont observées dans le monde. C'est notamment le cas aux Comores, de par sa position géographique et de ses importations de produits frais depuis les pays voisins. Afin de déterminer les stratégies nécessaires permettant de diminuer les populations de plusieurs espèces de cette famille, il est indispensable de disposer d'un état des lieux sur l'écologie et la distribution des espèces présentes dans l'archipel. Les objectifs de cette thèse étaient : i) d'inventorier les espèces de Tephritidae présentes aux Comores et d'analyser les fluctuations saisonnières des populations en lien avec les facteurs climatiques et la phénologie des principales plantes-hôtes, ii) de déterminer la gamme de plantes-hôtes des principales espèces et iii) d'inventorier les parasitoïdes indigènes des Tephritidae et de suivre l'acclimatation du parasitoïde Fopius arisanus introduit à partir de 2013. Afin de mener à bien ces objectifs, un suivi hebdomadaire d'un réseau de piégeage ainsi que la phénologie des plantes présentes dans les îles Grande-Comore, Mohéli et Anjouan, a été réalisé durant une période deux ans. De même, des fruits cultivés et sauvages ont été échantillonnés dans différentes régions de la diversité écoclimatique de l'île de la Grande-Comore durant une période de trois ans. Cinq espèces de mouches de fruits ont été retrouvées dans l'ensemble de l'archipel à partir du réseau de piégeage : Bactrocera dorsalis, Ceratitis capitata, Dacus bivittatus, Dacuspunctatifrons et Dacus ciliatus. Une forte dominance de l'espèce envahissante B. dorsalis a été observée à toutes les saisons et dans tous les sites. La densité des espèces de Tephritidae était plus importante durant la saison chaude et humide que pendant la saison fraiche et sèche. De plus, les résultats ont montré une forte abondance de B. dorsalis dans les régions humides de basses altitudes alors que C. capitata, subsiste dans les régions sèches et d'altitude plus élevée. Les résultats suggèrent un phénomène de séparation de niches entre ces deux espèces liée au climat. Parmi 42 espèces de fruits échantillonnées apparentant à 22 familles de plantes, 22 fruits de 11 familles étaient infestés par des Tephritidae. Six espèces de mouches des fruits ont émergées des fruits échantillonnés avec une large dominance (91%) de B. dorsalis. Cette dernière espèce occupe une large gamme de plantes-hôtes (16 espèces), utilisant des fruits préalablement infestés par C. capitata. Quatre espèces de parasitoïdes de la famille des Braconidae, sous-famille d'Opiinae ont émergés des fruits dont l'espèce introduite F. arisanus. Cependant très peu d'individus ont été retrouvés pour le moment et il sera nécessaire de suivre l'acclimatation du parasitoïde, en termes de taux de parasitisme, de distribution et de gamme de fruit et d'espèces de Tephritidae hôtes
Numerous invasions by fruit flies of the Tephritidae family are observed worldwide. This is particularly the case in Comoros, because of its geographical position and its imports of fresh products from neighboring countries. In order to determine the strategies necessary to reduce the populations of several species of this family, it is essential to have a current status on the ecology and distribution of the species present in the archipelago. The objectives of this thesis were to: (i) inventory the Tephritidae species present in Comoros and analyze the seasonal fluctuations of populations in relation to climatic factors and phenology of the main host plants, (ii) determine the host plants range of the main species and (iii) inventory the Tephritidae indigenous parasitoids and follow the acclimatization of theparasitoid Fopius arisanus introduced since 2013. In order to achieve these objectives, a weekly monitoring of a trapping network as well as plants phenology present in Grande-Comore, Mohéli and Anjouan islands was carried out during a period of two years. Similarly,cultivated and wild fruits were sampled in different regions of the ecoclimatic diversity of Grande-Comore island during a period of three years. Five fruit fly species were found throughout the archipelago from the trapping network: Bactrocera dorsalis, Ceratitis capitata, Dacus bivittatus, Dacus punctatifrons and Dacus ciliatus. High dominance of the invasive species B. dorsalis was observed at all seasons and at all sites. The density of Tephritidae species was greater during the hot and wet season than during the cool and dry season. In addition, the results showed a high abundance of B. dorsalis in humid regions of low altitudes while C. capitata, persists in dry regions of higher elevation. The results suggest a niche separation phenomenon between these two species related to climate. Among 42 fruit species sampled from 22 plant families, 22 fruits belonging to 11 families were infested with Tephritidae. Six fruit fly species have emerged with a large dominance (91%) of B. dorsalis. The latter species occupies a wide range of host plants (16 species), using fruits previously infested with C. capitata. Four parasitoids species of Braconidae subfamily Opiinae have emerged in fruits including introduced species F. arisanus. However, very few individuals have been found at this timeand it will be necessary to follow acclimatization of the parasitoid in terms of parasitism rates, distribution and host fruit and Tephritidae species range
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Josso, Céline. "Écologie des interactions entre la mouche du chou Delia radicum et ses ennemis naturels : de la parcelle au paysage." Rennes 1, 2012. http://www.theses.fr/2012REN1S157.

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L'objectif de ce travail de thèse était de comprendre les interactions entre la mouche du chou, Delia radicum, et ses principaux ennemis naturels dans un paysage agricole. Pour cela, nous avons mené une étude pluridisciplinaire, en utilisant des approches paysagères et de génétique des populations et en travaillant à plusieurs échelles spatiales, depuis celle de la plante jusqu'à celle du paysage. Nous avons mis en évidence des éléments du paysage et des pratiques de travail du sol limitant la colonisation des parcelles et les dégâts occasionnés par D. Radicum, et favorisant la régulation naturelle par ses prédateurs et parasitoïdes. Nous avons observé une faible structuration des populations du ravageur pouvant être attribuée à des capacités de dispersion ou des densités de population élevées. Les deux espèces de parasitoïdes ont montré une structuration des populations plus marquée, suggérant des déplacements d'individus plus restreints que leur hôte. Chez ces espèces, la distance géographique ne semble pas constituer un facteur essentiel dans la structuration des populations. Enfin, à une échelle plus fine, nous avons déterminé le comportement d'exploitation des ressources par la mouche du chou et son parasitoïde A. Bipustulata. L'agrégation des pontes de D. Radicum résulte d'une exploitation de certaines plantes par plusieurs femelles, chacune déposant un nombre limité d'œufs. Entre chaque évènement de ponte, les femelles semblent réaliser des déplacements très limités. De leur côté, les femelles du parasitoïde généraliste A. Bipustulata utilisent vraisemblablement de manière successive des indices olfactifs liés à la plante hôte puis à son hôte D. Radicum dans la séquence comportementale précédant la ponte
The aim of the present thesis was to understand the interactions between D. Radicum and its main natural enemies in an agricultural landscape. To do so, we have carried out a multidisciplinary study, using landscape and population genetics approaches and working at different special scales ranging from the plant to the landscape. We found that some landscape elements and agricultural practices limiting field colonization and crop damages by D. Radicum and favoring its regulation by predators and parasitoids. After developing microsatellite markers, we characterized the genetic structure of their populations. We observed a weak genetic structure in pest populations, possibly due to high dispersal capability or high population densities. The two parasitoid species had a stronger population structure, suggesting a more limited dispersion than their host. The specialist parasitoid Aleochara bilineata shows the strongest genetic structure. In those species, geographic distance does not seem to be essential to population genetic structure. Finally, at a fine scale, we have determined the resource exploitation behavior of D. Radicum and its parasitoid A. Bipustulata. The clustering of D. Radicum eggs results from some plants being exploited by several females laying a few eggs each. Between each laying bout, females seem to move very little. Females of the generalist parasitoid A. Bipustulata apparently use successively odoriferous cues linked to the host plant then cues linked to their host D. Radicum during the behavioral sequence preceding egg-laying
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Ouedraogo, Sylvain. "Dynamique spatio-temporelle des mouches des fruits (Diptera Tephritidae) en fonction des facteurs biotiques et abiotiques dans les vergers de manguiers de l'ouest du Burkina Faso." Thesis, Paris Est, 2011. http://www.theses.fr/2011PEST0096.

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Анотація:
Ravageurs de quarantaine, les mouches des fruits (Diptera : Tephritidae) constituent unecontrainte importante à l’exportation de la mangue au Burkina Faso. L’objectif de cette étudeétait d’améliorer nos connaissances sur l’écologie de ces ravageurs. Entre décembre 2007 etdécembre 2009, 1156598 Tephritidae ont été capturés dans 7 vergers présentant 8 cultivarsdifférents. Pendant cette période, l’évolution de la température, de l’hygrométrie et de lapluviométrie a été notée. 19764 mangues ont été collectées et observées afin de déterminerleur niveau d’infestation par ces insectes. Dix-huit espèces des genres Bactrocera, Ceratitis,et Dacus ont été identifiées, B. invadens et C. cosyra étant les plus abondantes. Les pics despopulations de mâles et de femelles, apparaissent entre mai et juin selon les sites. Les femelles,présentent aussi un pic en période de floraison des manguiers. Sept espèces de Tephritidaeinfestent les mangues et l’incidence moyenne de leurs dégâts varie entre 0% (Sabre) et 12,5%(Keitt), Keitt et Brooks sont les cultivars les plus infestés. 64% de ces dégâts sont causés parB. invadens et 31% par C. cosyra. L’inventaire des essences ligneuses autour de ces sites ainsique la collecte et l’incubation de leurs fruits entre avril 2008 et décembre 2009 ont aussi étéeffectués. 105 ligneux ont été recensés autour des vergers. Les fruits de 13 d’entre eux sontinfestés par 7 espèces de Tephritidae dont 6 se retrouvent aussi dans les mangues. Il s’agitsurtout de C. cosyra mais aussi de C. silvestrii, C. puntata et B. invadens.Ce travail montre les corrélations significativees entre les facteurs climatiques, la fluctuationdes populations, et les dégâts observés. Les espèces ligneuses alentours sont des refugespermettant le maintien des populations même hors saison de la mangue. Ces résultatsnouveaux permettent l’adaptation de la lutte contre ces ravageurs économiquement importantsau contexte agro-écologique de notre zone d’étude
Classified as a quarantine pest, mango fruit flies (Diptera Tephritidae) are an importantconstraint for mango exportation from Burkina Faso. The main objective of this study was theenhanced understanding of the ecology of mango’s Tephritids. 1156598 Tephritid flies weretraped from December 2007 to December 2009 in 7 mango orchards. During this monitoring,temperature, relative humidity and rainfalls were registered. 19764 mango fruits from 8cultivars were collected and obsreved during mango season in order to assess fruit fliesdamages. Eighteen Tephritids species notably from Bactrocera, Ceratitis and Dacus genuswere identified and B. invadens and C. cosyra are the dominant ones. The population peaks ofmales and females appear in the months of May & June according to the sites. The femalespresent a peak during the flowering period also of the mango trees. Seven species of mangoinfesting fruit flies have been identified and the incidence of this infestation varies between0% (Sabre) and 12.5% (Keitt). Keitt and Brooks are the most infested mango cultivars. 64 %of these damages are caused by B. invadens while 31 % by C. cosyra. The inventory of thewoody plants around these sites as well as the collection and the incubation of their fruitsbetween April 2008 and December 2009 were also carried out. 105 woody trees had beenlisted around the mango orchards. Out of which, the fruits of 13 trees were found infested by7 species of Tephritids, of which, 6 are also found in mangos. It is especially C. cosyra butalso C. silvestrii, C. puntata and B. invadens.This work shows significant correlations between Tephiritids population fluctuations, climaticfactors and mango damages. The woody species around mango tree orchards shelter thesepests even after mango season. These new results allow the adaptation of the mango fruit fliescontrol methods in the particular agro-ecological area of our study zone
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Lamy, Fabrice. "Comprendre et manipuler la communication entre les plantes et les insectes pour protéger les cultures : vers l’élaboration d’une stratégie « Push-Pull » pour lutter contre la mouche du chou (Delia radicum)." Thesis, Rennes 1, 2016. http://www.theses.fr/2016REN1B025/document.

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Анотація:
Au sein des écosystèmes, les Composés Organiques Volatils (COVs) émis par les plantes jouent un rôle majeur dans les interactions trophiques. Ces signaux olfactifs vont renseigner les insectes phytophages sur la présence de leurs hôtes mais permettent aussi de recruter les ennemis naturels. Il a été montré que certains de ces composés pouvaient être utilisés pour manipuler le comportement des insectes phytophages s’attaquant aux cultures. La stratégie push-pull, vise à combiner des stimuli positifs et négatifs pour un insecte ravageur afin de le repousser d’une culture tout en l’attirant sur une plante piège implantée en périphérie du champ où il pourra être contrôlé. L’objectif de cette thèse est d’améliorer notre compréhension et nos connaissances sur la manipulation de la communication chimique entre les plantes et les insectes phytophages à l’aide de COVs de synthèse et de préférence d’hôte afin de mettre en place sur le terrain une stratégie de type push-pull pour protéger une culture de la mouche du chou (Delia radicum). Dans un premier chapitre, nous montrons que dans un système push-pull composé (i) de diffuseur de diméthyldisulfure DMDS (composante push) et (ii) d’une bordure de choux chinois supplémenté avec de l’acétate d’hexenyl (Z-3-HAC) (composante pull), il est possible de modifier fortement le comportement d’oviposition de D. radicum sans impacter de façon négative ses principaux ennemis naturels. Les limites agronomiques et d’utilisation du DMDS atteintes, nous avons recherché d’autres COVs ayant un effet répulsif. Lors d’une seconde expérimentation en push-pull, l’eucalyptol (1-8 cinéol) à permis de réduire le nombre de pupes de D. radicum retrouvées aux pieds des plants de brocoli de 60%. Suite à ce résultat encourageant, nous avons qualifié au laboratoire l’effet inhibiteur de ce monoterpène sur l’oviposition de la mouche du chou et en avons conclu qu’il permet de masquer le bouquet de COVs attractif d’un hôte. L’efficacité de la composante push étant fortement liée à la diffusion des COVs, nous avons ensuite testé au laboratoire et sur le terrain un nouveau type de diffuseur à base de cires végétales, permettant d’émettre l’eucalyptol de manière passive mais régulière pendant plusieurs semaines. L’étude réalisée montre le fort potentiel du diffuseur qui est à la fois bon marché, facile d’utilisation et fiable en terme de diffusion, permettant ainsi d’envisager son utilisation dans des stratégies de lutte intégrée à grande échelle. Parallèlement à l’étude de la composante push, nous avons cherché à améliorer l’efficacité de la composante pull. Le chou chinois (Brassica rapa) permet grâce à sa forte attractivité de capter et détourner la pression de phytophagie de la culture d’intérêt. Nous montrons qu’au sein de sa grande diversité, certaines variétés comme Richi (appartenant à la sous espèce pekinensis) sont préférentiellement attaqué par la mouche du chou, ce qui en fait de bons candidats au développement d’une composante pull efficace. A la lumière de la bibliographie et de nos résultats, nous proposons une réflexion générale sur le système étudié. Ainsi, nous concluons que, au moins dans le cas de la mouche du chou, les COVs ne peuvent probablement pas être les seuls outils considérés dans le développement d’une stratégie push-pull
Within ecosystems, Volatile Organic Compounds (VOCs) emitted by plants play a major role in trophic interactions. These olfactive signals will inform phytophagous insects about the presence of their hosts, but they also allow to recruit their natural enemies. It has been shown that some of these compounds could be used to manipulate the behaviour of insect crop pests. The push-pull strategy aims at combining positive and negative stimuli to push a pest out of a crop and lure it into a trap crop located in the periphery of the field, where it can be controlled. The objective of this thesis is to improve our understanding and our knowledge on the manipulation of chemical communication between plants and phytophagous insects, using synthetic VOCs and host preference as tools, to protect a crop against the cabbage root fly (Delia radicum). In a first chapter, we show that in a push-pull made of (i) DMDS dispensers as a push component and (ii) chinese cabbage strips supplemented with hexényl acetate (Z-3-HAC) as a pull component, it is possible to strongly reduce oviposition behaviour in D. radicum without impacting its natural enemies. Agronomic limits to the use of DMDS led us to search for other repulsive VOCs. In a second push-pull field experiment, using eucalyptol (1-8 cinéol), reduced by 60% the number of D. radicum pupae produced in the crop. This encouraging result led us to characterize the inhibition effect of this monoterpene in the lab and concluded that it allows to mask the attractive blend of VOCs released by the host. The efficiency of the push component being strongly linked to that of the VOC diffusion, we have then tested both in the laboratory and in the field a new kind of dispenser made of vegetal waxes, allowing to diffuse eucalyptol passively but regularly during several weeks. This study shows the good potential of this device, which is affordable, easy to use and reliable in terms of diffusion, in integrated pest management strategies at a large scale. In parallel of our studies on the push component, we have also sought to increase the efficiency of the pull component. Thanks to its strong attractivity toward D. radicum, Chinese cabbage (Brassica rapa), allows to divert pest pressure from the cash crop. We show that within its important genetic diversity, some cultivars such as Richi (of the pekinensis subspecies) are preferentially attacked by D. radicum, which makes them good candidates to develop an efficient pull component. Using both the literature and our own results, we finally propose a general discussion on the system studied. We conclude that, at least in the case of the cabbage root fly, VOCs are probably not the sole tools to consider when trying to develop a push-pull strategy

Книги з теми "Mouches plates":

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de, Meyer Marc, and Musée royal de l'Afrique centrale., eds. Annotated check list of host plants for afrotropical fruit flies (Diptera: Tephritidae) of the genus Ceratitis =: Liste commentée des plantes hôtes des mouches des fruits (Diptera: Tephritidae) afrotropicales du genre Ceratitis. Tervuren, Belgique: Musée royal de l'Afrique centrale, 2002.

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