Добірка наукової літератури з теми "Paiement numérique"

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Статті в журналах з теми "Paiement numérique":

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Stoeklé, Henri-Corto, Ninon Forster, Philippe Charlier, Oudy C. Bloch, Christian Hervé, Mauro Turrini, and Guillaume Vogt. "Le partage des données génétiques : un nouveau capital." médecine/sciences 34, no. 8-9 (August 2018): 735–39. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183408022.

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Анотація:
En l’espace de trois décennies, différentesbiotechs, principalement nord-américaines, sont devenues expertes dans la production, le traitement et l’analyse de volumes considérables de données génétiques. Elles ont dépassé celles des plateformes académiques habituelles grâce à l’appropriation d’un nouveau modèle économique : celui de « marché biface ». Ainsi, en appliquant les idées duweb 2.0, cesbiotechs, interdites en France, permettent aujourd’hui à des millions d’usagers de produire et de « partager » des données, en particulier génétiques, entre eux ou avec des tiers à travers un réseau numérique riche en informations et en services « gratuits ». Mais en réalité, la donnée est devenue un moyen de paiement pour l’accès à ces réseaux et l’usage de ces services. À l’ère de l’économie numérique, le partage des données est devenu synonyme d’échange commercial et la donnée génétique synonyme de capital.
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BENYACOUB, Bouchra, and Hanane AZIRAR. "Utilisation de paiement mobile au temps de crise et réduction des inégalités d’accès aux services." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 4 (July 27, 2021): 455–77. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i4.115.

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Анотація:
L’inclusion financière a suscité au cours de ces dernières années un intérêt grandissant de la part des organismes internationaux, des régulateurs du secteur financier ainsi que des pouvoirs publics. Cette tendance traduit une prise de conscience du rôle que peuvent jouer les services financiers dans la promotion d’une croissance inclusive et la concrétisation des objectifs de développement durable notamment en favorisant la réduction de la pauvreté et des disparités entre les genres. Au Maroc plusieurs stratégies ont été mises en place pour réduire les inégalités d’accès aux services financiers. Avec le lancement du paiement mobile en 2016, les pouvoirs publics ambitionne de généraliser l’accès des populations défavorisées aux services financiers. L’objet de cette étude est d’évaluer l’effet du mobile money sur la réduction des inégalités d’accès aux services financiers numériques. L’éstimation d’un modèle composé de 7 variables sur un échantillon de 156 personnes au Maroc révèle que le mobile money réduit significativement les inégalités d’accès aux services financiers. En effet, il ressort que deux variables ont un effet significatif sur la réduction des inégalités d’accès aux services financiers à savoir l’âge et le revenu. Il ressort aussi que le manque de confiance, de provision et d’éducation financière jouent un rôle important dans l’exclusion financière.
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McGuigan, Lee, and Graham Murdock. "The Medium is the Marketplace: Digital Systems and the Intensification of Consumption." Canadian Journal of Communication 40, no. 4 (November 11, 2015). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2015v40n4a2948.

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Анотація:
Taking Marx’s analysis as the point of departure, and drawing on a range of concrete examples, this article argues that rather than concentrating on the “new” forms of social and economic intercourse animated by digital media, and especially internet-enabled mobile devices, critical analysis needs to trace the ways in which digital consumption is intensifying the progressive integration of marketing, marketplaces, and forms of payment that have been central to the generation of surplus value and the maintenance of “business as usual,” from the emergence of the modern consumer system at the turn of the twentieth century.Cet article a recours d’abord à l’analyse de Marx puis à un éventail d’exemples concrets pour soutenir que l’analyse critique, plutôt que de se concentrer sur de « nouvelles » formes d’interaction sociale et économique engendrées par les médias numériques, y compris en particulier parmi ces derniers les appareils mobiles avec accès internet, a besoin de recenser les manières dont la consommation numérique est en train d’intensifier l’intégration graduelle du marketing, des marchés et des modes de paiement qui ont été au centre de la création de plus-value et du maintien du statu quo à partir de l’émergence du système de consommation moderne au début du vingtième siècle.
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Schallum, Pierre, and Italis Olson. "Les systèmes de paiement mobile à l’ère de la Covid-19 : sécurité, vie privée et confiance numérique." Technologie et innovation 6, no. 1 (2021). http://dx.doi.org/10.21494/iste.op.2021.0598.

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Larue, Louis. "Focus 26 - janvier 2021." Regards économiques, January 28, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.01.28.01.

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Анотація:
Les crypto-monnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, animent le débat public depuis au moins 10 ans. A leur avènement, les banques centrales se sont montrées pour le moins frileuses. Ainsi, dans un rapport publié en 2013, la Banque centrale européenne (BCE) avertissait que la nature non réglementée de ces monnaies pourrait exposer leurs utilisateurs à des risques élevés. Plusieurs années plus tard, les banquiers centraux reconnaissent maintenant leur potentiel. La Banque d'Angleterre, la Banque centrale suédoise et la BCE étudient toutes intensément la possibilité d'émettre leur propre monnaie numérique (ci-après dénommée «monnaie numérique de banque centrale» ou «central bank digital currencies» en anglais). Cet enthousiasme est-il justifié ? Les banques centrales devraient-elles créer leur propre monnaie numérique ? Ce focus de Regards économiques présente d’abord brièvement ce que sont ces monnaies. Il expose ensuite les raisons justifiant leur éventuelle introduction et détaille finalement les risques qu’elles pourraient poser. Notons tout d’abord que ces monnaies ne sont pas une copie «publique» des crypto-monnaies privées. Les banques centrales rejettent en effet la nature décentralisée et l’absence de gouvernance unifiée du Bitcoin et des crypto-monnaies similaires. Par ailleurs, la nature «numérique» de ces nouvelles monnaies n’est pas vraiment une innovation. La majorité de la masse monétaire prend déjà une forme numérique. A côté de la monnaie «physique» (pièces et billets), la plus grande partie de notre monnaie est constituée de dépôts bancaires privés et de dépôts à la banque centrale (la monnaie de réserve). Pour l'instant, seules les banques et certaines institutions financières ont accès aux réserves de la banque centrale. La véritable innovation au cœur des monnaies numériques de banque centrale serait de donner aux particuliers et aux entreprises la possibilité de détenir de l'argent sous forme de dépôts directement auprès de la banque centrale. En somme, les monnaies numériques de banques centrales, malgré leur nom, ne formeraient pas une nouvelle monnaie, mais plutôt un nouveau moyen de payement, labellisé en euros, et de valeur équivalente à l’euro. Pour quelles raisons une banque centrale pourrait-elle donner cette opportunité à toutes et tous ? Une première raison est liée à la dépendance des banques centrales vis-à-vis du système financier. Le système financier moderne est basé sur une certaine division du travail entre les banques commerciales qui sont chargées de prêter de l'argent au secteur productif, et les banques centrales qui supervisent les premières et tentent d'influencer l'économie par des interventions sur les marchés financiers. Schématiquement, ces dernières tentent de peser sur le comportement des premières de deux manières : soit en modifiant le taux d’intérêt auquel les acteurs financiers peuvent leur emprunter de l’argent, soit via l’achat ou la vente d’actifs financiers. Cela signifie que les banques centrales n'ont qu'une influence indirecte sur l'économie productive et qu'elles dépendent des banques commerciales pour canaliser la politique monétaire. Lors de la crise financière de 2007-2008, par exemple, la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales a conduit les premières à injecter des milliards d'euros et de dollars sur les marchés financiers, dans l'espoir que les banques commerciales utilisent cet argent pour des investissements productifs. Or, l’efficacité de ces politiques est loin d’être démontrée. D’aucuns s’effraient que cette situation ne génère des bulles spéculatives et ne privilégie indûment les banques commerciales, sans que ces dernières ne financent l’économie productive à la hauteur des espérances des banquiers centraux. La mise en œuvre de monnaies numériques de banque centrale à grande échelle pourrait modifier radicalement cette situation. Cela offrirait un système de paiement alternatif qui ne serait pas géré par le secteur bancaire commercial. Les citoyens pourraient également choisir de placer leurs économies sur un compte à la banque centrale qui, par définition, serait plus sûr qu’un compte dans une banque commerciale. En outre, l'introduction de ces monnaies réduirait la dépendance des banques centrales vis-à-vis des banques commerciales en permettant aux banques centrales de créditer directement les comptes des citoyens ou des entreprises, sans nécessairement recourir à des intermédiaires bancaires. Par conséquent, l'introduction de ces monnaies pourrait rendre la politique monétaire plus directe et plus simple. A première vue, donc, on pourrait se réjouir de la possibilité de limiter la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales. Il convient cependant de considérer plusieurs problèmes importants. Premièrement, si les particuliers et les entreprises décident de considérer leur banque centrale comme leur fournisseur de services bancaires, ne risque-t-on pas de rendre les banques commerciales obsolètes et superflues ? Dans ce cas extrême, ni les citoyens ni les banques centrales n'auraient plus besoin d'intermédiaires pour l’octroi de crédits et l’accueil de dépôts. Les banques commerciales garderaient sans doute le rôle d’intermédiaire sur les marchés financiers, mais manqueraient d'une source de financement appropriée (les dépôts des clients) et perdraient une de leurs principales activités (les prêts). La taille des marchés financiers pourrait se réduire considérablement. Cela pourrait fragiliser la santé économique des banques commerciales et celle des marchés financiers dans leur ensemble. Un deuxième problème concerne l’équilibre des pouvoirs entre gouvernements, banques centrales et banques commerciales. À la suite de la crise financière, les banques centrales ont déjà acquis d'énormes pouvoirs. La BCE a par exemple participé à la Troïka en Grèce et dicté des réformes économiques structurelles dans ce pays. La Réserve fédérale américaine (la Fed), la BCE et la Banque d'Angleterre ont également obtenu des pouvoirs supplémentaires de supervision du système bancaire. Et elles sont toutes intervenues massivement sur les marchés financiers, par l'achat massif d'obligations et de titres. L’introduction de monnaies numériques de banque centrale renforcerait ces tendances et accroîtrait le poids des banques centrales sur les marchés financiers, en leur donnant un accès direct aux comptes des citoyens et des entreprises, et en leur permettant de contourner les acteurs financiers commerciaux. Ce déséquilibre de pouvoir pourrait encore accroître le déficit démocratique dont souffrent les banques centrales. Par ailleurs, les banques centrales, si elles sont amenées à fournir des services bancaires et à alimenter l'économie productive par le crédit, pourraient être entraînées dans d’importants conflits d'intérêts. En effet, ces dernières deviendraient leur propre régulateur. En conclusion, il est certain que les monnaies numériques de banque centrale suscitent un débat intéressant sur le rôle des banques centrales dans le système financier. D’une part, elles pourraient constituer une piste de solution à la dépendance des banques centrales vis-à-vis des marchés financiers. Cependant, elles pourraient également conduire à accroître démesurément les pouvoirs des banques centrales et à fragiliser les marchés financiers en rendant le financement des banques commerciales plus complexe. L’enjeu, en définitive, est le partage du pouvoir financier entre banques commerciales et banques centrales – un débat qui dépasse de loin l’objectif de ce focus, et qu’il ne prétend pas trancher. Pour aller plus loin : Larue, L., Fontan, C. et Sandberg, J. (2020). The promises and perils of Central Bank Digital Currencies. Revue de la Régulation, Numéro 28.

Дисертації з теми "Paiement numérique":

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Balgobin, Yann. "Contribution à l'économie de la vie privée et des données financières." Thesis, Paris, ENST, 2018. http://www.theses.fr/2018ENST0038.

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Анотація:
Cette thèse étudie les conséquences économiques du contrôle par les consommateurs de la quantité de de données personnelles qu’ils sont prêts à partager avec des firmes. Ce sujet est d’une importance vitale pour l’économie numérique dans la mesure où de nombreuses firmes collectent et utilisent des informations sur les consommateurs afin d’augmenter leurs profits. Ces entreprises pourraient toutefois avoir de grandissantes difficultés à générer des profits à partir des données personnelles. Premièrement, de plus en plus de consommateurs sont inquiets au sujet du respect de leur vie privée en ligne. Deuxièmement, un nombre croissant d’outils permet de contrôler la collecte de données personnelles. Nous montrons dans la thèse que l’usage de tels outils ont un effet positif sur la disposition des consommateurs à partager leurs informations personnelles, permettant ainsi une collecte de données plus respectueuse de la vie privée. Ces conclusions s’appliquent également au sujet des données financières. Encourager l’usage de moyens de paiement non-bancaires (et ainsi permettre aux consommateurs de cacher des informations aux banques) pourrait être bénéfique au commerce en ligne, en conduisant les consommateurs à faire plus d’achats. Enfin, dans un contexte où les consommateurs sont inquiets quant au respect de leur vie privée, les banques pourraient bénéficier du fait de rendre leurs pratiques de screening moins intrusives, dans la mesure où cela rendrait plus efficaces leurs politiques de crédit
This thesis investigates the economic consequences of consumers’ control over the level of personal information they are willing to share with firms. This subject is vital for the digital economy as many firms collect and use information about consumers to increase their revenues. Firms may face greater difficulty to generate profit from personal data. Firstly, because consumers are increasingly concerned about their privacy. Secondly, because more and more privacy-enhancing technologies (PETs) become available. We find in the thesis that the use of PETs could positively influence consumers’ willingness to share personal information, enabling a data collection that takes privacy concerns into account. We make similar conclusions in the case of financial information. Developing the use of non-bank payment instruments (and thus allowing consumers to hide some information to banks) could benefit e-commerce, leading consumers to buy more online. Finally, in a context where consumers are concerned with their privacy, banks may benefit from making screening less intrusive, as it would improve their lending strategy
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Camara, Youssouf. "Four essays on empirical economics in the era of high-frequency data." Thesis, Institut polytechnique de Paris, 2022. http://www.theses.fr/2022IPPAT016.

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Анотація:
Cette thèse utilise des données de transaction de paiement par carte bancaire dites données à haute fréquence pour identifier les effets causaux d'innovations technologiques et de la pandémie de COVID-19. Le premier chapitre évalue l'impact causal de récentes innovations dans les paiements numériques, et plus particulièrement, la carte de paiement sans contact. Nous montrons que l'adoption de la technologie de paiement sans contact affecte significativement l'activité économique des commerces qui adoptent cette technologie par rapport à ceux qui ne l'adoptent pas à travers notamment des effets d'entrainement. Les effets sont particulièrement marqués pour les petites et les nouveaux commerces, et montrent l'impact réel des innovations technologiques. Le deuxième chapitre explore le rôle de la technologie de paiement sans contact dans l'atténuation de l'impact d'un choc économique tel que celui de la pandémie de COVID-19, et étudie donc la résilience des commerces. Les résultats indiquent que les commerçants disposant de la technologie de paiement sans contact ont mieux résisté aux chocs de la COVID-19 que celles qui ne l'utilisent pas encore. Ce travail fournit une preuve solide que l'acceptation des paiements sans contact pendant un choc épidémique aide les commerçants à acquérir davantage de nouveaux clients. A l'image du premier chapitre, nous soutenons l'idée que la technologie de paiement sans contact continue de soutenir la croissance des ventes des commerces et accélère la substitution entre les paiements numériques et non numériques. Dans le troisième chapitre, nous estimons l'impact de la COVID-19 sur la mobilité et les dépenses des consommateurs. Nous examinons également le rôle du commerce en ligne dans la reprise rapide de l'activité commerciale lorsqu'une économie est frappée par un choc inattendu qui paralyse l'activité des commerces physiques. Nous montrons que les mesures sanitaires visant à limiter la propagation de l'épidémie COVID-19 ont réduit de moitié la mobilité des consommateurs et les dépenses de consommation. En ce qui concerne la baisse des dépenses, nous constatons qu'elle est environ deux fois plus importante que la baisse des dépenses en ligne. Les analyses au niveau sectoriel soulignent le rôle prépondérant du commerce en ligne pour combler les lacunes et rendre l'économie plus résiliente en cas de fermeture totale des points de vente physiques. Le dernier chapitre quant à lui se concentre sur l'analyse du comportement de consommation spatiale et sur l'impact du développement du commerce en ligne sur les liens commerciaux régionaux. Il montre que les transactions en ligne, en plus de se produire plus fréquemment en dehors de la région d'origine du consommateur, sont plus concentrées dans les régions déjà développées. Le développement du commerce en ligne a augmenté la concentration de l'activité économique globale, et peut avoir des implications importantes pour le développement économique régional
This thesis uses card payment transaction data known as high-frequency data to identify the causal effects of technological innovations and the COVID-19 pandemic. The first chapter assesses the causal impact of recent disruptive innovations in digital payments, specifically, the contactless payment card. We show that the introduction of contactless payment technology significantly affects the economic activity of businesses that adopt this technology compared to those that do not, notably through spillover effects. The effects are particularly strong for small and new businesses, and show the real impact of technological innovations. The second chapter explores the role of digital payment technologies in mitigating the impact of shocks through improving business resilience. The results indicate that businesses with the latest digital payment technology were more resilient to COVID-19 shocks than those not yet using it. They also show that accepting contactless payments during an epidemic shock helps businesses acquire more new customers. Like the first chapter, we argue that digital payment technology continues to support sales growth and accelerates the substitution between digital and non-digital payments. In the third chapter, we estimate the impact of COVID-19 on consumer mobility and spending. We also examine the role of online commerce in the rapid recovery of business activity when an economy is hit by an unexpected shock that paralyzes offline activity. We show that public health measures to limit the spread of the COVID-19 epidemic sharply reduced consumer mobility and spending by more than half. Concerning the decline in spending, we find that it is about twice as large as the decline in online spending. Sector-level analyses highlight the key role of online commerce in filling gaps and making the economy more resilient in the event of total off-line retail closure. The last chapter focuses on the analysis of spatial consumption behavior and the impact of online trade development on regional trade linkages. It shows that online transactions, in addition to occurring more frequently outside the consumer's home region, are more concentrated in already developed regions. The development of online commerce has increased the concentration of overall economic activity and may have important implications for regional economic development
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Jonchères, Erwan J. "Encadrement juridique des monnaies numériques : bitcoin et autres cryptomonnaies." Thèse, 2015. http://hdl.handle.net/1866/13991.

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Les informations relatives aux cryptomonnaies sont susceptibles de changer à l'avenir tant cette matière est nouvelle et encore peu ancrée dans le droit. Ce mémoire est une réflexion sur l'essor du Bitcoin et des cryptomonnaies à leurs débuts, alors même que le droit cherche à s'accaparer ces nouvelles technologies, à les intégrer dans son système préexistant.
Les cryptomonnaies sont des monnaies numériques, qui se sont développées hors de tout contrôle étatique et qui fonctionnent de manière décentralisée. Bien qu’étant encore à leurs balbutiements, ces cryptomonnaies, à l’instar du Bitcoin, soulèvent de nombreuses questions juridiques. Dans ce mémoire, seront analysées les différentes définitions qui pourraient inclure la cryptomonnaie, avant de nous concentrer sur la définition de la monnaie numérique. Ensuite, seront étudiés, les aspects criminogènes des cryptomonnaies et la volonté des États d’avoir un certain contrôle sur celles-ci. Puis après nous être concentré sur la fiscalité applicable aux monnaies numériques, il sera nécessaire d’examiner l’étendue de la protection des consommateurs, dans leurs rapports aux cryptomonnaies. Pour ce faire nous nous appuierons, entre autre, sur les lois canadiennes, françaises et américaines. Toutefois vous vous en rendrez-compte, les cryptomonnaies n’ont pas encore été totalement englobés dans les systèmes juridiques des trois pays étudiés, et les tribunaux n’ont été saisis que dans très peu d’affaires relatives aux monnaies numériques, ce qui implique que de nombreuses incertitudes juridiques persistent à l’heure actuelle.
Cryptocurrencies are digital currencies which developped outside of state control. They function in a purely decentralized manner. Although they are only at an early stage, those cryptocurrencies, like Bitcoin, raise many legal issues. In this article we will analyze different definitions which might include cryptocurrencies, before focusing on the definition of digital currencies. Therefore we will study the criminal aspects of cryptocurrencies and the willingness of the states to gain a certain control over them. Then, after focusing on the taxes applying to digital currencies, it is necessary to examine the extent of the consumer’s protection while dealing with cryptocurrencies. In order to do this, we will rely, among others, on Canadian, French and American laws. As you will notice by yourselves the cryptocurrencies have not yet been fully encompassed within the legal systems of those three countries, and as the courts have only been seized in very few cases relating to digital currencies, you will find that many legal uncertainties currently persist.

Частини книг з теми "Paiement numérique":

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"Cycle de paiement simplifié." In Le rôle des plateformes numériques dans la collecte de la TVA/TPS sur les ventes en ligne. OECD, 2019. http://dx.doi.org/10.1787/156926e9-fr.

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